mercredi 18 décembre 2024

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - RENAULT BRV LA VOITURE INCARNANT LA SECURITE PASSIVE .....

 

Renault BRV (1974)... Pendant les années 1970, les constructeurs automobiles se mettent à plancher sur des voitures à sécurité passive afin de répondre notamment à l’appel des américains du National Highway Safety Bureau, qui avaient lancé un concours pour rendre les voitures plus sûres à l’échéance 1981. Renault participe à cette aventure avec son prototype BRV dévoilée en 1974… 
 L’automobile doit être actrice en matière de sécurité automobile, Renault travailla dans ce domaine dès les années 1950 en réalisant une étude d’accidentologie sur les Dauphine en effectuant des crash-tests sur la piste d’essais de Lardy. Dans les années 1970, la route est hélas bien dangereuse avec plus de 1.000 décès accidentels par mois rien qu’en France, et ce constat est le même partout dans le monde où l’automobile est développée. A cette même époque, les pouvoirs publics commencent à prendre les premières dispositions pour rendre la route plus sûre, en France, les premières limitation de vitesses apparaissent (sous couvert d’économies de carburant, certes). Chez Renault, depuis 1968, une étude est lancée en interne sur la sécurité passive des voitures avec à sa tête, l’ingénieur Jacques Lacambre. 
Quelques années plus tard, Renault débloque des crédits pour mettre en œuvre diverses solutions sur un prototype, avec l’idée de tester des améliorations sans affecter le comportement routier ou le confort des voitures de série : c’est le projet BRV (pour Basic Research Vehicule). Du point de vue de la sécurité, cette étude est basée sur une analyse des crash-tests réalisés par Renault, le constructeur au losange met sur pied le « Laboratoire physiologique et biomécanique » qui étudie à partir de 1970 des milliers d’accidents réels. Ce travail est réalisé de concert avec Peugeot, avec la coopération de la police routière et des hôpitaux. Rapidement, on compare les résultats d’accidents réels à ceux réalisés en laboratoire avec des mannequins pour rendre encore plus réalistes les crash-tests. Les résultats de l’étude mettent avant les zones les plus vulnérable du corps en cas d’accident – et donc celles à protéger – savoir la cage thoracique, le bassin puis la tête. 
 Et il y a le cas préoccupant des piétons, souvent la personne la plus vulnérable lorsqu’elle est impliquée dans un accident de la route. Le constructeur au losange étudie le comportement des véhicules lors des accidents, notamment leur déformation. Les ingénieurs tentent de comprendre comment la forme des pièces influe sur leur déformation en cas d’impact. De toutes ces recherches, Renault et ses ingénieurs en retirent une compréhension sur la conception de certaines pièces, des matériaux et des composantes techniques. Et au-delà, il y a l’aspect de la faisabilité industrielle et financière des solutions mises en avant. Jusqu’à présent, les études portaient sur des composants pris isolements, le prototype BRV va permettre d’étudier leur intégration à l’échelle d’un véhicule, il s’agit de valider le savoir-faire de la Régie Renault et de présenter ce véhicule aux autorités et au public. 
La BRV est une voiture à deux volumes, cinq portes et hayon (la marque de fabrique d’une Renault), traction, tout ce qui laisse penser à une voiture que pourrait commercialiser dans sa gamme. Côté moteur, on retrouve sous le capot le quatre cylindres de 1,6 litre de la Renault 16. La BRV remploi des pièces de série parmi lesquels les jantes type Gordini. Côté sécurité, la BRV reçoit une structure plus résistante au niveau de l’habitacle, avec la possibilité de se déformer à l’avant et à l’arrière pour amortir le choc. Le toit est constitué d’une double tôle qui permet de rigidifier l’ensemble notamment en cas de tonneau, et permettre aux portes de rester fermées. Les pare-chocs sont eux réalisés en matière synthétique souple, résistant sans dégât à un choc jusqu’à 8km/h. Dans l’habitacle, les panneaux de porte reçoivent des garnissages de protection pour atténuer le risque en cas de collision latérale.
 Chaque place est équipée d’une ceinture de sécurité (trois points à l’avant, ventrale à l’arrière) et d’appuie-têtes. Notons également le volant recouvert un épais coussin central (mais pas d’airbag, que l’on commence à voir apparaitre de série aux Etats-Unis à partir de 1973). Enfin, le vitrage est réalisé en verre feuilleté. Dévoilé lors de la conférence des « Experimental Safety Vehicule de Londres en 1974, la Renault BRV est présentée par Renault comme étant une voiture expérimentale et non une voiture destinée à la production. 
Plusieurs BRV ont été assemblées, au moins deux exemplaires roulant, une maquette de carrosserie est une structure nue pour montrer les renforts de carrosserie. 
La BRV fut ainsi un banc d’essai pour étudier les zones de déformation et plus globalement la sécurité passive, des solutions qui seront reprises sur les futurs véhicules de la Régie Renault, les R14 et R18. Les travaux de Renault furent salués par la remise de prix en matière de sécurité, des travaux qui continueront avec le prototype EPURE sur base Renault 5 en 1979.
Source : lautomobileancienne.com-Citrovidéo revient !

