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samedi 2 août 2025

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Porsche 911 «Project Gold» étude de style !..






















Le premier prototype de Porsche 911 est produit en 1959. Cette étude de style, connue sous le nom de « Projet T7 », est esthétiquement très proche de la Porsche 356. En effet, la nouvelle Porsche doit être plus performante, plus spacieuse et plus confortable que la vieillissante 356, tout en conservant quelque peu la forme originelle, et ce malgré un empattement allongé de 20 cm au minimum. 
Ce projet constitue un véritable défi à relever pour les ingénieurs de la firme de Stuttgart, bien plus souvent habitués à optimiser les modèles existants, que de créer de toutes pièces. Cette liberté dans la conception engendre un nombre relativement important de prototypes aux solutions techniques différentes : la mécanique est tour à tour refroidie par air, par eau et même par une combinaison associant l'huile pour les cylindres et air pour les culasses. 
Le style est quant à lui moins sujet à discussion. En effet, le chef du Département Carrosserie, Erwin Komenda, est seul décideur en ce qui concerne la ligne des produits Porsche. Pour lui, le design n'est qu'une notion superflue. 
Une petite équipe de stylistes, sous la direction du fils de Ferry Porsche, ButziN 1, définit une automobile 2+2N 2 compacte dont le profil va se révéler être intemporel. Selon Butzi, la simplicité des lignes est une évidence et la facilité de fabrication est une nécessité absolue. Fort de son expérience à l'école de stylisme d'Ulm, il dessine une voiture aux lignes fluides, mais renonce à la carrosserie tricorps de la 356 pourtant chère à son père, et adopte un arrière « fastback » dans l'optique de loger quatre adultes. Cette solution offre également l'avantage d'avoir un meilleur coefficient de traînée. Quatre ans plus tard, au Salon de l'automobile de Francfort 1963, Porsche dévoile son cinquième et dernier prototype, baptisé « 901 », qui préfigure à peu de chose près, le modèle de série 

L'histoire des Porsche 911 débute au Salon automobile de Francfort, le 12 septembre 1963, avec la présentation de ce qui sera la première génération de Porsche 911, la type 901. Devant l'opposition du constructeur français Peugeot, qui a déposé et exploité depuis le milieu des années 1950 les noms de modèles avec un "0" au milieu, Porsche décide le 10 novembre 1964 de remplacer le zéro par le chiffre qui succède, à savoir le 15. Le nouveau modèle est immanquablement une Porsche, car il intègre les traits marquants des prototypes antérieurs et demeurent dans la lignée des Porsche 356. 
Le pare-brise est plus relevé que sur la 356 et la surface vitrée est supérieure, mais l'élément stylistique le plus caractéristique réside dans la courbure progressive et continue du toit dont la ligne, partant du bord supérieur du pare-brise, ne s'achève qu'au niveau du pare-chocs arrière. Cette ligne, satisfaisante sur le plan esthétique, favorise également la pénétration dans l'air. Dès son lancement, le succès est au rendez-vous et la 911 remporte de nombreux succès en courses automobiles. 
Au fil des années, Porsche introduit des améliorations et les 911 successives sont toutes à la pointe de la technologie de leur époque. Chaque nouveau modèle est plus puissant que le précédent. En 1968, le véhicule gagne ainsi 10 chevaux et atteint allègrement les 210 km/h, ce qui est pour l’époque exceptionnel. La marque Porsche commercialise ses voitures dans le monde entier, le modèle 911, en vente aux États-Unis a toutefois subi quelques modifications afin d’être en conformité avec les normes américaines. 
Est sorti des chaînes de montage de l'usine de Zuffenhausen le millionième exemplaire de Porsche 911. Il s'agit d'une 911 Carrera S coupé personnalisée par Porsche Exclusive, le département personnalisation du constructeur. Elle est peinte dans une teinte spéciale « vert irlandais » et l'habitacle reçoit un volant serti de bois, le levier de vitesses, la planche de bord et la sellerie se couvrent de cuirs et tissus au motif pepita en hommage au modèle originel de la Porsche 911 de 1963. 
Le chiffre 1.000.000 est inscrit sur le fond de l'un des compteurs. Ce modèle rejoint la collection du Porsche Museum.
Source :WKPDIA/CC-BY-SA-3.0-CARADISIAC


CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Location de voiture : bientôt la fin des moteurs thermiques ?

