vendredi 6 juin 2025
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - PROMENADE EN VOITURE ANCIENNE ......
Promenade avec plusieurs voitures anciennes dans la campagne.
DB LeMans, Salmson S4E, Hotchkiss 686 Grand Sport, Panhard et Levassor 6CS et Citroën SM et bien d'autres .....
Source : Vincent Decours
CLUB5A – VOITURE DE LÉGENDE - LA CITROËN DS 19 … LE MODÈLE HISTORIQUE DE CITROËN !!
Le constructeur aux chevrons aurait-il joué à qui perd gagne avec la DS ? Victime d’un démarrage calamiteux, une situation qui faillit coûter la vie de l’entreprise, la belle Citroën est finalement parvenue à vivre une success story fantastique, au point de devenir le modèle “historique” de Citroën. Sans doute la voiture du siècle.
Souvent qualifiée de révolutionnaire, la DS est avant tout une voiture extrêmement en avance sur son époque. Lorsqu’elle voit le jour, au milieu des années 50, la France entière est comme bouleversée par cette apparition.
Le public est fasciné, la concurrence médusée. Abasourdis face à une cette “bombe”, certains constructeurs basculent même dans la résignation : pour eux, la messe sera dite. Et vite. Mais les choses ne se sont pas tout à fait passées comme cela. A la faveur d’une poussière dans le carburateur, d’un grain de sable dans les engrenages ou bien d’un rognon dans la soupe à l’oignon (barrez la mention laborieuse), chacun a remisé les requiem, non sans quelque soulagement. Cette histoire est celle des débuts de la DS.
Au matin du 5 octobre 1955, le public découvre la star du Salon de l’auto sur le stand Citroën. Ce véhicule éblouissant est l’aboutissement du projet VGD (Voiture à Grande Diffusion), fruit d’un bureau d’études en totale ébullition, déterminé à révolutionner l’automobile. Sous la direction de Pierre Bercot, le trio André Lefebvre, Paul Magès et Flaminio Bertoni, deux ingénieurs et un styliste, ambitionne de concevoir une auto totalement novatrice. Lefebvre imagine un soubassement rigide indépendant, mais aussi une carrosserie entièrement démontable permettant de faciliter les réparations.
N’oublions pas le capot en alu, la transmission à boîte hydraulique ou encore le pare-brise qu’il souhaite entièrement bombé, une nouveauté incroyable à l’époque et un challenge considérable pour le fournisseur Saint-Gobain. Magès est l’homme à la suspension, celui qui fera de la DS le tapis roulant que l’on connaîtra, une voiture dont le confort n’aura d’égal que la tenue de route. Poursuivons cette revue avec les freins avant à disques dérivés de la technique Jaguar, puis par ce dessin inimitable de Bertoni inspiré de la goutte d’eau. Il n’y a guère que par son moteur que la DS manque d’ambition.
Issu de la Traction, ce 4 cylindres culbuté ne peut faire valoir que sa culasse en alliage dotée de chambres de combustion hémisphériques. On est loin du six cylindres à plat étudié entre 1952 et 1954, mais qui fut abandonné sur ordre de Pierre Bercot. « Nous ne pouvons pas tout révolutionner d’un seul coup », aurait-il déclaré à ses subalternes, avant de leur demander d’améliorer la mécanique de Traction. Une technologie novatrice et mal maîtrisée Lancée prématurément, manquant de mise au point, la DS a réussi le tour de force impensable de décevoir ce public qu’elle aura tellement subjugué auparavant.
Cela semble invraisemblable, mais imaginez un instant les premiers clients faisant office de cobayes, bien malgré eux. Représentez-vous maintenant les concessionnaires et agents affrontant, liquéfiés et impuissants, la colère de leur clientèle, mais aussi cette technique novatrice que la plupart ne maîtrisent pas malgré les stages programmés par le constructeur. Face à cette situation préoccupante, la réaction de Citroën sera double. D’un côté, il y aura la mise en place d’une intense opération de fiabilisation (une modification par jour), de l’autre le lancement, en 1957, de l’ID, une DS de crise débarrassée de la plupart de ses sophistications, au moteur moins puissant et à la finition simplifiée.
