jeudi 3 octobre 2024

CLUB5A - SPORT AUTO - La course automobile Paris-Madrid en 1903... La course meurtrière

 

Nous ne ferons pas ici le récit exhaustif du déroulé de cette course qui s’annonçait comme un événement extraordinaire dans ce début de siècle plein d’effervescence de progrès techniques et de bouillonnement des esprits. Beaucoup de choses ont été déjà écrites. Mais à la suite de l’histoire des automobiles Charles Alexandre Brouhot récemment publiée qui abandonna la compétition après l’accident de sa voiture dans cette course j’ai souhaité faire le point sur au combien l’enthousiasme a conduit au tragique. 
En octobre 1902, l'Automobile Club de France décide de tenir une course automobile entre les deux capitales. Les inscriptions sont ouvertes à la mi-janvier et, rapidement, les principaux constructeurs s'inscrivent. Au total, 315 concurrents sont inscrits : prendront part au départ de la course 127 automobiles, 23 voiturettes et 47 motocyclettes. Il faut dire que les course entre capitales européennes étaient très prisées et préfigurait déjà de l’universalité de cette invention qu’était l’automobile. La première course étant Paris Berlin en 1901.
 Commencée le dimanche 24 mai 1903 à 3 h 30 du matin à Versailles et initialement prévue pour s'étendre sur trois journées, les 24, 26 et 27 mai, elle est arrêtée par les autorités avant son terme, à Bordeaux, en raison du grand nombre d'accidents. La traversée des villes est neutralisée. Les bolides doivent se frayer un passage sur des routes sans revêtement où il y a tellement de poussière que la « navigation » se fait par rapport aux arbres qui bordent et au milieu de spectateurs enthousiastes et inconscients du danger. Louis Renault atteindra 140 Km/h dans une descente avec ces conditions. Le vainqueur Fernand Gabriel sur son « torpilleur Mors », aura parcouru les 552 km à plus de 105 km/h de moyenne. 
Le premier accident survient au passage à niveau de la ligne de Paris à Tours, à deux kilomètres de Bonneval. La voiture 243, conduite par Porter, prend feu et le malheureux chauffeur, tombé en dessous, meurt carbonisé. Deuxième accident à Ablis : une automobile surprend une femme qui traverse la route et la tue sur le coup. 
À quelques kilomètres de Poitiers, (le troisième accident) la machine de Marcel Renault verse dans un fossé ; lui-même est projeté à six mètres. Il est transporté à Couhé-Vérac dans un état désespéré. Il décèdera quelques heures plus tard. Trois kilomètres après Angoulême, le coureur Touran sur Brouhot décolle d'un pont, provoquant la mort du mécanicien et de trois spectateurs : deux soldats et un enfant (le quatrième accident) Près de Montguyon, (le cinquième accident) à la Combe-du-Loup, devant Arveyres, M. Stead, conducteur du no 18, est mortellement blessé à la suite d'une collision avec la voiture 96. 
Le mécanicien de M. Stead est également blessé. À Arveyres, la voiture no 5, (le sixième accident) pilotée par Claude Loraine-Barrow, rencontre un chien, braque et vient percuter un arbre. Des deux hommes qui la conduisent, l'un, le mécanicien, est tué, l'autre, M. Loraine-Barrow, est dans un état désespéré. 


La voiture est en morceaux. Le chien a littéralement été réduit en bouillie. Lucien Lesna, sur motocyclette Peugeot, est victime d'un accident. Sa fracture du genou mettra un terme à sa carrière de cycliste (le septième accident) Devant cette hécatombe les autorités fort justement arrêteront la course. 
Les conséquences seront vers une nouvelle organisation en circuits fermés en en augmentant les conditions de sécurité qui se poursuivent encore aujourd’hui. On notera la 77 ème place de Madame Camille Du Gast sur une De Dietrich dont nous avons déjà retracé la vie de pilote.. 
Source : Paris – Madrid 1903 la course meurtrière.King Rose Archives

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Musée Peugeot : exposition d'anciens véhicules électriques...