Selon le journal allemand Bild, la Commission européenne pourrait obliger les loueurs et flottes d’entreprises à n’acheter que des véhicules électriques dès 2030. 
Une proposition législative est attendue à la fin de l’été 2025. Voilà une nouvelle du tabloïd allemand Bild qui donne des sueurs froides aux loueurs de voitures, Sixt en tête. 
«À partir de 2030, les sociétés de location de voitures , ainsi que les grandes entreprises», pourraient n’être «autorisées à acheter que des voitures électriques », écrivait le journal allemand, citant des «sources européennes», le 19 juillet 2025. 
L’information fait écho à un projet de législation européenne, qui pourrait éventuellement mettre en place cette obligation. 
Dès février 2024, la Commission européenne a mené un processus de consultation pour réfléchir à des «initiatives de décarbonation des flottes d’entreprise», dans le but d’introduire d’éventuels quotas électriques pour les exploitants de flottes professionnelles (loueurs et entreprise) ; bien avant la fameuse interdiction des moteurs thermiques en 2035. 
Si de nombreux intervenants ont pris part au processus de consultation, le résultat de cette procédure n’a pas encore été publié. 
Un long processus 
Par la suite, dans une lettre de mission de septembre 2024, Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne a demandé à Apóstolos Tzitzikostas, son commissaire aux transports durables et au Tourisme, de présenter une proposition législative pour la décarbonisation des flottes d’entreprise. 
Lors d’une audition mi-juillet, ce dernier a confirmé aux acteurs que la Commission avait l’intention de présenter une proposition législative à la fin de l’été, «qui comprendra des mesures pour les exploitants de flottes». 
Pour autant, le commissaire n’en a pas plus dit, et ne confirme donc pas que «les sociétés de location de voitures, ainsi que les grandes entreprises, ne seront autorisées à acheter que des voitures électriques », en 2030. 
Bref, rien d’officiel, si ce n’est que certains acteurs du dossier ont eu vent de l’éventualité. Autre élément qui corrobore la possibilité de la mesure : la Commission européenne a lancé un appel à contributions le 25 juillet pour réaliser une analyse d’impact sur ses futurs travaux législatifs. Elle y rappelle que «le transport routier doit se décarboner rapidement», et pour ce faire «les constructeurs ont besoin de ventes à grande échelle de véhicules à zéro émission». Selon elle, les flottes d’entreprise dont les loueurs — représentant environ 60% des nouvelles immatriculations — sont un levier clé. Car les véhicules des flottes d’entreprise nourrissent ensuite la majorité du marché de l’occasion. En favorisant l’achat de véhicules à zéro émission (VZE) dans les flottes d’entreprise, on augmente automatiquement la quantité de véhicules propres disponibles d’occasion. 
 La commission européenne indique d’ailleurs que «le manque d’adoption des VZE dans les flottes d’entreprise réduit aussi leur disponibilité sur le marché de l’occasion», faisant savoir que sans intervention européenne : ce problème persistera. Dans le même document du 25 juillet, elle évoque également «une action urgente nécessaire avant 2030». Les loueurs s’activent contre la mesure 
Du côté des loueurs, notamment Sixt, la réaction est très critique face à ce possible règlement. Sixt souligne un problème majeur d’infrastructures de recharge en Europe : 61% des infrastructures de recharge publiques sont concentrées en Allemagne, France et Pays-Bas (chiffres de l’UE).
 «Ce qui pénalise particulièrement certaines zones comme les destinations touristiques de la Méditerranée», argumente l’entreprise. 
 Selon Nico Gabriel, membre du conseil d’administration de Sixt, cette obligation d’achat de véhicules électriques dès 2030 est donc «irréalisable dans ces conditions». Sixt fait savoir que les touristes éprouvent «une grande réticence à louer des véhicules électriques» du fait «du manque de stations de recharge rapides et accessibles». 
 L’Allemagne ouvre le bal de la réaction des États membres 
En Allemagne, la nouvelle de l’éventuelle obligation a déjà ouvert le débat public. Friedrich Merz, chancelier allemand, ayant vivement critiqué les réflexions de la Commission européenne à ce sujet, les jugeant «complètement déconnectées des nécessités actuelles en Europe». Lui défend l’impératif de rester ouvert à toutes les technologies, sans imposer une restriction unique à la mobilité électrique - soulignant l’importance vitale de l’industrie automobile pour l’Europe et la prudence à avoir quant à la maturité des technologies électriques. Du côté de l’hexagone, le projet n’a pas encore fait de bruit. 
 Si la mesure est effectivement présentée à la fin de l’été 2025 et adoptée ensuite, elle devra être déployée tel quel par les États membres de l’UE : les loueurs seront bien contraints d’acheter 100% de véhicules électriques dès 2030. Malgré cette obligation, les véhicules thermiques resteront louables, mais leur part dans les flottes diminuerait inexorablement, devenant peu à peu marginale, telle peau de chagrin 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

dimanche 27 juillet 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Des GT en vente au château...

 