Pour le coup, la concurrence est bien soulagée. Mais les choses pourraient bien évoluer en leur défaveur… La meilleure auto de grande série Baptisée DS 19 en référence à la cylindrée de son moteur (1 911 cm3), la nouvelle Citroën va peu à peu se tirer de cette ornière et, avec le temps, elle finira même par s’imposer, allant jusqu’à devenir la meilleure auto de grande série. Ses défauts de jeunesse, la DS les aura en grande partie éliminés fin 1961, un millésime qui a véritablement marqué l’envol commercial du modèle avec près de 70 000 exemplaires produits dans l’année. L’un des derniers changements d’importance est intervenu pour l’année 1962, alors que la jolie et très fragile planche de bord futuriste signée Bertoni est abandonnée au profit d’un tableau plus conventionnel mais plus cossu que le précédent.
Source : GAZOLIN / Hugues Chaussin-Antoine DUCROCQ
Le public est fasciné, la concurrence médusée. Abasourdis face à une cette “bombe”, certains constructeurs basculent même dans la résignation : pour eux, la messe sera dite. Et vite. Mais les choses ne se sont pas tout à fait passées comme cela. A la faveur d’une poussière dans le carburateur, d’un grain de sable dans les engrenages ou bien d’un rognon dans la soupe à l’oignon (barrez la mention laborieuse), chacun a remisé les requiem, non sans quelque soulagement. Cette histoire est celle des débuts de la DS.
N’oublions pas le capot en alu, la transmission à boîte hydraulique ou encore le pare-brise qu’il souhaite entièrement bombé, une nouveauté incroyable à l’époque et un challenge considérable pour le fournisseur Saint-Gobain. Magès est l’homme à la suspension, celui qui fera de la DS le tapis roulant que l’on connaîtra, une voiture dont le confort n’aura d’égal que la tenue de route. Poursuivons cette revue avec les freins avant à disques dérivés de la technique Jaguar, puis par ce dessin inimitable de Bertoni inspiré de la goutte d’eau. Il n’y a guère que par son moteur que la DS manque d’ambition.
Issu de la Traction, ce 4 cylindres culbuté ne peut faire valoir que sa culasse en alliage dotée de chambres de combustion hémisphériques. On est loin du six cylindres à plat étudié entre 1952 et 1954, mais qui fut abandonné sur ordre de Pierre Bercot. « Nous ne pouvons pas tout révolutionner d’un seul coup », aurait-il déclaré à ses subalternes, avant de leur demander d’améliorer la mécanique de Traction. Une technologie novatrice et mal maîtrisée Lancée prématurément, manquant de mise au point, la DS a réussi le tour de force impensable de décevoir ce public qu’elle aura tellement subjugué auparavant.
Cela semble invraisemblable, mais imaginez un instant les premiers clients faisant office de cobayes, bien malgré eux. Représentez-vous maintenant les concessionnaires et agents affrontant, liquéfiés et impuissants, la colère de leur clientèle, mais aussi cette technique novatrice que la plupart ne maîtrisent pas malgré les stages programmés par le constructeur. Face à cette situation préoccupante, la réaction de Citroën sera double. D’un côté, il y aura la mise en place d’une intense opération de fiabilisation (une modification par jour), de l’autre le lancement, en 1957, de l’ID, une DS de crise débarrassée de la plupart de ses sophistications, au moteur moins puissant et à la finition simplifiée.
Pour le coup, la concurrence est bien soulagée. Mais les choses pourraient bien évoluer en leur défaveur… La meilleure auto de grande série Baptisée DS 19 en référence à la cylindrée de son moteur (1 911 cm3), la nouvelle Citroën va peu à peu se tirer de cette ornière et, avec le temps, elle finira même par s’imposer, allant jusqu’à devenir la meilleure auto de grande série. Ses défauts de jeunesse, la DS les aura en grande partie éliminés fin 1961, un millésime qui a véritablement marqué l’envol commercial du modèle avec près de 70 000 exemplaires produits dans l’année. L’un des derniers changements d’importance est intervenu pour l’année 1962, alors que la jolie et très fragile planche de bord futuriste signée Bertoni est abandonnée au profit d’un tableau plus conventionnel mais plus cossu que le précédent.
