ASSOCIATION AUDOISE DES AMATEURS D'AUTOMOBILES ANCIENNES BP 563 11009 CARCASSONNE CEDEX
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L'entretien d'une auto est le deuxième poste de dépense des Français, juste après le logement. Alors, certains tentent de réduire la facture en faisant appel à des garagistes au black, un business en plein boom.
Quels risques prend t-on ?
un reporter de M6, avec sa voiture, s'est aventuré dans le monde de la réparation au noir.
Un film retraçant l'histoire du design a travers les années 70.
De même que la mode, l'architecture ou le mobilier, il existe un modèle Renault représentatif de chaque époque, et chacun personnifie une certaine idée de chacune de ces cinq décennies. Illustrés d'images d'archives exceptionnelles et de nouvelles images exclusives, ces documentaires font également intervenir des experts du sujet: l'anglais Stephen Bayley et le français Pascal Montfort. Et alors que ces deux derniers débattent des interactions entre design et société, les voitures Renault sont poussées dans la lumière pour un examen du meilleur du design français en matière de voitures.
Sortie Moto du 1er décembre 2024
Comme à chaque fin d’année, cette sortie motos était très prisée et très attendue puisque c’était la sortie « cassoulet ».
Organisés de main de maître par nos organisateurs Alain FUMANAL et Régis PERICH pour l’accueil, comme nous en avons maintenant l’habitude.
Cette journée a débuté avec une température très fraîche le matin et ensoleillée pour le reste de la journée, excellent pour un mois de décembre et aussi pour mettre en place une sortie moto…
Comme d’habitude, un très beau circuit avait été organisé et les motards pouvaient lors de cet itinéraire traverser de jolis villages de l’Aude.
Arrêt et pause-café habituel et traditionnel sur l’itinéraire programmé avec un casse-croûte organisé sur une aire de repos, merci aux organisateurs pour la restauration très appropriée qui a permis de restaurer ce petit monde à mi-parcours.
Les 40 motards étaient présents et habitués à ces sorties motos, qui ont lieu une fois par mois. Nos passionnés du guidon étaient au rendez-vous pour effectuer ce tracé à travers notre jolie région.
Quelques arrêts pour attendre les copains et encore discuter motos, et comme vous vous en doutez, la matinée s'est passée à une vitesse folle…
En fin de matinée, ce fut l'arrivée pour découvrir une très belle table et ce fameux cassoulet traditionnel et délicieux que le restaurateur (Chez Nico au bar des halles) a servi chaud à souhait.
Notre ami François Nouvel en a profité pour souffler ses bougies à l’occasion de son anniversaire. (Bon anniversaire, François !)
N’oublions pas que la coutume de notre beau pays est de finir l’année ensemble entre « potes », car encore une fois, cette année a été riche en événements et intense pour tous les organisateurs, et aussi afin de satisfaire (enfin nous l’espérons) le plus grand nombre de passionnés et de faire vivre notre association.
Mais l’année n’est pas encore terminée, car dimanche 15 décembre, la Ronde de Noël clôturera définitivement l’année et nous comptons sur la présence des motards !
Merci à Olivier et sa voiture « balaie » qui nous a assistés toute la matinée !
Merci encore à tous ceux qui ont œuvré pour le plaisir de tous et qui ont permis à ce que cette journée soit une réussite.
À l’année prochaine pour de nouvelles balades avec la section motos du club 5A…
Texte :Alain Fumanal –Photos : Régis Périch et Alain Fumanal.
Petite précision : la deuxième partie de l'édition 2024 du rallye de « Challenge la Boussole » a été organisée par Didier Saint-Georges avec le soutien des bénévoles du club 5 A Carcassonne…
Source : G-J - L'INDEPENDANT - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...
Selon une étude réalisée par l’institut Odoxa pour BMW, l’automobile n’a rien perdu de son pouvoir d’attraction.
