dimanche 12 novembre 2023
samedi 11 novembre 2023
CLUB5A - PILOTE DE LÉGENDE ........ JEAN-PIERRE BELTOISE !!....DE LA MOTO A LA MONO-PLACE !!
Jean-Pierre Beltoise nous a quittés dans la nuit à l'âge de 77 ans.
Jean Pierre Beltoise a débuté sa carrière en sports mécaniques par la moto où il excellait (11 fois champion de France) avant de basculer vers la monoplace dans les années 60.
Champion de France de F3 1965, Champion d'Europe de F2 en 1968, il côtoiera la F1 dès 1966 sans faire de saison complète et terminera même 5e du championnat du monde en 1969. Jean Pierre Beltoise a participé à 85 Grand Prix de F1 jusqu'en 1974 avec comme point d'orgue, sa victoire sous la pluie à Monaco en 1972 (BRM). En plus de ce succès, il signera également 8 podiums. Mais Beltoise a également couru avec succès en Endurance notamment avec Matra (victoires à Watkins Glen, au Nürburgring, au Castellet, à Brands Hatch notamment) et il participera 14 fois aux 24h du Mans.
Il sera également un extraordinaire compétiteur en Championnat de voitures de Tourisme puisqu'il remporte les titres France en 1976 et 77 sur BMW. Il enrichira son palmarès plus que fourni en 1979 par un nouveau titre, en Rallycross cette fois-ci (Alpine A310 V6) avant de terminer sa carrière en Supertourisme avec Peugeot dans les années 80.
Publié dans Sport Auto Pilotes / caradisiac.com / vidéo : AutoPlusMagazine
Il sera également un extraordinaire compétiteur en Championnat de voitures de Tourisme puisqu'il remporte les titres France en 1976 et 77 sur BMW. Il enrichira son palmarès plus que fourni en 1979 par un nouveau titre, en Rallycross cette fois-ci (Alpine A310 V6) avant de terminer sa carrière en Supertourisme avec Peugeot dans les années 80.
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CLUB 5A - REVUE DE PRESSE - Salon Époqu’Auto, un plateau éclectique de grande qualité...
Au menu de la 44e édition de ce salon du véhicule de collection qui se tient à Lyon du 10 au 12 novembre: l’histoire de Peugeot, les sagas Talbot et Cadillac, et tout l’univers de l’auto et de la moto ancienne. Le véhicule de collection ne connaît pas la crise. La preuve avec plusieurs centaines de manifestations organisées chaque année et des salons qui connaissent une fréquentation croissante. Quelques mois avant Rétromobile, le salon Époqu’Auto à Lyon ouvre la saison de l’hibernation des véhicules anciens.
Cette année encore, le salon lyonnais a vu grand: 80 000 m2 de surfaces d’exposition au parc Eurexpo, près de 850 exposants - 20 de plus que l’an dernier -, plusieurs centaines de véhicules exposés (autos, motos et camions) et des animations en pagaille, à commencer par des ventes aux enchères, le samedi pour les motos et le dimanche pour les automobiles.
Dans une ambiance festive et conviviale, Epoqu’Auto réunit tout l’univers des véhicules de collection: les clubs de marque, des organisateurs de manifestations, les marchands de pièces, de miniatures et de littérature.
Cette année, ce salon est placé sous le signe de la compétition avec l’exposition d’une dizaine de modèles de rallyes des marques du groupe Stellantis qui ont gagné le championnat du Monde ou le championnat d’Europe des rallyes. C’est ainsi que ce plateau exposé dans le hall 3 réunit trois Citroën championnes du monde avec Sébastien Loeb (Xsara WRC, C4 WRC et DS3 WRC), deux Peugeot - 205 T16 Evo1 et 206 WRC -, la Talbot Sunbeam Lotus que Guy Fréquelin et Jean Todt ont mené à la victoire en 1981 et l’Opel Ascona 400 qui a permis à l’Allemand Walter Röhrl de remporter le championnat du monde en 1982.
Intégré au groupe Stellantis, Lancia présentera également plusieurs machines qui se sont illustrées dans les épreuves routières.
Des épreuves routières, il en est encore question avec un plateau regroupant les modèles qui ont servi d’homologation aux voitures du Groupe A. Ces véhicules ont pris la succession des Groupe B bannis par les instances sportives en raison de leurs performances jugées monstrueuses. Sont ainsi exposés la Ford Escort Cosworth, la Mitsubishi Lancer Evo 6, la Peugeot 306 S 16, la Subaru Impreza et la Toyota Celica.