Musée Peugeot : exposition d'anciens véhicules électriques Le musée de l’Aventure Peugeot retrace l'histoire du véhicules électriques de 1941 à 2010. 
 Les voitures électriques ont le vent en poupe ! Et, ça ne date pas d'aujourd'hui... Dès la fin du 19e siècle, les constructeurs se sont intéressés à l’électricité pour animer nos véhicules. Mais, la faible autonomie des batteries, qui étaient par ailleurs très lourdes et coûteuses à fabriquer, ont eu raison de ce mode de propulsion. Il est abandonné au profit du pétrole et des moteurs à combustion. Aujourd'hui, cette énergie fait son retour en force dans nos véhicules. 
 Peugeot, qui avait déjà proposé une mise en bouche autour de cette thématique aux visiteurs du Salon Rétromobile 2020, la met une nouvelle fois à l'honneur. Cette fois, cela se passe au sein du musée de la marque à Sochaux (25). Du 4 juillet 2020 au 31 janvier 2021, venez découvrir l'exposition "Electrique" autour d'une collection de 8 véhicules. De l’électrique chez Peugeot dès 1902 Dès 1902, Peugeot étudie la possibilité d'intégrer dans des véhicules de livraison une motorisation électrique. 
Quelques exemplaires sont fabriqués, mais le projet est abandonné... Ce n'est qu'en 1941 que Peugeot commercialise officiellement son premier modèle à batteries. C'est la VLV. Le "Véhicule Léger de Ville" voit le jour durant l'occupation, alors que l'essence est rationnée. Ce mini-cabriolet biplace n'est produit qu'à 377 exemplaires jusqu'en 1946. Modèle auquel le constructeur au lion n'offrira pas de descendance directe. Il faudra patienter jusque dans les années 70/80 pour que Peugeot remette le couvert, sous pression du gouvernement français soucieux de développer cette filière. Avec Alstom et EDF, le constructeur décline des 104 (4 coupés et 3 fourgonnettes) puis sur des utilitaires J5 et J9 électriques. 
En 1983, débute un programme autour de la 205. Cette collaboration entre PSA et SAFT (batteries) fera naître le projet 106 Electric en 1993. La citadine, produite à 3.542 exemplaires entre 1993 à 2003, sera l'une des stars de l'exposition "Electriques". Voici les autres modèles exposés à ses côtés. Les modèles de l'exposition "Electriques" de Peugeot - Peugeot iOn Concept Il voit le jour en 1994. Ce "véhicule d’exploration" n'a pas grand chose avoir avec le modèle commercialisé depuis 2010. Cette dernière reprend trait pour trait ceux de la Mitsubishi i-Miev. - Peugeot TULIP concept En 1996, le constructeur imagine une série de 6 véhicules urbains rechargeables... par induction !
 On parle ici de l'ancêtre des Autolib, puisque les autos étaient destinées à être vendue aux collectivités locales dans le but d’être louées par les habitants. Le nom du Tulip est l'acronyme de "Transport Urbain Libre, Individuel et Public". - Peugeot Touareg Concept Avant que Volkswagen ne s'empare de cette appellation, Peugeot en avait fait l'usage pour l'un de ses concepts de tout terrain présenté en 1996 au salon de Paris. Il est doté d’un groupe électrogène qui permet aux batteries nickel/cadmium hydrure de se recharger de façon autonome. 
 Le musée de l’Aventure Peugeot retrace l'histoire du véhicules électriques de 1941 à 2010 dans une exposition qui débute le samedi 4 juillet 2020. Les voitures électriques ont le vent en poupe ! Et, ça ne date pas d'aujourd'hui... Dès la fin du 19e siècle, les constructeurs se sont intéressés à l’électricité pour animer nos véhicules. Mais, la faible autonomie des batteries, qui étaient par ailleurs très lourdes et coûteuses à fabriquer, ont eu raison de ce mode de propulsion.
 Il est abandonné au profit du pétrole et des moteurs à combustion. Aujourd'hui, cette énergie fait son retour en force dans nos véhicules. Peugeot, qui avait déjà proposé une mise en bouche autour de cette thématique aux visiteurs du Salon Rétromobile 2020, la met une nouvelle fois à l'honneur. Cette fois, cela se passe au sein du musée de la marque à Sochaux (25). 
Du 4 juillet 2020 au 31 janvier 2021, venez découvrir l'exposition "Electrique" autour d'une collection de 8 véhicules. De l’électrique chez Peugeot dès 1902 Dès 1902, Peugeot étudie la possibilité d'intégrer dans des véhicules de livraison une motorisation électrique. Quelques exemplaires sont fabriqués, mais le projet est abandonné... Ce n'est qu'en 1941 que Peugeot commercialise officiellement son premier modèle à batteries. C'est la VLV.
 Le "Véhicule Léger de Ville" voit le jour durant l'occupation, alors que l'essence est rationnée. Ce mini-cabriolet biplace n'est produit qu'à 377 exemplaires jusqu'en 1946. Modèle auquel le constructeur au lion n'offrira pas de descendance directe. Il faudra patienter jusque dans les années 70/80 pour que Peugeot remette le couvert, sous pression du gouvernement français soucieux de développer cette filière. Avec Alstom et EDF, le constructeur décline des 104 (4 coupés et 3 fourgonnettes) puis sur des utilitaires J5 et J9 électriques. En 1983, débute un programme autour de la 205. 

