mercredi 5 novembre 2025
CLUB5A - IMAGE D'ARCHIVE - CASCADE AUTOMOBILE A MAUBEUGE.......C’ÉTAIT EN 1927 !
Cascade automobile en 1927 à Maubeuge dans le Nord de la France !!
André Mencier au volant de sa Peugeot défie tous les concurrents pour battre son « Grand saut national de 10 pieds ». André Mencier, portant le costume et cravate pose pour la caméra dans sa voiture : une Peugeot entourée par la foule.
André Mencier au volant de sa Peugeot défie tous les concurrents pour battre son « Grand saut national de 10 pieds ». André Mencier, portant le costume et cravate pose pour la caméra dans sa voiture : une Peugeot entourée par la foule.
Source : British Pathé
CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Voiture de l'Année 2026 : les sept finalistes...
Des sept modèles en lice pour le titre le plus convoité de l’industrie automobile, six sont électriques ou multi-énergie, deux défendent les couleurs françaises et une est franco-roumaine.
Un seul des sept véhicules retenus en finale du «Car of the year» (COTY), le prix le plus convoité de l’industrie automobile, n’est pas disponible avec une motorisation électrique.
Les six autres sont soit uniquement électrique, soit multi-énergies. Finalement, les sept véhicules finalistes sont le reflet de la discussion en cours au sein de la Commission européenne. Faut-il revenir sur la réglementation de 2035 imposant la vente de voitures neuves électriques ou faut-il conserver une diversité de technologies ?
La question n’est pas tranchée mais en 2025, la majorité des automobilistes a décidé qu’il n’était pas encore l’heure de se convertir au véhicule à batterie.
Parmi les trente-six véhicules éligibles pour figurer en finale, le jury composé de soixante journalistes européens provenant de 23 pays, dont un membre de la rédaction du Figaro, a retenu des véhicules compacts et familiaux dont le prix le plus élevé ressort à 52 900 € (version de base).
Six des sept véhicules finalistes sont européens; le septième est coréen. La preuve que l’industrie automobile a encore des arguments à faire valoir : trois voitures françaises vont s’affronter en finale, la Citroën C5 Aircross, la Dacia Bigster et la Renault 4. C’est la deuxième année consécutive que la firme aux chevrons figure parmi les finalistes. Le SUV Citroën C5 Aircross a toutes ses chances.
Ses qualités routières et son confort ont fait forte impression lors des premiers essais. De son côté, la marque franco-roumaine Dacia atteint aussi la finale pour la deuxième année consécutive avec le Bigster, un SUV familial dérivé du Duster. Là encore, ce modèle fait valoir des arguments sérieux avec un rapport prix/prestations sans équivalent dans son segment. Quant à Renault, c’est la cinquième année consécutive qu’un véhicule de sa gamme accède à la finale.
Titrée en 2024 avec le Scenic Électrique et en 2025 avec le couple Renault 5 et Alpine A290, la firme au losange saura-t-elle réussir la passe de trois ?
Comme l’an dernier, un seul véhicule du groupe Volkswagen figure parmi les sept sélectionnés. Il s’agit de l’Elroq, le SUV compact électrique du constructeur tchèque Skoda.
Un véhicule salué par la critique pour sa belle homogénéité. La présence d’une marque transalpine est assurée par Fiat avec la Grande Panda. Partageant sa plateforme multi-énergie avec la Citroën C3, la citadine du constructeur turinois couvre une large palette de besoins avec des versions à motorisation électrique, hybride et essence.
L’Allemagne est représentée par la nouvelle génération Mercedes CLA. Cette familiale, qui se décline en berline et en break, a impressionné les professionnels de l’automobile par sa technologie électrique : plateforme 800 V autorisant des puissances de charge élevées, boîte de vitesses à 2 rapports et autonomie de 792 km (version CLA 250+). Bon point : ce modèle se décline aussi en version hybride.
