mercredi 29 janvier 2025

CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - LA PEUGEOT 402 DANS LA TRACE DES CARROSSERIES AMÉRICAINES !!

La Peugeot 402 est une automobile de la marque française Peugeot, produite entre 1935 et 1942, période marquée par la Seconde Guerre mondiale et les restrictions budgétaires qui en découlent. C'est à cette période que naissent de nouveaux courants de design automobile, notamment américain, à l'image de la Chrysler Airflow de 1934 appliquant les idées du Streamline Modern. 
Les constructeurs européens sont dès lors désireux de suivre l'exemple des Américains, et la Peugeot 402 appliquera, comme la Simca 55, l'aérodynamisme, donnant des courbes plus fluides. Elle remplace à la fois la Peugeot 401 et la Peugeot 601. En période de guerre et de crise économique, la production automobile française subit un très fort ralentissement, les ventes passant de 230 000 à 179 000 exemplaires vendus entre 1930 et 19357. 
Les Européens appliquent alors les mêmes idées, sur l'aérodynamisme appliqué aux automobiles, afin de réduire la consommation des véhicules. Lors du Salon de Paris de 1933, la plupart des constructeurs présentent des automobiles aux formes très rondes et aux pare-brise inclinés. La Peugeot 402 est l'automobile européenne la plus emblématique de ces nouvelles automobiles. Très inspirée par les plus récentes réalisations américaines, sa silhouette est d'une grande modernité. 
 Sa première apparition a lieu au Salon de Paris de 1935, soit à peine un an après la Chrysler Airflow. Le dessin est pratiquement semblable pour la plupart des véhicules de cette époque : une calandre arrondie, des ailes gonflées, une très longue carrosserie de six glaces et un pare-brise coupe-vent en deux parties. Néanmoins, la particularité de la 402 est ses phares intégrés à la calandre, une première dans l'automobile, que Peugeot appliquera de nouveau sur des modèles futurs. Cette signature fuselée des modèles Peugeot est désignée par le terme « fuseau Sochaux » La conception d'une nouvelle voiture, la 402, répond à deux besoins. Le premier est de remplacer les modèles vieillissants que sont les Peugeot 401 et la 601. 
Le deuxième est de faire face à une concurrence grandissante. En effet, Citroën vient tout juste de produire les premiers modèles de Traction Avant et Renault est bien établi sur le marché automobile avec ses modèles : la Vivaquatre et la Primaquatre. 

Le superviseur de la conception de la Peugeot 402 est le responsable du département Études Carrosseries, Henri Thomas. Les ingénieurs de Peugeot mettent au point une automobile classique sur le plan technique. Le châssis est de type « Bloctube », très rigide, ayant déjà fait ses preuves sur de précédents modèles. 
Quatre freins à tambours à câbles, des amortisseurs à leviers à double-effet et une direction à boîtier sont installés. Les suspensions utilisent un système de ressorts à lames transversales pour pouvoir utiliser des roues indépendantes. La boîte de vitesses offre trois rapports, dont la seconde et la troisième sont synchronisées. Le moteur est un quatre-cylindres culbuté de 1 991 cm3 de 55 ch. La 402 connaît un vif succès dû à son esthétique séduisante, à ses bonnes performances et à un silence de fonctionnement supérieur à la moyenne de l’époque. 
Après cinq années, la production de la 402 s'arrête en 1940 en raison de la Seconde Guerre mondiale. Comme pour la plupart des constructeurs en Europe, les usines sont ravagées par la guerre, totalement dévastées et toutes les machines-outils nécessaires à la construction de la 402 doivent être reconstruites. Étant donné qu'il faudra attendre 1949 pour que la production et les ventes de Peugeot retrouvent un niveau respectable, la Peugeot 402 ne survit pas et termine sa carrière en 19421. Pourtant, une nouvelle version de la 402 avait été dessinée dès 1936 pour être mise en vente en 1940, connue sous le nom de 402 Andreau. 
C'est un ingénieur de Saint-Cyr, Jean Andreau, qui dessine un prototype de cette version, remarquable par un Cx important pour l'époque - 0,34 contre 0,68 pour la berline - que l'on distingue esthétiquement par des flancs plus galbés, des portes sans montants et un pare-brise panoramique. Initialement prévu avec un V8 de 18 CV, le prototype réalisé en 1936 est finalement équipé d'un quatre-cylindres du modèle de base. Elle ne sera presque pas commercialisée .
Dès sa commercialisation en 1935, la 402 est disponible en deux longueurs de châssis et huit configurations de carrosserie : une berline à six glaces, une familiale, un coach, un cabriolet, un roadster, une Éclipse, une commerciale et un taxi. Une version raccourcie, d'abord vendue sous le nom de 302, sera rebaptisée 402 légère en 1938, avant de devenir la 402 B légère en associant la carrosserie de la 202 avec un moteur de 402 en 1939.
Source : Antoine DUCROCQ

