samedi 7 septembre 2024

CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION - Restauration : Eviter 9 erreurs fréquentes...

 

La restauration d’une voiture est opération complexe, très complexe. Même si les émissions de télévision comme Wheeler Dealers laissent penser que c’est rapide, facile et sans risque de perte financière ou de frustration, c’est rarement le cas. La plupart des restaurations nécessitent des centaines, voire des milliers d’heures de travail, une somme d’argent considérable et un délai qui peut s’étendre sur des années. Bien sûr, il y a des moments d’enthousiasme, comme le jour de l’achat, le jour de la peinture, le premier démarrage du moteur ou le premier trajet. Mais il y a aussi des moments d’abattement, quand on découvre des dommages inattendus, des dépassements de budget et des erreurs pures et simples, qu’il est parfois difficile d’admettre (par amour propre). Même si vos propres erreurs vous en apprennent probablement davantage, apprendre de celles des autres coûte généralement moins cher. Avant de vous lancer, prenez le temps d’étudier ces neuf erreurs courantes de la restauration des anciennes… 
 1 – Commencer avec la mauvaise voiture Démarrer avec une voiture à reconstruire de fond en comble n’est sans doute pas la meilleure idée. Restaurer n’est pas entretenir. La « bonne voiture » sera presque toujours celle dans le « moins mauvais état » que vous puissiez trouver. La rouille, les pièces manquantes, les dommages causés par une collision ou l’usure extrême rendent une voiture moins chère à l’achat mais généralement beaucoup plus coûteuse à restaurer. Rechercher soigneusement un bon exemple accélérera votre restauration et préservera votre budget. 
2 – Ne pas en avoir conduit une autre avant La plupart des restaurations commencent par un rêve : une vision idéalisée de ce que sera la voiture au final. Le problème est que la plupart des restaurations, aussi bien exécutées soient-elles, ne concernent encore que de vieilles voitures une fois terminées. La plupart des voitures anciennes n’ont rien à voir avec les voitures contemporaines. Elles démarrent moins bien, ne freinent pas aussi bien, n’éclairent pas aussi bien, ne se conduisent pas aussi bien ou ne disposent pas des commodités que nous avons oubliées tellement nous les aimons. Essayez de conduire un modèle similaire déjà restauré, avant de vous lancer dans votre projet. Découvrez si vous avez le feeling … ou pas au volant. Performances, tenue de route, confort, freinage, … encore une fois, même restaurée à neuf, une voiture des années 50 ne sera jamais une voiture des années 2000. Quoi qu’il en soit, ce serait dommage d’attendre la fin de la restauration pour découvrir que vous n’aimez pas tant que ça conduire votre voiture… 
3 – Refaire le moteur trop tôt La règle est simple : ne reconstruisez pas le moteur avant qu’il soit temps de le remettre en place. Le risque est de « cramer » le budget et de se retrouver avec un moteur rutilant mais sans le budget pour travailler correctement la carrosserie, la sellerie et le châssis qui sont au final les postes de restauration les plus importants. On peut toujours repeindre un moteur usagé, changer quelques joints, le remettre en place, rouler (quitte à remettre un peu d’huile périodiquement) pour le re-déposer et le reconstruire plus tard. 
4 – Lésiner sur la carrosserie et la peinture Nous venons de le dire au point 3. Vous pouvez refaire à peu près n’importe quel travail mécanique avec un peu de temps et un peu d’argent, mais refaire une carrosserie à la va-vite, c’est mettre un pansement sur une jambe de bois. La carrosserie est généralement la partie la plus coûteuse de la restauration, et trop de gens tentent de réduire les coûts en rognant sur les bonnes pratiques. On peut toujours recouvrir à la pelle à tarte un bas de caisse pourri avec du mastic et une belle peinture brillante. Mais dans 2 ans, tout sera cloqué et sera à refaire. C’est une fausse économie : la seule façon d’économiser sur la carrosserie et la peinture est de trouver une voiture saine et surtout de s’assurer que les travaux seront faits dans les règles de l’art 
5 – Ne pas vérifier les références des professionnels Que vous confiiez la restauration complète à un professionnel ou juste quelques éléments, il est essentiel de vérifier ses références. Notez le pluriel, car une seule référence ne suffit pas. Les rassemblements d’anciennes vous permettront surement de croiser d’anciens client de votre futur atelier. Il y a trois choses à leur demander : L’atelier a-t-il effectué un travail de qualité ? Était-ce dans le budget ? Était-ce à l’heure ? La prise d’information est un sujet difficile. Un client déçu dira-t-il « Je me suis fait avoir, j’ai choisi Untel et il n’a pas fait un bon boulot » ? 
 Si ce n’était pas un travail de qualité, éloignez-vous. Si ce n’était pas dans les délais ou dans le budget, cela peut être acceptable – la qualité coûte du temps et de l’argent, après tout – mais vous devrez planifier en fonction de ces éléments. Et suivre le chantier régulièrement. Pour la carrosserie et la peinture, vous ne devez pas seulement parler aux derniers clients, mais aussi essayer de voir des voitures qui ont été restaurées il y a 2, 3 ou 5 ans. Ca peut parfois être mal perçu, mais le client est roi et on est sur des budgets conséquents qui méritent de prendre des garanties. Dans le « monde des Anciennes » on est trop souvent dans l’affect, dans le monde des copains… Devis verbal à la louche (effet Vintage Mecanic), prix dit « d’ami », liste approximative des travaux prévus … on s’accommode de pratiques que l’on accepterai pas pour l’achat d’un canapé. Sans être trop procédurier, il faut trouver le bon compromis. De toute façon, c’est réglementaire … 
 6 – Acheter des pièces trop tôt C’est un corollaire de nos conseils moteur. Trop de gens s’approvisionnent en pièces détachées pour des milliers d’euros bien avant d’en avoir besoin. Ces pièces peuvent être endommagées lors du stockage, égarées, être les mauvaises et ne plus pouvoir être échangées et, encore une fois, elles accaparent une part importante du budget. Ne vous laissez pas embobiner par un vendeur qui assure que c’est son dernier lot. Vous seriez surpris de constater le nombre de pièces que l’on trouve actuellement sur le marché et qui étaient pourtant réputées « introuvables » il y a 30 ans ! Si vous laissez passer une vente, il y en aura probablement une autre dans 3 mois. Achetez vos pièces en temps et heure mais n’achetez pas de pièces que vous n’êtes pas _absolument_ prêt à utiliser. 
7 – Oublier vos objectifs de départ Sans objectifs, les restaurations échouent. J’espère que votre premier objectif est de vous amuser. Au-delà de cela, vous voudrez peut-être recevoir des prix, faire de belles balades, dire que vous l’avez fait vous-même ou rencontrer des personnes partageant les mêmes idées. Mais si vous occultez l’aspect émotionnel et êtes trop préoccupé par les plannings, les budgets, les problèmes ou autres distractions, votre restauration risquera un échec majeur. Gardez cet objectif émotionnel à l’avant-plan de votre esprit et ajustez les choses rapidement si vous vous en éloignez. Notez bien que nous n’avons pas mentionné « faire une plus-value ». Là encore, les émissions de télé où l’on ne comptabilise pas les heures de main d’oeuvre, où tous les outils tombent gratuitement du ciel, où les « prix d’amis » sont généralisés, où les voitures se vendent en 30 secondes … restent des fictions à finalité de divertissement. Pas la vraie vie. 

