mardi 23 avril 2024

CLUB5A - SORTIE NEIGE AUTOS DU 21 AVRIL 2024… LA MONTAGNE EST TOUJOURS BELLE.... AVEC OU SANS NEIGE !

 

Pour cette nouvelle édition 2024, les conditions météorologiques étaient idéales, un temps frais mais sous un ciel bleu. 
21 voitures et 43 personnes ont répondu présentes pour « arpenter » les petites routes des hauts plateaux des Pyrénées orientales et plus précisément la région du Capcir à 1500 mètres d’altitude dans ce charmant petit village de Matemale. 
 Pour cette nouvelle édition 2024, les conditions météorologiques étaient idéales, avec un temps frais et sous un ciel bleu. 21 voitures et 43 personnes ont répondu présentes pour arpenter les petites routes des hauts plateaux des Pyrénées orientales, plus précisément la région du Capcir à 1500 mètres d'altitude, dans ce charmant petit village de Matemale.
Ce dimanche 21 avril 2024 au matin, comme à l’accoutumée, nous nous sommes retrouvés non pas à la salle des associations, mais un plus loin sur le parking de la piscine (vide grenier oblige) . Corinne, Patrick et Sophie étaient à la manœuvre pour valider les inscriptions et nous remettre le roadbook. Le document dans la main, petit briefing effectué par notre président Régis épaulé par Corinne avant le départ afin de nous expliquer quelques détails du parcours. 
 Nous emprunterons un itinéraire avec beaucoup de petites routes à travers la montagne en passant par les localités de : Limoux-La Digne d’Amont-Castelreng-St Couat du Razes en passant par le col Dieudé Alt 545 mètres, Villefort et Chalabre. Après ces quelques kilomètres, une courte collation était la bienvenue. 
 L'organisation a tout prévu dans la localité de Chalabre (sur la place en bas du château), au bord d'une petite rivière, afin de déguster quelques gâteaux et un bon café chaud ou jus d'orange au choix. 
 Il existe un domaine où le club 5A est particulièrement efficace, c'est la maintenance et le confort de ces participants. Après une collation bien méritée, il fallait reprendre la route pour traverser les localités de : Puivert, Rodome, Aunat, Fontanes de Sault, Escouloubre-les-Bains. 
Mais avant d’arriver à Matemale, au pied d’une petite chapelle, l’apéritif nous attendait et oui, vous l’aviez deviné, les hauts alpages donnent de l’appétit, mais surtout soif. Ces « montagnards » ce sont quand même des bons vivants ! Une fois que les « glottes » de nos conducteurs étaient bien désaltérés, direction le village de Matemale et surtout à ce fameux restaurant. ‘ La Belle Aude’. 
 Merci à toute l'équipe du restaurant, car l'accueil a été excellent et le repas copieux. En fin de repas, pour ceux qui désiraient continuer la journée, il était proposé une visite à la ferme afin d'acheter de bons produits régionaux (lait, yaourts et fromages). Côté panne : juste une petite poussette improvisée avec la voiture d’Alain (problème de démarreur, rien de grave). 
Le retour fut sans encombre. Merci à la famille Cilia pour l'organisation de cette belle journée et à l'année prochaine, car avec ou sans neige, nous serons présents. 
 Texte : PL / Photos : P.L /famille Raynaud/famille Cilia

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - IL Y A DU BEAU MONDE AU BALCON ....


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO-MOTO - LES BONNES AFFAIRES NE SONT PAS LA OU ON LE CROIT !


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Ce constructeur anglais ressuscite un van mythique de 1948 en version électrique

Inspiré par un ancien modèle datant de 1948, le constructeur britannique Morris reviendra en 2021 avec ce van électrique "old school" qui peut rouler 320 kilomètres avec une seule recharge. Retour en 1960. Dans les années 1950, le van Moris J-Type était très prisé des artisans-commerçants pour se déplacer et promouvoir leur business. 70 ans plus tard, ce même modèle a servi d’inspiration aux nouveaux designers, qui relanceront la fabrication de ce véhicule en version 100% électrique. La marque, désormais baptisée Morris Commercial depuis son retour en 2017, a présenté le futur van lors d’un événement au Design Museum de Londres. Et comme vous pouvez le voir, on remonte dans le temps en quelques secondes.
 70 000 euros. Morris en a profité pour donner quelques détails sur le futur bolide : la carrosserie sera en fibre de carbone pour contenir le poids du véhicule et son volume utile atteint les 5,5 m³. La batterie lithium-ion affiche une capacité de 60 kWh et selon le constructeur le van pourra rouler sur plus de 300 kilomètres avec une recharge. 
Le point déjà négatif reste son prix : 70 000 euros. Et puis il faudra apprendre à conduire avec le volant à droite.
Source : detours.canal.fr/

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - LA DAUPHINE CABRIOLET !