La maison Artcurial disperse le 28 septembre prochain la cinquantaine de véhicules de la collection de Jean-Pierre Nylin. Tout finit par être à vendre. Les collectionneurs ne sont que des gardiens temporaires des objets de leur passion. Un principe qui s’applique à la collection de Jean-Pierre Nylin. À la suite de son décès fin 2024, ses héritiers ont décidé de vendre ses automobiles, principalement des modèles des années 50 et 60 qu’il avait acquis, pour certaines, dans les ventes aux enchères orchestrées par Me Hervé Poulain. C’est d’ailleurs la maison Artcurial qui va être chargée de disperser cette collection comportant une cinquantaine de véhicules. Pour assister à la vente, il faudra se rendre au château de Vernon, situé à 20 km au sud-est de Poitiers. L’histoire raconte que Jean-Pierre Nylin avait acquis et restauré ce château du XVe siècle pour accueillir sa collection. Cet amateur éclectique avait réuni principalement des voitures de sport des années 50-60, aussi bien des modèles anglais, italiens, français et allemands.
 Toutes les architectures trouvaient grâce à ses yeux : coupés sportifs ou GT de prestige, cabriolets. On trouve ainsi une MG TF et une MGA, une Austin-Healey 3000, des Jaguar XK120 et XK140, une Daimler SP250, une Aston Martin DBS de 1971. Le coin des italiennes est représenté par une Lancia Flaminia cabriolet Touring, des Maserati 3500 Sebring de 1963 et Merak, des Ferrari 400 et 456. Amateur de Facel Véga, Jean-Pierre Nylin possédait un coupé HK500 de 1958 et une Facellia cabriolet. Ce collectionneur aimait aussi les voitures de sport. Le catalogue comporte une berlinette Alpine A110 et une Dodge Viper GTS. Toutes les voitures de la collection seront vendues sans prix de réserve. 
Source : le figaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

samedi 26 juillet 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Une Ford Escort, qui dormait depuis 35 ans dans une grange, s’est vendue 318 000 euros

 

Une Ford Escort Mk II RS 1800 de 1976, modèle rare produit en seulement 109 exemplaires, a été vendue aux enchères après avoir appartenu à la même famille depuis 50 ans. Cinquante ans d’histoire familiale viennent de s’adjuger à 276 848 livres sterling (environ 318 000 euros). À Iver, dans le Buckinghamshire en Angleterre, cette Ford Escort Mk II RS 1800 de 1976, ayant appartenu à la même famille pendant près de cinq décennies, a trouvé un nouveau propriétaire lors d’une vente aux enchères. L’histoire de la voiture débute en 1977, lorsque le défunt mari de l’actuelle propriétaire acquiert ce véhicule pour une somme non divulguée. Pendant une décennie, il profite de sa Ford avec délectation, parcourant les routes britanniques au volant de ce bolide qui fait sa «fierté et sa joie». 
Un modèle quasi unique Mais cette Escort n’est pas un modèle ordinaire. 


Initialement immatriculée au nom de la Ford Motor Company le 19 mai 1976, elle fait partie des cinq véhicules exclusivement réservés à la presse par le constructeur automobile. Sur les 109 exemplaires produits au total, seules ces cinq unités bénéficiaient de ce statut particulier, ce qui confère à cette automobile une rareté absolue. Sa valeur ne cesse d’augmenter, surtout à la fin des années 1980, au moment où le propriétaire prend la décision de restaurer son précieux véhicule. Le moteur est entièrement démonté et confié à des experts pour une reconstruction complète. Mais le destin ne lui fera pas forcément honneur : la Ford Escort trouve refuge dans une grange où elle va sommeiller pendant 35 longues années, son moteur reconstruit reposant sur une palette à ses côtés. 
Au moment où la famille décide finalement de la vendre aux enchères (cette année) le temps a fait ses dégâts : un autre projet de restauration fut entrepris, pour présenter la voiture dans les meilleures conditions possibles. Aujourd’hui, cette Escort Mk II RS 1800 se présente dans un état remarquable. Sa carrosserie repeinte en blanc diamant d’origine, avec de fines bandes bleues qui mettent en valeur ses lignes sportives, est impeccable. L’intérieur en tissu noir est tout aussi soigné. Affichant seulement 39.000 kilomètres au compteur, soit à peine 800 km par an depuis près de cinquante ans, la voiture montre à quel point ses propriétaires l’ont précieusement entretenue. La voiture des pilotes L’Escort RS1800 Mk II est une véritable légende dans le monde du rallye. Dotée du moteur 1,8 litre Cosworth BDA, capable de dépasser 240 chevaux dans sa version compétition, elle a été la reine des courses à la fin des années 1970 et au début des années 1980. Des pilotes mythiques comme Björn Waldegård, Ari Vatanen ou Hannu Mikkola lui doivent certains de leurs plus grands succès. C’est d’ailleurs au volant d’une RS1800 qu’Ari Vatanen est devenu champion du monde des rallyes en 1981, inscrivant à jamais ce modèle dans l’histoire du sport automobile. Bref, l’enchère record de 318.000 euros illustre à quel point ce modèle continue de faire rêver. Après le décès récent de son propriétaire, c’est désormais sa veuve qui a pris la difficile décision de se séparer de ce trésor automobile. Une page se tourne pour cette famille, mais l’histoire de cette Ford Escort légendaire commence pour l’enchérisseur gagnant. 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - La Tucker 48 de Francis Ford Coppola à vendre...