Enfin, la septième protagoniste du titre de la «Voiture de l’Année» est l’EV4, la dernière nouveauté de la marque coréenne Kia. Produit en Europe, ce crossover électrique de 4,43 m de long a toutes ses chances. Avec sa batterie de 81,4 kWh, il revendique une autonomie de 633 km.
La remise des prix de la Voiture de l’Année 2026 aura lieu dans le cadre du salon de Bruxelles, le 9 janvier 2026.
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...
mardi 4 novembre 2025
CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Avec sa mère et sa grand-mère dans la voiture : un jeune de 16 ans en conduite accompagné contrôlé à 147 km/h sur une route limitée à 80...
La mère et le fils risquent de lourdes sanctions. Un apprenti conducteur de 16 ans qui était en conduite accompagné avec sa mère à ses côtés s’est fait contrôler à 147 km/h au lieu des 80 réglementaires La grand-mère était également à bord assise à l’arrière du véhicule. Les faits se sont déroulés ce mardi 28 octobre à Neuveille-sous-Montfort dans les Vosges et ce sont les gendarmes qui ont révélé cette infraction peu commune. Le contrevenant roulait sur une route départementale limitée à 80 km/h et son excès de vitesse est de 67 km/h au-dessus de la limite autorisée, relevant de la plus haute infraction en la matière, souligne France3 région. Et cela va coûter très cher à la famille côté sanctions.
Les gendarmes ont dressé la liste. Le livret d’apprentissage a été retiré pour le jeune homme qui risque jusqu’à 3 ans d’interdiction de passer le permis, le véhicule a été immobilisé et la mère accompagnatrice encourt une amende, un retrait de 6 points, une suspension du permis jusqu’à 3 ans et la confiscation de la voiture. Et de rappeler "La conduite accompagnée, c’est apprendre à protéger, pas à prendre des risques".
Source : lindépendant.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...
CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION - RESTAURATION D'UN RANGE-ROVER DE 1978...
Pour les nostalgiques du premier Range Rover, Land Rover commercialise une série de dix véhicules restaurés dans ses ateliers et facturés 150 000 euros pièce.
Alors que la cote des Range Rover Classic, les trois portes de la première période, commence à frétiller et à décoller, le constructeur anglais a décidé de s'emparer du sujet. La division Land Rover Classic, en charge de la sauvegarde du patrimoine et de la commercialisation de pièces détachées des anciens modèles, vient de lancer un programme de restauration du Range Rover Classic de 1978.
Pour répondre à un engouement qu'il pressent, le constructeur profite de sa présence au salon Rétromobile, qui ouvre ses portes demain au public, mercredi 8 février, pour annoncer qu'il va commercialiser une série de 10 véhicules restaurés. Les véhicules ont été dénichés par les experts de Land Rover avant d'être confiés aux techniciens de l'atelier de restauration. Le premier véhicule de la série restauré est exposé à Rétromobile, sur le stand du constructeur. Il arbore la teinte de lancement «Bahama Gold». L'habitacle hérite de garnitures identiques à celles de l'époque. On pourrait se croire en 1970 lorsque le premier Range Rover, qui peut être considéré comme le père des SUV modernes, sortait des chaînes de montage. Le véhicule a été restauré dans les règles de l'art, c'est-à-dire en se conformant aux spécifications d'origine de 1970 et en recourant à des pièces portant le label d'origine Land Rover Parts.
Le moteur V8 essence équipé d'un carburateur Zenith-Stromberg a aussi été entièrement démonté et remis à neuf. Il affiche une puissance de 132 chevaux. La nostalgie a un prix: le Range Rover Classic est facturé 150 000 euros. C'est à peu près le prix des versions haut de gamme du dernier Range Rover. Les nostalgiques du premier Range doivent savoir qu'ils ne pourront pas se parader dans Paris la semaine, les artères de la capitale étant désormais interdites aux véhicules immatriculés avant le 1er janvier 1997.
À moins de mettre la carte grise en collection.