C’est un phénomène bien français: l’automobile, on adore la détester. Mais à la fin, on ne peut pas s’en passer. C’est ce que révèle une étude réalisée par l’institut Odoxa pour le constructeur allemand BMW auprès de 3 000 personnes représentatives de tous les territoires. Loin des clichés, des idées reçues et des gesticulations de quelques politiques assoiffés de pouvoir, les Français réaffirment leur attachement à la bagnole.
L’étude montre ceci d’intéressant que les Français ne sont pas égaux face à la mobilité.
À la campagne où l’offre de transport en commun est quasiment inexistante, la voiture n’est pas un luxe mais une nécessité. C’est bien pour cela que le 80 km/h sur les routes, la hausse des carburants au nom de la transition écologique et la stigmatisation du diesel alors qu’il rejette comparativement moins de CO2 que son homologue à essence n’ont fait qu’accroître l’exaspération des Français et creuser le fossé avec une élite décidément déconnectée des préoccupations des citoyens. Georges Pompidou, le dernier président de la Ve République à défendre l’automobile et à comprendre le rapport que la population française entretient avec ce mode de déplacement, avait raison lorsqu’il disait qu’il fallait arrêter d’emmerder les Français. La mobilité, qui est un droit, est l’un des principaux sujets de crispation. On connaît la suite. Le mouvement des Gilets jaunes s’est construit sur ce terreau.
Malgré la diversité des modes de transports et des moyens de mobilités mis à la disposition des Français, 47 % d’entre eux continuent d’utiliser leur voiture tous les jours. Sa baisse est surtout spectaculaire dans l’agglomération parisienne où les pouvoirs publics multiplient les initiatives pour réduire sa présence, voire la supprimer, mais dans les autres grandes villes et d’une manière générale en province, elle reste le moyen de déplacement numéro 1. C’est l’un des enseignements de cette étude, contrairement à ce que l’on voudrait nous faire croire, les Français sont attachés à la complémentarité des moyens de transport. Il n’y a que les édiles les plus radicaux et les Khmers verts pour opposer les mobilités entre elles. La vérité oblige à admettre que beaucoup de Français cumulent les modes de déplacement pour se déplacer quotidiennement. Voiture puis train ou métro, train puis vélo ou trottinette électrique, marche et vélo ou bus: la multimodalité est vécue comme un atout pour optimiser les temps de transport.
L’étude révèle que 28 % des Français - le double en région parisienne - utilisent plusieurs moyens de transport distincts pour leurs trajets domicile-bureau. Ils passent en moyenne 48 minutes par jour dans les transports pour aller travailler; 43 minutes en zone rurale et 60 minutes en région parisienne. Au-delà d’une heure 10 minutes aller-retour par jour, l’expérience est mal vécue.
Malgré l’avènement de nouvelles mobilités, les modes de transports traditionnels ne font pas l’objet d’un rejet. Au contraire, l’étude montre que la voiture reste, de loin, le mode de transport le plus utilisé et le plus apprécié. L’automobile est considérée comme le moyen de transport le plus fiable, le plus sûr et le plus pratique. Pour 88 % des personnes interrogées, la voiture reste associée à la notion de liberté, et pour 71 % d’entre eux, c’est aussi un plaisir. La voiture est considérée comme beaucoup moins stressante que les transports en commun - le métro pointe en tête -, ce qui peut se comprendre dans le contexte de la crise du coronavirus.
Les Français rechignent à emprunter les transports en commun. Outre les incivilités et leur faible fiabilité, ils pointent du doigt l’insécurité liée au non-respect de la distanciation sociale. La conduite d’une automobile n’aurait ainsi rien de la corvée que certains dépeignent. Raison pour laquelle, 86 % des Français estiment encore qu’il est «important» de posséder sa propre voiture.
La voiture arrive systématiquement première sur 4 des 5 critères jugés les plus importants par les Français: la sécurité, la durée du trajet, la facilité d’accès et la disponibilité. Le seul reproche que formulent les Français, c’est son coût jugé trop élevé. Les coûts d’usage (maintenance, entretien, essence, assurance) arrivent d’ailleurs devant le coût d’acquisition.