Source : GAZOLIN / Hugues Chaussin-Antoine DUCROCQ
jeudi 5 juin 2025
CLUB.5A - DANS LE RÉTROVISEUR - L’ÉCURIE AUTOMOBILE ALCO 6 BLACK SON HISTOIRE DE 1909 A 1911 (USA)....
Source : vanderbiltcupraces.com
mercredi 4 juin 2025
CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - LA RENAULT 16 TX ..LA VOITURE HOMOGÈNE !!
Lancée au pire moment, quelques jours avant la survenue du choc pétrolier et des limitations de vitesses, la brillante R16 TX aurait dû être un bide absolu. Au lieu de ça, elle a séduit naturellement grâce à sa formidable homogénéité. Afin de mieux comprendre ce modèle, allons l’essayer sur les hauteurs de Clermont-Ferrand.
La 16 est à Renault ce que la DS a été à Citroën : l’auto la plus révolutionnaire de l’histoire de la marque. Après les échecs successifs de la Frégate et de la Rambler, la Régie nationale a eu l’idée à la fois fantastique et courageuse d’élaborer un véhicule qui satisfasse une double demande en faisant à la fois office de voiture moyenne et de voiture de luxe.
Ce pari osé, pour ne pas dire risqué, a conduit les bureaux d’études à inventer une auto dont les volumes bicorps ont surtout réussi à rebuter le public !
Afin qu’elle rencontre le succès, il a fallu attendre que la clientèle franchisse ce cap psychologique : concevoir qu’un véhicule haut de gamme puisse également se montrer pratique et polyvalent. En 1965, la chose était loin d’être évidente.
Voilà le coup de culot de l’équipe d’ingénieurs réunie autour du styliste Gaston Juchet.
Source : Texte et photos Hugues Chaussin-GAZOLINE.NET-Abcmoteur
La 16 est à Renault ce que la DS a été à Citroën : l’auto la plus révolutionnaire de l’histoire de la marque. Après les échecs successifs de la Frégate et de la Rambler, la Régie nationale a eu l’idée à la fois fantastique et courageuse d’élaborer un véhicule qui satisfasse une double demande en faisant à la fois office de voiture moyenne et de voiture de luxe.
Afin qu’elle rencontre le succès, il a fallu attendre que la clientèle franchisse ce cap psychologique : concevoir qu’un véhicule haut de gamme puisse également se montrer pratique et polyvalent. En 1965, la chose était loin d’être évidente.
Voilà le coup de culot de l’équipe d’ingénieurs réunie autour du styliste Gaston Juchet.
Source : Texte et photos Hugues Chaussin-GAZOLINE.NET-Abcmoteur
CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - 70 ans de Citroën DS : au volant d’une immortelle ...
Sept décennies : un âge plus que respectable pour une automobile, susceptible de la placer au rang des antiquités inconduisibles dans la circulation moderne. Au volant d’une DS 19 parfaitement restaurée, c’est pourtant une tout autre impression qui se dégage. La Citroën DS n’est pas une voiture ancienne. L’affirmation peut avoir quelque chose d’incongru pour un modèle apparu au Salon de Paris 1955, mais c’est bien l’impression qui se dégage après avoir parcouru plusieurs dizaines de kilomètres au volant d’une 19 Confort de 1967 impeccablement restaurée. Car le décalage que sa conduite provoque aujourd’hui par rapport à celle des automobiles actuelles est sans doute moins important que celui qu’il engendrait à sa sortie en 1955. Au Salon de Paris de cette année-là, la « bombe » Citroën alignait une quantité de nouveautés technologiques que peu d’automobiles – sinon aucune – n’avaient réunies à elles seules dans l’histoire.
