mardi 15 octobre 2024
CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES MOTOS - LES MOTOS BMW DEPUIS 1923 !!
BMW : histoire du constructeur
Les racines bavaroises..
L’histoire de la Bayerische Motoren Werke, plus connue sous le nom BMW, a débuté en 1923. D’abord versée dans la construction de moteurs d’avions, elle se tourne vers les moteurs de motocyclette après la défaite et le désarmement de l’Allemagne au lendemain de la guerre. Et c’est en 1923 qu’apparait la première BMW flat-twin qui connait un relatif succès malgré un prix de vente élevé.
Quelques modèles viennent ensuite compléter la gamme qui sera remaniée dès 1928 avec l’apparition de nouvelles machines.
Quelques modèles viennent ensuite compléter la gamme qui sera remaniée dès 1928 avec l’apparition de nouvelles machines.
A côté de la production, BMW reste très présent en compétition et les motos allemandes battent bientôt des records de vitesse. Avec l’entrée de l’Allemagne dans le second conflit mondial, l’usine BMW qui produit également des moteurs d’avions va être lourdement touchée par les bombardements alliés. L’usine est ensuite frappée par l’interdiction de construire des moyens de transport motorisés, empêchant ainsi tout redémarrage de la production moto.
L'Europe roule en BMW Ce n'est qu'en 1948 que BMW sera officiellement autorisé à reprendre la construction de motocyclettes. Rapidement l'usine va présenter le modèle R24, un monocylindre de 250 cm3.
Le succès sera immédiat autant à l'intérieur du pays qu'à l'exportation. Un autre monocylindre est proposé l'année suivante sous la dénomination R25, qui détient encore le record du modèle le plus vendu par BMW, il sera produit jusqu'en 1955.
L'Europe roule à nouveau en BMW.
En 1951 un nouveau modèle de flat-twin voit le jour : le R51/3. Il annonce la ligne BMW "classique" qui durera jusqu'en 1969. Ces motos verront en 68 apparaître une version sportive dans la gamme avec la fameuse R68 qui sera la première moto de série à dépasser les 100 miles/h (160km/h).
Si les allemandes se font plus rapides, c’est parce qu’elles visent alors à attirer le public admirant les performances des anglaises de l’époque. L'automne 1969 voit apparaître les trois modèles 500cm3, 600cm3 et 750cm3 de la série 5 dont la silhouette est totalement renouvelée par l'abandon de la fourche Earles, au profit d'une fourche télescopique.
Le flat-twin lui-même étant plus puissant, plus résistant et surtout moins lourd.
En 1973 pour le cinquantenaire de la marque la série 6 est présentée : R60/6, R75/6, R90/6 et R90 S celle dont tout le monde parle. C'est le fleuron de la gamme, sportive, reconnaissable de par son carénage tête de fourche et sa selle à dosseret.
Elle est équipée de deux disques à l'avant et a été chronométrée à 195km/h. Le flat-twin prend la route de l'innovation En 1976 apparaît la série 7 en trois cylindrées, 600cm3, 750cm3 et 1000 cm3. Le flat-twin 1000cm3 étant monté sur la gamme R.
En 1984 l'usine présentera la K100 au moteur révolutionnaire 4 cylindres à refroidissement liquide mais il faudra attendre fin 1992 pour disposer d'un nouveau modèle flat-twin avec la R1100RS équipée d'un Boxer à 4 soupapes par cylindre et alimentée par injection électronique. La partie cycle est entièrement revue avec notamment, un châssis à moteur porteur et la suspension avant Telelever. La suspension et l'amortissement sont assurés par un combiné ressort/amortisseur central logé entre le bras oscillant et la partie avant du cadre.
La suspension arrière est de système Paralever nettement renforcé par rapport à la série 7. Ce type de châssis va équiper toute la gamme des flat-twins, désormais tous disponibles avec ABS en option. En 1994 BMW présentera le premier trail monocylindre nouvelle génération de la marque, la F650 dont la transmission finale, hérésie pour les puristes, est par chaîne. Cette version continuera à être déclinée avec moult améliorations jusqu’à maintenant.
Mais le modèle emblématique de la marque c’est le flat. En 2001 il verra sa cylindrée portée à 1150 cm3 et sa boîte de vitesse sera dotée pour la première fois d'un sixième rapport. 2003 marque une innovation de taille pour BMW avec une nouvelle partie cycle allégée de 30kg pour les R1200. En 2006, BMW produit pour la première fois plus de 100 000 motos. Depuis la bavaroise ne cesse d’améliorer les performances de ces modèles avec notamment des suspensions pilotées Esa ou l’antipatinage.