La compétition automobile à l’honneur...
Au fil des allées, les visiteurs pourront se rendre compte que la compétition constitue le fil conducteur de la 44e édition. Gérard Gamand, le régional de l’étape, présente sur le stand de son magazine Auto Diva des voitures qui se sont illustrées dans les courses de côte au cours des années 1970. L’occasion de découvrir des machines oubliées - barquettes et monoplaces - et de voir ressurgir des noms de pilotes. Sur le stand sont exposés notamment la March 742 de Jimmy Mieusset, la Martini de Guy Fréquelin, l’Abarth 3000 de Pierre Maublanc et la Cesca 740 de Michel Pignard.
Peugeot à l’honneur
Après avoir longtemps hésité à consacrer des espaces au sport automobile, il semble que le salon Epoqu’Auto se rattrape. Après Ford l’an dernier, Peugeot est à l’honneur sous le dôme. Parmi les 31 véhicules présentés provenant du musée Peugeot de Sochaux et racontant l’histoire de la marque, les modèles de courses occupent une large place. Au cours de son existence, la firme franc-comtoise s’est illustrée dans un grand nombre de disciplines, du rallye à l’endurance en passant par Indianapolis et la Formule 1. L’exposition Peugeot braque aussi les projecteurs sur la 205 qui fête cette année ses quarante ans. Lancée début 1983, cette citadine a sauvé le Lion de la sortie de route. Ses versions GTI et CTI sont aujourd’hui particulièrement recherchées par les collectionneurs.
Tombée dans l’escarcelle de Peugeot lors du rachat de Simca, l’aventure des automobiles Talbotfait aussi l’objet d’une exposition. Avant la guerre, cette marque de prestige a produit des châssis performants habillés par les meilleurs carrossiers français. Personne n’a oublié les berlinettes T150 CC carrossées par Figoni & Falaschi. Leur élégante ligne aérodynamique avait valu à ces chefs-d’oeuvre d’être surnommés «goutte d’eau». Après la guerre, Talbot s’est encore illusté en compétition, remportant de nombreuses courses de Grand Prix avec les monoplaces T26 et les 24 Heures du Mans en 1950.
Si la 205 a 40 ans, personne n’a oublié que la Renault Twingo vient de passer le cap des 30 ans. La firme de Boulogne-Billancourt lui rend hommage à travers la présence de plusieurs exemplaires.
Autre marque sous les projecteurs, Cadillac se raconte à travers la présence de près d’une trentaine de modèles exposés dans le hall 4, depuis un modèle des débuts jusqu’à 1983.
Originaire de Lyon, la marque de camions Berliet est aussi représentée à travers la présence de la Fondation Berliet. La moto n’est pas oubliée. Outre la célébration de la marque Dollar déjà vue à Rétromobile au début de l’année, Epoqu’Auto fait la part belle aux motocyclettes de 50 cm3. De nombreux visiteurs y retrouveront les machines de leur jeunesse.
Source : lefigaro.fr/Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...
CLUB5A - SPORT AUTO - LE MANS 1972.......... LES HEURES DE GLOIRE DE MATRA !!
Le Mans 1972 : Matra sur la plus haute marche du podium ! « Tout vient à point à qui sait attendre ». Nul doute que Jean-Luc Lagardère a du ressasser cette citation de Clément Marot plus que de raison depuis la création de Matra Sport, puisqu’il du attendre 1972 pour voir une de ses voitures remporter, enfin, les 24 Heures du Mans. La route fut longue pour atteindre un de ses objectifs, mais que la victoire fut belle. Une montée en puissance. Quand il prend le contrôle des automobiles René Bonnet, le patron de Matra sait que rien ne sera facile.
Dès 1966, il se lance dans l’aventure des Sport Prototypes en présentant la 620 équipée du V8 BRM venant de la F1. La voiture s’avère fragile et sa première participation au Mans se solde par un échec. La 630 qui lui succède ne fait pas mieux et ses participations à l’épreuve mancelle se soldent elles aussi par des abandons en 1967 comme en 68. On n’épiloguera pas sur la 640 qui, lors d’un essai sur la ligne droite des Hunaudières causera à Pescarolo une des plus belles peurs de sa vie. C’est avec la 650 que Matra voit ses efforts récompensés par la belle 4e place de Beltoise/Courage, Guichet/Vaccarella sur une 630 terminant juste derrière. Même si le podium n’est pas là, il n’est pas loin.
