samedi 13 avril 2024

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - J'AI PERDU MA CLE A MOLETTE !!


 

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CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ? - LA PLACE DE L' AUTOMOBILE PENDANT LA GRANDE GUERRE DE 14/18 !!

 

La place des véhicules durant la Première Guerre Mondiale.... Près de cent ans nous séparent de la Signature du Traité de Versailles, qui mit fin à la Première Guerre Mondiale (1914-1918). Découvrez comment cette guerre a changé la manière de concevoir les stratégies militaires grâce à l’arrivée et l’utilisation des véhicules lors du premier conflit mondial ! 
Le 28 juin : un anniversaire mêlant industrie et humain... Lorsque la Première Guerre Mondiale débute, en 1914, les militaires imaginent que la guerre sera rapide. 
Il s’agissait d’une armée professionnelle allant à l’assaut de l’ennemi sur le champ de bataille grâce à sa cavalerie. Avec la guerre de tranchée, la guerre change de visage. Il faut plus d’hommes. Les offensives à cheval sont impossibles, remplacés par les assauts humains. Il faut plus de munitions, car nous ne sommes plus sur un champ de bataille mais enlisé sur un front fixe que chaque corps militaire espère conquérir pour faire bouger la guerre. Comment approvisionner ce front d’hommes loin de tout, en armes, nourriture, en hommes ; comment soigner les blessés, les éloigner du cataclysme, comment les sauver pour qu’ils retournent combattre ? Les Taxis de la Marne : les plus célèbres véhicules de la Première Guerre Mondiale Retour sur le contexte historique des Taxis de la Marne.. 
Conscient de la nécessaire réactivité et rapidité à gérer cette guerre, les taxis de la Marne sont devenus le symbole de l’entrée de la modernité dans la Grande Guerre. En septembre 1914, Paris est menacé par les troupes allemandes qui sont à 40 km de la capitale. Il faut absolument mettre en place un plan afin de protéger la capitale et rapidement. Une offensive dans la Marne est envisagée pour arrêter l’ennemi, mais il faut des troupes fraîches pour continuer le combat. Si la première idée fut d’utiliser les trains pour le transport des troupes, elle fut abandonnée. En effet, le front était mal desservi par le réseau ferroviaire et un déraillement bloquerait l’acheminement. Le Général Gallieni réquisitionne alors les taxis de Paris[1] pour palier à ce problème, le 06 septembre 1914. Ils ont pour mission de rejoindre la ville de Temblay-les-Gonessses et de récupérer les soldats français afin de les mener au plus vite et au plus près du front. 
La Renault Type AG, héroïne de la Grande Guerre... C’est ainsi que la Renault Type AG de 8 chevaux entre dans la légende. Cet épisode marque l’histoire, car l’initiative est inédite. Elle préfigure l’image de l’union entre l’arrière et les soldats, une aventure héroïque et patriotique. Produite de 1905 à 1914, la Renault Type AG, dite « Taxi de la Marne », est un bicylindre de 1060cm³, 8cv, boîte 3 vitesses, 40km/h, longueur de 3,6m (1206cm³ à partir de 1907, 3,75m à partir de 1911). Depuis sa création en 1899 jusqu’à la Première Guerre Mondiale, l’usine Renault construisit 40 000 automobiles. Pendant la Grande Guerre, Louis Renault coordonna la fabrication de toutes les entités nationales, se rendant d’une usine à l’autre sur le territoire métropolitain français !
 Les taxis de la Marne continuèrent à rouler dans Paris pendant l’Entre-Deux-Guerres. Puis ils furent déclassés. Le contrat signé avec Renault et la Compagnie Française des Automobiles de Place stipulait l’interdiction de vendre les taxis avec leur carrosserie. Ainsi les châssis vendus, les carrosseries furent détruites. Il reste donc peu d’exemplaires que nous trouvons soit chez des passionnés, soit dans les musées de la Première Guerre Mondiale comme au Musée de l’Armée à Paris aux Invalides. L’importance stratégique des véhicules sanitaires Beaucoup d’hommes sont morts ou ont été blessés lors des assauts entre 1914 et 1917. Le service de santé des armées a dû s’adapter à cette situation : soigner au plus près du front des hommes en masse (plus de 20 millions de blessés), des blessures nouvelles liés aux éclats d’obus, des corps déchirés par les nouvelles armes (obus, mitraillettes…) et le développement rapide de la gangrène. 
