mercredi 20 septembre 2023

CLUB5A - SORTIE AUTOS - JOURNEE DU PATRIMOINE DU 17 SEPTEMBRE 2023 - L’ESCAPADE VENITIENNE à CASTRES....

 

Cette année pour cette journée du patrimoine nous nous sommes transportés à Castres afin d'admirer les costumes vénitiens de France et les masqués de Castres…loin des châteaux et des monuments historiques (une fois n’est pas coutume) nous allions nous diriger en direction de Castres pour admirer ces jolis habits Vénitiens. 
Après le regroupement à la salle des Associations, la remise des roadbooks et la validation des inscriptions par Josette (fidèle au poste) celle-ci avait été « missionnée » par Dominique, notre secrétaire, qui était en charge, comme chaque année, d’organiser cette journée « sortie du patrimoine ».
 (Dominique étant sur place à Castres afin de réceptionner le groupe et d’organiser la logistique.)
A 8h Jean et Corinne à bord de leur splendide « Berlinette » prenaient la tête des 16 voitures dont 30 personnes jusqu’au parking au niveau de la localité de Caudebrondre où nous attendaient Régis, Véronique et d’autres adhérents afin de se «raccrocher » au cortège de voitures. Nous avons continué notre route, sous un vent d’autan en direction de Mazamet, puis Castres. Comme convenu, Dominique et Jean-François nous attendaient sur le parking devant la maison des associations de la ville.
(Ancienne école militaire équestre) Un café bien chaud et des gâteaux nous attendaient afin de souhaiter la bienvenue à l’ensemble des participants. Une fois restaurée, sous les recommandations de Dominique qui était notre guide pour la journée, notre groupe s'est éparpillé en ville pour admirer le défilé des « Vénitiens ». Visite du marché Italien avec toutes les spécialités de ce magnifique pays. (Le marché italien nous a régalés avec des produits bien typiques). 
 La matinée se poursuivait afin d’admirer ces beaux costumes vénitiens devant les halles et le jardin de la ville (les Masqués se sont prêté de bonne grâce pour une séance photos dans le jardin de l’Évêché) et de poursuivre notre visite en poussant jusqu’à la visite de la cathédrale et tout cela dans une l'ambiance chaleureuse. 
 Mais c’était l’heure de l’apéritif et comme prévu, nous avons retrouvé les participants au parking afin de prendre un rafraichissement et une petite collation. 
Enfin comme, nous le disons souvent sein de notre association :" au 5 A tout finis par un banquet "nous avons terminé cette sortie au restaurant au Causséa qui nous à régaler avec un repas très fin et très goûteux. (Merci à toute l’équipe de cet établissement pour la qualité de la prestation) 
Par petits groupes nous avons regagné notre maison cette fois-ci avec un temps gris et nuageux mais la tête pleine de souvenirs de cette belle ville de Castres et de ses magnifiques costumes vénitiens. 
Merci à tous pour votre bonne humeur, votre participation et amitié, merci à Dominique et Jean-François pour leurs implications lors de cette journée sans oublier Josette qui était fidèle au poste le matin afin d’accueillir l’ensemble des participants à cette belle journée. 
Texte : PL-Photos : JF-Siguier / PL

mardi 19 septembre 2023

CLUB5A - LE TOP DES 5A - LA DEGUSTATION DES HUITRES EST TOUJOURS UN MOMENT TRES CONVIVIAL ...


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - HEUREUX LES UTILISATEURS DE NORTON !!


CLUB5A - SPORT AUTO - LES PILOTES DE LEGENDE - ALBERT CLEMENT LE PIONNIER DE LA COMPETITION AUTOMOBILE !!

