dimanche 14 juillet 2024

CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION - Mon auto va-t-elle redémarrer après un stationnement prolongé ?

Panne de batterie, fuite d’huile, pneus dégonflés, scénarios que les automobilistes veulent à tout prix éviter. Le moteur ne démarre plus ou il émet une sonorité inhabituelle ; les pneus sont dégonflés et avachis ; une mare d’huile ou d’eau s’est déclarée sous la voiture. Ce sont des scénarios que les automobilistes veulent à tout prix éviter.
Chacun le sait: une voiture qui ne roule pas se dégrade. Si l’on n’y prend pas garde, les véhicules pourraient subir des dommages à la suite de leur immobilisation prolongée. Pour se prémunir de ce genre de désagrément et maintenir leur bon état de marche, voici quelques précautions d’usage à suivre. Du fait d’une immobilisation prolongée, la batterie est le premier organe du véhicule qui peut se trouver détérioré. Du fait d’une immobilisation prolongée, la batterie est le premier organe du véhicule qui peut se trouver détérioré. C’est particulièrement vrai pour les modèles récents bardés d’électronique: les accumulateurs peuvent se décharger très vite. 
Pour éviter de vous retrouver en panne et s’assurer que le moteur s’ébroue au premier coup de clé, vous pouvez soit débrancher la batterie - la borne négative suffit -, soit brancher la batterie à un mini-chargeur (maintien de charge) alimenté sur le secteur. Dans le cas d’un véhicule moderne, nous conseillons la connexion d’un maintien de charge car le débranchement d’une cosse de batterie va couper l’alimentation du calculateur électronique de la voiture et remettre à zéro l’ordinateur de bord. Les modèles dotés d’un accès main libre avec reconnaissance de la clé électronique pourraient connaître d’autres complications. 
S’agissant d’un véhicule 100 % électrique doté de batterie lithium-ion, il faut s’assurer que le niveau des accumulateurs ne descend pas sous les 10 %, ce qui aurait pour conséquence de mettre en défaut les contrôleurs électroniques des cellules et des modules dont la mission est justement de vérifier l’état de la batterie. L’inverse est également vrai: maintenir la charge en permanence et stocker 100 % d’énergie est à éviter. Cela entraînerait un vieillissement prématuré des cellules. Il est conseillé de veiller à ce que le niveau de charge se situe entre 50 et 75 %. Les véhicules électriques sont également sensibles aux amplitudes de température. 
Un mercure trop bas affecte la capacité de la batterie. Dans la mesure du possible, il serait souhaitable que votre véhicule zéro émission puisse trouver refuge dans un parking fermé. Dans le cas de batteries lithium-métal-polymère, qui équipent notamment les Bolloré Bluecar et Citroën e-Mehari, les dispositions à prendre sont différentes. Ces modèles doivent être branchés en permanence pour maintenir une température de l’ordre de 70 degrés. Deux jours sans branchement suffisent à vider la batterie. La mémoire du pneu...  Tout le monde n’a pas un fil à la patte. 
Pour les véhicules à moteur thermique, il est préconisé de faire tourner régulièrement le moteur pendant plusieurs minutes pour maintenir le niveau de la batterie. Cette dernière opération est de toute façon impérative pour maintenir le bon état des organes mécaniques. Au moins une fois par semaine et pendant un bon quart d’heure, de manière à ce que le moteur atteigne sa température de fonctionnement et que les fluides circulent et assurent une parfaite lubrification de l’ensemble des pièces. 
Les systèmes de dépollution modernes n’apprécient guère de ne fonctionner que quelques minutes à froid. Après avoir pris soin de consulter le manuel de bord, ce sera l’occasion de vérifier le niveau d’huile et d’eau de votre moteur. Pensez aussi à desserrer le frein avant (engager une vitesse) afin d’éviter que les garnitures collent. Pour les véhicules à moteur thermique, il est préconisé de faire tourner régulièrement le moteur pendant plusieurs minutes pour maintenir le niveau de la batterie. Si votre véhicule dispose d’une climatisation, n’oubliez pas de la faire fonctionner. Cela va permettre une bonne lubrification du compresseur et de tous les joints, car l’huile est véhiculée par le fluide frigorigène. À lire aussi : Restaurer son véhicule chez soi Enfin, il faudra veiller à surgonfler les pneumatiques en ajoutant autour de 0,2 à 0,5 bar.
En raison de l’immobilisation du véhicule pendant plusieurs semaines, ceux-ci vont nécessairement perdre un peu de pression. Si l’immobilisation venait à se prolonger au-delà d’un mois, il est préconisé de gonfler les pneumatiques à 3 ou 4 bars de manière à éviter qu’ils se retrouvent presque à plat. Cela entraînerait une trop grande déformation de la bande de caoutchouc. Or, ce que l’on sait moins, c’est que le pneu possède une mémoire. Il se souvient ainsi d’avoir été malmené. 

