lundi 6 mai 2024
dimanche 5 mai 2024
samedi 4 mai 2024
vendredi 3 mai 2024
CLUB5A - SORTIE AUTOS - LE DIMANCHE 28 AVRIL 2024 C'ETAIT LA JOURNÉE NATIONALE DES VÉHICULES D’ÉPOQUE-FFVE....DEUX CLUBS VAUT MIEUX QU'UN !
Dimanche 28 avril 2024, c’était la journée FFVE et ce jour-là, tout véhicule ancien, voir de collection, se doit de rouler. En effet, c’est le mot d’ordre de notre fédération qui nous encourage à organiser à travers l’hexagone une multitude de manifestations et, de ce fait, à faire savoir au public et nos représentants que nous existons et que le patrimoine roulant a toute son importance. Cette année, une fois n’est pas coutume, nous avons rejoint l’association « FAN AUTO-MOTO » de CANET D’AUDE qui gentiment nous ont proposé de nous joindre à leurs adhérents afin d’effectuer cette sortie en commun.
Et par la même occasion, d’organiser une rencontre amicale entre les deux clubs, et cela dans la joie et la bonne humeur, une journée où les passionnées de vieilles mécaniques devaient se rencontrer et échanger et ce fut le cas.
Ce sont donc 80 personnes et une quarantaine de véhicules de collections (et quelques motos..), tous passionnés de véhicules anciens qui ont répondu à l’invitation.
Le lieu de rendez-vous était prévu à la Fly zone à l’aéroport de Lézignan-Corbières à 9H. Au préalable, pour le club 5A un premier départ avait été organisé devant la salle des associations de Carcassonne à 8h afin d’effectuer la route en commun.
9H – Les participants des deux clubs étaient réunis sur le parking de la fly zone, un petit café (bien chaud) les attendait en guise de bienvenue. Comme convenu, était distribuée la remise des plaques, autocollants ffve de la journée ainsi que le roadbook.(Merci Régis et Véro pour l’organisation et votre disponibilité). Mais le temps était compté, car il fallait partir avec l’ensemble des participants afin d’effectuer cette jolie balade à travers les Corbières.9h30 – Après un rapide briefing, les deux clubs partaient en direction de St Paul de Fenouillet en passant pas les localités de Fabrezan, Talairan, Villerouge Termenes, Laroque de Fa, Massac, Soulatgé, Cubière s/ Cinoble (un arrêt café a été effectué à mis parcours afin de regrouper l’ensemble des véhicules) pour enfin traverser les gorges de Galamus où un rassemblement était prévu afin de traverser les gorges tous ensemble ( pour des raisons de sécurité) et de poursuivre comme convenu sur la localité de St Paul de Fenouillet.
Impressionnant cortège de voitures de collection défilait dans le paysage tel un « serpentin » de chrome et de jolies carrosseries où les passionnés de vieilles mécaniques se retrouvaient autour d’une dégustation au domaine de SALVAT (après l’effort …le réconfort).
Dans l’enceinte du bâtiment, différents produits régionaux nous étaient proposés, biscuits, huile d’olive, vins et apéritifs, tous aussi excellents les uns que les autres, appuyés par des explications et dégustations bien sympathiques.
Cette sortie FFVE avait comme prétention des valeurs très simple comme le partage de cette passion pour tous les véhicules anciens et l’amitié entre les clubs présents et en cela cette journée était un franc succès..
Il s’en suivit d’un excellent repas au restaurant « Le relais des Corbières » car il était temps de prendre place pour le déjeuner !
Le restaurant était situé à proximité du domaine de SALVAT toujours à St Paul de Fenouillet.
Mais il était temps de se quitter, les participants commencèrent à prendre le chemin du retour les uns en direction de Carcassonne (5A) par un itinéraire défini à l’avance et pour le club de Canet par Cucugnan et retour sur la région « Narbonnaise »…
Merci aux organisateurs et à chaque président de club ainsi qu’aux participants pour la mise en œuvre de cette belle journée, car même si la météo n’était pas vraiment au rendez-vous cette sortie était une véritable réussite et nul doute que les prochaines rencontres seront organisées dans les années à venir !