8 – Vouloir finir trop vite Nous pensons que la plupart des voitures présentées comme « restaurées » sont en réalité à encore 50 à 100 heures de leur finition. Bien sûr, elles sont jolies et se conduisent plutôt bien, mais sont-elles vraiment terminées ? Une bonne restauration se termine par de nombreux essais de conduite et par l’établissement de listes. Les listes indiqueront les irritants, les choses qui ne vont pas tout à fait bien, les pièces qui ne s’ajustent pas si bien que ça et tous les points qui nécessitent une attention particulière. Ils peuvent même inclure un gros travail, comme retirer la transmission pour modifier quelque chose. Vous n’avez peut-être plus d’argent, vous en avez marre de travailler sur votre voiture, après tout le temps passé et vous voulez avant tout rouler avec. Mais le contrôle objectif du « reste à faire » et sa planification transformera une restauration correcte en une excellente restauration voire exceptionnelle. 
9 – Ne pas admettre ses erreurs Voilà, le plus important : si vous avez commis des erreurs dans votre restauration, admettez-les et posez vous la question de savoir pourquoi vous les avez commises : J’essayais de gagner du temps J’essayais d’économiser de l’argent Je pensais que c’était OK Je n’ai pas réfléchi à la prochaine étape Mon pote pensait que ça avait l’air bien Le gars du (magasin/piste/meeting) a dit que ça marcherait Je ne voulais pas attendre la bonne pièce/outil/aide J’ai vu quelqu’un d’autre le faire … Le sujet est vaste. La restauration d’un véhicule ancien est une expérience incroyable, mais à condition d’en mesurer toutes les arcanes et d’avoir du temps, de l’énergie et de l’argent à y consacrer. 
Source : autocollec.com

CLUB5A - REPORTAGE - PHENOMENE ETRANGE ...LA DAME BLANCHE ...LE PHANTOME DE NOS ROUTES ...

