dimanche 21 septembre 2025

CLUB5A- REPORTAGE AUTO - L'HISTOIRE D'AMEDEE GORDINI !

Il n'est pas question ici de détailler le palmarès, ni de décrire les aspects techniques des voitures d'Amédée Gordini. Nous nous efforcerons simplement de raconter comment cet homme ingénieux est parvenu à imposer son nom dans le milieu de la compétition automobile hexagonale, comment il a représenté le bleu français au coeur des années 50, avant de s'abandonner à la toute puissante Régie Nationale. 
Ce qui nous vaut aujourd'hui cette rétrospective, c'est l'initiative de Renault en 2010 de faire revivre ce nom mythique en apposant des bandes blanches sur des Clio et des Twingo bleues.
  Avant de devenir le complice sportif de Renault, Amédé Gordini eut l’intention en solitaire avec les noms les plus prestigieux. Par sa ténacité et son ingéniosité, « le sorcier » est presque parvenu à faire trembler les légendes pendant les 30 glorieuses. Amédé Gordini, est né au tournant du XX ème siècle, le 23 Juin 1899 à Bazzano, près de Bologne en Italie. La mécanique fascine le petit italien. 
La mécanique, mais aussi la France, où il imagine pouvoir réaliser son rêve, à savoir travailler sur les automobiles. La période SIMCA ! Amédé Gordini immigre alors en France et trouve un emploi au garage Cataneo, à Saint Cloud. Au milieu des années trente, il entreprend d’ensorceler des mécaniques Fiat qui vont bientôt porter le label S.I.M.C.A. De fil en aiguille, de réglages en transformations, il métamorphose les moteurs qui passent entre ses mains. Il parvient même à déguiser les modestes Simca Cinq et Huit en véritables machines de course en vue des 24 Heures du Mans. Après la seconde guerre mondiale, tout semble permis. Amédé Gordini aiguise ses ambitions et envisage de construire ses propres modèles. 
Dans le sillage de la reconstruction de l'industrie de l'automobile française, Amédé Gordini décide d'élaborer des monoplaces de compétition, toujours en utilisant des composants d'origine Simca. Sa première « vraie » création voit le jour en 1946, dans un atelier du boulevard Victor, près de la porte de Versailles, à Paris. En 1947, la cylindrée passe à 1 220 cm3, et l'année suivante, à 1 430 cm3. Mais la parenté avec la Simca Huit reste toujours lisible au delà des formes joliment fuselées de la machine. 1950, première année du Championnat du monde des conducteurs... 
Amédé Gordini estime qu'il peut se lancer dans la grande aventure et qu'il dispose d'un bloc capable d'accéder à la Formule 1. La réglementation limite la cylindrée à 4500 cm3 sans compresseur et 1 500 cm3 avec compresseur. Gordini décide de monter sur le bloc 1 430 un compresseur Wade à simple étage tournant à 10 000 tr/min, soit une fois et demie plus vite que le moteur. On reconnaît toujours l'embasse du bloc Simca à trois paliers qui s'avère naturellement fragile lorsqu'elle se trouve sollicitée, par la suralimentation. Les soupapes, en particulier sont dépassées par les évènements... 
 Le châssis a lui aussi une apparence plutôt grêle, avec son cadre à fins longerons et sa suspension avant de série. Ces handicaps se transforment en arguments positifs quand on parle de poids: la Simca est plus légère que toutes ses rivales de Grands Prix. Elle est également l'une des rares voitures ambivalentes, utilisées en Formule 1 et Formule 2 (seule la HWM de Stirling Moss se trouve dans le même cas). Les petites et fragiles Simca parviennent parfois à jouer les troubles fêtes, Manzon prenant une belle quatrième place au Grand Prix de l'Automobile Club de France. En 1951, A.Gordini dispose d'un tout nouveau moteur qui ne doit plus rien au groupe Simca. 
