mardi 7 février 2023

CLUB5A - RALLYE DE LA BOUSSOLE DU 4 FEVRIER 2023 ....UN CLUB DE VEHICULES ANCIENS SANS RALLYE C'EST COMME UNE VOITURE SANS BOUSSOLE !

 

L’édition 2023 de la Boussole organisée par le club des 5A a eu lieu le samedi 4 février. A partir de huit heures, l'organisateur Michel JALBAUD accueillait les participants à CARCASSONNE place du Général De Gaulle. 
 Les engagements étaient pris par Corinne CILIA LA CORTE tandis que Marlène FOLI remettait aux vingt équipages inscrits la plaque de l'événement. A neuf heures, les concurrents ont pris la route pour une première étape de 41 kilomètres. N’oublions pas que, si le trajet à effectuer n’est pas chronométré, les participants doivent impérativement respecter l’itinéraire prévu : pour en justifier, ils doivent noter toutes les lettres préalablement disséminées sur le parcours. 
 Ces lettres ont été implantées à des endroits précis avant le passage des concurrents par Jean et Gisèle GUILHAUMON ; après le passage de la dernière voiture, les lettres ont été enlevées par Patrick CILIA LA CORTE et Bernard VIDAL. La première voiture sur la ligne de départ était la doyenne du jour : une Renault Novaquatre de 1937. 
 Les équipages se sont élancés - sous un beau ciel bleu avec des vues magnifiques sur les Pyrénées enneigées - en direction de CAZILHAC, CAVANAC, COUFFOULENS, le hameau de Cornèze, LEUC, VERZEILLE, LADERN SUR LAUQUET et GARDIE pour arriver à partir de 10h30 à PIEUSSE au domaine de Fourn. 
 La famille ROBERT, propriétaire des lieux, a offert une dégustation de ses produits, dégustation qui était accompagnée du petit déjeuner salé soigneusement installé par Cécile JALBAUD et Marlène FOLI. Après ce moment de détente, les concurrents ont repris la route pour une deuxième étape de près de 46 kilomètres en direction de LIMOUX. 
 Une large boucle a été réalisée en traversant PIEUSSE, SAINT-HILAIRE, VILLEBAZY, BELCASTEL ET BUC, VILLAR-SAINT-ANSELME, GARDIE, passage à nouveau à proximité du domaine de Fourn, nouvelle traversée de PIEUSSE et enfin direction LIMOUX pour la pause déjeuner. A l’issue de cette étape, le déjeuner a été pris au restaurant le Tivoli où nous attendait un buffet. Notons, et cela sera le cas pour toute cette journée d’ailleurs, que les concurrents ont été très appliqués pour suivre le road-book puisque tous les horaires prévus ont été scrupuleusement respectés par tout le monde. 
 Ainsi les concurrents se sont tous attablés à l’heure prévue, le tout dans une bonne ambiance avec un fond musical lié au célèbre carnaval de LIMOUX (qui, comme chacun le sait, est le carnaval le plus long du monde !). En effet, une bande de Carnavaliers était dans le bar du restaurant le Tivoli et des musiciens ont interprété divers morceaux. 
 Le café été pris en terrasse sous un soleil radieux, avant de reprendre la route pour la troisième étape devant mener les concurrents jusqu’à VILLELONGUE D’AUDE. Si la première étape du matin s’était déroulée avec des températures très basses (entre 0 et 3 degrés), le bord de certaines routes étant recouvert de givre, la troisième étape a débuté avec des températures beaucoup plus clémentes. 
 Cette chaleur toute relative (entre 10 et 13 degrés) a rendu les choses plus agréables aux courageux qui roulaient depuis le matin cheveux aux vents, notamment les équipiers de la Triumph MK2 et ceux du Buggy. Ce réchauffement a même amené certains cabriolets à décapoter, à tout le moins ceux qui étaient équipés d’un saute-vent. 
 Cette troisième étape de près de 48 kilomètres de routes aussi belles que sinueuses a mené les participants à découvrir les villages de MAGRIE, TOURREILLE, BOURIEGE, ROQUETAILLADE, LA SERPENT, à nouveau BOURIEGE, BOURIGEOLE, SAINT COUAT DU RAZES, LA BEZOLE avant d’arriver enfin à VILLELONGUE D’AUDE. C’est au cours de cette étape que la Renault Novaquatre de 1937 a connu une panne qui sera la seule de la journée : Patrick CILIA LA CORTE et Bernard VIDAL sont intervenus, et les équipiers ont pu redémarrer mais ils ont quitté la Boussole pour rentrer directement à leur domicile. 
 A VILLELONGUE D’AUDE, les organisateurs attendaient les concurrents pour une halte. Dès cette pause « goûter » terminée, le départ de la quatrième étape était donné. Cette dernière étape de la journée était plus facile puisque les participants savaient à l’avance qu’il n’y avait cette fois aucune lettre à relever au bord de la route. 
 C’est donc en direction de CARCASSONNE que nos vieilles mécaniques sont parties en passant par MONTAUT, ALAIGNE, ROUTIER, BRUGAIROLLES, le col de la Malepère et ROULLENS. Enfin la ligne d’arrivée était au Païchérou, restaurant carcassonnais où les concurrents étaient attendus pour partager le repas de clôture. 
 Un grand merci à tous ceux qui ont organisé cette Boussole car tous les ingrédients ont été réunis pour qu’elle soit un succès : un temps splendide, un beau plateau (mêlant des voitures sportives et des voitures populaires, des véhicules de l’entre deux-guerre jusqu’à des véhicules du début des années 2000), des road-books bien ficelés permettant de « jardiner » juste ce qu’il faut en sillonnant de belles routes, un timing parfaitement maîtrisé, des pauses bien orchestrées, et le tout dans une bonne ambiance.
 Bref, cette Boussole a été une vraie réussite. Vivement la prochaine édition ! 
 Texte : DAVID SARDA - Photos : Florence FOLI / DAVID SARDA

