jeudi 3 octobre 2024

CLUB5A - SPORT AUTO - La course automobile Paris-Madrid en 1903... La course meurtrière

 

Nous ne ferons pas ici le récit exhaustif du déroulé de cette course qui s’annonçait comme un événement extraordinaire dans ce début de siècle plein d’effervescence de progrès techniques et de bouillonnement des esprits. Beaucoup de choses ont été déjà écrites. Mais à la suite de l’histoire des automobiles Charles Alexandre Brouhot récemment publiée qui abandonna la compétition après l’accident de sa voiture dans cette course j’ai souhaité faire le point sur au combien l’enthousiasme a conduit au tragique. 
En octobre 1902, l'Automobile Club de France décide de tenir une course automobile entre les deux capitales. Les inscriptions sont ouvertes à la mi-janvier et, rapidement, les principaux constructeurs s'inscrivent. Au total, 315 concurrents sont inscrits : prendront part au départ de la course 127 automobiles, 23 voiturettes et 47 motocyclettes. Il faut dire que les course entre capitales européennes étaient très prisées et préfigurait déjà de l’universalité de cette invention qu’était l’automobile. La première course étant Paris Berlin en 1901.
 Commencée le dimanche 24 mai 1903 à 3 h 30 du matin à Versailles et initialement prévue pour s'étendre sur trois journées, les 24, 26 et 27 mai, elle est arrêtée par les autorités avant son terme, à Bordeaux, en raison du grand nombre d'accidents. La traversée des villes est neutralisée. Les bolides doivent se frayer un passage sur des routes sans revêtement où il y a tellement de poussière que la « navigation » se fait par rapport aux arbres qui bordent et au milieu de spectateurs enthousiastes et inconscients du danger. Louis Renault atteindra 140 Km/h dans une descente avec ces conditions. Le vainqueur Fernand Gabriel sur son « torpilleur Mors », aura parcouru les 552 km à plus de 105 km/h de moyenne. 
Le premier accident survient au passage à niveau de la ligne de Paris à Tours, à deux kilomètres de Bonneval. La voiture 243, conduite par Porter, prend feu et le malheureux chauffeur, tombé en dessous, meurt carbonisé. Deuxième accident à Ablis : une automobile surprend une femme qui traverse la route et la tue sur le coup. 
À quelques kilomètres de Poitiers, (le troisième accident) la machine de Marcel Renault verse dans un fossé ; lui-même est projeté à six mètres. Il est transporté à Couhé-Vérac dans un état désespéré. Il décèdera quelques heures plus tard. Trois kilomètres après Angoulême, le coureur Touran sur Brouhot décolle d'un pont, provoquant la mort du mécanicien et de trois spectateurs : deux soldats et un enfant (le quatrième accident) Près de Montguyon, (le cinquième accident) à la Combe-du-Loup, devant Arveyres, M. Stead, conducteur du no 18, est mortellement blessé à la suite d'une collision avec la voiture 96. 
Le mécanicien de M. Stead est également blessé. À Arveyres, la voiture no 5, (le sixième accident) pilotée par Claude Loraine-Barrow, rencontre un chien, braque et vient percuter un arbre. Des deux hommes qui la conduisent, l'un, le mécanicien, est tué, l'autre, M. Loraine-Barrow, est dans un état désespéré. 


La voiture est en morceaux. Le chien a littéralement été réduit en bouillie. Lucien Lesna, sur motocyclette Peugeot, est victime d'un accident. Sa fracture du genou mettra un terme à sa carrière de cycliste (le septième accident) Devant cette hécatombe les autorités fort justement arrêteront la course. 
Les conséquences seront vers une nouvelle organisation en circuits fermés en en augmentant les conditions de sécurité qui se poursuivent encore aujourd’hui. On notera la 77 ème place de Madame Camille Du Gast sur une De Dietrich dont nous avons déjà retracé la vie de pilote.. 
Source : Paris – Madrid 1903 la course meurtrière.King Rose Archives

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Musée Peugeot : exposition d'anciens véhicules électriques...

