samedi 12 juillet 2025
vendredi 11 juillet 2025
CLUB5A - 36ème TOUR DE L'AUDE EDITION 2025 - CONFERENCE DE PRESSE DU 8 JUILLET A LA CONCESSION RENAULT DE CARCASSONNE...
Conférence de presse de la 36e édition du Tour de l'Aude, organisée par l'association audoise des amateurs d'automobiles anciennes, démarrera ce vendredi 11 juillet à 8h30 devant la porte narbonnaise de la Cité de Carcassonne. Ce vendredi, dès 8h, ceux qui souhaitent assister à cet événement peuvent se diriger vers la cité de Carcassonne pour découvrir ce véritable musée automobile éphémère.
Régis Arnaud (président du club) et Jean Guilhaumon ainsi que l’ensemble des bénévoles poursuivent l’aventure afin que ce rallye rassemble le plus beau plateau possible d’année en année avec un programme toujours en innovation..
Cependant, avant le coup d'envoi du rallye, les membres des 5A ont été conviés le 8 juillet 2025 à 17h30 à la concession RENAULT groupe Peyrot sur la route de Narbonne à CARCASSONNE pour assister et participer à la conférence de presse qui marquera officiellement le début de cet événement, le 36ème TOUR de L'AUDE.
Nous sommes reconnaissants envers ce sponsor qui nous appuie tout au long de l'année lors de nos événements et qui s'avère indispensable.
Des figures importantes de la mairie et du département étaient présentes pour apporter leur soutien à cet événement. Un buffet délicieux assorti de boissons fraîches a suivi cette conférence de presse.
N'hésitez pas, également, à vous joindre aux membres du club des 5A lors de la « Fête des 5A-Journée Club », sortie automobile qui débutera le dimanche 13 juillet 2025.
Source : PL
CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE LA DAF 600.. ...LA JONQUILLE DES PAYS-BAS !!
La Daf 600 est la première automobile du constructeur d'origine néerlandaise DAF.
Dessinée par Johan van der Brugghen, la DAF 600 fut la première voiture produite en série uniquement avec une transmission à variateur.
C'était la volonté des frères Van Doorne de fabriquer un véhicule accessible et facile à conduire grâce à cette transmission simple et très souple. Dans les années 60 en France, le grand public confondait souvent la DAF 600 et les autres modèles de la marque, mal connue et un peu méprisée par les conducteurs français, sous le sobriquet "Daffodil" ("Jonquille" en anglais - nom de la DAF 30) au point que beaucoup croyaient même que le vrai nom de la marque était "Daffodil", dont "DAF" n'aurait été que l'abréviation.
Le procédé a été développé dès le xixe siècle pour les machines industrielles, puis adapté à l'automobile à la fin de ce même siècle par Fouillaron. Daf en perfectionna la mise en œuvre.
Elle fut présentée en 1958 au salon RAI d'Amsterdam et 30 563 exemplaires sont sortis des chaînes.
Source : EDtv
Dessinée par Johan van der Brugghen, la DAF 600 fut la première voiture produite en série uniquement avec une transmission à variateur.
C'était la volonté des frères Van Doorne de fabriquer un véhicule accessible et facile à conduire grâce à cette transmission simple et très souple. Dans les années 60 en France, le grand public confondait souvent la DAF 600 et les autres modèles de la marque, mal connue et un peu méprisée par les conducteurs français, sous le sobriquet "Daffodil" ("Jonquille" en anglais - nom de la DAF 30) au point que beaucoup croyaient même que le vrai nom de la marque était "Daffodil", dont "DAF" n'aurait été que l'abréviation.
Source : EDtv
CLUB5A - AUTO DE LEGENDE - LE LAND-ROVER ..LE CHOUCHOU DES BAROUDEURS !!
Le Garage du cœur, la rubrique auto rétro de “M”, revient sur l’épopée de cette star des tout-terrain née après-guerre, qui connut de nombreux adeptes, des agriculteurs à la reine d’Angleterre.
Si la Jeep est la mère de tous les 4x4, le Land Rover Defender restera comme son rejeton le plus attachant.
