lundi 10 juin 2024
CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Le salon de Genève tire définitivement le rideau...
ACTUALITÉ - L’édition 2024, qui a tourné au simulacre de salon, aura eu raison de l’aventure de cette manifestation plus que centenaire. Certains diront qu’une page se tourne, d’autres qu’un monde s’écroule. Par un communiqué laconique, les organisateurs du salon de Genève ont annoncé cette semaine renoncer à organiser la prochaine édition. Devant le manque de perspectives et la perte d’attrait des grands salons, le Conseil de la Fondation du salon international de l’automobile de Genève n’a souhaité prendre le risque de lancer la commercialisation de l’édition 2025. Il faut dire qu’après quatre ans d’absence, en raison notamment de la crise du coronavirus, l’édition 2024 ne restera pas dans les mémoires.
Elle a tourné au simulacre avec la présence de seulement quelques constructeurs. Seul groupe à jouer le jeu d’une présence dans tous les grands salons européens depuis la fin du Covid, Renault a eu le sentiment d’avoir été berné lorsqu’il apprit, à quelques semaines seulement de l’événement, qu’il serait le seul acteur historique du secteur et qu’il devrait partager la première partie du rez-de-chaussée avec des constructeurs chinois. L’autre partie où BMW et Mercedes s’installaient chaque année n’étant pas occupée. Au premier étage, autrefois dévolu aux artisans et aux marques de luxe, l’espace était en partie occupé cette année à la remise du trophée du Car of the Year (Voiture de l’Année).
Avec la disparition de Genève du calendrier, c’est le meilleur d’entre tous qui s’en va. Non content d’ouvrir chaque année début mars la saison européenne, la manifestation helvétique a toujours été le seul rendez-vous à exposer les réalisations des artisans, designers et marques de luxe. Il était réputé pour sa convivialité et sa dimension à taille humaine. Né en 1905, le salon de Genève restera à jamais marqué par des présentations de modèles de série et d’exercices de style qui feront date. C’est ainsi en terrain neutre que Jaguar choisit de dévoiler sa Type E en 1961. En 1969, Porsche présente en première mondiale la fameuse 917. Plus près de nous, en 1984, la présentation de la Ferrari 288 GTO déclenche un attroupement mémorable sur le stand du constructeur italien. D’autres événements gravés dans les mémoires ont ponctué ce salon qui se voulait la grande fête de l’automobile.
Source : Par Sylvain Reisser-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...
CLUB5A - MOTO DE LEGENDE - HONDA CB750 ......LA MOTO DU SIÈCLE !!
1968 ne fut une année comme les autres : la jeunesse française s’embrase en mai, les chars russes écrasent le printemps de Prague et aux USA Martin Luther King et Bobby Kennedy sont assassinés. La guerre du Vietnam atteint son paroxysme avec 550 000 G.I. engagés dans ce bourbier. La moto ne sera pas en reste puisqu’en novembre 1968 est présentée lors du salon de Tokyo une moto qui va révolutionner la pratique et la conception d’une moto. Son nom : Honda CB750. La CB 750 appartient à une époque où les choses étaient faites pour durer. La peinture est recouverte d’une épaisse couche de vernis pailleté accompagnée de chromes à foison !
C’est autre chose que nos modernes roadsters créés par injection plastique !
Ce programme baptisé « Project 300 » est dirigé par l’ingénieur en chef du bureau de recherche et développement du constructeur Yoshiro Harada.
LA HONDA CB 450 OU APPRENDRE DE SES ERREURS
Harada avait déjà réalisé la Honda CB450 surnommée « black bomber » produite en 1965. Cette moto était extrêmement ambitieuse grâce à des solutions techniques directement héritées des Honda de Grand Prix comme une distribution à double arbres à cames.
Malgré un moteur très performant (45 chevaux à 9 000 tr/mn) et un prix contenu, la CB 450 sera un semi-échec car son bicylindres est bien trop pointu pour des motards « biberonnés » aux gros couples des bicylindres verticaux britanniques.