Source : lefigaro.fr - Sylvain Reisser
Pour répondre à un engouement qu'il pressent, le constructeur profite de sa présence au salon Rétromobile, qui ouvre ses portes demain au public, mercredi 8 février, pour annoncer qu'il va commercialiser une série de 10 véhicules restaurés. Les véhicules ont été dénichés par les experts de Land Rover avant d'être confiés aux techniciens de l'atelier de restauration. Le premier véhicule de la série restauré est exposé à Rétromobile, sur le stand du constructeur. Il arbore la teinte de lancement «Bahama Gold». L'habitacle hérite de garnitures identiques à celles de l'époque. On pourrait se croire en 1970 lorsque le premier Range Rover, qui peut être considéré comme le père des SUV modernes, sortait des chaînes de montage. Le véhicule a été restauré dans les règles de l'art, c'est-à-dire en se conformant aux spécifications d'origine de 1970 et en recourant à des pièces portant le label d'origine Land Rover Parts.
À moins de mettre la carte grise en collection.
Source : lefigaro.fr - Sylvain Reisser
lundi 3 novembre 2025
CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Pourquoi il faut aller au salon Epoqu’Auto ?
Du 7 au 9 novembre prochain au parc des expositions de Lyon, ce salon de la voiture de collection célèbre les plus belles pages de l’histoire automobile française et lyonnaise. Que vous soyez passionné de voitures anciennes ou de youngtimers, à la recherche d’une pièce ou d’un accessoire pour terminer la remise en état ou la restauration de votre voiture, en quête d’informations sur les services liés à l’univers de la voiture de collection, ou simple curieux, le salon Epoqu’Auto doit être inscrit à l’encre rouge sur votre agenda. C’est l’endroit où il faut aller à la fin de la semaine prochaine.
Ce salon, qui investit pendant trois jours tous les halls du parc Eurexpo de Lyon (en bordure de l’autoroute menant à Grenoble), s’est imposé comme un événement annuel incontournable. Epoqu’Auto, c’est un peu le Rétromobile des années 1980, pour ceux qui ont connu les premières éditions de la manifestation parisienne à la porte de Versailles. Dans une ambiance bon enfant qu’il doit impérativement préserver, le salon lyonnais mélange joyeusement les genres, sans se prendre au sérieux. Tout le monde y trouve son compte, entre expositions de voitures populaires de tous les âges, modèles de prestige et sportifs de marques disparues ou ayant pignon sur rue, Automobilia, maisons d’enchères, marchands de voitures et de pièces détachées, littérature, motos et véhicules industriels.
L’édition 2025 ne déroge pas à la tradition et met à l’honneur quelques pages glorieuses de l’histoire de l’automobile française. C’est ainsi qu’Epoqu’Auto est l’une des dernières occasions de célébrer les 70 ans de la Citroën DS.
Le salon lui consacre le plus grand espace d’exposition du hall 5. Les visiteurs pourront y admirer une belle sélection de versions exhibant une large palette de couleurs. Les amateurs de la révolutionnaire berline aux chevrons pourront découvrir à Lyon la DS 21 Pallas qui fut mise au service du Général de Gaulle de 1965 à la fin de l’année 1967. Ce modèle accompagnait régulièrement le couple présidentiel lors de ses déplacements entre l’Élysée et La Boisserie, résidence familiale de Colombey-les-Deux-Églises. Le salon lyonnais rend également hommage à la Peugeot 205 T16 qui a dominé le championnat du monde des rallyes à l’époque du Groupe B. Il y a 40 ans, la sochalienne remportait son premier titre avec Timo Salonen.
C’était la période où la France brillait également en Formule 1 avec Ligier.
Une rétrospective inédite raconte cette belle page de notre histoire. Grâce au concours de Ligier Automotive, on retrouve de nombreuses monoplaces qui se sont illustrées sur les circuits du monde entier avec Jacques Laffite notamment. L’exposition rappelle que l’aventure de Guy Ligier a commencé par l’endurance avec les berlinettes JS2.
