mardi 2 septembre 2025

CLUB5A - RESTAURATION AUTO - ENTRETENIR ET RESTAURER L’INTÉRIEUR CUIR D’UNE ANCIENNE...

 

Les voitures de collection haut de gamme proposaient souvent un bel intérieur cuir dans les habitacles. Mais au bout de 30, 40, 50 ou 60 ans de frottements ou des centaines de milliers de kilomètre, ceux-ci sont souvent au mieux sales et secs, au pire rapés ou déchirés … Dans les années 50, 60 et 70, le simili était roi sur la plupart des modèles. L’intérieur cuir, c’était réservé au haut de gamme. Et c’est aujourd’hui d’autant plus valorisant de posséder une belle ancienne avec son cuir d’époque. Mais même en étant correctement entretenus, ils nous arrivent souvent encrassés, secs et craquelés. 
 RESTAURER OU REMPLACER ? 
Il est important d’évaluer le type de chantier nous attend. Pour faire simple, il va falloir arbitrer entre restaurer le cuir d’époque (si c’est possible) ou le remplacer par un intérieur neuf, soit avec des produits disponibles dans le commerce spécialisé soit avec une sellerie sur mesure réalisée par un sellier. C’est souvent une question de philosophie : restaurer ou remplacer… il n’y a pas de règle, chacun fait selon sa sensibilité. L’avantage d’un remplacement (du commerce ou par un sellier) c’est que les fauteuils pourront facilement bénéficier d’un regarnissage ou remplacement des mousses d’assise ou de maintient. L’inconvénient du remplacement à neuf (si l’on peut dire) c’est que l’on aura un intérieur « plus neuf que neuf » qui n’aura jamais la patine ni l’odeur d’un vieux cuir d’époque. 
SI L’ON CHOISIT DE RESTAURER … 
Avant d’attaquer une restauration intégrale, testez votre méthode et vos techniques sur une petite surface peu visible. Ainsi, vous pourrez voir vos choix de produits et de méthodes sont les bons. Même si les cuirs sont souvent déhoussables, il nous semble préferer de travailler sur ceux-ci installés car on travaille plus facilement lorsque les surfaces sont tendues. On commence le chantier en réparant les petits accrocs. Pour réparer une déchirure, on va découper une nouvelle pièce destinée à renforcer la partie abîmée. Avant de poser la rustine, il faudra « parer » le cuir, ce qui revient à l’amincir sur les côtés afin de ne pas pouvoir déceler l’intervention. La pièce de réparation va venir se placer sous le cuir d’origine en s’aidant de ce qu’on appelle une « piquette » et d’un pinceau. Une colle spéciale viendra ensuite fixer et fusionner l’ensemble. LE CUIR RAPÉ Sur les zones de plus fort frottement (typiquement le soutien gauche du dossier du siège passager) même si il n’y a pas d’accroc, le cuir peut être rapé. Sa couche superficielle a disparu et il présente une perte de matière. Dans ce cas, on va redonner de la matière avec une pâte réparatrice que l’on appliquera à 1 ou plusieurs reprise selon l’usure. Si votre cuir n’est pas lisse et présente un grain visible, il faudra retrouver ce grain lors de la dernière application avec un tampon reprenant un motif similaire à votre grain. 
LE DÉCRASSAGE 
Après avoir traité son intégrité, votre cuir doit être décrassé. Non, le terme n’est pas excessif. Un cuir de 30 à 50 ans a tout connu. Des décennies de poussière, de gras, de transpiration et autres impuretés. On va faire simple et utiliser un des nettoyants les plus connus: le savon de Marseille. Frottez doucement le cuir avec une brossette ou un gant de toilette imbibé d’eau et de savon de Marseille. On rince avec une éponge à l’eau claire et on sèche avec un chiffon sec. Et l’on recommence 2 ou 3 fois à 2 ou 3 jours d’intervalle (pour que votre cuir ai le temps de bien sécher entre 2 sessions). Evitez les produits « spécial cuir » souvent trop gras. Le cuir est un matériau naturel, on le nettoie avec un produit naturel. 
LE NOURRISSAGE 
Maintenant que votre cuir est propre, il faut résorber ses rides, ses craquelures. On va donc nourrir le cuir, à outrance. Un cuir n’est jamais trop nourri (il devrait l’être 2 fois par an). Il faut rattraper le temps perdu. Le « nourrissant » le plus connu, c’est l’huile de pied de bœuf. Attention, utilisez une véritable huile de pied de boeuf naturelle, pas une huile « type pied de boeuf ». On va procéder avec de longs massages pour assouplir le cuir, regonfler ses fibres et résorber ses « rides ». On n’hésite pas à utiliser beaucoup de produit pour cette étape ou à la renouveler à 2 jours d’intervalle. L’objectif est de saturer le cuir en huile pour le faire regonfler et le rendre imperméable. 
RETEINTER Il peut s’avérer nécessaire de reteinter le cuir une fois qu’il est bien propre. Certains utilisent une peinture pour cuir, appliquée à la brosse ou à l’aérographe. Le résultat sera parfait. Peut-être trop, de l’avis de certains. On peut aussi reteinter en appliquant un produit au tampon. Les Anglais sont sans conteste possible les spécialistes du cuir depuis de nombreuses décennies. La maison Woolies à Peterborough propose une formule particulièrement attractive : on leur envoie un échantillon de notre cuir et ils nous fabriquent un colorant ad-hoc dont il faudra appliquer deux couches pour un résultat optimal. Puis le produit de fixation pour un résultat définitif et qui dure dans le temps. Pour avoir testé cette méthode, nous trouvons qu’elle offre un rendu plus patiné et authentique que la peinture… 
 ENTRETENIR SON INTÉRIEUR CUIR Une fois votre cuir rénové, il n’en est pas pour autant redevenu tout neuf. Il va continuer à nécessiter des soins réguliers. Pour lui conserver ses caractéristiques, sa souplesse, son odeur … nourrissez-le deux fois par an. Une fois au printemps et une fois avant l’hivernage. 
Source : autocollec.com/-OTL OnTheLimits

