jeudi 8 mai 2025

CLUB5A - Sortie du Printemps du 2 au 4 Mai 2025 - Sortie trois jours dans les Cévennes....Les Cévennes, Même quand il pleut, ça vaux la peine !

 

Cette année, Régis Arnaud nous avait prévu une excursion dans l'une des plus splendides régions de France, à savoir les Cévennes. Cependant, ce n'est pas à la légère, car planifier une excursion de trois jours nécessite une préparation minutieuse et une bonne dose d'expérience... et comme toujours, ces trois facteurs ont dépassé nos attentes. 
C'est notre président qui s'est attelé à cette tâche avec l'aide active de sa compagne Véronique ! (Merci à tous les deux..) 
Une soixantaine de participants et 30 Véhicules, le Road-book en main. 
-Vendredi 2 mai, en matinée (à 8h), Régis et Véronique étaient occupés à valider les inscriptions. Dès que tous nos convives sont présents, nous prenons la route en direction du cirque de Navacelles, traversant les hautes terres du Minervois par des chemins sinueux et étroits. 
La première pause offrait l'opportunité de savourer un café à Riols et de procéder à un rassemblement. Lors de notre trajet vers Navacelle, une halte spéciale était planifiée pour célébrer un moment marquant pour deux membres, Lisèle et Patrice, qui souhaitaient partager leur joie d'être devenus grands-parents avec tous les présents. 
 Et cela a été réalisé : tout le monde a pu fêter cette nouvelle en levant son verre (obligatoirement avec du champagne). 
 Nous continuerons notre parcours et nous rassemblerons pour contempler le cirque de Navacelle depuis le sommet du promontoire. Idéal pour une pause déjeunée. 
Durant ces trois jours, le temps était saisonnier, doux, à la fois nuageux et ensoleillé avec des températures estivales agréables, entrecoupées de quelques averses avec un retour chaotique sous la pluie: un véritable mélange. 
 Le repas partagé dans ce restaurant du cirque de Navacelle qui surplombe le paysage fut agréable dans une ambiance conviviale. Après cette pause, il était nécessaire de reprendre immédiatement la route, car nous étions tenus d'aller aux grottes des Demoiselles situées à St Beauzilles de Putois en suivant la vallée de la Vis. Cette exploration guidée de la Grotte des Demoiselles nous a immergés dans un vaste monde souterrain (les entrailles de la terre) où il ne suffit que de laisser libre cours à notre imagination... 
Suite à cette exploration captivante de la grotte, nous avons poursuivi notre chemin vers Alès, où nous sommes arrivés aux alentours de 18h30 pour une installation immédiate à l'hôtel Ibis. L'hébergement dans cet hôtel a été très plaisant grâce à un service de restauration performant et de qualité tout au long du séjour, avec en prime un vaste parking souterrain permettant aux véhicules d’être à l’abri de la pluie. 
-Samedi 3 Mai – Suite au petit déjeuner, il était déjà temps de se diriger vers la Bambouseraie près de la ville d'Anduze pour découvrir ce lieu toujours aussi renommé. 
 La Bambouseraie, considérée comme l'un des plus beaux jardins de France, nous propose une expérience singulière d'intimité avec la nature. 
Ce remarquable jardin botanique expose plus de 1000 espèces de bambous, d'arbres et de plantes exceptionnelles, faisant de la Bambouseraie un site unique en Europe. Il semble que les hommes ne soient pas si fous après tout, et ils façonnent avec ce que la nature leur propose…
En se dirigeant vers St Jean du Gard à bord du petit train à vapeur, nous avons décidé de prendre notre repas de midi. Le repas a été prévu dans une ancienne Gard baptisée « La pause Gourmande ». Dans l'après-midi, nous nous sommes rendus à La Maison Rouge, tous les Cévennes étaient présents dans ce musée ! 
 La collection de 10 000 objets donnait à comprendre la vie d’autrefois dans les Cévennes. 
La filature rénovée permet d'imaginer le travail de la soie.. Après un rafraichissement, nous avons pris le petit train à vapeur au départ de St Jean du Gard qui nous a conduits jusqu'au parking pour récupérer nos véhicules et commencer la visite du moulin à huile du Vignier. 