 

La maison Gooding Christie’s est chargée de disperser la collection de voitures du producteur et réalisateur américain à succès, en marge du concours d’élégance de Pebble Beach en août prochain. 
Il ne se passe quasiment plus une seule vente aux enchères sans la dispersion de la collection d’un amateur. Lors de la semaine de Pebble Beach, en août prochain, réputée pour être devenue le repaire de la vente des plus belles pièces, de nombreuses collections vont encore être mises à l’encan. En parcourant le catalogue de la maison Gooding & Company récemment rachetée par le poids lourd Christie’s, on découvre que Francis Ford Coppola a décidé de se séparer de ses quelques voitures de collection. À 86 ans passés, le réalisateur à succès de Hollywood, auteur notamment du film Apocalypse Now et de la trilogie du Parrain, considère qu’il est temps de transmettre ses voitures à un nouveau «gardien» qui en prendra autant soin que lui. 
Sa collection que l’on pourrait qualifier d’être à taille humaine, à peine quatre voitures, montre l’intérêt de son propriétaire pour les voitures américaines de la première partie du siècle. La plus ancienne est une Ford Model T de 1913, considérée comme la première voiture produite en grande série. La deuxième est un monument de la production américaine des années 1930 : une Cord 810 Cabriolet de 1936. À l’époque, son style apparaît avant-gardiste avec ses phares rétractables dissimulés dans les ailes, son capot avant se terminant sur des persiennes, ses charnières de porte dissimulées et ses flancs dénoués de marchepieds. Propulsée par un V8 Lycoming, la Cord 810 est estimée entre 90 000 et 120 000 dollars. La pièce maîtresse de la collection de Francis Ford Coppola est sans conteste la Tucker 48. 
C’est sa préférée. 
En 1988, il a réalisé un film sur l’histoire de Preston Tucker et de son entreprise qui voulait bousculer les Big Three (GM, Ford et Chrysler). Après la sortie du film, il a conservé le modèle 48 de 1948 qu’il avait utilisé pour le film. Quatorzième d’une série de 50 voitures produites, sa Tucker était exposée à Inglenook, le vignoble de la famille dans la Napa Valley. Passionné d’automobile, Preston Tucker avait commencé sa carrière chez Cadillac avant de travailler sur les chaînes de montage de Ford. On le retrouve finalement comme commercial puis directeur régional de Pierce-Arrow. C’est en se liant d’amitié avec l’ingénieur et concepteur de voitures de course Harry Miller qu’il commence à construire des voitures de course pour Ford, en 1935. 
L’idée de construire sa propre voiture germe durant la Seconde guerre mondiale. Il s’inspire largement du concept révolutionnaire de la Tatra T77 à l’architecture à moteur arrière conçu par Miller. Il s’agissait d’un six-cylindres avec des chambres hémisphériques et des soupapes en tête. La ligne devait porter la signature de Alex Tremulis qui venait d’Auburn et de Cord. 
Le moteur Miller ne répondant finalement pas aux critères de Tucker, la berline américaine devait finalement accueillir un bloc provenant de la société Air Cooled Motors spécialisée dans les moteurs d’hélicoptère. Originalité de la production américaine, la Tucker 48 est estimée entre 1,5 et 2 millions de dollars. Le prix de l’exclusivité pour ce modèle qui appartient à l’une des légendes du cinéma américain. 
 Quant à sa quatrième voiture mise aux enchères, il s’agit d’un banal transporter Volkswagen de type Vanagon GL Westfalia de 1987. Depuis le tournage de The Rain People en 1968, M. Coppola avait adopté ce van qui lui permettait pendant les tournages de se réfugier pour se reposer ou pour écrire. Au fil des années, plusieurs vans VW se sont succédé. 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

vendredi 25 juillet 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Des histoires d’automobiles en BD...

 

Pour petits et grands, à l’heure des congés estivaux, entre fiction et réalité, une sélection d’albums illustrés racontant des épisodes de la course. Michel Vaillant, ce champion de papier sorti de l’imagination du dessinateur Jean Graton, est immortel. Le voici qui revient dans un album intitulé La Course du siècle (16,95 €). Avec Denis Lapière pour le scénario et Vincent Dutreuil pour les dessins, la famille Vaillant et ses Vaillante s’immiscent dans le duel Ford-Ferrari de l’édition 1967 des 24 Heures du Mans. Comme toujours, les croquis sont saisissants de réalisme. Les scénarios et la reproduction fidèle des scènes nous installent dans la vraie vie. 
Le résultat de la course, à découvrir en lisant l’album, laisse place à l’imagination. Dans la collection « Dossier Michel Vaillant », le tome 18 (Dupuis, 22 €) s’intéresse à l’histoire du circuit hollandais de Zandvoort situé en bordure de la mer du Nord. 
En tournant les pages de cet album associant textes, photos et dessins, on apprend que Tarzan, nom donné à un virage, tire son nom de l’agriculteur qui avait donné sa terre pour construire le tracé. Tout aussi fascinant est le parcours du Manceau Jean Rondeau. 
Le journaliste Pascal Dro et le dessinateur Christian Papazoglakis nous font revivre l’aventure de ce jeune ambitieux qui a concrétisé son rêve en devenant le seul à remporter les 24 Heures du Mans au volant d’une voiture portant son nom (24 Heures du Mans, Glénat, 14,50 €). Gilles Gaignault, la mémoire des paddocks Qu’est-ce qui fait encore « courir » ce petit-fils d’un agent de change ? 
La passion et sans doute un besoin de reconnaissance, car comment expliquer que ce jeune homme qui va vers ses 75 ans continue à être aussi actif. Tour à tour journaliste sportif, grand reporter, responsable de la communication de la Fédération internationale de l’automobile et attaché de presse de Jean-Marie Balestre, agent de Philippe Streiff, directeur d’écurie, fondateur et rédacteur du site Autonewsinfo, Gilles Gaignault se raconte dans un livre *. Et comme rien n’a échappé à sa sagacité et à sa mémoire d’éléphant, cela donne un ouvrage riche d’anecdotes sur les personnages et les événements qui ont écrit l’histoire du sport automobile de ces cinquante dernières années. À lire à la plage ou à l’ombre d’un arbre. * Mémoires de passion. Un demi-siècle dans les paddocks, Glyphe, 246 p., 25 €. 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivie de l'info...