mardi 17 décembre 2024

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - La parade des voitures de collection....pour la traditionnelle Ronde de Noël....

 

45 véhicules de collection ont fait une parade dans le centre-ville de Carcassonne.   

45 véhicules de collection ont défilé en périphérie de Carcassonne jusqu’à la place Carnot ce dimanche 15 décembre. L’occasion de découvrir ces voitures anciennes pour cette 8e édition de la Ronde de Noël organisée par les membres du club des 5A. C’est une tradition à Noël à Carcassonne et ce dimanche 15 décembre n’a pas dérogé à la règle. 45 véhicules anciens et de collection ont effectué une parade, tout d’abord en périphérie de la ville, avant que leurs conducteurs ne se retrouvent sur la place Carnot où de nombreux curieux sont venus apercevoir ces engins du siècle dernier.
Le défilé des voitures de collection sur la place Carnot. 

Il y en a encore sous le capot avec ces voitures de collection.

Une Alpine 1 600 S de 1971, une Kallisto du constructeur automobile britannique Panther Westwinds, une Renault Caravelle, une Rosengart de 1938, une MG 1 600 MK II roadster, sans oublier la Citroën 2 CV ou la Renault 4L ont émerveillé petits et grands.
Alain Fumanal de l’association 5A.


Les participants de cette ronde automobile ont profité de la magie de Noël sur la place Carnot.

Cette 8e édition de la Ronde de Noël, organisée par les membres du club des 5A, sera la dernière grande manifestation de l’année pour cette association dont l’ambition est à la fois de faire découvrir ces véhicules anciens mais aussi de militer pour la sauvegarde du patrimoine automobile et mécanique. "Chaque propriétaire peut ainsi partager sa passion et présenter au public son véhicule avec ses singularités" détaille les organisateurs de la manifestation.

Le père Noël était également de la partie lors de cette ronde automobile.

Les voitures de collection du siècle dernier étaient habillées aux couleurs de Noël.

Ces derniers avaient également un mot pour le regretté Jean-Pierre Foli, ancien président de l’association, et dont la fille a pour la toute première fois ce dimanche conduit le véhicule de son père, une Simca 5, cette automobile franco-italienne conçue par Fiat et produite de 1936 à 1948.

Source : Independant-BOYER Claude - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - LA PLUS BELLE DES MOTOS LORS DE CETTE RONDE DE NOEL DECOREE AVEC PASSION...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - A CHACUN SES PETITS PLAISIRS !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO- Tour Auto.... les marques italiennes disparues !!

