mercredi 4 décembre 2024

CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ? ....DANS LES ANNEE 50' LA JOURNALISTE BELGE MARIANE WEBER PILOTAIT LES MOTOS LES PLUS RAPIDES DU MONDE ....

 

La première photo d’une femme à bord d’une BMW R68 est assez célèbre, mais peu de gens connaissent l’histoire. 
Marianne Weber, journaliste belge très active dans les années 1950, qui teste sur la route les motos les plus rapides du monde avec habileté et verve. 
Mais c’était une autre époque, et comme elle a testé sur les routes des années 1950 son équipement de conduite a été considéré approprié. Elle a coupé une figure élégante, et clairement aimé monter à fond ! 
Photo 1 : Essai d’une BMW R68 le 15 août 1952 près de Waterloo, avec un taux de 163 km/h (100 mi/h) sur les routes rurales pour prouver que c’était la première voiture de course de BMW. 
Photo 2 : essai d’un AJS modèle 20 de 1951. 
Photo 3 : séance à bord d’un AJS Porcupine en service à Spa. Photo 4 : Mars 1952, Marianne teste un Vincent Black Lightning sur la route Bruxelles-Anvers, atteignant 112mph dans un vent fort.

Source : Motociclette, Moto Revue, Le Cycle

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - LES GARAGES AU BLACK !

L'entretien d'une auto est le deuxième poste de dépense des Français, juste après le logement. Alors, certains tentent de réduire la facture en faisant appel à des garagistes au black, un business en plein boom. 
Quels risques prend t-on ? 
un reporter de M6, avec sa voiture, s'est aventuré dans le monde de la réparation au noir.  
 Source : Investigations et Enquêtes - M6

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - ETRE CONFORTABLEMENT ASSIS TOUT EN EN ETANT FAN DES VIEILLES VOITURES AMERICAINES !!


 

CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ? ...LA 2CV QUI PASSE SOUS LES "RADARS"....

 

Radar Citroën 2CV de 1959... 
Robert Radar était un agent de Citroën à Liège. 
En 1956, il conçoit et construit un roadster sur un châssis Citroën 2CV. 
Cette voiture, avec sa carrosserie simplifiée en polyester, est équipée d'une suspension renforcée avec stabilisateur et d'un moteur légèrement réglé avec deux carburateurs, permettant à la voiture d'atteindre 120 km/h. 
Les voitures ont été produites entre 1959 et 1962. 
Source : Syl Vin Est BonCitroen & Charme

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CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ? ...QUELLE ETAIT LA VOITURE PREFEREE DE JAMES BOND ??

 