Musée Peugeot : exposition d'anciens véhicules électriques Le musée de l’Aventure Peugeot retrace l'histoire du véhicules électriques de 1941 à 2010. 
 Les voitures électriques ont le vent en poupe ! Et, ça ne date pas d'aujourd'hui... Dès la fin du 19e siècle, les constructeurs se sont intéressés à l’électricité pour animer nos véhicules. Mais, la faible autonomie des batteries, qui étaient par ailleurs très lourdes et coûteuses à fabriquer, ont eu raison de ce mode de propulsion. Il est abandonné au profit du pétrole et des moteurs à combustion. Aujourd'hui, cette énergie fait son retour en force dans nos véhicules. 
 Peugeot, qui avait déjà proposé une mise en bouche autour de cette thématique aux visiteurs du Salon Rétromobile 2020, la met une nouvelle fois à l'honneur. Cette fois, cela se passe au sein du musée de la marque à Sochaux (25). Du 4 juillet 2020 au 31 janvier 2021, venez découvrir l'exposition "Electrique" autour d'une collection de 8 véhicules. De l’électrique chez Peugeot dès 1902 Dès 1902, Peugeot étudie la possibilité d'intégrer dans des véhicules de livraison une motorisation électrique. 
Quelques exemplaires sont fabriqués, mais le projet est abandonné... Ce n'est qu'en 1941 que Peugeot commercialise officiellement son premier modèle à batteries. C'est la VLV. Le "Véhicule Léger de Ville" voit le jour durant l'occupation, alors que l'essence est rationnée. Ce mini-cabriolet biplace n'est produit qu'à 377 exemplaires jusqu'en 1946. Modèle auquel le constructeur au lion n'offrira pas de descendance directe. Il faudra patienter jusque dans les années 70/80 pour que Peugeot remette le couvert, sous pression du gouvernement français soucieux de développer cette filière. Avec Alstom et EDF, le constructeur décline des 104 (4 coupés et 3 fourgonnettes) puis sur des utilitaires J5 et J9 électriques. 
En 1983, débute un programme autour de la 205. Cette collaboration entre PSA et SAFT (batteries) fera naître le projet 106 Electric en 1993. La citadine, produite à 3.542 exemplaires entre 1993 à 2003, sera l'une des stars de l'exposition "Electriques". Voici les autres modèles exposés à ses côtés. Les modèles de l'exposition "Electriques" de Peugeot - Peugeot iOn Concept Il voit le jour en 1994. Ce "véhicule d’exploration" n'a pas grand chose avoir avec le modèle commercialisé depuis 2010. Cette dernière reprend trait pour trait ceux de la Mitsubishi i-Miev. - Peugeot TULIP concept En 1996, le constructeur imagine une série de 6 véhicules urbains rechargeables... par induction !
 On parle ici de l'ancêtre des Autolib, puisque les autos étaient destinées à être vendue aux collectivités locales dans le but d’être louées par les habitants. Le nom du Tulip est l'acronyme de "Transport Urbain Libre, Individuel et Public". - Peugeot Touareg Concept Avant que Volkswagen ne s'empare de cette appellation, Peugeot en avait fait l'usage pour l'un de ses concepts de tout terrain présenté en 1996 au salon de Paris. Il est doté d’un groupe électrogène qui permet aux batteries nickel/cadmium hydrure de se recharger de façon autonome. 
 Le musée de l’Aventure Peugeot retrace l'histoire du véhicules électriques de 1941 à 2010 dans une exposition qui débute le samedi 4 juillet 2020. Les voitures électriques ont le vent en poupe ! Et, ça ne date pas d'aujourd'hui... Dès la fin du 19e siècle, les constructeurs se sont intéressés à l’électricité pour animer nos véhicules. Mais, la faible autonomie des batteries, qui étaient par ailleurs très lourdes et coûteuses à fabriquer, ont eu raison de ce mode de propulsion.
 Il est abandonné au profit du pétrole et des moteurs à combustion. Aujourd'hui, cette énergie fait son retour en force dans nos véhicules. Peugeot, qui avait déjà proposé une mise en bouche autour de cette thématique aux visiteurs du Salon Rétromobile 2020, la met une nouvelle fois à l'honneur. Cette fois, cela se passe au sein du musée de la marque à Sochaux (25). 
Du 4 juillet 2020 au 31 janvier 2021, venez découvrir l'exposition "Electrique" autour d'une collection de 8 véhicules. De l’électrique chez Peugeot dès 1902 Dès 1902, Peugeot étudie la possibilité d'intégrer dans des véhicules de livraison une motorisation électrique. Quelques exemplaires sont fabriqués, mais le projet est abandonné... Ce n'est qu'en 1941 que Peugeot commercialise officiellement son premier modèle à batteries. C'est la VLV.
 Le "Véhicule Léger de Ville" voit le jour durant l'occupation, alors que l'essence est rationnée. Ce mini-cabriolet biplace n'est produit qu'à 377 exemplaires jusqu'en 1946. Modèle auquel le constructeur au lion n'offrira pas de descendance directe. Il faudra patienter jusque dans les années 70/80 pour que Peugeot remette le couvert, sous pression du gouvernement français soucieux de développer cette filière. Avec Alstom et EDF, le constructeur décline des 104 (4 coupés et 3 fourgonnettes) puis sur des utilitaires J5 et J9 électriques. En 1983, débute un programme autour de la 205. 