Le bloc comporte un vilebrequin cinq paliers, il arbore des cotes rigoureusement carrées (78x78 mm) et est coiffé d'une culasse à double arbre à cames en tête. Le châssis, ultra léger, demeure pratiquement inchangé. Tout au long de la saison 1951, Gordini jongle entre la Formule 1 et la Formule 2. Les mécaniciens passent jours et nuits à monter et démonter les compresseurs pour s'adapter à l'une ou l'autre catégorie. Les hommes et le matériel arrivent sur les circuits épuisés et mal préparés. En outre, Gordini s'entête à participer aussi aux 24 heures du Mans. Au bout du compte, Gordini n'obtient de réussite dans aucun des domaines.
 Résultats, le patron de Simca de l'époque s'impatiente et lui retire son soutien à la fin de la saison 1951. Cette année là, la seule victoire de l'écurie Simca-Gordini fut obtenue au Grand Prix d'Albi, hors championnat, par Maurice Trintignant. Les années 50, une période difficile qui va démontrer le génie du sorcier... Durant l'hiver suivant, Gordini se retrouve pratiquement ruiné. Solitaire, mais déterminé, le sorcier va se surpasser. Il dessine un nouveau moteur satisfaisant aux normes de la Formule 2, catégorie selon laquelle doit alors se disputer le championnat du monde des conducteurs en 1952 et 1953. 
Le 6 cylindres 2 litres a toujours des côtes carrées (75x75 mm) et il dispose désormais d'un carter sec. L'atout majeur de la Gordini réside dans son rapport poids-puissance: 155 ch pour 450 kg. Après un galop d'essai à Marseille, la première manche du Championnat du monde se déroule en Suisse. Le camion bleu arrive sur le circuit pour la première séance d'essais avec une seule voiture. Pendant ce temps, ce sont les mécaniciens, qui à Paris, s'affairent sur la seconde voiture. Le seul moyen d'arriver à temps pour se qualifier serait de rejoindre le circuit par la route. 
Qu'a cela ne tienne ! Quand la voiture est prête, on lui appose une plaque d'immatriculation, et Jean Behra prend le volant de la monoplace. Il descend à Berne en se faufilant au milieu de la circulation, sur les routes de Bourgogne et du Jura, et la voiture arrive à temps pour prendre le départ du Grand Prix de Suisse! Berhra se classera troisième ! En Juin 1952, au Grand Prix de la Marne, qui se dispute sur le circuit de Reims, Jean Behra réussit un autre exploit: il s'impose devant les Ferrari 500F2 de Farina et Ascari, réputées imbattables... 
Malheureusement, l'épreuve ne compte pas pour le championnat du monde. En 1951, avec le retour de la F1 et sa cylindrée fixée à 2.5 litres, Gordini développe une monoplace entièrement nouvelle, moderne, ambitieuse, profilée... Celle ci dispose d'un moteur huit cylindres associé à une boîte de vitesse à cinq rapports , et d'une suspension à quatre roues indépendantes. Gordini s'entête jusqu'à la fin de saison 1956. Il jette définitivement l'éponge après le Grand Prix de Naples en 1957. Il abandonne de même la partie aux 24 heures du Mans, où il avait pourtant été présent depuis la reprise de 1949. Ses meilleurs résultats dans cette épreuve resteront les sixièmes places de 1953 et 1954. 
Gordini s'allie avec Renault, et le mythe arrive en France En 1956, Amédé Gordini sombre et timide songe déjà à sa reconversion. Il rencontre alors Pierre Dreyfus, le patron de la Régie de l'époque, à laquelle il va apposer son nom. La première Dauphine Gordini apparaît en septembre 1957. Elle sera suivie des légendaires R8 Gordini de 1964 à 1970 et des R12 Gordini de 1970 à 1974. La plus connue des Gordini, la R8 De plus, les Alpine des 24 heures du Mans seront animées avec succès par des moteurs Renault-Gordini. Lorsque la lignée s'interrompt, le sorcier a 75 ans. Il prend du recul, s'isole dans son atelier du Boulevard Victor, rêve encore de mécanique, alors qu'il a donné son nom à l'usine de Viry-Châtillon. Il s'éteint le 25 mai 1979. Une place porte aujourd'hui son nom près de la porte de Versailles.
Source : THERRIEZ DIDIER-gtmag.fr/

CLUB5A - PILOTE DE LÉGENDE - LE PILOTE AUTOMOBILE JACQUES LAFFITE ...LE GRAND ESPOIR DE LA FORMULE 1 FRANÇAISE !!