Elle était la seule dont le système hydraulique centralisé alimentait aussi bien la suspension que les freins et la transmission semi-automatique. Un niveau d’assistance alors inédit pour une production européenne. La plupart de ses congénères se montraient alors rétives, difficiles à conduire et encore plus à ralentir. L’automobiliste de 2025 qui découve une DS ne s’étonne pas, lui, de ne pas avoir à produire d’effort en manœuvre, de changer de vitesse en poussant délicatement un levier sans appuyer sur un quelconque embrayage, ou encore de freiner droit avec efficacité. Il serait presque surpris de l’absence de « maintien dans la voie » ou d’« alerte de survitesse » !
Un chef-d’œuvre renié par son auteur
Bien sûr, la DS reste une automobile à part, d’abord par son apparence. Ses lignes signées Flaminio Bertoni, le styliste « maison » de Citroën depuis le début des années 1930, sont l’aboutissement d’un très long travail de gestation démarré avant la Seconde Guerre mondiale. Perfectionniste, l’homme de l’art n’était pourtant pas satisfait de son œuvre et lui préférait l’Ami 6 lancée en 1961.
Avec son capot plongeant et ses ailes encore apparentes, son arrière pointu si peu commun pour une berline, ses custodes intégrant les clignotants dans des cornets et enfin ses roues arrière carénées, la DS est restée durant sept décennies un cas esthétique unique. Impossible à copier et même à actualiser aujourd’hui pour un éventuel modèle « néo-rétro ». Notre voiture d’essai se rapporte au millésime 1967 – le dernier avant l’important restylage de la génération suivante –, mais elle reste très proche dans son apparence des versions de 1955. Son originalité lui permet encore aujourd’hui de ne pas vieillir. Bien malin celui qui pourrait dater cette DS sans connaître l’histoire de l’automobile !
L’habitacle lui aussi se distingue du commun, même si la planche de bord de notre modèle, apparue en 1961, adopte un style un peu plus conventionnel que la première, qui n’aurait pas déparé dans le cockpit d’un vaisseau spatial. Les sièges, dont le moelleux fait passer les actuelles mousses Advanced Comfort des Citroën pour d’aimables plaisanteries, les nombreux chromes et bien sûr le fin volant monobranche suffisent à composer une ambiance typique.
Elle se goûte particulièrement à l'arrière, où le passager peut se cacher derrière les custodes comme dans une limousine d'apparat et dispose d'un espace aux jambes propre à satisfaire jusqu'au général de Gaulle. Reconnaissons néanmoins que Citroën est allé beaucoup plus loin dans la transgression avec la CX et d’autres modèles des années 1970 et 1980. Au volant de la DS, les commandes des clignotants et des phares se reconnaissent immédiatement, sans mode d’emploi.
Une Citroën DS 19 revenue de loin
Notre modèle est une rare 19 dite « série A » de 1967, le millésime le plus recherché de la « Déesse ». Il est en effet le seul durant laquelle elle a adopté à la fois le liquide de suspension vert LHM et l’avant à simples phares ronds, avant l’arrivée des optiques sous verrière. Le LHM est en effet beaucoup plus facile d’utilisation, car il ne corrode pas le circuit hydraulique comme le liquide rouge (LHS) précédent.
Enfin, c’est à partir du millésime 1966 seulement que les DS commencent à recevoir des moteurs à cinq paliers raisonnablement puissants, notre 19 développant 90 ch SAE (84 ch DIN), à comparer aux 75 ch du millésime 1955.
Maryse, la propriétaire, nous conte son histoire peu commune : « Nous avons été chercher cette auto que nous connaissions depuis longtemps dans notre région. Elle était à l’état d’épave, et nous l’avons reconstruite entièrement avec l’aide d’un carrossier hors pair, Nicolas. Je me suis moi-même investie à fond en cherchant les pièces, que nous voulions au maximum d’origine. C’est un chantier qui a duré cinq ans. La structure a été entièrement mise à nu, tous les caissons, les longerons et planchers ont été repris. Son moteur a été refait de A à Z. Seule la boîte semi-automatique n’a pas été ouverte. Aujourd’hui, nous nous en servons régulièrement pour partir en vacances ou lors de mariages. »
Au volant de la Citroën DS 19
Comment se conduit une DS ?
