dimanche 21 avril 2024

CLUB5A - HUMOUR MOTO - MONTRE MOI TA MOTO ET JE DIRAI QUELLE EST TA SITUATION FAMILIALE !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - VOITURES ET MOTOS D'ANTAN DANS LE MAINE ET LOIRE...



Grand prix rétro du Puy-Notre-Dame a rassemblé de nombreuses voitures et motos d'avant guerre...
C'était l'occasion de revivre les courses comme à l'époque sur les circuits d'avant guerre. Lors de cette rétrospective, le chronomètre était bien rangé. Seuls les pilotes sévissaient par catégorie dans la petite commune de 1300 habitants. 
Un rendez-vous qui a attiré beaucoup de spectateurs, amoureux des belles mécaniques en tous genres.
Source : pays-de-la-loire.france3.fr

CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - CITROEN DS..LA LOVE-STORY ....

Après des décennies de Tractions avant noires, la DS avec ses formes aérodynamiques, sa gamme de couleurs inédites et sa technologie novatrice alliant confort et sécurité représentait tout simplement la modernité.
Voiture mythique, la DS va pendant deux décennies faire la Une des journaux à l’occasion de manifestations politiques, mondaines, sportives, ou plus simplement, sur la route des vacances…

Source video : nilagsthlm

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LA REMORQUE SPECIALE PORSCHE !!


 

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CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES - LES AUTOMOBILES MATHIS !!

Mathis est une marque automobile française créée par Émile Mathis. Elle a produit des véhicules de 1905 à 1940
Les passionnés d'automobile, plus précisément de Mathis (1920). Venus des quatre coins de l'Europe, elles se sont données rendez-vous pour un défilé sur les routes vendéennes. 
Émile Mathis fut d'abord distributeur d'automobiles de diverses marques à Strasbourg, ville alors annexée à l'Allemagne. 
 Il s'associa avec Ettore Bugatti pour construire des véhicules Mathis Hermès Simplex de 28, 40, 45, 50 et 90 HP à l'usine de Graffenstaden. En 1907, les associés se séparèrent et Mathis fit construire une vaste usine à Strasbourg. Bugatti se consacra alors aux voitures de sport et de prestige, tandis que Mathis se tourna vers des véhicules plus populaires. Les véritables voitures Mathis sortirent en 1911, la production étant axée sur des modèles légers de 1 500 cm3. La grande époque de Mathis commença plus tard après la Première Guerre mondiale lors du retour de Strasbourg à la France. 
Il devint rapidement le quatrième constructeur français avec la 8/10 HP produite en série (à la chaîne) comme la Citroën 10 HP type A. À partir du Salon de Paris 1926, la 8 CV MY eut un succès considérable et fut le plus produit de tous les modèles. Afin de transposer cette réussite sur le haut de gamme, Mathis lança fin 1927 l'Emysix (6 cylindres et 11 CV) puissante mais plus légère que la concurrence. Puis il mit à l'étude une voiture plus compacte que la MY : la 7 CV PY apparue en 1930. C'est l'époque où Mathis dota ses voitures des perfectionnements ramenés des États-Unis comme le pont à denture hypoïde qui s'imposera après la Seconde Guerre mondiale. 
 La crise concentra les efforts sur une 8 CV moderne, l' Emyquatre à roues avant indépendantes et à freins hydrauliques lancée au Salon 1932, un an après l' Emyhuit (8 cylindres et 17 CV) à moteur 3 litres. Ce fut l'âge d'or pour la marque qui employa jusqu'à 15 000 personnes dans ses usines de la Meinau entre 1925 et 1935. En 1926, Mathis s’installa en Région Parisienne à Gennevilliers. En 1938, cette usine travailla aussi pour la construction aéronautique. À partir de l'automne 1934, afin de résister à la Grande Dépression, Mathis s'allia avec Ford pour former le groupe Matford et construire à la fois des véhicules Mathis et des véhicules Ford. Mais la 5 CV TY et la 8 CV Emyquatre disparurent et l'association prit fin avec le deuxième conflit mondial. 
Parti aux États-Unis dès juin 1940, Émile Mathis créa la société Matam (pour MAThis AMérique) qui participa à l'effort de guerre des Alliés en produisant, notamment, un nombre considérable d'obus pour la Navy. Revenu en France en 1946, Mathis avait deux projets futuristes : la VL333, voiture à trois roues légère et aérodynamique et la 666, plus haut de gamme avec un six cylindres à plat et quatre roues indépendantes. Mais ils n'eurent pas de suite et la marque disparut en 1953.
  Source : TVvendee

samedi 20 avril 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - REGIS ENTOURE DE SON EQUIPE ....