Un pneu qui a subi un plat ne retrouve jamais sa forme originelle. Dans ce cas, il sera indispensable de procéder à leur remplacement. Les deux ou trois-roues motorisés ne sont pas exemptés des opérations de maintenance. Attention toutefois, la batterie nécessite un maintien de charge adapté. L’ampérage ne devra pas excéder 5 A. Un tour de clé ou un coup de kick une fois par semaine sera également bienvenu pour préserver les organes de sa machine.
Source : lefigaro.fr -Deadmaus Gaming

CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ? L'acteur Steve McQueen était aussi un passionné de moto et de voitures de course....

 

Steve McQueen a fait partie de l'équipe des États-Unis le 01 juin 1964 à la 39e Journée internationale des six avec le numéro « 278′′ sur sa moto Triumph Trophy TR6C 750 ISDT de 1964 McQueen a également participé à des courses de moto tout-terrain, généralement en train de diriger un BSA Hornet. Il était également prêt à co-piler dans un Triumph 2500 PI pour l'équipe britannique Leyland lors du rallye Londres-Mexique de 1970 mais il a dû refuser en raison d'engagements cinématographiques. 
Sa première moto tout-terrain était une Triumph 500 cc achetée à Ekins. McQueen a couru dans de nombreuses meilleures courses hors route sur la côte Ouest, dont la Baja 1000, le Mint 400 et le Grand Prix Elsinore. En 1964, McQueen et Ekins faisaient partie d'une première entrée officielle de l'équipe américaine dans la catégorie Silver Vase de l'International Six Days Trial, une épreuve de moto tout-terrain de type Enduro qui s'est déroulée cette année-là à Erfurt, en Allemagne de l'Est. Sa collection de motos classiques comptait environ 100. Chaque fois que possible, McQueen faisait ses propres cascades de moto. Bien que le fameux saut par-dessus la barrière dans The Great Escape ait été joué par le double cascadeur Bud Ekins, McQueen a fait lui-même la plupart du temps du film. 
Source : Irish Motorcycle Association

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CLUB5A - REPORTAGE AUTO - LE PHÉNOMÈNE "SORTIES DE GRANGES" ...OBJECTIF : TROUVER LA PERLE RARE !!!!