Le meilleur des supercars des années 1980-1990
Epoqu’Auto consacre également un espace aux supercars des années 1980 et 1990. Entre le musée de Coligny et des collectionneurs, pas moins de 14 véhicules sont présentés. La palme de l’exclusivité revient à la Mercedes CLK GTR développée par la division sportive AMG en vue de répondre à la réglementation sportive GT1. Cet espace permettra également de découvrir une Bugatti EB110 GT de la période Artioli, la Venturi 400 Trophy au volant de laquelle le commissaire-priseur Hervé Poulain s’est illustré dans le championnat monotype organisé par Stéphane Ratel mais aussi une Ferrari F50, une Maserati MC12 et une McLaren Senna.
Le salon ne manquera pas de rappeler que Lyon et sa région ont été un territoire majeur de l’industrie automobile.
Outre Berliet, la capitale des Gaules a vu éclore plus de cent constructeurs entre 1896 et 1947 : Rochet Schneider, Audibert & Lavirotte, La Buire, Cottin & Desgouttes, Vermorel,
Philos, Jean Gras, Luc Court, Fournier Marcadier, Pilain pour n’en citer que quelques-uns. Régional de l’étape, Gérard Gamand, l’éditeur du magazine Autodiva présente une rétrospective de l’artisan français de voitures de course BBM installé à Amiens.
Les passionnés de motos sont aussi gâtés avec la présence de nombreux stands et animations. Les motos animeront la première partie (vendredi 7) de la vente aux enchères orchestrée par la maison Osenat. Le samedi et le dimanche, le commissaire-priseur dispersera les voitures.
Le lot le plus insolite de cette vacation est l’un des trois exemplaires de l’Helica, un véhicule à hélice conçu par l’ingénieur Marcel Leyat au début des années 1920, recensés à ce jour. Symbole de la créativité de l’industrie automobile, ce véhicule est estimé entre 100 000 et 180 000 euros.
Informations pratiques : Lyon Eurexpo. Tarifs : 18 € / 30 € - 2 jours. Achat en ligne 16 € jusqu’à l’ouverture du salon. Enfants de moins de 12 ans : gratuit
Parking P4 offert pour les véhicules de collection (de plus de 30 ans) et pour les motos sous réserve de places disponibles.
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...
CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - LA SUBARU XT - LE COUPE FUTURISTE !!
Si en France, comme dans nombre de pays, le constructeur Subaru ne fut connu qu’avec l’Impreza et ses nombreux succès en rallyes. Avant cet avènement, Subaru restait une marque à la diffusion confidentielle mais savait proposer des produits atypiques, retour en 1985 avec la présentation d’un coupé nommé XT…
Sans refaire toute l’histoire de Subaru, il s’agit de la filiale automobile de Fuji Heavy Industries, un groupe spécialisé dans les transports, et dont l’activité automobile débute réellement à partir de 1958 avec la Subaru 360. Petit à petit, une gamme se met en place, allant de la petite voiture populaire à la berline familiale, en passant par le pick-up et le minivan.
Au milieu des années 1980, Subaru propose une gamme avec peu de modèles, dont la Leone chapeaute le catalogue jusqu’en 1985, quand fut présenté un coupé à la carrosserie moderne. Dévoilée en février 1985, la Subaru XT est un coupé dérivé de la Léone mais arborant une ligne inédite, tracée à la règle et s’insérant dans la tendance de l’époque. Mais la carrosserie de la Subaru XT n’est pas seulement futuriste, elle est aussi efficace en proposant un des meilleurs Cx du marché (0,29 !) et propose un style bien à elle.
Commercialisée tout d’abord sur le marché américain à partir de février 1985, sa diffusion est étendue au Japon en juin 1985 (sous la dénomination Subaru Alcyone) puis en Australie/Nouvelle Zélande (sous la dénomination Subaru Vortex) ainsi qu’en Europe. Lors de ses débuts, la Subaru XT n’est disponible qu’avec un moteur quatre cylindres à plat, un boxer tout aluminium de 1.781cm3 à injection avec une puissance de 97Ch, disponible en version turbo pour 112Ch, la XT Turbo pouvant recevoir la traction intégrale enclenchable en option.