Le moteur Matra MS9 12 cylindres, qui équipe les 2 voitures, est prometteur et personne n’a de doute sur un succès rapide au Mans. Malheureusement, l’édition 1970 est catastrophique. Suite à un défaut des segments de piston, toutes les voitures abandonnent rapidement. Il faut dire aussi qu’une réglementation très permissive a vu l’arrivée des « grosses » Porsche 917 et Ferrari 512 qui vont régner durant deux saisons sur le championnat et sur Le Mans.
Ce n’est pas mieux en 1971, où la 660 de Beltoise/Amon se retire le dimanche matin sur un problème d’alimentation.
1972 : quitte ou double.
Pour 1972, Matra Sport décide que la saison en Sport Prototypes, se jouera sur une seule course, les 24 Heures du Mans. La priorité est donnée à la F1 et afin de ne pas trop se disperser, la plus grosse partie des moyens disponibles est allouée aux monoplaces.
Mais pas question de faire l’impasse sur l’épreuve reine tant convoitée d’autant plus qu’une nouvelle réglementation est venue mettre hors service les 917 et 512.
Matra avec son V12 de 3 litres peut donc envisager de jouer les premiers rôles.
Dès le début de la saison, Ferrari, qui avait bien anticipé le changement en travaillant très tôt sur ses 312 PB, domine la concurrence, particulièrement les nouvelles Alfa Romeo 33 TT3 et Lola T280. Mais Matra a confiance dans ses nouvelles 670 dotées du moteur MS71 plus puissant que le précédent et aussi moins consommateur d’essence, point important au Mans.
L’objectif est d’ailleurs clairement affiché par Jean-Luc Lagardère : gagner.
Coup de tonnerre deux semaines avant le départ, Ferrari annonce qu’il ne participera pas à l’épreuve craignant de voir le moteur des 312PB trop fragile pour endurer une course de 24hrs.
C’est donc avec le statut de grand favori, mais un peu dans l’inconnu que Matra se présente dans la Sarthe.
Les essais confortent l’équipe française puisque les trois meilleurs temps sont réalisés par des 670, Cevert/Ganley devançant Hill/Pescarolo et Beltoise/Amon. La première Alfa 33 est 4ème à 5 secondes de la pôle. Jabouille/Hobbs sur une 660 signent le 8e temps à 10 secondes.
C’est à 16 heures que le président de la République, Georges Pompidou, abaisse le drapeau à damier et libère les 55 voitures présentes sur la grille.
Rapidement, on se dirige vers un duel entre Matra, la 14 de Cevert/Ganley luttant au coude-à-coude avec la 15 de Hill/Pescarolo et la 12 de Beltoise/Amon.
Mais l’euphorie du départ est de courte durée pour l’équipe française. Alors qu’il vient de passer en tête, Beltoise est obligé de s’arrêter au bord de la piste victime d’une rupture de canalisation d’huile provoquant un départ de feu. C’est l’abandon immédiat après seulement quelques kilomètres.
La surprise de ce début de course vient aussi de la Lola T280 de l’Écurie Bonnier Switzerland qui boucle la première heure en tête.
Mais ce n’est qu’un feu de paille et très vite les deux 670 restant reprennent le commandement échangeant régulièrement leurs places en tête.
Les Alfa Romeo tentent bien de résister, mais force est d’admettre qu’elles sont dans l’incapacité de suivre le train des Matra, la plus rapide d’entre elles, la 33 pilotée par Stommelen/Galli pointant au mieux à la 2e place en début de course avant de reculer au fil des tours.
Les heures passant, ce sont les aléas de la course qui modifient quelque peu les positions. Jabouille sur la 660 connaît des soucis d’essence et doit rentrer au stand au ralenti après avoir été immobilisé sur le circuit. Il perd de suite plusieurs tours alors qu’il était en 3e position. Les ennuis frappent également les autres écuries et les abandons surviennent au fil des heures. La JS 2 de Guy Ligier/JF Piot a abandonné après 19hrs tout comme, un peu plus tard, une des deux Lola T280 sur un problème d’embrayage.
Pendant la nuit, la situation météo se dégrade et les voitures doivent composer avec une piste humide et des nappes de brouillard. Cela ne trouble pas les deux Matra 670 qui continuent leur ronde en s’échangeant la première place en fonction des arrêts au stand.
C’est au petit matin que survient le drame de ces 24hrs.