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - SAVOIR DECOMPRESSER ET SE VIDER LA TETE !!

 

CLUB5A - REPORTAGE AUTOS - LES VOITURES CLASSIC DE 1940 A 1950 !!

L'univers des voitures de collection des années 40 et 50. 
Tel est la rencontre que nous propose cette vidéo. .. Aujourd'hui les voitures ne sont pas drôles et manquent de beauté. Il y a pour certains de la nostalgie des "années folles". Il y avait un plaisir de conduire qui a disparu car trop de voitures de nos jours. 
Le bruit du moteur, à cette époque, était exceptionnel...... 

Source : 11094DEREK

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Le meilleur d’Alfa Romeo sous le marteau...

 

ENCHÈRES - L’étude Osenat disperse la splendide collection Alfa Romeo du Suisse Gérald Bugnon le 21 avril, à Fontainebleau. Les passionnés de voitures italiennes voient rouge. La maison Osenat est chargée de disperser une partie de la collection du Suisse Gérald Bugnon. Passionné d’Alfa Romeo, ce collectionneur a rassemblé quelques-uns des modèles parmi les plus emblématiques de la firme d’Arèse. Le 21 avril prochain, à son étude de Fontainebleau, Me Jean-Pierre Osenat va procéder à la vente de huit chefs-d’œuvre de la marque milanaise. Le fleuron de cette collection est le sport-prototype Tipo 33.2 développé pour le championnat du monde des Marques de 1967. 
Après avoir trusté le podium des 24 Heures de Daytona 1968 dans la catégorie 2 litres, les prototypes acquièrent le surnom Daytona. C’est surtout en courses de côte que les 33.2 étoffent leur palmarès. Livrée neuve à l’importateur français de la marque, la SOFAR, l’exemplaire de la vente a permis à Ignazio Giunti de remporter la Ronde Cévenole de 1969. 
  La collection comprend également un exemplaire de TZ1. Il s’agit de la voiture exposée au salon de la voiture de course de Londres, en janvier 1965. La voiture est dans un excellent état de préservation. 
C’est le cas également de la SZ Tonda qui n’est autre que l’ancienne voiture au volant de laquelle le Lyonnais Maurice Sauzay a remporté le Tour Auto 1980. Les amateurs de SZ n’auront que l’embarras du choix. Le catalogue comprend aussi l’un des 44 exemplaires de la SZ Coda Tronca. Me Osenat vend aussi la berline Giulietta Ti Série 1, la première Alfa de M. Bugnon et le modèle à l’origine de sa passion pour les machines ornées du Biscione. Autre pépite de la collection: l’un des prototypes de la Giulietta Spider réalisée par le carrossier italien Pininfarina. Enfin, la collection compte également une Giulietta Sprint Speciale Tipo 750 reconnaissable à son nez plongeant et une GTA préparée pour la course.

 Source : Sylvain Reisser-lefigaro.fr-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - SPORT AUTO - GRAND PRIX DE FRANCE ...LA FRANCE A INVENTE LE CONCEPT DU GRAND PRIX EN 1906 !

Si le retour du Grand Prix de France au calendrier du Championnat du monde de Formule 1 constitue un événement c’est aussi en partie parce que cette épreuve occupe une place particulière dans l’histoire du sport automobile. La France est la nation qui a inventé le concept de Grand Prix en 1906. A l’époque, la Formule 1 n’existait pas encore mais c’est sur la base instaurée par le Grand Prix de France 1906 que le Championnat du monde de Formule 1 a été fondé en 1950.
 C’est à l’instigation de l’Automobile Club de France que cette épreuve a été lancée en 1906 afin de prendre le relais de la Coupe Gordon Bennett. Le format retenu pour cette grande première n’avait pas grand chose en commun avec le Grand Prix qui aura lieu dimanche prochain. Déjà, l’idée d’un circuit permanent dédié à la compétition n’a pas encore vu le jour. C’est donc sur route ouverte que se dispute ce premier Grand Prix. Long de 103 kilomètres, le tracé forme un triangle reliant les villes du Mans, de Saint Calais et de La Ferté Bernard. 
Composées d’un aggloméré de pierres concassées et de sables, ces routes sont fraichement recouvertes de bitume avant le départ afin d’éviter trop de projection de poussière. Pour éviter les villes de Saint Calais et de Vibraye, des déviations sont même improvisées avec des planches posées au sol en guise de revêtement ! Trente-quatre voitures sont engagées par treize constructeurs différents. Nombre d’entre eux sont français mais quelques manufactures internationales répondent présentes comme Mercedes et Fiat. 
Assez rustiques, les voitures ont encore des jantes en bois et sont mues par des moteurs à la cylindrée énorme (allant jusqu’à 18 litres !) mais au régime et au rendement très faible. Les moteurs ne tournent qu’à 1800 tr/min. C’est à six heures du matin que s’élance le premier concurrent le 26 juin. Il n’est alors pas question d’un départ en peloton. Les voitures sont tractées les unes après les autres sur la ligne de départ par un solide percheron. Chaque concurrent s’élance alors successivement pour une séquence chronométrée de six tours le mardi. Et rebelotte le lendemain, soit un total de 1238 km : la distance de quatre Grands Prix actuels ! Autant dire, une aventure pour l’époque… 
D’ailleurs chaque pilote embarque à son bord un mécanicien. A mesure que le soleil monte, les thermomètres s’affolent… et le bitume fond, soumettant les pneus à la torture. Pire : Edmond, l’un des pilotes de l’équipe Renault, se prend des projections de goudron dans les yeux qui le font souffrir le martyr. L’injection de cocaïne ne suffira pas à calmer la douleur… 