Très rapidement est mis en place un protocole qui organise la gestion des victimes militaires dès les premiers secours jusqu’à leur convalescence loin du front. Ainsi, le paysage militaire est traversé par les allers/retours des automobiles sanitaires. Le rôle des ambulances devient primordial dans cette nouvelle organisation : rapidité du transport, tri et envoi. Peu nombreuses au départ, elles feront rapidement le lien entre les différentes infrastructures médicales. Le service sanitaire militaire se dote de divers véhicules : L’Autochir (Ambulances Chirurgicales Automobiles ACA) qui sont des unités chirurgicales mobiles françaises composées de camions. Le principe est connu dès 1912. 
C’est l’ingénieur Paul Boulant qui conçut un prototype présenté aux armées : une salle d’opération mobile utilisant les châssis des bus de la société de construction mécanique du Havre (Schneider et Cie). L’ambulance est expérimentée à l’initiative du docteur Maurice Macille. A partir de février 1915, les Autochirs sont généralisées sous la tutelle du Service de Santé des Armées. Elle sont regroupées en division de cinq camions Berliet Type CBA, deux camionnettes et quatre véhicules sanitaires Renault. L’ambulance centre de radiologie (les « petites Curie« ) : face aux blessures graves que les combats provoquent, Marie Curie est persuadée qu’il ne faut plus déplacer les blessés, mais amener le matériel directement sur le front pour poser un diagnostic rapide. 
Elle crée donc une unité radiologique mobile. En détectant les fractures ou les projectiles dans le corps blessé du soldat, elle permet au chirurgien d’être plus efficace. Elle commande dix huit voitures radiologiques sauvant ainsi plus d’un million de soldats. Pour concrétiser cet effort patriotique, elle fait appel à des bienfaiteurs dont la Princesse Murat qui lui fera le don de sa voiture Lorraine-Dietrich carrossée pour devenir une ambulance par Radiguet Massiot. Les ambulances de l’American Field Service [2] : à l’entrée de la guerre, les Américains, philanthropes, fondent des associations pour soigner les soldats européens. Ces ambulances transportent donc les blessés jusqu’à l’hôpital américain de Neuilly. Ils ont utilisé des voitures Ford « Modèle T ». 
Ce véhicule produit en très grande série, créé en 1908 par Henry Ford grâce au taylorisme, devient, en 1914, une ambulance très abordable grâce aux ateliers de Levallois-Perret. Mme Vanderbilt offre dix châssis Ford T. Simple, fiable, facile d’utilisation ces dix châssis reçoivent un habitacle qui permet d’accueillir quatre brancards sur une structure de bois, abrité par un toit en toile. Elles seront baptisées l’araignée à cause de leur haut châssis. En 1917, on estime qu’il y avait plus de deux cents ambulances Ford « T » en activité. Nous pouvons en voir une au Musée Franco-américain de Blérancourt. Les Anglais transformèrent également des Rolls-Royce en ambulances carrossées par Rippon’Brothers. Les marques automobiles participant à l’effort de guerre... 
Avec la Première Guerre Mondiale, pour la première fois, nous parlons de guerre industrielle. En effet, ce sont les capacités industrielles à innover et à produire en grande quantité qui font la différence. Dans chaque pays, les industries se convertissent et se mettent au service de l’armée (réponse à la demande d’équipements et armements, vêtements, repas…). Pour transporter ces produits vers le front, il faut des véhicules (grand mouvement d’allers et retours de voitures, motos, bicyclettes ou camions que nous montrent les premiers films militaires sur le front). Des ingénieurs de talent, comme Ernest Mattern chez Peugeot, Charles de Frémiville chez Panhard Levassor, André Citroën, Louis Renault, vont adapter leur production civile aux besoins militaires. Les automobiles servent essentiellement à transporter les autorités en visite sur le front, ceci dans les plus beaux modèles de l’époque (La limousine Panhard sans soupapes 16cv modèle 1913 ; limousine Dietrich 16CV de 1905…). 
Les deux roues servaient d’estafette. Quant aux camions, ils transportent le ravitaillement, les munitions, sans oublier les troupes. Des commandes ont été faites à Berliet et Renault en juin 1914, livrés en juillet 1914. Très tôt, les véhicules civils sont recensés et classés pour être réquisitionnés dès l’entrée en guerre. Les camions transportant essentiellement la nourriture sont des Berliet. L’abandon des chevaux permet aux sections automobiles d’être plus rapides et efficaces. 