CLUB5A - LE TOP DES 5A - CONCERTATION SUR LE ROADBOOK DU JOUR ENTRE JEAN-PIERRE ET MICHEL ...



CLUB5A - HUMOUR AUTO - VOICI EN EXCLUSIVITE LA NOUVELLE AUDI !!


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - GRAINE DE PILOTE !!


 

lundi 6 février 2023

CLUB5A - LE TOP DES 5A - GROS SUCCES POUR LA CITROEN B2 DE PATRICK !!


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - AS-TU CONNU LA VIGNETTE AUTO ??


 

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Salon Rétromobile : les 20 véhicules qui atteignent des prix fous aux enchères..

 

Salon Rétromobile : les 20 véhicules qui atteignent des prix fous aux enchères Lors du salon Rétromobile, qui se tient du 3 au 5 février à Paris, 230 voitures anciennes et de collection sont vendues aux enchères pour une estimation globale de 80 millions d’euros. Avec des estimations allant de 500 euros pour des modèles populaires, à 35 millions d’euros pour les plus prestigieux, il y en a pour tous les portefeuilles. Véritable leader de la voiture collection, Rétromobile est le rendez-vous annuel pour tous les passionnés d’automobiles. Découvrez dans notre diaporama le “top lots” des 20 modèles les plus valorisés aux enchères. 
Ferrari 250 LM Berlinetta par Pininfarina (1964) Estimation : 25 000 000 - 30 000 000 C’est le joyau de la vente, le lot qui surpasse tous les autres. Son prix également. Une Ferrari 250 LM est mise aux enchères au Salon Rétromobile, pour un prix qui est estimé entre 25 et 30 millions d’euros, selon une porte-parole de Artcurial. Décrit comme “l’un des chefs-d'œuvre absolus de l’histoire de l’Automobile”, la 250 LM est le dernier modèle Ferrari à avoir remporté la célèbre course des 24 Heures du Mans, en 1965 (Masten Gregory/Jochen Rindt). Le modèle est exemplaire : la 250 LM vendue ici est la dixième sur seulement 32 exemplaires produits entre 1963 et 1965. Conçue pour la course plutôt que pour la route, la voiture présentée n’est jamais passée par les circuits.
Ferrari 340 America Barchetta Touring Superleggera (1951) Estimation : 5 000 000 - 8 000 000 € La marche est grande avec la Ferrari 250 LM, puisque nous descendons à “seulement” sept chiffres. Pour un prix qui devrait osciller entre 5 et 8 millions d’euros, le marteau accordera au plus offrant ce modèle rare, jamais proposé sur le marché puisqu’elle est restée 47 ans dans les mains du même propriétaire. Produite en 1951, elle est la plus puissante Ferrari de l’époque, et participe aux courses suivantes : 24 Heures du Mans 1951 ; Tourist Trophy 1951 avec Mike Hawthorn ; 12 Heures de Sebring 1953, Daytona Speed Week 1954. Sur son site, Artcurial ajoute : “Une fois sortie de l'atelier, cette voiture sera accueillie avec ferveur dans tous les évènements historiques majeurs de la planète, dont le centenaire des 24 Heures du Mans en 2023 et constituera l'indiscutable joyau de la collection qu'elle est susceptible de rejoindre.”
 Mercedes-Benz SLR Stirling Moss Edition (2009) Estimation : 3 000 000 - 4 000 000 € L’un des 75 exemplaires de Mercedes-McLaren SLR Stirling Moss fabriqués est proposé aux enchères pour un prix estimé entre 3 et 4 millions d’euros. Baptisée en hommage du pilote britannique Mclaren, la Mercedes-Benz SLR Stirling Moss a été présentée au Salon de l'Automobile d'Amérique du Nord en 2009. La voiture a parcouru moins de 9.000 km. “La SLR Stirling Moss compte parmi les supercars en édition limitée les plus recherchées dans le monde et il est rare qu'un exemplaire apparaisse à la vente, les échanges se faisant essentiellement de bouche à oreille… Le mythe à l'état pur !”, souligne Artcurial. 