Il suffit de tourner la clé de contact, d'actionner le démarreur en poussant le levier de vitesses vers la gauche et d'attendre quelques secondes que la carrosserie portée par le liquide vert sous pression et l'azote des sphères de suspension s’élève gracieusement. On enclenche ensuite la première en poussant le levier de vitesses, on relâche le frein de parking à pied grâce à une commande située sous la planche de bord et on accélère doucement pour que l’auto décolle. Les 90 ch suffisent pour affronter la circulation moderne, même si la DS n’a jamais été réputée pour ses accélérations. Cela ne l’empêche pas de rouler suffisamment vite une fois lancée grâce à la finesse de sa ligne, très supérieure à celles des concurrentes de l’époque.
La conduite distille des sensations délicieusement contradictoires : la direction se montre précise, la tenue de route redoutablement efficace, mais la DS place son conducteur dans la ouate, lui interdisant tout mouvement brusque.
Elle lui intime d'adopter une attitude sereine, plus proche de celle d’un capitaine de navire que d’un pilote de course. Évidemment, le confort souverain de la suspension hydropneumatique, qui reste supérieur à celui de tant d’autos modernes, participe à cette ambiance feutrée. L’expérience du ralentisseur absorbé comme un simple caillou n’est pas une légende. L’autre talent de la DS relève du théâtre. Assis droit face à un pare-brise semi-panoramique, le conducteur se sent immédiatement important et regarde la route en cinémascope. Même le niveau sonore, souvent reproché à la DS, reste parfaitement tolérable sur notre 19 Type A. L’état parfait de son moteur, qui n’émet aucun bruit de culbuteur, et de son échappement y est sans doute pour beaucoup.
Bien acheter une Citroën DS
Malgré son grand âge, la Citroën DS (et son dérivé ID) n’est pas une voiture rare, sauf dans ses versions break et cabriolet.
Rapidement considérée comme un mythe après la fin de sa production en 1975, elle a été collectionnée très tôt, ce qui lui a assuré un taux de survie nettement supérieur à ceux de ses contemporaines. En revanche, ses prix, sauf pour les modèles les plus recherchés que sont les 21, les 23 et les millésimes 1967 en général, ne compensent que rarement le coût de sa restauration. La construction de l'auto est en effet très complexe, particulièrement au niveau de sa structure caissonnée qui se révèle très difficile à contrôler sans démontage. Il peut donc être judicieux de se faire aider par un connaisseur au moment de l’achat, les exemplaires moyens étant encore très nombreux. Sachez néanmoins que la DS pourrit en général par l’arrière, le fond de coffre et les gouttières d’aile étant rarement en bon état.
La mécanique de la DS apparaît en revanche beaucoup plus simple à rénover, mais l’accessibilité des éléments rend chaque opération coûteuse en main-d’œuvre. Changer un démarreur ou un tuyau hydraulique exige ainsi de longs efforts. Bien entretenue, la DS peut cependant afficher un niveau de fiabilité très moderne : le moteur se révèle en effet particulièrement robuste pour son époque, sauf exception comme sur la 23 IE, un peu plus pointue. Au niveau des tarifs, il existe une DS à pratiquement tous les prix, allant de quelques milliers d’euros pour un modèle à restaurer jusqu’à 200 000 € pour un cabriolet strictement d’origine. Le ventre mou pour une berline se situe entre 10 000 et 20 000 € pour une ID, une D Special ou une D Super, les versions simplifiées de la DS, tandis que cette dernière s’échange en bel état entre 20 000 € et 40 000 € selon le millésime et la motorisation. Des tarifs finalement encore raisonnables pour un mythe !
Source : largus.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...
CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - LA FERRARI 166 ...DE LA COURSE A LA ROUTE !!
La Ferrari 166 est une automobile de course et de route, du constructeur automobile italien Ferrari, produite entre 1948 et 1953 à une centaine d'exemplaires. Déclinée en de nombreuses variantes de carrosserie, et propulsée par un moteur V12 de 2 L, son nom, 166, correspond au volume arrondi de chaque cylindre (1995 cm³ / 12 soit 166,25 cm³ par cylindre). Première Ferrari à la fois de Grand Prix automobile, puis de route de l'histoire de la marque, elle permet à Enzo Ferrari d'établir sa légende en compétition automobile et comme constructeur de voiture de sport GT.