Rapidement la pénurie des autobus et omnibus Schneider PB2 impose l’utilisation des camions bâchés. C’est ainsi que se côtoient sur la voie sacrée des Latil TAR (Tracteur d’Artillerie Latil) 4×4 mis au point en 1913, puissant doté de 5 vitesses qui transporte vers le front les canons de 155mm ; le Renault 3T ou le Berliet CBA. Nous pouvons voir quelques modèles au Musée de la Grande Guerre de Meaux ou à la Fondation Berliet. 
 Source : https://absolutelycars.fr/CARDO-
Musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux

vendredi 12 avril 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - LE SOURIRE ET LA BONNE HUMEUR EST DE MISE EN COMPAGNIE DE FRANCOISE LORETTE ET MICHEL ....


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - MOTO PREHISTO !!

CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES MOTOS - HISTOIRE DE MOTO-GUZZI !!!

L'histoire de la marque italienne Moto Guzzi commence lorsque trois jeunes gens d'origines fort diverses, Giorgio Parodi, Giovanni Ravelli et Carlo Guzzi se retrouvèrent enrôlés, au cours de la Première Guerre mondiale, dans la même escadrille. C'est là qu'ils projetèrent en commun de se lancer dans la fabrication de motos une fois les hostilités terminées. Mais le destin ne voulut pas qu'il en soit ainsi : quelques jours avant la fin de la guerre, l'avion de Ravelli fut abattu. 
 En souvenir, Guzzi et Parodi adoptèrent l'aigle, symbole de leur escadrille, en guise d'emblème de la marque qui porta le nom de Guzzi. Parodi apporta essentiellement le financement nécessaire au démarrage de l'affaire.
Source :WKPDIA/CC-BY-SA-3.0  

CLUB5A - CULTURE PUB - Renault 4L a fêté ses 60 ans !

 

Absolument légendaire. Renault 4L a fêté ses 60 printemps et la marque française avait préparée une année riche en événements pour la célébrer. 
C'est en 1961 que Renault lance la 4L , un modèle utilitaire qui deviendra l'un de ses constructeurs français les plus mythiques. Plus de huit millions d'unités ont été produites en plus de 30 ans de production - elle se terminerait en 1992 - et seraient commercialisées dans plus de 100 pays. La reconnaissance due à un modèle aussi important pour célébrer son 60e anniversaire. 
Dans les années 1950, pour remplacer la 4CV vieillissante et afin de concurrencer la 2CV Pierre Dreyfus demande à son équipe de créer "une voiture polyvalente, qui soit à la fois un véhicule urbain et rural, qui corresponde aux besoins de tout le monde, bref une voiture blue-jean". 
En octobre 1956 le projet se concrétise et la conception du projet 112 est lancé, projet longtemps appelé la "350" puisque Pierre Dreyfus souhaite en outre que le prix de cette voiture ne dépasse pas les 350 000 ancien francs. De nombreux essais et prototypes verront le jour entre 1956 et 1961, pour tester les différentes motorisations possible (2 à 4 cylindres, refroidissement à air ou à eau), la direction, les différents type de cardans, la géométrie du train avant. 
Ces prototypes de la future Renault 4 sillonnent les routes du monde des USA à la Suède en passant par la Sardaigne ou la Guinée et connaissent les conditions de roulage les plus extrêmes. 
A partir du 7 juillet 1961 les chaînes de montage de la 4CV sont remplacées par celle de la R4 et c'est le 3 aout que la première Renault 4L peut officiellement sortir de la chaine de production de l'ile Seguin. Le 26 aout 25 R4 et 5 R3 sont présentées à la presse en Camargue afin de démontrer les capacités de la voiture sur le macadam aussi bien que sur les chemins de pierre. La 4L aura été produite à 8 135 424 exemplaires, ce qui en fait la deuxième voiture française la plus fabriquée derrière la Peugeot 206.
Source : momor1128