Ferrari 575 GTC Compétition (2003) Estimation : 3 300 000 - 3 800 000 € Cette Ferrari 575 est l’un des trois exemplaires seulement à avoir participé aux 24 Heures du Mans, en 2005, sur les 12 au total à avoir été produits par Ferrari. Sortie de l’usine en 2003, elle a couru sur tous les grands circuits européens avec deux saisons de courses. “Outre le fait qu'il s'agisse d'une machine de Maranello aux performances exceptionnelles, elle représente une opportunité d'investissement fabuleux pour les collectionneurs”, estime la maison de vente aux enchères. 
Bugatti Type 35C (1929) Estimation : 2 500 000 - 3 500 000 € Sortie d’usine en 1929, la Bugatti 35C n’a jamais été modifiée depuis 1931. La voiture est aujourd'hui dans la configuration exacte d'après son arrêt de la compétition à la fin de la saison 1932. Elle dispose d’un historique exceptionnel, ayant été pilotée par des pilotes prestigieux tels Guy Bouriat, le Baron Philippe de Rothschild, Juan Zanelli, Eddoura, Ralph avec des succès notoires dans des épreuves importantes. “Il s’agit d’un des plus beaux exemplaires conservés, un des plus originaux et authentiques de type 35 C, produit à seulement 55 exemplaires du printemps 1927 à l’été 1930, explique Artcurial. 
Bugatti Type 57 Atalante (1935) Estimation : 2 000 000 - 3 000 000 € C’est l’un des modèles les plus emblématiques de Bugatti. Cette Atalante type 57 est sortie de la carrosserie Bugatti le 13 juillet 1936. Pour un prix estimé entre 2 et 3 millions d’euros, son futur propriétaire profitera d’une Bugatti “exceptionnelle par sa forme et ses performances, riche d’une histoire suivie entre les mains d’amateurs passionnés, en superbe état et qui bénéficie d’une configuration très largement d’origine.” 
Ferrari F40 (1992) Estimation : 2 000 000 - 2 500 000 € La F40 est connue des passionnés comme la dernière Ferrari conçue et fabriquée sous le contrôle et du vivant d'Enzo Ferrari. Forte de 400 chevaux et d'un châssis très sportif, elle dépassait 300 km/h ce qui, en 1984, faisait figure d’extra-terrestre et était réservé à une élite. Ce modèle hors du commun avait marqué l'esprit et Ferrari souhaitait garder son avance sur ses concurrents dans le domaine des très hautes performances. “Conservée durant l'essentiel de sa vie à l'abri de la lumière, à température stable, jamais utilisée sous la pluie, cette F40, qui compte certainement parmi les exemplaires les mieux préservés, représente un investissement sérieux pour cette version la plus aboutie, (catalysée, suspension active, vitres descendantes, climatisation)”, peut-on lire dans le catalogue de la vente. 
Ferrari 250 GT Lusso par Pininfarina (1964) Estimation : 1 500 000 - 1 800 000 € Avec sa ligne élégante signée Pininfarina, la Ferrari 250 GT Lusso ("luxe") est une des plus belles Ferrari jamais produites. Faisant partie de la grande famille des 250 GT, sa production s'est limitée à 350 exemplaires. En 2016, elle est acquise par l'actuel propriétaire qui décide alors de la remettre dans sa configuration d'origine, comme indiquée dans la certification, bleu clair, intérieur Terra Cotta.
 Bugatti Type 43 Grand Sport “Prima Donna” (1931) Estimation : 1 200 000 - 1 800 000 € Produite en 1931, la Bugatti Type 43, surnommée “Prima Donna” combine les performances d'une Bugatti 35 B et le confort d'une carrosserie torpédo de tourisme. La 43 Grand Sport est un des meilleurs modèles produits par la marque de Molsheim. 