Cette collaboration entre PSA et SAFT (batteries) fera naître le projet 106 Electric en 1993. La citadine, produite à 3.542 exemplaires entre 1993 à 2003, sera l'une des stars de l'exposition "Electriques". Voici les autres modèles exposés à ses côtés. Les modèles de l'exposition "Electriques" de Peugeot - Peugeot iOn Concept Il voit le jour en 1994. Ce "véhicule d’exploration" n'a pas grand chose avoir avec le modèle commercialisé depuis 2010. Cette dernière reprend trait pour trait ceux de la Mitsubishi i-Miev. - Peugeot TULIP concept En 1996, le constructeur imagine une série de 6 véhicules urbains rechargeables... par induction ! 
On parle ici de l'ancêtre des Autolib, puisque les autos étaient destinées à être vendue aux collectivités locales dans le but d’être louées par les habitants. Le nom du Tulip est l'acronyme de "Transport Urbain Libre, Individuel et Public". - Peugeot Touareg Concept Avant que Volkswagen ne s'empare de cette appellation, Peugeot en avait fait l'usage pour l'un de ses concepts de tout terrain présenté en 1996 au salon de Paris. Il est doté d’un groupe électrogène qui permet aux batteries nickel/cadmium hydrure de se recharger de façon autonome. - Peugeot e-doll Concept L’e-doll Concept est présenté au salon de Paris en 2000, c’est un concept-car de la collection des "City Toyz".
 Il est animé par deux moteurs en provenance directe du scooter Peugeot Electric. - Peugeot BB1 Le concept-car BB1 est présenté au salon de Francfort en 2009. Cette auto de seulement 2,5m de long, peut accueillir quatre personnes. Elle est propulsée par un moteur électrique de 20ch et ses instruments de bord sont alimentés par des cellules photovoltaïques. 
Son poids se limite à 600 kg. - Peugeot EX1 Ce concept sportif 100% électrique a été présenté en 2010. C’est un roadster biplace à l’allure futuriste. Il est équipé de deux moteurs électriques, qui au total, développent 340 ch. L'EX1, qui profite d'une transmission intégrale, compte plusieurs records de vitesse aux mains de l'aventurier Nicolas Vanier. 
Source : autoplus.fr/-.Leblogauto

mercredi 2 octobre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - SANS LES BENEVOLES UNE ASSOCIATION N'EST RIEN....BOURSE MOTOS DE BRAM 2016...


 

CLUB5A - HUMOUR MOTO - TU SAIS POURQUOI ON T'ARRETE ??


 

CLUB5A - RETOUR SUR IMAGE - Les Cocottes du Désert - Rallye des Gazelles...

Le Rallye Aïcha des Gazelles est partenaire d'une grande opération solidaire qui vise à offrir dans 115 hôpitaux, un Noël aux enfants atteints d'un cancer.
Depuis plusieurs années, Les Gazelles, constructeurs et médias s’associent et courent ensemble pour une cause humanitaire.
Un concept créé par le Rallye Aïcha des Gazelles du Maroc qui donne lieu à un classement spécifique sur l’événement (en plus du classement général). 

Les équipages inscrits au challenge auront deux défis à relever :
- Promouvoir les couleurs d’une association humanitaire en médiatisant les messages et les actions de celle-ci dans le but de la faire connaître et de lui permettre de gagner une importante dotation (15 000 euros).
- Défendre les couleurs du média qui amène la visibilité en devenant le meilleur ambassadeur de ses partenaires et en figurant honorablement au classement spécifique « Wave Relais Médias ». 

...On croit que c'est facile mais ici, c'est le désert, pas de boulangerie à dix minutes de voiture, y a rien, rien que les étoiles si nombreuses parce qu'il n' y a pas de lumière autour, si nombreuses dans ce ciel d'encre qu'on est obligé de passer une heure le nez en l'air pour se rendre compte que la Croix du Sud est au dessus de l'Australie en ce moment, rien que le silence à peine troublé par une brise intermittente...
Source : Alexandra Bossy

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Pebble Beach... l’Amérique primée grâce à la France....

