vendredi 2 mai 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - PLUS LA MONTEE SERA RUDE ET PLUS LE PAYSAGE SERA JOLI....


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - MEME LES SCOOTERS SONT IMPOLIS ...DECIDEMENT IL N'Y A PLUS DE RESPECT !!


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - PRENEZ DES VITAMINES ET MANGEZ DES FRUITS...


 

CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - UNE MARQUE D'AUTOMOBILES BIEN FRANCAISE : LA MINERVE ...

 

Une très rare "La Minerve", marque bien française ayant construit des automobiles à Boulogne sur Seine, entre 1901 et 1906. De ses ateliers situés 30 rue du Point-du-jour, furent d'abord assemblées des voiturettes à moteurs De Dion Bouton, comme celle-ci, carrosserie double baquet, équipée d'un monocylindre de 4,5 cv (alésage/course 84x90) . 
 Des modèles à moteurs 2 et 4 cylindres apparurent vite, avec transmissions par arbre. Le modèle 6 CV fut diffusé en Angleterre sous la marque Vesta. L'ingénieur Bail acheta la société La Minerve en 1906, simplifiant le nom en "Minerve". Les moteurs sont alors d'origine maison et proposés pour tous usages, même en dehors de l'automobile. 
 Cette petite société à la diffusion limitée cessa ses activités à la fin de cette même année 1906. Ce châssis n°55 appartenant à F Cambier, ressortissant belge, semble être, sauf preuve du contraire, le seul exemplaire qui soit parvenu jusqu'à nous Photos prises au Classic Car Show de Bruxelles....

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - «J’avais une Porsche 993 cabriolet, mais ce n’était pas le même plaisir qu’avec la Peugeot 205»

 

DANS MON GARAGE - Chaque semaine, des automobilistes ou motards présentent leurs véhicules d’exception. Aujourd’hui, Stanislas, un habitant du Var nous parle de sa 205 restaurée, souvenir «d’une époque où tout le monde était heureux». La Peugeot 205 Gti 1.9 de 1986 n’est pas arrivée par hasard dans la vie de Stanislas, natif du Var, qui n’a jamais quitté sa région du haut de ses 46 ans. «Ce sont les premières voitures qui étaient sexy quand j’avais 5-6 ans. 
Elles ont accompagné mon enfance», raconte-t-il. Sans que ce soit une GTI, tout de même, c’est aussi avec une Peugeot 205 qu’il a appris à conduire et obtenu son permis il y a 27 ans. Bref, ce modèle a toujours été avec lui. C’était la voiture des premières fois, celle des premiers déplacements lointains, première virée avec les copains, premières boîtes de nuit. 
«En 1998, pendant la Coupe du Monde, on était avec les copains pour fêter la victoire, et elle était là à ce moment-là», prend-il comme exemple. Hélas, tragédie de l’histoire, il se fait voler cette voiture quelques années après. Il décide de racheter une voiture plus moderne. 
Mais il n’oublie jamais cette première auto. «Une époque où tout le monde était heureux» En 2022, Stanislas souhaite se replonger dans cette époque bénie et trouve une Peugeot 205 GTI noire à moquette rouge. Il l’a choisi pour son très faible kilométrage, seulement 76.000 km : une chance. En bonus, son allure élégante lui convient parfaitement. 
«J’ai bien aimé tout ce mouvement vintage mécanique», en œuvre depuis quelques années, «j’avais une Porsche 993 cabriolet, mais ce n’était pas du tout le même plaisir qu’avec la 205», raconte le quadragénaire. 
«La Porsche peut paraître agressive, alors que la 205 parle à tout le monde. C’est la perception qu’ont les gens de ces véhicules des années 80, une époque où tout le monde était heureux. 
Le plaisir de conduite est complètement différent, plus pratique, plus vivant, explique-t-il. Les gens sont bienveillants, adorables. Ils m’arrêtent et me racontent leur histoire : “C’était ça la meilleure voiture !’ 
Un jour, un type m’arrête et me dit : “Tu vois la banquette arrière ? 
C’est là-dessus que j’ai été conçu !”», abonde Stanislas. Et puis, la 205 GTI c’est une aventure, «ça me replonge dans une époque. Même quand j’écoute la musique, c’est comme une capsule spatiotemporelle». 
 Difficile de trouver un garagiste Mais tout n’est pas aussi facile que cela. Pour remettre la GTI en état de compétition, Stanislas a dû quelque peu ramer. «L’entretien d’une voiture de collection n’est pas toujours simple. 
Une GTI pour des garagistes modernes, ça les embête. La concession Peugeot m’a d’ailleurs fait comprendre d’aller voir ailleurs». Heureusement, Stanislas a trouvé une perle pas loin de chez lui, «un vrai garagiste, comme on en voit à la télé».«D’ailleurs il aime bien ma voiture, mais il ne veut pas que ça se sache qu’il répare de vieilles voitures, cela lui ferait trop de boulot. 
Il faut savoir que pour un garagiste, les heures de boulots passé sur une voiture ancienne ne sont pas forcément rentables. Changer les plaquettes de frein, c’est facile, mais un joint de culasse, c’est 10 ou 15 heures de travail», explique Stanislas. Cette difficulté résolue, Stanislas a remis à neuf sa voiture, «en état de compétition», mais sans jamais en pratiquer. Un usage plaisir avant tout, lui permet de «transformer une corvée du quotidien en loisir. 


