samedi 15 novembre 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Malgré deux prototypes dont un conçu par Pininfarina, Peugeot n'a jamais donné le feu vert à une 205 break. Voici pourquoi...

 

Entre les 204 et 206 breaks, il y aurait logiquement dû avoir une 205 avec ce type de carrosserie. Pininfarina puis un duo Belge ont cogité le projet. Mais la direction de Peugeot de l’époque a mis son véto. Découvrez ci-dessous pourquoi. Bien avant la mode des SUV urbains, caractérisés dans la gamme Peugeot par deux générations de 2008 apparues successivement en 2013 puis en 2019, la mode était aux petits breaks. Une tradition née en 1966 avec la Peugeot 204 et qui a perduré jusqu’en 2012 sur la Peugeot 207 SW. Pourtant, il y a bel et bien eu un trou dans la raquette, entre la 204 break qui quitta le catalogue en 1976 et la 206 SW qui pris la relève en 2003, il n’y eut jamais de Peugeot 205 break. Pour le sacré numéro, la marque au lion a eu d’autres projets, notamment ceux de la Peugeot 205 F, la fourgonnette alter ego de la Citroën C15 mais aussi un utilitaire de poche, la Peugeot 205 Multi conçu par le carrossier Durisotti. 
Cependant, des carrossiers indépendants ont planché sur une Peugeot 205 break. Peugeot 205 Verve : une variante break cogitée par Pininfarina.. Dès le salon de Turin 1984, quelques mois après le lancement de la Peugeot 205 berline (en trois comme en 5 portes), l’italien Pininfarina présente la 205 Verve. La proposition ne manquait pas d’audace au niveau du style, comme on pouvait s’y attendre de la part du carrossier turinois. La silhouette du petit break était caractérisée par un toit flottant très original. Un effet spectaculaire obtenu au moyen de montants arrière peints en noirs donne à la partie postérieure du toit l’apparence d’une d’étagère en surplomb se terminant par un hayon étonnamment large. Afin de limiter les coûts de production, les portes arrière restaient celles de la Peugeot 205 à 5 portes, tandis que la reprise des jantes en alliage de la 205 GTI dynamisait l’ensemble. L'idée était intéressante, les lignes harmonieuses et fonctionnelles, et la Peugeot 205 berline connut un franc succès, laissant présager que le public apprécierait cette déclinaison encore plus polyvalente et surtout légitime puisqu’elle aurait pris la relève de la 204. 
 Pourtant, Peugeot n'approuva pas le projet et ne lança pas la production d’un break 205. Une stratégie justifiée par la présence dans la gamme de la 309, qui rappelons le reprenait la cellule centrale de la 205 en offrant une proposition plus spacieuse et plus familiale de la 205. La 309 fut une sorte d’épine dans le pied pour Peugeot, puisqu’à l’origine elle devait être la Talbot Arizona remplaçant la Talbot Horizon. La disparition de la marque Talbot, imposa au lion de rapatrier comme il put, la 309 (elle reste d’ailleurs à ce jour l’unique modèle dont le nom se termine par un 9) dans sa gamme. Depuis, le prototype Verve, probablement détruit, n'a plus jamais été revu ; seules quelques images subsistent. Peugeot 205 Nepala : la variante break belge... En 1987, en Belgique, le carrossier Jean Pirard et le designer Benoît Contreau décidèrent de se lancer dans la production artisanale d'un petit break, à partir de berlines Peugeot 205 neuves auxquelles ils supprimèrent le hayon et installèrent une extension en fibre de verre sur le porte-à-faux arrière. Une structure au design complexe et à la construction alambiquée qui n’avait nullement l’élégance de la proposition de Pininfarina.
 D’autant que le vitrage panoramique implanté au niveau du coffre n’avait guère d’intérêt. Au contraire, à cet endroit, il vaut mieux dissimuler le chargement. En tout cas, le manque d'homogénéité de cette extension fut l'une des principales causes de l'échec du projet. Malgré des prévisions optimistes, la Peugeot 205 Break Nepala, c’était un nom de baptême prémonitoire ne fut produite qu’à seulement deux exemplaires, chacun 30 cm plus long que le modèle 5 portes. Le premier, utilisé comme maquette puis comme prototype roulant, fut démantelé, tandis que le second existe toujours et est en état de marche. Il resta la propriété de Jean Pirard jusqu'à son décès, après quoi il fut heureusement récupéré par le président du club Peugeot 205 et 309 de Tricht, aux Pays-Bas, où il se trouve encore aujourd'hui. Source : automobile-magazine.fr Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - MOTO DE LEGENDE - LA NORTON 750 ATLAS ........... LA GRANDE SŒUR DE LA COMMANDO !!