Jacques Laffite, né le 21 novembre 1943 à Paris, est un pilote automobile français. Il a notamment disputé 176 Grands Prix de Formule 1 et remporté six victoires entre 1974 et 1986. De 1997 à 2012, il commente en qualité de consultant les Grands Prix de F1 pour la chaîne de télévision française TF1. Il a deux filles : Camille et Margot, journaliste sportive (Formula One) sur Canal+. Jacques Laffite est le beau-frère de Jean-Pierre Jabouille. 
En 1958, il rencontre Jean-Pierre Jabouille qui lui propose de devenir son mécanicien, en 1966, lors des épreuves de la Coupe Renault R8 Gordini. Venu tardivement au sport automobile, Jacques Laffite s'est rapidement bâti une solide réputation dans les formules de promotion en devenant Champion de France de Formule Renault en 1972 (participation la même année aux 24 heures du Mans avec Pierre Maublanc de 15 ans son aîné sur Ligier JS2), et de Formule 3 en 1973 (cette année-là, il remporte également le prestigieux Grand Prix de Monaco F3). 
 Ces résultats lui permettent d'accéder à la Formule 1 en 1974, au sein de la modeste écurie Williams, alors en grande difficulté financière. En obtenant au Grand Prix d'Allemagne 1975 sur le très sélectif tracé du Nürburgring une deuxième place, Laffite contribue grandement à la survie de l'équipe. Parallèlement à ses débuts en Formule 1, Jacques Laffite devient, en 1975, champion d'Europe et de France de Formule 2, et conquiert, pour le constructeur Alfa Romeo, le titre mondial d'endurance du Championnat du monde des voitures de sport 1975 sur la 33TT12 WSC (victoire à quatre reprises avec l'Italien Arturo Merzario, aux 800 kilomètres de Dijon, 1 000 kilomètres de Monza (Trofeo Filippo Caracciolo), 1 000 km de la Coppa Florio et 1 000 kilomètres du Nürburgring). 
 Grand espoir de la Formule 1 française malgré ses 33 ans, Laffite est choisi, début 1976, à l'issue d'un test comparatif face à Jean-Pierre Beltoise pour faire débuter en compétition la première Ligier. Après une saison 1976 pleine de promesses, Laffite et Ligier semblent plus en difficulté en 1977. Dans ce contexte, Laffite remporte, à l'occasion du Grand Prix de Suède, son premier succès. Mal qualifié, Laffite revient à la deuxième place qui se transforme en victoire en vue de l'arrivée après l'abandon de Mario Andretti. 
Une victoire à ce point surprenante que Laffite sera privé de Marseillaise sur le podium, les organisateurs n'ayant pas imaginé la victoire d'un pilote français. Ce succès de Laffite sur la Ligier-Matra V12 constitue la première victoire d'un ensemble châssis-moteur français de l'histoire de la Formule 1. La victoire de Laffite restera pourtant une performance isolée au milieu d'une saison globalement décevante. Après une saison 1978 en demi-teinte, il faut attendre 1979 pour voir Laffite et Ligier se hisser au plus haut niveau. Au volant de la Ligier JS11, Laffite domine le début de saison, remporte les deux premières courses de l'année en Amérique du Sud et fait ainsi figure de favori pour le titre mondial. 