jeudi 24 juillet 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - La McLaren F1 de l’ex-patron d’Oracle estimée 20 millions d’euros

 

Entre le 13 et le 16 août, la maison RM Sotheby’s vend aux enchères un exemplaire de l’emblématique GT anglaise ayant appartenu au milliardaire Larry Ellison. Ce n’est pas un hasard si la McLaren F1 est devenue la voiture de sport de route la plus désirable et la plus chère au monde. Autour de 20 millions d’euros. Conçue par le talentueux ingénieur sud-africain Gordon Murray, la GT de Woking est de l’aveu de ceux qui ont pu la piloter un monument. Avant de lancer l’étude de sa GT pour laquelle il a carte blanche, Il essaie toutes concurrentes putatives : Ferrari F40, Bugatti EB110, Jaguar XJ220, Porsche 959. Aucune ne trouve grâce à ses yeux. À l’époque, l’homme, qui a développé les Brabham championnes du monde avec Nelson Piquet et les McLaren MP4/4 championnes du monde avec Alain Prost et Ayrton Senna, voulait développer la voiture la plus légère, la mieux conçue et la plus amusante à piloter.
 Présentée en marge du grand prix de Monaco de 1992, la McLaren F1 répond au-delà des espérances au cahier des charges de son géniteur. Il a inventé la référence ultime. Sa GT est compacte et surclasse toutes ses rivales avec un poids plume de 1 080 kilos grâce à l’adoption du carbone, comme en Formule 1. Les lignes pures visent l’efficacité maximale. Elles se dispensent de disgracieux appendices aérodynamiques. Ses portes en élytre s’ouvrent sur un habitacle installant le pilote au centre, comme dans une monoplace. Particularité de l’habitacle : la place centrale dispose de chaque côté d’un siège positionné en retrait. La McLaren F1 ressuscite l’architecture à 3 places frontales et conduite centrale développée par Pininfarina en 1966 pour la Ferrari 365 P Guida Centrale. Deux exemplaires seront produits pour Luigi Chinetti, l’importateur Ferrari aux États-Unis, et Gianni Agnelli, le patron de Fiat. Au début du projet, Gordon Murray avait imaginé que Honda, le motoriste de l’écurie de F1, développerait un moteur pour sa GT, mais devant le refus des Japonais, il s’était tourné vers son ami Paul Rosche, le directeur des moteurs de course au sein de BMW Motorsport.
 Le constructeur munichois disposait sur les étagères d’un V12 de 6 litres atmosphérique provenant du projet avorté de la M8. L’affaire scellée, le monde de la F1 découvrait à Monaco que la McLaren F1 délivrait 627 chevaux à 7 400 tr/min. Le V8 à double turbo de la F40 ne dépassait pas 478 chevaux. Le bijou anglais de technologie avait un prix : 1 million de dollars. Les clients ne se pressent pas. L’économie est en crise. Sur les 106 exemplaires de la série des McLaren F1, seulement 64 modèles de route seront produits. Sept d’entre eux traversent l’Atlantique. Outre Ralph Lauren, Larry Ellison, le fondateur d’Oracle, est l’un des acheteurs du bolide anglais. Une huitième rejoint le sol américain pour Elon Musk en 1999. Le patron d’Oracle prend livraison de sa F1 en 1997. Portant le numéro de châssis 062, c’est la 53e produite. Après avoir effectué à peine 2 600 miles en dix ans à son volant, Larry Ellison cède sa GT gris acier immatriculée «ORACLE8» à un amateur de la baie de San Francisco. Depuis, elle a encore changé une fois de mains. La voici de nouveau sur le marché l’année où Gordon Murray célèbre 60 ans de conception automobile.
Source : lefigaro.fr- Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

mardi 22 juillet 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Pour lutter contre les feux de forêt, certains députés veulent rendre obligatoire un nouvel équipement dans nos voitures

 