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lundi 1 septembre 2025

CLUB5A - INFO - COMMUNICATION CLUB 5A - LES STATS DU BLOG D'AOUT 2025..MERCI A TOUS POUR VOTRE FIDELITE !

       

Depuis la création de ce blog qui très modestement a pour mission de nous relier les uns aux autres et d’être un fil conducteur entre nous où chacun doit y trouver du plaisir et revivre les bons moments passés lors de nos « périples» et que ce soit en voitures ou en motos, ce support est le vôtre !

  
 Depuis la création du blog, c'est-à-dire exactement le 27 FÉVRIER 2014, l'historique du nombre de pages vues est en totalité de :
1155755
 Lors de ce mois écoulé nous avons constaté que le nombre de pages vues a été de : 
10138
Merci à tous pour votre fidélité !
Vous êtes nombreux à le consulter…bravo et restez fidèle !! 
N’hésitez pas à laisser des commentaires, pour permettre leurs validations, il faut que ceux-ci soient dans l’esprit de la passion commune qui nous anime.. 


Bonne route à tous et à bientôt lors des sorties organisées par le club, le Club des 5.A et les organisateurs compte sur votre participation !


Cet article est en partenariat avec tous nos sponsors qui nous soutiennent. 
Nous les remercions !



CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - QUAND DOMINIQUE EST AU VOLANT DE SA BUGATTI RIEN NE POURRA LE DISTRAIRE ....


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - UNE BONNE MÉTHODE POUR SA VIDANGE MOTEUR !!


CLUB5A - PHOTO INSOLITE - QUI UN JOUR OU L'AUTRE NE C'EST PAS ARRETE DANS UN HOTEL BELLEVUE ?


 

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - RETOUR SUR L'ETAPE CARCASSONNAISE DU TOUR DE FRANCE A MOTOS ANCIENNES DU LUNDI 25 AOUT 2025...

 

Source : lindependant.fr-J-G-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - En panne dans le désert.... il construit une moto avec les restes de sa 2CV !

