mercredi 19 juin 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - IL EST BIENTOT MIDI ....JULIETTE ET MARLENE SE RAPPROCHENT DU BARBECUE !


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - L'AERODINAMISME EST VRAIMENT IMPORTANT !!


 

CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - LA CHEVROLET CORVETTE ....


Une voiture de sport de luxe, performance de prestige, ZR1 LS9 dispose d'un 638 chevaux V8 suralimenté à la main avec des tiges en titane de liaison et les soupapes d'admission et une vitesse de pointe de la piste d'essai de 205 mph. 
 Expérience 0-60 mph en seulement 3,4 secondes et pad 1,05 g de dérapage, soit plus de 1,13 g avec groupe de haute performance ZR1 (PDE), tandis que niché dans un décor raffiné et luxueux.

ZR1 est la plus rapide, la voiture la plus puissante Chevrolet qui ait été jamais produit, elle rivalise avec les meilleures voitures de sport de luxe du monde sur et hors de la piste. Et parce que c'est Corvette, 
c'est la seule voiture de sport vraiment américaine dans la concurrence...
 Source : VossenWheels

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - La plus petite voiture de série

 

La plus petite voiture de série de l’histoire, la Peel P50, a été produite au début des années 1960. Sa longueur était de 137 centimètres, sa largeur de 104 cm et il ne pesait que 59 kilogrammes. Fabricant – Société d’ingénierie Peel... 
Source : Anna Karmann

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - ATTENTION UN DEPART SPECIAL FIAT !!


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - Même couple sur la même moto en 1955 et 2015...


 

CLUB5A - REPORTAGES AUTOS ET MOTOS - LES DRAGSTER'S...TOUT EST DANS L'ACCELERATION !!

Le dragster est un sport mécanique d'accélération ouvert aux véhicules à deux et quatre roues. Départ arrêté, il s'agit de mettre le moins de temps possible pour franchir une distance de 1/4 de mile (402 mètres), ou parfois de 1/8 mile (201 mètres) et depuis 2012 de 1 000 pieds (305 mètres). La catégorie reine est le « Top Fuel », les plus rapides passaient la ligne des 402 mètres en moins de 4,5 secondes, atteignant des vitesses proches de 530 km/h1. Avec la nouvelle règlementation National Hot Rod Association (NHRA) pour cette catégorie, les épreuves se disputent aujourd'hui sur 305 mètres en moins de 3,8 s. 

Ceux-ci sont propulsés par des moteurs pouvant dépasser les 8 000 ch2, alimentés par un mélange de nitrométhane (90 %) et de méthanol (10 %). Le record absolu sur le 1/4 de mile a été réalisé en juillet 1984 par l'Américain Sammy Miller avec un temps de 3,58 secondes et une vitesse de passage à 621 km/h. Ce record, réalisé à Santa Pod Raceway, Angleterre, avec une Funny Car propulsée par un moteur-fusée, n'a été homologué ni par la NHRA ni par la FIA. Les courses de dragster sont très populaires aux États-Unis. En France, le premier championnat a eu lieu en 1980. 

Deux concurrents d'une même catégorie se présentent côte à côte, chacun dans un couloir, et procèdent à un « burnout ». Celui-ci consiste à faire chauffer la gomme des pneus arrière en les faisant patiner à l'arrêt ; cela dépose de la gomme sur la piste et augmente l'adhérence du train arrière pour le départ. Le départ est donné au moyen d'un dispositif électronique communément appelé « arbre de Noël ». Celui-ci présente un système vertical de feux (d'où son nom), affichant un compte à rebours visuel pour chaque pilote. 

De feux blancs pour l'appel et le pré-départ, il passe à une succession de feux jaunes qui s'allument en cascade jusqu'au feu vert qui est le signal de départ. Un feu rouge s'allume en cas de faux départ. Les voitures s'arrêtent avec l'aide d'un parachute, celui-ci est obligatoire. Les motos par contre n'en sont pas pourvues. À chaque course, le perdant est éliminé tandis que le gagnant progresse au fil des étapes successives de la compétition. Cette série de courses se poursuit jusqu'à ce qu'il ne reste qu'un seul pilote, qui est alors déclaré vainqueur. Parfois les concurrents participent à des runs qualificatifs où seuls les temps sont pris en compte. 

