vendredi 3 mai 2024

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - LES BOLIDES DE MR POTEET ...C'ETAIT EN 1934 !


Ce  Bolide a été stocké dans la grange d'un vieux fermier depuis le 1 avril 1932. 
Il peut signifier vraiment beaucoup de choses à beaucoup de personnes.
 Il s'agit d'utiliser beaucoup des mêmes parties et de les restaurer dans l'état ou ils étaient : c'est à dire simplement des Bolides.
Tandis que ces hommes n'avaient aucun intérêt dans l'histoire de la création de voitures. 
Ils essayaient d'aller vite avec ce qui était disponible.....pas facile !

Une idée qui depuis 1934 à fait son chemin ..
Source : whitebirdfilms

CLUB5A - REPORTAGE AUTOS - La «Mexicana», la course la plus dangereuse du monde !

LES RALLYES LES PLUS FOUS
 - Épreuve dantesque, la Carrera Panamericana Mexico a attiré au début des années 1950, pendant cinq éditions, les meilleurs pilotes, dans un décor hors du commun. 
Le 5 mai 1950, trente-deux concurrents présentent leurs machines à Ciudad Juárez (dans le Chihuahua), une ville mexicaine située à proximité de la frontière des États-Unis, pour le départ de la première édition de la Carrera Panamericana Mexico. 
Ils ne le savent pas encore, mais ils s'apprêtent à affronter la course automobile la plus dangereuse du monde. Neuf étapes. Six jours de course. Près de trois mille cinq cents kilomètres représentant la partie mexicaine de l'axe reliant l'Alaska à la Terre de Feu en Argentine, du nord au sud du continent américain. Six jours de compétition débridée à travers les plaines désertiques du Nord, les montagnes de la région centrale et la forêt tropicale du Sud. 
Un parcours dantesque mené à vive allure sur route ouverte. Enfin, plutôt des pistes en sable ou au goudron vraiment abîmé. Une course sans filet. Où la bravoure tient lieu de dopant.......  
Source : Sylvain Reisser - lefigaro.fr -Motul

mercredi 1 mai 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - PATRICK ET SA B2......TOUJOURS PRETS A PRENDRE LA ROUTE !


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - LE MONDE NE SERAIT QUE 2CV ??


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UNE DAUPHINE QUI A DU COFFRE !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Les véhicules du passé ont la cote !!