Ne cédant pas à la pression des promotions, la marque conserve des modèles aux prix élevés, prix encore plus marqués du fait des options achetées. Du coup, les modèles conservent une bonne cote en occasion, souvent surcotée par rapport à des modèles équivalents. Les ventes BMW continuent à progresser et l’architecture flat-twin mise au point par Max Friz en 1923 a encore de beaux jours devant elle.
Source : lerepairedesmotards.com / source vidéo : BMW Motorrad France BMW depuis 1923. 90 ans en 90 secondes !
Elle est équipée de deux disques à l'avant et a été chronométrée à 195km/h. Le flat-twin prend la route de l'innovation En 1976 apparaît la série 7 en trois cylindrées, 600cm3, 750cm3 et 1000 cm3. Le flat-twin 1000cm3 étant monté sur la gamme R.
En 1984 l'usine présentera la K100 au moteur révolutionnaire 4 cylindres à refroidissement liquide mais il faudra attendre fin 1992 pour disposer d'un nouveau modèle flat-twin avec la R1100RS équipée d'un Boxer à 4 soupapes par cylindre et alimentée par injection électronique. La partie cycle est entièrement revue avec notamment, un châssis à moteur porteur et la suspension avant Telelever. La suspension et l'amortissement sont assurés par un combiné ressort/amortisseur central logé entre le bras oscillant et la partie avant du cadre.
La suspension arrière est de système Paralever nettement renforcé par rapport à la série 7. Ce type de châssis va équiper toute la gamme des flat-twins, désormais tous disponibles avec ABS en option. En 1994 BMW présentera le premier trail monocylindre nouvelle génération de la marque, la F650 dont la transmission finale, hérésie pour les puristes, est par chaîne. Cette version continuera à être déclinée avec moult améliorations jusqu’à maintenant.
Mais le modèle emblématique de la marque c’est le flat. En 2001 il verra sa cylindrée portée à 1150 cm3 et sa boîte de vitesse sera dotée pour la première fois d'un sixième rapport. 2003 marque une innovation de taille pour BMW avec une nouvelle partie cycle allégée de 30kg pour les R1200. En 2006, BMW produit pour la première fois plus de 100 000 motos. Depuis la bavaroise ne cesse d’améliorer les performances de ces modèles avec notamment des suspensions pilotées Esa ou l’antipatinage.
Ne cédant pas à la pression des promotions, la marque conserve des modèles aux prix élevés, prix encore plus marqués du fait des options achetées. Du coup, les modèles conservent une bonne cote en occasion, souvent surcotée par rapport à des modèles équivalents. Les ventes BMW continuent à progresser et l’architecture flat-twin mise au point par Max Friz en 1923 a encore de beaux jours devant elle.
Source : lerepairedesmotards.com / source vidéo : BMW Motorrad France BMW depuis 1923. 90 ans en 90 secondes !
lundi 14 octobre 2024
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - SM MASERATI AVEC LA POLICE ET LA GENDARMERIE....
1973 - Escadron d'autoroute : nouvelle voiture SM. La gendarmerie d'autoroute s'est dotée de brigades rapides d'intervention. Au volant de SM Maserati à plus de 200 km/h, les gendarmes font la chasse aux contrevenants. Le chef de la brigade présente son parc de véhicules Maserati, Alpine, DS électronique.Interview sur la formation des conducteurs de ces véhicules et sur l'utilité de ces véhicules..
Vidéo : ina
dimanche 13 octobre 2024
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Ford Bronco.... nostalgie quand tu nous tiens !!
Après la Mustang et la GT, la marque à l’ovale bleu revient aux sources de son histoire en ressuscitant le Bronco, un autre mythe américain.
La renaissance de la Mustang, de la GT et désormais du Bronco selon une interprétation néorétro est-elle l’aveu d’un manque d’inspiration ou le reflet d’une Amérique décidément incapable de projeter dans le monde du XXIe siècle?
Chacun appréciera.
Toujours est-il qu’aux États-Unis les mythes sont tenaces et font toujours vendre. La preuve: la Mustang déchaîne toujours les passions même après 55 ans de carrière.