 

Le Best of Show de cette nouvelle  édition du concours californien a été remporté par l’unique Duesenberg carrossée par Jospeh Figoni. Peu importe si, comme souvent à cette période de l’année, le soleil a brillé par son absence dans ce coin du Pacifique, la 71e édition du concours d’élégance de Pebble Beach restera un grand cru. La manifestation californienne a marqué le coup d’envoi des festivités des 100 ans des 24 Heures du Mans. Pour l’occasion, Pierre Fillon, président de l’Automobile Club de l’Ouest, mais également Henri Pescarolo, Jacky Ickx et Tom Kristensen, respectivement quadruple, sextuple et nonuple vainqueur de l’épreuve, avaient effectué le déplacement. 
De nombreuses voitures qui se sont illustrées dans la Sarthe depuis 1923 étaient présentes, que ce soit dans le cadre du Tour d’Elegance organisé le jeudi précédent le concours d’élégance ou qu’elles concourent dans l’une des catégories du concours d’élégance ou qu’elles soient engagées dans des courses du meeting de Laguna Seca. 
Par ailleurs, en prélude au concours du dimanche, point d’orgue de la semaine de Pebble Beach, l’horloger Rolex, partenaire officiel de la plupart des manifestations qui se succèdent pendant une semaine dans la région de Monterey, remettait son propre trophée baptisé «The Quail, a Motorsport Gathering». Cette année, le prix était décerné à une Jaguar Type D de 1956. 
L’événement le plus attendu de la semaine de Pebble Beach était bien entendu le concours d’élégance organisé le dimanche sur les pelouses du golf, en bordure du Pacifique. Un an après le sacre de la Mercedes 540 K Autobahn Kuriers de 1938 appartenant au collectionneur Arturo Keller, les juges ont sacré une voiture américaine. Cela n’était pas arrivé depuis 2013. L’unique Duesenberg J habillée en torpédo en 1932 par le carrossier français Joseph Figoni et appartenant aux époux est sortie vainqueur d’une lutte serrée avec la Duesenberg J Graber Cabriolet d’Emily Mann et deux Talbot Lago, le coupé T150C-SS de Fritz Burkard habillé par Figoni & Falaschi et la T26 Grand Sport de Peter Mullin exécutée en cabriolet par Farina après la guerre. Récemment restaurée, la Duesenberg J des époux Anderson est le symbole de la suprématie de la carrosserie française dans l’entre-deux-guerres. 
La principale originalité de ces lignes monumentales réside dans le traitement de la poupe, semblable à l’étrave d’un bateau. Après avoir participé à un Paris-Nice, le torpédo américano-français avait été livré au magnat péruvien du sucre Antonio Chopitea. C’est au début des années soixante que la Duesenberg avait pris le chemin des États-Unis. Par ailleurs, le trophée de la voiture de sport a été décerné à la Ferrari 250 GT carrossée par Zagato en 1957, celui du Gran Turismo au concept car Autobianchi 112 de 1969. Cette étude réalisée par Bertone était présentée par l’Automotoclub Storico Italiano de Turin. 
 Source : Sylvain Reisser - le figaro.fr - In the Garage with Steve Natale-

samedi 28 septembre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - CHUTTTT ...TAISEZ-VOUS !...ECOUTEZ LE SON DE LA MOTO DE FUFU ....


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - A CHACUN SA PREMIERE NEIGE !!


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - PLUS BESOIN DE PRENDRE DE RISQUES AFIN DE DOUBLER UN CAMION !!




 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UN TRYBIKE EN MODE FAMILLIALE !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Rétromobile 2025 : la DS célèbre ses 70 ans...

 