Qu'il s'agisse de véhicules de collection ou de youngtimers, le prix des engins d'époque atteint des sommets dans les ventes aux enchères. Et ce, quelle que soit la catégorie du véhicule dont il est question. D'après une étude du site français de vente aux enchères Interenchères, les voitures anciennes s'échangent contre des sommes de plus en plus élevées. Ce n'est pas seulement le cas des voitures de sport et de prestige, puisque des modèles populaires en très bon état peuvent aussi coûter cher à leur acquéreur. 
Les véhicules premium semblent toutefois attirer plus de monde, puisque Mercedes, Porsche et BMW sont dans le top 5 des marques les plus recherchés. Pourquoi un tel engouement pour les voitures de sport anciennes? Si elles sont loin de revendiquer les mêmes performances que leurs descendantes, leur niveau de puissance est plus cohérent avec les conditions de circulation actuelles. Elles sont aussi plus légères, moins assistées, et leur design évoquant une époque révolue réveillera des souvenirs à certains. 
Mais ces véhicules se paient aujourd'hui au prix fort. Une Porsche 911 Carrera 3.2 cabriolet a été adjugée seulement 23 000 euros en 2012, alors qu'un modèle similaire a trouvé preneur pour 65 000 euros en 2018! 
Sa valeur aurait donc triplé en 6 ans. Même phénomène pour la Ferrari 308 GTB, dont un exemplaire s'est échangé contre 24 000 euros en 2008 (en très bon état!), alors qu'en 2018, le bolide au cheval cabré était vendu par la maison Oléron pour 69 000 euros. 
Autre exemple qui devrait faire réagir les conducteurs tricolores: une berlinette Alpine 1300 de 1971 a été cédée pour 26 000 euros en 2006, alors qu'un modèle produit la même année a été adjugé 53 000 euros en 2018. 
Les ventes aux enchères ne s'intéressent aux youngtimers (à traduire par voitures des années 1980-1990) que depuis peu. Cette catégorie a le vent en poupe, et les petites sportives comme les Peugeot 205 GTI, Volkswagen Golf GTI et autres BMW Série 3 «E30» s'échangent désormais contre des sommes rondelettes. 
C'est encore plus vrai dans le cas d'une rare série spéciale. À son lancement en 1981, la Volkswagen Golf GTI «Oettinger» valait l'équivalent de 31 780 euros. En 2018, un exemplaire a été vendu 35 000 euros aux enchères. La voiture a donc retrouvé sa valeur d'origine, et l'a même un peu dépassée. Plus impressionnant, la Renault 5 Turbo 2, qui coûtait l'équivalent de 34 505 euros à sa sortie en octobre 1982, a été adjugée 60 000 euros en mars 2018 sous le marteau d'Osenat. Dans le cas d'une Renault 5 Turbo de la première série, elle s'échange aujourd'hui facilement contre 100 000 euros!
 Modèles spéciaux mis à part, des véhicules ayant un faible kilométrage d'origine, ayant eu un propriétaire célèbre ou étant issus de la première année de production peuvent aussi battre des records. L'an dernier, une Citroën ID 19 avec 37 000 km au compteur a ainsi été vendue 44 000 euros aux enchères, alors qu'une 2CV Type A de 1949 (première série) a été adjugée 66 000 euros!
Source : lefigaro.fr - .La Quotidienne

mardi 30 avril 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - L'écailler est comme le sommelier il est amené à présenter les huîtres qu'il a ouvert avec soin et délicatesse !


 

CLUB5A - HUMOUR MOTO - LE DICTON DU JOUR : PANNE D'ESSENCE ...PANNE HONTEUSE !!


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - HARLEY-DAVIDSON EN MODE TANDEM !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - LA SM CITROEN ...L'INCARNATION DU HAUT DE GAMME DES VOITURES FRANCAISES....

 