 Ce dernier bénéficie d'une localisation géographique parfaite...
Visite captivante réalisée par des passionnés. À la suite de ce passionnant exposé prodigué par notre guide, un super apéritif nous était servi et offert par le club « Les Vieilles manivelles » représenté par sa présidente Mme SARDINOU et une délégation de plusieurs adhérents. 
Cette dame nous a relaté ses souvenirs avec Roger Debien avec quelques anecdotes croustillantes de l’époque du taco-club…
-Dimanche 4 mai – La journée commençait par l'exploration de l'un des plus beaux villages de France : St Guilhem le Désert, avec une visite guidée au programme et surtout un super guide passionné de son village. 
C'est une ville médiévale située sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle. Saint-Guilhem a tous les atouts pour séduire, avec sa position surplombant les Gorges de l'Hérault et son patrimoine foisonnant. 
 C'est dans ce cadre remarquable que nous prendrons notre repas de midi au restaurant « Le Petit Jardin » avant de commencer notre voyage de retour. Ainsi, l'après-midi, nous sommes revenus à Carcassonne ou dans nos villes respectives en passant par les localités de Béziers et Capestang. Notre séjour dans la région des Cévennes a été très plaisant. 
De manière générale, les routes du sud de la France sont agréables et fluides, avec des panoramas splendides. Ceci dit, il s'agit simplement de mon opinion personnelle...Cependant, je pense que nombreux sont ceux qui le partagent... Nous avons donc fait cette promesse, en nous engageant à renouveler l'expérience très bientôt… 
 Il est indéniable que nous avons eu un WEEKEND FORMIDABLE et parfaitement organisé ! 
Merci infiniment à chacun et chacune pour votre enthousiasme, la cordialité générale et l'esprit d'équipe. Un grand bravo à Régis et Véronique, nos maitres d'œuvre, pour avoir superbement orchestré ce week-end. 
Également, un grand merci à Patrick et Corinne Cilia pour la mise en place de la voiture balai ainsi que le soutien mécanique qui nous a été d'une grande utilité, car quelques pannes et incidents mécaniques ont été présents lors de ce périple. 



Un grand merci à nos divers guides très sympathiques et hautement professionnels ! 
On se retrouve l'année prochaine pour de nouvelles escapades de trois jours ! 
 Texte : PL- Photos : Famille Raynaud – Klaas et Sonja Browers –Sylvie Caruana- Régis Périch-Dominique Spinoso - PL

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - RETOUR SUR LA SORTIE FFVE EDITION 2025 !


Source : lindpendant.fr - J-G - Merci  DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - NOTRE AMI ROLAND AU PIED DE L'AMILCAR DE MICHEL ....


 

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - UNE AMITIE QUE NE FONDRA PAS COMME LA NEIGE...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - NOUVELLES GRADUATIONS POUR VOTRE JAUGE A ESSENCE....


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - NOUS AVONS RETROUVE LE COMBI-VW DE MAYA L'ABEILLE !!


 

CLUB5A - SPORT AUTO - HISTOIRE DU TOUR DE FRANCE AUTOMOBILE...