Texte : PL-Photos : PL /famille Raynaud
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - LES BOLIDES DE MR POTEET ...C'ETAIT EN 1934 !
Ce Bolide a été stocké dans la grange d'un vieux fermier depuis le 1 avril 1932.
Il peut signifier vraiment beaucoup de choses à beaucoup de personnes.
Il s'agit d'utiliser beaucoup des mêmes parties et de les restaurer dans l'état ou ils étaient : c'est à dire simplement des Bolides.Tandis que ces hommes n'avaient aucun intérêt dans l'histoire de la création de voitures.
Ils essayaient d'aller vite avec ce qui était disponible.....pas facile !
Une idée qui depuis 1934 à fait son chemin ..
Source : whitebirdfilms
CLUB5A - REPORTAGE AUTOS - La «Mexicana», la course la plus dangereuse du monde !
LES RALLYES LES PLUS FOUS
- Épreuve dantesque, la Carrera Panamericana Mexico a attiré au début des années 1950, pendant cinq éditions, les meilleurs pilotes, dans un décor hors du commun. Le 5 mai 1950, trente-deux concurrents présentent leurs machines à Ciudad Juárez (dans le Chihuahua), une ville mexicaine située à proximité de la frontière des États-Unis, pour le départ de la première édition de la Carrera Panamericana Mexico.
Ils ne le savent pas encore, mais ils s'apprêtent à affronter la course automobile la plus dangereuse du monde. Neuf étapes. Six jours de course. Près de trois mille cinq cents kilomètres représentant la partie mexicaine de l'axe reliant l'Alaska à la Terre de Feu en Argentine, du nord au sud du continent américain. Six jours de compétition débridée à travers les plaines désertiques du Nord, les montagnes de la région centrale et la forêt tropicale du Sud.
Source : Sylvain Reisser - lefigaro.fr -
jeudi 2 mai 2024
mercredi 1 mai 2024
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Les véhicules du passé ont la cote !!
Qu'il s'agisse de véhicules de collection ou de youngtimers, le prix des engins d'époque atteint des sommets dans les ventes aux enchères. Et ce, quelle que soit la catégorie du véhicule dont il est question.
D'après une étude du site français de vente aux enchères Interenchères, les voitures anciennes s'échangent contre des sommes de plus en plus élevées. Ce n'est pas seulement le cas des voitures de sport et de prestige, puisque des modèles populaires en très bon état peuvent aussi coûter cher à leur acquéreur.
Les véhicules premium semblent toutefois attirer plus de monde, puisque Mercedes, Porsche et BMW sont dans le top 5 des marques les plus recherchés. Pourquoi un tel engouement pour les voitures de sport anciennes? Si elles sont loin de revendiquer les mêmes performances que leurs descendantes, leur niveau de puissance est plus cohérent avec les conditions de circulation actuelles. Elles sont aussi plus légères, moins assistées, et leur design évoquant une époque révolue réveillera des souvenirs à certains.
Mais ces véhicules se paient aujourd'hui au prix fort.
Une Porsche 911 Carrera 3.2 cabriolet a été adjugée seulement 23 000 euros en 2012, alors qu'un modèle similaire a trouvé preneur pour 65 000 euros en 2018!
Les véhicules premium semblent toutefois attirer plus de monde, puisque Mercedes, Porsche et BMW sont dans le top 5 des marques les plus recherchés. Pourquoi un tel engouement pour les voitures de sport anciennes? Si elles sont loin de revendiquer les mêmes performances que leurs descendantes, leur niveau de puissance est plus cohérent avec les conditions de circulation actuelles. Elles sont aussi plus légères, moins assistées, et leur design évoquant une époque révolue réveillera des souvenirs à certains.
Sa valeur aurait donc triplé en 6 ans. Même phénomène pour la Ferrari 308 GTB, dont un exemplaire s'est échangé contre 24 000 euros en 2008 (en très bon état!), alors qu'en 2018, le bolide au cheval cabré était vendu par la maison Oléron pour 69 000 euros.
Autre exemple qui devrait faire réagir les conducteurs tricolores: une berlinette Alpine 1300 de 1971 a été cédée pour 26 000 euros en 2006, alors qu'un modèle produit la même année a été adjugé 53 000 euros en 2018.
