jeudi 19 juin 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - “Qui roule dans la neige ne peut cacher son passage.”

CLUB5A – VOITURE DE LÉGENDE - VOLKSWAGEN 1600 VARIANT…POUR AVOIR UNE IMAGE MODERNE !!

Volkswagen 1600 Variant : Volkswagen fait ses gammes En 1961, avec la Typ3, Wolfsburg passe de la monoculture basée sur la Coccinelle à une vraie gamme. Décliné en berline tricorps, bicorps, cabriolet, break et fourgonnette, ce modèle conserve l’implantation mécanique fétiche de la marque, tout en affichant une image plus moderne. 
Oubliée en collection car coincée entre les deux monstres sacrés que sont la Coccinelle et la Golf, elle a pourtant été produite à près de trois millions d’exemplaires durant 20 ans, et sur deux continents. Cette Variant, première Volkswagen à présenter cette carrosserie, est un véhicule décalé, intelligent et surprenant. 
Après la Typ1, la Coccinelle, et le Typ2, sans doute l’utilitaire le plus iconique du monde, Volkswagen lance sa Typ3 au Salon de Francfort de septembre 1961. Bien entendu, ces dénominations, qui permettent juste de regrouper les modèles de façon cohérente, n’apparaissent jamais sur le capot des voitures. La Typ3 est donc officiellement présentée comme VW 1500/1600, mais dans la mesure où il a existé des Coccinelle de cette cylindrée, il est souvent nécessaire d’utiliser ce code-usine évoquant un peu les E ou W suivis d’un chiffre des BMW et autres Mercedes. 
L’histoire de la Typ3 est aussi celle (avec la Typ4 qui l’épaulera en haut de gamme en 1968) de la très longue transition entre la Coccinelle et les traction avant qui, à partir de l’éphémère K70 de 1971, puis des Passat, Scirocco et Golf, donneront un coup de jeune à l’image de la marque, lui assurant du même coup un avenir. Et quel avenir! 
Source : GAZOLINE / Marco Visani

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mercredi 18 juin 2025

CLUB5A - SORTIE MOTOS PIQUENIQUE DU 22 JUIN 2025...L'ÉTÉ, RIEN NE VAUT UN BON PIQUENIQUE. !

 

 Pour la balade à moto du 22 juin 2025 vers Termes, le départ a été donné de façon très traditionnelle. Régis et Alain sont en charge de valider les inscriptions...
Pour cette excursion à moto, aucun restaurant ne sera prévu, car comme le suggère son nom : c'est l'excursion pique-nique ! Ainsi, nous allons tous manger de façon très conviviale en mode « PLEIN-AIR », idéal pour les motards à la recherche d'authenticité. 
28 motocyclistes (dont 2 femmes) étaient présents au départ, venus de tous les coins de Carcassonne et même au-delà du département. 
Les amateurs de motocyclisme de la section moto du club 5A étaient présents en ce dimanche matin. 
En ce qui concerne la restauration, tout comme lors de chaque excursion, Régis et Alain avaient soigneusement organisé le repas qui a eu lieu sous la tonnelle « municipale de Termes », veillant à ce que personne ne soit en reste et favorisant une atmosphère très conviviale. Comme d'habitude, le départ a été fixé à 9 h devant le café du Dôme, en direction de Cazilhac, Villefloure, Ladern et Greiffeil (pause café). 
Ensuite, nous avons poursuivi notre route vers Vignevieille et le point final, qui était prévu à Termes pour le déjeuner à midi.
(En raison de la chaleur, les organisateurs ont opté pour la réduction du parcours.) 
 La température était à la hauteur d'un véritable mois de juin, à savoir : très chaude et accompagnée d'un ciel ensoleillé. À 13h30, le petit groupe a repris la route en passant par les villages de Félines et Lagrasse, avec une pause pour se désaltérer. 
Une journée extrêmement réussie grâce à une organisation impeccable, avec seulement trois incidents à signaler : 
 -Moto Dollar : bride de culbuteur défaillant. 
-Money –Goyon problème d’allumage…sans parler d’une crevaison. 
 Encore une fois, merci à nos organisateurs dévoués : Régis, Alain et Bernard... 

Texte : Bernard Ricard - Photos Régis Périch – Lorette et Bernard  RICARD

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - TOUJOURS UNE AMBIANCE AU BEAU FIXE POUR CES SORTIES MOTOS...