C’est si vrai que Ford a osé poser le logo à l’emblème du cheval des Apaches reconnu pour sa puissance et à sa rapidité sur le capot d’un SUV 100 % électrique lancé début 2021. Après la Mustang et la GT, Ford a ainsi décidé de faire renaître le patronyme Bronco abandonné depuis 1996. Cela n’étonnera personne: le nouveau 4 x 4 de la firme à l’ovale bleu surfe sur la vague néorétro, ravivant les formes originelles de break de loisirs de son aîné.
Les nostalgiques applaudiront à cet exercice qui ne fait que suivre une tendance comme en témoigne Jeep qui a ressuscité le Wrangler ou Land Rover qui continue de renouveler le Range Rover en prenant soin de ne pas trop s’éloigner de la matrice. Reconnaissable entre mille grâce à ses lignes qui préservent les codes de ses aînés, le nouveau Bronco sera décliné en trois carrosseries. À la différence du monde d’hier, Ford fait l’impasse sur le pick-up, un terrain désormais occupé par le F-150, au profit d’une carrosserie 5 portes, une première pour le Bronco.
Cette version vient en complément d’un modèle 2 portes largement personnalisable.
Avec le Bronco, oubliez la conduite coude à la portière: les panneaux de portes sont démontables.
L’aventure sera au bout de la rue car Ford annonce une multitude de configurations en ajoutant les échancrures dans les portes, le toit démontable et la gamme de 200 accessoires déjà développés. Style rétro mais instrumentation numérique Cela ne va pas manquer de surprendre, si l’enveloppe est néorétro, l’habitacle installe vraiment les occupants dans le monde du XXIe siècle avec son grand écran central, son volant multifonctions emprunté à une berline, son instrumentation numérique et son bouton rotatif pilotant électroniquement les modes de conduite et adaptant notamment la transmission intégrale aux différents types de terrain.
Sept modes sont ainsi à la disposition du conducteur. Le dernier permettra de s’aventurer dans un gué d’une profondeur de 850 mm. Si une arrivée en Europe n’est pour l’instant pas envisagée, la présence sous le capot du 4-cylindres 2,3 litres Ecoboost de 270 ch est de nature à l’encourager. Cette mécanique propulse déjà la Mustang et la Focus. Dans le cas du Bronco, le 4-cylindres de 310 ch est associé, au choix, à une boîte manuelle à 7 vitesses ou automatique à dix rapports.
Source : Sylvain Reisser-lefigaro.fr
La renaissance de la Mustang, de la GT et désormais du Bronco selon une interprétation néorétro est-elle l’aveu d’un manque d’inspiration ou le reflet d’une Amérique décidément incapable de projeter dans le monde du XXIe siècle?
Chacun appréciera.
Toujours est-il qu’aux États-Unis les mythes sont tenaces et font toujours vendre. La preuve: la Mustang déchaîne toujours les passions même après 55 ans de carrière.
C’est si vrai que Ford a osé poser le logo à l’emblème du cheval des Apaches reconnu pour sa puissance et à sa rapidité sur le capot d’un SUV 100 % électrique lancé début 2021. Après la Mustang et la GT, Ford a ainsi décidé de faire renaître le patronyme Bronco abandonné depuis 1996. Cela n’étonnera personne: le nouveau 4 x 4 de la firme à l’ovale bleu surfe sur la vague néorétro, ravivant les formes originelles de break de loisirs de son aîné.
Les nostalgiques applaudiront à cet exercice qui ne fait que suivre une tendance comme en témoigne Jeep qui a ressuscité le Wrangler ou Land Rover qui continue de renouveler le Range Rover en prenant soin de ne pas trop s’éloigner de la matrice. Reconnaissable entre mille grâce à ses lignes qui préservent les codes de ses aînés, le nouveau Bronco sera décliné en trois carrosseries. À la différence du monde d’hier, Ford fait l’impasse sur le pick-up, un terrain désormais occupé par le F-150, au profit d’une carrosserie 5 portes, une première pour le Bronco.
L’aventure sera au bout de la rue car Ford annonce une multitude de configurations en ajoutant les échancrures dans les portes, le toit démontable et la gamme de 200 accessoires déjà développés. Style rétro mais instrumentation numérique Cela ne va pas manquer de surprendre, si l’enveloppe est néorétro, l’habitacle installe vraiment les occupants dans le monde du XXIe siècle avec son grand écran central, son volant multifonctions emprunté à une berline, son instrumentation numérique et son bouton rotatif pilotant électroniquement les modes de conduite et adaptant notamment la transmission intégrale aux différents types de terrain.