 

Albert Clément, né le 7 juillet 1883 à Paris et mort le 17 mai 1907 à Saint-Martin-en-Campagne, est un pilote automobile français. Fils du fortuné constructeur automobile Adolphe Clément-Bayard, ce passionné d'automobiles est l'un des pionniers de la compétition automobile. 
Il commence sa carrière de pilote en 1904, aidé par son père. Désigné comme le « benjamin » des coureurs, il s'illustre à plusieurs reprises, terminant même sur le podium du premier Grand Prix de l'Automobile Club de France. L'année suivante, il meurt au volant de la Bayard no 13 lors des entraînements du Grand Prix de l'Automobile Club de France 1907. Albert Clément naît le 7 juillet 1883 au 20 rue Brunel à Paris, dans l'appartement au-dessus de la boutique de vélocipèdes.
 Il est le troisième enfant et le fils aîné du grand constructeur automobile Adolphe Clément-Bayard. À cinq ans, c'est un habile cycliste. Jeune, il suit de nombreuses courses au vélodrome de Bécon-les-Bruyères puis au vélodrome Buffalo1. Afin qu'il fasse de brillantes études, son père, qui souhaite faire de lui un ingénieur, l'envoie en Suisse et en Angleterre avant qu'il revienne en France à l'école Duvignan de Lanneau où il prépare l'École centrale. À l'occasion de ces voyages, il découvre de nouvelles activités physiques : le ski et le toboggan en Suisse, le cricket, le golf, la natation et le football en Angleterre, puis le football rugby à Lanneau dans une équipe avec laquelle il gagne le championnat inter-scolaire.
 Albert Clément préfère l'usine du quai Michelet aux études. Il s'oriente vers la mécanique pratique en travaillant avec les ouvriers sur les voitures et se met dès que possible au volant d'un véhicule. Il devient un excellent manieur de volant en multipliant les trajets entre Paris et Compiègne chaque samedi Sous l'impulsion de son père, décidé à poursuivre l'éducation de son fils par la conduite de rapides automobiles, Albert Clément participe en mai 1904 aux éliminatoires françaises de la coupe automobile Gordon Bennett.
 Les observateurs crient à la folie de laisser un volant à un jeune homme âgé de seulement dix-neuf ans mais Albert fait ses preuves. Il termine dixième, après avoir gagné le Mile départ arrêté du Meeting d'Arras Le 24 juillet 1904, Albert Clément remporte le Circuit des Ardennes des Voiturettes à Bastogne sur une Clément 18 HP5. Il est le seul des deux engagés à conclure la course, disputée sur cinq tours ; son seul adversaire, Edmond, arrive trop tard pour le pesage et abandonne au troisième tour.
 Le journaliste de L'Auto Georges Prade note néanmoins les qualités du jeune pilote : « Albert Clément a été courageux, il a crevé je ne sais combien de fois sur des clous ; il a réparé, est reparti, et finalement, a terminé en un temps relativement excellent. C'est un courageux et un tenace que ce jeune homme silencieux et modeste, adroit et hardi, de la bonne école en un mot ». Le lendemain, il se classe troisième de la course principale, sur une distance plus que doublée, à quatre minutes du vainqueur George Heath. 
L'entreprise familiale utilise ces belles performances dans les publicités qu'elle effectue dans les journaux. Elle évoque même un record du monde des 500 kilomètres à près de 93 km/h de moyenne bien que les résultats publiés dans L'Auto indiquent que Georges Teste a été plus rapide sur cette distance. Un mois plus tard, fin août, il brise sa roue au premier virage du meeting de côte du Ventoux Toujours au volant de cette longue automobile bleue, Clément dispute en octobre de la même année la coupe Vanderbilt, nouvelle épreuve disputée aux États-Unis.
 Le jeune pilote stupéfie les Américains lors des essais au volant de sa Bayard-Clément de 80 ch14. Bénéficiant des nombreux abandons, il livre un duel avec le parisien d'adoption George Heath pour la victoire. Après la crevaison de son principal adversaire, Albert Clément mène la course aux huitième et neuvième des dix tours de compétition. Il bénéficie d'une voiture allégée et n'emmène qu'une seule roue de secours contre deux pour ses adversaires. Le moteur de sa voiture émet néanmoins un nuage de fumée et une puissante odeur d'essence. 