mardi 28 janvier 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - PATRICK CILIA : TROIS ROUES POUR ASSOUVIR SA PASSION DES VÉHICULES ANCIENS...


 

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - C'EST LE MOMENT DE L'APERO...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO-MOTO - SUR 7 KM VOUS AUREZ PEUT ETRE LA WIFI ET SI VOUS AVEZ DE LA CHANCE VOUS SEREZ PEUT ETRE EGALEMENT PHOTOGRAPHIER !!


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UN CONCESSIONNAIRE AU TOP !!


 

CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES MOTO - LES MOTOCYCLETTES DOLLAR...LA MARQUE FRANÇAISE A LA TÊTE D'INDIEN...

En 1924, le constructeur de vélos (marque OMNIUM et SPENCER) de Charenton, Delachanal, décide de construire des motocyclettes. Les modèles couvriront la plage de 98 cm³ à 750 cm³. 
 Il choisira un nom et un logo (une tête d'Indien) pour faire américain. 
 Lancement d'une 125 culbutée à moteur Moser Lancement d'une 175 et d'une 250 de 1925 à 1927 
Lancement de 250, 350 et 500 à moteurs Chaise en 1928 Plusieurs gammes jusqu'en 1952 Utilisation de moteurs Chaise, JAP et MAG

Sous le nom très américain de Dollar se cache en réalité une marque bien française. Son histoire débute en 1890 avec la production de cycles luxueux sous la dénomination « Omnium et Spencer ». 
Bientôt, la société étend sa gamme à des voiturettes et en 1914 elle prend le nom de « Delachanal » puis s’installe à Charenton. Outre les bicyclettes Omnium, la marque lance ses premiers cycles sous le nom de marque Dollar. La première moto Dollar fait son apparition en 1923, il s’agit alors d’une 125cm3 mue par un moteur Moser culbuté. 
La gamme de deux-roues motorisés s’enrichit rapidement et sa commercialisation débute dès l’année qui suit. En 1927, le constructeur déménage à Joinville-le-Pont et équipe la quasi-totalité de ses machines de mécaniques Chaise dont la Type K et L qui sont remplacées l’année suivante par les 350cc KSS et 500cc LSS. 
A la fin des années 20, début des années 30, les Dollar connaissent un succès grandissant dû en partie à son équipement et ses mécaniques de qualité. L’armée et la police françaises ont d’ailleurs recours aux machines Dollar. Entre temps, la firme rachète les brevets de fabrication de la Majestic, cette moto intrigante conçue par Georges Roy directement inspirée de l’univers automobile. 
 A l’approche de la Seconde Guerre mondiale, la société connait quelques difficultés qu’elle tente de surmonter en proposant des machines toujours plus luxueuses. Malgré la présentation d’une nouvelle gamme dans les années 30, Dollar succombe face à un marché morose et disparaît complètement au cours de la guerre.
Source :lucjeanluc/lerepairedesmotards.com

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - L’Élégance à Megève, la crème des chefs-d’œuvre de style réunie...