Autre exemple qui devrait faire réagir les conducteurs tricolores: une berlinette Alpine 1300 de 1971 a été cédée pour 26 000 euros en 2006, alors qu'un modèle produit la même année a été adjugé 53 000 euros en 2018.
Les ventes aux enchères ne s'intéressent aux youngtimers (à traduire par voitures des années 1980-1990) que depuis peu. Cette catégorie a le vent en poupe, et les petites sportives comme les Peugeot 205 GTI, Volkswagen Golf GTI et autres BMW Série 3 «E30» s'échangent désormais contre des sommes rondelettes.
C'est encore plus vrai dans le cas d'une rare série spéciale. À son lancement en 1981, la Volkswagen Golf GTI «Oettinger» valait l'équivalent de 31 780 euros. En 2018, un exemplaire a été vendu 35 000 euros aux enchères. La voiture a donc retrouvé sa valeur d'origine, et l'a même un peu dépassée. Plus impressionnant, la Renault 5 Turbo 2, qui coûtait l'équivalent de 34 505 euros à sa sortie en octobre 1982, a été adjugée 60 000 euros en mars 2018 sous le marteau d'Osenat. Dans le cas d'une Renault 5 Turbo de la première série, elle s'échange aujourd'hui facilement contre 100 000 euros!
Modèles spéciaux mis à part, des véhicules ayant un faible kilométrage d'origine, ayant eu un propriétaire célèbre ou étant issus de la première année de production peuvent aussi battre des records. L'an dernier, une Citroën ID 19 avec 37 000 km au compteur a ainsi été vendue 44 000 euros aux enchères, alors qu'une 2CV Type A de 1949 (première série) a été adjugée 66 000 euros!
Source : lefigaro.fr - .La Quotidienne
C'est encore plus vrai dans le cas d'une rare série spéciale. À son lancement en 1981, la Volkswagen Golf GTI «Oettinger» valait l'équivalent de 31 780 euros. En 2018, un exemplaire a été vendu 35 000 euros aux enchères. La voiture a donc retrouvé sa valeur d'origine, et l'a même un peu dépassée. Plus impressionnant, la Renault 5 Turbo 2, qui coûtait l'équivalent de 34 505 euros à sa sortie en octobre 1982, a été adjugée 60 000 euros en mars 2018 sous le marteau d'Osenat. Dans le cas d'une Renault 5 Turbo de la première série, elle s'échange aujourd'hui facilement contre 100 000 euros!
Modèles spéciaux mis à part, des véhicules ayant un faible kilométrage d'origine, ayant eu un propriétaire célèbre ou étant issus de la première année de production peuvent aussi battre des records. L'an dernier, une Citroën ID 19 avec 37 000 km au compteur a ainsi été vendue 44 000 euros aux enchères, alors qu'une 2CV Type A de 1949 (première série) a été adjugée 66 000 euros!
Source : lefigaro.fr - .La Quotidienne
mardi 30 avril 2024
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - LA SM CITROEN ...L'INCARNATION DU HAUT DE GAMME DES VOITURES FRANCAISES....
CITROËN SM Injection : La GT française au cœur italien a 50 ans...
En cinq ans, la SM a su incarner le haut de gamme français en rassemblant tout le savoir-faire Citroën dans une auto. Véritable œuvre d’art sur roues, elle utilise les suspensions hydrauliques de la DS et le du moteur de l’Indy. Au Salon de Genève 1970, elle provoque l’émotion du public et cartonne. Hélas, la GT française arrive dans un contexte difficile et doit prendre sa retraite cinq ans plus tard.
Lorsque j’ai contacté Bernard Clavé pour lui proposer un entretien téléphonique, j’ai vu que j’avais affaire à un amoureux de la SM.
Pour ce connaisseur à l’accent chantant, la grande Citroën reste sans doute la voiture qui l’a le plus marqué durant son enfance. « Lorsque j’étais gamin, précise ce dernier, il y en avait une à Mont-de-Marsan. J’étais admiratif face à cette voiture et je n’aurais jamais pensé qu’un jour j’en aurais une ! » Retour sur un véhicule unique qui a fait rêvé toute une génération.
