mardi 2 septembre 2025
lundi 1 septembre 2025
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - En panne dans le désert.... il construit une moto avec les restes de sa 2CV !
En 1993, le français Emile Leray a vécu une histoire incroyable. En escapade dans le désert marocain, l’homme est tombé en panne avec sa 2CV. Son ingéniosité lui a néanmoins permis de construire une moto avec les restes de son véhicule avant de retrouver le chemin de la civilisation. Un accident au milieu du désert Face à une situation de danger extrême, certaines personnes peuvent faire preuve d’une ingéniosité sans faille. L’ingénieur électricien Emile Leray est l’un de ces individus. En 1993, il se trouve au Maroc et entreprend un périple à travers le désert avec sa Citroën 2CV. Toutefois, il heurte un rocher et se retrouve coincé au milieu des étendues de sable.
Emile Leray se demande alors comment il va pouvoir rejoindre le premier endroit habité se trouvant à plusieurs heures de marches. Or, entreprendre le trajet à pied sous un soleil de plomb semble être une très mauvaise idée. Loin de se démonter, l’homme remarque que son véhicule comporte encore trois roues valides. Comme l’ingénieur l’explique sur son site officiel, il décide de transformer son « chameau d’acier », nom que l’on donne à la 2CV en Afrique, en moto.
Un exemple d’ingéniosité
Dans un premier temps, Emile Leray désosse complémentent sa 2CV afin de se servir de la carrosserie comme d’un abri de fortune. Ensuite, il se met au travail et parvient à fixer les trois roues restantes au châssis de la voiture et obtient un équilibre suffisant pour rouler au moins quelques heures. Après avoir raccourci le cadre et fixé les essieux, il utilise le parechoc arrière de la voiture en guise de siège. Enfin, Emile Leray place une suspension au niveau de la roue arrière et cale l’allumage au guidon.
Ce travail de fourmi lui aura pris pas moins d’une douzaine de jours, et ce, sans perceuse et poste de soudure.
Sur le chemin de la civilisation, plus précisément la petite ville de Tan-Tan, l’homme est stoppé par la police locale.
Il écope d’une amende équivalente à 450 euros, car la moto de fortune ne répond pas aux normes de la 2CV. Malgré ce contretemps, l’ingénieur finit par arriver à bon port. Après avoir sauvé sa propre vie, Emile Leray a consacré une partie de son temps à inventer d’autres engins.
En 2006, il effectue un trajet de 6 000 km à travers le Maroc, la Mauritanie et le Mali où il parviendra à transformer sa nouvelle 2CV en bateau. Son objectif était alors de traverser le fleuve Sénégal !
Source : Yohan Demeure - sciencepost.fr/Féroce
Féroce
dimanche 31 août 2025
CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - L'HISTOIRE DE LA 2 CV CITROËN VUE D'UNE AUTRE FAÇON ....
« faire une voiture pouvant transporter quatre personnes et 50 kg de pommes de terre ou un tonnelet, à la vitesse maximale de 60 km/h, pour une consommation de 3 litres au cent, un faible coût d’entretien et un prix de vente du tiers de la traction ».
La réputation de la 2CV se fait toute seule, elle va partout, par tous les temps. Tous l’adoptent : de l’agriculteur au V.R.P. en passant par la religieuse.
La presse ne tarit pas d’éloges sur son confort, sa facilité d’utilisation et sa robustesse, mais déplore la finition un peu trop spartiate et faibles aptitudes en côte.
Mais c’est finalement en février 1989 que la chaîne de production française de la 2CV s’arrête. Mais en plus de rester dans les coeurs des anciens, la 2CV rentre désormais dans l’histoire. En effet, après 5 114 940 exemplaires produits dans le monde, la 2CV est devenue un mythe et symbolise un art de vivre.
La dernière de celles que l’on appellera les « dodoches » sort de l’usine de Mangualde, au Portugal le 27 Juillet 1990… à 16H.C’est une fin regrettable pour tous, entre mélancolie et tristesse. Actuellement, c’est d’une autre histoire qu’il s’agit, l’histoire de la mémoire de cette voiture aux milles aventures, celle de la 2CV et de ses amoureux à travers tous les clubs Citroën.
Source : MrOlmart
La presse ne tarit pas d’éloges sur son confort, sa facilité d’utilisation et sa robustesse, mais déplore la finition un peu trop spartiate et faibles aptitudes en côte.