CITROËN SM Injection : La GT française au cœur italien a 50 ans... 
En cinq ans, la SM a su incarner le haut de gamme français en rassemblant tout le savoir-faire Citroën dans une auto. Véritable œuvre d’art sur roues, elle utilise les suspensions hydrauliques de la DS et le du moteur de l’Indy. Au Salon de Genève 1970, elle provoque l’émotion du public et cartonne. Hélas, la GT française arrive dans un contexte difficile et doit prendre sa retraite cinq ans plus tard. Lorsque j’ai contacté Bernard Clavé pour lui proposer un entretien téléphonique, j’ai vu que j’avais affaire à un amoureux de la SM. 
Pour ce connaisseur à l’accent chantant, la grande Citroën reste sans doute la voiture qui l’a le plus marqué durant son enfance. « Lorsque j’étais gamin, précise ce dernier, il y en avait une à Mont-de-Marsan. J’étais admiratif face à cette voiture et je n’aurais jamais pensé qu’un jour j’en aurais une ! » Retour sur un véhicule unique qui a fait rêvé toute une génération. 
LA VOITURE DES ÉLITES DE LA RÉPUBLIQUE 
 La SM n’est pas la première Citroën à accéder à la cour de l’Elysée. Il y eut aussi la fameuse Traction 15-Six, les DS 19 et 21, la CX Prestige, la C6 et la Citroën DS 5. Mais au début des années 1970, Georges Pompidou commande deux exemplaires de SM Opéra cabriolet, plus grande que la normale puisque cette version atteint 5,60 m. Véritable paquebot roulant, cette dernière servira à véhiculer la reine Elizabeth II en 1972 puis le pape Jean-Paul II en 1980. Voiture de chefs d’état, on pensait cette belle SM à la retraite après le décès de Pompidou. 
Mais lors de son mandat, Valéry Giscard d’Estaing la sort du garage. Ses successeurs, François Mitterrand et Jacques Chirac, feront de même. A l’époque, les élites de la République cherchaient dans cette auto l’excellence française qu’elle symbolise toujours, grâce à ses innovations et son style particulier. 
UN OVNI SIGNÉ ROBERT OPRON 
 Mais il n’y a pas que les présidents qui tombent sous le charme de cette SM. Au salon de Genève 1970, ce sont les visiteurs qui portent de l’intérêt à la voiture. Son design en forme d’ovni, propre à Robert Opron, interpelle car la fluidité de sa ligne est adaptée aux résultats obtenus en soufflerie. Exit donc les arêtes vives ! 
De plus, la chose la plus intéressante dans l’esthétique est ce carénage de verre qui reçoit les phares et la plaque d’immatriculation, évitant ainsi une rupture de ligne. On retrouve donc les entrées d’air sous le pare-choc pour refroidir le bloc moteur et les freins à disques. On aime que le quai de Javel ait permis une grande liberté d’expression à l’équipe du bureau de style. Sa seule exigence était que l’aérodynamique soit au top pour rester dans la lignée de la DS. On peut dire que les designers ont réussi leur pari puisque le coefficient de pénétration dans l’air – que l’on appelle aussi… 
Cx ! – est en amélioration de 25 % par rapport à celui de la DS. Bernard Clavé aime à dire que cette voiture est « vraiment impressionnante car elle n’a rien avoir avec une DS ou même une 2 CV. » Et personne ne le contredira. 
LE GRAND LUXE 
 Dans l’habitacle, c’est le grand luxe. La GT 4-places possède des cadrans ovales originaux et une planche de bord qui reste lisible grâce à son volant monobranche. Bernard apprécie « le levier de vitesse avec cette grille qu’il trouve sympathique. » Par contre, il vient à regretter la disposition si particulière de l’autoradio, typique des Citroën. Côté équipement, il est complet. 
L’auto est même en avance sur son temps avec le volant réglable en hauteur et en profondeur : une première en Europe ! Quant au confort, Bernard est catégorique : « je peux vous assurer que l’assise est parfaite ! Si l’on doit faire un long voyage, c’est l’idéal. » Mais le design n’est pas le seul à faire impression. Car en effet, « la fille du vent » possède un moteur italien. 
UN V8 MASERATI TRONQUÉ 
L’autre argument qui fait de cette SM une grande voiture est qu’elle embarque de la technologie. Parfait pour le créneau qu’elle convoite ! Grâce à l’accord Citroën-Maserati signé en janvier 1968, Giulio Alfieri se voit confier la responsabilité d’élaborer son moteur. Mais il est déçu de ne pas avoir la permission de mettre un V8 pour des raisons de fiscalité et de normes. Mais qu’importe, il agit ! Pour accomplir cette tâche, il prend le bloc de la Maserati Indy (voir RPA N°270) et l’ampute de 2-cylindres. Le V6 de 2.7 litres à carburateur développe une puissance de 180 ch SAE à 6 250 tr/mn – soit 170 ch DIN à 5 500 tr/mn – pour une vitesse maxi de 220 km/h. 