Ces dernières années, les incendies de grande ampleur se multiplient. Le réchauffement climatique est certes en cause, mais parfois, un véhicule en feu est l’élément déclencheur. 
Alors pour lutter contre ce fléau, des députés proposent de rendre obligatoire un nouvel équipement dans les voitures, comme c’est déjà le cas dans plusieurs pays européens comme la Belgique ou l'Allemagne. 
 Un extincteur obligatoire dans chaque véhicule pour couper court aux incendies avant qu’ils ne se propagent, c’est la proposition de loi de quatre députés. 
Le 8 juillet, un violent incendie se déclare aux portes de Marseille, des centaines de pompiers sont mobilisés durant trois jours pour réussir à maîtriser le feu. 
Pendant ce temps, plusieurs quartiers de la cité phocéenne doivent être évacués. À l’origine de cet incident lourd de conséquences, une voiture ayant pris feu sur l’autoroute A55. L’incendie de la Peugeot 107 se serait propagé à la végétation environnante avant de prendre des proportions gigantesques à cause, entre autres, du vent et de la sécheresse environnante. 
 Des extincteurs bientôt imposés dans les voitures... et les logements ? Est-ce que le feu de la voiture aurait pu être maîtrisé si le conducteur était intervenu très rapidement avec un extincteur ? 
On ne le saura pas, mais la Fédération des Forestiers Privés réclame que chaque véhicule en soit obligatoirement équipé. Cette demande est portée à l'Assemblée nationale par quatre députés. 
La proposition de loi part du triste constat de l’incendie de Marseille et rappelle que ce genre de situation n’est pas inédite. Trois ans plus tôt, en Gironde, une tragédie similaire s’était déjà produite. Les élus vont d’ailleurs plus loin en proposant même de rendre obligatoires les extincteurs dans les logements face à la recrudescence d’incendies domestiques liés aux recharges de différents objets électriques. Dans leurs propositions, ils alertent que “les faits récents confirment sa pertinence et la nécessité de sa mise en œuvre rapide”. 
Les membres de l’assemblée insistent par ailleurs sur l’efficacité d’une intervention rapide : “Le temps de réaction dans les premières secondes d’un incendie est déterminant [...] l’accès immédiat à un extincteur peut faire la différence entre un incident maîtrisé et une tragédie.” Une obligation qui existe déjà à l’étranger Un extincteur dans sa voiture, plusieurs pays l'imposent déjà. C’est le cas en Belgique, en Allemagne, en Pologne ou encore en Bulgarie. En France, ce n’est pas la première fois qu’une telle demande de législation est portée chez les députés. 
En 2022, après l’incendie en Gironde mentionné plus haut, des députés avaient déjà proposé de rendre les extincteurs obligatoires dans tous les véhicules particuliers et utilitaires. Si vous souhaitez pouvoir réagir sans attendre l’arrivée des pompiers, ou si tout simplement, vous ne souhaitez pas patienter jusqu'à une éventuelle obligation pour équiper votre véhicule, il vous coûtera une trentaine d’euros pour extincteur de 2 kg.
 Pour un logement, optez plutôt pour un modèle de 6 voire 9 kg. Dans ce cas, les prix démarrent à une cinquantaine d’euros. Attention toutefois, la durée de vie de ces équipements n'est pas illimitée et ils nécessitent normalement un entretien. Cela fait d'ailleurs partie des points qui pourraient empêcher une telle proposition de loi d'être suivie d'effet. 
Source : automobile-magazine.fr/Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

lundi 21 juillet 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Skoda, le Tour de France comme un retour aux sources...

 

Le constructeur automobile né dans l’actuelle République tchèque a démarré comme fabricant de cycles. Sa flotte est désormais indissociable de la Grande Boucle. À ce stade, c’est bien plus qu’une flotte automobile dont il s’agit. Pour cette nouvelle édition du Tour de France, ce ne sont pas moins de 250 véhicules Skoda qui sillonnent les routes de l’Hexagone, pendant les trois semaines de compétition. Quelque 250 unités qui se décomposent comme suit : une centaine entre les mains de l’organisateur (la société ASO), une centaine également pilotée par les différents organismes qui assurent la sécurité de la course, le reste enfin correspondant à différents besoins. Sans oublier les voitures au cœur de la caravane publicitaire (dont deux chars qui distribuent nombre de goodies), ni les véhicules de certaines équipes de coureurs. Bref, le vert, la couleur emblématique de la marque, et ses différentes teintes (vert foncé et vert électrique) feront partie intégrante du paysage. 
Source : lefigaro.fr-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

dimanche 20 juillet 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Mornay Festival, pour prolonger l’été

 