Un “mince, j’ai oublié le pain” devient un “super, je vais pouvoir utiliser ma GTI”». On trouvera toujours un bon prétexte pour rouler en 205. 
 Source : Clément Gros-lefigaro.fr-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - Fiat 124 Coupe Première Série (Type AC) entre sportivité et élégance...

 

La Fiat 124 Coupe type AC, première série de la gamme, est lancée au Salon de Genève en 1967, un an après la berline 124. Elle est le fruit du Centro Stile Fiat, dirigé par Mario Boano. Elle se distingue nettement du Spider, dessiné par Pininfarina, tant par sa conception que par sa philosophie. Ce coupé se veut une synthèse entre sportivité et élégance, avec une ligne racée et des solutions techniques avancées pour l’époque. Sa philosophie est souvent comparée à celle de la Lancia Fulvia Coupé apparue deux ans plus tôt … Caractéristiques Techniques Détaillées 4 cylindres Lampredi en ligne, 1 438 cm³, double arbre à cames en tête (DOHC), 8 soupapes Alimentation par carburateur Weber 34 DHS 10 double corps Puissance : 90 ch à 6 500 tr/min Couple : 108 Nm à 4 000 tr/min Régime maximal : 7 300 tr/min Boîte manuelle 5 rapports (optionnelle), propulsion Vitesse maximale : 170 km/h 0-100 km/h : 12,5 s Poids : 960 kg Rapport poids/puissance : 10,7 kg/ch Châssis et Comportement.
 La plateforme est dérivée de la berline, mais avec des voies élargies pour le style et la tenue de route Les suspensions avant sont indépendantes à bras transversaux superposés, ressorts hélicoïdaux, amortisseurs télescopiques, barre antiroulis. Le train arrière est rigide, ressorts hélicoïdaux, barre Panhard (à partir de 1968), barre antiroulis transversale Des freins à disques équipent les quatre roues (rare à l’époque dans cette catégorie) Direction à vis et galet, pneus 165/80 R13 Design et vie à bord de la Fiat 124 Coupe AC Laigne très pure, fluide, élégante et sportive, signée Centro Stile Fiat, reconnaissable à ses phares ronds et sa silhouette élancée. Elle conserve des ailes avant bien marquées, peut être en référence aux routières Ferrari et Maserati du début des années 60. 
 L’habitacle est spacieux pour un coupé, avec quatre vraies places, sièges enveloppants et instrumentation complète (nombreux compteurs, volant sport à trous). L’ensemble est très lumineux. les finitions sont qualitatives pour l’époque, avec des inserts façon bois sur la planche de bord, les aérateurs centraux et un rétroviseur jour/nuit. Le coffre est relativement vaste pour la catégorie. Chiffres de production : 113 000 exemplaires produits pour la première série AC (1967-1969), sur un total de près de 300 000 pour toutes les générations de 124 Coupé. Elle obtient un succès immédiat grâce à son rapport prix/équipement/performance imbattable. 
 La Fiat 124 coupe en mode Collection : Aujourd’hui, la première série est rare, car beaucoup d’exemplaires ont été utilisés au quotidien, la voiture étant jugée « commune » à l’époque, ce qui a limité la préservation des modèles en bon état. Des anecdotes et des points marquants Le moteur 1.4 L à double arbre à cames a été conçu par Aurelio Lampredi, ancien ingénieur Ferrari, et ce bloc servira de base à de nombreux modèles sportifs de la galaxie Fiat, dont la Lancia Delta Integrale et de nombreuses Alfa Romeo. La 124 Coupé AC était l’une des rares voitures de sa catégorie à proposer une boîte 5 vitesses dès 1967, alors que la plupart des concurrentes se contentaient de 4 rapports. Malgré son succès, la Fiat 124 Coupé a longtemps souffert d’une image de voiture « banale » en Italie, car elle était abordable et très diffusée, mais pas forcément bien entretenue, ce qui a contribué à sa relative rareté aujourd’hui en collection. 