Toujours côté transmission, la Subaru XT est offerte de base avec une boite manuelle à cinq rapports mais en option, une boite automatique à quatre rapports peut équiper la voiture. Davantage destiné à améliorer l’image de Subaru en proposant un véhicule « haut de gamme », le coupé XT s’offre des équipements atypiques pour son époque comme une suspension pneumatique gérée par ordinateur, dont la garde au sol peut être modifiée à la guise du conducteur. L’habitacle n’est pas en reste et offre une ambiance typiquement année 1980 : volant asymétrique, cadrans digitaux, fauteuils enveloppants à tissus velours…
Malgré ces efforts, la Subaru XT reste une voiture à la diffusion confidentielle, pénalisée par l’absence d’image de marque de Subaru, mais aussi par son prix qui la met face aux voitures allemandes telles que BMW, voire Mercedes… En 1987, pour tenter de se démarquer davantage, la Subaru XT s’offre plus de puissance, le quatre cylindres turbo développe désormais 117Ch aux Etats-Unis, 135Ch au Japon et en Europe. Surtout, 1987 marque l’arrivée du boxer six cylindres de 2,7 litres pour 145Ch (150Ch au Japon et en Europe) et à transmission intégrale permanente, version civile du prototype de la Subaru ACX-II qui fut dévoilée au salon de Tokyo 1985.
L’offre de la Subaru XT reste ainsi figée jusqu’à la fin du modèle, actée en 1991 pour laisser place à un nouveau coupé, la Subaru SVX. Malgré tout, c’est 98.918 Subaru XT qui furent écoulées, un beau score d’autant que la voiture échoue au Japon avec à peine plus de 8.000 unités commercialisées. Et la France dans tout ça ? Ce fut un zéro pointé car la voiture n’est pas commercialisée dans nos contrées en raison du contingentement des importations japonaises d’automobiles.
Certes, il y avait bien Baboulin (le même que les Buggy et ambulances) qui importa depuis 182,et à partir de la Suisse, des Subaru, mais sa faillite à la fin des années 1980, peu de temps après la présentation de la XT, laisse présager d’un chiffre nul sur ce coupé. Alors pour en trouver une, direction la Suisse (avec le dédouanement…) ou l’Allemagne…
Source : lautomobileancienne.com - Przemek Michalak
Au milieu des années 1980, Subaru propose une gamme avec peu de modèles, dont la Leone chapeaute le catalogue jusqu’en 1985, quand fut présenté un coupé à la carrosserie moderne. Dévoilée en février 1985, la Subaru XT est un coupé dérivé de la Léone mais arborant une ligne inédite, tracée à la règle et s’insérant dans la tendance de l’époque. Mais la carrosserie de la Subaru XT n’est pas seulement futuriste, elle est aussi efficace en proposant un des meilleurs Cx du marché (0,29 !) et propose un style bien à elle.
Commercialisée tout d’abord sur le marché américain à partir de février 1985, sa diffusion est étendue au Japon en juin 1985 (sous la dénomination Subaru Alcyone) puis en Australie/Nouvelle Zélande (sous la dénomination Subaru Vortex) ainsi qu’en Europe. Lors de ses débuts, la Subaru XT n’est disponible qu’avec un moteur quatre cylindres à plat, un boxer tout aluminium de 1.781cm3 à injection avec une puissance de 97Ch, disponible en version turbo pour 112Ch, la XT Turbo pouvant recevoir la traction intégrale enclenchable en option.