La Renault Dauphine est un modèle automobile qui a été fabriqué par Renault dans l'usine de Flins (Yvelines) à partir de mars 1956 jusqu'en 1967. La voiture fut conçue par le bureau d'études Renault dans les années 1950 pour épauler la 4CV. Cette voiture fut la plus vendue en France de 1957 à 1961 et la première voiture européenne fabriquée en Argentine (1960 - 1970). Au Brésil elle a été fabriquée par "Willys Overland do Brasil" de 1959 à 1968. Toutefois, Renault connut un échec lors de sa commercialisation aux États-Unis en négligeant trop la qualité de fabrication, les services après-vente et la disponibilité des pièces détachées.
Ci-dessous une Dauphine cabriolet  "relookée" pas un carrossier ....pourquoi pas !!
 
Source : chaine historique

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UN DESODORISANT DIGNE DE NOS WC !!


 

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - RETOUR SUR LA SORTIE MOTO INTERCLUB EDITION 2024...

Source : lindependan.fr - JEAN GUY  - Merci DAVID SARDA pour le sui de l'info....

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CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ?? Quelle est l'origine du trident... logo symbolisant la marque Maserati ?

Lorsque la famille Maserati voulut créer le blason de leur marque d'automobiles, Mario, l'un des fils Maserati ayant fait les beaux-arts, s'inspira du trident de Neptune, dieu des océans. Mario trouva cette idée en regardant par la fenêtre de chez-lui : il habitait sur la grande place de Bologne où se trouve une fontaine de Neptune.
Les années 1900. 
Les origines de la famille Maserati. L’histoire de Maserati commence avec Rodolfo Maserati, employé des chemins de fer, sa femme, Carolina Losi et leurs sept enfants qui héritent tous de la passion de leur père pour la vitesse et la mécanique de précision. 
Les années 1910.
 Ingéniosité, guerre et entrepreneuriat. 1er décembre 1914 : Alfieri, Ettore et Ernesto Maserati ouvrent la “Società Anonima Officine Alfieri Maserati”, un garage de voitures situé au 1, via de’Pepoli à Bologne. 5 mois plus tard l’Italie est en guerre et l’ingéniosité technique des frères est mise à l’essai. 
Les années 20. 
La première étape d’un parcours historique. 1926 : Pendant les mois d’hiver, Alfieri, Ernesto et Ettore travaillent sans relâche sur leur première création originale : la Tipo 26. C’est la première voiture nommée Maserati et qui bientôt, appose fièrement, le célèbre logo Trident. 28 septembre 1929 : à Cremona, en Italie, Borzacchini établit le nouveau record du monde Classe C, au volant d’un modèle 16 cylindres V4, sur 10 km, à une vitesse de 246.069 km/h. Ce record sera inégalé jusqu’en 1937. 
Les années 30. 
Douleur et gloire. 1er mai 1937: Adolfo Orsi, un entrepreneur de Modène, rachète Maserati aux frères Maserati 30 mai 1939 : Wilbur Shaw, au volant de la “Boyle Special” 8 CTF, gagne les 500 miles d’Indianapolis à une vitesse moyenne de 185.131 km/h (115.035 mph). 1er septembre 1939 : Maserati déménage officiellement de Bologne à Modène, à l’usine, au 22 viale Ciro Menotti. 
Les années 40. 
Une nouvelle ère. 30 mai 1940 : au volant de la même voiture, Wilbur Shaw gagne les 500 miles d’Indianapolis pour la 2ème fois consécutive, à une vitesse moyenne de 183.911 km/h (114.227 mph). 1947 : l’A6 1500 est présentée au Salon de l’automobile de Genève. Conçue par Pininfarina, elle est nommée A6 pour A en l’honneur d’Alfieri et 6 pour le nombre de cylindres. C’est la 1ère Maserati destinée à un usage quotidien et non à la compétition. C’est un grand succès. 
Les années 1950. 