Considérée pour beaucoup comme la voiture du XXe siècle, la DS a été présentée au salon de Paris de 1955. 
Le salon Rétromobile lui rend hommage, du 5 au 9 février prochain. La 49e édition du salon Rétromobile, qui se tiendra du mercredi 5 au dimanche 9 février, donne rendez-vous à l’histoire de l’automobile française. 
Le plus ancien et prestigieux salon de voitures de collection et de prestige au monde soufflera les 70 bougies de la fameuse DS. C’est le jeudi 4 octobre 1955, premier jour du salon de l’Automobile de Paris que la nouvelle berline du Quai de Javel a fait basculer a fait basculer la bagnole dans la modernité. Sous la nef du Grand Palais, les visiteurs n’ont d’yeux que pour la nouvelle berline de la firme du Quai de Javel qui ressemble plus à une soucoupe qu’à une automobile. 
Sur le stand de la marque, vers lequel converge une foule compacte, trône une magnifique DS 19 jaune champagne au toit aubergine ; elle tourne doucement sur son podium devant un public ébahi. Dans un autre enclos mais fixe, une DS 19 vert pomme à toit champagne surprend par sa couleur vive. Enfin, une troisième, entièrement noire se laisse aussi inspecter. L’enthousiasme est tel que les commerciaux racontent avoir enregistré douze mille commandes le premier jour du Salon! Il en sera de même durant toute la semaine et pareille frénésie se reproduira chez les principaux concessionnaires de France.
 Nombre d’automobilistes découvrant la DS 19 envisagent alors d’annuler leurs commandes de voitures plus classiques. Sortant du deuxième conflit mondial, à l’orée des Trente Glorieuses, la DS tranche résolument sur les monolithes sévères d’avant-guerre. 

Elle est le symbole d’une France qui ose. Résultat du programme VGD (véhicule de grande diffusion) lancé en 1935 pour s’inscrire dans la suite logique de la Traction, la silhouette de la DS s’inspire de la mode du streamline importée des États-Unis. Les volumes souples et enveloppants sont désormais de rigueur. 
La DS est d’un modernisme confondant avec ses formes de galet. Elle multiplie les effets: vitrages courbes, ailes voluptueuses, portes sans encadrement, feux en orifices de réacteurs encadrant un toit serti en plastique, roues arrière carénées, volant à une seule branche trônant sur un tableau de bord futuriste. À l’audace industrielle du constructeur qui a laissé la créativité du designer Flaminio Bertoni s’exprimer, s’ajoute l’innovation technologique conçue par André Lefebvre avec l’aide de Paul Magès pour l’incroyable suspension pneumatique. 
Si l’on ajoute l’embrayage automatique, quasi inconnu en Europe, et les freins à disque à l’avant que Jaguar venait à peine d’étrenner en course aux 24 heures du Mans commandés par un champignon qui remplace la traditionnelle pédale de frein, la DS s’avère un engin aussi irréel que stupéfiant, nous faisant passer directement dans une nouvelle ère. C’est cette histoire fascinante et couronnée de succès que le salon Rétromobile s’apprête à célébrer. Pour l’occasion, les organisateurs de la manifestation de la porte de Versailles ont renouvelé leur partenariat avec Mathieu Lustrerie. 
Réputée pour ses restaurations de lustres d’époque et ses splendides créations, la maison française installée dans le Lubéron a imaginé, en collaboration avec le décorateur Charles Imbert, une scénographie sublimant les lignes de l’une des voitures françaises parmi les plus célèbres. L’anniversaire de la DS est également l’occasion pour le Garac - l’école nationale des professions de l’automobile et de la mobilité - de montrer leur savoir-faire. 
Des élèves de l’école redonnent vie à la DS Ballons. La voiture qui avait servi au reportage photo de Claude Puech en 1959 avait disparu. Ce projet est un excellent moyen de valoriser la transmission, l’un des chevaux de bataille du salon et de son directeur, Romain Grabowski. En lieu avec les 70 ans de la DS, d’autres surprises sont attendues. 
Source : lefigaro.fr-Igor Magès-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

vendredi 27 septembre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - POUR JEAN-PIERRE L'APERITIF ETAIT UN GRAND MOMENT DE CONVIVIALITE ....


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - UN PLAISIR EPHEMERE !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - LES VOITURES DU FUTUR...

Scientifiques et ingénieurs travaillent à la mobilité conjuguée au futur. Leur vision : des voitures robotisées intelligentes, propulsées à l'électricité, qui communiqueraient entre elles et avec les infrastructures. 
A quoi pourrait ressembler la mobilité du futur ? 

Dans son fonctionnement, l’automobile n’a pas foncièrement changé au cours des 100 dernières années: on en est resté au moteur à explosion à essence ou diesel. 
Un paradigme qui arrive en fin de vie: les carburants fossiles, le réchauffement climatique et le smog contraignent à développer des modèles alternatifs.
 La propulsion du futur devra être propre, bon marché, disponible et commode d’utilisation. Quelles sont les autres solutions? 
Où en est la technique et quels sont les plus grands défis à relever?    
Source : RaceSpec / future.arte.tv/

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - DEFAILLANCE TECHNIQUE OU ERREUR HUMAINE ??