Après une carrière longue de cinquante-sept ans, ce tout-terrain British jusqu’au bout des pneus cessera dans les prochaines semaines d’être fabriqué dans l’usine de Solihull et sera remplacé en 2016 par un modèle aussi performant en matière de franchissement mais bien plus « distinctif », selon le constructeur. On attend de voir… D’où l’organisation d’une tournée d’adieu qui passera samedi 21 novembre par le circuit de Montlhéry, près de Paris, où se retrouveront quelque 600 Defender de tous âges. Une manifestation « privée » réservée (et encore, sur inscription préalable !) aux seuls propriétaires d’un modèle Land Rover. Une approche nombriliste en complet décalage avec la personnalité empathique de la voiture.
Ce véhicule fait partie de ceux – ils sont rares – à avoir créé une marque. L’appellation Land Rover, que l’on peut traduire par « nomade », vint naturellement à l’esprit des frères Spencer et Maurice Wilks quand ils créèrent le modèle, juste après la seconde guerre mondiale. A ces deux dirigeants de la marque Rover, il n’avait pas échappé que les Jeep réformées par l’US Army rencontraient un joli succès dans le monde rural.
La légende veut qu’en villégiature au pays de Galles, ils aient ébauché la silhouette du futur tout-terrain sur le sable d’une plage. Une autre version soutient que c’est en Ecosse que le croquis fondateur aurait été esquissé. Conçu sur le châssis d’une Jeep Willys, le premier Land Rover est présenté au salon d’Amsterdam en 1948. Si la Jeep est la mère de tous les 4x4, le Land Rover Defender restera comme son rejeton le plus attachant.
Après une carrière longue de cinquante-sept ans, ce tout-terrain British jusqu’au bout des pneus cessera dans les prochaines semaines d’être fabriqué dans l’usine de Solihull et sera remplacé en 2016 par un modèle aussi performant en matière de franchissement mais bien plus « distinctif », selon le constructeur. On attend de voir… D’où l’organisation d’une tournée d’adieu qui passera samedi 21 novembre par le circuit de Montlhéry, près de Paris, où se retrouveront quelque 600 Defender de tous âges. Une manifestation « privée » réservée (et encore, sur inscription préalable !) aux seuls propriétaires d’un modèle Land Rover. Une approche nombriliste en complet décalage avec la personnalité empathique de la voiture.
Ce véhicule fait partie de ceux – ils sont rares – à avoir créé une marque. L’appellation Land Rover, que l’on peut traduire par « nomade », vint naturellement à l’esprit des frères Spencer et Maurice Wilks quand ils créèrent le modèle, juste après la seconde guerre mondiale. A ces deux dirigeants de la marque Rover, il n’avait pas échappé que les Jeep réformées par l’US Army rencontraient un joli succès dans le monde rural.
Ses formes sont découpées à la serpe, son pare-brise scindé en deux, ses phares serrés autour de la calandre et le volant est installé en position centrale. Cette dernière caractéristique ne sera pas pérennisée mais n’empêchera pas le Land de pouvoir accueillir trois personnes de front… à condition que l’homme-sandwich installé au milieu se propose de manier le levier de vitesses. La vocation du Land Rover, comme tous les quatre-roues motrices de l’époque, est clairement utilitaire.
L’armée britannique, qui passe les premières commandes, va assurer le démarrage de la production mais les agriculteurs, les pompiers, les services de secours ou les forestiers vont vite l’adopter, et pas seulement au Royaume-Uni. Le Land (à châssis long) est la seule voiture que la reine Elizabeth tient à conduire elle-même, foulard sur le chef, sur les chemins pas toujours carrossables de sa propriété de Balmoral, en Ecosse.
Avec sa pelle de désensablement, le « Land » est à son affaire sur les pistes défoncées de l’Afrique, parmi les congères des Alpes (et des Highlands, bien sûr) ou les fondrières formées par les moussons d’Asie. Dans son sillage naît un imaginaire d’aventurier et de dur à cuire qui sera magnifié par les chromos ripolinés du Camel Trophy et vaudra au tout-terrain anglais une brillante carrière sur petit et grand écran.
Il construit sa popularité dans
la série « Daktari », sera de pratiquement tous les James Bond et assurera le rôle, après quelques transformations, de voiture officielle de Lara Croft au cinéma. La mode du 4x4 urbain, à partir des années 1990, ne va guère gêner la carrière du Land Rover, trop rustique (et pas assez fiable, persiflent certains) pour se prêter à un détournement « lifestyle ». De toute façon, le vrai chic tout terrain, c’est l’affaire du Range Rover.