LA HONDA CB750
Le programme d’une Honda de forte cylindrée à quatre cylindres est acté en février 1968 et la moto définitive devra être présentée à la presse sur les terres de Honda, au salon de Tokyo, qui se déroule en novembre de la même année.
La CB750 sera commercialisée en 1969 en 3 coloris pailletés : « Candy Gold », « Candy Red Ruby » (modèle présenté) et le rarissime « »Candy Blue Green ».
Le travail de conception du quatre pattes va être grandement aidé par un nouvel outil fort onéreux dont Honda vient de se porter acquéreur : La conception assistée par ordinateur (CAO).
LE CAHIER DES CHARGES DE LA FUTURE HONDA CB750 EST AMBITIEUX
Il est supervisé par l’ingénieur en chef du service de R&D Yoshiro Harada et il est le suivant :
Un 4 cylindres de grosse cylindrée évoquant les motos de Grand Prix mais au caractère coupleux afin de répondre aux attentes de l’énorme marché américain.
Une boîte à 5 rapports.
Un équipement et une qualité de fabrication jamais vue dans l’univers de la moto de l’époque.
Une fiabilité digne d’une automobile.
Une ergonomie qui pose les codes du roadster japonais comme la Suzuki 1200 Bandit (1995-2007).
Un démarreur électrique. (La concurrence britannique nécessite tout un cérémonial au kick pour mettre en marche le tricylindres.)
Un frein avant à disque de série afin de stopper une moto qui tutoie les 200 km/h en pointe.
Les vibrations et les bruits parasites devront donc être minimes afin que le pilote puisse parcourir plusieurs centaines de kilomètres à très vives allures avec le maximum de confort possible.
Elle devra être également plus abordable que la concurrence directe constituée par les BSA 3 et Triumph T-150 qui se partagent un même tricylindres et qui sont commercialisées depuis 1968.
DOMESTIQUER LE FREINAGE À DISQUE
Le principal écueil que rencontre l’équipe menée par Yoshiro Harada sera la greffe d’un frein avant à disque et à commande hydraulique. Les BSA et Triumph conservent un classique frein à tambour.
Le freinage avant des automobiles est à cette époque déjà largement acquis à cette nouvelle technologie. En moto, la MV Agusta 600 GT est équipée dés 1966 d’un double disques de 203 mm mais il est activé par câble.
Le frein à disque est une vraie avancée d’autant plus que la puissance des motos commence à s’envoler avec la multiplication des cylindres et la maitrise par les japonais de la technologie du deux temps. Il est plus performant et moins sujet à la surchauffe lorsqu’il est fortement sollicité.
Honda aura énormément de mal à trouver le bon compromis au niveau de la composition des plaquettes entre efficacité et usure car dans le cahier des charges, leur durée de vie doit correspondre à la périodicité d’entretien de 5 000 km.
Présentée lors du salon de Tokyo, le frein à disque éclipse quasiment le quatre cylindres (une architecture vue dès 1903 sur une FN).
D’un point de vue anecdotique mais qui prouve l’excellent travail accompli par le bureau R&D de Honda, de nombreux pilotes des années 70 monteront le freinage de la CB 750 sur des montures de compétitions aux origines très variées.
UN QUATRE PATTES SIMPLE ET BIEN NÉ
Le génie de Yoshiro Harada est d’avoir appris des erreurs qu’il avait commis sur la CB450.
Le quatre cylindre de la CB 750 a certes un look qui évoque la Honda-6 qui remporta le titre mondial 1966 mais là s’arrête l’esprit racing.
Ses caractéristiques techniques (poids, puissance, couple, vitesse max., etc.) sont d’ailleurs très proches du tricylindres qui équipe la BSA Rocket 3 et la Triumph Trident.
Derrière ses quatre échappements dignes de la moto de Grand Prix piloté par Mike Hailwood se cache une mécanique simple et robuste.
La Honda CB750 n’a que deux soupapes en tête par cylindre et l’unique arbre à cames en tête est entrainé par une chaine.