Le miracle Maserati. 1957 : la 3 500 GT est présentée au Salon de l’automobile de Genève et le niveau de production s’intensifie jusqu’à rencontrer une demande croissante pour les véhicules grand tourisme. 4 août 1957 : sur le célèbre circuit Nürburgring, Juan Manuel Fangio gagne le Grand Prix d’Allemagne au volant de la 250 F. Avec cette victoire, Fangio gagne le Championnat du Monde pour la 5ème fois, le 2ème avec Maserati. 
Les années 60. 
Les icônes de la Dolce Vita. 1963 : La première Quattroporte est présentée au Salon de l’automobile de Turin, lançant une nouvelle catégorie sur le marché : les berlines de luxe à caractère sportif. 1966 : la première Ghibli, conçue par Giorgetto Giugiaro, est présentée au Salon de l’automobile de Turin. 
Les années 70. 
Un nouveau chef d’oeuvre Maserati. 1971 : la Maserati Bora, un nouveau chef d’œuvre de Giugiaro, est présenté au Salon de l’automobile de Genève. Adolfo Maserati et son fils Omar se sentent mal à l’aise dans la nouvelle entreprise Maserati et quittent leurs fonctions. 
Les années 80. 
Une marque présidentielle. Un nouveau modèle est lancé dans les années 80 : la Maserati Biturbo. Belle et extrêmement puissante, son 6 cylindres 1, 996 cc avec 2 compresseurs peut atteindre une vitesse de 215 km/h. Le Président de la république d’Italie, Sandro Pertini, choisit la Quattroporte III comme limousine présidentielle officielle. 
Les années 90. 
La maison du Trident rencontre le Cheval cabré. 1993 : l’impensable va arriver. Deux rivaux historiques, le Trident et le Cheval cabré – Maserati et Ferrari – sont sur le point d’unir leurs forces. Leur partenariat surpasse leur rivalité historique. 1998 : la 3200 GT, un coupé conçu par Giogetto Giugiaro avec un moteur ferrari, est présentée au Mondial de l’automobile de Paris. Cela donne finalement naissance à l’emblématique Spyder, une voiture qui marque bientôt le retour triomphal de Maserati aux États-Unis. 
Les années 2000. 
Une icône mondiale. 9 septembre 2003 : au Salon de l’automobile de Francfort, la cinquième génération de Quattroporte est dévoilée. C’est la première Maserati conçue par Pininfarina en 50 ans. 5 mars 2007 : le Salon de l’automobile de Genève est le théâtre de la première mondiale de la nouvelle GranTurismo conçue par Pininfarina, le nouveau grand tourer de Maserati. 
Les années 2010. 
Croissance et diversification. 2013 : le Salon de l’automobile de Detroit est le cadre du lancement mondial de la 6ème génération de la Quattroporte. 

La Ghibli, la berline sportive, repensée et extrêmement réussie, est présentée au Salon de l’automobile de Shanghai. 2014 : Maserati présente son concept-car Alfieri au Salon de l’automobile de Genève et fête son centième anniversaire. 
 2016 et 2017: la marque continue d’innover avec le lancement du SUV Levante, au Salon de l’automobile de Genève et la présentation de GranTurismo et GranCabrio restylés au Festival de vitesse de Goodwood.
Source : maserati.com/fr/fr/marque/histoire-de-maserati-Saga Maserati

lundi 22 avril 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - PAUSE PHOTO POUR CET EQUIPAGE AVANT LE DEPART ....


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - UNE BONNE CONNAISSANCE DU CODE DE LA ROUTE EST IMPORTANT !!


 

CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES MOTOS - LES MOTOCYCLETTES JANOIR !!

Après avoir obtenu son diplôme de l'Ecole Nationale des Arts et Métiers, Louis Janoir pouvait difficilement, au début du XXème siècle, faire autrement que de s'intéresser à la mécanique, qui en était encore à ses balbutiements. Ses premières expériences se firent dans le domaine de l'aviation, en tant que pilote. Comme nombre de jeunes gens de la "bonne société", il participa à des compétitions, notamment aux commandes d'un hydravion de marque "Deperdussin" et participa à des épreuves prestigieuses comme la "Coupe Schneider" ou la "Coupe Gordon-Bennet".