Il ne viendrait pas à l’idée du gentleman-farmer d’enfiler un smoking et de sauter au volant de son Land qui sera renommé Defender en 1990, époque à laquelle la marque commence à élargir sa gamme. Le Land conserve sa clientèle de professionnels du baroud et d’amateurs de randonnées dans la boue. A condition de chausser les bons pneus, il passe absolument partout.
C’est tout juste s’il ne grimpe pas aux arbres. En revanche, hors de son biotope, le Defender perd tous ses moyens. En ville, il est bien trop encombrant et son rayon de braquage lui interdit de jouer les frimeurs. Sur route, sa suspension archi-raide et sa direction parfaitement flottante rendent sa conduite pour ainsi dire « camionnesque ».
Au bout d’une heure ou deux sur autoroute, les occupants (surtout ceux assis sur une banquette latérale, alignés dans le sens de la marche) implorent une trêve, le dos en miettes, saoulés par le grondement de la mécanique.
Et alors ? C’est pour ça qu’on l’aime. Comme sa cousine la Mini Austin, voila une voiture que l’on adore pour ses défauts. Allez comprendre…
Source : lemonde.fr Par Jean-Michel Normand
jeudi 10 juillet 2025
CLUB5A - SOTIE MOBYLETTES ET 50cc LE 6 JUILLET 2025...SI LES P'TITS CUBES SUR LA ROUTE DU MINERVOIS !
Dimanche 6 Juillet 2025, ils étaient nombreux pour le départ de cette nouvelle édition du MobiTour et rejoindre les petites routes du Minervois.
Comme à l'accoutumée, tous étaient attendus devant le café du Dôme, lieu de rendez-vous, où notre cher Fufu national, accompagné de Philippe et Isabelle SERNA pour la voiture de suivi, nous attendait avec impatience. Suite à la remise du carnet de route et à l'approbation des inscriptions, le départ a eu lieu à 9 heures.
Initialement, une représentation adéquate de concurrents était constituée de mobylettes et de motos 50 ccs très affûtées pour ce parcours qui les conduirait finalement à Rieux Minervois.
Comme c'est souvent le cas lors de ces rassemblements de p'tits cubes, l'atmosphère était très amicale. Bravo à tous pour votre implication.
C’est parti et toute cette petite troupe prenait la direction de Villeneuve-Minervois.
Merci encore une fois à l’intendance, sans qui la qualité d’accueil du club ne serait pas ce qu’il est…
Le temps, lui, était magnifique avec une chaleur digne d’un été, mais avec un vent qui n’était pas toujours à l’avantage des pilotes.
Notre cher président nous honorait en participant à cette sortie Mobylettes... Bien joué, Régis !
Que du plaisir à retrouver ce restaurant désormais célèbre : le Bar du Commerce chez Ahmed à Rieux Minervois. Le service était, comme toujours, impeccable et l'ambiance joyeuse au rendez-vous.
Toutefois, toutes les bonnes choses ont une fin et l'heure était venue de reprendre le chemin du retour.
Les participants devaient parcourir encore des kilomètres pour regagner leur point de départ.
Remerciements à tous les participants, participants et bénévoles toujours disponibles pour fournir de l'aide... On se retrouve au Mobitour suivant en 2026.
Photos : Famille SERNA
CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - LA PEUGEOT CD - SP 66 ...LE DERNIER SOUFFLE..
Charles Deutsch, fidèle à panhard depuis sa séparation avec René Bonnet, a été contraint de tenter de motoriser ses berlinettes aerodynamiques avec des moteurs DKW ou Alfa Romeo, mais sans succès. C’est vers Peugeot, qui vient de lancer la 204, qu’il va se tourner.
Dessinée par la SERA, chere à l’aerodynamicien Robert Choulet, les CD se voient donc équipées du moteur de la toute nouvelle 204 et recoivent l’appui très officieux de l’usine. Ce moteur, d’une cylindrée de 1130cc est préparé avec l’aide du Moteur Moderne. En 1966, ce ne sont pas moins de trois voitures qui sont engagées et pour la première fois au Mans, ces trois voitures sont équipées de pneus slicks Michelin ; Las, les trois voitures devront abandonner.
La N°51, à la 6ème heure suite à un accrochage avec l’ASA , la N°52 , également à la 6ème heure sur panne d’embrayage et la N°53 par accident à la 9ème heure. Heligoin, sous la pluie et à la sortie des esses du tertre rouge sécarte pour laisser passer la Matra 620 de Jo Schlesser mais il part en tete à queue, la Matra heurte l’avant de la CD et en repartant et heurtée par Ferrari P3 de Scarfiotti.