Grace à cela, Honda peut proposer sa moto moins chère que la concurrence britannique. Cette simplicité mécanique qui va généralement avec robustesse sera la clef du succès de la japonaise !
Au contraire, le tricylindres britannique nécessite pas moins de sept plans de joints verticaux (sic) car il n’est qu’un « bricolage » né de l’ajout d’un troisième cylindre à la 500 Speed Twin de 1937 !
LA CB 750 OU UNE MOTO BIEN PENSÉE
Paradoxalement, la Honda CB750 n’apporte aucune solution réellement inédite hormis bien sur son frein à disque.
Par contre, cette moto est extrêmement bien conçue dans le but de faciliter la vie du motard comme en témoigne la présence d’un démarreur électrique.
Mais surtout, sa fiabilité est digne d’une automobile alors qu’une moto britannique nécessite un démontage complet du moteur tous les 50 000 km…
Preuve que cette moto est bien née, elle gagne, dès sa première participation, le Bol d’Or 1969 avec l’équipage Rougerie-Urdich.
Une version usine de la CB 750 (CR750) préparée par Harada et pilotée par Dick Mann remporte l’édition 1970 de la grande classique américaine, la Daytona 200. Cette victoire met encore plus en avant la commercialisation de cette moto sur l’énorme marché états-unien.
DES CHIFFRES DE VENTE INOUÏS
La première Honda CB750 K0 sort des usines Honda le 15 mars 1969. L’estimation des ventes pour 1969 était de 1500 exemplaires. Fin 1969, 1500 Honda 750 quitte le japon chaque jour ! Elle sera produite entre 1969 et 1978 à 553 000 unités dont 22 000 pour la France. Un record !
De 1969 à 1978, elle sera déclinée en neuf évolutions allant de la 750K0 à la 750K8 et quatre versions « F » à partir de 1975.
Il y aura donc un avant et un après la Honda CB750 et tous les constructeurs devront se réinventer car le motard est devenu un « consommateur-motard » qui a désormais de nouvelles attentes.
SUR LES TRACES DE LA HONDA CB750
Suite à la sortie de la Honda CB750, BMW proposera une alternative très réussie avec la R90S (1973) et Ducati lancera en 1971 son premier gros bicylindres avec la 750 GT.
En 1972, Kawasaki « fait l’intérieur » à Honda en commercialisant la toute première superbike grand public de l’histoire et par là même le début de la course à la puissance dans laquelle vont se jeter les quatre constructeurs japonais.
La Kawasaki Z1, grâce à une distribution à double arbres à cames en tête ou DOHC (4 soupapes par cylindre), permet au quatre cylindres de 903 cm3 de produire 82 chevaux soit 15 de plus que la Honda !
En 1976, Suzuki dévoile la 750 GS premier quatre cylindres du constructeur.
Entre 1969 et 1977, Honda fera peu évoluer la CB750 car le géant japonais est absorbé par le lancement de sa première automobile : La Honda Civic.
En 1979, le CB 750 version « K » (K1 et K2) reçoit une distribution à double arbres à cames en tête (DOHC). Cette motorisation restera au catalogue Honda jusqu’en 2003.
La CB 750 est donc le tout premier « quatre pattes » ; une motorisation qui fera florès et qui reste un demi-siècle plus tard toujours synonyme de gros cubes à la japonaises.
Contrairement à une idée répandue, Honda n’a copié personne pour concevoir « La Moto du Siècle ». Les Japonnais ont étudié attentivement un marché quasi-artisanal de la moto des sixties pour en faire une industrie prospère.
Triumph et Norton étaient équipés de machines-outils désuètes. Ajoutez à cela une recherche et développement (R&D) au point mort et une volonté politique absentes. Vous comprendrez pourquoi la Honda CB750 a fait main basse sur le marché de la moto.
Honda a proposé « un produit » qui allait démocratiser la pratique de la moto en la rendant facile d’accès à tout un chacun. La Honda CB750 était au rendez-vous pour la société des loisirs naissante !