Une grille est ensuite appliquée en fonction des temps (le premier contre le seizième, le deuxième contre le quinzième, etc.), on passe ensuite à un système éliminatoire où le perdant de chaque run est éliminé. Il y a plusieurs catégories de compétiteurs, qui sont définies par le temps mis à parcourir les 402,33 mètres : un pilote plus rapide que le temps de référence de sa catégorie devra aller courir en catégorie supérieure (temps de référence plus court). Il est en effet interdit de « casser l'index », c'est-à-dire d'aller plus vite que son temps de référence, ou temps de référence de la catégorie choisie, sous peine d'élimination. 

Le pilote s'approchant le plus possible du temps de référence (l'index) sans le battre sera déclaré vainqueur : souvent, il faut départager les concurrents au millième de seconde près. Il n'est pas rare de voir des pilotes aguerris gérer leur course en relâchant un peu les gaz pour ne pas casser l'index, tout en surveillant leur concurrent pour ne pas se laisser doubler sur la ligne d'arrivée, et finir à 1 ou 2 millisecondes seulement de l'index. Cette discipline est peu chère au début, puisqu'il suffit d'avoir une voiture immatriculée avec un contrôle technique valide, un casque et l'autorisation de son médecin.
Le dragster procure rapidement des sensations extraordinaires, et bon nombre de participants amateurs basculent vite dans la préparation d'une voiture spécifique : moteurs préparés, voire gonflés au protoxyde d'azote, voitures allégées en vidant l'intérieur, travail sur les suspensions pour gagner en motricité, pneus spécifiques slicks, etc. 

Il existe depuis plusieurs années en France un trophée organisé par une association de pilotes, l'Association Trophée Dragster (ATD)3. Discipline en constante évolution, le dragster en France attire de plus en plus de participants ; les machines vont de la voiture de série faiblement modifiée (GTI, sportive, ou bien américaine classique) au rail super comp et super gas de plus de 1 500 chevaux. 

Le trophée ATD attire depuis le départ en moyenne plus de 200 véhicules par course, les participants n'hésitant pas à venir de loin (Italie, Allemagne, Suisse, Belgique) pour profiter de l'infrastructure bien rôdée des courses organisées entre autres sur les pistes de Mirecourt, Chambley, Lanas, Vichy, Loudes, Millau, Lurcy-Lévis, Clastres. Il existe des démonstrations de jet-car, voitures propulsées par des turbines à réaction ou autres moteurs-fusées. Celles-ci ne peuvent participer à aucun championnat. 
Source : Daniel Auvillain-TBraxTAD
TBraxTAD

mardi 18 juin 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - QU'ELLE EST LA PLUS BELLE MOB ?


 

CLUB5A - HUMOUR - L'INVENTION DE LA ROUE N'A PAS ETE SANS RISQUES !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - C'était la Nationale 6.....

 

Printemps 1934, il y a 90 ans. 
Un jeune journaliste, Francois de Saulieu, effectue un reportage sur les conditions de vie des chauffeurs routiers. Il est frappé par leur misère sociale, accumulant sans limite les heures de travail ainsi que leur statut de quasi-paria dont on refuse souvent l’entrée dans les restaurants, considérés comme sales et sentant le gasoil. Il faut dire que les pannes sont fréquentes et se réparent sur le bord de la route… 
Il a l’idée de créer un journal avec son ami Louis Navière pour les fédérer et notamment lister les établissements accueillants avec plaisir les chauffeurs. Le journal Les Routiers est né et le premier panonceau bleu et rouge est posé sur l’Hôtel du Cheval Noir à Champagne au Mont d’Or à l’entrée de Lyon. 
On est ici juste avant guerre, un Bernard est garé devant le restaurant, alors qu’une Citroën Traction avant roule vers Lyon. L’Hôtel du Cheval Noir, vétuste, a malheureusement été démoli dans les années 1980. Mais pour Les Routiers, la légende était en marche et continue aujourd’hui. 
Source : Thierry Dubois N7

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UN MEUBLE DE SALLE DE BAIN POUR LES PASSIONNES DE COMBI VW !!


 

CLUB5A - TECHNIQUE AUTO - Collectionneur de véhicules militaires américains !!