La Scuderia Ferrari fondée en 1929, est une importante concession, puis écurie de course Alfa Romeo indépendante de Modène, qui domine la compétition automobile d'alors. Alors qu'Alfa Romeo décide d'intégrer son écurie en 1938, sous le nom d'Alfa Corse (puis Alfa Romeo (Formule 1) championne du monde 1950 et 51 avec Giuseppe Farina et Juan Manuel Fangio), Enzo conçoit alors ses deux premiers prototypes personnels Auto Avio Costruzioni 815 en 1940, fonde son usine Ferrari de Maranello en 1942, puis conçoit sa première Ferrari 125 et fonde Ferrari (entreprise) en 1947.
Basée sur la structure tubulaire et le V12 1,5 L de Gioacchino Colombo des Ferrari 125, poussé à 1,9 litre sur la Ferrari 159 S, puis à 2 litres pour cette 166, Ferrari établit sa légende en 1948 avec ce troisième modèle, qui couronne la marque de succès et de victoire en compétition.
La 166 participe à son premier Grand Prix automobile, avec le prince pilote Igor Troubetzkoy au Grand Prix automobile de Monaco 1948 en version SC. Elle est la première Ferrari à remporter les 24 Heures du Mans, en version MM aux 24 Heures du Mans 1949, avec les pilotes Luigi Chinetti et Lord Selsdon, Chinetti et Jean Lucas s'imposant la même année aux 24 Heures de Spa.
La 166 est également vainqueur à deux reprises de la Targa Florio, en 1948 (version Sport) et 1949 (version SC) avec Clemente Biondetti1 (et Troubetzkoy la première fois), puis de la Coupe de Spa en 1953 avec Olivier Gendebien, terminant également deuxième du Rallye Paris - Saint-Raphaël Féminin avec Yvonne Simon en 1951. Elle est engagée aux championnat du monde de Formule 1 1950, 1951, 1952 et 1953 entre autres face à Alfa Romeo (Formule 1) des pilotes champion du monde 1950 et 1951 Giuseppe Farina Juan Manuel Fangio, alors que Ferrari et Alfa Roméo se partage le sommet des podiums de course automobile. En 1950, les Ferrari 275 F1 et 375 F1 lui succèdent un temps conjointement en compétition, pour remporter les premières victoires de la marque en Grand Prix de Formule 1, suivi du premier titre de double champion du monde 1952 et 1953 avec le pilote Ferrari Alberto Ascari.
Source : WKPDIA/CC-BY-SA-3.0-Italiansupercarvideo
La Scuderia Ferrari fondée en 1929, est une importante concession, puis écurie de course Alfa Romeo indépendante de Modène, qui domine la compétition automobile d'alors. Alors qu'Alfa Romeo décide d'intégrer son écurie en 1938, sous le nom d'Alfa Corse (puis Alfa Romeo (Formule 1) championne du monde 1950 et 51 avec Giuseppe Farina et Juan Manuel Fangio), Enzo conçoit alors ses deux premiers prototypes personnels Auto Avio Costruzioni 815 en 1940, fonde son usine Ferrari de Maranello en 1942, puis conçoit sa première Ferrari 125 et fonde Ferrari (entreprise) en 1947.
La 166 est également vainqueur à deux reprises de la Targa Florio, en 1948 (version Sport) et 1949 (version SC) avec Clemente Biondetti1 (et Troubetzkoy la première fois), puis de la Coupe de Spa en 1953 avec Olivier Gendebien, terminant également deuxième du Rallye Paris - Saint-Raphaël Féminin avec Yvonne Simon en 1951. Elle est engagée aux championnat du monde de Formule 1 1950, 1951, 1952 et 1953 entre autres face à Alfa Romeo (Formule 1) des pilotes champion du monde 1950 et 1951 Giuseppe Farina Juan Manuel Fangio, alors que Ferrari et Alfa Roméo se partage le sommet des podiums de course automobile. En 1950, les Ferrari 275 F1 et 375 F1 lui succèdent un temps conjointement en compétition, pour remporter les premières victoires de la marque en Grand Prix de Formule 1, suivi du premier titre de double champion du monde 1952 et 1953 avec le pilote Ferrari Alberto Ascari.