Tout le monde ne peut pas trouver une Ferrari 250 GT California Spider dans une grange, ça se saurait. Mais les sorties de grange sont toujours aussi fréquentes et de plus en plus présentes lors des ventes aux enchères. Avant tout : pourquoi la sortie de grange fascine ? Parce que c’est bien la question que tout le monde se pose. La sortie de grange fascine bien plus que l’auto achetée démontée et entièrement restaurée (même si elle ne manque pas d’intérêt). 
Avec une auto sortie de grange on touche une histoire. Une histoire figée, une capsule temporelle. Même si certaines collection sont connues de beaucoup, à l’instar de la collection Baillon, encore elle, une sortie de grange c’est l’aboutissement d’une chasse au trésor. On va enfin pouvoir arracher une auto à un sommeil prolongé pour la remettre sur la route. Ainsi on a un morceau de cette histoire. 
De celle d’un collectionneur. De celle d’une collection à laquelle l’auto sera attachée à tout jamais. nous avons pas mal d’exemples différents pour étudier les sorties de granges récentes passées aux enchères. Sur les ventes dont on vous parle là, elles sont presque toutes dues à des successions. Le plus souvent les descendants sont face au fait accompli. Leur père, leur oncle ou leur cousin n’on jamais voulu vendre toute la collection… et toutes ces autos prennent de la place. 
Les ventes aux enchères sont alors une solution “aisée” puisque les maisons sont chargées de tout organiser. Les vendeurs n’ont pas à aller à la chasse à l’acheteur et bénéficient de l’exposition qu’offrent ces ventes. De plus, quelques reportages télé ont mis en lumière les maisons de vente dans cet exercice et permettent d’entretenir le phénomène. On l’a dit, découvrir une Ferrari 250 n’est pas commun dans une sortie de grange. Et parmi ces collection on remarque que bien souvent ce sont des collections d’auto “populaires”. 
En tout cas pour la majorité des lots. La première a explosé toutes les attentes. Les autres autos étaient souvent sportives mais dans un état de décomposition avancé… La seconde était vraiment au dessus de la mêlée puisque seule une Porsche 356 et une Jaguar Type E on dépassé les 50.000 €… quand la lambo a atteint les 560.000 € ! Pour certains observateurs, c’est le problème de ces ventes aux enchères. Les prix s’envolent, parfois de façon inexpliquée. Après, on en revient au pourquoi des ventes aux enchères. 
C’est le travail des commissaire priseurs, de leurs spécialistes et des équipes de communication qui travaillent sur la vente de faire monter la sauce. Ils touchent une com’, certes, mais leur client est avant tout le vendeur. Et pour que le vendeur soit satisfait, il faut que les autos se vendent cher ! C’est grâce à cela qu’ils auront d’autres clients… et proposeront d’autres sorties de grange. 
Et bien en fait… oui. Les maisons habituées à vendre des autos sortie de grange se voient cataloguées comme telles par les vendeurs. Cela ne les empêche pas de proposer d’autres belles autos lors de leurs ventes aux enchères mais ce sont elles qui seront les premières sollicitées. Un bon moyen de le savoir sera tout simplement de guetter les prochaines ventes. On verra quelles maisons parviendront à nous faire rêver avec d’autres belles collections… 
Source : newsdanciennes.com-Artcurial

samedi 13 juillet 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - VIEILLES MOTOS ET VIEUX TACOTS ...UN MELANGE EXPLOSIF POUR PASSER UNE SUPER JOURNEE ....


 

CLUB5A - HUMOUR MOTO - UN MOTARD A LA MASSE !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - La Delage V12 auto disparue en 1937 va être reconstruite !

La Delage V12, auto disparue en 1937, va être reconstruite ! 
 La Delage V12 était la première auto à recevoir le pare-brise Vutotal. Cette auto de course novatrice n’a jamais couru et a été perdue. Et bien en ce moment même se prépare la résurrection de cette auto mythique. La Delage V12 en bref La Delage V12 va naître de la volonté de Louis Delage d’engager une auto au Grand Prix de l’ACF 1937 qui se courra à Montlhéry. 
Il confie le projet à deux brillants ingénieurs, Albert Lory et Jean Andreau. Le premier va concevoir la partie mécanique, avec un V12 à 60° à arbre à cames central développant entre 150 et 200 ch, relié à une boîte cotal. Le second est un brillant aérodynamicien qui va dessiner les lignes de l’auto. Sa signature c’est l’aileron de requin, que l’on trouve aussi sur la 402 sur laquelle il a travaillé. L’auto est donc très profilée et même son soubassement se retrouve caréné. 
Pour la carrosserie on fait donc appel à Labourdette qui l’équipe de son pare-brise Vutotal. Elle est présentée au Salon de Paris puis elle va être amenée pour les essais du Grand Prix de l’ACF. Malheureusement elle est accidentée sur l’autodrome et ne prend pas part à la course. 
Elle va être réparée et de nouveau exposée au salon de Paris l’année suivante, sur le stand de Labourdette cette fois. Le projet actuel L’an dernier déjà les Amis de Delage avaient montré les prémices du projet. Mené par l’association mais aussi les écoles des Arts et Métiers, il est très semblable à celui du Scrabé d’Or. 
Sauf qu’il ne s’agit pas d’une restauration mais d’une recréation, presque sans éléments de base ! 
 Depuis le travail a commencé sur les campus des Arts et Métiers de Metz, d’Aix en Provence et de Chalons en Champagne. Les éléments qui servent à la modélisation sont minces : une miniature pour certaines proportions, des photos d’époque, un carnet de croquis pour le V12, une maquette de soufflerie et quelques éléments mécaniques identifiés. 
Sur ce dernier point on sait ainsi avec quasi certitude que c’est un châssis Delahaye de 2.95 m d’empattement (celui des 135 Longues) qui servit à l’époque. La boîte Cotal a par ailleurs été utilisée sur d’autres modèles contemporains de la Delage V12, elle servira de base. Les étapes du projet Delage V12 La modélisation de la carrosserie et du moteur est en cours. Evidemment ces parties sont longues car certaines dimensions doivent être devinées plus que mesurées. 
Néanmoins l’équipe espère qu’à la fin de l’année les formes définitives de la carrosserie, et donc de son armature bois seront définies. Même chose pour les vitrages, mais le concept Vutotal a heureusement été partagé et les formes sont les derniers points de blocage. L’année prochaine, on attaquera la réalisation, grâce à des partenaires de choix, tous spécialistes dans leur domaine. Beaucoup d’éléments du V12 seront réalisés par la fonderie de la Varenne qui peut produire des pièces en petites séries, voir à l’unité. Le radiateur sera réalisé par le spécialiste Touraine Radiateur établi à Loches. 
Ils seront complétés par les moyens du Groupe Bertrandt qui aidera également à l’assemblage et aux premiers essais du moteur. Concernant le châssis, la carrosserie et la structure en bois sur laquelle elle repose, c’est Auto Classique Touraine, spécialiste des grandes marques françaises de l’époque qui sera à la manœuvre. Enfin pour la couleur de l’auto c’est le spécialiste Glasurit qui piochera dans son catalogue de centaines de milliers de couleurs pour fournir la bonne. 
Tâche ardue car on ne sait pas à l’heure actuelle si l’auto était unie ou bicolore (au Grand Prix de l’ACF 1937). En tout cas la marque de BASF utilisera tous ses moyens techniques pour déterminer le bon bleu (car il semble que la Delage V12 ait été bleue) à appliquer sur la carrosserie. 
Source : newsdanciennes.com-Jay Leno's Garage-Singular's TV

CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ? .... LA 250cc JAWA A ETE EXPORTEE DANS PLUS DE 120 PAYS A TRAVERS LE MONDE....

 

L'acteur canadien Donald Sutherland pose avec sa Jawa 250 tchécoslovaque. 
En 1974 la Jawa 250 a été exportée dans plus de 120 pays à travers le monde, même le Dalaï Lama conduisait l'un d'entre eux. 
La Jawa 250 est l'une des plus anciennes séries de motos au monde et est toujours en production depuis 1935. 
Source : Memoirs of History

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CLUB5A - REPORTAGE AUTO - PORTRAIT DE MICHEL HOMMELL… L’HISTOIRE DU PARCOURS D’UNE LÉGENDE VIVANTE DE L’AUTOMOBILE EN FRANCE. !!

Alors qu’il vient de vendre son titre amiral Auto Hebdo et de fêter ses 76 printemps, étant né le 20 février 1944 à Nancy, l’éditeur de la Presse automobile Michel Hommell, mérite en ces temps de confinements et où les fans ont bien du temps libre, qu’on s’attarde sur son incroyable histoire et raconte son cheminement, qui l’a mené en 50 ans, au titre d’éditeur N°1 de la presse automobile Française (Auto Hebdo-Échappement-Berlinette-Mille Miles- Gazoline-Super VW-Auto Passion- Speedster-Nitro-Auto Modélisme) pour ne citer que les plus connus. Sans parler de la création son sensationnel Musée automobile de Lohéac en Bretagne, le merveilleux et exceptionnel Manoir de l’Automobile ! 
Lequel dispose de sa piste de roulage privé ! Michel Hommell ? Tout simplement un homme passionné, brillantissime, attachant, simple, assurément … une légende vivante ! Et un sacré bosseur aussi et surtout qui a démarré chez lui en Lorraine avec… trois francs, six sous en poche… Né dans une famille tout à la fois, de pharmacien-son grand-père paternel-et d’agriculteur-son père- Michel a donc été élevé dans la ferme familiale, située à Tomblaine aux portes de Nancy, où se trouve le célèbre Stade Marcel Picot du club de l’ASNL, qui a vu débuter un certain Michel Platini. Avec le bac en poche et son service militaire effectué, il se lance en 1965 dans la vie professionnelle et ouvre en compagnie de Michel Hublet, une petite imprimerie à Nancy, Impregraph. 
Il rencontre alors et épouse une jolie blonde, Marie José Marx qui deviendra ensuite la belle-sœur de Jean Ragnotti, Jeannot épousant, lui, sa sœur Elisabeth ! Ses débuts dans le sport automobile remontent à cette même année 1965, où il débute au Rallye du Printemps avec son copain Patrick Diehl, épreuve qu’ils disputent au volant d’une Renault Dauphine 1093. Un modèle très prisé à l’époque ! Un an plus tard, le jeune Lorrain qui a pris gout à cette discipline qu’est la compétition, apprend et découvre la création de la célèbre série pour toute sa génération, celle de l’inoubliable ‘Coupe R8 Gordini’, que lancent conjointement, Bob Sicot, le responsable du service course de Renault et ce, avec l’aide d’un jeune journaliste, Alain Bertaut de la revue l’Action Automobile, propriété de l’éditeur Paul Dupuy. Il s’y engage après avoir acquis une ‘Gord’ accidentée qu’il retape, restaure, prépare et repeint en… blanc et ce alors qu’elles sont toutes ‘ bleu de France’ ! Explication que fournit dans l’excellent bouquin qu’il lui a consacré notre confrère, Christian Courtel : « Tout simplement parce que Michel avait déniché un lot de peinture blanche, bon marché… » Il dispute donc les deux saisons 1966 et 1967. 
Sa toute 1e se déroulant à la veille du GP. de France à Reims, sur le Circuit de Gueux le 3 juillet 1966, remporté par l’Australien Jack Brabham. Seul pilote Français au départ Guy Ligier, se classant 9e au volant d’une Cooper-Maserati. Avant qu’une semaine plus tard, Hommell découvre le tracé des Essarts à Rouen. Deux premières expériences qui se soldent malheureusement par deux abandons ! Ainsi va la vie… des débuts hélas contrariés! 