 L'utilisation de ce type d'avion n'est pas anodine dans le cadre qui nous intéresse, puisque cette machine, assez extraordinaire pour l'époque comportait une carlingue monocoque métallique, à une époque où la plupart des autres "aéroplanes" étaient fabriqués autour d'une structure en bois, entoilé. Nous verrons par la suite que cette structure monocoque a probablement influencé la conception des véhicules que Louis Janoir concevra plus tard.
Suite relativement logique, Louis Janoir construisit ensuite des avions de sa propre conception. Probablement en très petit nombre. La plupart des appareils qui sortirent des usines Janoir ont été des Spad XIII, dont la construction fut également confiée à Levasseur et à Blériot.
Coïncidence ?
Tous, à la fin de la guerre, se reconvertirent dans la moto ou l'automobile. Leur point commun étant une certaine originalité dans la conception de leurs véhicules... avec des fortunes diverses. Janoir, lorsqu'il se tourne vers le sujet qui nous intéresse en priorité - la moto - va innover dans tous les domaines, ou, au pire, opter pour les solutions les plus avancées du moment :
•Le cadre était en tôle emboutie. Il avait de quoi étonner, puisqu'il évoque, dans sa partie avant, le "Deltabox" des productions les plus récentes. Les journalistes parlaient d'ailleurs, à son sujet, de châssis.
•Il est doté d'une suspension arrière, les ressorts étant à lames "demi-cantilever" (c'est à dire, des 1/2 lames).
•Les deux freins (l'arrière est actionné par un levier) sont à tambour et les roues interchangeables.
•Le bras oscillant maintient la roue arrière grâce à une broche. Technique probablement trop pratique pour que le "modernisme" l'ait faite perdurer : Elle permet de démonter la roue sans avoir à déposer les freins.
•La fourche avant est moins inspirée, puisqu'elle est de type "oscillante".
•Le moteur, par contre, est un bicylindre "à plat" longitudinal dont les cylindres sont coulés avec le carter (technique qui sera souvent utilisée dans les années '60 sur les moteurs à haut rendement, pour améliorer la rigidité du moteur) et chemisés acier.
•Ses culasses sont en aluminium et détachables et les soupapes culbutées. Les pistons sont également en aluminium et les bielles montées sur roulements à billes.
•Côté transmission, on trouve un énorme embrayage à disque conique unique et une boite de vitesses à 3 rapports.
L'audace technique de cette moto a-t-elle été un frein à sa mise au point ? A-t-elle présentée des problèmes pour sa fabrication ?
A-t-elle entraîné des coûts de production trop élevés ou un prix de vente excessif ?
 Aujourd'hui je n'en sais rien. Ce qui est sûr, c'est qu'il n'en existe pas beaucoup d'exemplaires.
Si tant est qu'il y en ait encore un ! Janoir ne persista pas longtemps dans ce domaine et se tourna ensuite vers l'automobile ou, plus précisément, de carrosseries pour automobiles, dont la particularité était d'être "tout acier". En quelques sortes, l'ancêtre des monocoques...... Décidément !
Source : moto-histo.com

CLUB5A - LES VOITURES ANCIENNES ONT LA COTE MAIS EST-CE VRAIMENT UN BON INVESTISSEMENT ?

Les voitures anciennes ont la cote ! 
De la Ford Mustang au Combi Volkswagen en passant par la mythique 2CV, on compterait plus de 800 000 véhicules de collection sur les routes françaises. 
Mais ce loisir n’est pas seulement réservé aux plus aisés. 
On peut trouver des voitures de collection à partir de 2000 euros. Mais est ce un bon investissement ?
Source : La Quotidienne


CLUB5A - REPORTAGE AUTO - ILS SONT OUF CES ITALIENS !!