 

En 1993, le français Emile Leray a vécu une histoire incroyable. En escapade dans le désert marocain, l’homme est tombé en panne avec sa 2CV. Son ingéniosité lui a néanmoins permis de construire une moto avec les restes de son véhicule avant de retrouver le chemin de la civilisation. Un accident au milieu du désert Face à une situation de danger extrême, certaines personnes peuvent faire preuve d’une ingéniosité sans faille. L’ingénieur électricien Emile Leray est l’un de ces individus. En 1993, il se trouve au Maroc et entreprend un périple à travers le désert avec sa Citroën 2CV. Toutefois, il heurte un rocher et se retrouve coincé au milieu des étendues de sable. 
Emile Leray se demande alors comment il va pouvoir rejoindre le premier endroit habité se trouvant à plusieurs heures de marches. Or, entreprendre le trajet à pied sous un soleil de plomb semble être une très mauvaise idée. Loin de se démonter, l’homme remarque que son véhicule comporte encore trois roues valides. Comme l’ingénieur l’explique sur son site officiel, il décide de transformer son « chameau d’acier », nom que l’on donne à la 2CV en Afrique, en moto. 
Un exemple d’ingéniosité Dans un premier temps, Emile Leray désosse complémentent sa 2CV afin de se servir de la carrosserie comme d’un abri de fortune. Ensuite, il se met au travail et parvient à fixer les trois roues restantes au châssis de la voiture et obtient un équilibre suffisant pour rouler au moins quelques heures. Après avoir raccourci le cadre et fixé les essieux, il utilise le parechoc arrière de la voiture en guise de siège. Enfin, Emile Leray place une suspension au niveau de la roue arrière et cale l’allumage au guidon. 

Ce travail de fourmi lui aura pris pas moins d’une douzaine de jours, et ce, sans perceuse et poste de soudure. Sur le chemin de la civilisation, plus précisément la petite ville de Tan-Tan, l’homme est stoppé par la police locale. 
Il écope d’une amende équivalente à 450 euros, car la moto de fortune ne répond pas aux normes de la 2CV. Malgré ce contretemps, l’ingénieur finit par arriver à bon port. Après avoir sauvé sa propre vie, Emile Leray a consacré une partie de son temps à inventer d’autres engins. En 2006, il effectue un trajet de 6 000 km à travers le Maroc, la Mauritanie et le Mali où il parviendra à transformer sa nouvelle 2CV en bateau. Son objectif était alors de traverser le fleuve Sénégal ! 
 Source : Yohan Demeure - sciencepost.fr/Féroce
Féroce

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dimanche 31 août 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - GILLES AU VOLANT D'UNE CAISSE CARREE ...

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LE PLEIN S'IL VOUS PLAIT !!

CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - L'HISTOIRE DE LA 2 CV CITROËN VUE D'UNE AUTRE FAÇON ....

« faire une voiture pouvant transporter quatre personnes et 50 kg de pommes de terre ou un tonnelet, à la vitesse maximale de 60 km/h, pour une consommation de 3 litres au cent, un faible coût d’entretien et un prix de vente du tiers de la traction ».
La réputation de la 2CV se fait toute seule, elle va partout, par tous les temps. Tous l’adoptent : de l’agriculteur au V.R.P. en passant par la religieuse. 
La presse ne tarit pas d’éloges sur son confort, sa facilité d’utilisation et sa robustesse, mais déplore la finition un peu trop spartiate et faibles aptitudes en côte. 
Mais c’est finalement en février 1989 que la chaîne de production française de la 2CV s’arrête. Mais en plus de rester dans les coeurs des anciens, la 2CV rentre désormais dans l’histoire. En effet, après 5 114 940 exemplaires produits dans le monde, la 2CV est devenue un mythe et symbolise un art de vivre. 
La dernière de celles que l’on appellera les « dodoches » sort de l’usine de Mangualde, au Portugal le 27 Juillet 1990… à 16H.C’est une fin regrettable pour tous, entre mélancolie et tristesse. Actuellement, c’est d’une autre histoire qu’il s’agit, l’histoire de la mémoire de cette voiture aux milles aventures, celle de la 2CV et de ses amoureux à travers tous les clubs Citroën. 
Source : MrOlmart

CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - LA MERCEDES-BENZ 300 SL PAPILLON ...L'AUTOMOBILE DE VOS RÊVES !!