Mais c’est finalement en février 1989 que la chaîne de production française de la 2CV s’arrête. Mais en plus de rester dans les coeurs des anciens, la 2CV rentre désormais dans l’histoire. En effet, après 5 114 940 exemplaires produits dans le monde, la 2CV est devenue un mythe et symbolise un art de vivre.
La dernière de celles que l’on appellera les « dodoches » sort de l’usine de Mangualde, au Portugal le 27 Juillet 1990… à 16H.C’est une fin regrettable pour tous, entre mélancolie et tristesse. Actuellement, c’est d’une autre histoire qu’il s’agit, l’histoire de la mémoire de cette voiture aux milles aventures, celle de la 2CV et de ses amoureux à travers tous les clubs Citroën.
Source : MrOlmart
CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - LA MERCEDES-BENZ 300 SL PAPILLON ...L'AUTOMOBILE DE VOS RÊVES !!
La Mercedes-Benz 300 SL « papillon » est un modèle d'automobiles à deux places coupé et cabriolet du constructeur automobile allemand Mercedes-Benz conçu et dessiné par le designer Friedrich Geiger, commercialisé de 1954 à 1963 et entré depuis dans la légende des automobiles de rêve.
Elle est considérée comme la plus emblématique des Mercedes produite après la Seconde Guerre mondiale pour son originalité, ses qualités techniques et esthétiques. À la suite de la victoire de la Mercedes-Benz W194 « 300 SL » à la Carrera Panamericana 1952, le très dynamique concessionnaire multi-marque américain Max Hoffman (en) vient trouver les dirigeants de Mercedes-Benz à Stuttgart pour les convaincre de réaliser une version de route de la W194. Sûr de son fait et de sa clientèle, il commande les 1 000 premiers exemplaires et livre même un important acompte.
La nouvelle W198 qui fait sa première apparition au Salon de New-York sous la forme d'un coupé avec les mêmes étonnantes « portes papillon » que son aînée.
Le modèle 300 SL, basé sur une voiture de compétition à succès, est célèbre pour être la première Mercedes équipée de l'injection d'essence. « 300 » indique la cylindrée de trois litres. La terminologie « SL » signifie « Sport Leicht » (pour « sport léger »).
Au vu du prix stratosphérique de 11 000 $ en 1955 pour l'acquisition d'une 300 SL, une version « light » fut construite sur la même chaine de montage de Fellbach (Allemagne) sous l'appellation 190 SL. Malgré leur silhouettes très similaires, la 300 SL et la 190 SL sont deux véhicules très différents au point de vue technologique.
La 300 SL, contrairement à la 190 SL, présentait des aspects techniques que nul autre modèle n'offrait à l'époque tels : un châssis tubulaire (comme une moto), alimentation par injection (à partir de 1955), freins à disques (à partir de 1962), etc. En tout état de cause, les deux modèles 300 SL et 190 SL furent remplacés en 1963 par un modèle unique : le roadster 230 SL.
Une toute petite première série de la 300 SL, reconnaissable à ses feux de position au sommet des ailes avant, dotée d'un moteur six-cylindres de 3,6 L à carburateurs, fut produite avant sa vraie production qui commence en août 1954. Dès 1954, Mercedes-Benz produisit également des carrosseries légères en plastique armé de fibre de verre2. 80 % de la production fut vendue aux États-Unis, ainsi que l'avait prédit son importateur Max Hoffman, ce qui contribua fortement dans ce pays à donner à Mercedes-Benz une image de voitures sportives et même « sexy ».
Elle était construite en acier à l'exception du capot, des portes et du coffre qui étaient en aluminium. Il était possible de commander une carrosserie tout en aluminium qui permettait d'alléger le véhicule de 80 kg pour un prix plus élevé (seulement 29 exemplaires furent ainsi produits : 26 en 1955 et 3 en 1956). La production très limitée de cette dernière en fait une des automobiles de collection les plus chères de l'histoire de l'automobile.
Le coupé est doté de portes papillon, solution technique adoptée à cause du châssis tubulaire et du seuil élevé de la porte. Ces portes papillon ont comme inconvénient majeur de déverser l'eau de pluie sur la tête des occupants lors de leur ouverture.
Il fut vendu de 1954 à 1957. L'entrée et la sortie de la voiture requiert un peu de gymnastique en obligeant à glisser ou s’asseoir d’abord sur le seuil. Cela est facilité par le basculement du volant.