En 1967, c’est cette fois deux CD qui n’auront pas la chance de voir l’arrivée, avec l’abandon à la 5ème heure sur problème moteur de la XX , pilotée par Dayan et Ballot Lena, et de la YY, pilotée par Bertaud et Guillaudin à la 8ème heure.
C’est la fin de la marque CD. Son patron Charles Deutsch, qui avait commencé sa carrière au Mans en 1949 en pilotant une DB à moteur de Traction Avant Citroen, se consolera en prenant entre 1968 et 1980 la direction de l’épreuve. Parmis ses pilotes, le journaliste Alain Bertaut deviendra Président du College des Commissaire sportifs et sera le rédacteur du reglement de l’epreuve jusqu’en 2000.
Source : motorlegend.com
En 1967, c’est cette fois deux CD qui n’auront pas la chance de voir l’arrivée, avec l’abandon à la 5ème heure sur problème moteur de la XX , pilotée par Dayan et Ballot Lena, et de la YY, pilotée par Bertaud et Guillaudin à la 8ème heure.
C’est la fin de la marque CD. Son patron Charles Deutsch, qui avait commencé sa carrière au Mans en 1949 en pilotant une DB à moteur de Traction Avant Citroen, se consolera en prenant entre 1968 et 1980 la direction de l’épreuve. Parmis ses pilotes, le journaliste Alain Bertaut deviendra Président du College des Commissaire sportifs et sera le rédacteur du reglement de l’epreuve jusqu’en 2000.
Source : motorlegend.com
Peugeot annonce son retrait de compétition dans l'endurance automobile -
Source Vidéo: lemansTV
mercredi 9 juillet 2025
CLUB5A - AUTO DE LEGENDE - QUAND VOUS AVEZ UNE MINI VOUS N'ETES JAMAIS SEUL..... !!
L'aventure d'une petite voiture devenue une géante de l'histoire automobile
"Quand vous avez une mini, vous n'êtes jamais seul".
Cette véritable déclaration d'amour d'un participant à la course-exhibition LONDON-BRIGHTON de 2003, montre bien la place que tient la Mini dans le coeur de millions de conducteurs et de conductrices.
Cette video retrace l'extraordinaire aventure de cette géniale petite voiture, de son lancement en 1959....jusqu'à aujourd'hui. Car si les nouvelles Mini Cooper produites par BMW sont des petits bolides puissants et à la tenue de route exceptionnelle, les Mini des années 60 étaient, proportionnellement, tout aussi performantes. Engagées dans le championnat du monde des rallyes, elles remportèrent 4 fois le titre.
La Mini, avec son moteur transversal, ses 4 places, sa suspension "hydrolastique" et sa tenue de route comparable à celle d'un tank a été produite à plus de 5 millions d'exemplaires. MARK I, MARK II, MINI standart, MINI COOPER, MINI-break, MINI pick-up, MINI-MOKE, MINI-matic etc....tout est bon pour marier imagination et tradition, en respectant toujours l'esprit de ses créateurs.
Source : Documentaires Auto/Moto
Cette video retrace l'extraordinaire aventure de cette géniale petite voiture, de son lancement en 1959....jusqu'à aujourd'hui. Car si les nouvelles Mini Cooper produites par BMW sont des petits bolides puissants et à la tenue de route exceptionnelle, les Mini des années 60 étaient, proportionnellement, tout aussi performantes. Engagées dans le championnat du monde des rallyes, elles remportèrent 4 fois le titre.
La Mini, avec son moteur transversal, ses 4 places, sa suspension "hydrolastique" et sa tenue de route comparable à celle d'un tank a été produite à plus de 5 millions d'exemplaires. MARK I, MARK II, MINI standart, MINI COOPER, MINI-break, MINI pick-up, MINI-MOKE, MINI-matic etc....tout est bon pour marier imagination et tradition, en respectant toujours l'esprit de ses créateurs.
CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - LA FERRARI 250 GT LA SPORTIVE DE PRESTIGE !!
La Ferrari 250 GT Cabriolet Pinin Farina, occasionnellement dénommée 250 GTC, est une sportive de prestige développée par le constructeur automobile italien Ferrari. Déclinaison « cabriolet » de la berlinette 250 GT, elle est dessinée par le Turinois Pinin Farina ; elle est de surcroît carrossée par ses soins, une exception pour Ferrari puisque c'est un autre carrossier, Scaglietti, qui s'en charge habituellement.