Ferrari F12 TDF (2016) Estimation : 1 200 000 - 1 600 000 € La Ferrari F12 TDF est indiscutablement une des meilleures “Grand Tourisme” des temps modernes, renouant avec une configuration qui a bâti les succès de la marque. Dévoilée en octobre 2015, la F12 TDF a reçu le nom de Tour de France en hommage à la Ferrari 250 Tour de France de 1956 qui remporta l'épreuve trois années consécutives entre 1957 et 1959. Les designers se sont inspirés de cette dernière en sculptant des louvres de chaque côté de la carrosserie. Très orientée “Piste”, elle était réservée aux meilleurs clients de la marque, 799 exemplaires seulement furent livrés. 
Porsche Carrera GT (2005) Estimation : 1 100 000 - 1 500 000 € Ses performances sont exceptionnelles, avec une vitesse de pointe à 330 km/h. Véritable vitrine technologique de Porsche, la Carrera GT est d'abord présentée comme Concept Car au Mondial de l'Automobile de 2000, avant d'être commercialisée à partir de 2003 et jusqu'en 2006. Membre du club très fermé des supercars d'exception, elle est produite à moins de 1.300 exemplaires. 
Porsche 911 S/T Rally 2,3L (1970) Estimation : 1 000 000 - 1 400 000 € Cette Porsche 911 ST fait partie des 21 exemplaires de Porsche 911 ST Rally 2,3L produits en 1970. Vendue avec sa fiche FIA valide, et un dossier historique important retraçant l'ensemble de sa carrière et ses différentes modifications, cette Porsche 911 ST a brillé dans les années 1970 entre les mains d'un pilote de premier plan, le suédois Björn Waldegård Champion du Monde des Rallyes en 1979. 
Porsche 962 C (1991) Estimation : 900 000 - 1 300 000 € Six victoires consécutives aux 24 Heures du Mans, entre 1982 et 1987 : c'est un des aspects de l'incroyable palmarès dont peuvent se targuer les Porsche 956 et 962, qui ont connu une carrière extrêmement longue pour des machines de compétition. Au total, Porsche a fabriqué 16 exemplaires de 962 pour l'équipe usine, et 77 voitures "client", dont fait partie la 962 C proposée à la vente, une des dernières entièrement assemblées à l'usine. 
Porsche 959 Komfort (1987) Estimation : 850 000 - 1 250 000 € Cette 959 exceptionnelle a été livrée neuve en Allemagne le 13 juillet 1987, et est restée entre les mains de son unique propriétaire pendant 20 ans, jusqu'en 2007. “Cette Porsche 959 est une très belle représentante d'une des Porsche de tourisme les plus extrêmes de l'histoire du constructeur. Rare, à la fois spéciale d'homologation et vitrine technologique, elle a ouvert la voie aux futures Carrera GT et Porsche 918. Offrant des performances qui la mettaient au niveau des Ferrari F40 ou Jaguar XJ220, c'est une véritable machine de course civilisée sous ses habits de ville", explique Artcurial dans le catalogue de la vente. 
Lamborghini Countach LP400 (1975) Estimation : 800 000 - 1 200 000 € Une Lamborghini Countach est, en soi, une voiture hors du commun. Mais celle-ci, dans un très bon état, fait partie des tout premiers exemplaires produits, avec le 9 comme numéro de production. En 1983, elle est achetée par son actuel propriétaire qui avoue aujourd’hui : “Quand on a possédé une voiture comme celle-ci, il est difficile de trouver un autre modèle qui soit encore plus exceptionnel.” La maison de vente aux enchères souligne : “La voiture que nous présentons, en plus de son état exceptionnel, a l'avantage de correspondre à la toute première version construite de la périscope, la plus pure, se rapprochant d'un authentique prototype". 
Ferrari 308 GTB Gr. 4 Foitek (1980/81) Estimation : 800 000 - 1 200 000 € Cette Ferrari 308 GTB a été pilotée par Karl Foitek qui a remporté la victoire lors des épreuves de Dijon, Imola et Patnot. En 2000, cette Ferrari 308 GTB Gr. 4 a fait l'objet d'une révision complète en vue d'une participation aux Ferrari Days, au Nürburgring. Depuis, la voiture a participé plusieurs années au Tour Auto, entre les mains de son propriétaire actuel, PDG de Charles Pozzi Ferrari. “Aujourd'hui, elle représente une authentique machine de compétition d'époque, moins chère qu'une Michelotto mais tout aussi performante et préparée avec autant de précision, propre à prendre part aux épreuves historiques où elle se distinguera par son originalité et ses performances”, lit-on sur le site du Artcurial. 