Joachim Bonnier en pleine remontée sur les Alfa percute la Ferrari Daytona du Suisse Florian Vetsch. La Lola passe par-dessus le rail de sécurité est vient s’écraser dans les arbres. Le suédois décède sur le coup.
La pluie, de plus en plus forte, perturbe la course. Hill, qui est passé en pneus mixtes, repasse en tête alors que Ganley qui a gardé ses slicks s’accroche avec la voiture de MC Beaumont et perd ainsi de nombreuses minutes.
Les accidents mettent hors service quelques Porsche 908 tout comme la Chevrolet Corvette de Greder/MC Beaumont. Les Alfa Romeo 33 TT3 souffrent aussi et les voitures d’Elford/Marko et Stommelen/Galli doivent se retirer.
Le dernier coup de théâtre sera à mettre sur le compte de la Matra 660 de Jabouille/Hobbs qui doit renoncer à quelques minutes de la fin sur un souci de boite de vitesse.
Heureusement pour Jean-Luc Lagardère, les deux 670 encore en piste ne montrent aucun signe de fatigue et c’est tout naturellement qu’à 16hrs, la Matra n° 15 de Hill/Pescarolo franchit la ligne d’arrivée en devançant la n° 14 de Cevert/Ganley de 11 tours.
La troisième place est prise par une Porsche, la 908/01 LH ex Siffert du trio Joest/Weber/Casoni.
L’Alfa 33 de Vaccarella/De Adamich échoue au pied du podium.
Les 5 places suivantes sont occupées par des Ferrari 365 GTB/4 Daytona, la plus rapide d’entre elles pilotée par Andruet/Ballot-Lena.
C’est la Ford Capri 2600RS de Birrell/Bourgoignie qui complète le top 10.
Jean-Luc Lagardère a gagné son pari.
Il a tout misé sur cette seule course et la réussite est au rendez-vous. Sa promesse, faite au président de la République, au moment du départ, de remporter la course, est respectée. Mais surtout, le triomphe de Matra marque la fin d’une période de disette pour les voitures françaises dans la plus prestigieuse des courses d’endurance puisqu’il a fallu attendre 22 ans pour voir enfin les couleurs tricolores flotter au-dessus du podium. La Talbot Lago T26 GS des Rosier père et fils a enfin trouvé une successeure.
Surtout, cette victoire est le commencement, pour Matra, d’une nouvelle aventure. En 1973 et 1974, la firme de Velizy participe au Championnat du Monde en Sport Prototypes et remporte les deux années le titre de champion du monde avec en prime, deux nouvelles victoires aux 24 hrs du Mans.
Belle consécration pour la marque française et beau succès personnel pour son patron
Jean Luc Lagardère.
1972, 2022, c’est cette année que l’on fêtera les 50 ans de cette première victoire de Matra.
Source : photos : Pinterest, Matra Archives,Le Mans Slot racing, 24H Le Mans, Motorsport-mecanicus.com/
Nano Bastianelli
CLUB5A - EPHEMERIDE - AUJOURD'HUI LE 11 NOVEMBRE - COMMEMORATION DE L'ARMISTICE DE 1918...
Commémoration et histoire
En ce 11 novembre 2020 nous commérons l’armistice de 1918, signé le 11 novembre 1918 à 5h15. Il mettait provisoirement fin aux combats de la Première Guerre mondiale et reconnaissait la victoire des Alliés et la défaite de l'Allemagne.
Il devait durer 33 jours.
102 ans plus tard nous fêtons ce fait marquant qui annonçait la fin de la Der des Der.
Une pensée ce jour pour ces hommes, nos aïeux qui sont morts durant ces 4 années de guerre.
Nous vous proposons bien évident au titre de la mémoire quelques photographies d'époque des véhicules qui ont servi durant cette première guerre mécanisée et dévastratrice.
Source : Philippe DruauxVéhicules Français d’Autrefois
vendredi 10 novembre 2023
CLUB5A - SORTIE MOTOS AUTOMNALE DIRECTION LESPINASSIERE ...C'ETAIT LE 5 NOVEMBRE 2023..
Comme chaque année au début du mois de novembre au moment où nos roues de nos vieilles « bécanes » explosent les bogues des châtaignes sur les routes de cette magnifique région de la « Montagne noire » où les feuilles mortes remplissent les fossés. Néanmoins, en cette saison, les motos du club 5A aiment se diriger vers LESPINASSIERE.