Bravo à ceux qui les restaurent, c'est une page de notre histoire...
Le GMC CCKW est un véhicule militaire américain de transport à six roues motrices qui a servi durant la Seconde Guerre mondiale (1939-1945) et durant la Guerre de Corée (1950-1953) dans l'armée américaine et dans l'armée française durant la Guerre d'Indochine (1946-1954) et la Guerre d'Algérie (1954-1962). 

Il était proposé en plusieurs variantes, à cabine ouverte ou fermée, avec treuil et sans treuil, à châssis long (CCKW 353) ou court (CCKW 352) à pont SPLIT ou à pont BANJO, à caisse bois ou à caisse fer. 
Ce véhicule fut construit à 562 750 exemplaires de 1941 à 19451 et a été utilisé par l'ensemble des armées alliées durant ce conflit. 
 L’URSS, au titre du Lend-Lease, en reçut plus de 100 000 exemplaires. De 1946 à 1962, l'armée française l'a ensuite utilisé pendant la guerre d'Indochine puis la guerre d'Algérie et il était encore en service en France au début des années 1990 à quelques exemplaires.
 Les derniers GMC CCKW en service se trouvaient notamment dans les petits centre de secours et chez certains dépanneurs civils. En 2000 les derniers CCKW quittaient l'armée française à la suite de la réforme de l'armée du président Chirac.
 Son grand rayon de braquage et sa grande consommation en carburant ont entraîné sa désaffection. Dans les ventes des Domaines concernant ce matériel, il finissait par ne pas trouver d'acquéreur à 3 500 francs français.
Source vidéo: Bastogne Tv

lundi 17 juin 2024

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - RETOUR SUR LA SORTIE COX DU 2 JUIN 2024...

Source : lindependant.fr-JG-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Volkswagen Beetle de 1942..Le plus vieux buggy sur Terre....

 

Dans un coin caché d'un garage poussiéreux, niché sous une couverture de toile en lambeaux, reposait un Volkswagen Beetle de 1942 altéré, connu affectueusement sous le nom de "Ol' Buggy". " Avec sa silhouette arrondie et son charme vintage, il détenait le titre distingué du plus vieux buggy sur terre. L'histoire de Ol' Buggy a commencé pendant la tourmente de la Seconde Guerre mondiale, où elle avait servi de moyen de transport fiable. Après avoir survécu aux ravages de la guerre, il s'est retrouvé en possession d'une âme aventureuse nommée Amelia. 
Avec un cœur plein d'envie de vagabonder, Amelia a décidé de donner à Ol' Buggy un deuxième bail sur la vie. Au fil des ans, ils ont traversé divers paysages, des villes animées aux campagnes sereines, créant ainsi une tapisserie de souvenirs. Ol' Buggy est devenu le témoin d'innombrables couchers de soleil, un compagnon sous un ciel étoilé et un partenaire fiable à travers les rebondissements du voyage de la vie. L'amour d'Amelia pour Ol' Buggy s'est étendu au-delà de ses composants mécaniques ; elle l'a vu comme une capsule temporelle, un témoignage vivant de l'histoire Le vieux scarabée, bien qu'il montre des signes d'usure, a continué à se ralentir, incarnant la résilience et l'esprit d'exploration Alors que les nouvelles de Ol' Buggy se propagent, les passionnés et les historiens se sont émerveillés par son état bien préservé ! 
C'est devenu un symbole de nostalgie et une connexion à une époque révolue. Les expositions de voitures anciennes et les musées ont cherché le privilège d'afficher cette pièce intemporelle de l'histoire automobile. 
Un jour, sous un ciel nuageux, Amelia et Ol' Buggy partent pour leur dernière aventure. 

Ils se méandraient à travers des paysages panoramiques, revisitant des endroits chéris de leur passé. Finalement, sur une petite place de ville, entourée d'admirateurs et d'amateurs, Ol' Buggy a trouvé son lieu de repos un phare de l'histoire et un rappel que le plus vieux buggy sur terre avait roulé à travers le temps, laissant derrière lui un héritage qui perdurerait pour les générations à venir..! 
Source : Vintage Life

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - POUR LES MOTARDS ....C'EST L'HEURE DE L'APERO !


 

CLUB5A - HUMOUR MOTO - TOUJOURS ETRE EN OSMOSE AVEC SA MACHINE !!


 

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - PILOTE DE LÉGENDE JOHN SURTEES ...PILOTE DE F1 ..