Du 23 au 25 août prochain, des champions d’hier, des motos et des autos de courses de tous les âges sont attendus sur le circuit creusois du Mornay, près de Guéret. Ambiance conviviale et champêtre garantie ! Avant de reprendre le chemin du bureau, l’ancien pilote Pierre Petit, arrivé jusqu’aux portes de la Formule 1 dans les années 1980, a trouvé la bonne formule pour prolonger l’été et faire vivre un moment qui, comme il aime à le rappeler, va surprendre. Même les habitués du circuit du Mornay et de son événement. Organisé pour la septième fois depuis 2019, le Mornay Festival reste unique. Le cadre tout d’abord fait passer la manifestation pour un Goodwood à la française avec son circuit technique de 3 kilomètres tracé au milieu d’un domaine d’une quarantaine d’hectares accueillant un château du XVIe siècle. 
C’est là que Pierre Petit avait posé ses valises au cours des années 1990. Ambiance festive et champêtre garantie. C’est suffisant rare pour être mentionné : ce festival mécanique permet aux spectateurs de côtoyer les machines d’exception, que ce soit les voitures ou les motos mais aussi de nombreux pilotes de légende. Cette année encore, sont annoncés des grands noms de la course automobile que l’on n’a pas l’occasion de croiser tous les jours : Jürgen Barth, vainqueur des 24 Heures du Mans 1977, Jean-Louis Schlesser, champion du monde d’endurance et de rallyes-raids, Alain Serpaggi, ancien pilote Alpine, Eric Van de Poele, Laurent Aïello, Patrick Gonin, Gilles Lempereur, Jérôme Policand, Jean-Pierre Malcher, Marc Rostan, Pierre de Thoisy, sans oublier Pierre Petit. Toujours très disponibles, ces pilotes racontent volontiers des anecdotes et des moments forts de leur carrière. Le Mornay Festival, c’est aussi des démonstrations de voitures et de motos qui ont marqué l’histoire des sports mécaniques. 
Habitué de l’événement, le musée Renault sera encore présent cette année avec les Formule 1 RS10 ex-Jean-Pierre Jabouille, et RE40 vice-championne du monde aux mains d’Alain Prost en 1983. Dans ce plateau de monoplaces, rouleront aussi une March 811 ex-Derek Daly, une Lotus 49, une F5000 McLaren MB20, une Lola F3000. L’endurance est aussi représentée avec une Alpine A442, une Porsche 906, une exclusive Ford P68 et plusieurs WM dont la fameuse P88 qui détient le record de vitesse dans les Hunaudières à 407 km/h en 1988. La vitesse avait été abaissée à 405 km/h par Peugeot qui propulsait le prototype et qui était en pleine campagne de lancement de la berline 405. Des plateaux sont également réservés aux dernières générations de voitures de grand tourisme mais également aux Bugatti 35 de grand prix. Pour continuer de surprendre, Pierre Petit organise également un roulage de nuit pour les légendes de l’endurance le samedi soir. La veille, le concert mécanique cède sa place en début de soirée à un concert de rock animé par le groupe Lee Moozin and the Mad dogs. 
Enfin, le Festival propose aussi aux spectateurs d’entrer dans la course. Une course d’endurance en karting est organisée le vendredi après-midi. Des équipages constitués de 3 à 6 personnes vont pouvoir s’affronter durant 2 heures de course pour une épreuve amicale. Quelques places restent en effet disponibles (renseignements à : mornayfestival@gmail.com). 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

vendredi 18 juillet 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Honda CBR de Michael Schumacher : tout savoir sur cette moto de course unique proposée aux enchères

 

La Honda CBR1000RR de Michael Schumacher, sera proposée aux enchères par RM Sotheby’s du 23 au 30 juillet. Elle est dotée de nombreux équipements techniques de pointe et affiche seulement 3752 km au compteur. 
Cette Honda CBR1000RR n’est pas une moto ordinaire. Entièrement transformée par Holzhauer Racing Performance - un préparateur allemand spécialisé dans les Honda et actif dans le championnat du monde de Superbike - elle a été convertie en véritable machine de course en 2010, pour répondre aux exigences de Michael Schumacher lors de ses journées d’essais.
 La moto arbore le numéro de course 77, choisi personnellement par le champion allemand, et bénéficie d’équipements techniques de pointe. Son système électronique sophistiqué comprend un calculateur de course (ECU) gérant le contrôle de traction, le contrôle du wheeling et le contrôle du patinage. 
Elle est également équipée d’une boîte à air de course, d’un refroidisseur d’huile amélioré, de demi-guidons spécifiques, d’un shifter rapide pour des changements de vitesse optimisés et d’un système d’échappement Akrapovič Titan haute performance. Cela lui permet de proposer performances remarquables, avec un poids à sec de 172 kg et une puissance de 200 chevaux (147 kW). RM Sotheby’s propose cette Honda CBR1000RR unique sans prix de réserve avec une estimation comprise entre 25.000 et 35.000 euros. 
 Attention à ces deux contraintes 
La vente qui aura lieu du 23 au 30 juillet prochain, inclut également plusieurs éléments authentiques particulièrement précieux : un casque Schuberth signé par Michael Schumacher, une paire de gants de moto signés de la marque Held, ainsi qu’une housse de protection personnalisée portant le nom de Schumacher et Honda. Avant de succomber au charme de cette machine, il est essentiel de garder à l’esprit deux impératifs : d’une part, avec seulement 3752 km au compteur, la CBR1000RR est considérée comme « neuve » au regard de la TVA intracommunautaire, ce qui oblige tout acquéreur privé à respecter les formalités de déclaration et de paiement de la taxe dans son pays de résidence. 
 D’autre part, n’ayant pas roulé depuis plusieurs années, elle requiert impérativement une révision complète (moteur, fluides, pneus, organes de sécurité) et une inspection technique approfondie avant toute remise en piste. Autrement dit, il faudra prévoir un budget un peu supérieur à son enchère ! 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info

mardi 15 juillet 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Assemblée nationale : le RN propose de sacraliser le patrimoine automobile français..