 

Le concours savoyard faisait son retour le week-end dernier. Il a été salué par la présence d’une quarantaine de voitures de collection et d’exception. Les automobiles sont par essence des objets mobiles. Ils n’ont ni vocation à prendre la poussière dans un musée ou au fond d’un garage, ni à attendre les beaux jours pour prendre l’air. 
En posant ce postulat, l’Italien Alessandro Bortesi, restaurateur à Genève - sa pizza est l’une des meilleures de Suisse - et passionné de belles automobiles, organisait pour la deuxième fois depuis 2023, un concours d’élégance, à Megève. Il surfe ainsi sur une tendance qui essaime de l’autre côté des Alpes avec des manifestations semblables à Saint-Moritz et à Zell am See. Il n’empêche : on ne donnait pas cher de sa peau. Les collectionneurs sont toujours réticents à sortir leurs véhicules l’hiver, surtout à la montagne où les routes sont salées, lorsqu’elles ne sont pas enneigées ou détrempées. Non seulement Alessandro Bortesi connaît du monde mais il a su trouver les arguments pour faire sortir de leurs tanières quelques machines d’exception. 
Jugez plutôt : le plateau éclectique comptait près de cinquante modèles balayant l’histoire de l’automobile depuis la fin des années 1920 jusqu’à aujourd’hui. Les Avant-guerre étaient représentés par une Bugatti 35 et une Alfa Romeo 6C. Mais, comme souvent, c’est la marque Ferrari qui était la plus représentée. On notait ainsi parmi la quinzaine de modèles ornés du Cavallino Rampante la présence d’une 288 GTO de 1984, de la supercar hybride La Ferrari lancée en 2013, d’une 308 GTB à carrosserie polyester, d’une 458 Italia, d’une 812 Competizione Aperta à la finition Tailor Made, d’une 250 GT Lusso noire de 1963 et de deux modèles carrossés par Vignale : une berlinette 166 de 1950 et un cabriolet 212 Inter de 1951. Les fanatiques de Lamborghini n’étaient pas oubliés avec une berlinette Revuelto, une Aventador mais aussi une Diablo de 1993, une Espada première série venue de Genève et l’unique Lamborghini Miura Millechiodi. 
Cette dernière a été modifiée au milieu des années soixante-dix pour ressembler à la fameuse Jota qui avait disparu dans un accident. C’est ainsi qu’elle doit son nom aux 1 000 rivets qui parsèment la carrosserie. Parmi le plateau de voitures modernes, on trouvait les restomod de la Lancia 037 produits par Kimera et ceux de l’Alfa Romeo coupé Bertone revue par Totem. Des réalisations de grande qualité. Les coupés milanais sont proposés avec un moteur électrique ou avec le V8 2,8 turbo Alfa Romeo délivrant 600 ch. Mais sur le parking du Palais des Sports de Megève où la manifestation avait élu domicile, les spectateurs n’avaient d’yeux que pour l’hypercar Laffite Automobili LM1, résultat de l’association entre Bruno Laffite, neveu du pilote Jacques Laffite, et son ami d’enfance Pascal Cohen. 
Avec sa ligne inspirée d’un prototype de la catégorie LMP3, cette machine semblait échappée de la grille de départ du Mans. Elle est pourtant homologuée pour la route et nous avons pu voir durant le week-end qu’elle ne craignait pas de se mêler aux embouteillages toujours nombreux dans cette station où certains semblent prendre un malin plaisir à vouloir exhiber leurs SUV dernier cri. La Laffite LM1 est animée par un V8 hybrid provenant de la Lamborghini qui courait en WEC. Le moteur a bien évidemment été revu pour se plier à un usage routier. Le jury du concours d’élégance n’est pas resté insensible à la qualité de la réalisation de l’artisan constructeur et à la ligne portant la signature du bureau de style de Giugiaro, lui décernant le premier prix dans la catégorie «Moderne». 
Quant au trophée de la catégorie «Classic», il est revenu à une Jaguar Type E V12. Le jury a récompensé l’histoire de la voiture. Elle est toujours restée dans la même famille et l’intérieur bordeaux porte la patine du temps. Le propriétaire actuel tient la Type E de son père et c’est au volant de l’anglaise qu’il a appris à conduire. Enfin, le Best of Show est revenu à la berlinette Ferrari 166 MM carrossée par Vignale. Cet événement bon enfant et convivial mériterait d’être encouragé. La présence de plus de 10 000 personnes sur les trois jours montre bien que l’automobile fait toujours rêver petits et grands. 
 Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - 4 astuces pour repérer les voitures-radars, de plus en plus nombreuses sur les routes