John Norman Surtees est un ancien pilote motocycliste et automobile britannique, né le 11 février 1934 à Tatsfield (en) dans le comté de Surrey en Angleterre et mort le 10 mars 2017 à Londres à l'âge de 83 ans. Après avoir remporté sept titres de champion du monde de vitesse moto, il passe en Formule 1 et gagne le titre mondial en 1964. John Surtees reste le seul pilote champion du monde moto et de Formule 1.

 Seul champion du monde moto et F1 Avant d'arriver en F1, John Surtees avait été sacré champion du monde de vitesse moto à sept reprises. 
Il reste d'ailleurs le seul pilote à la fois champion du monde moto et Formule 1. Surtees a également participé à quatre reprises aux 24 Heures du Mans avec Ferrari et Lola, signant pour meilleur résultat une troisième place la même année que son titre mondial en F1.
C'est en 1951 que John Surtees fait ses débuts à moto. Il commence par courir sur Norton et marque son premier point, celui de la sixième place en 1952 en 500 cm3 au Grand Prix d'Ulster. Après une saison terne en 1953 où il ne marque aucun point en 350 cm3 comme en 500 cm3, il aborde la saison 1955. Cette année-là, il signe ses premiers podiums sur une Norton en 350 cm3 en Allemagne et à Ulster dont il remporte également la manche en 250 cm3 tout en signant le meilleur tour en course pour sa seule apparition au guidon d'une NSU. En 1956, à seulement 22 ans, il quitte Norton pour MV Agusta ; en 350 cm3 il termine second du Grand Prix des Pays-Bas et remporte le Grand Prix de Belgique terminant l'année avec 14 points et quatrième du championnat. 
Mieux en 500 cm3, en trois apparitions, il signe trois victoires au Tourist Trophy 1956, au Grand Prix des Pays-Bas et au Grand Prix de Belgique tout en signant le meilleur tour en course lors de ces deux premières épreuves. Il remporte ainsi son premier titre mondial dans la catégorie 500 cm3 au guidon d'une MV Agusta. En 1957 il ne parvient pas à concrétiser. Il termine au pied du podium au Tourist Trophy de l'Île de Man en 350 cm3, mais, se classe second de cette même course en 500 cm3 avant de s'imposer aux Pays-Bas en 500 cm3. Surtees termine tout de même troisième du championnat en 500 cm3 avec 17 points. De 1958 à 1960, sa domination est totale. 