1899 - Ce premier Tour de France, disputé en sept étapes du 16 au 24 juillet, est considérée comme étant le IVe Grand Prix automobile de l'A.C.F.. Il est également ouvert aux motos, avec classements séparés. D'après Edmond Cohin, la distance à parcourir est de 2 216 km, à relativiser car le calcul des distances et des moyennes n'était pas très précis à cette époque. Certains historiens indiquent une distance inférieure (2 172,5 km4), ou supérieure de l'ordre de 2 500 km en incluant les « kilomètres neutralisés ». Le Tour de France automobile est une compétition constituée de courses à étapes à travers la France en automobile.
 Cette épreuve fut créée en 1899 par L'Automobile Club de France et organisée par le journal Le Matin1. La première édition se courut du 16 au 24 juillet 1899. 19 voitures au départ, 9 à l’arrivée. 25 motos prennent également part à l’épreuve qui compte 7 étapes sur 2 216 km. René de Knyff s’impose sur une Panhard & Levassor. La course succède en 1951 sous le nom de Tour de France de Nice à Nice / Critérium International de Tourisme à 18 éditions du Grand Critérium international de tourisme Paris-Nice, étalées de 1921 à 1939 et également organisées par l'Automobile Club de Nice et Côte d’Azur. Cette épreuve connaît des sommets de popularité quand les meilleurs pilotes sur les meilleures autos du moment s'y affrontent, suivis de creux abyssaux quand l'épreuve devient presque anecdotique. 
Le Tour cesse d'exister en 1986. Il aura entraîné des déclinaisons belge et italienne. De 1970 à 1974, le Tour de France automobile fut organisé en parallèle avec le Grand National, épreuve réservée aux licenciés français, se disputant aux mêmes dates et sur le même parcours, quoique réduit. Une épreuve baptisée également « Tour de France automobile » est mise en place de 1992 à 1998. C'est une épreuve de véhicules historiques. L'ASO, organisateur du Tour de France cycliste, imposa l'abandon de l'appellation « Tour de France », qui fut rebaptisé « Tour auto ». Organisé par Peter Auto, le Tour Auto réunit chaque année 230 voitures historiques, dont au moins un modèle du même type a participé au Tour de France Automobile entre 1951 et 1973.
Source :WKPDIA/CC-BY-SA-3.0 - Ina Sport

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - «Elle peut monter jusqu’à 120 km/h» : Grégory a bricolé sa 4CV pour pouvoir conduire sur autoroute...

 

DANS MON GARAGE - Chaque semaine, des automobilistes ou motards présentent leurs véhicules d’exception. Aujourd’hui, un cuisinier de Nogent-sur-Marne nous parle de la transformation de sa 4CV. Lorsqu’il sort de son restaurant scolaire dans un collège de Nogent-sur-Marne, Grégory chérit ses après-midi de liberté, notamment pour rouler et entretenir sa Renault 4CV. Cette mythique automobile française, produite entre 1947 et 1961, est un peu devenue le centre de sa vie sociale. «Je m’en sers tous les jours sauf quand il pleut, car elle prend l’eau», confie-t-il. C’est une voiture d’un autre temps. 
Dans l’habitacle, il fait froid quand il fait froid, chaud quand il fait chaud. Autrement dit, il n’y a ni système de clim, ni chauffage : elle date bien des années 50. C’est ce qui fait son charme. Un amour né il y a trente ans, devant un film avec Jane Birkin et Pierre Richard : «La moutarde me monte au nez». «À un moment donné, on voit cette voiture», se souvient-il. L’influence familiale n’est pas non plus étrangère à cet amour des belles mécaniques : «mon père était pilote de rallye en R5 , il a même fait le Paris-Dakar avec Stephanie Fugain». Mais paradoxalement, ce paternel passionné lui «a toujours interdit» de toucher à ses voitures, créant une frustration qui ne fera qu’alimenter sa future passion pour les bijoux de l’automobile. Son permis et une 4CV En 1991, Grégory a 19 ans. 
Il vient d’avoir son permis. Ni une, ni deux, il achète une 4CV, mais quelques mois après, il se la fait voler tout bêtement dans son box. Il s’achète un autre modèle, moins cher, la R5, et fera une croix sur la 4CV 27 ans durant. Nous voilà en 2018. Avec le bouche à oreille, le chef cuisinier trouve un modèle 4CV chez un particulier. «Elle était très belle mais avait des problèmes mécaniques et électriques. J’ai fait 5 km et je suis tombé en panne. Je me suis aperçu qu’il y avait de grosses fuites d’huile et d’essence. Quand j’ai prévenu le vendeur, il n’a rien voulu savoir», raconte-t-il. Sans grande connaissance en mécanique, Grégory tente de changer le carburateur, mais rien y fait, il revend la voiture et perd 2000 euros dans l’affaire. 
Une péripétie. Une refonte du moteur et de la carrosserie «Six mois après, j’ai acheté celle que j’ai maintenant, trouvée sur Leboncoin à 3 km de chez moi, pour 9000 euros. En très bon état et tout fonctionnait», se rappelle le chef cuisinier. Quelques semaines plus tard, il fait une rencontre avec un mécanicien spécialisé dans ce type de modèle. «Je lui ouvre le capot, et le gars me dit “ce serait bien de la transformer”». L’idée de ce dernier, modifier le véhicule avec le moteur plus performant d’une Dauphine Gordini. Résultat : sa 4 CV dispose d’une boîte 4 vitesses (au lieu de 3), peut monter jusqu’à 120 km/h. Au-delà de la mécanique, Grégory a refait une grande partie de la carcasse de base. 
Il a changé une batterie de 6 Volts pour une de 12, ajouté des clignotants moto devant et derrière, adapté les sièges en dossiers réglables plus épais. «J’ai aussi rajouté un manomètre d’essence, un volant en bois, repeint le moteur en bleu. J’ai même posé une galerie de scooter Vespa à l’arrière», énumère-t-il. Des aménagements qui donnent une grande originalité à son modèle, et lui permettent de se distinguer lors des rassemblements automobiles entre passionnés. Se retrouver dans des clubs autos Rassemblements auxquels il participe une cinquantaine de fois dans l’année. «Je suis à fond dedans», s’enthousiasme-t-il. De Sucy-en-Brie à Ozoir-la-Ferrière, en passant par le grand rendez-vous annuel de Chelles le 1er mai (1600 voitures des années 50), son agenda est bien rempli. 
Il faut dire que Grégory fréquente plusieurs clubs automobiles et a même créé le sien sur Facebook. «Je fais partie de Sucy Classique Club, et Ozoir en Ancienne, et suis président d’un club d’amis, que l’on a baptisé Olds cars Saint-Maur 94». Cela lui permet de se retrouver entre amis, alors que les occasions manquent, et simplement de parler mécanique. Il reste qu’au volant de sa 4CV, le chef cuisinier ne passe jamais inaperçu. «Les gens m’arrêtent, surtout ceux de 70-80 ans», raconte-t-il. Si la voiture suscite la nostalgie chez les anciens, il n’est pas rare qu’elle attire également la curiosité des plus jeunes. Tout est une question de transmission. 
 Source : lefigaro.fr - Clément Gros - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES AUTOMOBILES - LES AUTOMOBILES SENECHAL..LE SPÉCIALISTE DU CYCLECAR !!