SOURCE / LAURENT BLASCO-CALMELS--Club14moto-JF Motorcycles
Club14motobellesmachines.com/
dimanche 9 juin 2024
CLUB5A - SORTIE AUTO - PREMIERE BALADE CARCASSONNAISE EN VW LE 2 JUIN 2024.....ATTENTION LES COX SONT DE SORTIE !
Comme convenu, ce dimanche 2 juin 2024, les passionnés de coccinelles et combis VW étaient tous réunis à la salle des associations salle Nicole ABAR. Comme l’avait annoncé l’organisateur Cédric Bedos, c’est une première. Nous allons innover en créant cette année un événement dans le cadre des sorties du club 5A Carcassonne.
Ce dimanche matin du 2 juin 2024, les moteurs des COX et COMBIS « vrombissaient » et mettaient de l’animation au bord des berges de l’Aude. Nous pouvions comptabiliser devant le siège de notre association 31 voitures et 57 participants.. Belle participation pour une première fois !
Pour ces passionnés, ce rassemblement permet de nouer des liens autour d’une passion commune.
« Pour Cédric (l’organisateur), le but, c’est de se retrouver ensemble pour discuter, échanger des conseils, comparer ce qu’on a fait et de rouler…Pour ces amateurs, cette sortie a l’objectif de nouer des liens autour d’une passion commune, ce rassemblement permet de se voir, mais aussi de rencontrer des propriétaires qu’on ne connaît pas vraiment. On est nombreux dans l’Aude à rouler en Combi et Cox mais on ne sort pas toujours ensemble ».
La réception des participants s’effectue d’une manière conventionnelle avec une distribution du road book et des plaques de rallye, avec un bon café chaud à la main : tout est parfait pour nos pilotes et copilotes.
9H - C’est le départ, dans un bruit assourdissant mais plaisant , nos cox prennent la direction de la localité de LAGRASSE, afin de découvrir deux spécialités.
Lors de cette étape dans ce village typique de Lagrasse, Cyril Codina, créateur de vinaigres depuis plus de 15 ans, emploie son énergie à créer de nouvelles variétés de vinaigres et celui-ci expérimente de nouvelles techniques.
Cette visite était un véritable voyage dé gustatif au cœur de cette cité historique. La visite se poursuit dans l’établissement où l’apéritif Kina Karo a vu le jour en 1928, lorsqu’ André Carreau imagina une véritable recette 100% naturelle.
Depuis 2020, Aurélien Carrelas relance cet apéritif authentique de l’Aude, à l’amertume identitaire. Macéré d’abord à froid dans un alcool neutre à 96%, le Kina Karo blanc et ses 13 plantes aromatiques infusent en deuxième temps dans un vin blanc sec Occitan, pour extraire le meilleur de sa richesse aromatique.
Pour une question d’organisation, l’ensemble des participants était divisé en deux groupes d’environ 30 personnes.
Après ces deux visites passionnantes, l’itinéraire se poursuit pour finir sur un retour à Carcassonne où attendaient pour chacun un apéritif et un bon repas au restaurant L’Oliveraie.
(Merci Josette pour l’organisation des inscriptions, la réception des participants et la mise en place de l’apéritif..)
Une journée où le mot d’ordre était de se retrouver entre passionnés de COX et ce fut une belle réussite pour cette première !...
Merci à Cédric Bedos épaulé par son compère Didier Cavaillé pour votre engagement.
Remercions également l’ensemble des bénévoles du club 5A qui était avec vous pour vous soutenir, ce qui a permis à ce que cette journée soit une véritable réussite..
Nous espérons que cet événement ne cessera de grandir et qu’il rassemble chaque année de plus en plus de passionnés de la marque VW venus des quatre coins de notre région afin d’y participer.
Rendez-vous l’année prochaine !
Texte : PL – Photo : PL - Daniel Kasse - Cédric Bedos
CLUB5A - RETOUR SUR IMAGE - LE PREMIER TOUR DU MONDE EN MOTO...C’ÉTAIT EN 1926...