La Norton Atlas était une moto Norton fabriquée entre 1962 et 1968, jusqu'à ce qu'elle soit remplacée par le Norton Commando L'Atlas Mark 1 a été lancé sous le nom de 750 SS au début des années 1960, mais au moment où elle est apparue en 1962, elle était appelée Atlas 750cc, avec le célèbre cadre Featherbed de Norton . 
Le moteur Dominator de 1949 de 497 cm3 du concepteur Bert Hopwood avait été percé et passé au fil des ans à 745 cm3, via des versions de 600 cm3 puis de 650 cm3, pour plaire au marché américain et n'était initialement produit que pour l'exportation. 
Le style était destiné au marché américain avec un guidon de grande hauteur, un petit réservoir d'essence de 2,5 gallons et des garde-boue et un garde-chaîne chromés. Le look a été complété par une roue arrière robuste WM3-18, et une magnéto Lucas Compétition a été fournie en standard.
 Le moteur avait une compression inférieure à celle du Dominator (à 7,6: 1) et était équipé d'un seul carburateur monobloc 376 Amal donnant 55 ch (41 kW) à 6500 tr / min. Cependant, la conception a produit des vibrations excessives à haut régime, de sorte que le taux de compression a été réduit. L'Atlas partage de nombreuses pièces de cycle avec le dernier des jumeaux Dominator et possède la boîte de vitesses à quatre vitesses et l'embrayage renforcé de Norton. 
Le circuit électrique était de 6 volts et il avait des fourches Roadholder, des amortisseurs arrière Girling réglables et un cadre Featherbed mince. En 1964, l'Atlas a été mis à niveau vers un système électrique de 12 volts et a acquis un deuxième carburateur et des chapes de fourche plus larges. 
Une version britannique a été lancée avec des barres plates et des instruments jumeaux. L'Atlas a continué à être construit jusqu'en 1968, mais le Norton Commando avait pris le relais. 
Des tuners spécialisés tels que Dunstall ont produit des "coureurs" basés sur Atlas (Domiracer 750) et ont proposé des roadsters de style course (Dominator 750) bien que plus tard Dunstall ait également désigné ses roadsters comme `` Domiracer ''. 
Quelques cadres Rickman Metisse ont été fabriqués ou modifiés par la suite par les propriétaires pour accepter les centrales Norton, et les hybrides AMC-Norton alimentés en usine (Norton Matchless) comprenaient un trailster tout-terrain alimenté par Atlas, encadré par Matchless.
Plus de sept mille hybrides Atlas ont été produits à Plumstead entre la fin de 1963 et la fin de 1968 en utilisant des moteurs Atlas et divers cadres Matchless. Ceux-ci avaient les désignations G15 ou N15 pour le roadster et P11 pour le trailster.
Source : WKPDIA/CC-BY-SA-3.0-Motosyndrome Area 755

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CLUB5A – 15/11 - PARTICIPEZ AU JEU DU "QUI EST QUI" - QUELLE EST LA PERSONNE DERRIERE CETTE IMAGE ?

 

L’intelligence artificielle utilise des techniques pour imiter le fonctionnement du cerveau. 
Tandis que l’IA occupe une place croissante dans nos vies, elle ouvre aujourd’hui autant de possibilités, par exemple transformer une photo… 
Voici un nouveau jeu où vous devrez deviner de quelle personne il s’agit. Cette personne, vous la connaissez, car elle participe à nos sorties et fait partie du club ou en est un sympathisant. Une devinette vous sera proposée tous les mois et vous avez quelques jours pour y répondre…. 
 Le premier qui devine ce personnage aura gagné et accumulera un nombre de points et sera peut-être le gagnant. 
 Nous attendons vos réponses soit à travers le blog, dans : laisser un commentaire en bas du menu du blog clubdes5a.blogspot.com dans le formulaire de contact ou sur facebook.com/club5des5A/ 
La personne qui aura le plus de réponses exactes aura gagnée et sera récompensée à la prochaine A-G. 
Rendez-vous le 15 Décembre pour une nouvelle énigme. 
 À vous de jouer !

vendredi 14 novembre 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - PETITE REUNION IMPROVISEE ENTRE FILLES...