C’était quand la dernière fois que vous avez comparé un trajet en voiture à une aventure ?
Avec la nouvelle Morgan 3-wheeler, l’aventure recommence, retrouvez le fun et la passion qui manquent tant de nos jours !
Sautez à bord, asseyez-vous dans le « cockpit » revêtu de cuir, appuyez sur le bouton « start » et régalez vos oreilles avec le fabuleux bruit du grand « Vee-Twin ».
L’iconique Morgan 3-wheeler (3-roues) est de retour depuis 2012.
Remise au goût du jour, la formule de la 3-wheeler est toujours gagnante.
Avec un puissant moteur SS V2 refroidi par air de 1976 cm3, connecté à une boîte Mazda 5-vitesses (et marche-arrière), et une voie avant très large, la nouvelle 3-wheeler est aussi simple que ludique à conduire, sourires garantis !
Certaines choses n’ont pas changé, chez Morgan, la forme de la nouvelle 3-wheeler rappelle l’originale Morgan Supersports 3-wheeler des années 30.
Avec sa coque simple en forme de balle de fusil, rien n’est superflu. Juste de la place pour le conducteur, son passager et un petit sac à l’arrière, autrement dit, l’essentiel pour l’aventure...
La Peugeot 404 est une automobile de la marque Peugeot produite à partir de mai 1960. Ce sera, en mai 1962, la première berline française de série (tout comme le premier coupé/cabriolet) équipée d'un moteur à injection.
La 404 a été retirée du catalogue français en octobre 1975, à l'exception de la camionnette qui fut commercialisée en France jusqu'en 1979. La production s'est prolongée pendant plusieurs années à l'étranger : les dernières 404 étaient des utilitaires assemblés en 1989 à l'usine de Mombassa (Kenya).
De 1960 à 1975, 2 885 377 exemplaires (toutes versions confondues) sont sortis des chaînes de montage.
Peugeot 404 a remporté le Safari Rally en 1963, 1966, 1967 et 1968, les trois derniers dans des variantes à injection de carburant Kugelfischer.
Si la 404 reste, à l'instar des précédentes Peugeot 203 et 403, une propulsion à essieu arrière rigide et levier de vitesse au volant, elle adopte désormais des ressorts de suspensions avant hélicoïdaux (ressorts en spirale) à la place du traditionnel ressort transversal à lames présent depuis la 201.
Le style élégant et rectiligne de la 404, dessiné par Pininfarina, s'oppose aux rondeurs de la massive 403, s'inspire de ceux des Austin A55 Cambridge/Morris Oxford et Fiat 1800/21003 de 1959, elles aussi dessinées par Pininfarina.
La carrosserie de la 404 intègre les derniers éléments de style en vogue aux États-Unis : le pare-brise panoramique (avec retour sur les côtés) et l'aileron arrière, tous deux traités avec une grande sobriété par le designer italien. Les vitres latérales sont encore planes (elles ne deviendront bombées que sur la 504) et la surface vitrée totale est privilégiée grâce aux fins entourages plats des vitres (que l'on retrouvera sur toutes les futures Peugeot jusqu'à la 305) et grâce à la suppression des déflecteurs de portes avant avantageusement remplacés par de nouveaux aérateurs latéraux découpés de part et d'autre dans la planche de bord. Les aménagements intérieurs seront régulièrement revus afin d'améliorer sensiblement la sécurité passive (celle en cas d'accident).
Hors un surprenant rouge tango, couleur de lancement, les premiers modèles se reconnaissent à des entourages de vitres chromés et à des jantes peintes à l'unisson de la carrosserie. Comme d'autres autos de cette période, les butoirs de pare-chocs inox se garniront par la suite de caoutchouc. La trappe à essence est astucieusement dissimulée derrière la plaque de police arrière. L'équipement diffère selon mode et variantes : les premières commerciales se passent de lave-glace tandis que les derniers cabriolets reçoivent sellerie cuir, projecteurs additionnels.