Mercedes-Benz 450/500 SLC Rallye, voiture d'usine (1979) Estimation : 800 000 - 1 200 000 € Immatriculée le 2 février 1979, cette authentique Mercedes de compétition d’usine faisait partie de cinq voitures ayant des numéros de série consécutifs (626 à 630), produites pour prendre part à la saison 1979 du World Rallye Championship, où elle a connu une fabuleuse épopée au sein de l’équipe d’usine. Elle se présente aujourd'hui exactement dans l'état qui était le sien à l'issue du Rallye du Bandama, en Côte d'Ivoire, en décembre 1980, fait très rare pour une machine de compétition. Le catalogue précise qu’elle “constitue une occasion unique d'acquérir une Mercedes de rallye officielle, pure machine de course préparée spécialement pour une saison de rallyes”. 
Aston Martin DB4 Série 4 Vantage (1962) Estimation : 700 000 - 1 000 000 € Cette Aston Martin DB4 Série 4 Vantage est exceptionnelle par ses caractéristiques, son histoire et son état. Elle a été achetée en 1979 par son propriétaire actuel, qui en a assuré un entretien régulier et soigneux grâce à son mécanicien. Cette Aston Martin est sans doute une des dernières DB4 Série 4 Vantage (produites à moins de 150 exemplaires) vendues neuves en France. “Rendues légendaires par les films de James Bond autant que par leurs qualités routières, les Aston DB combinent le raffinement d'un intérieur britannique au charme d'un dessin d'origine italienne et au brio d'un moteur noble”, selon Artcurial. 
Ferrari 365 GTB/4 Daytona par Scaglietti (1970) Estimation : 650 000 - 850 000 € Cette Daytona a appartenu au chanteur Christophe. Elle est immatriculée en 1983 au nom de Véronique Bevilacqua, épouse du chanteur qui avait pour habitude de mettre les papiers de ses multiples bolides au nom de sa femme, et qui la conservera pendant 10 ans. Sortie d’usine le 8 mai 1970, la Daytona fait à l’époque l’objet de sarcasmes injustifiés de la part de spécialistes. Elle bénéficie aujourd’hui d’une aura incontestable qui s’appuie sur plusieurs critères : c'est la dernière Ferrari V12 à moteur avant de cette époque qui propulse la voiture à 270 km/h; ses qualités routières sont incontestables, notamment dans les grandes courbes prises à pleine vitesse; enfin elle bénéficie d'une ligne impressionnante tracée par Fioravanti, pour Pininfarina. La voiture est rachetée le 25 juillet 2002 par l'actuel propriétaire, parisien, qui envoie la voiture chez le spécialiste Alain Coquelet pour une restauration complète de la carrosserie et de l'intérieur. 
Delage D8 120 Cabriolet par Vanvooren (1938) Estimation : 650 000 - 850 000 € Cette voiture, sortie des usines Delage en 1938, fut tout d'abord la propriété du Shah Aga Khan III, chef religieux dans l’actuel Pakistan. En 1979, son propriétaire actuel la fait restaurer intégralement. A cette occasion, la calandre fut remise dans sa configuration d'origine. "Que ce soit capoté ou décapoté, la ligne si élégante et racée de ce cabriolet est à couper le souffle, le degré de finition et de raffinement de l'ensemble confirment que cette D8-120 représente ce qui se faisait de mieux en France avant la seconde guerre mondiale”, raconte la maison de ventes aux enchères. 
Source : photo.capital.fr/Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info.....