 

La Dame Blanche. 
Sorte de légende urbaine transposée à la campagne, on a tous entendu parler de cette dame très pâle qui faisait du stop la nuit le long d'une route, emmenée par des amis d'amis d'amis... 
Elle aurait eu un comportement bizarre, insistant sur les dangers de la route, de plus en plus nerveuse jusqu'au moment où, au bord de la crise de nerf, elle demande au conducteur de la laisser là, au milieu de rien... 
À peine reparti, le conducteur regarde dans son rétro, elle a disparu !..
 Se renseignant plus tard au village voisin, notre automobiliste apprend qu'il y a quelques années, un effroyable accident automobile aurait tué cette femme qui, depuis, apparait de temps en temps pour faire du stop... 
La légende de la femme blanche était née... 
C'est tout de suite à ça que j'ai pensé en voyant cette photo, assez pâle, d'une femme attendant dans le fossé, qu'on la prenne en photo près d'une borne de la Nationale 7.
 Avant, on le faisait souvent, comme pour apporter aux amis une sorte de souvenir de voyage, la preuve qu'on était allé là... 
 Après, les lieux ont finalement peu changé. Le Km 67 de la N7 dans l'Allier est toujours là, Roanne est toujours à 48 kilomètres mais la borne a été remplacée par une triste plaquette métallique. La circulation est à peine plus importante qu’à l’époque de la photo depuis qu’une déviation contourne la ville.
 Quand à cette dame, apparition quasiment fantasmagorique au bord de la route, je ne saurai jamais qui c'était ni ce qu'elle faisait là... À moins que...
Source : Thierry Dubois N7-Vendredi Soir

lundi 2 septembre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - POUR MICHEL UN BON VENDEUR DOIT ETRE AUSSI UN BON "TOP MODELE" ...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - UNE AUTRE FACON DE SOULEVER SA VOITURE !!


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - CHARGEMENT D'UNE BUICK EN 1929 DANS UN TRAIN !!


 

CLUB5A - AUTO DE LEGENDE - LA CITROEN DS 19 CABRIOLET ......LE TAPIS VOLANT !!