Toujours côté transmission, la Subaru XT est offerte de base avec une boite manuelle à cinq rapports mais en option, une boite automatique à quatre rapports peut équiper la voiture. Davantage destiné à améliorer l’image de Subaru en proposant un véhicule « haut de gamme », le coupé XT s’offre des équipements atypiques pour son époque comme une suspension pneumatique gérée par ordinateur, dont la garde au sol peut être modifiée à la guise du conducteur. L’habitacle n’est pas en reste et offre une ambiance typiquement année 1980 : volant asymétrique, cadrans digitaux, fauteuils enveloppants à tissus velours…
Malgré ces efforts, la Subaru XT reste une voiture à la diffusion confidentielle, pénalisée par l’absence d’image de marque de Subaru, mais aussi par son prix qui la met face aux voitures allemandes telles que BMW, voire Mercedes… En 1987, pour tenter de se démarquer davantage, la Subaru XT s’offre plus de puissance, le quatre cylindres turbo développe désormais 117Ch aux Etats-Unis, 135Ch au Japon et en Europe. Surtout, 1987 marque l’arrivée du boxer six cylindres de 2,7 litres pour 145Ch (150Ch au Japon et en Europe) et à transmission intégrale permanente, version civile du prototype de la Subaru ACX-II qui fut dévoilée au salon de Tokyo 1985.
L’offre de la Subaru XT reste ainsi figée jusqu’à la fin du modèle, actée en 1991 pour laisser place à un nouveau coupé, la Subaru SVX. Malgré tout, c’est 98.918 Subaru XT qui furent écoulées, un beau score d’autant que la voiture échoue au Japon avec à peine plus de 8.000 unités commercialisées. Et la France dans tout ça ? Ce fut un zéro pointé car la voiture n’est pas commercialisée dans nos contrées en raison du contingentement des importations japonaises d’automobiles.
Certes, il y avait bien Baboulin (le même que les Buggy et ambulances) qui importa depuis 182,et à partir de la Suisse, des Subaru, mais sa faillite à la fin des années 1980, peu de temps après la présentation de la XT, laisse présager d’un chiffre nul sur ce coupé. Alors pour en trouver une, direction la Suisse (avec le dédouanement…) ou l’Allemagne…
Source : lautomobileancienne.com - Przemek Michalak
dimanche 2 novembre 2025
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Mi-coccinelle.... mi-camper : cette hybride est une voiture rarissime qui donne envie de partir !!
Les amateurs de voitures de collection savent combien il est merveilleux d'en posséder une, d'en prendre soin et de la conduire autant que possible.
Lorsque cette voiture est une icône intemporelle du secteur automobile, la passion qu'elle suscite amène les propriétaires à la rendre de plus en plus spéciale, et à l'adapter de la manière la plus originale. Et c'est précisément de l'un de ces réajustements dont nous voulons vous parler, en présentant un véhicule facilement reconnaissable, le plus résistant jamais produit.
C'est la Coccinelle Volkswagen, la voiture qui avec ses formes emblématiques a séduit des millions de personnes dans le monde entier. Imaginez donc qu'elle devienne un camper ! Il ne s'agit pas d'un fantasme, mais de la réalité : la Coccinelle, peut-être plus que toute autre voiture, s'est prêtée, au cours de sa carrière de plusieurs décennies, à être transformée de mille façons différentes. Et, parmi toutes les variantes présentées, la Coccinelle est également devenue un étrange mais sympathique croisement entre voiture et camping-car.
Avec l'avant de la Coccinelle, un "corps" de camping-car et un moteur avant renforcé, cet hybride est original : un seul regard donne envie de prendre le volant, heureux de profiter d'un véhicule doté de plus d'espace que la Coccinelle traditionnelle, sans que son magnifique aspect n'ait été modifié.
Bien sûr, le "Camper Bug" (ou "Super Bugger") n'est pas un véhicule capable d'accueillir une grande famille, mais pour un voyage en couple, il est plus que suffisant. À l'intérieur, les prestations et les équipements typiques d'un camping-car sont bien présents, ce qui fait de ce véhicule un hybride vraiment réussi. Ce camping-car très spécial a été créé en 1975 en Californie et est devenu depuis lors une véritable rareté pour les collectionneurs.
Les propriétaires des quelques exemplaires en circulation ne manquent d'ailleurs pas l'occasion de les présenter lors de rallyes et de salons consacrés aux voitures anciennes. Il ne nous reste plus qu'à l'admirer et à rêver, en espérant donc qu'un jour nous pourrons profiter d'un voyage à bord de cette "maison-coccinelle" sur roues !