 

Au printemps 2025, les voitures-radars seront déployées dans trois nouvelles régions : Occitanie, Auvergne-Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d’Azur. Voici comment les reconnaître. Il est devenu de plus en plus difficile d’anticiper la présence des radars qui scrutent notre vitesse. Alors que des applications comme Waze permettaient de ralentir à l’approche d’un radar fixe, l’expérimentation des voitures-radars banalisées a mis un coup de pied dans la fourmilière. Ces véhicules permettent notamment de repérer les excès de vitesse sans flash visible, en mouvement comme à l’arrêt. 
Désormais, à partir de ce printemps, ces voitures-radars gérées par des sociétés privées sont déployées dans trois nouvelles régions : Occitanie, Auvergne Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d’Azur, ce qui représente 126 nouveaux véhicules capables de verbaliser. Elles seront désormais présentes partout sur le territoire sauf en Île-de-France et en Corse. Voici quatre manières de les reconnaître. Les modèles souvent utilisés Malins sont les opérateurs privés en charge des voitures radars : ils ont choisi des modèles très courants sur les routes françaises et donc difficilement repérables. 
Parmi les voitures utilisées on trouve donc régulièrement des Peugeot 308 et 508, Citroën Berlingo, Ford Focus et Mondeo, Volkswagen Passat et Golf, Seat Leon ou encore Skoda Octavia. Plusieurs équipements sont visibles dans l’habitacle Sur le tableau de bord avant, un appareil photo imposant est fixé au centre, et deux petites caméras l’accompagnent de chaque côté de l’habitacle. À l’arrière, un rectangle noir aux contours épais, est collé à la vitre. Il permet notamment de capter les panneaux de la voie à contresens et donc de flasher les conducteurs d’en face. Deux appareils photos scrutent également la route, à cet endroit. 
 Des indices sur la plaque d’immatriculation La plaque d’immatriculation avant des voitures possède une police d’écriture différente des plaques traditionnelles. Les caractères sont étroits et arrondis, et la plaque est fixée sur un support en plastique réfléchissant, entourée d’un cadre qui brille dans le noir. À vrai dire, ce détail à l’œil nu est difficilement repérable à pleine vitesse. 
 Un site web répertorie les voitures radars privées dans chaque région Le site radar-prive.fr, recense les voitures radars par département en publiant une photo de la marque, du modèle et de la plaque d’immatriculation. Une fois sur le site, il suffit de cliquer sur la carte de France pour avoir accès aux voitures qui y circulent. Les véhicules pouvant être déplacés régulièrement d’un département à un autre, «cette liste est mise à jour quotidiennement en fonction des repérages signalés», informe le site web. En 2024, 1,2 million de PV ont été dressées par ces voitures-radars en France. 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

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lundi 27 janvier 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - BLEU...BLANC...ROUGE ...LE CLUB DES 5A EST UNE ASSOCIATION QUI RESPECTE LE DRAPEAU NATIONAL ET QUI LE PROUVE...


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - GARAGE D'AUTREFOIS .....


 

CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - LA GOLF DE V.W...ELLE EST AVEC NOUS DEPUIS PLUS DE 30 ANS !