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - CE SALON ME RAPPELLE QUELQUE CHOSE....

CLUB5A - MOTO DE LEGENDE - LES MOTOS BLERIOT....DE L'AVION A LA MOTO ....

Moto "Blériot 500 STD" de 1920, à moteur bicylindre 4 temps La moto bleue que Bruno Caillou présentait pendant le meeting de la Ferté-alais 2007 est une "Blériot 500 Standard" de 1920, à moteur bicylindre 4 temps. Elle a été restaurée avec son frère Jean, pour le compte de son propriétaire M. Louis Bleriot, le petit-fils de l'aviateur. Après la guerre, comme beaucoup d'autres avionneurs, Bleriot s'était en effet diversifié en construisant des meubles, des chalutiers, et... des motos . 
La production qui dura de 1920 à 1922 fut faible, mais il obtint tout de même une commande importante de la préfecture de police de Paris (avec des side-car). Source : alainus1948 / pbase.com

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mardi 17 juin 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - “La conversation doit tout aborder mais ne rien approfondir.”


 

CLUB5A - HUMOUR MOTO - LE SIDE-CAR SPECIAL FRIGORIFIQUE POUR LES PERIODES DE GRANDE CHALEUR.....


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Clubs de voitures anciennes : sont-ils destinés à tous et à quoi servent-ils vraiment ?

 