 La version américaine se distingue par de petits feux de position supplémentaires pour répondre aux normes locales. La Fiat 124 Coupé a inspiré la Seat 124 Sport Coupé, produite sous licence en Espagne, preuve de son influence au-delà de l’Italie. Le comportement routier est jugé neutre et plaisant, avec une tenue de route saine, bien aidée par les deux barres antiroulis et la barre Panhard à partir de 1968. L’intérieur, avec ses places arrière réellement utilisables, permettait d’emmener la belle-mère, un argument souvent cité dans les essais d’époque pour vanter sa polyvalence ! La Fiat 124 coupe aujourd’hui On ne s’étendra pas sur le sujet de la corrosion, évident pour toute la production automobile des années 50 et 60. 
Le moteur double arbre à cames Lampredi est robuste, mais la courroie de distribution nécessite un remplacement tous les 50 000 km pour éviter tout risque. Outre la courroie, le moteur nécessite une vidange tous les 5.000 km et un réglage régulier de l’allumage et de la carburation (surtout avec le carburateur Weber), pour garantir un fonctionnement optimal. Les pièces spécifiques à la première série (éléments de carrosserie, garnitures, accessoires) deviennent rares et coûteuses à trouver, ce qui peut compliquer et alourdir le coût d’une restauration ou de l’entretien courant. 


 En terme de cote, c’est une voiture pour lesquelles les transactions se situent pour l’essentiel en dessous de 15.000 euros. Evidemment, des véhicules intégralement restaurés (professionnellement) pourront s’approcher des 30.000 euros. Héritage de la Fiat 124 Coupe La Fiat 124 Coupé AC reste aujourd’hui un modèle emblématique du renouveau Fiat des années 60, alliant modernité mécanique, élégance italienne et accessibilité. Elle est recherchée pour la pureté de son style et la noblesse de sa mécanique, mais demeure difficile à trouver en bon état, conséquence de son succès populaire et de son usage intensif à l’époque. 
Source : autocollec.com

CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES MOTO - LES MOTOS OSSA ...LE SPÉCIALISTE DE LA MOTO TOUT-TERRAIN !!


Ossa est un constructeur espagnol de motocyclettes. Fondée en 1924 à Barcelone, l'entreprise a d’abord fabriqué des projecteurs de cinéma pour le marché intérieur ibérique, avant de se lancer dans la production de motocyclettes à moteurs deux-temps après la 2e guerre mondiale. 
 Impliquée dans toutes les disciplines, la firme a véritablement été traumatisée par le décès de son champion Santiago Herrero et ne s’est ensuite plus consacrée qu’au tout-terrain. Et plus particulièrement au trial avec comme ambassadeur le célèbre Mick Andrews, vainqueur de 2 titres mondiaux en 1971 et 1972.
 Ossa participait en motocross et enduro, principalement en petites et moyennes cylindrées : 125, 175 et 250 cm3. Ossa a commencé à décliner dès la fin du franquisme, victime de l’ouverture du marché espagnol et d’une grève dure de son personnel en 1977. Une fusion avec Bultaco 2 ans plus tard n’y a rien fait : l’usine a dû fermer ses portes en 1982. 