Sept modes sont ainsi à la disposition du conducteur. Le dernier permettra de s’aventurer dans un gué d’une profondeur de 850 mm. Si une arrivée en Europe n’est pour l’instant pas envisagée, la présence sous le capot du 4-cylindres 2,3 litres Ecoboost de 270 ch est de nature à l’encourager. Cette mécanique propulse déjà la Mustang et la Focus. Dans le cas du Bronco, le 4-cylindres de 310 ch est associé, au choix, à une boîte manuelle à 7 vitesses ou automatique à dix rapports.
Source : Sylvain Reisser-lefigaro.fr
samedi 12 octobre 2024
CLUB5A - SPORT AUTO - RETOUR SUR IMAGE - LE RALLYE MONTE-CARLO HISTORIQUE !!
Le Rallye automobile Monte-Carlo est une manifestation sportive dont le cadre de départ et d'arrivée est la principauté de Monaco, même si l'essentiel du parcours a lieu plus au nord, notamment dans les Département français des Alpes-Maritimes, de l'Ardèche, de la Drôme, des Hautes-Alpes ou encore des Alpes de Haute-Provence, selon les années. Cette épreuve se déroule systématiquement en hiver, au mois de janvier. On entend ou lit souvent dans les médias « Rallye de Monte-Carlo », mais la véritable dénomination de cette épreuve n'a jamais inclus la préposition « de ». À sa création en 1911, le rallye automobile Monte-Carlo n'est pas à proprement parler une épreuve sportive, c'est surtout le moyen d'attirer la jet set européenne à Monaco.
Chaque véhicule engagé partait avec son équipage, par la route, de la ville où il s'était engagé. Il effectuait le parcours reliant cette ville à Monte-Carlo, en suivant un itinéraire précis, avec certaines contraintes. À l'époque, traverser l'Europe en plein hiver était un exploit. Arrivés à destination, les vainqueurs étaient l'équipage qui avaient réussi à rallier Monaco en respectant une moyenne horaire imposée par les organisateurs, mais la présentation du véhicule, après autant de kilomètres sur des routes difficilement praticables, était tout aussi importante.
Une autre particularité du Rallye Monte-Carlo a été pendant longtemps son parcours de concentration, les villes de départ étant réparties aux quatre coins de l'Europe, les équipages se rejoignaient en un point unique afin de rallier, par un parcours commun, Monaco. Cette caractéristique a donné jusqu'au milieu des années 1990, sa réputation au rallye et en a fixé son déroulement.
Source : ZAGATOI
vendredi 11 octobre 2024
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - LE BONHEUR DES VACANCES AVAIT UN AUTRE GOUT....LES VACANCES DE LA PERIODE DES 30 GLORIEUSES !!
′′ Je me souviens du bonheur, il était fait d'ouvriers qui allaient à la mer en août. Les voitures sans climatisation, avec les porte-bagages pleins de valises et les autoroutes sans tickets noirs.
C 'était les années où les retraités pouvaient se permettre la bonne récompense après une vie de sacrifices, c'était les années des plages avec les tables et les pâtes au four, et ces récipients frigo, plus fournis que les supermarchés.
Le bonheur, avec ces chaises pliantes et ces cafés dans les thermos à la fin du déjeuner, les photos avec des rouleaux, les discours tous ensemble à la fin du déjeuner, les enfants qui faisaient les enfants. Les villes désertes, pour le pain tu devais aller à la gare centrale parce que tout le monde savait qu'il y avait un supermarché toujours ouvert. Le bonheur avait un autre goût !
Les boîtes de nuit à la plage, faites en bois avec des ampoules colorées, les filles assises qui attendaient l'invitation pour danser ces lentilles et mieux se connaître, nous étions plus étrangers et beaucoup plus intimes sans connaître encore le nom. Nous, avec une guitare et un feu à la plage, avions le paradis, nous en cercle et une bouteille qui tournait on trouvait un bisou, et tu as toujours eu celle que tu n'aimais pas.
Nous, les fils des timbres et des cartes postales ′′ beaucoup de salutations de la mer ′′ que nous lui envoyions toujours le dernier jour, c'est peut-être pour cela qu'ils avaient le goût amer ces timbres quand tu les léchais, parce que les vacances se terminaient, mais on rentrait heureux, sans factures arrivées Dans les tiroirs, avec les cartes postales arrivant à l'automne, avec la sérénité dans la tête et l'espoir toujours à portée de main. Au lieu de cela aujourd'hui le 15 août, les centres commerciaux sont toujours ouverts, les villes de plus en plus peuplées, les retraités vous les voyez là-bas, sous quelques arbres pour un peu de frais.