L'écurie Ligier perd progressivement pied en cours d'année et Laffite termine quatrième du championnat du monde, performance qu'il réédite en 1980 (avec une victoire en Allemagne) mais sans jamais s'être mêlé à la lutte pour le titre, la faute à des résultats trop irréguliers. En 1981, après un début de saison raté, il s'impose sur le tracé du Grand Prix d'Autriche puis sous la pluie au Canada et aborde l'ultime manche du championnat (à Las Vegas) en troisième position au général, avec des chances d'être sacré champion du monde. 
Mais Laffite passe à côté de sa course et, pour la troisième année consécutive, obtient la quatrième place du championnat. En 1982, Laffite subit le déclin soudain de l'écurie Ligier et, démotivé, n'est guère en mesure de se mettre en évidence. Il se relance chez Williams, l'écurie de ses débuts, désormais l'une des meilleures du monde. En 1983, avec le modeste V8 Ford-Cosworth atmosphérique, l'équipe n'est pas en mesure de lutter avec les concurrents qui bénéficient du moteur turbo. Ce n'est que lors du dernier Grand Prix 1983 que Williams passe au turbo, grâce à un partenariat avec le motoriste japonais Honda.
 1984 est une nouvelle fois décevante pour Laffite, qui essuie les plâtres d'un moteur encore peu fiable et aux performances irrégulières. Laffite se plaindra en outre de ne pas bénéficier du même matériel que son coéquipier finlandais Keke Rosberg. Après deux saisons chez Williams, Laffite effectue, en 1985, son retour chez Ligier. À plus de 40 ans, le vétéran obtient, avec le moteur Renault turbo, plusieurs bonnes performances en 1985 et en 1986, où il monte à deux reprises sur le podium. Au Grand Prix de Grande-Bretagne, sur le tracé de Brands Hatch, Laffite est victime au départ d'une collision en chaîne dans le cœur du peloton.
 Après avoir heurté de face le rail de sécurité, il est relevé avec de multiples fractures aux jambes et au bassin. À l'issue d'une opération chirurgicale menée par le professeur Émile Letournel, Laffite retrouve l'usage de ses jambes. Cet accident marque la fin de sa carrière en Formule 1, le jour où il égalait le record de participations détenu par Graham Hill (176 départs). Jacques Laffite et la Ligier JS11 à Rétromobile 2019 Après sa convalescence, Laffite reprend le volant en compétition, dans des épreuves de Tourisme (DTM) ou d'Endurance.
 Il effectue son retour en monoplace fin 2005 à l'occasion de la première manche du championnat Grand Prix Masters, destiné aux anciennes gloires de la Formule 1. De 1997 à 2012, Jacques Laffite commente, en qualité de consultant, les Grands Prix de Formule 1 sur la chaîne française TF1 où il remplace Johnny Rives. De 1997 à 2002, il commente en duo avec Pierre Van Vliet, remplacé en 2003 par Christophe Malbranque. Depuis 2013, il anime l'émission Dimanche Méca sur Eurosport. Jacques Laffite, passionné de golf, est actionnaire du Golf de Dijon-Bourgogne. Attaché à la Creuse, il y possède une propriété5. Il est le beau-père d'Arnaud Tsamere. Fin avril 2018, lors d'une émission télévisée, il annonce être atteint de tremblements au niveau des mains, conséquence probable de son accident.
Source : WKPDIA/CC-BY-SA-3.0-PASSION F1