On ne dira jamais assez que la rétrospective du Tour Auto, qui se déroulera entre Paris et Nice, n'est pas uniquement une épreuve sportive. Elle remplit une mission esthétique et culturelle. C'est ainsi que la manifestation française accomplit un devoir de mémoire et s'attache à rendre hommage à certaines marques disparues qui sont venues, au gré des époques, chercher gloire et notoriété sur les routes de France. L'an dernier, les organisateurs ont célébré les marques françaises. Cette année, c'est au tour des Italiennes de tenir le haut de l'affiche. Cette édition qui s'élance du Grand Palais accueille douze véhicules répondant aux critères de cette catégorie: Autobianchi, De Tomaso, Osca, Siata. Sans verser dans les questions de sémantique et sans chercher le courroux de l'organisateur, qu'il nous soit permis ici d'y ajouter deux autres firmes transalpines. La première n'est autre que Lancia, la seule marque à avoir inscrit son nom au palmarès du Tour avec Ferrari. Personne n'a oublié les exploits de la Stratos bleue aux couleurs de l'importateur Chardonnet et pilotée par Bernard Darniche.
Lancia, on le sait, a disparu du paysage et n'existe plus que sur son marché domestique à travers l'Ypsilon. Pour combien de temps encore? 
Tout est-il que le Tour  donnera à voir plusieurs modèles qui ont marqué de leur empreinte l'histoire de l'épreuve. À commencer par des Stratos, des Fulvia HF et des Flaminia Zagato. La seconde appartient aussi au groupe Fiat. Il s'agit d'Abarth. Or la sortie de l'oubli de ce label n'est que le produit d'une décision marketing. Si aujourd'hui la firme au scorpion se contente de produire des Fiat améliorées, du temps de sa splendeur, elle a donné naissance à de vraies Abarth de sport et de compétition.

 C'est le cas de l'Abarth Simca 2000 GT de 1963 dont on salue la présence d'un exemplaire cette année sur les routes de France. Une idée de Carlo, la berlinette «2 Mila» animée par un 2 litres Simca pouvant afficher plus de 200 chevaux était la bête noire de la Porsche 904 GTS en compétition. 
Autre marque disparue bien représentée cette semaine avec trois modèles, Osca (Officine Specializzate Costruzione Automobili) a été fondée par les frères Maserati - Bindo, Ernesto et Ettore - en 1947 après avoir cédé leur firme à la famille Orsi. 
Pendant près d'une quinzaine d'années, Osca se distingue avec une production confidentielle de voitures de sport et de compétition de petite cylindrée. Certaines ont été habillées par le carrossier milanais Zagato. C'est le cas du splendide coupé 1600 GT que l'on pourra admirer tout au long du parcours passant par les villes étapes de Besançon, Megève, Avignon, Aix-en-Provence et Nice.
L'existence de Siata fut plus longue mais encore plus confidentielle qu'Osca. Fondée en 1926 par Giorgio Ambrosini, la «Societa Italiana Auto Transformazione Accessori» est surtout réputée pour la 208 S de 1953. Sorte d'AC Cobra avant l'heure, ce spider était propulsé par un V8 Fiat en aluminium propulsant aussi la Fiat 8V. La majorité des spiders prirent le chemin des États-Unis. Inconnue des plus jeunes d'entre nous, la marque De Tomaso est aussi au départ avec plusieurs exemplaires de Pantera. Cette berlinette dotée d'un Ford V8 installé en position centrale arrière a participé au Tour au début des années 1970. À la même époque, Autobianchi animait, de son côté, le peloton des petites avec ses A112 Abarth dont deux exemplaires prennent le départ. Mais les italiennes risquent d'être éclipsées par le retour, sur les routes du Tour, d'une Matra MS650. Si la fiabilité est au rendez-vous, entendre rugir le V12 de ce prototype justifie à lui seul le déplacement sur le parcours.
Source : lefigaro.fr /  Jean Yves Gautron

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - DIS PAPA C'EST QUOI UNE HERNIE !!


 

lundi 16 décembre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - LES MERES ET PERES NOEL TRES MOTIVES POUR CETTE RONDE NOEL 2016...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - AU VOLANT RESTONS ZEN !!


 

CLUB5A – PHOTO INSOLITE - Seules les images ont la faculté de pénétrer profondément dans la mémoire ….Il fait froid..En moto sortons couvert !