La nouvelle Peugeot 404 a été présentée à la presse automobile, le 9 mai 1960, celle-ci loue son confort de suspension et sa tenue de route.
Elle sera plus sévère sur le freinage constitué de quatre économiques tambours, qui plus est, sans assistance, ce qui est courant à l'époque. Peugeot endormira la critique avec des tambours assistés dits thermostables 1964 (quand même en option dans un premier temps) assortis de jantes ajourées. Ces freins sont d'une très grande efficacité (2 maitres-cylindres avec un rapport d'assistance de 7 pour 3 à 4 actuellement) mais d'un entretien pointilleux, ils seront finalement remplacés (avec une assistance plus faible) en 1968 seulement, par des freins avant à disques déjà utilisés par la plupart des constructeurs. Par contre, l'innovation déjà entamée avec la 403 de commercialiser un moteur diesel Indenor, largement utilisé comme taxi, n'aura jamais droit aux améliorations de freinage.
Non seulement berlines comme breaks ou camionnettes diesel conservent des freins à tambours non assistés, mais plus étrangement encore, des jantes non ventilées4 d'origine pourtant abandonnées quelques années auparavant…
En 1965, un prototype basé sur le cabriolet est développé pour battre des records du monde avec un moteur diesel (Catégorie A3 Groupe 3) sous deux versions (de classe 7). La voiture monoplace enchaînera quarante records sur l'anneau de vitesse de Montlhéry. Peugeot concurrencera ainsi Mercedes Benz avec une motorisation alors peu connue du grand public et non-usitée en Europe, sinon par ces deux seuls constructeurs. Aujourd'hui cet exemplaire unique est conservé au musée de l'Aventure Peugeot à Sochaux.
Il fut conduit par Roger de Lageneste (membre de la famille Peugeot et pilote de course professionnel, voir détail de ses propres records), C. Besnardière, J. Gérard, Du Ginestoux, et Georges Tchekemian. Principaux records :
5 000 km en 31 heures à 160 km/h de moyenne en juin (moteur 2 163 cm3).
11 000 km en 72 heures à 161 km/h de moyenne en juillet (moteur 1 948 cm3).
Selon les habitudes de la marque, la 404 en fin de carrière perdurera pendant plus de cinq ans dans des versions restreintes cherchant ainsi à favoriser les ventes des nouvelles 304 et 504.
Source : FLOATYART
QUEL CARBURANT À UTILISER POUR NOS ANCIENNES, COMPTE-TENU DE L'ÉVOLUTION DE L'OFFRE À LA POMPE. SANS-PLOMB, ADDITIFS, ÉTHANOL ... ?
FAISONS LE POINT !
Nous sommes nombreux à nous poser la question du carburant voitures anciennes à utiliser pour nos voitures, compte-tenu de l’évolution de l’offre à la pompe. Sans-plomb, additifs, éthanol … il est temps de faire le point. Bien entendu, il est impossible d’entrer dans chaque cas particulier à travers un tel article généraliste, mais il trace bien le cadre général que chacun d’entre-nous adaptera à son usage ou son véhicule.
D’une façon générale, disons le tout net, le meilleur carburant pour nos anciennes est assurément le SP98. C’est le plus cher, mais c’est aussi le plus universel, le plus performant et également celui qui comprend quelques additifs bien utiles.
Le SP95 « ordinaire » est utilisable dans la plupart des moteurs peu et moyennement poussés (rapport volumétrique inférieur à 8:1 sur moteurs atmosphériques). Le problème c’est que depuis quelques années, le SP95 « standard » comprend environ 5% d’Ethanol. Hors l’Ethanol fait très mauvais ménage avec les durites anciennes et les membranes de pompes de reprises de nos carburateurs, voire même avec certains alliages d’aluminium pauvre sur certains carburateurs qu’il va avoir tendance à ramollir !