VOLKSWAGEN depuis plus de 30 ans !!
La Volkswagen Golf est une automobile, de la gamme dite compacte, de la marque allemande Volkswagen. C'est une automobile à hayon (des versions tricorps existent, mais marginalement en Europe). 
Apparue en 1974, six générations se succèdent jusqu'à la version actuelle (plate-forme Golf VII), lancée en septembre 2012. Dominante dans la gamme des compactes en Europe, elle verra apparaître, à partir des années 2000, une concurrence de plus en plus aiguisée.
Certains disent qu'elle a été produite à 25 millions d'exemplaires. Mais ce chiffre est obtenu en ajoutant tous les modèles depuis sa création. Or, depuis la citadine du milieu des années 70, le modèle actuel n'a plus grand-chose à voir, tant au niveau du design que de la catégorie puisqu'il s'agit à présent d'une compacte. Bref, seul le nom a subsisté !

Blog de club5a : Association Audoise des Amateurs d'Automobiles Anciennes, VOITURE DE LÉGENDE - LA GOLF DE V.W...
La Golf GTi, lancée durant l'année 1976 (Golf série 17, plateforme A) a créé le concept de petite voiture sportive avec moteur à injection1 (contrairement aux moteurs à carburateur de l'époque). Un moteur de 1,6 l de 110 ch dans une caisse de 810 kg et bien suspendue avec une décoration spéciale (en comparaison de ses modèles contemporains) permettait de réaliser des performances de haut niveau pour l'époque.
Blog de club5a : Association Audoise des Amateurs d'Automobiles Anciennes, VOITURE DE LÉGENDE - LA GOLF DE V.W... Fin 1983, une nouvelle version, plus bourgeoise (et plus lourde), apparaît. Le moteur devient un 1 781 cm3 de 112 ch boîte 5 vitesses, déjà utilisé sur les dernières versions de Golf série 1. Jusqu'en 1991, la gamme sportive reposera sur ce 1,8 l épaulé d'une version à 16 soupapes en 1986 jusqu'à l'apparition d'un compresseur en 1990 (moteurs de 160 ch). La Golf GTI de 1992 s'équipe d'un moteur 2,0 l tandis qu'une version v6 de 2,8 l (puis 2,9 l) fait son apparition et chapeaute la gamme sportive, la fameuse VR6. Cette dernière a été produite en versionsyncro, c'est-à-dire une version quatre roues motrices. Fin 1993 apparaît la version 16 soupapes du moteur 2,0 l qui développe 150 ch.
Blog de club5a : Association Audoise des Amateurs d'Automobiles Anciennes, VOITURE DE LÉGENDE - LA GOLF DE V.W... En 2005, la Golf GTI est dotée d'un moteur TFSI 2.0 de 200 ch (turbocompressé). Le moteur V6 3.2litre passe, lui, à 250 ch dans la Golf R32. En 2006, un modèle de la Golf intègre un moteur de 1,4 l qui innove en utilisant à la fois un compresseur et un turbo pour développer 170 ch avec un couple disponible dès les bas régimes, c'est la Golf GT.
Il s'agit de la Golf 1.4l TSI GT, qui préfigure les moteurs essence de l'avenir : faible cylindrée, faible consommation mais efficacité sur toute la plage d'utilisation du moteur grâce au compresseur qui augmente le couple à bas régime, relayé à mi-régime par le turbocompresseur, efficace plus haut dans les tours.
Blog de club5a : Association Audoise des Amateurs d'Automobiles Anciennes, VOITURE DE LÉGENDE - LA GOLF DE V.W... Il existe des Golfs disposant de la transmission « intégrale » (par visco-coupleur central),un système appelé «4motion ». Ce sont les versions les plus sportives  : les séries R. La Golf 4 puis 5 finition R32 munie d'un moteur V6 essence transversal de 3,2L de 241cheveaux pour la golf 4 et 250chevaux pour la golf 5. Poids de 1600kg. 17cv fiscaux. 3 / 5 portes. Disponible en boite mécanique 6 rapports ou en automatique DSG 6. Elles étaient disponibles en bleu, noir, rouge et gris. Phares au xénon de série. Alarme de série. Jantes 18pouces.
Double sortie d'échappement ( centrale sur la 5 , une sortie de chaque côté sur la 4 ). Calandre avant chromée, sigles R32 avant et arrière. Considérées plus comme des berlines GT que comme des hypersportives, elles sont les versions ultimes de la golf et coutaient environ 37000€ pour une golf 5 en 2006. Puis en 2010 volkswagen abandonne le V6 pour moteur 4cylindres TFSI 2.0 litres de 265chevaux pour équiper la golf R.
Toutes intègrent systématiquement le système "4motion" (4roues motrices).
Le comportement sur route mouillée s'améliore alors sensiblement. La sixième génération a reçu 5 étoiles aux crash-tests. La cinquième génération reste produite et commercialisée en version break.
la version Golf V est commercialisée jusqu'au début année 2010.
En juin 2009, est commercialisée la Golf VI GTI. Elle dispose d'un nouveau moteur TSI tout aluminium avec distribution par chaîne de 210 ch.
Le 4 septembre 2012, Volkswagen dévoile la nouvelle Golf VII depuis Berlin, modèle qui est produit dans l'usine historique de Wolfsbur...
Source : BULLE25560