LA VOITURE DES ÉLITES DE LA RÉPUBLIQUE
La SM n’est pas la première Citroën à accéder à la cour de l’Elysée. Il y eut aussi la fameuse Traction 15-Six, les DS 19 et 21, la CX Prestige, la C6 et la Citroën DS 5. Mais au début des années 1970, Georges Pompidou commande deux exemplaires de SM Opéra cabriolet, plus grande que la normale puisque cette version atteint 5,60 m. Véritable paquebot roulant, cette dernière servira à véhiculer la reine Elizabeth II en 1972 puis le pape Jean-Paul II en 1980. Voiture de chefs d’état, on pensait cette belle SM à la retraite après le décès de Pompidou.
Mais lors de son mandat, Valéry Giscard d’Estaing la sort du garage. Ses successeurs, François Mitterrand et Jacques Chirac, feront de même. A l’époque, les élites de la République cherchaient dans cette auto l’excellence française qu’elle symbolise toujours, grâce à ses innovations et son style particulier.
UN OVNI SIGNÉ ROBERT OPRON
Mais il n’y a pas que les présidents qui tombent sous le charme de cette SM. Au salon de Genève 1970, ce sont les visiteurs qui portent de l’intérêt à la voiture. Son design en forme d’ovni, propre à Robert Opron, interpelle car la fluidité de sa ligne est adaptée aux résultats obtenus en soufflerie. Exit donc les arêtes vives !
De plus, la chose la plus intéressante dans l’esthétique est ce carénage de verre qui reçoit les phares et la plaque d’immatriculation, évitant ainsi une rupture de ligne. On retrouve donc les entrées d’air sous le pare-choc pour refroidir le bloc moteur et les freins à disques. On aime que le quai de Javel ait permis une grande liberté d’expression à l’équipe du bureau de style. Sa seule exigence était que l’aérodynamique soit au top pour rester dans la lignée de la DS. On peut dire que les designers ont réussi leur pari puisque le coefficient de pénétration dans l’air – que l’on appelle aussi…
Cx ! – est en amélioration de 25 % par rapport à celui de la DS. Bernard Clavé aime à dire que cette voiture est « vraiment impressionnante car elle n’a rien avoir avec une DS ou même une 2 CV. » Et personne ne le contredira.
LE GRAND LUXE
Dans l’habitacle, c’est le grand luxe. La GT 4-places possède des cadrans ovales originaux et une planche de bord qui reste lisible grâce à son volant monobranche. Bernard apprécie « le levier de vitesse avec cette grille qu’il trouve sympathique. » Par contre, il vient à regretter la disposition si particulière de l’autoradio, typique des Citroën. Côté équipement, il est complet.
L’auto est même en avance sur son temps avec le volant réglable en hauteur et en profondeur : une première en Europe ! Quant au confort, Bernard est catégorique : « je peux vous assurer que l’assise est parfaite ! Si l’on doit faire un long voyage, c’est l’idéal. » Mais le design n’est pas le seul à faire impression. Car en effet, « la fille du vent » possède un moteur italien.
UN V8 MASERATI TRONQUÉ
L’autre argument qui fait de cette SM une grande voiture est qu’elle embarque de la technologie. Parfait pour le créneau qu’elle convoite ! Grâce à l’accord Citroën-Maserati signé en janvier 1968, Giulio Alfieri se voit confier la responsabilité d’élaborer son moteur. Mais il est déçu de ne pas avoir la permission de mettre un V8 pour des raisons de fiscalité et de normes. Mais qu’importe, il agit ! Pour accomplir cette tâche, il prend le bloc de la Maserati Indy (voir RPA N°270) et l’ampute de 2-cylindres. Le V6 de 2.7 litres à carburateur développe une puissance de 180 ch SAE à 6 250 tr/mn – soit 170 ch DIN à 5 500 tr/mn – pour une vitesse maxi de 220 km/h.