Concernant la version à injection, elle gagne 8 chevaux supplémentaires. Dans un premier temps, la « nervosité transalpine » du bloc est appréciée. Hélas comme le précise Bernard, « les mécaniciens de chez Citroën n’étaient pas formés et n’avaient pas l’expérience pour travailler sur un bloc Maserati. Les voitures revenaient régulièrement pour l’entretien et les gens fuyaient l’auto. » Du coup, il y eu beaucoup de casse moteur au niveau des chaînes primaires et secondaires car elles n’étaient pas tendues comme le préconisait Maserati. Mais Bernard, qui fait partie du SM Club de France, relativise : « aujourd’hui, il est très rare que quelqu’un casse un moteur parce qu’on le fiabilise. On met désormais des soupapes d’échappement pleines alors qu’à l’origine, elles étaient au sodium. » Généralement, les propriétaires de SM déposent le moteur à 80 000 km pour changer les chaînes et le tendeur. Bernard poursuit : « si vous apportez un entretien régulier, il n’y a pas de raisons que votre moteur casse. »
 La bonne idée des ingénieurs est d’avoir accouplée la boîte manuelle 5-rapports, dérivée des boîtes de D Super 5 et de DS 23, car elle procure une grande souplesse de conduite qui rend l’auto agréable. A cela s’ajoute un puissant système de freinage équipé de quatre freins à disque. En plus de ce moteur transalpin, la SM renferme d’autres technologies intéressantes, dont certaines ont été testées sur la DS. La suspension hydropneumatique, qui n’a plus à faire ses preuves, bénéficie d’une belle maturité de 16 ans d’âge. Elle procure un sentiment de confort et de sécurité inégalables. Bernard ajoute qu’avec cette suspension, « dans les courbes, la tenue de route est exceptionnelle. 
Mais bien sûr, ce n’est pas non plus une Xantia Activa ! » Concernant la conduite, « ce n’est pas une sportive non plus, elle est même lourde !Mais il faut se remettre dans le contexte des années 1970… Qu’est-ce qui était aussi bien qu’une SM ? La tenue de route était phénoménale et la direction parfaite. » En effet, cette direction assistée « DIRAVI », conçue spécialement pour la SM, facilite la vie de celui qui prend le volant. Développée par Paul Magès, celle-ci permet de faire des manœuvres légères sur les parkings et s’affermit à grande vitesse pour une conduite plus sûre et précise. La fameuse rampe optique à l’avant, développée par l’entreprise Cibié, apporte un brin d’originalité mais aussi un côté technique intéressant. En effet, les phares intérieurs pivotent dans les virages en fonction de l’orientation du volant. 
Hélas au Etats-Unis, cette rampe disparait à cause des spécifications américaines sur la sécurité routière qui interdisent les phares sous globe de verre. Ceux-ci seront remplacés par quatre phares ronds fixes… et sans âme. Enfin, précisons que la SM est la première voiture à recevoir un pare-brise collé. 
ARRIVÉE DANS UN CONTEXTE DE CRISE 
 Entre 1970 et 1975, la SM s’est construite à 12 920 exemplaires. C’est donc un échec ! Pourtant, elle a contribuée à l’image de la marque française. En effet, 50 ans après, on se souvient de cette automobile comme la plus grande et la plus prestigieuse des Citroën d’après-guerre. 
Hélas, les techniciens du réseau Citroën n’étaient pas formés à réparer le bloc Maserati. De plus, elle est arrivée à l’aube de la crise pétrolière de 1973 et au moment où l’état a instauré les limitations de vitesse sur les routes. Un contexte difficile pour une auto qui a été conçu pour rouler vite et qui consomme plus qu’une citadine. Pourtant, l’histoire suit son cours et le cinquantenaire de la SM se déroulera en 2020 dans le secteur de Chantilly. Un événement que Bernard Clavé et sa SM ne sont pas prêts de manquer. La SM Injection de Bernard Clavé Le 6 septembre 1973, un capitaine de vaisseau qui était attaché naval auprès de l’ambassade de France à Rome, achète cette magnifique SM Injection, de couleur bleu de Brégançon.
 Un mois plus tard, il l’emmène chez Henri Chapron, et fait poser un toit ouvrant électrique. Sur les 12 920 exemplaires, moins de 10 ont été fait avec ce toit ouvrant Chapron. Par la suite, cette personne est revenue en France et Bernard en est le troisième acquéreur. 
 Source : Jack Stou-Romain ORRY-Photos Thierry Lesparre-retropassionautomobiles.fr/VersuS Production
VersuS Production