Cette collaboration entre PSA et SAFT (batteries) fera naître le projet 106 Electric en 1993. La citadine, produite à 3.542 exemplaires entre 1993 à 2003, sera l'une des stars de l'exposition "Electriques". Voici les autres modèles exposés à ses côtés. Les modèles de l'exposition "Electriques" de Peugeot - Peugeot iOn Concept Il voit le jour en 1994. Ce "véhicule d’exploration" n'a pas grand chose avoir avec le modèle commercialisé depuis 2010. Cette dernière reprend trait pour trait ceux de la Mitsubishi i-Miev. - Peugeot TULIP concept En 1996, le constructeur imagine une série de 6 véhicules urbains rechargeables... par induction ! 
On parle ici de l'ancêtre des Autolib, puisque les autos étaient destinées à être vendue aux collectivités locales dans le but d’être louées par les habitants. Le nom du Tulip est l'acronyme de "Transport Urbain Libre, Individuel et Public". - Peugeot Touareg Concept Avant que Volkswagen ne s'empare de cette appellation, Peugeot en avait fait l'usage pour l'un de ses concepts de tout terrain présenté en 1996 au salon de Paris. Il est doté d’un groupe électrogène qui permet aux batteries nickel/cadmium hydrure de se recharger de façon autonome. - Peugeot e-doll Concept L’e-doll Concept est présenté au salon de Paris en 2000, c’est un concept-car de la collection des "City Toyz".
 Il est animé par deux moteurs en provenance directe du scooter Peugeot Electric. - Peugeot BB1 Le concept-car BB1 est présenté au salon de Francfort en 2009. Cette auto de seulement 2,5m de long, peut accueillir quatre personnes. Elle est propulsée par un moteur électrique de 20ch et ses instruments de bord sont alimentés par des cellules photovoltaïques. 
Son poids se limite à 600 kg. - Peugeot EX1 Ce concept sportif 100% électrique a été présenté en 2010. C’est un roadster biplace à l’allure futuriste. Il est équipé de deux moteurs électriques, qui au total, développent 340 ch. L'EX1, qui profite d'une transmission intégrale, compte plusieurs records de vitesse aux mains de l'aventurier Nicolas Vanier. 
Source : autoplus.fr/-.Leblogauto

mercredi 2 octobre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - SANS LES BENEVOLES UNE ASSOCIATION N'EST RIEN....BOURSE MOTOS DE BRAM 2016...


 

CLUB5A - HUMOUR MOTO - TU SAIS POURQUOI ON T'ARRETE ??


 

CLUB5A - RETOUR SUR IMAGE - Les Cocottes du Désert - Rallye des Gazelles...

Le Rallye Aïcha des Gazelles est partenaire d'une grande opération solidaire qui vise à offrir dans 115 hôpitaux, un Noël aux enfants atteints d'un cancer.
Depuis plusieurs années, Les Gazelles, constructeurs et médias s’associent et courent ensemble pour une cause humanitaire.
Un concept créé par le Rallye Aïcha des Gazelles du Maroc qui donne lieu à un classement spécifique sur l’événement (en plus du classement général). 

Les équipages inscrits au challenge auront deux défis à relever :
- Promouvoir les couleurs d’une association humanitaire en médiatisant les messages et les actions de celle-ci dans le but de la faire connaître et de lui permettre de gagner une importante dotation (15 000 euros).
- Défendre les couleurs du média qui amène la visibilité en devenant le meilleur ambassadeur de ses partenaires et en figurant honorablement au classement spécifique « Wave Relais Médias ». 