CLUB5A - HUMOUR AUTO - LES DEUX HUMORISTES STAN LAUREL ET OLIVER HARDY EN VOITURE !!

Stan Laurel et Oliver Hardy apparaissent pour la première fois ensemble au générique d’un même film en tant qu’acteurs dans Le Veinard (The Lucky dog) bien avant que le duo comique qui va les rendre célèbres ne soit constitué. En 1925, Oliver Hardy rejoint les Studios Hal Roach et tourne dans le film Yes, Yes, Nanette que réalise Stan Laurel qui y travaille déjà depuis plus de deux ans. 
Ils vont naturellement travailler et tourner ensemble sans qu’il soit possible de dire à partir de quel film on puisse véritablement considérer que la constitution du duo soit effective. Cette dernière se déroule sur plusieurs d’entre eux mais a cependant lieu très tôt durant les premiers films qu’ils tournent sous la direction de Fred Guiol. Le duo comique se forme à l’aube du cinéma parlant et les premiers films de Laurel et Hardy sont des films muets. Il faut cependant signaler que certains de ces derniers comme Habeas Corpus ou Vive la liberté (Liberty) sont sortis sonores, mais ne comportant que musique et bruitage, les dialogues restant des intertitres, peuvent être considérés comme des films muets.
 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - PANNEAUX ROUTIERS POUR SE RETROUVER DANS L 'UNIVERS DES PLANETES !!

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Une Cisitalia 202 sort de l’ombre...

 

La maison Aguttes va vendre aux enchères le 30 novembre prochain un rare exemplaire de la berlinette italienne resté caché dans une grange de la région de Pontarlier. Passer la publicité Passer la publicité C’est le genre de découverte dont raffolent les amateurs de voitures de collection. Le département «Automobiles de collection» de la maison Aguttes, dirigé par Gautier Rossignol, va disperser une collection d’une trentaine de voitures, principalement des modèles de l’entre-deux-guerres, provenant d’un amateur éclairé de la région de Pontarlier, dans le Doubs. Inconnu d’une grande partie du milieu de la collection, ce passionné possédait une rare Cisitalia 202 de 1953 carrossée par Pinin Farina. Elle est la vedette non seulement de la collection de ce fameux Monsieur F. mais également de la vente d’automne de la maison Aguttes organisée le 30 novembre prochain à l’Espace Champerret. La Cisitalia 202 possède une place à part dans la production italienne. Son style inspiré annonce une décennie de domination des carrosseries italiennes. Exposée au musée d’Art moderne de New York (MoMA) à partir de 1951, cette berlinette a été présentée le 6 novembre 1947 à la Foire de Milan, en lever de rideau du grand prix d’Italie, un mois avant le salon de Paris.