Produite de juillet 1957 à la fin de l'année 1962, la 250 GT Cabriolet est le premier cabriolet construit en série par Ferrari. Seul un petit volume d'une trentaine de modèles est dans un premier temps assemblé. Repérées par la désignation « première série » (en italien, prima serie), ces Ferrari cèdent leur place en juillet 1959 à une deuxième version au dessin corrigé (« deuxième série », en italien seconda serie) qui s'écoulera à environ 200 exemplaires alors qu'il s'agit, à l'époque, de la plus chère des Ferrari 250 GT2. Dans la seconde moitié des années 1950, Ferrari délaisse quelque peu les modèles radicalement sportifs, qui ont fait jusqu'à ce jour sa réputation, au profit d'automobiles de prestige davantage « standardisées ».
Enzo Ferrari réalise en effet l'importance de ce type d'automobiles pour la santé financière de son entreprise. D'ailleurs, la production de la 250 GT Boano/Ellena était déjà une avancée majeure en ce sens. En produisant la 250 GT Cabriolet Pinin Farina, le premier cabriolet de son histoire à être construit en série, Ferrari réalise de nouveau un pas en ce sens. Si quelques modèles de cabriolet ont par le passé été assemblés, jamais aucun d'entre eux ne l'a été en nombre.
La réalisation d'un cabriolet est en réalité une suite logique à l'élargissement de la gamme Ferrari qui se composait en 1956 du coupé Boano de Grand Tourisme et de la berlinette « Tour de France », à vocation plus sportive, dans le but d'améliorer la diffusion de ses automobiles. Pour autant, il faut attendre plusieurs années avant que l'idée d'une Ferrari 250 GT Cabriolet se concrétise.
Plusieurs modèles d'exposition sont entre-temps réalisés. Le premier l'est en 1953 par le carrossier turinois Pinin Farina qui utilise une Ferrari 250 Europa à moteur « Lampredi » comme base pour le châssis. Dénommé « Ariowitch », du nom de son premier acquéreur, ce cabriolet est suivi en 1956 par un second cabriolet sur base Europa GT, dessiné en revanche par Mario Boano. Présenté au public du Salon de l'automobile de Genève, il faut néanmoins encore attendre l'année suivante et un dernier prototype, assemblé par Pinin Farina sur le châssis d'une 250 GT, également présenté à Genève, pour que soit mis un terme à cette série de modèles d'exposition et donne naissance à la 250 GT Cabriolet Pinin Farina première série. Produite à partir de juillet 1957, la 250 GT Cabriolet PF est d'abord développée sur la base d'une 250 GT Boano/Ellena puis, tout comme la 250 GT California Spyder l'année suivante, sur celui de la 250 GT Berlinetta « TdF ».
La première série étant une forme de « présérie », seuls une trentaine d'exemplaires sont produits jusqu'en juillet 19596. En octobre de cette même année, la 250 GT Cabriolet Pinin Farina deuxième série est dévoilée au public du Salon de l'automobile de Paris, Ferrari ayant depuis bien longtemps l'habitude d'y présenter ses nouveaux modèles. Cette deuxième série, plus aboutie, a quant à elle été produite à environ 200 exemplaires jusqu'en 1962. Cette montée en cadence de la production fut permise par le déménagement de l'outil industriel de Pinin Farina dans une nouvelle usine plus grande et plus moderne, à Grugliasco (une province de Turin), ainsi qu'à l'installation d'une nouvelle ligne d'assemblage surélevée dans l'usine Ferrari...
Source : silvan500-WKPDIA/CC-BY-SA-3.0
Produite de juillet 1957 à la fin de l'année 1962, la 250 GT Cabriolet est le premier cabriolet construit en série par Ferrari. Seul un petit volume d'une trentaine de modèles est dans un premier temps assemblé. Repérées par la désignation « première série » (en italien, prima serie), ces Ferrari cèdent leur place en juillet 1959 à une deuxième version au dessin corrigé (« deuxième série », en italien seconda serie) qui s'écoulera à environ 200 exemplaires alors qu'il s'agit, à l'époque, de la plus chère des Ferrari 250 GT2. Dans la seconde moitié des années 1950, Ferrari délaisse quelque peu les modèles radicalement sportifs, qui ont fait jusqu'à ce jour sa réputation, au profit d'automobiles de prestige davantage « standardisées ».