Source : Motorsport France
Elle est considérée comme la plus emblématique des Mercedes produite après la Seconde Guerre mondiale pour son originalité, ses qualités techniques et esthétiques. À la suite de la victoire de la Mercedes-Benz W194 « 300 SL » à la Carrera Panamericana 1952, le très dynamique concessionnaire multi-marque américain Max Hoffman (en) vient trouver les dirigeants de Mercedes-Benz à Stuttgart pour les convaincre de réaliser une version de route de la W194. Sûr de son fait et de sa clientèle, il commande les 1 000 premiers exemplaires et livre même un important acompte.
La nouvelle W198 qui fait sa première apparition au Salon de New-York sous la forme d'un coupé avec les mêmes étonnantes « portes papillon » que son aînée.
La 300 SL, contrairement à la 190 SL, présentait des aspects techniques que nul autre modèle n'offrait à l'époque tels : un châssis tubulaire (comme une moto), alimentation par injection (à partir de 1955), freins à disques (à partir de 1962), etc. En tout état de cause, les deux modèles 300 SL et 190 SL furent remplacés en 1963 par un modèle unique : le roadster 230 SL.
Une toute petite première série de la 300 SL, reconnaissable à ses feux de position au sommet des ailes avant, dotée d'un moteur six-cylindres de 3,6 L à carburateurs, fut produite avant sa vraie production qui commence en août 1954. Dès 1954, Mercedes-Benz produisit également des carrosseries légères en plastique armé de fibre de verre2. 80 % de la production fut vendue aux États-Unis, ainsi que l'avait prédit son importateur Max Hoffman, ce qui contribua fortement dans ce pays à donner à Mercedes-Benz une image de voitures sportives et même « sexy ».
Elle était construite en acier à l'exception du capot, des portes et du coffre qui étaient en aluminium. Il était possible de commander une carrosserie tout en aluminium qui permettait d'alléger le véhicule de 80 kg pour un prix plus élevé (seulement 29 exemplaires furent ainsi produits : 26 en 1955 et 3 en 1956). La production très limitée de cette dernière en fait une des automobiles de collection les plus chères de l'histoire de l'automobile.
Le coupé est doté de portes papillon, solution technique adoptée à cause du châssis tubulaire et du seuil élevé de la porte. Ces portes papillon ont comme inconvénient majeur de déverser l'eau de pluie sur la tête des occupants lors de leur ouverture.
Il fut vendu de 1954 à 1957. L'entrée et la sortie de la voiture requiert un peu de gymnastique en obligeant à glisser ou s’asseoir d’abord sur le seuil. Cela est facilité par le basculement du volant.
Source : Motorsport France
samedi 30 août 2025
CLUB5A - MOTO DE LEGENDE - ESSAI MOTO CLASSIQUE : MOTOBÉCANE 125 LT 3, FIN DE RACE
Pas facile d’imposer une 125 sur le marché lorsqu’on s’appelle Motobécane. Le créateur de la Mobylette avait pourtant fini par trouver une bonne formule avec cette fringante LT3. Mais trop tard…« Cette moto, c’est le point d’orgue de ma collection de mobs. Aujourd’hui, elle est capable de tailler des croupières à la plupart des 125 modernes. Mais elle m’a tellement pris le chou pour la remettre en état, que j’ai failli la brûler ! »
Essai moto classique : Motobécane 125 LT 3, fin de race.