 Ses lignes modernes,, simples et profilées font immédiatement l’unanimité. Elles sont l’œuvre du styliste Giovanni Savonuzzi. Passer la publicité Cisitalia est la concrétisation du rêve de Piero Dusio, un industriel du textile qui a fait fortune en habillant l’armée italienne, de créer sa propre marque de voitures de course. Avec le concours de Savonuzzi et Dante Giacosa, ex-ingénieur de Fiat, une première voiture voit le jour en 1946. Il s’agit d’une monoplace baptisée D46. Piero Dusio en dérive une berlinette pour participer aux épreuves routières type Mille Miglia. C’est à partir de ce modèle que naît la déclinaison routière. Elle est animée par un moteur Fiat 4-cylindres de 1,1 litre de cylindrée. Portant le numéro 19, l’exemplaire de la vente Aguttes est l’un des premiers produits. Selon les documents que les experts ont pu retracer, la voiture a été livrée neuve à Monaco où elle restera immatriculée jusqu’en 1951. Elle intègre la collection franc-comtoise en 1973. Depuis, elle n’est sortie qu’à de rares occasions et jamais été vue lors d’un rassemblement de voitures anciennes. Jamais restaurée, elle se présente dans un exceptionnel état d’origine, à part le moteur qui a été changé mais en conservant le couvre culasse Cisitalia. La patine du temps a fait son œuvre sur la carrosserie et l’habitacle. La vente parisienne sera sans doute une occasion unique d’acquérir ce chef-d’œuvre de la carrosserie italienne, d’origine française. La Cisitalia 202 Pinin Farina est estimée entre 160 000 et 240 000 euros. Parmi la trentaine de véhicules provenant de la même collection, on trouve aussi une Alfa Romeo 2600 Sprint de 1965, une Delage D6 cabriolet Olympic de 1961 signée du carrossier Letourneur & Marchand, une Amilcar A6 GCS de 1927 et une Hotchkiss Grégoire carrossée en cabriolet par Chapron en 1953. Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info

CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - LA D.S CITROËN LA VOITURE RÉVOLUTIONNAIRE POUR SON EPOQUE !!