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samedi 20 septembre 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - QUE DU BEAU MONDE SUR CE BALCON....


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - DAME NATURE FAIT BIEN LES CHOSES ....


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - QUI A DIT QUE LE MOTARD N'AIMAIT PAS SE LAVER ?

CLUB5A - MOTO DE LEGENDE - LA LAVERDA 1000 SFC...C'ETAIT EN 1988 !

TÉMOIGNAGE
Cette moto me faisait rêver depuis longtemps...
C'est une SFC 1000 de 1988, donc l'une des dernières produites.

Son moteur calé à 120° est plus rond, plus stable, plus régulier et plus docile que le 180°, ce qui le rend peut-être moins impressionnant à l'usage, mais les performances sont assez nettement en faveur de la SFC 1000...
 C'est en fait un moteur radicalement différent du 180°, malgré une conception de base identique, la comparaison est donc difficilement réalisable, voire superflue...
Question partie-cycle, c'est du haut de gamme pour l'époque, fourche M1R 42mm, roues Oscam, freinage Brembo racing, bras oscillant alu caissonné....
Les racines de la société Laverda Motorcycle remontent à 1873, lorsque Pietro Laverda (1845-1930) décida de créer une entreprise de moteurs agricoles - Laverda SpA - dans le petit village rural de Breganze, dans la province de Vicenza (nord-est de l'Italie). Presque exactement trois quarts de siècle plus tard, en octobre 1949, le petit-fils de Pietro, Francesco, fonda Moto Laverda SAS - Dottore Francesco. Il ressentit le besoin d'améliorer la situation d'une région économiquement sous-développée qui avait beaucoup souffert des deux guerres mondiales. Laverda e fratelli . Aidé de Luciano Zen et après des heures de travail dans le secteur agricole, Francesco avait commencé en 1947 à concevoir une petite moto. La rumeur veut que certaines pièces du moteur aient été coulées dans la cuisine de Francesco, ce qui confirme qu'au moins le projet avait été initialement considéré comme une proposition commerciale sérieuse.
 Ce qui a vraisemblablement commencé comme un projet de garage de loisirs nocturnes de deux passionnés de technique a été de devenir l’une des motos les plus réussies de l’histoire. Un simple vélo quatre temps de 75 cm3 avec fourches à poutres et chaîne de transmission entièrement fermée. Cependant, la petite moto semblait prometteuse et le 13 octobre 1949, les statuts de Moto Laverda ont été officiellement soumis à la Chambre de commerce de Vicenza. Au cours des années suivantes, Laverda devint réputé pour la construction de machines de petite capacité, de haute qualité, durables et novatrices pour l’époque. Pour le prouver, ils ont d'emblée modifié leurs vélos afin de les affronter dans des épreuves de distance et d'endurance comme le Milan-Taranto , le Giro d'Italia et le Cavalcata delle Dolomiti . 
En 1951, lors de leur première participation à Milan-Taranto , les Laverdas 75 cm 3 ont terminé 4e, 5e, 6e et 10e de leur catégorie, concourant contre des marques renommées telles que Ducati , Moto Guzzi, Alpino, Verga, Cimatti , Navarre, Ardito, Capriolo et Ceccato. Inspirés par ces résultats et après avoir encore amélioré leurs motos, Laverda a inscrit 20 motos l'année suivante lors de la 15e course de Milan-Taranto en 1952. 
Cette course de 1410 km leur a valu les cinq premières places. Le vainqueur était Nino Castellani, L. Marchi a terminé deuxième et F. Diolio troisième. Au total, ils avaient 16 motos parmi les 20 premiers du classement. Les motos Laverda sont ainsi devenues un favori des clubmen de course en raison de leur record de performance fiable. Au cours des deux prochaines décennies, Laverda produirait de nouveaux modèles de capacité croissante, dans différents secteurs du marché. 
Des machines tout-terrain, de trial et de motocross ont été développées en collaboration avec d’autres constructeurs comme Zündapp, BMW et Husqvarna et ont été courues avec succès. Mais le véritable développement est venu dans les modèles de rue, qui ont commencé à gagner une bonne réputation en tant que motos chics, nécessitant peu d’entretien et silencieuses. À partir de ce premier single de 75 cm3, ils ont fini par produire différents vélos allant des scooters au banlieue Laverdino , en passant par le jumeau 200 cm3.
Source : .laverdamania.net-Frederik Spilt

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vendredi 19 septembre 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - VALIDATION DE L'INSCIPTION POUR ROLAND AUPRES DE FUFU...

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - PRETE A DECOLLER LA JOLIE MERCEDES AVEC SES AILES "PAPILLON"...


 

CLUB.5A - VOITURE DE LÉGENDE - Ford Mustang Shelby: l’histoire d’une légende...

Avant d’être une voiture ancienne, la Ford Mustang Shelby est une voiture de légende dont les performances font encore rêver. Un peu d’histoire… La légende de la Shelby s’est écrite en 3 parties: de 1965 à 1967 avec son génial inventeur Caroll Shelby au volant, de 68 à 70 après son départ, et à partir de 2005 avec un nouveau modèle.