Concernant la version à injection, elle gagne 8 chevaux supplémentaires. Dans un premier temps, la « nervosité transalpine » du bloc est appréciée. Hélas comme le précise Bernard, « les mécaniciens de chez Citroën n’étaient pas formés et n’avaient pas l’expérience pour travailler sur un bloc Maserati. Les voitures revenaient régulièrement pour l’entretien et les gens fuyaient l’auto. » Du coup, il y eu beaucoup de casse moteur au niveau des chaînes primaires et secondaires car elles n’étaient pas tendues comme le préconisait Maserati. Mais Bernard, qui fait partie du SM Club de France, relativise : « aujourd’hui, il est très rare que quelqu’un casse un moteur parce qu’on le fiabilise. On met désormais des soupapes d’échappement pleines alors qu’à l’origine, elles étaient au sodium. » Généralement, les propriétaires de SM déposent le moteur à 80 000 km pour changer les chaînes et le tendeur. Bernard poursuit : « si vous apportez un entretien régulier, il n’y a pas de raisons que votre moteur casse. »
La bonne idée des ingénieurs est d’avoir accouplée la boîte manuelle 5-rapports, dérivée des boîtes de D Super 5 et de DS 23, car elle procure une grande souplesse de conduite qui rend l’auto agréable. A cela s’ajoute un puissant système de freinage équipé de quatre freins à disque. En plus de ce moteur transalpin, la SM renferme d’autres technologies intéressantes, dont certaines ont été testées sur la DS. La suspension hydropneumatique, qui n’a plus à faire ses preuves, bénéficie d’une belle maturité de 16 ans d’âge. Elle procure un sentiment de confort et de sécurité inégalables. Bernard ajoute qu’avec cette suspension, « dans les courbes, la tenue de route est exceptionnelle.
Mais bien sûr, ce n’est pas non plus une Xantia Activa ! » Concernant la conduite, « ce n’est pas une sportive non plus, elle est même lourde !Mais il faut se remettre dans le contexte des années 1970… Qu’est-ce qui était aussi bien qu’une SM ? La tenue de route était phénoménale et la direction parfaite. » En effet, cette direction assistée « DIRAVI », conçue spécialement pour la SM, facilite la vie de celui qui prend le volant. Développée par Paul Magès, celle-ci permet de faire des manœuvres légères sur les parkings et s’affermit à grande vitesse pour une conduite plus sûre et précise. La fameuse rampe optique à l’avant, développée par l’entreprise Cibié, apporte un brin d’originalité mais aussi un côté technique intéressant. En effet, les phares intérieurs pivotent dans les virages en fonction de l’orientation du volant.
Hélas au Etats-Unis, cette rampe disparait à cause des spécifications américaines sur la sécurité routière qui interdisent les phares sous globe de verre. Ceux-ci seront remplacés par quatre phares ronds fixes… et sans âme. Enfin, précisons que la SM est la première voiture à recevoir un pare-brise collé.
ARRIVÉE DANS UN CONTEXTE DE CRISE
Entre 1970 et 1975, la SM s’est construite à 12 920 exemplaires. C’est donc un échec ! Pourtant, elle a contribuée à l’image de la marque française. En effet, 50 ans après, on se souvient de cette automobile comme la plus grande et la plus prestigieuse des Citroën d’après-guerre.
Hélas, les techniciens du réseau Citroën n’étaient pas formés à réparer le bloc Maserati. De plus, elle est arrivée à l’aube de la crise pétrolière de 1973 et au moment où l’état a instauré les limitations de vitesse sur les routes. Un contexte difficile pour une auto qui a été conçu pour rouler vite et qui consomme plus qu’une citadine. Pourtant, l’histoire suit son cours et le cinquantenaire de la SM se déroulera en 2020 dans le secteur de Chantilly. Un événement que Bernard Clavé et sa SM ne sont pas prêts de manquer.
La SM Injection de Bernard Clavé
Le 6 septembre 1973, un capitaine de vaisseau qui était attaché naval auprès de l’ambassade de France à Rome, achète cette magnifique SM Injection, de couleur bleu de Brégançon.
Un mois plus tard, il l’emmène chez Henri Chapron, et fait poser un toit ouvrant électrique. Sur les 12 920 exemplaires, moins de 10 ont été fait avec ce toit ouvrant Chapron. Par la suite, cette personne est revenue en France et Bernard en est le troisième acquéreur.
Source : Jack Stou-Romain ORRY-Photos Thierry Lesparre-retropassionautomobiles.fr/VersuS Production
VersuS Production
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