samedi 27 avril 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - UNE HORDE DE "MOBS" EN DIRECTION DE LA GRANDE BLEUE ....


 

CLUB5A - HUMOUR - SOYEZ SOLIDAIRES !!!!!


 

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Le Tour Auto... la fête historique de l’automobile était de passage à Carcassonne le 25 avril 2024...

 

À l’occasion de la troisième étape de la 33e édition du Tour Auto entre Limoges et Carcassonne, le parking Deltail a accueilli plus de 240 véhicules de courses mythiques des années 1940 aux années 1980 dans la soirée du jeudi 25 avril. Le Tour Auto, considéré comme le Tour de France Auto est l’une des courses automobiles les plus historiques au monde. Mélangeant spéciales chronométrées sur route comme dans un rallye et spéciales sur circuit, les 240 équipages ont terminé la troisième étape de cette édition 2024 entre Limoges et Carcassonne devant les remparts de la mythique Cité de la préfecture audoise ce jeudi 25 avril.
 Le Parc Fermé, un espace d’échanges entre passionnés Entre 18 h et 22 h, ce sont plus de 240 véhicules de légende de l’automobile qui se sont rassemblés sur le parking Delteil, à quelques pas de la Cité médiévale. Des modèles de collection, bichonnés par des mécaniciens d’exception et des pilotes pour la plupart amateurs ont fait chauffer le bitume depuis leur départ de Paris le mardi 23 avril. 
De nombreux constructeurs d’époque étaient présents avec de véritables petits bijoux de carrosserie et de mécanique comme des Jaguar Type E, des Ferrari 512 m, des Ford Mustang MK I, des Peugeot 203 ou encore des Alpine A100 1600 S. En bref un catalogue géant de voitures des années 1950, 60 70 ou encore 80, parfait pour passer un bon moment en famille ou entre amis pour transmettre la passion des moteurs vrombissants des V6, V8, V10 ou V12 et de la folie automobile.
 "C’est ma 12e participation au Tour Auto avec ma MGB que je partage avec mon copilote Jean-Marc Lecat et nos deux mécaniciens qui s’occupent de notre voiture après chaque étape. Nous sommes énormément surpris par le grand nombre de personnes dans les parcs fermés cette année. Beaucoup de familles étaient aussi présentes pour nous encourager sur le bord des routes", explique Stéphane Collas, pilote numéro 171 d’une MGB de l’année 1965 au Tour Auto Plateau 3. 

Source : lindependant.fr/

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UN TRYBIKE TYPIQUEMENT AMERICAIN !!


 

CLUB5A – REVUE DE PRESSE - RETOUR SUR LA SORTIE MOTOS DU 21 AVRIL 2024....

Source : l'indépendant - Jean GUY - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

 

vendredi 26 avril 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - QUAND LE CLUB DES 5A CARCASSONNE TIENT SALON ....


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - LES WC EN MODE RALLYE !!


 

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - TOUR AUTO EDITION 2024 - ETAPE A CARCASSONNE LE 25 AVRIL 2024...

Source : L'INDEPENDANT - House of Mecanicus-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

House of MecanicusMerci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - SPORT AUTO - LES 24H DU MANS EN 1951...

Cette année de 1951,Talbot avec Fangio et Rosier espère renouer avec le succès ; mais c’est sans compter sur la maestria des Jaguar. 
Heynes, ingénieur en chef de Jaguar, et Lofty England, directeur du département Services, persuadèrent Lyons de développer une voiture uniquement dédiée pour la compétition.....


Source vidéo  : TheCarsAZ

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UN 4 PATTES SUR 4 ROUES !!


 

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - RETOUR SUR LA SORTIE NEIGE EDITION 2024...

Source : L'INDEPENDANT - Jean GUY - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...