samedi 10 février 2024

CLUB5A - INFO CLUB - LA NOUVELLE ACQUISITION DE CORINNE ET PATRICK EN DIRECT SOUS LA PLUIE AU RETOUR DE PARIS AUJOURD'HUI...


 

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - JULIETTE ET FUFU "TRIUMPH" DANS LEUR AUTOMOBILE !


 

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - LA TRADITIONNELLE PHOTO DE GROUPE QUI LAISSE TOUJOURS DES BONS SOUVENIRS....


 

CLUB5A - HUMOUR MOTO - TOUT LES MOTARDS SONT CONVAINCUS ...EN MOTO L'IMPORTANT C'EST L'ANGLE !!


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - AUCUNE ROUTE N'EST TROP LONGUE LORSQU'ON EST BIEN ACCOMPAGNE...C'EST VRAI !! MAIS IL VAUT MIEUX ETRE SEUL QUE MAL ACCOMPAGNE !!


 

CLUB5A - PILOTE DE LÉGENDE - JIM CLARK ...".LE CHAMPION PAYSAN " !

Les années d'avant guerre avaient eu Fangio, les sixties eurent Jim Clark. Né le 14 mars 1936, à Kilmany en Ecosse, Jim Clark se fit rapidement remarquer en remportant à 17 ans sa toute première course. Il ignorait alors qu'elle n'était que la première d'une très longue série qui allait, notamment, le porter vingt-cinq fois sur la plus haute marche du podium d'un Grand Prix de Formule1... 
 Après son premier succès très encourageant sur le circuit de Windfield, Clark décida de consacrer ses loisirs à la compétition automobile. Issu d'une famille paysanne "middle-class" du Berwickshire qui voyait d'un assez mauvais oeil cette passion naissante (et aurait préféré le voir reprendre l'exploitation agricole), il dut se contenter d'une vieille Talbot-Sunbeam 90 pendant 3 ans accumulant malgré tout de nombreuses victoires dans les courses régionales.
Ces performances prometteuses ne passaient pas inaperçues. Jan Scott-Watson, amateur de compétition fortuné devint rapidement l'un des plus proches amis de Jim pour lequel il avait une admiration sans limite. 
 En 1956, il décida de lui offrir sa première vraie mais modeste voiture de course, une DKW. L'auto n'était pas bien fameuse mais son talent conjugué à sa formidable envie de réussir lui permirent de se faire rapidement remarquer des équipes sportives. Les plus grandes courses succédèrent aux petites et après une époustouflante démonstration sur le circuit de Chaterhall, à bord de la Porsche 1600 d'un ami, le team Borders Reivers lui proposa le volant d'une Jaguar Type D. Les choses étaient allées très vite, trop vite peut-être pour Clark qui n'avait pas eu encore le temps d'envisager une carrière exclusivement consacrée à la compétition. 
A l'époque, son temps était partagé entre les circuits et la ferme de son père. Les travaux des champs, le coup de main nécessaire qu'il devait à ses parents, autant d'obstacles qui le tenaient périodiquement éloigné des circuits. Malgré le manque d'entrainement, la Type D lui permit de remporter, en 1958, douze des vingt courses auxquelles il participa.
Source vidéo : Liuk312T / texte : motorlegend.com

lundi 5 février 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - PRET POUR LE DEPART POUR CETTE SORTIE SOLEX !!


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - DECIDEMENT TOUT AUGMENTE !!


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LA CANTINIERE POUR NOS SORTIES MOBYLETTES EST FIN PRETE !!


 

CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION - RESTAURATION D'UNE ALFA-ROMEO GIULIA GT JUNIOR !!

La Giulia GT Junior est une voiture coupé à caractère sportif, produite de 1966 à 1971 par le constructeur italien Alfa Romeo et qui porte le nom de code usine 105.30 00530. Ce modèle remplaça la mythique Alfa Romeo Giulietta Sprint. Créée pour être la version populaire de la Giulia Sprint GT, afin de la rendre plus accessible aux jeunes, elle connaîtra un énorme succès commercial au point de la rendre plus recherchée que sa sœur aînée tout en conservant sa réputation de coupé sportif. La première série disposait d'un équipement relativement simplifié par rapport à la Sprint GT de base mais, dès la seconde version de cette série, l'équipement s'étoffa. 
 La seconde série, présentée en 1969, marque un tournant dans la gamme avec l'adoption d'un équipement propre au modèle : tableau de bord spécifique, roues de 14" et barre stabilisatrice. Les deux premières séries sont baptisées « marche » par les puristes italiens en raison du léger décalage existant entre le dessus de la calandre et le bord du coffre, qui est le signe distinctif commun avec les autres modèles de la gamme Sprint GT et GTA. Les 1ères séries sont appelées "scalino" ou "boite aux lettres" du fait de la forme du capot avant. Le dessin sera aplani lors du restylage de la 2e série. 
 La Giulia Sprint GT Junior était une véritable version sportive, avec les mêmes qualités des autres modèles de la gamme dont elle dérivait étroitement. Équipée de quatre freins à disque et grâce à son poids bien maîtrisé, elle offrait des distances d'arrêt très performantes. Le pont arrière rigide faisait un peu souffrir les passagers arrière sur mauvais revêtement, comme bon nombre de voitures de cette époque, mais la tenue de route était bonne et très sûre même si les pneumatiques de l'époque avaient une dérive très prononcée. Giulia GT Junior 1re série 
Les accélérations et les reprises étaient particulièrement enthousiasmantes, compte tenu de la cylindrée 1 300 cm3. La consommation, qui n'était pas un critère important, restait modeste tant que l'on ne faisait pas rugir le moteur. La vitesse maxi dépassait les 170 km/h, ce qui n'était pas commun, même pour des voitures de cylindrée nettement plus importante. Cette vitesse pouvait être maintenue sur de très longues distances car, comme toutes les Alfa Romeo, le rapport de transmission était long sur le cinquième rapport et pouvait être conservé sans problème de fatigue ni de surchauffe. 
La boîte de vitesses à 5 rapports faisait sensation car cela représentait une exception dans le panel automobile, à cette époque les constructeurs français préconisaient encore les boîtes à trois vitesses et les Allemands restaient bloqués à quatre ! Le système de refroidissement était particulièrement efficace même s'il fut critiqué en Italie car, pour des raisons d'économie, le ventilateur était entraîné par une courroie et non pas par un moteur électrique comme sur les autres modèles italiens de l'époque. Les soupapes étaient au sodium pour mieux répartir la chaleur et les bougies étaient à « quatre pointes » pour une combustion meilleure et plus régulière quel que soit le régime moteur.
Source : Francis Humbert