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UN DRIVE AMÉRICAIN DES ANNÉES 60...... DIGNE DE LA SNCF !!


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CLUB5A - REPORTAGE AUTO - BUGATTI LES VOITURES LES PLUS RAPIDES ET LES PLUS EXCLUSIVES AU MONDE ...

 

Bugatti, le génie et la recherche de l’excellence en signature...Quelle que soit l’époque, Bugatti a toujours été reconnu comme le constructeur d’automobile produisant les véhicules les plus rapides et les plus exclusifs du monde. A l’occasion des 110 ans de Bugatti, les festivités battent leur plein avec de nombreuses expositions aux quatre coins de la France. 110 ans, un chiffre qui laisse autant rêveur que les modèles construits par son fondateur, Ettore Bugatti ! Ettore Bugatti, un passionné de mécanique... 
Ettore Bugatti (1881-1947), fils de l’ébéniste italien Carlo Bugatti et de Thérèsa Lorioli, est issu d’une famille d’artistes et de créateurs. Son frère cade est le célèbre sculpteur animalier Rembrandt Bugatti (1884-1916). Il était également le neveu du peintre Giovanni Segantini et son grand père paternel Giovanni Luigi Bugatti était un sculpteur et architecte renommé en Italie. Il était tout naturel qu’Ettore Bugatti fréquenta l’Académie des Beaux-Arts Brera de Milan où il étudia la sculpture avec son frère. 
A 14 ans, Ettore Bugatti se découvrit une passion pour la mécanique, en modifiant un tricycle motorisé. A 17 ans, il entra en apprentissage dans la fabrique de bicyclette milanaise Prinetti & Stucchi pour qui il conçut un tricycle à 2 moteurs pour la compétition. Il participa en tant que pilote à de nombreuses courses. La société ne désirant pas s’engager dans la fabrication des automobiles, Ettore Bugatti devint indépendant et, entre 1900 et 1901, avec l’appui financier des frères Gulinelli, il conçut et fabriqua sa première automobile. 
Cette voiture, la Bugatti Type 2, était équipée d’un 4 cyl. de 3054cm³ (90 x 120) développant 12ch, atteignant 60km/h ! Elle est munie d’une transmission par chaîne, d’une boîte à vitesses 4 rapports, d’un châssis d’un empattement de 1,8m. Elle fut si remarquable qu’elle lui valut un prix et une médaille lors d’une exposition de renom à Milan se faisant ainsi remarquer par l’industriel alsacien, le Baron Eugène-Dominique de Dietrich (1844-1918) qui l’embaucha en 1902. 
De Dietrich ou les premières armes d’Ettore Bugatti Deux usines De Dietrich, implantées à Niederbronn-les-Bains et Lunéville, construisaient des automobiles depuis 1897 sous licence « Amédée Bollée Fils« , « Vivinius« , puis « Turcat-Mery« . Néanmoins, la première arrêta la fabrication des voitures en 1905, la seconde devint Loraine-Dietrich en 1906, la famille de Dietrich se désengageant de ce site industriel. Pour De Dietrich, Ettore Bugatti conçut 3 automobiles.... Ettore Bugatti travailla avec Émile Ernest Charles Mathis (1880-1956), celui-ci étant chargé de la commercialisation des voitures De Dietrich. En 1904, ils furent remerciés et s’associèrent pour faire fabriquer des Hermès à Graffenstaden, dans la propre banlieue de Strasbourg, par la Société Alsacienne de Constructions Mécaniques (SACM). 