...On croit que c'est facile mais ici, c'est le désert, pas de boulangerie à dix minutes de voiture, y a rien, rien que les étoiles si nombreuses parce qu'il n' y a pas de lumière autour, si nombreuses dans ce ciel d'encre qu'on est obligé de passer une heure le nez en l'air pour se rendre compte que la Croix du Sud est au dessus de l'Australie en ce moment, rien que le silence à peine troublé par une brise intermittente...
Source : Alexandra Bossy

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LES BELLES DES ANNEES FOLLES !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Pebble Beach... l’Amérique primée grâce à la France....

 

Le Best of Show de cette nouvelle  édition du concours californien a été remporté par l’unique Duesenberg carrossée par Jospeh Figoni. Peu importe si, comme souvent à cette période de l’année, le soleil a brillé par son absence dans ce coin du Pacifique, la 71e édition du concours d’élégance de Pebble Beach restera un grand cru. La manifestation californienne a marqué le coup d’envoi des festivités des 100 ans des 24 Heures du Mans. Pour l’occasion, Pierre Fillon, président de l’Automobile Club de l’Ouest, mais également Henri Pescarolo, Jacky Ickx et Tom Kristensen, respectivement quadruple, sextuple et nonuple vainqueur de l’épreuve, avaient effectué le déplacement. 
De nombreuses voitures qui se sont illustrées dans la Sarthe depuis 1923 étaient présentes, que ce soit dans le cadre du Tour d’Elegance organisé le jeudi précédent le concours d’élégance ou qu’elles concourent dans l’une des catégories du concours d’élégance ou qu’elles soient engagées dans des courses du meeting de Laguna Seca. 
Par ailleurs, en prélude au concours du dimanche, point d’orgue de la semaine de Pebble Beach, l’horloger Rolex, partenaire officiel de la plupart des manifestations qui se succèdent pendant une semaine dans la région de Monterey, remettait son propre trophée baptisé «The Quail, a Motorsport Gathering». Cette année, le prix était décerné à une Jaguar Type D de 1956. 
L’événement le plus attendu de la semaine de Pebble Beach était bien entendu le concours d’élégance organisé le dimanche sur les pelouses du golf, en bordure du Pacifique. Un an après le sacre de la Mercedes 540 K Autobahn Kuriers de 1938 appartenant au collectionneur Arturo Keller, les juges ont sacré une voiture américaine. Cela n’était pas arrivé depuis 2013. L’unique Duesenberg J habillée en torpédo en 1932 par le carrossier français Joseph Figoni et appartenant aux époux est sortie vainqueur d’une lutte serrée avec la Duesenberg J Graber Cabriolet d’Emily Mann et deux Talbot Lago, le coupé T150C-SS de Fritz Burkard habillé par Figoni & Falaschi et la T26 Grand Sport de Peter Mullin exécutée en cabriolet par Farina après la guerre. Récemment restaurée, la Duesenberg J des époux Anderson est le symbole de la suprématie de la carrosserie française dans l’entre-deux-guerres. 
La principale originalité de ces lignes monumentales réside dans le traitement de la poupe, semblable à l’étrave d’un bateau. Après avoir participé à un Paris-Nice, le torpédo américano-français avait été livré au magnat péruvien du sucre Antonio Chopitea. C’est au début des années soixante que la Duesenberg avait pris le chemin des États-Unis. Par ailleurs, le trophée de la voiture de sport a été décerné à la Ferrari 250 GT carrossée par Zagato en 1957, celui du Gran Turismo au concept car Autobianchi 112 de 1969. Cette étude réalisée par Bertone était présentée par l’Automotoclub Storico Italiano de Turin. 
 Source : Sylvain Reisser - le figaro.fr - In the Garage with Steve Natale-

mardi 1 octobre 2024

CLUB5A - HUMOUR MOTO - NE VOUS FIEZ PAS AUX APPARENCES !!


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - VOUS DESIREZ FAIRE UNE PAUSE .... MAIS IL N'Y PAS DE BANC PUBLIC ...NOUS AVONS DES SOLUTIONS !!


 

CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - LA PEGASO Z-102-B.S 3.2 COMPETITION SUPER TOURING 1952...CELLE QUI DEVAIT ETRE LA PLUS RAPIDE DU MONDE !!