Avec une superbe conduite dans le dernier tour, Heath s'adjuge la victoire avec une avance d'une minute et vingt-huit secondes. Après la course, Albert Clément approche l'arbitre, William Kissam Vanderbilt II, et proteste avoir été retenu injustement à un contrôle près de deux minutes. La commission de la course étudie sa requête dans la soirée et la rejette. En 1905, il est moins heureux et ne termine pas les éliminatoires françaises de la Coupe Gordon-Bennett sur le Circuit d'Auvergne. Sa voiture de course Bayard-Clément, qui pèse 985 kg, possède un moteur à quatre cylindres donnant 120 ch à 1 400 tr/min, un châssis en tôle d'acier emboutie, une transmission par cardan, quatre vitesses et un embrayage métallique à plateaux, tombe en panne dès le premier tour.
 Clément abandonne et retourne à la ligne de départ à pied. Photographie en noir et blanc d'une automobile numérotée 13A sur laquelle se tient deux hommes, l'un au volant, l'autre assis. Albert Clément au volant de sa Bayard lors du Grand Prix de l'Automobile Club de France 1906. Albert Clément confirme ses talents de pilote en 1906. En juin, il termine troisième du premier Grand Prix de l'Automobile Club de France au volant d'une Bayard de 125 ch. Deuxième au terme du premier jour sur les deux que compte l'épreuve, le benjamin de la course livre un duel avec Felice Nazzaro au cours des 1 238 kilomètres de course, avant de s'incliner à cause d'une énième crevaison de roue.
 Dans sa course, Clément est aidé par Vénus, un ancien jardinier devenu mécanicien de course, mais ils ne peuvent lutter face aux jantes amovibles de ses concurrents. Au départ de la course du circuit des Ardennes en août, il termine à la sixième place derrière trois voitures de l'écurie Lorraine-Dietrich après avoir menacé la première place d'Arthur Duray au milieu de la course. Il traverse ensuite de nouveau l'Océan Atlantique en octobre pour disputer la Coupe Vanderbilt qu'il finit au pied du podium. Appelé pour effectuer son service militaire, il est en garnison au 5e régiment du génie à Versailles selon Le Figaro et à la 1re compagnie d'ouvriers d'artillerie à Vincennes pour La Vie au grand air.
 Les deux journaux s'accordent sur le fait qu'il demande et obtient trois jours de permission en mai 1907 pour essayer la voiture qu'il doit conduire au départ du Grand Prix de l'Automobile Club de France quelques semaines plus tard Lors de ces entraînements, organisés sur le circuit de la Seine-Inférieure, Albert Clément prend le volant de la Bayard-Clément 6 cylindres de 200 ch portant le numéro 13 de son mécanicien Pierre Gaudermen. Ce dernier est assis à ses côtés. Après avoir conclu un premier tour de circuit, Clément perd le contrôle de son automobile dans le virage de Martin-en-Campagne, à Saint-Martin-en-Campagne, sur la route d'Eu, à 15 kilomètres de Dieppe.
 Gêné par la poussière soulevée par la voiture de Fernand Gabriel qui le précède ou lancé à une trop grande vitesse, il glisse vers l'extérieur du virage. La roue avant-gauche de son véhicule heurte un tas de sable. Le véhicule bondit et se brise sur la route. Lorsque les premiers témoins arrivent sur la scène de l'accident, Albert Clément est étendu au milieu de la route, mort sur le coup. Sa tête a été défoncée par la colonne du volant de direction, perçant sa gorge et fracturant son crâne. Blessé et évanoui, Gaudermen reprend ses esprits quelques minutes plus tard, transporte son ami dans l'auberge de Saint-Martin-en-Campagne puis télégraphie aux usines Clément la nouvelle de l'accident sans oser annoncer sa mort.
 Son père apprend la nouvelle tard dans la journée, une fois qu'il atterrit de son voyage en ballon avec Jacques Faure. En son souvenir, une stèle a été érigée à proximité des lieux de l'accident, en bordure de la route départementale 925, rue de la Libération, à Saint-Martin-en-Campagne, sur l'actuelle commune de Petit-Caux. On peut y lire "il était du monde où les plus belles choses ont le pire destin". Ce drame mortel rappelle celui de Marcel Renault survenu lors de la course Paris-Madrid quatre ans plus tôt.
 C'est l'une des tragédies qui amènent l'Automobile Club de France à bannir le no 13 en compétition automobile dans les années 1920. La triskaïdékaphobie est depuis très présente dans le monde automobile. Les trois voitures de l'écurie Clément-Bayard participeront au Grand Prix de l'Automobile Club de France 1907. Pierre Garcet termine septième de la course, Elliott Shepard huitième et « Alezy », au volant de la voiture d'Albert Clément, abandonne dans le cinquième tour. 
Source : wiki/Albert_Clément-King Rose Archives