Il y a en France plus de 1 000 clubs de véhicules anciens, regroupant 59% des collectionneurs, d’après la Fédération française des véhicules d’époque, ce qui interroge sur les motivations de ceux qui y adhèrent et celles des autres plus réfractaires. 
Retour sur ce phénomène, qui ne date pas d'hier… Les plus anciens clubs automobiles ou motocyclistes ont été créés entre les deux guerres, essentiellement au Royaume-Uni (Veteran car club of Great Britain en 1930) et en France (Club des Teuf Teuf en 1935). Ils regroupaient alors de riches propriétaires de ce qui était encore un objet élitiste apprécié des sportifs distingués et de quelques excentriques qui conservaient des modèles du tout début de l’automobile. Les véhicules n’étaient donc pas obligatoirement anciens mais suffisamment rares et chers pour fédérer une communauté de privilégiés fréquentant par ailleurs les mêmes cercles sociaux. 
Quelques constructeurs de voitures de sport, tels MG ou Bentley initieront aussi des clubs soutenus par la marque afin de fidéliser leurs clients et leur proposer des occasions de rencontres et de partage de leur intérêt pour l’automobile. Les gentlemen drivers qui s’adonnent au trial à la campagne, ou au pilotage en circuit, notamment au Mans, sont alors valorisés par leur appartenance à des clubs très selects, réunissant les pilotes qui se côtoient en course. Le très exclusif British Racing Drivers Club se développe ainsi en aménageant des salons (toujours) très privés au sein du circuit de Silverstone. Deux collectionneurs éclairés Toutefois, c’est véritablement dans les années 1950 et 1960 que se créent les premiers clubs de collectionneurs, accompagnant un mouvement d’amateurs pionniers désireux de rouler avec leurs “tacots” et d’échanger des conseils pour leur entretien. En France, le fameux club des 3A, organisateur du salon annuel Époq’Auto, voit le jour en 1956. Il est le second club référencé de voitures anciennes créé en France. Il faut attendre la fin des années 1960, début des années 1970, pour voir les pratiquants commencer à se structurer. 
Les premières revues, Le Fanatique de l’automobile et L’Automobiliste, sont l’une et l’autre lancées en 1966 par deux collectionneurs éclairés, Serge Pozzoli pour la première et Adrien Maeght pour la seconde. Les premiers rallyes d’anciennes apparaissent, tel l’Escargot d’Or, qui parvient à réunir une cinquantaine de propriétaires n’hésitant pas à parcourir, durant une semaine, quelques centaines de kilomètres de la riviera italienne à la côte d’azur française avec des voitures dont les plus récentes remontent aux années 1930. 
Les bourses d’échanges se développent également, mais il faut attendre 1976 pour participer au premier Rétromobile à Paris, et 1978 pour Époq’Auto à Lyon. En Angleterre, la première manifestation de ce genre remonte à 1967 – l’Autojumble de Beaulieu, créé par Lord Montagu, grand collectionneur et fondateur du premier musée automobile privé du Royaume-Uni en 1952. Un courant porté par la Fédération française des véhicules d’époque Internet n’existe pas, et les seuls moyens de communiquer sont alors la presse spécialisée, limitée à de rares magazines mensuels et trimestriels, et quelques rassemblements locaux connus des seuls initiés… 
Le besoin de s’organiser s’impose, d’abord afin de s’entraider face à la difficulté de trouver des pièces pour entretenir, voire restaurer, des véhicules qui n’intéressent pas grand monde ; et de les faire rouler entre copains. Des clubs sont donc constitués pour réunir des amateurs partageant la même passion, et les mêmes problèmes. 
Faciles à créer, via une association Loi de 1901, ils ne demandent qu’une cotisation destinée à son fonctionnement et à la réalisation et l’expédition d’une lettre ou d’un bulletin permettant d’informer et d’échanger des pièces ou de la documentation. Le phénomène s’amplifie dans les années 1970, notamment du fait du lancement, en 1976, du journal La Vie de l’auto, d’abord bimensuel, puis hebdomadaire, annonçant les manifestations des clubs et ouvrant plusieurs pages aux petites annonces. Dès lors, le mouvement du véhicule de collection ne va cesser de croître pour devenir un écosystème regroupant collectionneurs, professionnels et médias spécialisés, organisateurs d’événements… 
Le tout porté par des fédérations nationales, comme la Fédération française des véhicules d’époque (FFVE) en France, ou internationales, comme la Fédération internationale des véhicules anciens (FIVA). Une offre diversifiée Dans son étude nationale de 2024, la FFVE recense plus de 1 000 clubs adhérents – il y en a sans doute plus – regroupant 59% des collectionneurs. L’offre est très variée : clubs de marques, voire de modèles (DS Citroën, Ford Mustang, Porsche 356…), régionaux, sportifs, épicuriens… 
On voit aussi depuis peu apparaître des clubs féminins. Certains sont très ouverts, une simple adhésion suffisant, sans même qu’il soit nécessaire de posséder un véhicule. D’autres sont plus sélectifs, limitant leur nombre de membres, exigeant parfois un parrainage. 
Quelques-uns, de marques essentiellement, sont soutenus par le constructeur, parfois au prix d’un strict encadrement de l’usage de la marque – comme Porsche, par exemple –, tandis que d’autres prônent leur indépendance. 
Dans tous les cas, leur philosophie est identique : réunir des amateurs et leur proposer des services allant d’un simple annuaire ou d’un bulletin périodique, à des événements organisés (rallyes, bourses, location de circuit, voyages…) et à des refabrications de pièces introuvables ou de réimpressions de documentation d’époque (manuels du conducteur, manuels d’atelier, catalogues). Ce type de services est particulièrement apprécié lorsque le constructeur a disparu. Le club Amicale Facel-Vega, marque française n’ayant produit de faibles volumes qu’une dizaine d’années (1954-1964), est très efficace à cet égard. Adhérer à un club permet d’obtenir des conseils pour l’acquisition comme pour l’entretien d’un véhicule, et de procurer des opportunités de rencontres avec d’autres passionnés. Il en résulte de la convivialité, ce qui semble aller de soi s’agissant d’un loisir – encore que des “querelles de chapelles” et autres conflits de pouvoirs puissent exister sporadiquement, engendrer des scissions et la création de nouveaux clubs. 