Une 2CV vous dépasse à plus de 280 km/heure... Je vous dit pas la tête  des flics derrière leurs jumelles !
Pas de souci, vos sens ne vous trahissent pas...
Quelques fêlés ont fait le pari de monter la carrosserie d'une fourgonnette 2CV sur un châssis de Ferrari 355...  
Le résultat est très impressionnant !  
Ceci dit... le moteur n'est pas celui d'origine, à refroidissement à air, sous le capot... mais placé à l'arrière évidemment !
6 photos ci-dessous pour voir la métamorphose de cet engin de fous !  ....C'est le résultat de 5 ans de travail de quelques italiens.  
Une deudeuche qui atteint les 290 km/h.  
 Un bémol toutefois... son prix : pour une FERRARI 355 d’occase, comptez 90 000 EUR
+ une fourgonnette 2CV en bon état environ 3 000 EUR
+ la transformation (5 ans de travail de passionnés acharnés)  ajoutez environ 47 000 EUR
Pour 140 000 EUR... y a plus qu’à faire le chèque et elle est à vous !
Source : SellerieCimes

CLUB5A - HUMOUR AUTO - 2CV OU PEDALO ,,

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CLUB5A - CULTURE PUB - LA RÉFÉRENCE FRANÇAISE ...LA DEUX PATTES !!


 Une silhouette qui ne ressemble à rien d'autre, quatre portes, décapotable, deux cylindres symétriques et des suspensions dignes des meilleurs manèges de fête foraine, c'est la 2CV. Conçue pour résister aux terrains difficiles, aux charges folles et à tous les temps, la «deuche» devait passer partout. Bijou de la firme Citroën, cette automobile aura brouillé les cartes du paysage social. 
Des chemins de brousse d'Afrique à la cour de Matignon, jamais elle ne détonne. 
La Citroën 2 CV (pour « deux chevaux ») — familièrement appelée Deuche, Deudeuche ou encore Deux pattes en référence à son moteur bicylindre — est une voiture populaire française produite par Citroën entre le 7 octobre 1948 et le 27 juillet 1990. Avec un peu plus de 5,1 millions d'exemplaires elle fait partie des dix voitures françaises les plus vendues de l'histoire. En 1937, Michelin, fabricant français de pneumatiques, rachète Citroën et place Pierre Boulanger comme patron. 
Il a l'idée de créer une voiture destinée aux classes sociales du monde rural et à faibles revenus, le souci premier étant de permettre à la maison mère Michelin d'accroître son activité de pneumatiques. S'inspirant d'une enquête faite auprès d'un public ciblé, envoyée à plusieurs milliers d'exemplaires à travers l'ensemble du territoirenote, Boulanger écrit le cahier des charges précis et draconien, définissant le projet « TPV » (« toute petite voiture »)1 : avec quatre places assises, 50 kg de bagages transportables, 2 CV fiscaux, traction avant (comme les 11 et 15/Six), 60 km/h en vitesse de pointe, boîte à trois vitesses, facile d'entretien, possédant une suspension permettant de traverser un champ labouré avec un panier d'œufs sans en casser un seul, et ne consommant que 3 litres aux 100 kilomètres.
Elle doit pouvoir être conduite facilement par un débutant. Et surtout, aucun signe ostentatoire. Le slogan publicitaire « 4 roues sous 1 parapluie » de la fin des années 1960, résume assez bien l'esprit général de ce que le patron attendait. Il désigne André Lefebvre à la tête du bureau d'études, qui a déjà fait ses preuves sur la Traction. Il aura pour associés, Pierre Meyer, Alphonse Forceau s'occupant de la suspension, Jean Muratet spécialiste de la carrosserie, et Flaminio Bertoni L'équipe a carte blanche, tant qu'il ne s'agit pas d'esthétique ou de performance valorisante. 
Le projet explore toutes les voies possibles dans tous les domaines : des matériaux rares comme le magnésium sont employés pour la réalisation des bras de suspension ; les portes sont circulaires pour s'ouvrir en basculant (attention les doigts) ; on expérimente un dispositif d'éclairage s'inspirant des lucioles, le toit du véhicule est en toile cirée et les vitres en mica pour alléger l'ensemble… 
 Chaque prototype fait l'objet d'essais au centre de La Ferté-Vidame. Et Pierre Boulanger donne son aval à chaque étape. Dès qu'une solution aboutit sur un excès de confort, elle est rejetée : deux idées toutefois seront conservées : le dispositif de chauffage que les ingénieurs s'étaient confectionné pour les essais en hiver, à partir de manchons en feutre récupérant les calories du tuyau d'échappement, et l'habillage des portes et de la sellerie que Mme Boulanger avait suggéré à son époux. 
 Source : L'Aventure Peugeot Citroën DS