lundi 18 septembre 2023

CLUB5A - LE TOP DES 5A - NOUS AVONS BESOIN DE TOUTES LES BONNES VOLONTES AU SEIN DE L'ASSOCIATION ET NICOLAS EN FAIT PARTIE...


 

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Le Roi Charles III arrive en France… en Bentley un peu spéciale !

 

Le souverain britannique effectue sa première visite officielle en France du 20 au 22 septembre 2023. Pour l’occasion, sa Bentley Royal State Limousine va traverser la Manche. Construite sur une base de Bentley Arnage à deux exemplaires seulement, cette royale limousine répond à un cahier des charges très strict. Le véhicule doit en effet assurer la sécurité du roi d’Angleterre, comme il le fit avec la reine Elisabeth II, et cela dans un confort absolu. Confort et sécurité Un habitacle confortable et adapté aux précieuses toilettes est une priorité. Pour cela la Bentley repose sur un châssis rallongé qui porte sa longueur à 6m22 tandis que le ciel de toit a été largement rehaussé pour accueillir les royales coiffes. Le cuir Connolly gris est légion du sol au plafond de même que les essences de bois précieux. 
La surface vitrée est immense pour permettre de voir et être vu lors des parades officielles. La Bentley d’Elisabeth II Il faut rappeler que la Reine d’Angleterre était une grande amatrice de belles automobiles qu’elle ne manquait pas de conduire. Jaguar, MG, Bentley, Rolls Royce et bien entendu ses si précieux Range Rover. Pour l’anecdote, Elisabeth II ne disposait pas de permis de conduire ! Lors de la mise en place du permis pour tous, elle était déjà reine d’Angleterre et à ce titre seule personne du Royaume-Uni habilitée à attribuer le précieux sésame. Comme toutes les limousines commandées par sa gracieuse majesté, la Bentley dispose d’une teinte bicolore bordeaux et noire. Les 2 exemplaires ont été fabriqués par Mulliner Coachworks, carrossier attitré de la marque et de la couronne. Enfin, sous ses airs de veille aristocrate la voiture est intégralement blindée et équipée contre toute sorte de menace. Elle résiste aux balles, aux missiles sol/sol mais également aux attaques chimiques ou bactériologiques. 
Source / mobiwisy.fr/Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - RÉPARATION DE FORTUNE !!


samedi 16 septembre 2023

CLUB5A- LE TOP DES 5A - CONVERSATION TRES SERIEUSE ENTRE ALAIN ET MICHEL ....


 

CLUB5A - HUMOUR MOTO - UNE HISTOIRE DE COULEURS....

A un feu de signalisation, une motarde qui vient juste d'avoir son permis et sa nouvelle moto, s'est arrêtée au rouge. Elle cale et laisse passer, successivement, le vert, l'orange, un second rouge. A ce moment, un agent s'approche et lui demande, aimablement : 
- Alors, Madame ne trouve pas son affaire dans les coloris de la Préfecture ?

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LE COW-BOY MOTORISE !!


jeudi 14 septembre 2023

CLUB5A - LE TOP DES 5A - QUAND JEAN-PIERRE REMONTAIT SON COL...CELA SIGNIFIAIT QUE LE DEPART ETAIT IMMINENT ...


 

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - REGIS PERICH NOTRE AMI ET ADHERENT AU CLUB DES 5A ET CO-ORGANISATEUR DES SORTIES MOTOS A LA UNE DE LA PRESSE REGIONALE

Source : J-G . lindependant.fr - Merci DAVID SARDA  pour le suivi de l'info...
 

CLUB5A - Divertissement auto - Charles Trenet ........Je t'attendrai à la porte du garage !!