La DS, et sa déclinaison simplifiée la Citroën ID, est commercialisée par Citroën entre 1955 et 1975, tout d'abord en berline puis en break et cabriolet. Le « D » vient probablement de l'usage du moteur le plus récent alors de Citroën, le « moteur série D », qui équipait la Traction 11 D jusqu'en juillet 1957. L'ID et la DS reprennent le même principe de la traction, qui a fait la renommée de Citroën. 
 Dessinée par le sculpteur et designer italien Flaminio Bertoni en collaboration avec André Lefebvre, ingénieur issu de l'aéronautique, et l'ingénieur hydraulicien Paul Magès, cette automobile est révolutionnaire par bien des aspects. À l'origine, son long capot est prévu pour accueillir un moteur 6-cylindres, mais tant le 6-cylindres en ligne de la 15, que celui à plat, ne purent être adoptés, pour cause de mise au point non aboutie et d'encombrement car ce moteur 'pénétrait' dans l'habitacle. Son nom de code est « VGD » (Véhicule de grande diffusion4), la conception du projet étant lancée par le PDG de Citroën Pierre-Jules Boulanger puis son successeur Pierre Bercot.
 Elle est le point de mire du salon de l'automobile en 19556. Elle est dotée d'une ligne extrêmement audacieuse, qualifiée même de révolutionnaire, et d'un confort intérieur remarquable grâce à sa suspension hydropneumatique propre à la marque jusqu'en mai 2017. La DS comporte également de nombreuses innovations techniques qui la démarquent du monde de l'automobile de son époque en Europe : direction assistée, boîte de vitesses assistée à commande hydraulique, freinage assisté par des freins à disque à l'avant, pivot de direction dans l'axe des roues et, à partir de septembre 1967, phares pivotants, puis, de septembre 1969, introduction de l'électronique (moteur à injection).
 Innovation de sécurité importante : le volant de direction monobranche, copié sur la Humber Humberette de 1903 et conçu pour éviter de briser la cage thoracique du conducteur en cas de choc frontal violent. Sur le tachymètre des DS 21 présentées en septembre 1965 seront également rappelées les distances de freinage associées aux principales vitesses sur route. 
 La DS est vite adoptée par les cadres supérieurs et les notables puis par les vedettes et les élus de la République, jusqu'au général de Gaulle qui en fait la voiture officielle de la présidence (elle lui sauvera la vie au cours de l'attentat du Petit-Clamart). En 1999, la DS est récompensée en arrivant en troisième position du concours international Voiture du siècle derrière la Ford Model T et la Mini. Cette même année, elle est nommée « plus belle voiture de tous les temps » par le magazine britannique Classic & Sports Car (en). La DS reste populaire et concurrentielle durant toute sa carrière, le plus haut niveau de production est atteint en 1970. 
À la fin de sa vie, certains aspects comme l'habitacle assez étroit ou le levier de vitesse au tableau de bord commencent néanmoins à paraître vieillots. Finalement, après vingt ans de production, durant lesquels plus d'un million trois cent mille DS sortent des chaînes de production, du break au cabriolet, dont 493 724 breaks DS et 1 365 cabriolets, elle est remplacée par la Citroën CX au milieu des années 1970. Véhicule de collection devenu culte, une DS 23 cabriolet est vendue 344 850 euros en février 2009. 
La DS est l'un des symboles de la France des années 1960 et 1970, de la période des « Trente Glorieuses » connaissant le plein emploi dans l'industrie et le bâtiment. C'est bien en tant que tel qu'elle est le sujet d'un chapitre entier du célèbre ouvrage Mythologies (Seuil, 1957) de l'écrivain Roland Barthes, qui voit en elle « l’équivalent assez exact des grandes cathédrales gothiques : je veux dire une grande création d’époque, conçue passionnément par des artistes inconnus, consommée dans son image, sinon dans son usage, par un peuple entier qui s’approprie en elle un objet parfaitement magique » 
La DS reste très prisée jusqu'au milieu des années 1980. Elle passe ensuite, comme le titrait un article des années 1990, « du Gotha au ghetto », avant de retrouver une belle cote d'amour auprès des collectionneurs à l'aube des années 2000. La valeur la plus élevée jusqu'ici enregistrée pour une DS est de 344 850 € pour une DS 23 IE boîte de vitesses mécanique cabriolet (peinture extérieure blanc Meije, intérieur cuir noir, modèle restauré) d'Henri Chapron, vendue en France à Rétromobile par Bonhams en février 20099,10. Le précédent record pour une DS était de 176 250 €, toujours pour une DS 23 IE cabriolet (peinture argentée, cuir rouge, seulement 100 000 km) d'Henri Chapron, vendue à Rétromobile chez Christie.
 Ces voitures carrossées par Chapron atteignent des cotes élevées en raison de leur rareté, mais les DS « courantes » s'échangent à des prix très inférieurs. Le marché de l'occasion offre des voitures dans tous les états imaginables : de la belle DS totalement rénovée, traitée contre la corrosion, jusqu'à la quasi-épave, en passant par la voiture « dans son jus », voire « sortie de grange », c'est-à-dire n'ayant pas roulé depuis longtemps. 
 Le 9 octobre 2005, lors du cinquantième anniversaire de son lancement, un convoi de 1 600 DS venues de toute l'Europe a circulé dans Paris. De 2005 à 2008, le Français Manuel Boileau fait un voyage autour du monde dans une ambulance DS de 1971. C'est un voyage de 80 000 km à travers 38 pays15. Alors dans la jungle laotienne, il découvre, abandonnée et en mauvais état, la DS Prestige qui appartenait au dernier roi du Laos. La voiture a ensuite été restaurée. D'une conception technique sophistiquée nécessitant un entretien important, elle n'intéresse sur ce continent que ceux qui sont prêts à faire des efforts pour rouler « différemment », elle peine ainsi à s'imposer sur ce marché.
 Les prestations que la clientèle américaine attend d'un tel véhicule haut de gamme lui font cependant défaut : transmission entièrement automatique, climatisation, vitres électriques et moteur plus puissant. Le prix de la DS est comparable à un véhicule concurrent au même niveau de la gamme, comme la Cadillac. De plus, la législation américaine d'alors interdit certains dispositifs innovants, tels que le fluide minéral hydraulique de LHM et les phares aérodynamiques, deux équipements aujourd'hui communs dans les véhicules vendus aux États-Unis. Néanmoins, 38 000 unités sont écoulées aux États-Unis, ce qui est une performance finalement assez honorable sur un marché réputé difficile d'accès aux constructeurs français.
Source : BERIGAUD VEHICULES ANCIENS

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jeudi 13 novembre 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - POUR NICOLAS LA VIE EST BELLE QUAND IL S'AGIT D'UNE JOURNEE MOTO...

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - NE PARTEZ PAS EN SURCHARGE !

CLUB5A - LES VOITURES DE LEGENDE - LA DEUDEUCHE ...UNE CARRIÈRE DE 60 ANS !!