EN FAIT, JAMES BOND 007 PRÉFÉRAIT LES BENTLEY …Si l’inconscient collectif identifie immédiatement James Bond à la marque Aston Martin, originellement 007 vouait une admiration sans limite à Bentley Il faut se replonger dans l’histoire de 007 pour comprendre ce qu’il s’est passé. Les romans de Ian Fleming, le romancier ayant créé James Bond, ont été écrits entre 1953 et 1964, année de décès de Fleming. Fleming était né en 1908 et avait 45 ans quand il a écrit le premier opus. Il était ouvertement conservateur et très « vieille Angleterre ». La saga cinématographique de James Bond ne commence, elle, que 10 ans plus tard, en 1962. Et dans les romans de Ian Fleming, l’espion 007 préférait les Bentley à compresseur, au point d’en avoir possédé trois dont la Continental Type R des années 1950 en tant que dernier modèle. 
LES DIFFÉRENTES BENTLEY DE JAMES BOND 
La première Bentley de James Bond était une Bentley Mark IV 4½ Litre cabriolet grise de 1930 apparue dans les premiers romans de Ian Fleming : « Casino Royale » – Bentley 4½ Litre avec un compresseur conçu par l’ingénieur Charles Amherst Villiers, « Live and let die » – Bentley 4½ Litre, « Moonraker » – Bentley 4½ Litre & Bentley Mark VI de 1943. A partir du roman « Thunderball » (Opération Tonnerre) en 1961, James Bond est au volant d’un autre modèle du constructeur de Crewe : la Bentley Continental Drophead Coupé Type R de 1954.
  « CASINO ROYALE » (1953) Casino Royale est le premier roman mettant en scène l’espion britannique 007. Paru en 1953, James Bond est chargé de mettre en déroute Le Chiffre, un leader syndical communiste, dans le casino d’une ville imaginaire de la cote d’Opale, « Royale les Eaux ». Ian Fleming cite la Bentley de James Bond sous le nom Bentley Mark IV, un modèle qui n’a jamais existé dans la réalité et qui semble avoir été inventé par le romancier. C’était le véhicule personnel de James Bond qui est mentionné dans ce roman, comme étant un dérivatif sur lequel Bond aime travailler. Seule arme à bord, un Colt 45 Army Special que Bond conserve dans sa boîte à gants. Elle sera accidentée lors de la course poursuite après Le Chiffre qui, pour sa part, s’échappe en DS Citroen… 
« LIVE AND LET DIE – VIVRE ET LAISSER MOURIR » (1954) Ce second roman de Fleming envoie James Bond aux USA puis à la Jamaïque. Mais Bond se rend au siège des services secrets britanniques pour y prendre ses ordres au volant de sa Bentley « qui répond à la première sollicitation ». « MOONRAKER » (1955) Moonraker est le troisième roman des James Bond. Dans Moonraker, Bond est chargé de surveiller Drax qui a offert aux anglais une fusée destinée à assurer l’indépendance du royaume de sa Gracieuse Majesté. Cette fois, la Bentley Mark IV est détruite dans le roman, lors d’une course poursuite avec la Mercedes 300S de Drax, écrasée par d’énormes rouleaux de papier d’imprimerie Bond achète sa deuxième Bentley, une Mark VI de 1943, à la fin du roman Moonraker (1955), pour remplacer la 4½ Litre détruite. Comme sa précédente Bentley, la Mark VI est grise avec un intérieur en cuir bleu foncé. 
« FROM RUSSIA WITH LOVE – BONS BAISERS DE RUSSIE » (1957) 