Toujours dans la série des photos qui témoignent de l'histoire, voire de l'épopée motocycliste, voici la photo de deux hommes et de leurs montures qui furent les premiers en 1926 à réussir un tour du monde à moto. On les avait pourtant considérés comme perdus au bout de quelques mois car aucune des autres expéditions du même type n'était encore revenue d'une telle aventure.
Même si aujourd'hui "beaucoup" de motards se lancent dans ce genre de parcours, il faut se replacer dans l'époque, c'est à dire plus de 80 ans en arrière pour mesurer toute la valeur d'un tel exploit.
Source : moto.caradisiac.com / Catherine Thonon
Même si aujourd'hui "beaucoup" de motards se lancent dans ce genre de parcours, il faut se replacer dans l'époque, c'est à dire plus de 80 ans en arrière pour mesurer toute la valeur d'un tel exploit.
Tour du monde en side-car Ural de nos jours....
Source : moto.caradisiac.com / Catherine Thonon
CLUB5A - REPORTAGE AUTOS - LE TOP 6 VOITURES DE COLLECTION....
Découvrez les voitures les plus chères du monde.
Des voitures uniques qui d’années en années prennent de plus en plus de valeur.
Les marques de luxe ont l’habitude de créer des bolides incroyables avec un prix qui ne l’est pas moins. Voici en les modèles les plus chers de la planète.
tous ces constructeurs ont au moins une représentante dans notre classement.
En proposant de tels modèles, ils exposent tout leur savoir-faire avec des voitures toutes plus folles les unes que les autres. Quelle est la voiture la plus chère ?
Source : 3playersbea
samedi 8 juin 2024
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - LE SALON DE COIFFURE A DOMICILE.....LA COIFFURE EN MODE NOMADE !
"Mademoiselle" est un concept de salon de coiffure nomade qui marie esprit vintage et service tout confort.
Le concept de "Mademoiselle" a été créé par Nadège, passionnée de coiffure et de maquillage.
L'idée ?
installer son espace de beauté dans une estafette Renault pour aller à la rencontre de ses clients.
Ce salon itinérant, aux couleurs bohème, offre au sein d'un intérieur cosy tous les services habituels des salons traditionnels : coupe, lissage, changement de couleur, tresse, chignon coiffé décoiffé…
Mais aussi pour la partie maquillage, un effet nude, un regard smoky, un coup d'éclat, un maquillage sophistiqué…
Et peut aussi s'adresser aux hommes en se transformant en barber shop pour une coupe ou un soin de la barbe.
L'avantage ?
se déplacer selon les besoins pour un soin à domicile, sur un pole d'entreprises, ou pour le jour J d'un mariage…
Et peut aussi se privatiser pour un événement professionnel ou privé, un happening, enterrement de vie de jeune fille…
Plus d'infos sur www.mademoiselle-truck.com-esteticamagazine.fr--Renault Estafette
L'idée ?
installer son espace de beauté dans une estafette Renault pour aller à la rencontre de ses clients.
Mais aussi pour la partie maquillage, un effet nude, un regard smoky, un coup d'éclat, un maquillage sophistiqué…
Et peut aussi s'adresser aux hommes en se transformant en barber shop pour une coupe ou un soin de la barbe.
L'avantage ?
se déplacer selon les besoins pour un soin à domicile, sur un pole d'entreprises, ou pour le jour J d'un mariage…
Et peut aussi se privatiser pour un événement professionnel ou privé, un happening, enterrement de vie de jeune fille…
Plus d'infos sur www.mademoiselle-truck.com-esteticamagazine.fr--Renault Estafette
CLUB5A - REPORTAGE AUTOS - LE RALLYE DES CATHÉDRALES....
Si les Cathédrales restent les sites les plus prestigieux de notre patrimoine et que le Rallye
des Cathédrales a su mettre en valeur leurs splendeurs par ses villes de départ, il reste encore en France des endroits encore inconnus de beaucoup d’entre vous....
des Cathédrales a su mettre en valeur leurs splendeurs par ses villes de départ, il reste encore en France des endroits encore inconnus de beaucoup d’entre vous....