 Son équipier d’origine hongroise passe les embuches de cette première journée de course sans encombre. Fidèlement assisté par son mécanicien Marteau (un nom prédestiné), Ferenc Szisz mène le classement à l’issue du premier jour avec 619 km parcourus en 5 h 45, soit une moyenne de 108 km/h. 
 Après une courte nuit de repos, les concurrents repartent le lendemain en fonction de leur temps de course de la veille. Malgré les efforts de la concurrence, Ferenc Szisz confirme sa bonne forme de la veille et remporte sur Renault AK le premier Grand Prix de l’histoire. Il faudra attendre les années 20 pour que d’autres nations telles que l’Italie, la Grande-Bretagne ou l’Allemagne organisent à leur tour un Grand Prix et donnent forme à ce qui deviendra en 1950 le Championnat du monde de Formule 1. 
Source : gpfrance.com

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - PAUSE PHOTO POUR DEUX ELEGANTES DANS LES ANNEES 20...


 

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vendredi 19 avril 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - Heureux qui comme Richard a fait un beau voyage - Et puis est retourné plein d'usage et raison....


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - QUESTION SURPRENANTE AU CODE LA ROUTE !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Quand les voitures françaises dominaient le monde !!

Au milieu du XIXe siècle, les progrès réalisés dans le domaine des machines à vapeur incitent certains à se pencher de nouveau sur les véhicules routiers. 
Dans la logique des choses, c'est en Angleterre, pionnière dans le développement des chemins de fer, que l'automobile à vapeur prend son essor. Néanmoins, le décret de 1839 limitant la vitesse à 10 km/h pour les diligences à vapeur ainsi que le « Locomotive Act » imposant aux véhicules automobiles d'être précédés d'un homme à pied agitant un drapeau rouge mettent un terme à son développement outre-Manche. 
 C'est donc en France que l'automobile à vapeur reprend son cours. Parmi les plus fameuses adaptations de la propulsion à vapeur, il convient de signaler celles d'Amédée Bollée qui commercialise en 1873 la première véritable automobile à vapeur, un véhicule appelée L'Obéissante capable de transporter douze personnes à une vitesse de pointe de 40 km/h. 
Bollée conçoit ensuite, en 1876, un omnibus à vapeur dont les quatre roues sont motrices et directrices, puis en 1878 une voiture appelée La Mancelle plus légère (2,7 tonnes) que son premier modèle, qui dépasse facilement les 40 km/hTC 3. Présentes lors de l'exposition universelle de 1878 à Paris, ces deux voitures sont classifiées avec le matériel roulant ferroviaire.
Cette exposition permet au public et à plusieurs industriels de découvrir pleinement ces nouveaux engins. Les commandes affluent de toutes parts, d'Allemagne tout particulièrement où une filiale Bollée voit même le jour en 1880. 
Bollée part alors à la conquête du monde et présente ses modèles de Moscou à Rome, de Syrie en Angleterre (1880-1881). Un nouveau modèle est lancé en 1880, dénommé La Nouvelle, pourvu d'une boîte de vitesses à deux rapports et d'un moteur à vapeur de 15 ch. 
En 1881, le modèle La Rapide de six places pouvant atteindre 63 km/h est présenté. D'autres modèles suivront, mais la propulsion à vapeur s'avère une impasse en matière de rapport poids/performance. Bollée et son fils Amédée expérimentent bien une propulsion à l'alcool, mais c'est finalement le moteur à explosion et le pétrole qui s'imposent. 
 Tricycle Serpollet. À la suite des progrès des motorisations, certains ingénieurs cherchent à réduire la taille de la chaudière. C'est ainsi qu'à l'occasion de l'exposition universelle de Paris de 1889, le premier véhicule à vapeur à mi-chemin entre l'automobile et le tricycle, développé par Serpollet-Peugeot, est présenté. Ce progrès notable est notamment dû à Léon Serpollet qui met au point la chaudière à « vaporisation instantanée ».
 Il obtient par ailleurs sur le véhicule de sa propre conception le premier permis de conduire français. 
Son châssis mais surtout l'utilisation qu'on lui consacre à l'époque expliquent que ce tricycle soit généralement considéré comme une automobile. Mais malgré l'ensemble de ces prototypes, l'automobile n'est pas encore réellement lancée ; il 
faudra pour cela attendre la généralisation d'une innovation des années 1860, qui va bouleverser le cours de l'histoire de l'automobile : le moteur à explosion. 
  Source : Pandemonium Lig