 

Les députés du Rassemblement national veulent inscrire la préservation du patrimoine automobile français à l’agenda politique, et viennent de proposer à l’Assemblée une résolution pour sa reconnaissance officielle et la mise en place de mesures concrètes de sauvegarde. 
La France possède un héritage automobile exceptionnel avec plus de 800.000 voitures de collection recensées sur le territoire, selon les chiffres de la Fédération française des véhicules d’époque (FFVE) en 2020. Et ces modèles sont là pour rappeler que «des marques françaises emblématiques comme Citroën, Peugeot et Renault» ont marqué l’histoire industrielle mondiale, accompagnées par des entreprises de pointe dans le monde «telles que Michelin ou Valeo». 
Ce morceau d’histoire, c’est le Rassemblement national qui s’en est saisi, le mardi 8 juillet. Le parti à la flamme a déposé à l’Assemblée nationale une proposition de résolution visant à reconnaître officiellement le patrimoine automobile français à mettre en place des mesures concrètes pour sa sauvegarde. Le texte proposé rappelle que cette richesse patrimoniale ne se limite pas aux constructeurs. 
L’histoire du sport automobile français est tout aussi remarquable, note le RN. «La première course automobile a eu lieu en France en 1898 entre Paris et Bordeaux, le premier Grand Prix de France s’est déroulé en 1906 au Mans, et la France a joué un rôle central dans la structuration du sport automobile international avec la création de la Fédération Internationale de l’Automobile (FIA) en 1904, dont le siège demeure à Paris», illustre-t-il. 
 Quatre propositions concrètes Malgré cette richesse patrimoniale, la reconnaissance officielle reste largement insuffisante selon les auteurs de la proposition. Chiffres à l’appui : 457 véhicules classés objets monuments historiques depuis 1978. «Une sous représentation», juge le RN, comparé à «l’engouement populaire» manifesté lors d’événements comme le Mondial de l’automobile, Rétromobile ou le Grand Prix de France historique. La résolution du Rassemblement national propose quatre mesures concrètes : intégrer le patrimoine automobile dans les dispositifs existants, notamment via la Fondation du patrimoine ; soutenir la filière industrielle et artisanale pour préserver les savoir-faire et emplois ; encourager les événements valorisant ce patrimoine ; et créer des pôles spécialisés pour la préservation et la formation autour des véhicules anciens.
Source : lefigarp.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info..

lundi 14 juillet 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Un livre consacré à la réplique pour enfant de la fameuse Bugatti de grand prix des années 20...

 

Jean-Pascal Viault et le photographe Bernard Canonne réalisent un livre consacré à la réplique pour enfant de la fameuse Bugatti de grand prix des années 20. La légende raconte que Roland Bugatti, le plus jeune fils d’Ettore, le fondateur de la marque de Molsheim, était tellement fasciné par la Bugatti 35 que pour son cinquième anniversaire, il s’est vu offrir un modèle réduit à 50 %. Baptisée Type 52, la Baby Bugatti était animée par un moteur électrique et une batterie 12 volts qui lui permettait de rouler jusqu’à 20 km/h. Au volant de cette voiture pour enfant, Roland parcourait les allées du parc du château Saint-Jean. La suite est connue : la Bugatti 52 ne laissait pas insensible des clients qui venaient prendre livraison de leurs véhicules à l’usine. Ettore Bugatti doit faire face à un afflux de demandes et de commandes qu’il s’empresse de satisfaire. 
Les désirs sont des ordres. Entre 1927 et 1930, Bugatti va produire 457 exemplaires de la réplique pour enfants de la voiture de grand prix née en 1924 et apparue pour la première fois le 3 août 1924 à l’occasion du Grand Prix de l’Automobile Club de France qui tient aussi lieu de Grand Prix d’Europe. Il est organisé dans la région de Lyon sur un circuit de 23 kilomètres dont l’itinéraire part des Sept Chemins, passe par Givors, et retourne par la Grande Pavière et la descente des Esses. Les cinq Bugatti arrivent par la route de Molsheim. Une sixième - le prototype d’origine - a été gardée en réserve.
 Collectionneur d’automobiles pour enfants depuis plus de 30 ans, membre du Club Bugatti France, propriétaire de Bugatti, Jean-Pascal Viault a décidé de combler un vide et de raconter l’histoire des Type 52 dans un ouvrage. Il ne resterait qu’une centaine de ces véhicules dans le monde aujourd’hui. Avec le photographe Bernard Canonne bien connu des amateurs de voitures de collection et des lecteurs des revues consacrées aux voitures anciennes, ils sillonnent depuis plusieurs mois l’Europe à la rencontre des possesseurs et des collectionneurs de ces drôles d’engins qui font le bonheur des jeunes participant à la parade Little Big le Mans au Mans Classic. Le livre sur la Baby Bugatti va sortir aux éditions l’Odyssée à la fin de l’année ou au début de l’année prochaine (Rétromobile). Pour enrichir le contenu qui comprendra des archives, des photographies anciennes jamais diffusées mais également des plans inédits de pièces détachées, des anecdotes, des souvenirs, les auteurs sont à la recherche de documents originaux et de témoignages. Merci d’écrire à «md.arbonne@yahoo.fr». 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...