 Un racheteur remet OSSA sur pieds et la marque devrait présenter de nouveaux modèles à la vente en 2010. Elle présentera le 10 novembre 2009, au salon EICMA de Milan, une toute nouvelle moto de trial baptisée TRI 280. La gamme était surtout présente en tout-terrain : motocross et enduro, principalement en petites et moyennes cylindrées : 125, 175 et 250 cm3. 
De 1968 à 1970 Ossa s'aligna dans la cour des grands, en Championnat du Monde de Vitesse: La moto était un monocylindre 250 2Temps ,à distributeur rotatif, qui souffrait d'un déficit de puissance face à la Yamaha 4cylindres de Phil Read (La FIM imposera ensuite une imitation aux nombres de cylindres pour cette catégorie afin de rapprocher le domaine de la course des motos vendues au grand public)
Toutefois elle était également 20 kilos plus légère grâce à un cadre coque révolutionnaire, dotée d'un maître couple minimum, aérodynamiquement favorable, et pilotée par un cavalier aussi talentueux que téméraire, l'espagnol Santiago Herrero qui la mena à plusieurs occasions à la victoire (finissant 3° au Championnat du Monde 1969). 
Herrero se tua lors de l'édition 1970 du Tourist Trophy alors qu'il était en 3°position et revenait très fort après une première chute. En signe de deuil l'écurie Ossa se retira de la compétition, bien que plusieurs pilotes de renom aient sollicité de reprendre le guidon de la petite 250 de GP espagnole. Un pilote de renom français a piloté une Ossa, 
Jacky Vernier, multiple champion de France en moto-cross et Enduro (+ Le Touquet). Une Ossa de compétition, l'Ossa SPQ (Seurat Piron Queyrel), fut produite par l'importateur de la marque en France aux années 1960/70. 
Avec un poids de 86 kg cette Ossa modifiée était bien plus légère que les modèles de route originaux produits à Barcelone (120 kg environ). Son moteur Short track, l'un des plus puissants moteurs en 250 de l'époque, donnait 35 chevaux à 7 500 tr/min. 
Les OSSA SPQ excellaient en course de côte et dans la catégorie "sport/criterium" dans les années 1970, mais elles étaient dépassées en catégorie de courses de vitesse motocyclistes sur circuit autant au niveau national qu'international par les Yamaha TD2/3 et puis les Yamaha TZ1. Marcel Seurat, patron de la SIMA qui importait les motos Ossa, a construit également un moto de course équipée du moteur 500 cm3 bicylindre de la Yankee; cette moto n'a été construite qu'à deux exemplaires. Un seul subsiste, l'autre ayant été détruit en course.
Source : Juan Carlos Caño Berlanga-motorrazz - WKPDIA/CC-BY-SA-3.0

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jeudi 1 mai 2025

CLUB5A - SOIREE CARITAVIVE ET RASSEMBLEMENT DE VEHICULES DE COLLECTION A CAZILHAC LE 29 MARS 2025....

 

Le Lions Club a organisé un dîner festif et solidaire le 29 mars 2025, un geste de plus dans la lutte contre le cancer pédiatrique ! Cette soirée organisée par le Lions Club La Cité de Carcassonne visait à faire progresser la bataille contre le cancer, en particulier celui touchant les enfants. 

 Nous avions prévu de nous retrouver à 14h30 sur le parking de la salle polyvalente de Cazilhac pour commencer cette soirée dédiée au DISCO et à la danse. 
Toutefois, le but véritable, en dépit des diverses distractions organisées et du repas offert aux nombreux convives présents lors de cet événement, était de récolter des fonds pour la recherche. 