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - ON L'APPELLE LE CHAT CHANDELLE !!....


 

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CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ? - YOURI GAGARINE LE PREMIER RUSSE A ROULER EN DJET MATRA RENÉ BONNET !!

 

Alors que débute la longue semaine des 24 Heures du Mans où la firme s’est couverte de gloire il y a quarante ans, avec ses trois succès consécutifs, décrochés en 1972, 1973 et 1974 GAGARINE ? 
 Le tout 1er homme dans l’Espace en 1961 Le premier homme à avoir effectué un vol dans l’espace au cours de la mission Vostok 1, le 12 avril 1961, dans le cadre du programme spatial Soviétique. Youri Gagarine acquiert une notoriété internationale et est décoré de nombreuses distinctions, dont celle de Héros de l’Union Soviétique et de la médaille de l’ordre de Lénine, les plus hautes distinctions Soviétiques.
 La mission Vostok 1, sera son seul voyage spatial, mais il fut aussi doublure de secours pour la mission Soyouz 1. Il meurt à 34 ans après le crash de son Mig 15. Son nom a été donné à un cratère lunaire et à un astéroïde. 
 GAGARINE et sa DJET 
 Ou le premier Russe à rouler en René Bonnet Youri Gagarine et sa René Bonnet – Matra Djet, pose devant l’obélisque de Titane érigé à Moscou sur l’Allée des Héros à la gloire des conquérants de l’espace. « N’est-elle pas élégante ma Matra Jet, ? » semble se dire Youri Gagarine. En 1964 la société aéronautique Matra, dirigée par Marcel Chassagny et Jean-Luc Lagardère, fait l’acquisition du constructeur automobile René Bonnet, lequel a sorti en 1962 un petit coupé sport en composite remarquablement élégant : La DJET. 
 Dans l’espoir de marchés spatiaux, et aussi par admiration pour l’homme, Matra, qui brillera bientôt en Formule 1 (Champion du monde 1969 avec Jacky Stewart) et en Endurance au Mans (Victoires 1972, 73 et 74 avec Henri Pescarolo) décide en 1965 d’offrir à Youri Gagarine un coupé Djet, rebaptisé pour l’occasion : René- Bonnet – Matra Djet . En effet en 1965 Youri Gagarine a visité l’usine Renault de Flins et c’est Renault qui motorise la Djet avec le bloc de la R8 Gordini. Petit reportage dans Moscou sur les traces de Gagarine et de sa Djet, dont les images et le bordereau de douane ont été conservés précieusement. 
Comme à l’époque Matra ne fabriquait pas encore l’Espace (pour Renault), on considère aujourd’hui à Romorantin que Gagarine ne fût pas le premier homme dans l’Espace, mais le premier Russe en René Bonnet… L’Ingénieur aéronautique Gagarine était ravi en pré-vol de rouler avec sa Djet qu’il garé devant l’Université de Moscou. Avec une telle technologie Française, les astronautes Américains qui visitaient les campus en … Chevrolet Corvette n’avaient qu’à bien se tenir! A l’époque l’attroupement qui se faisait autour de la Djet de Gagarine semble confirmer la sensibilité des Moscovites pour les beaux objets. Il est vrai que la Djet tenait plus de l’OVNI que de la forme pataude des Gaz -M Gaz – Volga, Zil, Zis et autres Moskovitch, produites par l’économie planifiée de l’époque… 
 Il n’y avait pas que les adultes et les officiels pour venir admirer la Djet. Les enfants aussi. Mais le pilote y était certainement pour beaucoup… Selon le bordereau de douane, le véhicule livré au destinataire « Youri Gagarine (Cosmonaute) » , administrativement déclaré « Matra Bonnet MBD », coûtait à l’époque 14.200 nouveaux Francs, soit près du double de la Renault 16 qui venait de sortir de l’usine de Flins et le quart d’une Jaguar Type E. Que diriez-vous d’un petit tour dans Moscou ‘Camarade Gagarine? Et pas sur une technologie venue de l’Est (Vostok) mais de France… 
 Source : Bertrand VILLERET-autonewsinfo.com/FRANCE 24
FRANCE 24