La réalisation d'un cabriolet est en réalité une suite logique à l'élargissement de la gamme Ferrari qui se composait en 1956 du coupé Boano de Grand Tourisme et de la berlinette « Tour de France », à vocation plus sportive, dans le but d'améliorer la diffusion de ses automobiles. Pour autant, il faut attendre plusieurs années avant que l'idée d'une Ferrari 250 GT Cabriolet se concrétise.
Plusieurs modèles d'exposition sont entre-temps réalisés. Le premier l'est en 1953 par le carrossier turinois Pinin Farina qui utilise une Ferrari 250 Europa à moteur « Lampredi » comme base pour le châssis. Dénommé « Ariowitch », du nom de son premier acquéreur, ce cabriolet est suivi en 1956 par un second cabriolet sur base Europa GT, dessiné en revanche par Mario Boano. Présenté au public du Salon de l'automobile de Genève, il faut néanmoins encore attendre l'année suivante et un dernier prototype, assemblé par Pinin Farina sur le châssis d'une 250 GT, également présenté à Genève, pour que soit mis un terme à cette série de modèles d'exposition et donne naissance à la 250 GT Cabriolet Pinin Farina première série. Produite à partir de juillet 1957, la 250 GT Cabriolet PF est d'abord développée sur la base d'une 250 GT Boano/Ellena puis, tout comme la 250 GT California Spyder l'année suivante, sur celui de la 250 GT Berlinetta « TdF ».
La première série étant une forme de « présérie », seuls une trentaine d'exemplaires sont produits jusqu'en juillet 19596. En octobre de cette même année, la 250 GT Cabriolet Pinin Farina deuxième série est dévoilée au public du Salon de l'automobile de Paris, Ferrari ayant depuis bien longtemps l'habitude d'y présenter ses nouveaux modèles. Cette deuxième série, plus aboutie, a quant à elle été produite à environ 200 exemplaires jusqu'en 1962. Cette montée en cadence de la production fut permise par le déménagement de l'outil industriel de Pinin Farina dans une nouvelle usine plus grande et plus moderne, à Grugliasco (une province de Turin), ainsi qu'à l'installation d'une nouvelle ligne d'assemblage surélevée dans l'usine Ferrari...
Source : silvan500-WKPDIA/CC-BY-SA-3.0
mardi 8 juillet 2025
CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - BMW 1502...LA BMW DE CRISE !!
Née du premier choc pétrolier, la 1502 est une BMW de crise. Si le concept peut sembler paradoxal, il était, à l’époque, totalement dans l’air du temps. Voici la dernière des « E10 », la « Béhème » du pauvre pas vraiment fauché.
La BMW « E10 », plus connue sous l’appellation générique « 02 », est le modèle qui a véritablement relancé la marque après le succès des berlines de la Neue Klässe (prononcer Noyeu klasseu). En termes rugbystiques, on dirait qu’elle a transformé l’essai. pourtant, la « 02 » n’a existé qu’en coupé ou en cabriolet, elle n’a jamais été déclinée en berline ce qui aurait pu, théoriquement, augmenter sa diffusion.
Seulement voilà, en la dotant d’une forte personnalité, en lui façonnant une image dynamique puis sportive signifiée par un slogan devenu philosophie de constructeur « le plaisir de conduire », la marque aux deux haricots verticaux a fait de son coach un modèle incontournable, une référence. Tellement désirable, la « 02 » est devenue en un rien de temps le marqueur d’une réelle réussite sociale.
Source : GAZOLINE - AUTO BILD
La BMW « E10 », plus connue sous l’appellation générique « 02 », est le modèle qui a véritablement relancé la marque après le succès des berlines de la Neue Klässe (prononcer Noyeu klasseu). En termes rugbystiques, on dirait qu’elle a transformé l’essai. pourtant, la « 02 » n’a existé qu’en coupé ou en cabriolet, elle n’a jamais été déclinée en berline ce qui aurait pu, théoriquement, augmenter sa diffusion.
Seulement voilà, en la dotant d’une forte personnalité, en lui façonnant une image dynamique puis sportive signifiée par un slogan devenu philosophie de constructeur « le plaisir de conduire », la marque aux deux haricots verticaux a fait de son coach un modèle incontournable, une référence. Tellement désirable, la « 02 » est devenue en un rien de temps le marqueur d’une réelle réussite sociale.
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