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LE MOTO CROSS EN MODE POLITIQUE DE L'AUTRUCHE !!


 

CLUB5A - MOTOS DE LEGENDE - AERMACCHI CHIMERE ....LE "REVE" DE L'APRES GUERRE !!

 

Cet Aermacchi magnifiquement stylé porte bien son nom, car la Chimère (rêve) a été élaborée à une époque optimiste de l'histoire italienne, alors que le pays se développait rapidement après la Seconde Guerre mondiale et que l'avenir s'annonçait radieux. Peu de motos ont capturé cet amour du futuriste comme l'Aermacchi Chimera avec ses panneaux de carrosserie totale offrant une merveilleuse opportunité de style. Aeronautica Macchi a été fondée en 1912 sur le lac de Varèse en Lombardie, avec le fondateur Giulio Macchi qui construisait des avions à l'aube de l'industrie. 
La société a d'abord construit des monoplans Nieuport sous licence pour l'armée italienne, puis une série d'hydravions rapides et beaux et d'avions de chasse monoplaces dans les années 1930. 
Aermacchi détient toujours le record du monde d'hydravions de vitesse, pris en 1934, lorsque son hydravion MC72 à hélices contrarotatives et un moteur Fiat V-24 de 3, Après la Seconde Guerre mondiale, Aermacchi ne pouvait pas construire d'avions, elle a donc étudié les motos en tant que produit industriel, comme tant d'autres compagnies aéronautiques l'avaient fait après la Première et la Seconde Guerre mondiale.
 L'entreprise a d'abord expérimenté un scooter électrique très moderne, mais ce n'est qu'en 1951 qu'elle a produit une moto, la 125N, un petit scooter à deux temps conçu par Lino Tonti, qui deviendra célèbre pour son châssis Moto Guzzi dans les années 1970. . Aermacchi a attiré l'attention du monde avec la Chimera en 1956, qui comportait un moteur unique à plat à quatre temps très moderne et un style qui a été examiné avec enthousiasme par la presse mondiale de la moto. Les panneaux de carrosserie recouvrent la machine d'une carrosserie en aluminium galbée avec de minces accents chromés, lui donnant un look extrêmement moderne, et utilisent un cadre de colonne vertébrale avec une suspension arrière à monoamortisseur unique. 
 Cette belle Aermacchi Chimera de 1958 fait partie de la collection MC et a été achetée à Giovanni Cabassi du MAD Moto Arte Design à Milan. Elle faisait à l'origine partie de la collection Gilmo Paglini, et il convient de noter que cette moto n'a actuellement pas de câblage de système électrique installé, bien que ce soit une question simple pour une machine aussi digne et au style exquis. La chimère Aermacchi de fabrication italienne est fabriquée dans les années 50 et au début des années 60. La Chimera était élégante, chic et emballée dans un design jazzy de l'ère spatiale et était équipée de panneaux de carrosserie en alliage et d'une suspension arrière monoamortisseur.
 Construit de 1956 à 1964, la production était faible, avec seulement 119 des modèles 175cc et 177 des plus grandes machines 250cc sortant de l'usine d'Aermacchi basée à Varese. Fondée par Giulio Macchi en 1912, la société a construit des avions qui ont été utilisés dans les deux Première Guerre mondiale et Seconde Guerre mondiale. 
 Il n'est donc pas surprenant qu'Aermacchi ait utilisé des éléments de style aéronautique lorsqu'il a développé la Chimera. La machine finie a été exposée au Salon de Milan début décembre 1956. La presse s'est émerveillée de son design fluide et fluide et a qualifié la Chimère de sommet de l'élégance technique. La Chimère comportait un cadre de colonne vertébrale en tube d'acier. Un moteur 250cc agrandi a été introduit en peu de temps, et Aermacchi a proposé la Chimera avec les deux moteurs simultanément. Hormis la cylindrée du moteur, rien d'autre n'était différent entre les deux modèles Chimera. 
Le réservoir d'essence et le garde-boue arrière, tous deux en acier embouti, sont d'un intérêt et d'un design particuliers, avec la selle longue et les genouillères. Un capot avant qui rejoint les panneaux inférieurs de la section médiane guide l'air sur la tête et le cylindre du moteur. Les panneaux de la section médiane, qui comportent des sections en aluminium poli et peintes, sont en fait les couvercles latéraux du carter moteur. 
Source : mecum.com/yesterdays.nl/-QAGOMA