Dans cet opus qui se déroule pour l’essentiel dans l’Orient Express, la Bentley de Bond n’est citée que lorsqu’il la prend pour se rendre au siège des Services secrets. Mais il y a un clin d’oeil dans le film tourné en 1963 : dans cette unique apparition cinématographique, la Bentley de Bond est aperçue furtivement dans dans la première scène du film, lors d’un pique-nique avec la conquête du moment de 007. La Bentley est équipée d’un téléphone … 
 « GOLDFINGER » (1959) – L’EXCEPTION 
Dans ce roman, 007 doit découvrir ce que manigance l’infâme Auric Goldfinger. S’en suit une traque à travers la France et la Suisse. Et c’est une Aston Martin DB3 équipée d’un traceur pour suivre Goldfinger et sa Rolls Silver Shadow qui est confiée à James Bond. Une Aston Martin DB3 qui deviendra bizarrement une Jaguar dans les traductions françaises du roman … La légende dit que Ian Fleming aurait reçu une lettre d’un fan encourageant l’auteur à « avoir la décence d’offrir à son héros une machine décente », ce qui aurait provoqué ce changement…
 « THUNDERBALL – OPÉRATION TONNERRE » (1961) Fleming était lui-même passionné d’automobile et fan des Bentley. Lors de l’écriture d’Opération Tonnerre (1961), après avoir découvert la Bentley Continental R chez le carrossier Chapron à Londres, il fait modifier par son héros une Bentley en une biplace décapotable, la drophead, par HJ Mulliner. Dans le livre, 007 a acheté la voiture dans un état d’épave, remplaçant le moteur de 4,5 litres par un 4,9 litres. La voiture réelle ayant inspirée Ian Fleming était à l’origine un fastback à carrosserie Mulliner transformé en coupé drophead en 1956. Mulliner avait été approché à l’époque pour effectuer cette conversion, mais comme les coûts avaient été jugés trop élevés par son propriétaire, le projet n’a jamais dépassé la phase de conception, et ce fut le carrossier français Henri Chapron qui réalisa les travaux à la place. La voiture finale de Chapron ne correspondait pas exactement au travail de conception élégant réalisé par Mulliner, si bien que l’arrière de la voiture a été retouché par un propriétaire ultérieur en 2005 selon les spécifications originales de Mulliner, ce qui a abouti à cette superbe voiture. 
 « AU SERVICE SECRET DE SA MAJESTÉ » (1963) 
Dans le roman, la Bentley Continental surnommée « la locomotive » réapparait avec un compresseur Arnott contrôlé par un embrayage magnétique. Il s’en sert dans une course avec la Comtesse Teresa « Tracy » di Vicenzo conduisant une Lancia Flaminia Zagatto au début du roman. C’est la dernière fois que la Bentley apparait dans les romans. 
 DIX ANS PLUS TARD, LES ASTON MARTIN POUR LES FILMS 
Quand les romans de Ian Fleming ont été transposés au cinéma, les modèles Bentley ont laissé la place à des Aston Martin grises. Dans le film Goldfinger (1964), l’ancienne Bentley « Mark IV » de James Bond est évoquée quand Q lui présente sa nouvelle Aston Martin DB5 modifiée : Bond : « Où est ma Bentley? Q : Elle a fait son temps, j’en ai bien peur… Bond : Elle ne m’a jamais lâché ! Q : C’est M qui l’ordonne, 007. On vous octroie cette Aston Martin DB5 modifiée. » Il est probable que la production ai souhaité à l’époque donner à Bond une image plus « moderne » avec l’Aston Martin DB5 et moins « vieille Angleterre » qu’avec les Bentley … d’autant plus qu’une série à la mode de l’époque (Chapeau Melon & Bottes de cuir) voyait son héros masculin un peu désuet rouler lui aussi en Bentley Blower des années 30…
 Source : autocollec.com/Automoto
Automoto