Vu l'affluence, il est fort probable que cet objectif a été atteint. 
Le club des 5A était présent avec une délégation de passionnés de véhicules anciens, ayant répondu à l'invitation du Lions Club en présentant une dizaine de voitures.
Photos et texte : PL

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - BERNARD ET BERNARD EN PLEINE DISCUSSION...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - IL EST IMPORTANT DE CONSERVER LES FACTURES POUR LA REVENTE DE VOTRE VOITURE....


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - RECYCLEZ VOS PIECES MECANIQUES ET ASSEYEZ-VOUS SUR VOTRE ARBRE A CAMES ...


 

CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES - LES AUTOMOBILES ASTER ...C'EST SURTOUT UNE PRODUCTION DE MOTEURS.....

 

Le nom Aster (étoile, en grec) est surtout synonyme de moteurs dans le milieu automobile des années 1900. Avec De Dion Bouton, c’est le principal fournisseur pour de dizaines de marques, dont Renault, Rochet Schneider, Darracq, Gladiator, Argyll, Clement, Dennis, Singer, Swift et bien d’autres. Des pièces détachées et des châssis étaient aussi parfois fournis. La société des « Ateliers de Construction Mécanique l’Aster » a été fondée le 26 septembre 1898 à Saint Denis.
 De ses ateliers du 11 rue des Chaumettes vont naitre de moteurs fiables et modernes, pour autos mais aussi pour bateaux, comme s’était souvent le cas à l’époque. Les moteurs Aster se singularisent par la grande qualité de leur refroidissement, même comparés aux blocs De Dion Bouton. La construction de voitures complètes n’entrait donc pas dans les domaines d’activités de la marque, bien que l’on ait pu voir un quadricycle à moteur monocylindre (Aster, bien sûr !) au salon de Paris 1900. Bien que principalement connu comme fabricant de moteurs de masse, l'entreprise a également produit des châssis pour les carrosseries et une gamme complète de composants. 
D’autre part une Aster 12 HP a été présentée au Crystal Palace Motor Show de 1903 et une gamme de voitures Aster a été vendue en Grande-Bretagne entre 1905 et 1907 par l'Aster Engineering Co. Ses ateliers étaient situés à Wembley. Certaines sources avancent qu’il s’agirait de châssis Ariès à moteur Aster. Des Aster auraient également été construites par Whitlock à Londres et West à Coventry. Notons encore qu’en Italie, l'Aster Società Italiana Motori a construit sous licence des voitures et des moteurs de 1906 à 1908 Aster ferma ses portes en 1910, sachant qu’il exista des Aster anglaises fabriquées à Londres entre 1922 et 1927, sans rapport directe avec les usines de Saint Denis. Photos prises au salon Epoqu’Auto de Lyon, en novembre 2022. 
Source : Les Ancêtromobilistes-Thierry Gil

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - « Les enfants n’étaient pas intéressés par les Lamborghini » : Christophe ne roule qu’en Land Rover Defender depuis 22 ans...

 