 Une cohabitation pas toujours facile Dès lors, selon le prestige de la marque, la volonté d’exclusivité des dirigeants, ou l’ambition du club au niveau de ses activités, le montant de la cotisation et le spectre des services sont variables. De quelques dizaines d’euros par an à plus d’une centaine, l’adhésion peut discriminer. Tout comme les sorties, selon que l’on se contente d’un hébergement sommaire ou que l’on privilégie l’hôtellerie de luxe. De la même manière, le prix d’une journée de promenade en région est logiquement plus abordable qu’un rallye d’une semaine à l’étranger. Les clubs les plus dynamiques savent proposer les deux et adapter leurs prestations aux moyens et vœux de leurs membres. C’est notamment le cas des grands clubs fédérant des centaines d’adhérents. 
Mais il est alors plus difficile de connaître chacun des membres et d’y nouer de réelles amitiés, comme dans un petit club. Et puis, la cohabitation entre véritables modèles anciens et dernières productions n’est pas toujours facile, en raison des écarts de performances des véhicules et de culture de leurs conducteurs – à l’instar de certains clubs, comme Jaguar, Porsche ou Mustang, qui accueillent aussi bien un modèle des années 1950/1960 que la dernière GT. Fondamentalement, on trouve dans un club ce que l’on est prêt soi-même à y apporter. Il est possible de s’en tenir à une participation épisodique et discrète, auquel cas les relations demeureront superficielles, ou de s’engager plus régulièrement et de participer activement, voire de prendre des responsabilités, auquel cas on deviendra un membre connu et reconnu. Chacun est libre, finalement, de son mode de “consommation” d’un club, une petite minorité faisant généralement “tourner la boutique”.
Une micro-société Telle la vie sociale en général, un club n’échappe pas aux règles de la vie en communauté, fût-ce dans un contexte hédonique. Un club est une petite société où se côtoient des individus en principe animés par les mêmes centres d’intérêt. On adhère le plus souvent à un club, car on vient d’acquérir, ou on projette d’acquérir, un véhicule. La motivation première est d’y trouver des informations et des conseils pour en profiter sereinement. Ensuite, on a logiquement envie de partager des moments agréables avec des semblables, en profitant d’un cadre – et du travail d’organisation effectué par d’autres… À partir de là, on vit des expériences au moment de l’accueil, de qualité variable selon les clubs, des premiers contacts avec les autres membres, de leur attitude à notre égard, de la qualité perçue des activités, et finalement du sentiment d’avoir, ou pas, passé un bon moment. Tout cela est évidemment très subjectif, comme dans toute relation humaine, et dépend à la fois de l’état d’esprit dans lequel on aborde le club, et de celui de ses dirigeants. 
En effet, dès lors que l’on est ouvert et désireux de s’insérer dans un groupe, il y a de fortes chances d’y être bien accueilli. Un individu timide ou réservé devra davantage compter sur les autres pour être intégré. C’est là où le dirigeant (président du club ou membre de son bureau) joue un rôle. Il lui incombe de veiller à recevoir le nouvel impétrant en ami et de faciliter son intégration. Les premiers instants sont déterminants pour la suite et des présidents savent mieux les gérer que d’autres, qui croient parfois que leur fonction doit les préserver du “vulgum pecus”. On a tous connu au moins une fois ce type de personnage, qui prend une revanche sur la vie en devenant président d’une association… À l’inverse, un président chaleureux, disponible, n’hésitant pas à “mettre les mains dans le cambouis”, sera apprécié durablement. 
Le plaisir, c’est d’abord ça, l’important À l’usage, une fois passée la phase de découverte, la durée d’adhésion au sein d’un club dépend des activités offertes, compatibles ou pas avec sa disponibilité et ses finances – il est dommage d’être un membre “dormant”, ne participant pas, se bornant à recevoir la revue du club – et des liens tissés avec les autres membres. On peut s’en tenir à consommer des avantages, comme une facilité d’accès à un circuit par exemple, sans chercher à socialiser. On passera sans doute à côté de belles amitiés, mais c’est un choix respectable. On peut, au contraire s’impliquer, devenir une cheville ouvrière de son club et en tirer de grandes satisfactions. La majorité se situe entre les deux. Il est enfin important de s’interroger sur la position d’un conjoint éventuel, qui ne vit pas la passion automobile ou moto comme soi, même s’il ou elle aime bien les balades en anciennes. Ce conjoint doit pouvoir également apprécier la vie de club, ce qui n’est pas forcément écrit d’avance. 
L’important doit demeurer le plaisir, le véhicule ancien étant en définitive un prétexte pour découvrir des endroits plaisants, passer de bons moments avec des amis, et partager avec son conjoint de bons souvenirs. Les plus mordus, possédant souvent plus d’un véhicule, sont membres de plusieurs clubs, au moins un régional pour les sorties locales et un national pour les grands événements et les services. Ils vivent alors pleinement leur passion en variant les plaisirs. Si on ne choisit ni sa famille ni son environnement humain professionnel, on peut en revanche choisir son ou ses clubs. Pourquoi se priver de ce luxe ? 
Source : automobile-magazine.fr-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