Rallye des Cathédrales organisé par Jean Armandet, président de l’Automobile club
CLUB5A - SPORT AUTOS - LA COURSE AUTOMOBILE "LE PARIS MADRID" ....C'ETAIT EN 1903 !!
Un gros mois après le Paris-Madrid, les coureurs se retrouvent pour la quatrième édition de la Coupe Gordon Bennett. L'irlandais Edge l'ayant remporté l'année d'avant, c'est à l'Automobile Club local qu'il appartient d'organiser cette nouvelle édition sur le circuit d'Athy.
Le belge Jenatzy sur une Mercédès remporte la coupe en 6 heures et 39' à la moyenne de 89,190 k/h. ce qui permettra à l'Allemagne d'organiser la cinquième édition en 1904. A noter la seconde place du français René de Knyff.
La Course automobile Paris-Madrid via Bordeaux est une course qui n'a connu qu'une seule édition.
Elle est considérée comme étant le VIIIe Grand Prix automobile de l'ACF. Commencée le dimanche 24 mai 1903 à 3 h 30 du matin à Versailles et initialement prévue pour s'étendre sur trois journées, les 24, 26 et 27 mai, elle est arrêtée par les autorités avant son terme, à Bordeaux, en raison du grand nombre d'accidents, coûtant notamment la vie au pilote Marcel Renault.
En octobre 1902, l'Automobile Club de France décide de tenir une course automobile entre les deux capitales. Les inscriptions sont ouvertes à la mi-janvier et, rapidement, les principaux constructeurs s'inscrivent. Au total, 315 concurrents sont inscrits : prendront part au départ de la course 127 automobiles, 23 voiturettes et 47 motocyclettes.
La traversée des villes est neutralisée. Les bolides doivent se frayer un passage sur des routes sans revêtement où il y a tellement de poussière que la « navigation » se fait par rapport aux arbres qui bordent et au milieu de spectateurs enthousiastes et inconscients du danger.
Parti second, Louis Renault parvient le premier à Bordeaux après 5 h 29 min 39 s, ayant atteint 140 km/h au bas d'une côte. Néanmoins, Fernand Gabriel sur son « torpilleur Mors », parti quatre-vingt-deuxième, surgit à 12 h 31. Il a parcouru les 552 km en 5 h 13 min 31 s, soit à plus de 105 km/h de moyenne.
Le succès populaire est immense mais le gouvernement français, déjà peu favorable du fait d'antécédents (comme le Paris-Berlin 1901), malgré le poids économique en forte croissance de cette industrie, décide de bloquer la course à Bordeaux, au vu des accidents et du nombre de victimes.
Le premier accident survient au passage à niveau de la ligne de Paris à Tours, à deux kilomètres de Bonneval. La voiture 243, conduite par Porter, prend feu et le malheureux chauffeur, tombé en dessous, meurt carbonisé.
Deuxième accident à Ablis : une automobile surprend une femme qui traverse la route et la tue sur le coup.
À quelques kilomètres de Poitiers, la machine de Marcel Renault verse dans un fossé ; lui-même est projeté à six mètres.
Il est transporté à Couhé-Vérac dans un état désespéré.
Trois kilomètres après Angoulême, le coureur Touran sur Brouhot décolle d'un pont, provoquant la mort du mécanicien et de trois spectateurs : deux soldats et un enfant.
Près de Montguyon, à la Combe-du-Loup, devant Arveyres, M. Stead, conducteur du no 18, est mortellement blessé à la suite d'une collision avec la voiture 96. Le mécanicien de M. Stead est également blessé.
À Arveyres, la voiture no 5, pilotée par Claude Loraine-Barrow, rencontre un chien, braque et vient percuter un arbre.
Des deux hommes qui la conduisent, l'un, le mécanicien, est tué, l'autre, M. Loraine-Barrow, est dans un état désespéré. La voiture est en morceaux. Le chien a littéralement été réduit en bouillie.
Lucien Lesna, sur motocyclette Peugeot, est victime d'un accident. Sa fracture du genou mettra un terme à sa carrière de cycliste.
vendredi 7 juin 2024
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