Plus d’un demi-siècle après son lancement l’œuvre de Pierre-Jules Boulanger continue de faire tourner les têtes. Qui l’eut cru ? Construite en 1948, la 2CV ou TPV (Très Petite Voiture), comme on l’appelait à ses débuts, était en effet une voiture « simplement » populaire, nullement destinée à jouer les gravures de mode. Mais le succès aidant, son côté à la fois robuste et économique ayant séduit de nombreux automobilistes, la petite Citröen s’est rapidement transformée en icône, celle de la « Vieille France ».
 Connue dès lors dans le monde entier, la 2CV se sera écoulée à plus de 5 millions d’exemplaires, jusqu’à ce fameux 27 juillet 1990, date de son dernier souffle officiel.
Source : autodeclics.com / Vidéo : Jeraime P

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Malus automobile : ce qui change en 2025 et pourquoi votre prochaine voiture pourrait vous coûter jusqu’à 70 000 € de plus...

 

Derrière cette appellation, se cachent deux taxes distinctes : la première est liée aux émissions de dioxyde de carbone du véhicule, la seconde se fonde sur son poids. Depuis 2008, le malus écologique pèse sur l’achat des véhicules, neufs ou jamais immatriculés en France, les plus polluants. Il englobe deux taxes : le malus CO2, fondé sur les émissions de dioxyde de carbone, et le malus au poids, instauré en 2022. Un dispositif fiscal incitatif L’objectif est d’inciter à l’achat de voitures plus respectueuses de l’environnement pour réduire l’empreinte carbone du parc automobile français. 
Chaque année, les barèmes sont durcis, avec une règle simple : plus le véhicule est polluant, plus le malus est élevé. Le malus automobile s’applique à la majorité des véhicules de tourisme, dits de catégorie M1, c’est-à-dire conçus pour le transport de personnes et ayant jusqu’à 8 places assises hors conducteur. Le Malus CO2 Depuis le 1er mars 2025, le barème débute à 50 € pour 113 grammes de CO2/km et grimpe jusqu’à 70 000 € pour les véhicules les plus polluants ( > 192 g/km). Une taxation plus élevée est prévue pour 2026 et 2027 (art. 27 de la loi de finances pour 2025). En 2026, le malus se déclenchera dès 108 g/km pour atteindre 80 000 € pour les modèles les plus polluants (supérieur à 191 g/km). En 2027, le seuil sera abaissé à 103 g/km, avec un plafond à 90 000 € au-delà de 189 g/km. Le malus au poids Le malus masse s’applique aux véhicules qui pèsent plus de 1,6 tonne. 
Le barème est progressif : 10 € de 1 600 kg à 1 799 kg ; 15 € de 1 800 kg à 1 899 kg ; 20 € de 1 900 kg à 1 999 kg ; 25 € de 2 000 kg à 2 099 kg ; 30 € à partir de 2 100 kg. Le malus est égal à la somme des produits de chaque fraction par le « tarif marginal » associé. En 2026, le seuil tombera à 1,5 tonne. À savoir : le montant cumulé du malus masse et du malus CO2 est plafonné à 70 000 €. 
 Il est possible d’en être exonéré Le malus ne s’applique pas : aux véhicules électriques et/ou à hydrogène aux modèles accessibles en fauteuil roulant aux voitures achetées par une personne titulaire de la carte mobilité inclusion « invalidité » ou d’une carte d’invalidité militaire, ou ayant à charge un enfant titulaire d’une de ces deux cartes. Par ailleurs, une famille avec au moins 3 enfants à charge bénéficie d’un malus minoré : réduction de 20 g de CO2/km et de 200 kg par enfant. 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - LA CITROËN S.M ...50 ANS DE MAJESTÉ !!