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lundi 16 juin 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - NE PAS TENIR COMPTE DES INSCRIPTIONS SUR LE PANNEAU....


 

CLUB5A - HUMOUR MOTO - CHANGEMENT D'EPOQUE POUR UN CHANGEMENT DE LECTURE......


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - «Les gens la regardent plus qu’une Ferrari» : Éric raconte l’histoire de sa Renault 16 TX bleue...

 

Aujourd’hui, Eric raconte comment une publicité de Renault 16 TX, visionnée au cinéma en 1973, a transformé un rêve d’enfant en réalité. 
Lecteur de cartes routières, ceinture de sécurité à enrouleur, lève-glace électrique, lave-glace, essuie-glace de lunette arrière, fermeture électromagnétique des portes, phares à iode : ce sont toutes les caractéristiques d’avant-garde que Renault mettait en scène en 1973 dans une publicité. «Si la Renault 16 TX vous offre tant d’équipement en série, c’est pour que vous puissiez profiter pleinement de ses qualités routières et de ses 5 vitesses. 
Chez Renault, c’est comme cela que l’on conçoit une autoroutière », lançait la marque dans un spot qui appartient résolument à une autre époque. 
Pour Éric, cette publicité est le souvenir de son enfance, d’une après-midi de cinéma où le jeune homme de 12 ans regardait Les Diamants sont éternels, l’iconique James Bond, incarné encore par Sean Connery. Le souvenir reste précis : « Ils commençaient à la diffuser à Montpellier au cinéma Odéon, qui est devenu une boîte de nuit dans les années 80. » 
Cette publicité, « ça me fait frissonner ! Pour l’époque, c’était une voiture de luxe», exagère-t-il. Il faut reconnaître que la naissance de Renault 16 marque une étape importante dans l’histoire de la firme au losange. 
Il s’agissait alors de proposer à une clientèle exigeante une voiture haut de gamme se démarquant de la concurrence. « La Renault 16 , première voiture à hayon après la 4L. Grande, belle voiture ! », s’enthousiasme Éric. La TX, version haut de gamme produite entre 1973 et 1980, était particulièrement innovante : « Il y avait le lecteur de carte, l’éclairage pour que le passager avant puisse lire la carte - et d’ailleurs vous les verrez sur la pub -», raconte le passionné. 


À 18 ans ... 
Pour Éric, la R16 TX c’est d’abord une première occasion ratée. À 18 ans, son permis en poche, le collègue de son père vend une R16 TS verte avec les feux arrière en amande, le rêve du jeune adulte, si intime que son père ne le savait pas. L’occasion lui passe sous le nez, il ne le saura que trop tard. Il s’achète finalement une 204 coupée : ce sera sa première voiture. Les occasions manquées font œuvre de rumination, ce n’est qu’en 2007 qu’Éric va enfin concrétiser son rêve. 
«Je me dis : il faut que je trouve une R16 ! 
À l’époque il n’y avait pas Le Bon coin. C’était sur Paru Vendu , il y avait une annonce dans une petite ville au-dessus de Mâcon, un agent Peugeot qui proposait la voiture». La négociation fut laborieuse : « Je l’appelle... 
Écoutez, ça a duré un mois pour la négo ! Le vendeur peu motivé hésitait avec cette vente, il n’était jamais dispo. L’annonce mentionnait un prix de 5000 euros. Finalement, j’ai surenchéri, on a fait affaire avec 500 euros de plus : 5500». Rendez-vous est pris à mi-chemin entre Macôn et Montpellier : à Valence. L’acquisition est exceptionnelle, «elle avait 68 000 km d’origine, dans un super état, peinture d’origine, chromes rutilants...», expliquant pourquoi les TX sont si recherchées : « elles ont la particularité d’avoir les contours d’ailes chromés. De 1973 à 1976, ils ont gardé le maximum de fioritures. 
Le ciel de toit est noir». Le modèle de l’année 1976, marquera la fin d’une époque, et la R16 TX récupère un ciel de toit blanc cassé comme toutes les voitures. 
Eric n’est pas prêt à céder sa R16 Depuis l’acquisition, la voiture demande grand soin : «j’ai changé le démarreur, l’allumeur, le carburateur double corps à starter auto. Le maître-cylindre aussi, toute une liste, mais attention ça s’est fait sur des années...» Aujourd’hui, quand Éric sort sa Renault 16, l’effet est garanti : « Quand je sors dans la rue, les gens se retournent avec sympathie, encore plus que si j’avais une Ferrari ! 
Ce qui me plaît quand je la sors, c’est que les gens sont heureux ! ». Une dame de la même génération a même manqué de tomber en voyant le modèle dans la rue... «elle n’avait pas vu ça depuis 45 ans, qu’elle en était déconcertée et émue». Aujourd’hui, la R16 TX est une voiture de collectionneur et vaut à la revente entre 15 et 22 000 euros, selon les estimations d’Éric (pour des véhicules déjà restaurés et en parfait état). 
La rareté de ces modèles s’explique en partie par leur fragilité face à la corrosion : « Le problème, c’est de trouver une voiture saine car elles sont bouffées de l’intérieur. 
Toutes celles qui ont roulé sur des routes salées», par exemple. Mais ne parlez pas à Éric de se séparer de sa R16 : « Ça fait plaisir de voir sa valeur grimper mais on m’en donnerait 40 000 euros, je ne revendrais pas. 
Peut-être 100 000 euros, j’hésiterais... » Car au-delà de la valeur marchande, c’est l’accomplissement d’un rêve d’enfant qui se raconte dans cette R16. 
Source : lefigaro.fr - Clément GROS- Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - REPONSE AU JEU : DU QUI EST QUI ...MERCI DE VOTRE PARTICIPATION !