(Photo Jacky Ley)
« C’est un modèle assez rare : l’un des derniers produits par Motobécane, reconnaissable à son sélecteur à gauche, ses compteurs à fond noir et ses coloris acidulés, vert, bleu ou orange. De mes propres souvenirs, confirmés en me replongeant dans les vieux MJ d’époque, la Tobec n’avait pas la partie facile face à ses rivales nippones. » Pas facile d’imposer une 125 sur le marché lorsqu’on s’appelle Motobécane. Le créateur de la Mobylette avait pourtant fini par trouver une bonne formule avec cette fringante LT3. Mais trop tard…
« Cette moto, c’est le point d’orgue de ma collection de mobs. Aujourd’hui, elle est capable de tailler des croupières à la plupart des 125 modernes. Mais elle m’a tellement pris le chou pour la remettre en état, que j’ai failli la brûler ! »
« C’est un modèle assez rare : l’un des derniers produits par Motobécane, reconnaissable à son sélecteur à gauche, ses compteurs à fond noir et ses coloris acidulés, vert, bleu ou orange. De mes propres souvenirs, confirmés en me replongeant dans les vieux MJ d’époque, la Tobec n’avait pas la partie facile face à ses rivales nippones. »
« Après avoir titillé les carbus à cuve commune, le petit twin aux ailettes carrées commence à miauler. Rhâââ, un beau p’tit bruit de cylindres à trous qui me rappelle ma première Suz GT 250 ! Ses 92 kg sont taillés dans la plume. Elle est tout légère à man?uvrer et superagile grâce à ses minuscules enveloppes. »
« Au fil des kilomètres, le plaisir de piloter cette petite teigne devient manifeste. Elle est saine et rigolote, malgré sa boîte vraiment pas terrible (ferme et imprécise) et sa poignée de gaz dure. La plage d’utilisation est vite repérée : que dalle sous les 6 000, tout entre 7 000 et 8 5000 tr/min, à l’entrée de la zone rouge. »
Le verdit de notre essayeur : « Soyons clair : côté accélération, la LT3 n’a pas à rougir, trente-cinq ans après, de ses performances, loin de là.
Source : moto-station.com/jerome cauchard-
Essai moto classique : Motobécane 125 LT 3, fin de race.
(Photo Jacky Ley)
« C’est un modèle assez rare : l’un des derniers produits par Motobécane, reconnaissable à son sélecteur à gauche, ses compteurs à fond noir et ses coloris acidulés, vert, bleu ou orange. De mes propres souvenirs, confirmés en me replongeant dans les vieux MJ d’époque, la Tobec n’avait pas la partie facile face à ses rivales nippones. » Pas facile d’imposer une 125 sur le marché lorsqu’on s’appelle Motobécane. Le créateur de la Mobylette avait pourtant fini par trouver une bonne formule avec cette fringante LT3. Mais trop tard…
« Cette moto, c’est le point d’orgue de ma collection de mobs. Aujourd’hui, elle est capable de tailler des croupières à la plupart des 125 modernes. Mais elle m’a tellement pris le chou pour la remettre en état, que j’ai failli la brûler ! »
« C’est un modèle assez rare : l’un des derniers produits par Motobécane, reconnaissable à son sélecteur à gauche, ses compteurs à fond noir et ses coloris acidulés, vert, bleu ou orange. De mes propres souvenirs, confirmés en me replongeant dans les vieux MJ d’époque, la Tobec n’avait pas la partie facile face à ses rivales nippones. »
« Après avoir titillé les carbus à cuve commune, le petit twin aux ailettes carrées commence à miauler. Rhâââ, un beau p’tit bruit de cylindres à trous qui me rappelle ma première Suz GT 250 ! Ses 92 kg sont taillés dans la plume. Elle est tout légère à man?uvrer et superagile grâce à ses minuscules enveloppes. »
Source : moto-station.com/jerome cauchard-
vendredi 29 août 2025
CLUB5A - LA FRANCE A MOTOS ANCIENNES - ETAPE A LA CITE DE CARCASSONNE...C'ETAIT LE 25 AOUT 2025 AU PRADO !
Ce lundi en fin d'après-midi, Carcassonne a résonné au rythme des cylindres d'antan. Pour la troisième fois, la ville à réceptionné une étape du Tour de France à Motos Anciennes (FMA). Cette grande expédition mécanique, orchestrée par le groupement des amateurs de véhicules anciens de Picardie (GAVAP-MOTO), a attiré une soixantaine d'enthousiastes provenant de toute la France ainsi que des pays limitrophes.
Leur but : couvrir plus de 4 500 km à travers la France, du 16 août au 6 septembre, sur des motos mises en circulation avant le 31 décembre 1954.
Notre club, les 5A (association audoise des amateurs d'automobiles anciennes), a eu le plaisir d'accueillir les motocyclistes au Prado à Carcassonne, à la Cité, avec une exposition de motos à partir de 18h. L'opportunité d'apprécier de véritables merveilles mécaniques.
« Ce sont des machines d’avant-guerre, c’est comme un vrai musée sur 2 roues », « Cela attire les foules car ce sont de magnifiques pièces. »
Dans la liste des participants prévus, ont suscité l'admiration…surtout les femmes pilotes.
Ils ont certainement ravivé la nostalgie des passionnés de motos classiques d'antan : une Ariel Square Four de 1953, une Sarolea 600 T6 de 1948, une Indian Chief 1 200 de 1938, sans oublier une Monet-Goyon LS4L de 1934 et une Harley 1 200 Knucklehead de 1940 qui étaient toutes présentes dans le contingent des engins participant à l'événement.