Il ne quitte la première place du podium qu'à trois reprises : au Grand Prix de France 1960 en 350 cm3 où il termine troisième, au Tourist Trophy de l'Île de Man 1960 où il termine second en 350 cm3 et au Grand Prix d'Ulster 1960 en 500 cm3 où il termine second. Au cours de ses 35 participations entre 1958 et 1960, Surtees s'adjuge 32 victoires, 35 podiums (soit 100 % de réussite) et 32 meilleurs tours en course. Il remporte donc six autres titres de champion du monde, en 350 cm3 et en 500 cm3. N'ayant plus rien à prouver sur deux roues, John Surtees se laisse tenter par le sport automobile. 
En 1960, parallèlement à sa dernière saison en MotoGP et après un très bref apprentissage en Formule 2, il fait ainsi ses débuts en Formule 1, en tant que pilote officiel Lotus. Dès sa deuxième course, sur Lotus 18 au Grand Prix de Grande-Bretagne, il décroche la seconde place derrière Jack Brabham. Puis Surtees ne passe pas loin de l'exploit lors de son troisième Grand Prix, au Portugal, puisqu'il décroche la pole position et domine la course avant de partir à la faute. Même si sa prestation au Portugal fait de lui l'un des pilotes les plus prometteurs de sa génération, Surtees préfère néanmoins disputer la saison suivante à l'abri de toute pression au volant d'une Cooper T53 de l'écurie privée Yeoman Credit Racing Team. 
Il se classe à deux reprises cinquième en Championnat du monde (Belgique et Allemagne) mais remporte sa première victoire (hors-championnat) lors du Glover Trophy. Puis, en 1962, toujours avec Yeoman Credit, il se lance dans le nouveau et ambitieux projet Lola-Climax qui engage la nouvelle Mk4. Si la nouvelle écurie implose au bout d'une seule saison, Surtees a su se mettre en évidence à plus d'une reprise (en décrochant notamment la pole position aux Pays-Bas lors de la première course de la monoplace puis en terminant cinq fois consécutivement dans les points, dont deux fois sur le podium), ce qui lui ouvre les portes de la Scuderia Ferrari pour la saison 1963. En 1963, chez Ferrari, au volant de la 156, Surtees ne peut dans un premier temps rien faire pour contrer l'invincible Lotus 25 de Jim Clark. 
Mais il met à profit la première défaillance du futur champion du monde pour s'imposer avec classe lors du Grand Prix d'Allemagne disputé sur le très sélectif tracé du Nürburgring. Surtees manque à deux reprises de récidiver (lors des Grand Prix d'Italie et des États-Unis) mais son moteur rend l'âme alors qu'il est en tête. En 1964, avec une Ferrari 158 enfin à la hauteur des Lotus et BRM, John Surtees décroche deux pole positions, deux victoires et six podiums et remporte le championnat du monde. Il devient ainsi le premier pilote, et le seul à ce jour, champion du monde à la fois sur deux et quatre roues (Joe Leonard s'étant de son côté imposé dans des championnats américains d'importance moto et auto). 
 L'année suivante, au volant de la Ferrari 158 puis de la 1512, Surtees est impuissant pour contrer la nouvelle domination de Clark et Lotus. Il termine à quatre reprises seulement dans les points malgré de très belles qualifications car sa Ferrari était très peu fiable. En 1966, le changement de réglementation fait à nouveau de lui le favori pour le titre mondial. Loin d'être l'année d'un deuxième sacre, 1966 sera au contraire celle de la rupture entre Surtees et Ferrari. Exaspéré par les pratiques d'Eugenio Dragoni (directeur sportif de la Scuderia) qui ne cache pas sa préférence pour son coéquipier italien Lorenzo Bandini et par les manœuvres dans l'ombre de Mike Parkes qui souhaitait une place de titulaire chez Ferrari, Surtees claque la porte de la Scuderia en pleine saison, malgré la pole position et la victoire en Belgique sur la 312. 
Il termine l'année chez Cooper où il décroche deux podiums avant de remporter sa deuxième course de la saison lors du Grand Prix du Mexique sur la T81-Maserati. Surtees termine vice-champion du monde derrière l'impressionnant Brabham qui a remporté quatre courses consécutivement. En 1966, Surtees fonde son écurie, la Surtees Racing Organisation.
Source : ledauphine.com

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UNE AUTRE FACON D'OUVRIR LE COFFRE DE SA VOITURE !!


 

dimanche 16 juin 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - QUAND BERNARD FAIT LE POINT AVEC REGIS SUR L'ORGANISATION DE LA SORTIE MOTOS ........


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - UNE RESTAURATION QUI A TROP DUREE .......


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Ferdinand Porsche dans une Lohner-Porsche de 1903....

 

La Lohner-Porsche utilisait des moteurs électriques en hub/roue (oui, il y a bien plus de 100 ans) avec un moteur à essence faisant office de générateur. 
Avec d'autres versions purement électriques, et une autre qui pouvait fonctionner sur l'une ou l'autre, ou d'après ce que je peux voir, les deux alimentations électriques, Porsche était un leader de la technologie des voitures électriques dans tous les Porsche a eu l'idée presque purement tout seul à l'âge de 18 ans (ou probablement avant ((mise à jour : on dirait qu'il a fallu jusqu'à l'âge de 24 ans avant que les premiers ne soient construits, purement électriques, puis ajoutés des moteurs à essence comme générateurs/moteurs d'entraînement)) et était au bon endroit et le bon moment pour avoir des fonds et pouvoir le construire avec lui. 

Porsche était en 1906 employée par Daimler-Benz, elle-même une entreprise relativement nouvelle en tant que chef designer. Jacob Löhner disait à l'époque : « Il est très jeune, mais il a une grande carrière devant lui. Vous entendrez parler de lui à nouveau. Et nous l'avons fait. Regardez juste l'histoire.. Même le moon lander d'origine a utilisé beaucoup de la technologie et du design de ce système. 
Source : Denis Cain

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LIVRAISON DE MUSTANG PAR VOIE FERROVIARE ....


 

CLUB5A - VOITURES DE LÉGENDE - LES TRACTIONS AVANT CITROËN ...