Source : CBC News- curioctopus.fr/
Lorsque cette voiture est une icône intemporelle du secteur automobile, la passion qu'elle suscite amène les propriétaires à la rendre de plus en plus spéciale, et à l'adapter de la manière la plus originale. Et c'est précisément de l'un de ces réajustements dont nous voulons vous parler, en présentant un véhicule facilement reconnaissable, le plus résistant jamais produit.
C'est la Coccinelle Volkswagen, la voiture qui avec ses formes emblématiques a séduit des millions de personnes dans le monde entier. Imaginez donc qu'elle devienne un camper ! Il ne s'agit pas d'un fantasme, mais de la réalité : la Coccinelle, peut-être plus que toute autre voiture, s'est prêtée, au cours de sa carrière de plusieurs décennies, à être transformée de mille façons différentes. Et, parmi toutes les variantes présentées, la Coccinelle est également devenue un étrange mais sympathique croisement entre voiture et camping-car.
Bien sûr, le "Camper Bug" (ou "Super Bugger") n'est pas un véhicule capable d'accueillir une grande famille, mais pour un voyage en couple, il est plus que suffisant. À l'intérieur, les prestations et les équipements typiques d'un camping-car sont bien présents, ce qui fait de ce véhicule un hybride vraiment réussi. Ce camping-car très spécial a été créé en 1975 en Californie et est devenu depuis lors une véritable rareté pour les collectionneurs.
Les propriétaires des quelques exemplaires en circulation ne manquent d'ailleurs pas l'occasion de les présenter lors de rallyes et de salons consacrés aux voitures anciennes. Il ne nous reste plus qu'à l'admirer et à rêver, en espérant donc qu'un jour nous pourrons profiter d'un voyage à bord de cette "maison-coccinelle" sur roues !
Source : CBC News- curioctopus.fr/
CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Cette aide méconnue de la CAF permet de prendre en charge les réparations de sa voiture
Une panne automobile peut vite engendrer des frais importants, parfois à quatre chiffres. Pour soutenir les familles en difficulté, la CAF propose une aide à la réparation des véhicules. Une voiture qui tombe en panne est toujours un coup dur. Une boîte de vitesses, un système d’échappement ou encore un embrayage à changer et c’est vite une facture à quatre chiffres qui tombe entre les mains du propriétaire.
Consciente de ces pannes couperets, la Caisse d’Allocations Familiales (CAF) met à disposition des familles en situation financière précaire un dispositif méconnu : l’aide à la réparation des véhicules.
Cette aide vise à permettre la prise en charge partielle des frais de réparation imprévus indispensables pour garantir la mobilité nécessaire à la vie familiale et professionnelle. Elle ne concerne donc pas l’entretien courant (vidange, filtres, plaques d’immatriculation, etc.), mais bien les réparations mécaniques, électriques ou de carrosserie urgentes et vitales pour le maintien d’un véhicule fonctionnel.
Quelles sont les conditions d’octroi de cette aide ?
Pour bénéficier de cette aide, vous devez impérativement satisfaire certaines conditions, mais celles-ci sont différentes en fonction des départements.
Dans l’Orne par exemple, il faut être allocataire CAF et percevoir au moins une prestation familiale. Avoir au moins un enfant de moins de 20 ans à charge et un quotient familial inférieur ou égal à 900 euros. Ce qui correspond par exemple à un couple avec un enfant et un salaire mensuel brut de 2.200 euros brut.
Dans la Vienne les conditions sont toutes autres : l’aide concerne les familles monoparentales, les familles ayant 3 enfants ou plus, les familles ayant un enfant porteur de handicap ou parents victimes de violences conjugales. Il est donc essentiel de se renseigner sur les conditions fixées par le département duquel on dépend.
Il est important de préciser que l’aide à la réparation de véhicule proposée par la CAF n’est pas un don financier gratuit, mais un prêt à taux zéro. Son montant, plafonné varie en fonction des départements entre 500 et 2000 euros, il est versé directement au garage et sera remboursé par retenues mensuelles sur vos prestations familiales.
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...
CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - LA FIAT MULTIPLA DE 1956 ÉTAIT DÉJÀ UN OVNI !!
Le Garage du cœur, la rubrique auto rétro de “M”, jette cette semaine un regard attendri sur la première génération de Fiat Multipla. Monospace avant l’heure, ce modèle possédait, comme la version née en 1998, des lignes particulièrement étonnantes.
ans que l’on sache toujours très bien quelle est la part de l’ironie et quelle est celle de l’affect dans cette dénomination, les voitures destinées aux familles nombreuses sont volontiers qualifiées de « bétaillère » ... La faute à des souvenirs de départs en vacances entassés sur la banquette, entre la petite sœur, malade depuis le premier virage, et le panier du chat (malade, lui aussi, les miaulements en plus). S’agissant de la première génération de la Fiat Multipla, née en il y a tout juste soixante ans, le terme ne convient guère. Question de gabarit, sans doute.
Six personnes entassées dans une voiture longue de 3,50 mètres (à titre de comparaison, l’actuelle Fiat 500 mesure 3,57 m) évoque davantage la boîte de sardines que l’engin agricole.
Pas de capot, le moteur à la place du coffre
Basée sur la Fiat 600 née un an avant elle, la Multipla est lancée au salon de Bruxelles 1956. La marque de Turin la présente comme « la seule voiture particulière avec cabine avancée ». En l’absence de capot, le poste de conduite se trouve en première ligne, alors que le compartiment moteur est relégué dans ce qui pourrait être le coffre mais n’en est pas un. D’où ce profil assez étonnant induit par une proue plate et une poupe allongée. De prime abord, on se demande où se trouve l’avant. En fait, il se trouve à l’arrière, et réciproquement.
Cette architecture apparemment incongrue – mais on ne peut plus logique pour obtenir un rapport habitabilité encombrement favorable – attirera les remarques plus ou moins sarcastiques de ceux qui n’avaient pas de famille nombreuse à transporter où disposaient des moyens de se payer un gros break (une bétaillère, donc), voire un Combi Volkswagen. La deuxième Multipla, apparue en 1998 et reconnaissable, elle, à son curieux « nez » évoquant celui d’un ornithorynque, inspirera davantage encore les moqueries.
En concevant une carrosserie monovolume accueillant trois banquettes, bref en privilégiant l’habitabilité sans sacrifier aux contraintes d’aérodynamique, Dante Giacosa jette les bases du monospace avec trente ans d’avance. Ce dont le père de la première Fiat 500 ne se soucie guère car il n’a jamais cherché à théoriser grand-chose autour de la Multipla, une voiture destinée aux familles nombreuses modestes. Fiat a fait du monospace comme Monsieur Jourdan faisait de la prose.
Hormis des trains avant et arrière renforcés, une suspension plus costaude, des tambours de freins élargis et des rapports de boîte étagés un peu différemment, c’est la mécanique de la petite Fiat 600 qui est à l’œuvre. Un quatre-cylindres de 633 cm3 développant péniblement 21 ch (selon la définition de l’époque). Il existe aussi une version 4-5 places et une variante taxi, avec ses petits strapontins, qui connaîtra un assez grand succès. Reste que la Multipla peut embarquer six personnes mais pas leurs bagages. Heureusement, Fiat propose en option une galerie de toit. Ainsi lestée, on n’ose imaginer quelle pouvait être la tenue de route d’une 600 Multipla… En 1960, la petite Fiat des grandes familles hérite d’un nouveau moulin, un 767 cm3 de 32 ch qui lui permet – pure folie ! – de légèrement dépasser les 100 km/h. Sa carrière prendra fin en 1965 après 240 000 unités produites et diffusées principalement en Italie, et en Espagne sous la marque Seat, alors filiale du groupe italien. La relève sera assurée par la Fiat 850 Familiale. Un petit utilitaire autrement plus spacieux mais qui arrivera comme les carabiniers : au milieu des années 1960, en effet, le baby-boom était déjà presque terminé.
Source : lemonde.fr / Par Jean-Michel Normand
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