La Mercedes-Benz 300 SL « papillon » est un modèle d'automobiles à deux places coupé et cabriolet du constructeur automobile allemand Mercedes-Benz conçu et dessiné par le designer Friedrich Geiger, commercialisé de 1954 à 1963 et entré depuis dans la légende des automobiles de rêve. 
Elle est considérée comme la plus emblématique des Mercedes produite après la Seconde Guerre mondiale pour son originalité, ses qualités techniques et esthétiques. À la suite de la victoire de la Mercedes-Benz W194 « 300 SL » à la Carrera Panamericana 1952, le très dynamique concessionnaire multi-marque américain Max Hoffman (en) vient trouver les dirigeants de Mercedes-Benz à Stuttgart pour les convaincre de réaliser une version de route de la W194. Sûr de son fait et de sa clientèle, il commande les 1 000 premiers exemplaires et livre même un important acompte. 
La nouvelle W198 qui fait sa première apparition au Salon de New-York sous la forme d'un coupé avec les mêmes étonnantes « portes papillon » que son aînée. 
Le modèle 300 SL, basé sur une voiture de compétition à succès, est célèbre pour être la première Mercedes équipée de l'injection d'essence. « 300 » indique la cylindrée de trois litres. La terminologie « SL » signifie « Sport Leicht » (pour « sport léger »). Au vu du prix stratosphérique de 11 000 $ en 1955 pour l'acquisition d'une 300 SL, une version « light » fut construite sur la même chaine de montage de Fellbach (Allemagne) sous l'appellation 190 SL. Malgré leur silhouettes très similaires, la 300 SL et la 190 SL sont deux véhicules très différents au point de vue technologique. 
La 300 SL, contrairement à la 190 SL, présentait des aspects techniques que nul autre modèle n'offrait à l'époque tels : un châssis tubulaire (comme une moto), alimentation par injection (à partir de 1955), freins à disques (à partir de 1962), etc. En tout état de cause, les deux modèles 300 SL et 190 SL furent remplacés en 1963 par un modèle unique : le roadster 230 SL.
 Une toute petite première série de la 300 SL, reconnaissable à ses feux de position au sommet des ailes avant, dotée d'un moteur six-cylindres de 3,6 L à carburateurs, fut produite avant sa vraie production qui commence en août 1954. Dès 1954, Mercedes-Benz produisit également des carrosseries légères en plastique armé de fibre de verre2. 80 % de la production fut vendue aux États-Unis, ainsi que l'avait prédit son importateur Max Hoffman, ce qui contribua fortement dans ce pays à donner à Mercedes-Benz une image de voitures sportives et même « sexy ». 
Elle était construite en acier à l'exception du capot, des portes et du coffre qui étaient en aluminium. Il était possible de commander une carrosserie tout en aluminium qui permettait d'alléger le véhicule de 80 kg pour un prix plus élevé (seulement 29 exemplaires furent ainsi produits : 26 en 1955 et 3 en 1956). La production très limitée de cette dernière en fait une des automobiles de collection les plus chères de l'histoire de l'automobile. 
Le coupé est doté de portes papillon, solution technique adoptée à cause du châssis tubulaire et du seuil élevé de la porte. Ces portes papillon ont comme inconvénient majeur de déverser l'eau de pluie sur la tête des occupants lors de leur ouverture. 
Il fut vendu de 1954 à 1957. L'entrée et la sortie de la voiture requiert un peu de gymnastique en obligeant à glisser ou s’asseoir d’abord sur le seuil. Cela est facilité par le basculement du volant.
Source : Motorsport France

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samedi 30 août 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - LORETTE ET MICHEL UN EQUIPAGE OU L'HUMOUR ETAIT UN IMPERATIF ...

CLUB5A - LE TOP DES 5A - MENU DU JOUR POUR LISELE ET PATRICE : BLAGUES ET HUMOUR...

CLUB5A - HUMOUR AUTO - C'ETAIT LE MEILLEUR EQUIPEMENT POUR TRAVERSER LA PANDÉMIE SANS PROBLÈME !

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UNE DAUPHINE EN CACHE UNE AUTRE !!...


CLUB5A - LES PLUS GRANDS MUSÉES - L’ÉPOPÉE DE LA MOTO..RETROUVEZ LA MOTO QUE VOUS N'AVEZ JAMAIS OUBLIE !!