mardi 3 décembre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - RONDE DE NOEL 2016 - LA BURTON DE NOEL DE KLAAS EN TOURNEE POUR LA DISTRIBUTION DES CADEAUX ...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - UN CHARGEMENT BIEN ARIME EST UN GAGE DE SECURITE !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - PROMENADE EN VOITURE ANCIENNE ....

Les années 20 sont une période charnière pour Panhard-et-Levassor. Seuls les constructeurs ayant su évoluer vers la production en masse ou vers le haut de gamme ont pu franchir la première épreuve de l'immédiat après-guerre. Le mouvement est mené par Ford en Amérique, aussitôt imité par Citroën puis Renault. 
Panhard-et-Levassor doit trouver son créneau et s'illustrer dans le paysage. La marque mène alors deux fronts : l'un sur la grande série et l'autre vers le haut de gamme. Son offre de véhicules équipés du célèbre moteur sans soupape, fabriqué sous licence de l'ingénieur Charles Knight, s'avère bien trop chère par rapport à la concurrence et en particulier la Citroën C6. L'échec de la gamme intermédiaire est patent, et la restructuration s'impose.
 
Promenade avec plusieurs voitures anciennes dans la campagne. DB Le Mans, Salmson S4E, Hotchkiss 686 Grand Sport, Panhard et Levassor 6CS et Citroën SM.
A la fin des années 20, la rationalisation devient le mot d'ordre et Panhard-et-Levassor revient vers les voitures de haut de gamme. Les moteurs à 4 cylindres (comme la 20 CV sport) disparaissent de la gamme et en 1930 nait la 6DS (20 CV), une voiture totalement nouvelle. Cette longue berline est surbaissée et offre des ouvrants très réduits. Le châssis forme un cadre indéformable et sa conception autorise à en rabaisser le niveau. C'est autant de gagné en stabilité et en confort. Mieux, pour la première fois, une barre anti-roulis est installée. Elle restera pour toujours la "barre Panhard". 
Le sol comporte une double paroi qui permet de loger la batterie, des outils ou autre. Tout le soin possible est affecté à la finition, et la voiture atteint un niveau de qualité des plus irréprochables. Le moteur 6 cylindres sans soupape procure en outre un silence de fonctionnement inégalé, et une nouvelle boite dite "silencieuse" permet d'en améliorer encore l'efficacité. Très vite, la 6DS est épaulée par une plus modeste 6CS (13 CV) ou 6CS Special (14 CV, notre modèle) ou encore une plus ambitieuse 8DS de 29 CV et moteur 8 cylindres. Très vite les 6CS vont représenter l'essentiel des ventes de la gamme. Le projet de 4CS sera vite avorté scellant la fin de la production de moteur à 4 cylindres dans l'histoire de Panhard-et-Levassor. La série évoluera en 1932 et en 1934 jusqu'à l'apparition de la Dynamic, la dernière Panhard-et-Levassor conçue avant-guerre. L'histoire reprendra après la guerre avec la Dyna X.
Source : Vincent Decours / zorgblogauto.canalblog

CLUB5A - REPORTAGE AUTO Cinq décennies de design.....Retour sur les années 70 !

Un film retraçant l'histoire du design a travers les années 70. De même que la mode, l'architecture ou le mobilier, il existe un modèle Renault représentatif de chaque époque, et chacun personnifie une certaine idée de chacune de ces cinq décennies. Illustrés d'images d'archives exceptionnelles et de nouvelles images exclusives, ces documentaires font également intervenir des experts du sujet: l'anglais Stephen Bayley et le français Pascal Montfort. 
Et alors que ces deux derniers débattent des interactions entre design et société, les voitures Renault sont poussées dans la lumière pour un examen du meilleur du design français en matière de voitures.
 
Source : RENAULT-TV

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - EST-CE DE L'ART OU DU SCOOTER ?


 

CLUB5A - SORTIE MOTOS DU 1er DECEMBRE 2024 ...UN CASSOULET SINON RIEN !

 

Sortie Moto du 1er décembre 2024 Comme à chaque fin d’année, cette sortie motos était très prisée et très attendue puisque c’était la sortie « cassoulet ». Organisés de main de maître par nos organisateurs Alain FUMANAL et Régis PERICH pour l’accueil, comme nous en avons maintenant l’habitude. 
Cette journée a débuté avec une température très fraîche le matin et ensoleillée pour le reste de la journée, excellent pour un mois de décembre et aussi pour mettre en place une sortie moto…
Comme d’habitude, un très beau circuit avait été organisé et les motards pouvaient lors de cet itinéraire traverser de jolis villages de l’Aude. Arrêt et pause-café habituel et traditionnel sur l’itinéraire programmé avec un casse-croûte organisé sur une aire de repos, merci aux organisateurs pour la restauration très appropriée qui a permis de restaurer ce petit monde à mi-parcours. 
Les 40 motards étaient présents et habitués à ces sorties motos, qui ont lieu une fois par mois. Nos passionnés du guidon étaient au rendez-vous pour effectuer ce tracé à travers notre jolie région. Quelques arrêts pour attendre les copains et encore discuter motos, et comme vous vous en doutez, la matinée s'est passée à une vitesse folle… 
En fin de matinée, ce fut l'arrivée pour découvrir une très belle table et ce fameux cassoulet traditionnel et délicieux que le restaurateur (Chez Nico au bar des halles) a servi chaud à souhait. Notre ami François Nouvel en a profité pour souffler ses bougies à l’occasion de son anniversaire. (Bon anniversaire, François !) 
N’oublions pas que la coutume de notre beau pays est de finir l’année ensemble entre « potes », car encore une fois, cette année a été riche en événements et intense pour tous les organisateurs, et aussi afin de satisfaire (enfin nous l’espérons) le plus grand nombre de passionnés et de faire vivre notre association. 
Mais l’année n’est pas encore terminée, car dimanche 15 décembre, la Ronde de Noël clôturera définitivement l’année et nous comptons sur la présence des motards ! 
Merci à Olivier et sa voiture « balaie » qui nous a assistés toute la matinée ! 