Mais qu’importe, la passion est la et bien là ! Michel Hommell finira par obtenir très vite lors de l’épreuve suivante son tout premier podium – une 3e place- sur le petit tracé Nivernais de Magny Cours, qu’avait créé en 1961, l’éleveur Jean Bernigaud, au cœur des pâturages de ses Charolais… 
 Un an plus tard, en 1967, il signera et décrochera avec sa Gordini, LA seule et unique victoire de sa jeune et courte carrière, sur le circuit Paul Armagnac de Nogaro, dans le Gers. Fin 1968 et après trois saisons, il se décide de se retirer avec à son jeune palmarès, un succès et dix podiums, retrait décidé pour se consacrer au lancement de son magazine automobile, qu’il nomme ÉCHAPPEMENT. A l’époque, les magazines consacrés à la compétition automobile (Sport Auto-l’Automobile-Virages et Champion) évoquent pas ou peu, les courses nationales. Seuls, l’Action Auto et Moteurs, deux titres du groupe Excelsior de Paul Dupuy qui la soutiennent, parlent naturellement de la Coupe Gordini ! 
 Du coup, aux côtés des prospectus et autres cartes de visite, la petite imprimerie de la Rue des Fabriques à Nancy, sort le 1er février 1968 ‘ÉCHAPPEMENT. Magazine faisant la part belle au tourisme, aux loisirs et bien sûr… au sport auto ! Un jeune horloger qui au fil des ans deviendra LE photographe incontournable sur les circuits Français, Adolphe Conrath, rejoint la bande de potes, où se trouvent maintenant le publicitaire Gérard Lips, Dany Hindenoch -futur Attaché de Presse de l’écurie Ligier – et Jean Pierre Jarier, futur grand pilote, lui, croisé sur les paddocks de la ‘Gord’ et qui parviendra à briller, devenant Champion d’Europe de F2, et parvenant au sommet et à courir en GP F1… 
Et qui en cette année 68, devient le ‘Rédac-Chef ! Michel explique dans le livre de Courtel : « Lancer ÉCHAPPEMENT, fut quand même une aventure téméraire. » Voilà, vous connaissez désormais le parcours et le cheminement du Groupe de Presse Michel HOMMELL. Lequel lancera plus tard en 1976, l’hebdomadaire de la compétition automobile internationale, parlant de toutes les disciplines et qu’il nommera tout simplement… ‘Auto Hebdo’, fort logiquement. Suivront ensuite au début des années 80, un magazine 100% consacré à la Formule 1 et qu’il lance en partenariat avec son ami l’autre Michel, le regretté Michel Köenig. Le Mag ‘Grand Prix’. À titre personnel et après avoir organisé avec mon compère Philippe Debarle, la toute première course de dragsters en France à l’automne 80, sur la ligne droite des stands du Circuit du Mans, avant de récidiver au Paul Ricard, à Albi, puis ensuite à Monza, avec l’ami Hommell, nous lancerons ensemble en mai 1981, le magazine Nitro ! Ensuite, Michel Hommell deviendra tout simplement… constructeur automobile dans une ancienne laiterie industrielle de Lohéac, en créant avec Gilles Dupré, sa berlinette qu’ils nomment tout naturellement…HOMMELL !
 Depuis après avoir quitté sa chère Lorraine natale et s’être installé à Paris d’abord Rue de Lille dans le très chic quartier de St Germain des Près, le Groupe de Presse Hommell, à ensuite tellement grandi, qu’il a émigré dans de vastes locaux à St Cloud avant de se retrouver tout récemment à quelques encablures à Suresnes. Michel entre-temps a refait sa vie avec Axelle qui lui a donné deux autres enfants – après Manuel et Félicia de son premier mariage avec Marie José – Alexandre et Caroline. Gilles 
Source : GAIGNAULT Photos : Emmanuel LEROUX -Jean Claude LAMORLETTE et AutoNewsInfo-France 3 Bretagne