 1965-67: les premières Ford Mustang Shelby 
En 1965, la première Ford Mustang Shelby voit le jour. C’est la révolution: le bloc 289 (pour 289 cubic inches, le volume du moteur, soit environ 4,7 litres) a été préparé, mais c’est surtout le châssis qui a fait l’objet de toutes les attentions. Les trains roulants sont optimisés, la rigidité de la caisse accentuée et la banquette arrière supprimée par son créateur. Caroll Shelby, c’est avant tout le père d’une voiture de légende: l’AC Cobra. Dotée d’un châssis d’origine anglaise et d’un V8 Ford, elle fera la nique à toutes ses consœurs américaines sur les courses CanAm.
Un peu comme Renault le fera avec Jean Rédélé (le fondateur d’Alpine), Ford apporte dans les sixties un soutien toujours plus grand à celui qui commence à battre les Ferrari, même en Europe. La Ford Mustang Shelby naît alors d’un mariage de raison. Le constructeur cherche à renaître de ses cendres en course, pour doper ses ventes, et Shelby recherche du financement pour poursuivre son aventure. Leur union durera 3 ans. 
 1968-1970: la voiture de légende se fait une raison (marketing)
Toutes les bonnes choses ayant une fin, Shelby quitte le bateau en 1968. Les pressions mar
keting de Ford ont eu raison de sa ténacité. Les Mustang se vendent comme des petits pains et le géant américain inaugure les enquêtes auprès des consommateurs. Résultat: Ford veut du Shelby accessible, plus grand public. C’est-à-dire un moteur qui accélère fort. Le «big block 428» (environ 7.0 litres) de 1967 fait alors son apparition. Avec 355 chevaux, les pneus crissent. 
Mais l’embonpoint de 100kg grève les performances face à l’ancienne Shelby et son bloc 289 de 306 chevaux. Elle est d’ailleurs mise à la retraite pour ne pas faire d’ombre à la nouvelle venue! La carrière de la Ford Mustang Shelby se termine en 1970. 
Entre-temps, le modèle a gagné le statut de Muscle Car et différentes versions d’exception concurrencent la Shelby. Celui qui lui prête son nom se dit soulagé et Ford tourne la page d’une aventure qui aura apporté sa pierre au succès de la Mustang. 
 2005 à nos jours: une voiture ancienne et une voiture neuve 
De nos jours, la Shelby est une voiture ancienne qui s’arrache. Les millésimes antérieurs à 1967 sont les plus recherchés. Avec le lancement d’une nouvelle génération de Mustang en 2005, Shelby est rappelé aux fourneaux. Sa contribution est minime, mais l’engouement pour la Shelby GT500 est incroyable aux Etats-Unis comme en Europe. Equipée d’un V8 de 5 litres suralimenté, elle débute sa carrière à 500 chevaux avant de passer à 540 chevaux en 2007 et 662 chevaux en 2013. Une boucle bouclée en quelque sorte.
Source : blog.autoscout24.fr/

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jeudi 18 septembre 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - ROGER ET ALAIN PRETS A ACCEUILLIR LES PARTICIPANTS POUR LA REMISE DES PLAQUES ET DU ROADBOOK...


 

CLUB5A - HUMOUR MOTO - ATTENTION UN VEHICULE EN SURCHARGE PEUT ETRE DANGEREUX !


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - EN MOTO LE VENT EST CONTRE-PRODUCTIF ....


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - LA RENAULT 4L DE JEAN BERTIN ..LA SOLUTION CONTRE LES EMBOUTEILLAGES !!