Merci encore à tous ceux qui ont œuvré pour le plaisir de tous et qui ont permis à ce que cette journée soit une réussite. À l’année prochaine pour de nouvelles balades avec la section motos du club 5A… 
Texte :Alain Fumanal –Photos : Régis Périch et Alain Fumanal.

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - RETOUR SUR IMAGE SUR LE RALLYE "CHALLENGE LA BOUSSOLE" ...C'ETAIT LE 23 NOVEMBRE 2024 !



Petite précision : la deuxième partie de l'édition 2024 du rallye de « Challenge la Boussole » a été organisée par Didier Saint-Georges avec le soutien des bénévoles du club 5 A Carcassonne…
Source : G-J - L'INDEPENDANT - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

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lundi 2 décembre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - RONDE DE NOEL 2016 - MOBYLETTES...SOLEX..MOTOS...VOITURES TOUS PRESENTS POUR LA FEERIE DE NOEL A CARCASSONNE...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - POUR VOTRE SECURITE ACHETEZ DES ACCESSOIRES DE QUALITE !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - AL CAPONE SUR LES ROUTES DU QUEBEC ...

JC FORTIN nous présente son camion GENERAL MOTORS 
de 1929..
Une jolie histoire en direct du Québec.. 
L’ancêtre de ce camion roulait probablement pour Al Capone.
Alphonse Gabriel Capone (Alfonso Capone en italien), dit Al Capone, né à Brooklyn (New York) le 17 janvier 1899 et mort à Miami Beach (Floride) le 25 janvier 1947, est un des plus célèbres gangsters américains du xxe siècle. 
Surnommé « Scarface » (« Balafré »), il fait fortune dans le trafic d'alcool de contrebande durant la prohibition dans les années 1920. 
 D'origine italienne et parrain de l'Outfit de Chicago de 1925 à 1931, il est arrêté grâce à l'enquête de l'agent spécial du service d'enquête de l'Internal Revenue Service Frank J. Wilson et du juge James Herbert Wilkerson, qui le condamne le 24 octobre 1931 à 17 années de prison dont 11 ans ferme. 
Al Capone contribue fortement à l'émergence du système de mafia, usant de la corruption des policiers, de la justice, des figures politiques, ainsi que des menaces physiques pour éviter les témoins à charge, n'hésitant pas à faire exécuter des centaines de personnes, voire des milliers. 
 Personnage emblématique de l’essor du crime organisé dans les États-Unis de la prohibition, il contribue à donner au Chicago des années 1920 et 1930 sa réputation de ville sans foi ni loi. Al Capone est devenu l'archétype du gangster et de l'anti-héros. Son mythe se développe avec Scarface d'Howard Hawks dès 19322, ce qui lui vaut une réputation quelque peu surfaite, la légende dépassant bien souvent la réalité.
Source : ChaineTruckeditions

LE SAVIEZ-VOUS ? ...CONNAISSEZ-VOUS VRAIMENT NICOLA TESLA ?

 