La marque Sénéchal, France 1921 - 1929, La marque de véhicules automobile Française Sénéchal fut fondée en 1921 et construisit jusqu'en 1929 les voitures automobiles à moteur. Histoire Chronologique de l'ancienne marque automobile " Senechal ", France 1921 - 1929. Robert Sénéchal s'implique dans le domaine de l'automobile dès l'âge de 19 ans en devenant le plus jeune directeur associé de garage. Il s'occupera de commercialiser une voiturette à prix modeste du nom de "Baby", afin d'échapper à la taxe qui frappe les produits de luxe. 
 À la fin de la première guerre mondiale, il termine comme pilote d'élite au sein de l'aviation française. Mais, toujours attiré par l'automobile, il tente de décrocher un poste dans le service commercial des automobiles Delage, il obtient le poste de directeur adjoint du service de liquidation des surplus de véhicules de guerre américains. C'est en 1921, à l'âge de 29 ans, que Robert Sénéchal fonde son entreprise sous le nom de "Cyclecars Robert Sénéchal", après avoir aidé un certain Cordier à liquider sa société nommée "L'éclair", et en avoir pris possession par la suite. La petite entreprise présente son premier cyclecar au salon de 1921. 
 L’expérience précédente de liquidateur des surplus de guerre a permis à Robert Sénéchal d’appréhender les besoins des automobilistes et son cyclecar répond parfaitement à leurs attentes. Le châssis, de forme triangulaire, est en tôle emboutie, la suspension est assurée à l’avant par des ressorts transversaux et à l’arrière par deux ressorts à demi cantilever. Le moteur est un Ruby 4 cylindres d’une puissance de 6 CV refroidi par eau, avec graissage mécanique. Le changement de vitesses est intégré dans le pont arrière. Le modèle Sénéchal n’excède pas 330 kg, ce qui constitue une petite performance car il est livré avec un véritable pare-brise, une capote, trois lanternes à essence et une cinquième roue. 
 Malgré son poids plume, il dégage une sérieuse impression de robustesse, de confort et de sécurité. À ces qualités s’ajoutent une vitesse de pointe de 80 km/h, une ligne harmonieuse, une finition parfaite avec un souci du moindre détail et un prix de vente très attractif. Il n’en faut pas plus pour accrocher le public, enthousiasmé par un véhicule qui se démarque de la concurrence et qui plus est, reçoit les éloges de la presse spécialisée. Ce succès commercial est appuyé par une première victoire en compétition acquise à la fin de 1921 par Robert Sénéchal en personne, qui s’impose à la course de côte de Gaillon à la moyenne de 86 km/h. 