Hermès : l’association d’Ettore Bugatti avec Emile Ernest Charles Mathis Pour Hermès, Ettore Bugatti conçut deux automobiles. Néanmoins, l’aventure entre les deux hommes fut très courte, puisqu’en 1906, le « Patron », son surnom, décide de se consacrer aux voitures de sport et de prestige.... Ainsi, Ettore Bugatti rejoignit Gasmotoren-Fabrik Deutz AG (ou plus simplement Deutz), une société fondée en 1872 à Deutz (ville incorporée à Cologne en 1888) par Nikolaus August Otto (1832-1891), Gottlieb Daimler (1834-1900) et Wilhelm Maybach (1846-1929). En 1876, Deutz produisit le premier moteur à quatre temps sur le principe défini par Nikolaus August Otto, le brevet étant déposé depuis 1877. 
A l’époque d’Ettore Bugatti, Gottlieb Daimler et Wilhelm Maybach avaient déjà quitté la société pour une nouvelle aventure industrielle, dès 1882. De son côté, Émile Ernest Charles Mathis vendit des Hermès jusqu’en 1907, puis distribua les automobiles des autres constructeurs pendant l’édification de sa nouvelle usine de Strasbourg. Il ambitionnait de devenir un acteur majeur en termes de volume. Chose atteinte durant l’Entre-Deux-guerres où son entreprise était le quatrième constructeur français, derrière Citroën, Renault et Peugeot. Les premières Mathis apparurent en 1910 et étaient équipées de moteurs Stœwer. L’union d’Ettore Bugatti et de Deutz : pour l’excellence Pérenne, Deutz donna les moyens financiers à Ettore Bugatti pour concevoir des automobiles fabuleuses.
 L’arbre à cames en tête fit son apparition en 1903 sur le moteur de l’automobile de l’anglais Mandslay et fut adopté en série en 1905 par Isotta-Fraschini sur le modèle D. Ettore Bugatti fit de même pour les moteurs des Deutz-Bugatti, uniques voitures construites par cette vénérable maison. Pour Deutz, Ettore Bugatti conçut deux automobiles... Le 25 février 1907, Ettore Bugatti épousa Barbara Maria Giuseppina Mascherpa Bolzoni (1881-1944) avec laquelle il aura quatre enfants, L’Ebé (1903-1980), Lidia (1907-1972), Jean (1909-1939) et Roland (1922-1977). 
 Responsable de la fabrication des automobiles, Ettore Bugatti conçut, en 1908, pendant ses moments de loisirs, la Bugatti Type 10 baptisée également par ses soins « petit pur-sang », dénommée par le public la « baignoire », car elle était dépourvue de portes. Sa carrosserie était en aluminium. Les prémices de la marque Bugatti venait de naître ! 
 Source : CARDO -absolutelycars.fr/Motor1 France