Le SP95-E10 est à notre sens à éviter, en tous cas de façon continue. Il comprend 10% d’Ethanol et maximise les défauts évoqués ci-dessus.
L’usage de SP95-E10 impose de remplacer obligatoirement toutes les durites par des modèles « nouvelles normes », tous les joints et membranes de carbus régulièrement, tout en surveillant que la matière de ces derniers ne se détériore pas. Cerise sur le gâteau, l’éthanol décolle toutes les cochonnerie présentes dans le circuit de carburant et augmente la consommation. Pour dépanner, pourquoi pas. Mais pour un usage régulier, à quoi bon, pour gagner une poignée d’euros annuels sur le budget carburant ?
Le E85 (85% d’éthanol) est pour sa part totalement à proscrire, à moins d’avoir modifié explicitement son moteur pour cet usage.
En conclusion, le SP98 est le meilleur moyen d’éviter les soucis. Sa formule « riche » et au taux d’octane élevé permet d’éviter le cliquetis pouvant se produire avec le SP95 et permet de garder le haut moteur propre, ce qui aide également à passer les contrôles anti-pollution sans soucis …
Concernant les additifs « protection des sièges de soupape » celà peut aider sur les moteurs très anciens qui n’ont jamais été refaits. Pour les véhicules importés des USA, gardez à l’esprit que chez eux, le super plombé a disparu en 1975 … Si vous êtes de nature anxieuse (les problèmes se posent parfois plus dans la tête que dans le moteur.) vous referez tôt ou tard votre vieux moteur, et remplacerez sièges et soupapes par des modèles aux normes actuelles !
J’ai appelé Régis début janvier pour lui souhaiter une bonne année et lui dire que je n’avais pas vu passer l’engagement à la Boussole pour février…
Il m’a répondu « Bonne année », mais pas de Boussole, Michel et Didier ne pourront pas l'organiser.
Evidemment, j’étais déçu, parce qu’au-delà de l’esprit rallye, la Boussole, c’est aussi l’occasion annuelle de se retrouver entre amis passionnés.
J’ai réfléchi cinq minutes et j’ai proposé à Régis que si Michel et Didier étaient d’accord, j’essaierai de préparer un petit rallye aux dates historiques.
Avec mon ami Damien Audemar, nous avons voulu instaurer un challenge en deux manches, l’une dans l’Ariège le 31 août et l’autre dans l’Aude le 23 novembre 2024.
La mayonnaise n’a pas pris, la partie ariégeoise n’ayant pas connu un franc succès au niveau du nombre de participants.
Concernant la seconde manche de ce samedi 23 novembre dans l’Aude, en quelques chiffres :
- 30 voitures
- 300 km de belles routes
- 70 convives le midi et le soir.
- 30% d’équipages débutants
- 900€ de sponsoring
- Bilan financier du Rallye +14€
Notre gagnant, venu de Toulouse en Porsche 914/6 a trouvé toutes les lettres !
Et il n’a manqué qu’une seule lettre au second, toulousain également sur Alfa Bertone.
On a pu voir aussi de très belles performances sur des équipages débutants, et ça, c’est très positif !
En conclusion de l’épreuve, c’est un peu long pour certains, et ça manque parfois de points de repère pour recaler les gens qui jardinent….
On aime bien aussi quelques épreuves roulantes dans lesquelles il n’est pas nécessaire de se casser la tête à chaque carrefour…
À l’image de la première étape, il faut aussi une belle pause l’après midi pour revigorer nos équipages, et ça a manqué cette fois.
Sur les aspects repas, à priori, tout le monde a apprécié, et notamment le côté innovant de la soirée avec musique et projection des photos de l’épreuve.
Tout le monde était très content de voir Roger, Michel et leurs épouses sur le rallye.
Je tiens à remercier nos sponsors, la ville de Carcassonne, la commune de Montlaur Val de Dagne et tous les bénévoles qui m’ont assisté.
Texte : Didier Saint Georges - Photos : Valérie Fortin / Célian RIQUELME / PL