Nikola Tesla, l'inventeur et ingénieur serbe né en 1856, a démontré dès son plus jeune âge une ingéniosité étonnante. 
Un jour, convaincu qu'il pouvait voler, il décida de se jeter du toit de la ferme familiale avec un parapluie. 
L'expérience ne s'est pas déroulée comme prévu, et il a passé six semaines avec sa jambe traction, ce qui l'a amené à abandonner son hypothèse de vol. 
Tesla prétendait avoir une oreille exceptionnellement aiguë, capable de percevoir des sons aussi lointains que le sifflement d'une machine à vapeur à 30 kilomètres de là, ou même le bruit d'une mouche qui se pose sur une table.
 Cependant, sa véritable passion était l'électricité, un intérêt qu'il a suscité à trois ans lorsqu'il a observé les étincelles provoquées par l'électricité statique dans la fourrure de son chat Macak.
Cette curiosité l'a poussé à réfléchir : « La nature est-elle un chat gigantesque ? 
Si oui, qui lui gratte le dos ? ". Tout au long de sa carrière, Tesla a développé des idées inhabituelles. Il recommandait de l'électricité pour stimuler les étudiants moins actifs et a créé une plateforme vibratoire pour traiter la constipation. 
Son ami, le célèbre écrivain Mark Twain, était un utilisateur régulier de cette invention, avec des résultats assez urgents. Tesla ne s'est jamais mariée, arguant que le mariage pourrait entraver son génie créatif. 
Une fois, il a répondu à un interviewer qui ne pouvait citer de grandes inventions créées par des hommes mariés. Ses idées sur les femmes étaient influencées par leur aversion pour les bijoux féminins et leur incapacité à toucher les cheveux des autres, sauf si c'était absolument nécessaire. 
Obsessionnel compulsif, Tesla avait une obsession particulière pour le numéro 3. Il insistait pour que sa chambre d'hôtel soit divisible par trois. 
À l'hôtel New Yorker, où il a passé ses dernières années, il a vécu dans la chambre 3327 au 33ème étage. Avant d'entrer à l'hôtel, il faisait trois tours de pâté de maisons, et tout ce qu'il portait, des draps aux couverts, devait respecter sa règle de trois. 
Tesla avait une peur intense des microbes et exigeait que tout ce qu'elle portait soit stérilisé. 
Il nettoyait même personnellement chaque objet avant de l'utiliser, armé de 18 serviettes. Il a prédit qu'il vivrait jusqu'à 140 ans, croyant que l'alcool était un élixir de vie longue, mais après la prohibition, il s'est rétracté. 
Le 7 janvier 1943, Tesla a été retrouvé mort par une serveuse qui a ignoré le panneau "Ne pas déranger" sur la porte de sa chambre. 
Ainsi a pris fin la vie d'un homme dont l'héritage continue d'illuminer le monde. 
Source : Dimitry Samuel Pomié

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CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Pour les Français.... l’auto reste sacrée !!

 