 

CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES AUTOMOBILES - LES AUTOMOBILES AMILCAR LA VOITURE FRANÇAISE PAR EXCELLENCE !!

Amilcar C GS 3 de 1924 , fabriqué à seulement 724 exemplaires.7Cv et 4 Cylindres.
Fondée en 1921, Amilcar était une des nombreuses sociétés créées avant la Première Guerre mondiale dédiée aux voitures de sport légères appelés voiturettes.Ce 1924 CGS-3 modèle avait un moteur à quatre cylindres de 1,1 litre. 
Voitures oubliées pendant les temps difficiles des années 30. 
La firme française a fermé ses portes pour de bon en 1939.  
Amilcar est un ancien constructeur automobile français établi à Saint-Denis. La société, célèbre pour ses voitures sportives légères dans la catégorie des cyclecars, a produit des véhicules de 1921 à 1939. Le nom « Amilcar » vient d'un anagramme imparfait des noms des deux fondateurs : Joseph Lamy et Émile Akar. La première réalisation de la marque présentée au Salon de Paris en 1921 est le type CC qui rappelle l'automobile Le Zèbre d'avant-guerre car son concepteur Edmond Moyet était auparavant employé de la marque.
Il s'agit d'un véhicule à deux places entraîné par un moteur quatre cylindres de 903 cm3 à soupapes latérales avec une boîte de vitesses à trois rapports. Sa vitesse maximale est de 75 km/h. L'année suivante, deux nouveaux dérivés sont lancés : le type CS, version sport à châssis court et le type C4, voiturette familiale à châssis long avec quatre places, toutes deux entraînées par un moteur de 1 004 cm3. L'Amilcar la plus célèbre demeure la CGS (pour « Châssis Grand Sport ») du Salon 1923 qui possède un moteur porté à 1 074 cm3 et un freinage sur les quatre roues (brevet Amilcar), mais il n'y a pas de différentiel. Trois ans plus tard, le modèle donne naissance à la plus sportive des Amilcar, la CGSS (pour « Châssis Grand Sport Surbaissé »). 
Lorsqu'elles sont construites sous licence, ces voiturettes s'appellent « Pluto » en Allemagne, « Grofri » en Autriche et « Amilcar-Italiana (en) » en Italie. Dès les débuts, la marque est présente en compétition. En 1922, elle remporte le Bol d'or automobile (2e en 1925). En 1925, pour contrer Salmson, la voiture de course CO est équipée d'un moteur six-cylindres à double arbre à cames en tête avec vilebrequin sur sept paliers à rouleaux de 1 100 cm3 à compresseur.
 Elle bat le record du mille lancé, à 197,42 km/h de moyenne. La version client, la voiture de sport C6 lancée en 1927, possèdera aussi un moteur à double arbre à cames en tête. La même année André Lefebvre-Despaux remporte le rallye Monte-Carlo, sur 1 100 cm3. En 1928, Ernst von Halle termine troisième de l'Eifelrennen sur le Nürburgring (et Vernon Balls cinquième des 6 Heures de Brooklands). en 1939, l'entreprise participe aux 500 miles d'Indianapolis avec Jules Moriceau. En 1930, Charles Bénitah gagne le Grand Prix Automobile du Maroc en catégorie Tourisme à Anfa. 
 En 1933, l'entreprise s'impose pour la deuxième fois au Bol d'or, après avoir été quatrième en 1931. Elle sera encore en 1933 et 1934 cinquième de l'épreuve, puis deuxième des 8 Heures du Bol d'or en 1935, servant alors de course de pré-qualifications. En 1936, Georges Grignard finit troisième pour un dernier podium au Bol, puis en septembre de la même année Fernande Roux est aussi à une troisième place, cette fois du Grand Prix du M.C.F.. 
En 1938, René Biolay est encore deuxième des Coupes de Paris à l'autodrome de Linas-Montlhéry, puis quatrième du Grand Prix des Frontières. Après le conflit mondial, les résultats ne seront plus à la hauteur des attentes, même lors du Bol d'or (André Le Jamtel 4e en 1948). À partir de 1925, une petite voiture de tourisme est fabriquée, le type G suivie par les modèles L, M, M2, M3 et M4. L'année 1929 voit la fabrication d'une 13 CV de luxe, la CS8, avec un bloc moteur à huit cylindres en ligne de 2,3 litres à un arbre à cames en tête. 
Ayant une bonne tenue de route et une vitesse de pointe de 120 km/h, la CS8 disparaît rapidement à cause d'une fiabilité médiocre. En août 1934, à cause de ventes insuffisantes, l'usine de Saint-Denis ferme définitivement. À l'automne, Amilcar présente le modèle Pégase (en) produit avec des moyens réduits à Boulogne-Billancourt. Il possède un moteur quatre cylindres Delahaye et des roues avant indépendantes. En septembre 1937, la société, qui est rachetée et qui fusionne avec Hotchkiss, présente l'Amilcar Compound très avancée dans sa conception due à Jean Albert Grégoire. La production des voitures Amilcar ne survit pas à la Seconde Guerre mondiale.
Source : voituresapedales--alaud56