Revenons donc au commencement de cette matinée, comme nous en avons l'habitude, cela débute au café du Dôme, où, fidèle au poste, Alain et Bernard accueillaient les participants et prenaient les engagements….20€ par personne.(Régis Périch étant absent …)
A 9 heures, le départ était donné pour les 18 motos « inscrites ». Notre Bernard national, investi comme à son habitude dans sa mission ouvrait la route !
Après avoir parcouru les boulevards de CARCASSONNE, les motos se sont engagées sur la route en direction de LESPINASSIERE.
Soulignons que l'équipe d'assistance était assurée par Didier DORSSE merci à lui !
C'est sous un soleil d’automne mais très agréable au demeurant accompagné d’une température d’un beau mois de novembre, que chacun a pu profiter d'un très bel itinéraire (70 kilomètres).
La route était très agréable avec des paysages variés, de belles couleurs d'automne.
C'est ainsi qu'ont été traversés les villages de CONQUES S/ ORBIELS, PRADELLES, CASTAN avant d'atteindre LESPINASSIERE.
Vers midi, toute la troupe arrivait au restaurant et se réunissait autour des grandes tablées... enfin, le moment tant attendu de savourer le délicieux repas était arrivé.
Les propriétaires du restaurant de LESPINASSIERE, qui se trouvent dans l'ancienne école, nous ont accueillis chaleureusement en nous offrant les tripes traditionnelles. (Car l’objectif de la journée était bien là !)
Ces plats savoureux et réconfortants, parfaitement adaptés à la fraîcheur de l'automne, ont été accompagnés de fromage et d'un dessert...
Après le café, c'était déjà l'heure de repartir vers CARCASSONNE.
Trajet retour suivant l’itinéraire fixé où libre…. Pour les motards qui voulaient faire étape chez Lorette et Bernard à CONQUES S/ ORBIEL où était organisé, pour ceux qui le souhaitaient une halte « fraicheur » ceux-ci étaient les bienvenus …
Merci aux organisateurs du club pour cette belle journée !
C'était, comme d’habitude, une sortie motos très réussie dans un cadre champêtre et dans une belle ambiance.
Aucune panne n’était à déplorer au cours de cette journée.
Mention spéciale à Alain Milian pour avoir effectué ce parcours avec une moto d’avant guerre.
Rendez-vous l’année prochaine pour une nouvelle balade en direction de LESPINASSIERE !
Texte : Bernard Ricard - Photos : Lorette Ricard
jeudi 9 novembre 2023
CLUB5A - Technique et restauration - Rénovation d'une 2 CV Charleston...
Rénovation d'une 2cv Charleston Année 1983
La 2CV Charleston
Présentée en octobre 1980 au salon de l’automobile la 2CV 6 Charleston sort d’abord en série limitée.
En effet, prévue pour être fabriquée à 8000 exemplaires, la Charleston obligea Citroën à prolonger de 4 ans la carrière de la 2CV. Au vu de l’enthousiasme du public et des ventes, la direction de Citroën décide donc de l’intégrer au catalogue de 1982. Citroën touche une nouvelle clientèle “jeune” qui ne se serait jamais dirigée vers la marque au double chevrons sans la sortie de la Charleston. La base de ce nouveau modèle est évidemment celle de la 2 CV 6 : bicylindres 602cc, soupapes en V, arbre à cames central, bloc/culasse en alliage léger, chemises sèches amovibles… Pour 29ch à 5750 tr/mn, la consommation usine est annoncée pour 5,4L à 90 km/h et 6,8L en cycle urbain.
Source : eremy Defreyne J/2cv-legende.com
En effet, prévue pour être fabriquée à 8000 exemplaires, la Charleston obligea Citroën à prolonger de 4 ans la carrière de la 2CV. Au vu de l’enthousiasme du public et des ventes, la direction de Citroën décide donc de l’intégrer au catalogue de 1982. Citroën touche une nouvelle clientèle “jeune” qui ne se serait jamais dirigée vers la marque au double chevrons sans la sortie de la Charleston. La base de ce nouveau modèle est évidemment celle de la 2 CV 6 : bicylindres 602cc, soupapes en V, arbre à cames central, bloc/culasse en alliage léger, chemises sèches amovibles… Pour 29ch à 5750 tr/mn, la consommation usine est annoncée pour 5,4L à 90 km/h et 6,8L en cycle urbain.
Source : eremy Defreyne J/2cv-legende.com
mercredi 8 novembre 2023
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