De nombreux fabricants de motos de renom ont également figuré au générique du FMA 2025 : Des marques telles que Motobécane, Terrot, BMW, Guzzi, Bianchi ainsi que la société allemande NSU Motorenwerke AG et la Birmingham Small Arms Company Limited (BSA) ont également fait partie de l'événement.
Une variété autorisée grâce à une nuance réglementaire stipulant qu'« il ne peut y avoir plus de 3 véhicules identiques (marque, modèle, cylindrée, année de production) ».
Les membres du club ont organisé une réception pour accueillir dignement les participants au tour, rendant ce rendez-vous tout sauf banal, qui a été suivi d’un apéritif dinatoire. (Merci les bénévoles du club)
« Nous les accueillons à Carcassonne pour la troisième fois. » « Ce sont des amis avec qui nous participons à des rallyes », confie Régis Périch. "Ils s'arrêtent dans chaque ville dynamique concernant les voitures anciennes."
Ce tour, organisé tous les deux à trois ans, réactive un segment entier de l'histoire mécanique grâce à l'ardeur de passionnés.
Des passionnés de moto qui savent apprécier le moment, conformément aux règles du FMA : « Cet événement, qui ne favorise ni la compétition ni la vitesse, basé sur les performances, a pour but de démontrer qu'une motocyclette, quelle que soit son âge, peut parcourir une longue distance avec une grande fiabilité. »
Merci aux responsables de GAVAP Moto, Régis Périch, Régis Arnaud et à l'ensemble des bénévoles qui ont participé à cet événement.
Photos : PL-Famille Raynaud-Dominique Guilard
CLUB5A - HUMOUR AUTO - LA SIMCA 1000 AVEC LES CHEVALIERS DU FIEL !
À la fin des années 1980, Eriec Carrière, docteur en sociologie, et Francis Ginibre, diplômé des Beaux-Arts, font leurs débuts sur scène dans une cave-spectacle de Toulouse.
Leurs premières apparitions télévisuelles se font sur TLT (Télé Toulouse), avec des courts métrages comiques (La clinique Saint-Thomas de Pinsaguel, Buck et Nick, Jean-Paul André).
En cinq saisons, cinq nouveaux spectacles se succèdent. Après s'être donné en spectacle plusieurs années au festival d'Avignon, le duo se produit à Paris.
Il monte sur scène en septembre 1995 à l'Européen mais leur spectacle ne connaît pas un franc succès, échec en grande partie lié à la fameuse grève des transports. Ce revers va se transformer en difficultés financières, les humoristes étant leurs propres producteurs.
Mais le duo ne se décourage pas et, en 1996, il est à l'affiche pour trois semaines au théatre Grévin. En réalité, le succès de leur spectacle leur permet de se produire quatre mois. La même année, les Chevaliers du fiel font leur première télévision nationale avec Michel Drucker et sortent leur chanson humoristique La Simca 10002,3 dont ils vendent 400 000 exemplaires en six mois.
Source : turbo.fr / Source : bourraslandboss
CLUB5A - PHOTO INSOLITE - TEST TOIT !!
Nous sommes en juin de 1933.
Citroën est passé à la toiture acier, pour ne pas parler d’accident qui est mal interprété dans une publication, on démontre l’efficacité par un exploit.
Donc on charge la toiture de la voiture avec 5 tonnes, et on prouve l’efficacité par l’ouverture et la fermeture des portes.
Bonne journée
Source : Henri Florin
CLUB5A-REPORTAGE AUTO - LANCEMENT DE LA PEUGEOT 403...C’ÉTAIT EN 1955 !!
La Peugeot 403 est présentée à la presse et aux badauds parisiens en avant-première le 20 avril 1955 au Palais de Chaillot au Trocadero à Paris.
C'est au salon 1957 que fut présentée par le constructeur Peugeot la première automobile 403 berline N4Y à sécurité passive.
Peugeot supprimait le lion du capot, offert à l'acheteur toutefois, et remplacé par une petite baguette chromée (pour 1959 montage d'une grande baguette chromée).
Plus tard, en 1957, les flèches arrière seront remplacées par des clignotants, les codes européens apparaîtront et les essuie-glaces deviendront parallèles en 1958.
Source : philippe baron
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