DANS MON GARAGE - Chaque semaine, des automobilistes ou motards présentent au Figaro leurs véhicules d’exception. Aujourd’hui, Christophe, ingénieur de 56 ans, nous parle de son Land Rover entretenu avec soin malgré les problèmes liés à la détérioration de la carrosserie et aux contraintes écologiques. Quoi de mieux pour un passionné d’automobile de consacrer son temps libre à maintenir un véhicule en bon état. C’est la passion de Christophe qui voue beaucoup d’affection à son Land Rover Defender. «Un modèle de 2000, court, aménagé, haut de gamme, avec 7 places dont 4 places en face-à-face, à l’arrière. Elle est verte anglaise, très chic», décrit cet ingénieur dans le domaine spatial expatrié en Allemagne. Le lien entre lui et la marque Land Rover se fait en 1993. 
Il découvre le modèle Defender à São Tomé-et-Principe, deux petites îles au large du Congo, dans lesquelles il fait son service militaire. Cette expérience au volant va marquer durablement l’ingénieur, qui passera la moitié de sa vie à l’étranger. Après un retour en France, il décide, dix ans plus tard, en mémoire de ces bons souvenirs, de racheter le Land Rover Defender de son beau-père. Début de l’histoire. Soucis de carrosserie Depuis 22 ans, Christophe vit donc avec ce beau véhicule tout-terrain, sans que ce ne soit de tout repos. Le Defender n’est pas réputé pour sa fiabilité à toute épreuve, et son propriétaire le reconnaît volontiers. «Il commence à avoir quelques problèmes de carrosserie, avoue-t-il. 
Les modèles sont en aluminium, censés ne pas rouiller, mais les pièces en acier comme les charnières de portes s’abîment, et sont assez fragiles. C’est un challenge car l’eau s’infiltre souvent dans la voiture», ajoute l’ingénieur. Il résume l’entretien exigeant de la Land Rover par cette phrase : «Garder l’huile à l’intérieur et l’eau à l’extérieur». Mais Christophe s’acharne à la garder en l’état et ça lui plaît. «J’ai des petits garagistes passionnés avec qui je travaille en Allemagne pour la maintenance. Et j’ai fait des études de mécanique, ce qui aide», euphémise-t-il. 
C’est un certain charme. «De plus en plus, j’apprends moi-même à faire des choses. Les bas de portières rouillés, je les change. L’avantage du Land Rover, c’est sa technologie qui a plus de 50 ans, donc tout est faisable en termes d’entretien». Et les trésors d’internet aident également. «Il y a un type, “Britannica Restorations Ltd’’ sur Youtube, qui fait un nombre incalculable de tutos très utiles». Des contraintes et une reconnaissance qui attire les regards Une fois les mains hors du moteur le quinquagénaire fluctue entre les contraintes de notre temps peu favorable à ce type de véhicules et la reconnaissance d’un modèle qui attire toujours les regards. 
«Quand j’étais jeune, j’avais l’occasion de faire du franchissement (conduire sur des zones en pleines natures, NDLR). C’était assez facile de pouvoir l’utiliser pour partir off-road», raconte Christophe. Désormais en Allemagne, il faut s’inscrire dans un club, pour être autorisé à conduire hors des routes. À tel point que le passionné se retrouve un peu frustré. «Je roule surtout sur l’autoroute, alors que la voiture est faite pour la piste...» «Mon nouveau souci, ce sont les ZFE en Allemagne qui n’acceptent plus ma voiture dans les centres-villes. En théorie, je ne peux pas y rouler, mais en pratique, ils ne font pas de verbalisation. C’est paradoxal : elle était Euro 3, la norme en 2002. 
D’un point de vue écologique, elle était donc correcte à l’époque», explique Christophe. Une véritable attraction Il n’y a pas que des contraintes... Le Defender conserve un charme indéniable qui séduit bien au-delà des passionnés d’automobile. «À l’école française en Allemagne, il y a beaucoup d’expatriés banquiers avec de très belles voitures. Mais les enfants n’étaient pas intéressés par les Lamborghini ou les Porsche , ils venaient sur mon Land Rover. Avec sa petite échelle, c’était une véritable attraction sur le parking», rapporte l’ingénieur. Il reste un attachement profond que Christophe entretient avec son véhicule. Son idée est de la bichonner encore pendant 5 ans. Le véhicule aura 30 ans, et sera donc une voiture de collection. 
«Cela correspondra au moment où je rentrerai en France, au bord de la mer », projette-t-il. Mais attention, «si l’Allemagne est très tolérante, et aime bien les voitures comme la mienne. En France, je ne sais pas trop. J’ai peur qu’on me dégonfle les pneus dans la rue», conclut Christophe.  
Source : LeFigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - LA GOLF...LE NOUVEAU CHIC !!