Aux environs des belles années mille neuf cent dix Lorsque le monde découvrait l'automobile 
Une pauvre femme abandonnée avec ses fils 
Par son mari qui s'était enfui à la ville 
Dans une superbe 
Panhard et Levassor 
Qu'il conduisait en plein essor 
Lui écrivait ces mots d'espoir 
En pensant que peut-être un soir 
II reviendrait tout comme avant 
Au lieu de partir dans le vent
 (Refrain) Je t'attendrai à la porte du garage 
Tu paraîtras dans ta superbe auto 
Il fera nuit mais avec l'éclairage 
On pourra voir jusqu'au flanc du coteau 
Nous partirons sur la route de 
Narbonne Toute la nuit le moteur vrombira 
Et nous verrons les tours de Carcassonne 
Se profiler à l'horizon de Barbeira 
Le lendemain toutes ces randonnées 
Nous conduiront peut-être à Montauban 
Et pour finir cette belle journée, 
Nous irons nous asseoir sur un banc 
  L'époux volage hélas ne revint pas si tôt 
Escamoté par son nuage de poussière
Courant partout : Nice-Paris, Paris-Bordeaux 
Sans se soucier de sa famille dans l'ornière 
Il courut ainsi pendant plus de quarante ans 
Et puis un jour, tout repentant 
Il revint voir sa belle d'antan 
Qui avait appris à ses enfants 
Ce refrain que les larmes aux yeux 
Ils répétaient aux deux bons vieux 
 Ah quel bonheur à la porte du garage 
Quand tu parus dans ta superbe auto 
Il faisait nuit mais avec l'éclairage 
On pouvait voir jusqu'au flanc du coteau. 
Demain, demain sur la route de Narbonne 
Tout comme jadis heureux tu conduiras 
Et nous verrons les tours de Carcassonne 
Se profiler à l'horizon de Barbeira 
Pour terminer ce voyage de poète 
Et pour fêter ce retour du passé 
Nous te suivrons tous deux à bicyclette 
En freinant bien pour ne pas te dépasser 
En freinant bien pour ne pas te dépasser. 


Paroles et Musique: Charles Trenet 1955 © 1955 Editions Raoul Breton

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LA 2CV CITROËN ROBOCOP !!


mercredi 13 septembre 2023

CLUB5A - LE TOP DES 5A - LES PETITS RENDEZ-VOUS DU DIMANCHE MATIN AU CAFE DU DOME ...


 

CLUB5A - HUMOUR - LE ROUTIER ET LES MOTARDS....

Un routier s'arrête dans un resto pour prendre un petit déjeuner. 
La serveuse lui apporte un sandwich, un café et un morceau de tarte. 
A ce moment là quatre motards, en blouson de cuir, font irruption dans le resto et s'installent près de lui. 
 Le premier lui prend son sandwich, le deuxième boit son café, le troisième avale sa tarte et le quatrième regarde tout cela et encourage les trois autres. 
Sans dire un mot, le routier paie et s'en va. 
 Un des motards s'exclame : 
"C'est même pas un homme !" 
La serveuse s'exclame à son tour : 
"C'est même pas un bon conducteur non plus...   Regardez ça, il est en train d'écraser quatre motos avec son camion ..."

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UN TWIN DE 2976cc ...C’ÉTAIT EN 1903 !!


mardi 12 septembre 2023

CLUB5A - LE TOP DES 5A - GERARD ALVARO ET SON FIDELE TRIPORTEUR....


 

CLUB5A- - HUMOUR AUTO - LE BRETON ET LE MARSEILLAIS !!


Un touriste breton dont la voiture est immatriculée 22 (Côte d’Armor) est en vacances à Marseille. 
 - Il descend le Boulevard d’Athènes pour se rendre sur le Vieux Port. 
Il est 14 heures et comme d’habitude, c’est le grand embouteillage. 
 Devant la voiture du breton se trouve celle d’un Papy marseillais. 
 Le dit Papy change de file en permanence, un coup à droite, puis à gauche, puis il revient à droite et ainsi de suite. 
Ulcéré, le breton s’énerve et parvient enfin à le dépasser. 
Arrivé à la hauteur du papy, il se penche vers sa fenêtre de droite et hurle : 
-Alors le vieux, vous arrêtez de changer de file sans arrêt ! 
 -On roule à droite un point c’est tout ! 
Le brave papy, qui a sa fenêtre ouverte, regarde le breton d’un air complètement étonné et lui répond : 
- Oh fada !  Ici on est à MARSEILLE ! 
- On roule ni à droite ni à gauche ! 
 Le conducteur breton n’en croit pas ses oreilles et enchaîne : - - - Ah bon ! 
-Et vous roulez où à MARSEILLE ? 
 Le Papy lui rétorque alors : Eh, comme d’habitude couillon, on roule à l’ombre...!

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UN CONDUCTEUR TRÈS ATTACHE A SES JANTES !!