 

Pegaso Z-102 BS 3.2 
Compétition Spider Touring 1952 
C’est dans les années 40 que l’Etat espagnol a créé le consortium industriel ENASA spécialisé dans les poids lourds en utilisant les anciennes usines de la célèbre marque de prestige Hispano Suiza. Brillant ingénieur, son directeur, Wilfredo Ricart, n’est pas un inconnu puisqu’il a été responsable technique chez Alfa Roméo.
 Dans un contexte de reprise économique et industrielle, Ricart parvient à convaincre le conseil d’administration de l’ENASA de construire une voiture de prestige qui doit être « la plus rapide du Monde », et sera une vitrine technologique pour toute l’Espagne. Ayant présenté sa première voiture sous la nouvelle marque « Pegaso » au Salon de Paris 1951, la firme souhaite s’engager en compétition dès l’année suivante. 
D’abord avec des coupés de série, puis en concevant des spiders spécifiquement destinés à la course dont le premier exemplaire dessiné par Touring apparaît au Salon de Paris 1952. Le moteur Pegaso, un V8 aluminium à double arbres à cames en tête, est toujours en position avant dans sa version 2,5 litres type BSS avec compresseur à deux étages pouvant développer une puissance d’environ 300 chevaux. Sur la base de ces spiders, Pegaso va imaginer une carrosserie fermée dans un style catamaran à roues carénées. 
Le cockpit est aménagé dans le flanc droit de la carrosserie et recouvert d’une grande surface vitrée. Malheureusement le premier Coupés prend feu à l’usine quelques jours avant son départ pour la France. Pegaso prépare en catastrophe deux 102 classiques (sans compresseur) qui prennent part aux essais, mais la voiture de Juan Jover est accidentée au virage du Tertre Rouge. 
Les deux machines déclarent forfait pour la course car, comble de malchance, la seconde voiture, châssis n°0102.153.0155, rencontre des problèmes de freins. C’est elle qui a été exposée au salon Rétromobile. Les Pegaso auront manqué du minimum de préparation indispensable pour espérer bien figurer dans les grands rendez-vous internationaux. Après s’être cantonné dans les épreuves locales à partir de 1955 la firme espagnole va abandonner la compétition avant de fermer définitivement son département voitures particulières après 1957. 
Source : Photo Salon Rétromobil-Les Passionnés de l'histoire de l'Automobile-Przemek Michalak

lundi 30 septembre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - UN VRAI MOTARD NE REGARDE PAS LA METEO ...CE N'EST PAS FELIX QUI NOUS DIRA LE CONTRAIRE ...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - Ah ben elle va marcher beaucoup moins bien... forcément. !!


 

CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - La Mercedes-Benz 300SC de 1956...La luxueuse...

 

L’intérieur de la Mercedes-Benz 300SC 1956 est connu pour son design luxueux et élégant, reflétant le summum de l’artisanat automobile de son époque. Voici quelques caractéristiques clés de l’intérieur : 
1. **Matériaux de haute qualité** : L’intérieur est fabriqué à partir de matériaux de qualité supérieure, comme des garnitures en cuir, des garnitures en bois et des garnitures chromées, ce qui met l’accent sur le luxe et le confort. 
2. **Conception du tableau de bord** : Le tableau de bord est généralement caractérisé par une disposition simple mais fonctionnelle, souvent ornée d’élégantes jauges et commandes analogiques. 

3. **Confort et espace** : Les sièges sont bien rembourrés et conçus pour le confort pendant les longs trajets, offrant amplement d’espace pour les passagers. 
4. ***Souci du détail** : Les détails tels que les panneaux de porte, les motifs de couture et les garnitures sont méticuleusement conçus, mettant en valeur le dévouement de Mercedes-Benz envers la qualité et l’artisanat. 
5. **Expérience de conduite** : L’intérieur est conçu pour améliorer l’expérience de conduite, offrant un mélange de confort, de style et de fonctionnalité qui a été avancé pour son époque. Dans l’ensemble, l’intérieur de la Mercedes-Benz 300SC 1956 incarne le luxe classique et reste très apprécié des amateurs de voitures anciennes pour son design intemporel et son attention aux détails. 
Source : Fair Derby

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - PAUSE PHOTO DEVANT LA VOITURE FAMILIALE !!