Cinquante ans se sont écoulés depuis mars, jour où Citroën SM a été présentée pour la première fois au public au Salon international de l'automobile de Genève. Le programme de développement automobile a commencé en 1961 sous le nom de "Project S" et était destiné à fournir la version sportive de la DS populaire et très réussie. 
Sept ans plus tard, Maserati a également été recrutée pour compléter le modèle, date à laquelle le code "SM" a été adopté pour sa codification, la lettre "M" indiquant la présence active des Italiens. Citroën SM (Sports Maserati), en devenant le fleuron de la société française, a combiné la technologie de pointe de la société française dans le cadre et la suspension avec la puissance incontestée du moteur Maserati V6, conçu par son ingénieur très expérimenté Julio Alfieri. 
Le moteur de 2,7 litres de la voiture développait 170 ch avec les carburateurs Webber et 178 avec l'allumage Bosch. Un an après sa première version, la SM a été encore améliorée avec le moteur V6 recevant également une version triple litre de 180 litres. Les ventes de la voiture ont commencé en septembre 1970 et sont restées en production jusqu'en 1975, totalisant 12 920 unités. Si la situation économique mondiale n'était pas si négative, alors pour les constructeurs automobiles, elle aurait certainement été fabriquée pendant plusieurs années encore. Citroën SM, entre autres, a spécialement désigné comme véhicule officiel de deux présidents de la République française, Georges Pompidou et Jacques Chirac. 
Caractère spécial 
 Bien que ce ne soit probablement pas la décision financière la plus sage de tous les temps, Citroën a acheté la Maserati en 1968. En conséquence, elle a pu utiliser le nouveau moteur V6 à 90 degrés développé par la société italienne. En substance, ce moteur était un V8 à deux cylindres de moins et le même que celui utilisé par Maserati Merak en 1972. 
C'était un moteur complexe avec trois chaînes de distribution, mais aussi le plus approprié pour faire du SM la traction avant la plus rapide. modèle de production de son temps. Mais au-delà, elle avait la distance d'arrêt la plus courte de toutes les autres voitures au monde à l'époque. Bien sûr, non seulement le complexe moteur, mais aussi l'aide à la direction variable (DIRAVI), 
 En termes de carrosserie, la conception de Robert Opron SM est toujours très en avance sur le concept de la courbe et sa configuration harmonieuse, comme l'ont soutenu de nombreux experts dans le domaine. En dehors de tout cela, le système de phares est impressionnant, qu'il y ait ou non suffisamment de fabricants utilisant les mêmes techniques: des six phares se cachant derrière le magnifique couvercle en verre, les deux étaient tordus avec le volant, et les six ils se sont ajustés à la hauteur du corps. 
En d'autres termes, si le coffre à bagages de la voiture était chargé, les feux seraient automatiquement ajustés afin de ne pas aveugler les conducteurs passant dans la direction opposée. Quelle majesté ... Fiers de leurs voitures Les Français aiment donner leur propre interprétation du SM d'origine, en utilisant des jeux de mots.
 Ainsi, pour beaucoup d'entre eux, sa codification par l'entreprise a également été attribuée à la phrase. 
Sa majeste, qui en traduction libre est similaire à celle de son plus proche parent, DS (La Déesse, c'est-à-dire déesse). Ce n'est pas (ou du moins nous ne voulons pas être) loin de la vérité, comme en témoignent les regards qui l'ont traversé. Mais, nous avons dit: C'était une autre époque, plus idéalisée et romantique ... 
Source : 4troxoi.gr/France 3 Grand Est

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mercredi 12 novembre 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - RETOUR SUR LE ROADBOOK DE LA JOURNEE...

CLUB5A - HUMOUR AUTO - UNE VOITURE ROUGE N'EST PAS FORCEMENT UNE FERRARI !!


CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UN ACCIDENT DE TRAVAIL BIEN PARTICULIER !!


CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - LA FORD MUSTANG DE 1964 A 1967...LE CHEVAL AU GALOP AMÉRICAIN !!