La Citroën Traction Avant est une automobile produite par le constructeur français Citroën de 1934 à 1957. Son histoire est liée dans la mémoire collective à l'Occupation, tour à tour voiture de la Gestapo et icône de la Résistance. Elle est également le véhicule préféré des gangsters, le fruit de qualités routières exceptionnelles pour son époque. Cette automobile dispose alors d'une particularité rare sur les automobiles de sa catégorie : les roues motrices sont celles du train avant. La traction est l'innovation première de cette voiture. Cette technique est rapidement associée en France à la Citroën, ce qui lui vaut son surnom, « Traction », et plus tard le pléonasme « Traction avant ». 
La vraie nouveauté est d'associer sur un même véhicule les solutions les plus modernes de l'époque : en plus du mode de transmission, une structure monocoque, des freins hydrauliques et une suspension à roues indépendantes sur les 4 roues. La Traction Avant bénéficie quoi qu'il en soit d'une meilleure tenue de route que la plupart de ses contemporaines, ce qui attise l'imagination des publicitaires : « La Traction Avant dompte la force centrifuge ». Sans cesse améliorée par André Lefèbvre, cette Citroën a ouvert la voie à la production en grande série de véhicules équipés de cette technique, ses qualités lui valant une longue carrière et une production de 760 000 exemplaires.
L'année 1934 est une année charnière, aussi bien pour la marque Citroën que pour son fondateur, André Citroën. Les finances de l'entreprise sont au plus bas. Aussi, Citroën se doit d'innover pour augmenter la production qui baisse dangereusement et assainir les finances de sa société. La Rosalie se vend bien, mais pas assez pour assurer la pérennité de la société. Le modèle qui doit permettre à Citroën de remonter la pente est présenté place de l’Europe le 18 avril 1934. Officiellement, il se nomme 7 en raison de la puissance fiscale française de 7 CV, mais l’histoire le rebaptisera « Traction Avant ». La nouvelle Citroën, qui marque une réelle rupture avec la Rosalie, se singularise esthétiquement par sa ligne entièrement aérodynamique, résultat de la mode du Streamline Moderne. 

Très différent de ses contemporaines, le style de la carrosserie permet à la voiture de se singulariser aux yeux du public, interdisant toute confusion avec un modèle à transmission conventionnelle. Dans un premier temps uniquement disponible en berline, la voiture offre une ligne moderne, œuvre du designer Flaminio Bertoni à qui l'on doit aussi la 2 CV, l'Ami 6 et la DS. Le coupé et le cabriolet sont mis en forme par Jean Daninos. Les premières Traction Avant se reconnaissent à leur toit en moleskine et non entièrement tôle comme ce sera le cas plus tard, ainsi que par l'absence d'une malle ouvrante de l'extérieur. La conception très rapide, en dix-huit mois, n’a pas permis de tester suffisamment la voiture. 
Les premiers clients feront les frais de cette absence de fiabilité. Les cardans cèdent rapidement, entraînant la perte des roues avant, la « caisse monocoque » n'est pas assez résistante et plie, sans parler des problèmes de moteur et de boîte de vitesses. En effet, la Traction ne reprend pas les organes mécaniques de la Rosalie : sa conception est entièrement nouvelle et le réseau du service après vente Citroën, pas assez formé, a du mal à prendre en charge et à réparer les automobiles qui reviennent sous garantie. Cependant, les ingénieurs de l'entreprise travaillent et n'auront de cesse d'améliorer et de fiabiliser le modèle, tout en étendant la gamme vers le haut avec des mécaniques plus puissantes à 4 cylindres (7B et 7C de 9 chevaux fiscaux, puis 7S et 11AL/11A de 11 chevaux fiscaux) et plus grosses à 6 cylindres en ligne (15-Six) ou à 8 cylindres en V de 22 chevaux. 
Cette dernière motorisation restera à l'état de prototype et ne sera jamais produite en série. De l'avis général, la Traction est réellement devenue fiable et mature à partir des modèles 1936. Mais les déboires des débuts auront raison de l'ancienne société Citroën qui déposera le bilan et sera reprise par la famille Michelin avec le succès que l'on connaît.
Source : PSA - DAM - Documentaires Auto / Moto
DAM - Documentaires Auto / Moto