 Contraint de remplacer à la dernière minute un pilote défaillant, Robert Sénéchal se découvre alors une véritable passion pour la vitesse et la compétition, et fait preuve d’un exceptionnel talent de pilote. Ces récents succès en compétition se traduisent par une recrudescence dans les ventes des véhicules, le public étant charmé par les performances du cyclecar. Grâce à cet apport financier, Sénéchal sort en 1922 les Types B4, B5S, BM, BMS (BM sport) et BMGS (BM grand sport). Le dernier modèle étant destiné à une clientèle soucieuse de découvrir l'ivresse de la compétition en tant qu'amateur. Le moteur est toujours un monobloc Ruby mais d'une cylindrée de 1100 cm3 et qui peut atteindre 115 km/h. Visionnaire, Robert Sénéchal prévoit à cour terme la fin du cyclecar, trop spartiate et trop limité pour une utilisation familiale. 
 Le public recherche désormais un peu plus de confort et surtout des châssis carrossés en conduite intérieure, solution impossible pour un cyclecar du fait de la limite de poids. La voiturette Sénéchal arrive à point nommé et son prix de vente très étudié lui attire immédiatement la ferveur des automobilistes. Cette voiturette est aussitôt engagée en compétition et s'impose par un doublé au Grand Prix des voiturettes à Boulogne-sur-Mer, dans la catégorie des 500 kg. Par la suite, les victoires continuent de s'accumuler : Circuit des Routes Pavées, course de côte d’Argenteuil, course de côte de la Faucille, ponctuées par quelques places d’honneur comme la troisième place obtenue en 1925 sur le podium du Grand Prix de Belgique, et le record du monde des 24 heures de Spa de 1926 avec un seul pilote à bord dans la catégorie des 1100 cm3, une performance accomplie en ayant parcouru 1940,55 kilomètres, à 80 km/h de moyenne. 
 Des frêles cyclecars de ses débuts, il est passé aux véritables voitures de course qui atteignent parfois une vitesse incroyable pour l'époque de 200 km/h. Une mutation qui lui a ouvert les yeux sur la condition de pilote et lui a donné l’idée de créer, en 1925, l’"Amicale des Coureurs Automobiles de France", dénommée ultérieurement "Amicale des Coureurs Automobiles de Vitesse de France", chargée de défendre les intérêts des pilotes. Après un accident survenu en 1931, Robert Sénéchal tombe sous le charme d'un avion de tourisme qu'il achète aussitôt. 
 C'est ainsi que se termine sa carrière de pilote après un palmarès très impressionnant. Il crée une agence de publicité aérienne avant de devenir photographe aérien. En septembre 1939, il est mobilisé pour la seconde fois et, à l’âge de 47 ans, s’engage comme pilote de chasse. Il décrochera après le conflit sans avoir abîmé un seul avion, et il s'installera avec sa femme à Saint-Ay pour y ouvrir un commerce dans le domaine de l'alimentation.
 I l y mourra le 30 juillet 1985 à l'âge respectable de 93 ans, après avoir vécu une vie très bien remplie.
Source : antiqbrocdelatour.com/ MH

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mercredi 7 mai 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Epoqu’Auto 2025 : voici le programme du Salon dédié aux anciennes et youngtimers...