samedi 14 décembre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - POUR CETTE RONDE DE NOEL GERARD EST PRET ET ATTENDS LE DEPART ....


 

CLUB5A - HUMOUR MOTO - MOITIE...MOITIE !!


 

CLUB5A - PRESENTATION DE LA NOUVELLE RENAULT 4L...C'ETAIT EN 1961 !!

La Renault 4 (couramment appelée 4L) est une petite voiture populaire de grande diffusion de conception simple et pratique. Ce fut aussi la première application de la traction sur une voiture automobile de tourisme de la marque Renault après que cette technique a été adoptée sur l'Estafette en 1958. 
 Elle est construite d'août 1961 à la fin 1992 dans 28 pays, initialement avec la Dauphine sur l'île Seguin à Boulogne-Billancourt ainsi qu'à l'usine Renault de Flins, en Espagne (par Fasa-Renault), en Argentine par IKA-Renault, en Italie par Alfa Romeo (sous licence), au Maroc, à Madagascar, en Afrique du Sud, puis en Slovénie pour les dernières années de sa production.

 La Renault 4 connut un grand succès auprès des PME, des artisans, de la gendarmerie (c'était l'une des voitures françaises de l'époque qui permettait de conduire avec le képi sur la tête), mais également auprès des PTT, de France Télécom ou EdF dans sa version fourgonnette F4 ; ces contrats lui donnèrent une très grande visibilité. 
 En France, la Renault 4 fut en tête des ventes de 1962 à 1965 (succédant à la Renault Dauphine), puis de 1967 à 1968. Elle reste aujourd'hui.
Quand ?
la deuxième voiture française la plus vendue avec 8 135 424 exemplaires derrière la Peugeot 206 et juste devant le duo Renault 9 et 11.
À côté de la R3 et de la R4 de base — sensiblement équivalente à la R3 dans sa présentation — il existait une déclinaison « Luxe » dite R4 L, elle se caractérisait par sa troisième vitre latérale et différents accessoires et baguettes inox, qui la rendait plus luxueuse. 
Cette version, qui s'appela bientôt R4 L Export, fut la plus vendue. À tel point que l'appellation générique de la Renault 4 deviendra progressivement 4L. 
Par rapport à la version de base, qui possédait des sièges du type « strapontins suspendus » de même type que la 2 CV, la R4 L Export possédait des sièges plus élaborés et plus confortables (séparés à l'avant) et une banquette arrière rabattable. 
Source : INA.fr-WKPDIA/CC-BY-SA-3.0

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - COMMENT RAMENER SES COURSES QUAND ON EST EN SCOOTER ??


 

vendredi 13 décembre 2024

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - RETOUR SUR LA SORTIE MOTOS "CASSOULET" DU 8 DECEMBRE 2024...

