Essai moto classique : Motobécane 125 LT 3, fin de race.
(Photo Jacky Ley)
« C’est un modèle assez rare : l’un des derniers produits par Motobécane, reconnaissable à son sélecteur à gauche, ses compteurs à fond noir et ses coloris acidulés, vert, bleu ou orange. De mes propres souvenirs, confirmés en me replongeant dans les vieux MJ d’époque, la Tobec n’avait pas la partie facile face à ses rivales nippones. » Pas facile d’imposer une 125 sur le marché lorsqu’on s’appelle Motobécane. Le créateur de la Mobylette avait pourtant fini par trouver une bonne formule avec cette fringante LT3. Mais trop tard…
« Cette moto, c’est le point d’orgue de ma collection de mobs. Aujourd’hui, elle est capable de tailler des croupières à la plupart des 125 modernes. Mais elle m’a tellement pris le chou pour la remettre en état, que j’ai failli la brûler ! »
« C’est un modèle assez rare : l’un des derniers produits par Motobécane, reconnaissable à son sélecteur à gauche, ses compteurs à fond noir et ses coloris acidulés, vert, bleu ou orange. De mes propres souvenirs, confirmés en me replongeant dans les vieux MJ d’époque, la Tobec n’avait pas la partie facile face à ses rivales nippones. »
« Après avoir titillé les carbus à cuve commune, le petit twin aux ailettes carrées commence à miauler. Rhâââ, un beau p’tit bruit de cylindres à trous qui me rappelle ma première Suz GT 250 ! Ses 92 kg sont taillés dans la plume. Elle est tout légère à man?uvrer et superagile grâce à ses minuscules enveloppes. »
Source : moto-station.com/jerome cauchard-