Ah Jean Bertin… un inventeur comme on en fait plus aujourd’hui, sorte de Géo Trouvetou français, la gueule de canard en moins ! Tout ce qui touchait à la mécanique et aux transports l’intéressait, sans exclusive. Et malgré son implication dans LA grande invention qui porte encore son nom, l’Aérotrain, l’homme ne cessait de réfléchir à la mobilité, avec les moyens de son temps. Avec à la clé la Smart des sixties, la Renault 4 Bertin, qui ne verra jamais le jour autrement qu’en prototype unique, immatriculé s’il vous plaît.
 Si Bertin s’occupait de grande vitesse, persuadé que l’Aérotrain rapprocherait les villes de façon incroyable (ce qui aujourd’hui, nous paraît évident, avec cependant une autre technologie, celle du TGV, son concurrent), et servirait même de transport en commun péri-urbain, il n’en oubliait pas moins la mobilité personnelle. Son constat était simple : le développement de l’automobile entraînait une augmentation des embouteillages, une pénurie de place de stationnement, alors que la majorité des véhicules n’emportaient pas plus de deux personnes. 
 Son idée ? Offrir un petit véhicule pratique à deux places conservant les qualités dynamiques et de performance d’un véhicule plus volumineux, sans tomber dans la « minicar » façon Comtesse par exemple. Pour cela, Bertin va se servir d’une base bien à la mode en cette fin des années 60 : une Renault 4 L, dans une version d’occasion de 1965 !
 Sous le capot, le 4 cylindres d’origine, de 743 cm3 et 32 chevaux (SAE) faisait toujours le job, mais cette fois-ci accolé à une boîte 3 vitesses seulement (adaptée à la ville, son terrain de prédilection) permettant tout de même un 110 km/h pas négligeable alors que les voies sur berge, le périphérique et les autoroutes commençaient ou allaient voir le jour : un véhicule urbain donc, mais pas ridicule sur route non plus. A moteur identique, capot moteur de même longueur que l’originale, mais à partir du pare-brise, gros changement puisque la voiture perdait en tout 62 cm ! 
Ce rabotage à l’arrière, éliminant les deux places et deux portes arrières, explique l’impression de déséquilibre de la voiture devenue très « cartoon » ! A l’origine, la Bertin reprenait l’accastillage intérieur (et quelques détails extérieurs) d’une Renault 4 La Parisienne, anticipant le côté un peu luxueux et bourgeois des petites citadines chics d’aujourd’hui. En fait, en y réfléchissant bien, il s’agit ni plus ni moins que d’une Smart avec 30 ans d’avance. Présentée en 1969 au salon de Paris, elle fera sensation sans connaître de descendance de série. Il aurait sans doute fallu améliorer le concept, le travailler un peu plus qu’un simple dérivé de R4, pour convaincre un grand constructeur comme Renault (ou d’autres).
 Or à cette époque, Jean Bertin était en plein dans son activité d’Aérotrain, soutenu par un Pompidou récemment élu président de la République. Le tronçon test près d’Orléans (celui que nous connaissons tous) sortait de terre, et notre ami ingénieur avait trop à faire pour s’occuper de sa petite 4L ! L’Aérotrain sera un échec, et Bertin atteint d’un cancer, s’éteindra en 1975. La Renault 4 qui portait son nom sera conservée par sa veuve. Elle sera finalement restaurée grâce à Renault Patrimoine (devenu Renault Classic) et au Lycée Bugatti de Mulhouse, puis exposée à la Cité de l’Automobile au milieu de la Collection Schlumpf où j’ai pu l’apercevoir récemment.
 Elle est désormais roulante, et d’autant plus qu’avec son immatriculation obtenue en 1969, elle peut sortir sur route ouverte ! Elle n’est malheureusement pas à vendre, mais il existe quelques doux dingues qui tentent ou ont tenté d’en faire des répliques : à vos disqueuses ! 
Source :  Photos: Paul Clément-Collin / DR- carjager.com/Paul Clément-Collin-Wolfie 4 Troyes - Les Renards Du Désert _ 4L Trophy

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mercredi 17 septembre 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - PETITE REUNION AU ROND POINT DES OURSES...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - MALGRE TOUT ON ARRIVE QUAND MEME A TROUVER DES BONNES AFFAIRES EN MATIERE DE VOITURES D'OCCASIONS....


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - CONNAISSIEZ-VOUS CE MODELE ? ...LA RENAULT 16 CABRIOLET ....


 

CLUB5A - IMAGES D'ARCHIVES - LES GRANDES HEURES DE LA COMPÉTITION AUTOMOBILES..C’ÉTAIT EN 1933 !!

Les débuts de la course automobile Les années 30 furent fertiles pour l'apparition des bons pilotes, elles furent surtout marquées par la préoccupation par rapport à la sécurité de ces voitures qui devenaient de plus en plus puissantes et c'est l'accident mortel de Antonio Ascari, de Dario Resta 
et des américains Jimmy Murphy et Joy Boyer qui en fit réfléchir plus d'un. Plusieurs règlements dont les dimensions des moteurs furent adoptés par l'A.I.A.C.R. (Association Internationale des Automobiles Clubs Reconnus) car certains atteignaient la vitesse folle de 240 km/h, ce qui était beaucoup pour ces voitures peu stables.   
Source : David Guénard laberezina.com