 

Dates, affiches, plateaux, tarifs… voici le menu du Salon Epoqu’Auto 2025 qui se tiendra à Lyon du 7 au 9 novembre prochains. De la Citroën DS aux supercars des années 1990 en passant par les voitures de pompiers et les microcars, il y en aura pour tous les goûts. 
En 2024, les organisateurs du Salon Epoqu’Auto s’étaient risqués à faire grandir l’événement, un pari qui s’était révélé payant puisque les 109 000 visiteurs accueillis leur avaient permis de dépasser leurs objectifs. C’est donc de nouveau à travers six halls du palais Eurexpo et Lyon et 88 000 m² que la grand-messe automnale des autos et motos anciennes fera son retour du 7 au 9 novembre 2025. Des nouveautés sont annoncées. L’affiche et les thèmes de la prochaine édition viennent d’être dévoilés. DS, 205 T16 et supercars à l’honneur.
 Après Rétromobile en début d’année, les festivités du 70è anniversaire de la Citroën DS se poursuivront à Epoqu’Auto avec un plateau dédié. La Peugeot 205 Turbo 16 sera mise à l’honneur sur le plateau Rallye avec pas moins de cinq exemplaires exposés pour les 40 ans de son premier titre en WRC, un thème dans la continuité après la rétrospective consacrée à Guy Fréquelin (Citroën Sport) en 2024.
 Le plateau Youngtimers, dédié aux japonaises l’an dernier, fera la part belle aux supercars et accueillera notamment une Bugatti EB110. Opel, Ligier et BBM figureront aussi parmi les marques stars. Une collection issue du Musée des Sapeurs-Pompiers de Lyon aura son plateau, avec en vedette une Delaunay-Belleville MF6 de 1923 convertie en véhicule d’intervention. C’est elle qui figure sur l’affiche du Salon. L’établissement des soldats du feu n’est pas le seul musée à contribuer. 
Des véhicules issus du Musée National de l’Automobile de Mulhouse, du Coligny Car Museum, , de la Fondation des Automobiles Berliet et du Musée Henri Malartre de Rochetaillée sont également annoncés, sans oublier une Citroën DS PLR « Milles-Pattes » de L’Aventure Michelin. Epoqu’Auto 2025 : les plateaux Un véhicule en rapport avec chacun des plateaux sera exposé dans le hall d’accueil Place des Lumières. Voici les plateaux annoncés : Collection musée Sapeurs-Pompiers de Lyon Youngtimers : Les Supercars exclusives L’aventure des marques Lyonnaises 205 Turbo 16 - La reine des rallyes Ligier Les 70 ans de la Citroën DS Opel Autodiva : BBM un génie Français des années 70 Fondation Berliet : Les énergies alternatives Utilitaires : La Libération de 1945 Moto : Microcars, Fantic, Histoire des circuits en France Epoqu'Auto 2025 : dates et tarifs.
 Une nocturne inédite permettra de déambuler dans les allées du Salon jusqu’à 22 h le vendredi 7 novembre. 
Par ailleurs, le calendrier des ventes aux enchères a été réorganisé comme suit : motos : vendredi 7 novembre à 18 h autos youngtimers : samedi 8 novembre à 14 h autos anciennes : dimanche 9 novembre à 14 h Le parking sera gratuit pour les motos et les véhicules de plus de 30 ans. Il sera autrement facturé à l’heure avec un plafonnement à 11,50 € pour la journée. 
L’accès au Salon à la journée coûtera 18 € en plein tarif, ou 14 € pour les étudiants jusqu’à 25 ans ainsi que les titulaires d’une carte d’invalidité. Il sera gratuit pour les enfants de moins de 12 ans. Un billet adulte à prix réduit sera proposé en ligne au prix de 16 €. Pour la première fois, un billet pour deux jours sera disponible, au prix de 30 €. La billetterie ouvrira début juillet. 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - Sale temps pour un deux places sans capote !


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - QUAND LES DELAIS SONT TENUS PAR SON MECANO ....


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - CE N'EST PLUS DE LA COMPETITION AUTOMOBILE...C'EST DE LA HAUTE COUTURE ....


 

CLUB5A - MOTOS DE LÉGENDE - LES MOTOS-GUZZI 1929 SPORT ....

Depuis 1921 la marque italienne Moto-Guzzi est une des marques  rares de motos  italiennes qui a fait le nécessaire commercialement pour   devenir célèbre à l'étranger.  
 Dans les  années vingt un nombre important de machines intéressantes de course ont été développées  avec des moteurs OHC....

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - RM Sotheby’s vend le meilleur d’Alfa Romeo...