CLUB5A - PHOTO INSOLITE - Jane Birkin et Serge Gainsbourg font une pause en 1969 alors qu’ils traversent l’Oxfordshire....

Photographie par Andrew Birkin.

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - La F1 Mercedes de Fangio estimée près de 50 millions d’euros...

 

ENCHÈRES - C’est l’événement du début de l’année : le Musée Motor Speedway d’Indianapolis se sépare de la Flèche d’argent au volant de laquelle le champion argentin a remporté son grand prix national en 1955. 
Tout finit par être à vendre. 
Même les monstres sacrés et les chefs-d’œuvre de la collection. 
Pour la deuxième fois en douze ans, une Flèche d’argent marquant le retour de Mercedes en Grand Prix dans l’immédiat après-guerre se retrouve ainsi sur le marché. On doit ce miracle au musée Motor Speedway d’Indianapolis qui a décidé de s’en séparer, au même titre que d’autres joyaux de sa collection. 
La firme à l’étoile la lui avait donnée en 1965. Depuis, elle n’avait jamais quitté son repaire américain. Son parcours n’est entaché d’aucune zone d’ombre. 
Sa vente, le 1er février prochain, dans le cadre du Musée Mercedes de Stuttgart, a été confiée à la maison RM Sotheby’s. Elle l’a estimée autour de 50 millions d’euros. Plusieurs paramètres y concourent. 
La Mercedes W196 R n’est pas une monoplace comme les autres. Pendant deux années (1954 et 1955) de participation, elle a survolé les débats, permettant à Juan Manuel Fangio de remporter deux titres consécutifs. Victorieuse en Argentine Portant le numéro de châssis 009/54 et doté d’un moteur 8 cylindres de 3 litres, l’exemplaire du Musée d’Indianapolis bénéficie d’une aura particulière. 
Il s’agit de la monoplace avec laquelle le champion argentin remporte son grand prix national disputé sous une chaleur étouffante au début de l’année 1955. 
Elle ne reprend la piste qu’à l’occasion du Grand Prix d’Italie. Pour le circuit de Monza réputé pour être l’un des plus rapides du championnat, la F1 a reçu la carrosserie aérodynamique Streamliner à roues carénées qu’elle a conservée Dévolue à l’Anglais Stirling Moss, la W196 R 009/54 établit le record du tour à 215,7 km/h de moyenne avant d’abandonner. 
À la fin de la saison, Mercedes stoppe ses activités sportives. La tragédie du Mans avait pesé lourd dans cet épilogue. Les W196 sont remisées dans les réserves du musée de la marque. 
 Source : lefigaro.fr-Sylvain Reisser

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