jeudi 18 avril 2024

CLUB5A - SORTIE MOTOS - « 2ème RENCONTRE AMICALE INTERCLUBS des MOTOCYCLETTES ANCIENNES » C'ETAIT DIMANCHE 14 AVRIL 2024 DANS LE PAYS DE SAULT! ...

 


Avec des conditions climatiques idéales de ce dimanche matin du 14 avril 2024, de nombreux motards avaient répondu présent afin de participer à cette 2ème édition de la « rencontre amicale interclubs au pays de Sault ». Interclubs avez-vous prononcé ?.. Oui, vous avez bien compris ! 
 A l’initiative des quatre moto clubs de notre Occitanie : 
 - AZA de PAMIERS 
 - Les motos anciennes du ROUSSILLON 
 - Les PARALLELOGRAMMES D’OCCITANIE 
 - La section motos du club 5A CARCASSONNE 
 Pour les motards du club 5A Carcassonne le rendez-vous était pris à 8 h 30 pour un départ à 9h comme à notre habitude devant le café Dôme, avec 29 motards au départ pour cette deuxième rencontre.. Très belle participation ! 
Chaque association devait établir l’itinéraire de sa balade, car l’objectif était de tous se réunir à ROQUEFEUIL au lieu dit Les Escoumeilles à 13h afin de partager le repas où 52 personnes au total étaient rassemblées (total du nombre de participants des quatre clubs réunis)..
Et croyez moi, dans la grande salle de cette GAEC, cela faisait beaucoup de monde dans une ambiance moto très conviviale… et bruyante ! Nos organisateurs (Fufu, Régis et Bernard) aiment cette magnifique région et ils nous conduisent chaque année sur les hauteurs de ce contrefort pyrénéen… 
 Sur le parcours, la traditionnelle pause-café s'est organisée à BOURIEGE/PUIVERT au bord du lac (où nous pouvions apercevoir des baigneurs, pour vous dire que le temps était vraiment clément…) Sous un magnifique soleil, ce qui nous permit de partager le petit déjeuner dehors sur le parking, à cet endroit précis où nous avions convenu d'un point de ralliement avec les motards de l’AZA nos amis motards ariégeois… 
Puis, l’ascension vers le plateau à travers ses magnifiques forêts s'est déroulée sans incident. Il s'ensuivit d’un bon repas à la GAEC des BORDES au lieu-dit les Escourmeilles à ROQUEFEUIL où, déjà, 5 motards toulousains et 16 motards catalans étaient présents... 
Notons que le plus jeune motard avait 15 ans et le plus ancien 85 ans… Toutes les générations ou presque étaient représentées… (Merci à l’ensemble du personnel de cet établissement pour leur accueil et surtout leur patience et les excellents repas servis à base de produits de la ferme) Après le déjeuner et une ambiance très conviviale (à la motarde ancienne…) 
Mais hélas, il fallait nous quitter en nous promettant de renouveler cette rencontre l’année prochaine, mais cette fois, ce sont nos amis de l’AZA de Pamiers qui se chargeront d’organiser cette prochaine rencontre. (chose promise, chose due…) Et ce fut la descente en direction de Carcassonne, toujours sous une météo printanière… 
Avec ses superbes lacets pour la joie de nos cale-pieds avant d’arriver à Limoux où un arrêt rafraichissement était organisé dans le célèbre bistrot Tivoli. Côté panne : juste une Royal Enfield qui a fini sur la remorque à cause d’un problème de batterie. (H.S) 
 Merci à nos organisateurs des quatre clubs motos pour cette journée parfaitement orchestrée. Nous comptons tous sur votre collaboration pour que ces rencontres interclubs deviennent pérennes dans les années à venir ! 
P.S : Merci à Daniel Labadie, journaliste de LVM qui est venu avec sa Royal Enfield chargée comme un « mulet » et qui était présent pour le départ à Carcassonne et à continuer sa route sur Tarbes. Celui-ci avait prévu de dormir sous la toile de tente….

Texte et photos : Bernard RICARD

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - METTEZ DE L'AIL DANS VOTRE VIE !


 

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