 

CLUB5A - MOTO DE LEGENDE - LA BMW C1 ...L'HYBRIDE AUTO-MOTO .....

 

Essai BMW C1.....Roulez couverts Constructeur auto/moto propose moto sans port du casque mais avec ceinture de sécurité. Le BMW C1 représente cet hybride auto-moto, issu d'un constructeur connu pour le haut de gamme sur chacun des secteurs. Et pour rester dans le concept, le BMW C1 était présenté à la presse en avril 2000 au château de Versailles... 
 Du C1, on en remarque tout d'abord le toit et la carrosserie englobante... puis l'essuie-glace et les ceintures de sécurité. Ces dernières permettent de s'affranchir du casque et autre vêtement de sécurité. A tel point, que le C1 est et reste le premier et seul "scooter" homologué pour ne pas entraîner le port obligatoire du casque. A tel point que la police nationale a mis de nombreux mois a s'y habituer, après avoir distribué maintes contraventions pour non port du casque. Est-ce encore vraiment un scooter d'ailleurs ? 
On ne peut en effet l'enjamber comme une moto, mais on rentre plutôt dans l'habitacle. Une fois à "l'intérieur", on déverrouille la béquille centrale par un levier central, sans aucun effort. 
On pourrait alors s'attendre à ressentir tout le poids de la structure mais il n'en est rien. Malgré ses 185 kg à sec, le C1 se prend en main comme un scooter standard. Le regard se pose alors sur le tableau de bord, plus proche de celui d'une voiturette que d'une moto. Les automobilistes ne perdront pas leurs repères, y compris par l'essuie-glace à deux vitesses qui se commande au guidon. Contact ! C'est bien un 125 cm3, discret. Le pot catalytique absorbe bien le bruit. On accélère, prudemment, avec cette drôle d'impression peur rassuré de savoir comment va se comporter la bulle roulante. Mais le C1 se prend en main facilement. 
Il accélère doucement et ne risque pas de surprendre par sa nervosité, même poignée dans le coin, pour atteindre ses 103 kilomètres/heure maximum. Le petit monocylindre d'origine rotax tourne convenablement pour distiller ses 15 chevaux. Premier virage, on s'incline... et le C1 s'incline à droite puis à gauche dans le pif paf. La technique est là. Il ne faut surtout pas essayer de virer avec le guidon, mais plutôt de se pencher et de travailler avec le poids du corps. Sous cette condition, il donne même l'impression de prendre un angle impressionnant, les montants du pare-brise faussant les repères habituels. Et la sécurité ? 
Et bien, afin de fournir un essai vraiment exhaustif, ma co-équipière a aussi testé la chute à 40 km/h, sans rien sentir ! Les ceintures de sécurité ont joué leur rôle, maintenant le corps et la tête dans l'habitacle. Les sabots latéraux se sont arrachés pour absorber le choc, sans autre conséquence sur la carrosserie. Bref, les chutes, s'il doit y en avoir, seront moins coûteuse que pour une moto ! Il faut juste avoir le bon réflexe de garder les jambes et les bras bien à l'intérieur. Le point différenciateur se situe surtout au niveau du confort avec un excellent point pour le dosseret et l'appuie-tête qui autorisent une conduite droite, bien calé. 
Par contre, en cas de froid, l'habitacle entraîne des remous à l'intérieur, qui vous frigorifient la tête, de façon plus importante que si vous étiez en mobylette à la même vitesse ! Et vous remarquerez sans doute que dès qu'il fait froid, bon nombre de conducteurs enfilent leur petit bonnet. Le BMW C1 finit de briller par ses options : ABS, bagagerie complète, système de navigation Carin relié à un ordinateur de bord, lecteur cassette et de CD pour rouler en musique.. autant d'options qui raviront l'automobiliste fortuné. 
 Conclusion : Le BMW C1 convaincra facilement les automobilistes à qui il offre confort, sécurité et une excellente protection contre les intempéries. On lui reprochera surtout son prix, qui à plus de 40.000 francs le rapproche plus du prix d'une voiture que d'un scooter traditionnel. Et dernier point par rapport à un scooter ou une moto traditionnelle, le BMW C1 n'autorise aucun passager.
Source : lerepairedesmotards.com-Apex Race