La Ford Mustang est un modèle d'automobile construit par Ford depuis 1964. Fait unique pour la marque Ford, les Mustang arborent leur propre logotype de calandre – un mustang au galop – à la place de celui du constructeur. La Ford Mustang commença sa carrière le 17 avril 1964 mais cela ne l'empêcha pas de faire une entrée fracassante : 22 000 unités furent écoulées le premier jour de sa sortie. À noter qu'à cette époque Ford innova en ce sens que le modèle 65 démarra officiellement le 17 avril 1964, c'était une première et toutes ces Mustang furent estampillées modèle 65. 
Ce sont les collectionneurs qui nommèrent la Mustang 64 1/2 réalisant les caractéristiques différentes des voitures d'avril au 13 juillet 1964. Elle écrasa littéralement les scores de la Plymouth Barracuda que la firme du groupe Chrysler se targuait d'avoir sorti deux semaines plus tôt. Un vrai mythe était né, avec une allure branchée, un prix de seulement 2 368 $ dans sa version basique équipée d'un six cylindres en ligne de 2,8 L accouplé à une boîte manuelle trois rapports. 
Seuls un moteur six-cylindres et deux V8 étaient disponibles. La carrosserie Fastback sortit plus tard à la mi-1964. C'est cinq mois après sa sortie que l'année modèle 1965 commença réellement, et la liste des moteurs changea complètement. La différence principale entre les deux est que la dynamo des 1964 1/2 fut remplacée par un alternateur (comme sur toutes les Ford). C'est aussi l'année de sortie de la fameuse Mustang GT, dénommée « GT Equipement Package » chez le vendeur. Elle était commandée la plupart du temps avec le V8 289 ci de 225 ch. On y trouvait des feux antibrouillards sur la face avant, des décalcomanies sur les bas de caisse, des freins à disque à l'avant et un tableau de bord à cinq compteurs ronds délaissant le tableau linéaire emprunté à la Falcon.  
 On observe peu de changements pour ce modèle 1966 ; l'agencement des cadrans du tableau de bord fut modifié pour la séparer encore plus de son côté Ford Falcon. 
En 1965, la calandre se composait de l'emblème entouré d'un corral avec une barre sur chaque côté, ces barres furent retirées en 1966. 
La Shelby GT-350 était toujours disponible mais l'ajout d'une boîte automatique l'éloigna quelque peu de son image de voiture de course. De plus, elle était à présent disponible en quatre couleurs dont la mythique noir et or préparée spécialement pour la société de location Hertz. Anecdote amusante, lorsque Ford décida de vendre sa Mustang en Allemagne, ils découvrirent que le nom était déjà déposé par une société allemande. Celle-ci demanda 10 000 dollars à Ford pour pouvoir utiliser leur nom, ce que la firme américaine refusa. Elle décida alors de retirer tous les emblèmes « Mustang » et de les remplacer par « T-5 ». La « petite » Mustang, par rapport aux normes américaines de l'époque, n'a cessé de changer de formes d'année en année ; elle a pris du volume, tant au niveau carrosserie que moteur. À chaque année correspondent quelques versions rares préparées par Shelby, la GT 500 KR de 1968 notamment. 
 En 1966 est lancée la principale rivale de la Mustang : la Chevrolet Camaro. Chevrolet annonce que le nom vient d'un mot d'argot français, « camaro », signifiant « camarade »2 mais Ford rétorque ironiquement que c'est le nom d'un type de crevette (« Camarón » veut dire « crevette » en espagnol). Chevrolet dira alors qu'un Camaro était « un petit animal vicieux mangeur de Mustang »3. Pour le millésime 1967, Ford prépare sa réponse. Ce millésime marquera une rupture avec les précédents. 
Bien que l'allure générale demeure la même, on note une augmentation de l'agressivité et de la sportivité (calandre plus grande, regard moins doux, taille augmentée...) et ce notamment afin d'installer le V8 390 ci (cubic inches, ou pouces cubes) de 320 chevaux, un de ces big-blocks, pour concurrencer le 396 ci de la Chevrolet. Le 390 offre de bonnes accélérations mais peine à prendre du régime, plus lourd de 100 kilos par rapport au 289 ci, mais il est tout de même une réussite, car vendu moins cher que ce dernier. 
 Pendant ce temps, Shelby s'aligne et va se constituer une petite gamme, toujours alignée sur les bases Ford : GT 350, GT500 (à partir de 1967) doté du V8 428 ci Police Interceptor de 355 chevaux, puis en 1968 apparaît le 428 Cobra Jet, la GT500 avec ce moteur est appelée GT500 KR pour King of Road (« roi de la route »). Considéré comme un modèle d'anthologie, les millésimes 1967-1968 présentent pourtant une érosion de ventes. 
La Shelby 1967 vue dans le film 60 secondes chrono est en réalité une Mustang modifiée en Shelby pour les usages du film. 
Source : DAM - Documentaires Auto / Moto