Source : l'Indépendant - J-G - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - LE TOP DES 5A - RONDE DE NOEL 2016 - SOPHIE ET PATRICK SUR LES BOULEVARDS DE CARCASSONNE MALGRE LE FROID ...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - C'EST CELA AUSSI LA FRANCE !!


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - ATTENTION TRANSPORT DE CHAMEAU !!


 

CLUB5A - IMAGES D'ARCHIVES - LES VÉHICULES RENAULT EN DIRECTION DU CAP...C’ÉTAIT EN 1951 !!

Participation de six véhicules Renault au rallye Méditerranée-Le Cap, en février 1951. L'équipe Renault comprenait deux 4CV, une Savane série Coloral, un pick-up série Coloral, un break 1000 kilos Tropic et un camion 5 tonnes avec un moteur horizontal sous le chassis. 
La randonnée Alger-Le Cap (16000 km en 32 étapes) est une épreuve sportive mais aussi un banc d'essai. Avant le départ, les pilotes présentent à Billancourt leurs véhicules et matériel à la direction de la Régie qui n'a pas craint d'engager dans l'épreuve les derniers nés de la série Coloral. Long résumé en images de l'épreuve Alger-Le Cap et des étapes à : Gao, Fort Lamy, Stanleyville, Elisabethville, Victoria Falls, Pretoria, Johannesburg, Port-Elizabeth .   
Source : WKPDIA/CC-BY-SA-3.0. ina.fr

jeudi 12 décembre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - RONDE DE NOEL 2016 - LES JOLIES NATTES DE MICHEL ...


 

CLUB5A - HUMOUR MOTO - L'AVENIR DE L'HOMME C'EST LA MOTO !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - La location avec option d’achat séduit et bouleverse le marché !!

300 euros par mois pour une belle voiture… 
La location avec option d’achat séduit de plus en plus de conducteurs, tout en les incitant à choisir du haut de gamme. 
C’est une révolution silencieuse qui prend racine et commence à modifier la manière de consommer l’automobile. Pour un nombre grandissant d’acheteurs de voitures neuves, la location avec option d’achat (LOA) est en train de s’imposer comme la norme. Acheteurs pas au sens propre du terme, en réalité. Cette pratique qui s’applique à une voiture neuve de particulier sur trois, contre une sur vingt il y a cinq ans, consiste à louer, généralement pour une durée de trois ou quatre ans, un véhicule à une société financière, liée ou non au constructeur.
 Le succès de la formule a déjà changé la communication publicitaire des marques qui, désormais, mettent en exergue un loyer mensuel, de 100 euros à plus de 1 000 euros selon le modèle, plutôt qu’un prix de vente. Au terme du contrat, le véhicule pourra être acquis par son utilisateur à un montant fixé au préalable, mais, dans la presque totalité des cas (plus de 90 %), c’est l’organisme financier ou la marque qui le récupère. La LOA représente aussi une bonne affaire pour les concessionnaires, car elle alimente le marché des occasions récentes qui, jusqu’à présent, se revendent bien. 
Qui dit LOA dit souvent belle bagnole. Pourquoi ? 
L’équation location incite l’automobiliste à monter en gamme et à s’installer au volant d’une voiture qu’il n’aurait sans doute pas pu s’offrir rubis sur l’ongle ou en contractant un prêt. Par ailleurs, la pierre angulaire de ce système est la valeur résiduelle du véhicule à l’échéance de la location. C’est cette donnée qui sert de base au calcul du loyer, qui sera d’autant plus bas que la décote du véhicule, liée aussi au kilométrage parcouru, sera limitée. 
De facto, la LOA avantage les modèles qui ont du succès et/ou appartiennent à des constructeurs « premium ». Cette formule, qui a largement contribué à tirer vers le haut le prix moyen sur le marché du neuf, contrecarre en partie la moindre appétence d’une partie des consommateurs pour l’objet automobile.
Source : lemonde.fr / Jean-Michel Normand / Conso Mag

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LA TWINGO CROSSOVER !!