Source : WKPDIA/CC-BY-SA-3.0-Italiansupercarvideo
mardi 3 juin 2025
CLUB5A - SORTIE AUTO - LE 1ER JUIN 2025 C'ETAIT LA DEUXIEME SORTIE CARCASSONNAISE COX & CO…QUE LA COX SOIT AVEC VOUS !
Comme prévu, le dimanche 1er juin, tous les amateurs de coccinelles et de combis VW se sont rassemblés à la salle des associations, dans la salle Nicole ABAR.
Comme l'avait déclaré Cédric Bedos, l'organisateur, suite à la réussite de la première édition le 2 juin 2024, il était nécessaire de réitérer l'expérience. Ainsi, en ce matin du 1er juin 2025, cela s'est réalisé une nouvelle fois, toujours dans le contexte des excursions organisées par le club 5A Carcassonne.
Pour le premier dimanche de juin, les moteurs des COX et COMBIS « faisaient ce bruit bien caractéristique de la coccinelle » et apportaient une certaine animation au bord des rives de l'Aude. On dénombrait 35 véhicules stationnés devant le bureau de notre association pour un total de 70 participants. Participation impressionnante pour une deuxième édition !
Pour ces aficionados, cet événement offre l'opportunité de créer des connexions basées sur un intérêt partagé.
« Pour Cédric, qui est l'initiateur de cet événement, l'objectif est de se réunir pour discuter, partager des astuces, évaluer nos réalisations et rouler ensemble... »
Pour ces passionnés, cette rencontre vise à créer des connexions autour d'un intérêt partagé. Cet événement offre l'opportunité de se retrouver, mais également de faire la connaissance de propriétaires moins familiers de l’univers de ce type de modèle de voiture. Dans l'Aude, beaucoup d'entre nous conduisent des Combis et des Cox, mais nous ne faisons pas forcément des balades en groupe.
Les participants sont accueillis de manière chaleureuse et traditionnelle, avec la remise d'un road book, de plaques de rallye, d'une casquette arborant le logo de l'événement et des stickers, le tout accompagné d'un café bien chaud : tout est idéal pour nos pilotes et copilotes.
9H - C'est le coup d'envoi, dans une cacophonie agréable, nos Volkswagen (et ses variantes) prennent le chemin du village de Castelmaure pour une dégustation.
Dans ce village traditionnel, la cave coopérative, très axée sur les produits de la vigne et ses coutumes, souhaitait chaleureusement recevoir et partager le résultat de son labeur avec tous ces amateurs de cylindres plats.
Cette excursion était un authentique parcours de dégustation au sein de ce bourg des Corbières.
Suite à cette étape, le parcours continu à Narbonne où un repas était organisé à LA GRANDE BRASSERIE de NARBONNE où l’ensemble des participants se réunissaient pour un excellent déjeuner..(35€)
(Merci à Josette pour l'organisation des inscriptions, l'accueil des participants et la mise en place de l’apéritif...)
Cette journée dédiée à la rencontre des amateurs de COX s'est avérée être un grand succès pour cette seconde édition !
Merci à Cédric Bedos, soutenu par son collègue Didier Cavaillé ainsi que toute son équipe pour leur dévouement.
Nous tenons aussi à remercier tous les bénévoles du club 5A qui ont été présents avec vous pour vous apporter leur soutien, ce qui a contribué à faire de cette journée un véritable succès.
Notre souhait est de rassembler chaque année un nombre croissant d'amateurs de la marque VW provenant des quatre coins de notre région pour prendre part à l'événement.
On se voit l'année prochaine et toujours en Cox !
Texte : PL – Photo : DANIEL KASSE-ALAIN FERNAL-JEAN-CHRISTOPHE TOFF-CAROLE CHRISTOPHE PAULHE-P.L
Inscription à :
Commentaires (Atom)





