La passion d'Olivier pour la DS Citroën ne remonte pas à l'enfance comme pour de nombreux fans de cette voiture. Il n'a découvert l'univers de la DS qu'en 1997 à travers une passionnée qui lui a indiqué une ID à vendre "C'était une ID Luxe 1965, toutes options notamment la direction assistée mais le moteur au joint de culasse claqué ne fonctionnait plus.
 Je l'ai réparée. Ce fut pour moi une révélation par son confort, sa tenue de route, sa quiétude. Un vrai tapis volant". Olivier venait d'être frappé par le virus DS qui depuis ne l'a plus quitté. Appelée longtemps DS décapotable par Citroën, la DS cabriolet d'Olivier est un millésime 1965 couleur rouge Rubis La DS 1965 avait encore la première face avant dont l'aérodynamique avait été améliorée en 1963. Dernière année de la DS19 Après avoir compté jusqu'à six DS et ID, il n'en a conservé que deux. 
Une DS 19 1959 noire dans son jus, à boîte hydraulique, plus son fameux cabriolet usine 1965. Millésime reconnaissable à ses enjoliveurs striés de berline Pallas et aux essuies glaces parallèles produit à seulement 107 unités chez le carrossier Chapron de Levallois sur un total de 1371 cabriolets fabriqués entre 1961 et 1971. Cette faible production était le fait de sa construction artisanale et de son tarif élevé, près de 50 % supérieur à celui d'une DS 19 berline à partir de laquelle il était réalisé. Fin 1964, le cabriolet DS 19 usine coûtait plus de 24 000 francs contre 15 730 francs pour une berline Pallas ! 
Prix grevés par les nombreuses options proposées par Chapron : intérieur bois, roues à rayons Robergel, tableau de bord Jeager, housse de capote en cuir, radio, glaces électriques. L'arrière était différent avec un couvercle de malle en composite Olivier a refait entièrement l'intérieur de sa DS et choisi le même cuir couleur Ébène. 1965 est la dernière année de la DS19 à moteur 1911 cm3 3 paliers de 83 ch SAE issu de la Traction 11 CV, puisque le millésime 1966 sera une 21 animée par le 2175 cm3 5 paliers de 109 ch SAE. Elle affiche encore l'ancienne face avant à simples phares qui sera rajeunie en 1968 avec ses fameux doubles phares tournants. 
Sa DS est équipée d'un ensemble Jeager vendu à cette époque comprenant un compte-tours et un mano d'huile. Il s'agit d'une version à boîte hydraulique (photo Nicolas Delpierre) Le cabriolet se distinguait par sa découpe d'aile arrière favorisant le changement de roue de dimensions 400 sur ce millésime (environ 16 pouces) contre 15 sur les 1966. Portes allongées de 18 cm C'est à partir d'un soubassement fourni par Javel avec des longerons renforcés (ceux du break) épaulés des renforts maison que le cabriolet était réalisé. 
 Esthétiquement, outre sa suppression évidemment du toit, il se distinguait par sa porte allongée de 18 cm et sa découpe de l'aile arrière. Il adoptait des clignotant spécifiques en boomerang montés en haut des ailes sous la capote et des doubles feux rouge ronds des versions export et un couvercle de malle en composite. Il se différenciait aussi par ses pare-chocs arrière allongés jusqu'au passage de roues, ses plaques gaufrées en inox chargés de masquer le soubassement et par ses fines baguettes de bas de caisse et ses sabots d'ailes. Intérieurement, il accueillait des sièges et des garnitures de portes en cuir. 
N'oublions pas que c'était Chapron qui modifiait les DS en version Prestige avec séparation chauffeur pour le compte de Citroën depuis fin 1958. La DS 1965 était encore motorisée par le 4 cylindres de 1911 cm3 issu de la Traction. Sa puissance avait été portée à 83 ch SAE en 1961 Le cabriolet se différentiait par ses feux ronds des DS export et son pare-chocs reculé l'allongeant de 3 cm par rapport à la berline. "J'en rêvais depuis longtemps" "J'en rêvais depuis longtemps mais son prix était déjà inaccessible pour moi. 
En 2012, j'ai découvert ce cabriolet 1965 numéros 8794048 stocké depuis 10 ans qui était à restaurer. 
Sa carrosserie avait été entièrement refaite en 1992 avec les renforts d'origine Chapron. Mais il n'avait plus de sellerie ni de capote, toute la mécanique était à refaire et sa carrosserie était à repeindre" Aidé par des amis, Olivier a passé quatre ans de sa vie à refaire la mécanique, la suspension hydraulique évidemment, les freins, la direction, l'intérieur tout en cuir dans sa couleur d'origine Ébène. Il a fait repeindre sa carrosserie dont la couleur avait disparu en rouge Rubis alors qu'il apprit plus tard qu'elle était rouge Carmin d'origine. Il a également monté à la place du bloc compteur d'origine, un vrai ensemble Jeager. 
Les fameux clignotants en forme de boomerang Citroën avait souhaité que la DS cabriolet compte 4 places, d'où le dessin assez vertical de la capote comparé aux cabriolets produits sous le nom de Chapron "Depuis j'ai parcouru environ 40 000 km à son volant. Ce n'est que du bonheur car elle offre tous les avantages de la DS, son confort, sa tenue de route, sa merveilleuse boîte hydraulique d'une grande douceur avec les avantages d'un cabriolet. Il est rigide, très silencieux, protège bien du vent et surtout permet de profiter des odeurs de la nature. À chacune de ses sorties, j'ai droit toujours aux mêmes questions " C'est un vrai ?,
 je ne savais pas que ça existait, j'en ai jamais vus". Enfin, en règle générale, il subjugue les enfants !" Vu la cote délirante du cabriolet (entre 120 et 220 000 euros) beaucoup de répliques ont été réalisées autant en France qu'à l'étranger. Mais Olivier s'en balance car malgré les propositions d'achat, il ne le vendra jamais. C'est plutôt du genre à acheter tout ce qui est siglé Citroën qu'il stocke dans un immense garage. 
Outre sa DS 59 et 65, il faut ajouter une 2 CV 1956, une superbe Traction 15-6 de 1950 et deux 2CV étonnantes. Une rare Azelle 2 portes décapotable homologuée et deux impressionnante Black Jack Avion trois roues d'origine anglaise. Sans oublier une 5 CV HP de 1924 qu'il va restaurer. De quoi l'occuper lors des longues soirées d'hiver... Olivier est passionné par la marque au double chevron (photo Nicolas Delpierre).
  Source : poa.tv/Patrice Vergès - Automobile Classics

mercredi 28 août 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - QUAND CES DAMES ACCOMPAGNENT LEURS MARIS MOTARDS LORS DES SORTIES MOTOS DU CLUB 5A CARCASSONNE...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - REPARATION DE FORTUNE !!


 

CLUB5A - TECHNIQUE MOTO - TRANSFORMATION D'UNE MOTO BMW EN CAFÉ RACER... !!

BMW R75 / 5 avec transformé en 900cc, pistons de 336 , les freins avant à double disques.
Maître-cylindre.....Brembo....Démultiplication  finale, allégée, 36mm Dellorto, échappement mégaphone ouvert et seulement un kick !
L’hiver est finalement là, c’est donc le moment idéal pour acheter une nouvelle base sur laquelle faire une préparation pour l’été ! 
Un Café Racer est une moto dépouillée avec un look à la fois vintage et sportif. Elle aura généralement une mono place avec une coque arrière de selle et des poignées bracelet.


Sources : MMotorcycles