 

Merci à tous d'avoir pris part à ce jeu et félicitations à notre vainqueur : Sylvie RAYNAUD 
 C'est elle qui a répondue le plus rapidement et a devinée qui était derrière cette image. 
Bien joué ! 
Toutefois, il reste encore des questions à résoudre avant la prochaine assemblée générale. Nous vous remercions tous d'avoir été si nombreux à jouer... Restez branchés, car le 15 Juillet, une autre énigme sera publiée sur notre blog et notre page Facebook. 
Restez connectés !


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dimanche 15 juin 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - FRENQUENTATION OPTIMUM POUR CETTE A.G 2015...


 

CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - LA 4 CV RENAULT ...OU LA MOTTE DE BEURRE...

La Renault 4CV, du constructeur français Renault, est une voiture conçue par Fernand Picard et Charles-Edmond Serre, deux ingénieurs de Renault, qui est présentée en octobre 19463, à la suite du développement de trois prototypes, dont deux secrètement pendant l'Occupation. 
C'est une petite voiture, mais elle est particulièrement spacieuse pour son époque et ses dimensions extérieures. La Renault 4CV – surnommée la « 4 pattes » mais aussi « la motte de beurre » à cause de sa forme et de la couleur jaune de ses premiers exemplaires – symbolise le retour de la paix et de la prospérité car elle est la première voiture française accessible au plus grand nombre comme l'indique le slogan publicitaire diffusé à l'époque : « 4 chevaux, 4 portes, 444 000 francs ! ».
 La 4CV est la voiture la plus vendue en France jusqu'en 1955. C'est la première française à atteindre une production d'un million d'exemplaires. La production débute et sera essentiellement réalisée à Billancourt, mais une partie se fera également à l'usine de Flins (Seine et Oise). Elle durera de 1947 à 1961, année de sortie du 1 105 547e et dernier exemplaire. Avec la Dauphine, la 4CV sera, pendant près de quinze ans, le principal modèle commercialisé par Renault.   
Source : THERRIEZ DIDIER

CLUB5A – 15/06 - PARTICIPEZ AU JEU DU "QUI EST QUI" - QUELLE EST LA PERSONNE DERRIERE CETTE IMAGE ?

 

L’intelligence artificielle utilise des techniques pour imiter le fonctionnement du cerveau. 
Tandis que l’IA occupe une place croissante dans nos vies, elle ouvre aujourd’hui autant de possibilités, par exemple transformer une photo… 
Voici un nouveau jeu où vous devrez deviner de quelle personne il s’agit. 
Cette personne, vous la connaissez, car elle participe à nos sorties et fait partie du club ou en est un sympathisant. 
Une devinette vous sera proposée tous les mois et vous avez quelques jours pour y répondre…. 
Le premier qui devine ce personnage aura gagné et accumulera un nombre de points et sera peut-être le gagnant. 
Nous attendons vos réponses soit à travers le blog, dans : laisser un commentaire en bas du menu du blog clubdes5a.blogspot.com dans le formulaire de contact ou sur facebook.com/club5des5A/ 
La personne qui aura le plus de réponses exactes aura gagnée et sera récompensée à la prochaine A-G. 
Rendez-vous le 15 Juillet pour une nouvelle énigme.
À vous de jouer !