L’histoire de l’automobile s’est écrite avec celle des crises des XXe et XXIe siècles. Le premier choc pétrolier au début des années 1970 met un terme à l’énergie bon marché. Et la Golf, qui permet d’afficher sa réussite sans (trop) frimer, devient l’alternative aux voitures puissantes et trop gourmandes. La guerre du Kippour, en 1973, ne déclenche pas seulement le premier choc pétrolier. 
Cette crise, qui met un terme à trois décennies d’énergie bon marché et de croissance ininterrompue, sonne le glas du « toujours plus » automobile. Contrairement à l’épisode Suez, dix-sept ans plus tôt, il ne s’agit pas d’un coup de tonnerre isolé. Le prix du baril passe en quelques semaines de 4 à 13 dollars et se stabilise à un niveau historiquement élevé, mettant à rude épreuve l’industrie automobile. Aux Etats-Unis, où les firmes japonaises sont à l’offensive, apparaissent les premières réglementations CAFE (Corporate Average Fuel Efficiency), qui attribuent des objectifs de consommation à chaque marque. 
En Europe, l’inflation du prix à la pompe déstabilise moins les constructeurs, traditionnellement versés dans la mise au point de voitures compactes et « efficientes », comme la Renault 5, la Fiat 127, la Peugeot 104 ou encore la nouvelle Volkswagen Golf. Cette dernière répond au cahier des charges de ces temps nouveaux, mais elle a quelque chose que les autres n’ont pas. Apparue en 1974, la Golf doit relever un lourd défi : succéder à la Coccinelle. Elle s’en éloigne résolument, adoptant un quatre-cylindres classique placé à l’avant plutôt qu’un boxer et ses cylindres à plat installé à l’arrière. 
Le style extérieur a été confié au designer turinois Giorgetto Giugiaro. Ses lignes sont nettes et équilibrées, avec des éléments de carrosserie impeccablement assemblés. L’intérieur n’est pas un modèle de fantaisie, mais il a été conçu avec la même rigueur. La nouvelle Volkswagen sait se démultiplier. En 1976, elle lance un ballon d’essai qui va rencontrer un énorme succès. La version GTI développe 115 ch, mais son poids plume en fait une bombinette comme on les adore dans les années 1980. La Golf, qui propose un éventail de moteurs peu commun, est aussi disponible en diesel. 
On peut également s’en remettre à un break ou à un joli cabriolet. Un taux de fidélité à faire pâlir d’envie Outre que son catalogue est richement doté (et porte haut les couleurs de la deutsche qualität), la Golf colle parfaitement à l’évolution des mentalités. Le renchérissement du prix du litre de super bat en brèche l’idée selon laquelle il n’est point de salut hors des voitures grosses et puissantes. Le statut social devient de moins en moins lié à la possession d’un véhicule supposé refléter une hiérarchie. 
Dans ce contexte, la nouvelle « voiture du peuple » veut refléter l’expression d’un certain bon goût, accompagnant subtilement l’ascension sociale – le jeune cadre dynamique rêve d’une Golf noire – d’une clientèle qui, depuis quarante-six ans, présente un profil plus aisé, plus jeune, plus diplômé et plus féminin que la moyenne. Plus chère que ses concurrentes, elle affiche aussi un taux de fidélité à les faire pâlir d’envie. A une époque où la voiture est largement désacralisée, rouler en Golf traduit une sorte de snobisme à rebours.
Etre moderne, c’est aimer l’automobile sans trop le montrer, sacrifier au chic en restant discret, afficher sa réussite sans frimer. Cette subtile équation a permis à la maison de Wolfsburg de produire 35 millions d’unités depuis 1974. Tout en développant une politique de plate-forme consistant à mettre à disposition la base technique de ce best-seller pour concevoir des Seat ou des Skoda sans trop redouter la concurrence ainsi créée. 
 Dans une civilisation où l’automobile n’est plus triomphante et où les ménages entendent lui consacrer une moindre part de leurs revenus, la Golf a su trouver les arguments pour épouser le rapport à l’automobile qui se dessine à partir du milieu des années 1970. 
 
Source : Jean-Michel Normand-lemonde.fr - Les crises dans le rétro-Car TV

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