 

Lors de sa vente vedette de Pebble Beach mi-août, la maison d’enchères anglo-saxonne va disperser une grande collection de modèles de sport et de course de la firme milanaise. 
Si vous avez laissé passer votre chance d’acquérir, l’an dernier, l’une des Alfa Romeo parmi les plus emblématiques des années 1960-1970 lors de la vente de la collection du Suisse Gérald Bugnon par la maison Osenat, RM Sotheby’s vous offre une séance de rattrapage. Lors de sa vente événement organisée dans le cadre du concours d’élégance américain de Pebble Beach, mi-août prochain, la maison d’enchères va disperser une collection de 12 modèles des grandes heures de la firme d’Arèse. 
Le fleuron de cette collection surnommée «Quadrifolio» est sans conteste l’un des dix prototypes T33/2 existants encore. Il s’agit du châssis 015 connu pour avoir été la première voiture d’usine équipée du rare V8 2,5 litres. La T33/2 «Daytona» possède de sérieux états de service. 
Elle a couru sous la bannière officielle du département Autodelta en 1968 puis sous les couleurs du Team VDS en 1969. Des champions comme Lucien Bianchi, Mario Andretti et Nino Vaccarella l’ont piloté en compétition. Au milieu des années 1980, le Français Jean Chambault s’en était porté acquéreur en Angola. Elle est estimée entre 1,7 et 2 millions de dollars. La collection comprend également un exemplaire de la Giulia TZ1 de 1964. Portant le numéro de châssis 50061, cette Tubolare est la seule de la série à posséder un toit à double bosse. 
Son premier propriétaire était Dmitri Nabokov, fils du célèbre romancier. Sa devancière, la fameuse SZ à carrosserie Coda Tronca de 1961 figure également parmi les légendes de cette collection Alfa Romeo. On note également la présence de deux exemplaires du coupé GTA, une version de 1966 estimée entre 125 000 et 175 000 dollars et l’une des 40 exemplaires de la 1750 GTAm de 1970 produites par Autodelta. Celle de la vente a été délivrée neuve en Belgique. 
 Source : Sylvain Reisser-lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A – MOTO DE LÉGENDE - SOLEX 3800… FAN DES SIXTIES !!

Cette drôle de machine peu performante et instable est pourtant, avec le béret et la baguette de pain, le symbole de la France depuis son lancement en 1946. Après une période d’oubli où tout le monde lui préférait des cyclos ou scooters bien plus performants, il est de nouveau à la mode…
La bicyclette qui roule toute seule vient de l’imagination de deux hommes, Maurice Goudard et Marcel Mennesson, également créateurs de la marque Solex qui fabriquait dès 1905 des radiateurs centrifuges (qui équiperont les autobus Schneider P3 de la ligne Montmartre-Saint Germain des Prés, circulant à Paris à partir de 1911) et des carburateurs pour automobiles et motocyclettes de toutes sortes de renommée planétaire. En 1916, Marcel Menesson dépose un brevet pour l’étude d’un petit moteur de 38 cm3 qui a la particularité d’être installé au centre de la roue arrière. 
L’obtention d’un second brevet en 1919, lui permettra de finaliser un premier prototype de deux-roues composé d’un cadre réalisé en tube cintré, reliant la direction à la selle en passant par le pédalier. Projets qui ne connaitront aucune suite commerciale. Marcel Menesson devra attendre 1940, pour développer un tout nouveau prototype. Equipé d’un petit moteur de 38 cm3 à transmission par galet, il préfigure la mécanique du futur Solex. 
Monté sur la colonne de direction d’un vélo il est testé jusqu’en 1942, date à laquelle, le modèle arrive a terme. Environ 700 exemplaires de pré-série seront remis à des proches et au personnel de l’usine afin de tester le modèle en conditions réelles et ainsi apporter des évolutions jusqu’en 1946. 
Entre-temps, à l’été 1943, une nouvelle réglementation voit le jour permettant l’homologation de bicyclettes à moteurs d’une cylindrée maximale ne dépassant pas 50 cm3. L’ancêtre du cyclomoteur venait de naître et avec lui l’histoire du célèbre Velosolex. 

Source : Texte Jean-Marc Navarro / GAZOLINE-Jean-Yves BARLIER

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