vendredi 12 juillet 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - QUE LA MONTAGNE EST BELLE EN VOITURES ANCIENNES....


 

CLUB5A - HUMOUR - FAIT DIVERS - UN AGENT DES TRAVAUX PUBLIC A DISPARU... LES RECHERCHES SONT EN COURS !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - LES VOITURES DE LUXE DU PASSE ...

Autrefois, à la livraison d'un véhicule neuf, pour instaurer une relation durable avec les clients, il suffisait d'un bouquet de fleurs pour madame, d'une bouteille de champagne pour monsieur ou d'une miniature pour les enfants. À l'ère du zapping et d'une concurrence exacerbée, ces attentions ne suffisent plus. Les constructeurs automobiles sont contraints de revoir leurs vieux réflexes, au profit de l'instauration d'une nouvelle relation avec les acheteurs. Roi, le client aspire désormais à être chouchouté et à accéder à un statut privilégié.

Remontons le temps pour parler BAGNOLES : coupés cabriolets des 60's, voitures de collection de course vieilles et superbes automobiles du passé ! 
  Source : EmissionWATCHA / lefigaro.fr

CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ? ...LA FLECHE, L'ANCETRE DU CLIGNOTANT EXISTE DEPUIS LE DEBUT DES ANNEES 50'....

 


CLUB5A - PHOTO INSOLITE - J'AI RETROUVE LA VOITURE DE BATMAN !!!!!!


 

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CLUB5A - REPORTAGE AUTO - La Dodge WC-57 du général Patton !

La Dodge militaire du général américain George Patton.  Un véhicule chargé d’Histoire. 
Vous avez sous les yeux la Dodge WC-57 (1944) du général américain George Patton, qui a notamment commandé la 7ᵉ puis la 3ᵉ armée américaine sur le théâtre européen lors des opérations de la Seconde Guerre mondiale. 
 Il s'agit d'un véhicule de commandement ("Command Car") construit à 6.010 exemplaires entre 1942 et 1945. 
Modifié en Angleterre en 1944, l’engin militaire est équipé d'un blindage avant et arrière, de sirènes, klaxons et de drapeaux et d'étoiles en métal afin que les troupes puissent le voir et l'entendre à des kilomètres. 
 Galerie de photos et vidéo de la Dodge WC-57 A travers la galerie de photos, vous verrez également la mitrailleuse Browning de calibre 30, le cadran brisé du compteur de vitesse ou encore le matériel (hache et pioche) disponible à l'arrière. 
Découvrez également la présentation de cette Dodge WC-57 (1944) en vidéo ! 


La voiture a été restaurée et reçoit sous le capot une impresionnante motorisation 6 cylindres en ligne. 


Source : Worldwide Auctioneers - autoplus.fr