jeudi 11 avril 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - POUR TOUS PROBLEMES CONCERNANT LES BAGAGES VOUS DEMANDEZ PATRICK !


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - UN SALON DE COIFFURE TENU PAR DES PASSIONNES DE COMBI VW ...


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO ET MOTO - Les motards bientôt connectés avec les automobilistes ?

Un nouveau système de connectivité mettant en relation les motards et les automobilistes, pourrait permettre d'éviter jusqu'à un tiers des accidents de moto. (Par Jules Humbert). 
Les premiers rayons de soleil accompagnés de températures clémentes, marquent le début des grandes balades à moto. Malheureusement, lors de ces grandes excursions, on déplore encore de trop nombreux accidents. Très exposé du fait de l'absence de protection, un motard a 18 fois plus de chances de ne pas survivre à un accident comparé à un automobiliste protégé par la carrosserie de sa voiture. 
L'équipementier Bosch, avec le soutien de Ducati, Autotalks et de la firme canadienne Cohda wireless, a décidé de s'atteler à la réduction des collisions impliquant les deux-roues motorisés. 
L'objectif est de supprimer un tiers des accidents impliquant un deux-roues motorisé. Ces acteurs sont en train de développer un système qui fournirait des informations aux motards et aux automobilistes circulant à proximité, dans un rayon de 700 mètres. Les renseignements diffusés concerneraient le type de véhicule, sa vitesse, sa position et la direction qu'il prend. Ces détails utiles seront renouvelés dix fois par seconde grâce à cette nouvelle technologie qui prévoit de connecter les véhicules entre eux, pour éviter au maximum d'être surpris par un usager distrait. Ce dispositif préviendra chaque conducteur (motard ou automobiliste) par une alarme sonore ou un voyant lumineux sur le tableau de bord, si une situation potentiellement dangereuse est détectée. 
Les voitures garées émettent aussi un signal pour prévenir les autres de leur présence, et toutes les données seront affichées sur une carte en 3D qui fonctionne de pair avec le système. Bien que cette nouveauté représente un atout supplémentaire pour la sécurité des motards, certains points sont encore sujets à interrogation. 
Le conducteur devra à présent se concentrer sur sa conduite et la route qui défile devant lui, mais aussi suivre en permanence la carte du système! 
Cela ne risque-t-il pas de compliquer la conduite et d'engendrer des fautes d'inattention? 
À trop vouloir sécuriser les usagers de la route, le système ne risque-t-il pas de créer plus de troubles qu'il n'est censé en résoudre? 
D'autant plus que si aucun danger n'est signalé, les automobilistes vont probablement relâcher leur attention, alors que les véhicules anciens qui ne possèdent pas de tels dispositifs ne seront pas signalés sur la carte. 
Est-ce l'aube de la création d'un danger supplémentaire pour les propriétaires d'anciennes motos? 
Enfin, cette technologie restera sans effet sur les usagers au comportement incivique, comme les automobilistes qui estiment être toujours prioritaires sur les motards simplement parce qu'ils sont moins exposés au danger. Pour corriger ces défauts, la prévention et la sensibilisation seront certainement nécessaires.
Source :  lefigaro.fr

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - RETOUR SUR LA SORTIE AUTO DU 7 AVRIL 2024 - CROISIERE SUR LE CANAL DU MIDI ....


Source : lindependant.fr-J-G-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info..

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CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - LA CITROEN DS 21 MAJESTY CARROSSEE PAR CHAPRON ...LE GRAND LUX !!

 

1969 Citroën DS 21 'Majesty' Saloon est une berline incroyablement rare et incroyablement luxueuse...
 La Citroën DS , l'une des plus belles voitures jamais fabriquées, est un classique assez désirable sous sa forme standard, sans parler des rares spéciales carrossées de Chapron. Un bon exemple est la berline Citroën DS 21 "Majesty" qui est mise aux enchères par Bonhams comme l'une des 27 unités jamais fabriquées dans ce style de carrosserie. 
 Le "Majesty" a été construit par Henri Chapron , qui était également responsable de la garniture phare DS Prestige. Elle a fait ses débuts en 1964 et est restée en production jusqu'en 1969 en tant que variante la plus luxueuse et la plus exclusive de la berline française. Ce modèle particulier a été construit en 1969, ce qui en fait l'un des trois modèles basés sur la DS rénovée avec de beaux phares directionnels - les 24 autres unités avaient des phares ronds.
 La caractéristique remarquable de la "Majesty" est la partie arrière redessinée, avec une ligne de toit angulaire résultant en une forme à trois caissons plus traditionnelle et une hauteur libre accrue pour les passagers arrière. 
Outre la conception différente de la queue avec le pare-brise arrière plus grand et les ailettes sur les ailes arrière, le modèle présente des garnitures extérieures spéciales. On retrouve beaucoup de chrome sur la partie inférieure de la carrosserie, un élégant bandeau chromé sur le profil mettant en valeur les badges « Majesty », et des enjoliveurs en aluminium poli, contrastant avec la teinte Midnight Blue. L'équipement comprend la climatisation avec bouches d'aération avant et arrière, des cendriers pour tous les passagers, une radio, une horloge montée sur le tableau de bord et une sellerie personnalisée. 
Les sièges et les panneaux de porte sont recouverts de cuir beige havane, associé au faux bois de loupe peint à la main sur le tableau de bord et au tapis de laine marron. La DS spéciale a été restaurée en 2009 mais nécessite maintenant quelques travaux pour revenir en état Concours après avoir été entreposée pendant tant d'années. La rare Citroën est offerte sans réserve et on estime qu'elle coûte entre 50 000 et 100 000 francs suisses, soit environ 51 000 à 102 000 dollars. 
Outre le prix, le nouveau propriétaire devra payer des frais de douane suisses et des taxes supplémentaires afin de retirer le véhicule proposé avec une immatriculation belge. Préférez-vous la carrosserie "Majesty" à la DS d'origine mais toujours ravissante, au cabriolet deux portes Décapotable ou à la Wagon plus pratique ? Source : THANOS PAPPAS-carscoops.com/john blp