Selon une étude réalisée par l’institut Odoxa pour BMW, l’automobile n’a rien perdu de son pouvoir d’attraction. C’est un phénomène bien français: l’automobile, on adore la détester. Mais à la fin, on ne peut pas s’en passer. C’est ce que révèle une étude réalisée par l’institut Odoxa pour le constructeur allemand BMW auprès de 3 000 personnes représentatives de tous les territoires. Loin des clichés, des idées reçues et des gesticulations de quelques politiques assoiffés de pouvoir, les Français réaffirment leur attachement à la bagnole. L’étude montre ceci d’intéressant que les Français ne sont pas égaux face à la mobilité. 
À la campagne où l’offre de transport en commun est quasiment inexistante, la voiture n’est pas un luxe mais une nécessité. C’est bien pour cela que le 80 km/h sur les routes, la hausse des carburants au nom de la transition écologique et la stigmatisation du diesel alors qu’il rejette comparativement moins de CO2 que son homologue à essence n’ont fait qu’accroître l’exaspération des Français et creuser le fossé avec une élite décidément déconnectée des préoccupations des citoyens. Georges Pompidou, le dernier président de la Ve République à défendre l’automobile et à comprendre le rapport que la population française entretient avec ce mode de déplacement, avait raison lorsqu’il disait qu’il fallait arrêter d’emmerder les Français. La mobilité, qui est un droit, est l’un des principaux sujets de crispation. On connaît la suite. Le mouvement des Gilets jaunes s’est construit sur ce terreau. 
Malgré la diversité des modes de transports et des moyens de mobilités mis à la disposition des Français, 47 % d’entre eux continuent d’utiliser leur voiture tous les jours. Sa baisse est surtout spectaculaire dans l’agglomération parisienne où les pouvoirs publics multiplient les initiatives pour réduire sa présence, voire la supprimer, mais dans les autres grandes villes et d’une manière générale en province, elle reste le moyen de déplacement numéro 1. C’est l’un des enseignements de cette étude, contrairement à ce que l’on voudrait nous faire croire, les Français sont attachés à la complémentarité des moyens de transport. Il n’y a que les édiles les plus radicaux et les Khmers verts pour opposer les mobilités entre elles. La vérité oblige à admettre que beaucoup de Français cumulent les modes de déplacement pour se déplacer quotidiennement. Voiture puis train ou métro, train puis vélo ou trottinette électrique, marche et vélo ou bus: la multimodalité est vécue comme un atout pour optimiser les temps de transport. 
L’étude révèle que 28 % des Français - le double en région parisienne - utilisent plusieurs moyens de transport distincts pour leurs trajets domicile-bureau. Ils passent en moyenne 48 minutes par jour dans les transports pour aller travailler; 43 minutes en zone rurale et 60 minutes en région parisienne. Au-delà d’une heure 10 minutes aller-retour par jour, l’expérience est mal vécue. Malgré l’avènement de nouvelles mobilités, les modes de transports traditionnels ne font pas l’objet d’un rejet. Au contraire, l’étude montre que la voiture reste, de loin, le mode de transport le plus utilisé et le plus apprécié. L’automobile est considérée comme le moyen de transport le plus fiable, le plus sûr et le plus pratique. Pour 88 % des personnes interrogées, la voiture reste associée à la notion de liberté, et pour 71 % d’entre eux, c’est aussi un plaisir. La voiture est considérée comme beaucoup moins stressante que les transports en commun - le métro pointe en tête -, ce qui peut se comprendre dans le contexte de la crise du coronavirus. 
Les Français rechignent à emprunter les transports en commun. Outre les incivilités et leur faible fiabilité, ils pointent du doigt l’insécurité liée au non-respect de la distanciation sociale. La conduite d’une automobile n’aurait ainsi rien de la corvée que certains dépeignent. Raison pour laquelle, 86 % des Français estiment encore qu’il est «important» de posséder sa propre voiture. 
La voiture arrive systématiquement première sur 4 des 5 critères jugés les plus importants par les Français: la sécurité, la durée du trajet, la facilité d’accès et la disponibilité. Le seul reproche que formulent les Français, c’est son coût jugé trop élevé. Les coûts d’usage (maintenance, entretien, essence, assurance) arrivent d’ailleurs devant le coût d’acquisition. 
 Source : Sylvain Reisser-lefigaro.fr

dimanche 1 décembre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - RONDE DE NOEL 2016 - IL Y AVAIT DU SPECTACLE CETTE ANNEE LA SUR LES BOULEVARDS DE CARCASSONNE LORS DE LA MAGIE DE NOEL ...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - PARIS EST VRAIMENT LA VILLE LUMIERE !!


 

CLUB5A - AUTO DE LEGENDE - LES AUTOMOBILES MORGAN - LE MODÈLE 3 WHEELER !!......L'AVENTURE !

C’était quand la dernière fois que vous avez comparé un trajet en voiture à une aventure ? 
 Avec la nouvelle Morgan 3-wheeler, l’aventure recommence, retrouvez le fun et la passion qui manquent tant de nos jours ! Sautez à bord, asseyez-vous dans le « cockpit » revêtu de cuir, appuyez sur le bouton « start » et régalez vos oreilles avec le fabuleux bruit du grand « Vee-Twin ». 
L’iconique Morgan 3-wheeler (3-roues) est de retour depuis 2012. Remise au goût du jour, la formule de la 3-wheeler est toujours gagnante. Avec un puissant moteur SS V2 refroidi par air de 1976 cm3, connecté à une boîte Mazda 5-vitesses (et marche-arrière), et une voie avant très large, la nouvelle 3-wheeler est aussi simple que ludique à conduire, sourires garantis ! 
 Certaines choses n’ont pas changé, chez Morgan, la forme de la nouvelle 3-wheeler rappelle l’originale Morgan Supersports 3-wheeler des années 30. 
Avec sa coque simple en forme de balle de fusil, rien n’est superflu. Juste de la place pour le conducteur, son passager et un petit sac à l’arrière, autrement dit, l’essentiel pour l’aventure...
Source : Bold Ride / marcassus-sport.com