Nous prenons de plus en plus de photos sans avoir besoin d'aller les développer, et ici, ils nous ont volé notre attente. Nous allons sur les plages organisées et vous devez respecter les limites, et ici, ils nous ont piqué l'espace. Nous voulions plus mais nous avons obtenu moins.
Nous avons obtenu un smartphone pour parler au monde, et ici, ils nous ont retiré l'envie d'être ensemble. Je me souviens du bonheur, il restait à toi, sur la peau, et il n'avait pas de mot de passe..
Source : Paolo Allev01calvi
C 'était les années où les retraités pouvaient se permettre la bonne récompense après une vie de sacrifices, c'était les années des plages avec les tables et les pâtes au four, et ces récipients frigo, plus fournis que les supermarchés.
Le bonheur, avec ces chaises pliantes et ces cafés dans les thermos à la fin du déjeuner, les photos avec des rouleaux, les discours tous ensemble à la fin du déjeuner, les enfants qui faisaient les enfants. Les villes désertes, pour le pain tu devais aller à la gare centrale parce que tout le monde savait qu'il y avait un supermarché toujours ouvert. Le bonheur avait un autre goût !
Les boîtes de nuit à la plage, faites en bois avec des ampoules colorées, les filles assises qui attendaient l'invitation pour danser ces lentilles et mieux se connaître, nous étions plus étrangers et beaucoup plus intimes sans connaître encore le nom. Nous, avec une guitare et un feu à la plage, avions le paradis, nous en cercle et une bouteille qui tournait on trouvait un bisou, et tu as toujours eu celle que tu n'aimais pas.
Nous, les fils des timbres et des cartes postales ′′ beaucoup de salutations de la mer ′′ que nous lui envoyions toujours le dernier jour, c'est peut-être pour cela qu'ils avaient le goût amer ces timbres quand tu les léchais, parce que les vacances se terminaient, mais on rentrait heureux, sans factures arrivées Dans les tiroirs, avec les cartes postales arrivant à l'automne, avec la sérénité dans la tête et l'espoir toujours à portée de main. Au lieu de cela aujourd'hui le 15 août, les centres commerciaux sont toujours ouverts, les villes de plus en plus peuplées, les retraités vous les voyez là-bas, sous quelques arbres pour un peu de frais.
Nous prenons de plus en plus de photos sans avoir besoin d'aller les développer, et ici, ils nous ont volé notre attente. Nous allons sur les plages organisées et vous devez respecter les limites, et ici, ils nous ont piqué l'espace. Nous voulions plus mais nous avons obtenu moins.
Nous avons obtenu un smartphone pour parler au monde, et ici, ils nous ont retiré l'envie d'être ensemble. Je me souviens du bonheur, il restait à toi, sur la peau, et il n'avait pas de mot de passe..
Source : Paolo Allev01calvi
jeudi 10 octobre 2024
mercredi 9 octobre 2024
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - UNE DELAGE FILE VERS MONACO ...
N559, Basse Corniche, entre Nice et Monaco (06).
Une Delage file vers Monaco, à une époque (très lointaine), où l'on pouvait faire toute la route sans croiser une seule voiture, tout juste un tramway...
Cette route a été construite sous le second Empire, en profitant des travaux du chemin de fer.
Elle venait compléter la Grande Corniche pour desservir les villages du bord de mer, jusque là seulement accessibles par la mer où par des sentiers muletiers.
La Moyenne Corniche ne viendra qu'entre les deux guerres... Illustration pour le magazine Roaditude n°7, consacré aux plus belles routes de bords de mer !
Source : THIERRY DUBOIS - JWA Classic
Une Delage file vers Monaco, à une époque (très lointaine), où l'on pouvait faire toute la route sans croiser une seule voiture, tout juste un tramway...
Cette route a été construite sous le second Empire, en profitant des travaux du chemin de fer.
Elle venait compléter la Grande Corniche pour desservir les villages du bord de mer, jusque là seulement accessibles par la mer où par des sentiers muletiers.
La Moyenne Corniche ne viendra qu'entre les deux guerres... Illustration pour le magazine Roaditude n°7, consacré aux plus belles routes de bords de mer !
Source : THIERRY DUBOIS - JWA Classic
mardi 8 octobre 2024
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