L’ÉPOPÉE DE LA MOTO est le premier musée québécois dédié à la moto ancienne. Situé en bordure du fleuve Saint-Laurent à Saint-Jean-Port-Joli, un des plus beaux villages du Québec, il est la destination de randonnée estivale par excellence pour tout les amoureux de la moto au Québec. Propriété de François et Jean Gagnon, il est le fruit d’une passion de longue date puisque les deux frères collectionnent les motos depuis plus de 30 ans avec l’objectif constant de regrouper les modèles qui ont marqué chaque époque. Ils ont ainsi constitué une collection exceptionnelle de 220 motos, cyclomoteurs et scooters, dont une centaine sont exposés. 
 Il y a quelques années, le Temple de la renommée de la moto du Canada remettait à François et Jean Gagnon le prestigieux prix ¨Bar & Hedy Hodgson¨, en reconnaissance de leur contribution significative à la sauvegarde et la mise en valeur du patrimoine motocycliste canadien. 
 Avec un peu de chance, vous retrouverez la moto que vous rêviez d’avoir ou que vous aviez à 18 ans… celle que vous n’avez jamais oubliée! Claire Martin nous présente L'Épopée de la Moto, musée de la moto d'époque situé à Saint-Jean-Port-Joli en Chaudière-Appalaches, Québec. Propriété des frères François et Jean Gagnon, le musée s'est taillé toute une réputation depuis son ouverture. 
Il est visité tout les été par des centaines de passionnés de la moto qui viennent y admirer la centaine de modèles exposés datant de 1903 à nos jours. On y relate 100 ans d'histoire de la moto au travers de plus de 50 marques. 
 Source : epopeedelamoto

CLUB5A - MOTO DE LEGENDE - ESSAI MOTO CLASSIQUE : MOTOBÉCANE 125 LT 3, FIN DE RACE

Pas facile d’imposer une 125 sur le marché lorsqu’on s’appelle Motobécane. Le créateur de la Mobylette avait pourtant fini par trouver une bonne formule avec cette fringante LT3. Mais trop tard…« Cette moto, c’est le point d’orgue de ma collection de mobs. Aujourd’hui, elle est capable de tailler des croupières à la plupart des 125 modernes. Mais elle m’a tellement pris le chou pour la remettre en état, que j’ai failli la brûler ! »
 Essai moto classique : Motobécane 125 LT 3, fin de race. 
(Photo Jacky Ley) 
 « C’est un modèle assez rare : l’un des derniers produits par Motobécane, reconnaissable à son sélecteur à gauche, ses compteurs à fond noir et ses coloris acidulés, vert, bleu ou orange. De mes propres souvenirs, confirmés en me replongeant dans les vieux MJ d’époque, la Tobec n’avait pas la partie facile face à ses rivales nippones. » Pas facile d’imposer une 125 sur le marché lorsqu’on s’appelle Motobécane. Le créateur de la Mobylette avait pourtant fini par trouver une bonne formule avec cette fringante LT3. Mais trop tard…
« Cette moto, c’est le point d’orgue de ma collection de mobs. Aujourd’hui, elle est capable de tailler des croupières à la plupart des 125 modernes. Mais elle m’a tellement pris le chou pour la remettre en état, que j’ai failli la brûler ! » 
« C’est un modèle assez rare : l’un des derniers produits par Motobécane, reconnaissable à son sélecteur à gauche, ses compteurs à fond noir et ses coloris acidulés, vert, bleu ou orange. De mes propres souvenirs, confirmés en me replongeant dans les vieux MJ d’époque, la Tobec n’avait pas la partie facile face à ses rivales nippones. » 
 « Après avoir titillé les carbus à cuve commune, le petit twin aux ailettes carrées commence à miauler. Rhâââ, un beau p’tit bruit de cylindres à trous qui me rappelle ma première Suz GT 250 ! Ses 92 kg sont taillés dans la plume. Elle est tout légère à man?uvrer et superagile grâce à ses minuscules enveloppes. » 

« Au fil des kilomètres, le plaisir de piloter cette petite teigne devient manifeste. Elle est saine et rigolote, malgré sa boîte vraiment pas terrible (ferme et imprécise) et sa poignée de gaz dure. La plage d’utilisation est vite repérée : que dalle sous les 6 000, tout entre 7 000 et 8 5000 tr/min, à l’entrée de la zone rouge. » Le verdit de notre essayeur : « Soyons clair : côté accélération, la LT3 n’a pas à rougir, trente-cinq ans après, de ses performances, loin de là.
Source : moto-station.com/jerome cauchard-