mercredi 10 avril 2024

CLUB5A - SORTIE AUTO RANDO-POP DU 7 AVRIL 2024 - LE CLUB 5A CARCASSONNE EN CROISIERE SUR LE CANAL DU MIDI..EMBARQUEMENT IMMEDIAT !

 

Il était 8h quand une trentaine de voitures ainsi que 65 participants se retrouvaient sur le parking de la maison des associations à Carcassonne en ce dimanche matin du 7 avril 2024…. Peugeot, Renault, Mercedes, Wv, Alfa-Roméo, Ford etc….enfin vous l’aviez compris …que des voitures aussi magnifiques les unes que les autres ! 
 Après avoir validé l’inscription et écouter le programme de la journée de cette sortie lors d’un rapide briefe de Sylvie et Régis, road book en main, nous nous mettons en route sans perdre de temps car le « timing » de la journée était organisée au « millimètre » près. 
 Un ciel bas et gris avec un petit vent chargé d’humidité était au rendez-vous ce matin-là avec une température de saison qui venait « agrémenter » cette journée. 
 Celle-ci s’annonçait prometteuse et sous les meilleurs auspices car nous étions certains que le déroulement de cette sortie Rando-pop édition 2024 nous mènerait par un itinéraire que nous avaient concocté Corinne et Sylvie lors de la reconnaissance la veille, le programme prévu allait tenir ses promesses…et ce fut le cas. 
Comme à l’accoutumée, nous traversons tous ces petits villages de Trèbes-Rustiques-Badens -Marseillette-Puichéric-La Redorte et Marseillette et arrivons gentiment sur le Port de HOMPS, où sur l’emplacement d’un grand parking était prévu un rassemblement afin de se regrouper avant l’embarquement. Le timing était respecté car nous étions un peu en avance sur l’horaire (10h). 
10h20 – Après avoir garé les voitures, sans perdre de temps et comme convenu avec le responsable de la péniche-promenade, s’organisait l’embarquement pour l’ensemble du groupe.(65 personnes). 
 Et nous voici tous embarqués sur la péniche pour une jolie promenade de 2h sur le canal du midi où nous pouvions admirer des magnifiques paysages au fil de l’eau accompagnés des commentaires de notre guide navigateur. 
Nous sommes agréablement surpris de la richesse et l’histoire de ce canal et ceux-ci viennent en complémentarité de nos connaissances sur cet ouvrage de plusieurs siècles. 
12h30-L’expérience a été unique car après ce surprenant voyage sur les flots, il fallait débarquer pour nous rendre au restaurant « Café du commerce » (chez Ahmed) à Rieux Minervois afin de partager un repas convivial et très copieux. 
Tout le personnel de ce restaurant nous attendait pour nous servir un excellent repas…bravo et merci à toute l’équipe jeune et dynamique pour cette excellente prestation et j’en profite pour conseiller cet Établissement à tous les responsables de clubs automobiles ou autres associations pour faire une étape où se conjugue la qualité et un accueil sans comparaison. 
 Tous nos remerciements à ceux qui ont œuvré pour cette belle journée. 


Merci à Sylvie Corinne Gérard, merci aussi à la croisière du Midi pour son accueil…..Merci à vous tous pour votre participation! 
Texte : PL Photos : Famille Raynaud-PL-Bernard Jelade...