dimanche 12 octobre 2025

CLUB5A - TECHNIQUE ET RÉNOVATION MOTOS - RESTAURATION D'UNE SAROLEA 34B DE 2012

Saroléa est une ancienne marque de motocyclettes fabriquées à Herstal en Belgique. L'entreprise fut fondée par Matthias Joseph Saroléa en 1850. Elle fabriqua d'abord des pièces d'armes à feu, des vélos avant de fabriquer des motocyclettes à partir de 1900. 
L'entreprise en fabriqua de nombreux modèles entre 1900 et 1962 pour les besoins domestiques et ceux de la colonie. De nombreuses courses furent gagnées sur les motos Saroléa. Depuis 1998, les bâtiments hébergent les activités d'une ASBL à vocation sociale dans le motorium Saroléa, ainsi qu'un petit musée retraçant l'histoire sociale ouvrière en Belgique en parallèle avec le développement de l'entreprise Saroléa
Rénovation de a à z en quinze mois de 2011 à 2012 -Belgique 
 Source : fnfnfn25fn-WKPDIA/CC-BY-SA-3.0

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samedi 11 octobre 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - RETOUR SUR LA SORTIE DE PRINTEMPS TROIS JOURS DANS LES CEVENNES EDITION 2025...


Source : LVA - Merci Régis ARNAUD pour le suivi de l'info..

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - REGIS ARNAUD EN PLEIN "RUSH" DANS L'ORGANISATION DU TOUR DE L'AUDE...

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - L'AMOUR N'A PAS D'AGE...

CLUB5A - IMAGE D'ARCHIVE - Course Automobile à Brooklands en 1928 !!

Course automobile à Brooklands.
Les pilotes de voitures de course prennent le départ au début d’une compétition automobile en 1928.
Le circuit de Brooklands est un circuit automobile de 4,43 km de développement situé près de Weybridge, dans le comté de Surrey, au Royaume-Uni. 
Il a ouvert en 1907 et est le premier lieu consacré au sport automobile construit spécialement à cet effet. Il fut l'un des premiers aérodromes de Grande-Bretagne. 
Le circuit a accueilli sa dernière course en 1939 et abrite aujourd'hui le Musée Brooklands consacré à l'aviation et à l'automobile. 
Le circuit demeure un lieu de rencontres pour voitures et motos anciennes et autres événements liés aux transports.  
Source : British Pathé

CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - LA CITROËN DS A PLUS DE 50 ANS !!

La DS, et sa déclinaison simplifiée l'ID, fut commercialisée par Citroën entre 1955 et 1975, tout d'abord en berline puis en break et cabriolet. Le « D » vient probablement de l'usage du moteur le plus récent alors de Citroën, le moteur D, qui avait équipé juste avant la 11 D, laquelle fut le dernier modèle de la fameuse « Traction Avant », comme elle était populairement nommée. L'ID et la DS reprennent le principe de la traction par l'avant, qui a fait la renommée de Citroën.
 Dessinée par le designer italien Flaminio Bertoni en collaboration avec André Lefebvre, ingénieur issu de l'aéronautique, cette automobile était révolutionnaire par bien des aspects. 
À l'origine, son long capot est prévu pour accueillir un moteur 6-cylindres, mais tant le 6-cylindres en ligne de la 15 que celui à plat ne purent être adoptés, pour cause de mise au point. Son nom de code était « VGD » (Véhicule de grande diffusion), la conception du projet étant lancée par le PDG de Citroën Pierre-Jules Boulanger puis son successeur Pierre Bercot. 

Elle fut l'« attraction » du salon de l'automobile en 1955. Elle est dotée d'une ligne extrêmement audacieuse, qualifiée même de révolutionnaire, et d'un confort intérieur remarquable grâce à sa suspension hydropneumatique spécifique à la marque. 
La DS comporte également de nombreuses innovations technologiques qui la démarquent du monde de l'automobile de son époque en Europe : direction assistée, boîte de vitesses à commande hydraulique, freins à disque à l'avant, pivot de direction dans l'axe et, à partir des années 1968-1969, phares pivotants et introduction de l'électronique (moteur à injection). Innovation de sécurité importante : le volant de direction monobranche, conçu pour éviter de briser la cage thoracique du conducteur en cas de choc frontal violent.
 Les DS 21 et 23 auront également les distances de freinage associées aux principales vitesses sur route rappelées sur le tachymètre. La DS est vite adoptée par les cadres supérieurs et les notables puis par les stars et les élus de la République, jusqu'au général de Gaulle qui en fait la voiture officielle de la présidence.

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jeudi 9 octobre 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - MAGALI PRESENTE ET FIDELE A TOUS NOS GRANDS EVENEMENTS....

 

Disparition de la RDA : la Trabant, «l’une des pires voitures» de l’histoire, redevient à la mode

 

À l’heure où l’Allemagne célèbre les 35 ans de sa réunification, le nombre de «Trabis», automobiles communistes dont la production a été stoppée en 1991, est en constante augmentation. Design rudimentaire, habitacle exigu et gaz d’échappements au teint bleuté... 
La Trabant a été moquée comme l’une des pires voitures jamais fabriquées. Aujourd’hui, le véhicule symbole de l’Allemagne de l’Est garde ses inconditionnels et refuse obstinément de disparaître. À l’heure où l’Allemagne célèbre, vendredi, les 35 ans de sa réunification et donc de la disparition de la RDA, le nombre de «Trabis» sur les routes est en hausse. Selon l’autorité fédérale des transports (KBA), quelque 40.800 Trabants sont immatriculés dans le pays contre environ 33.000 en 2010. 
Glenn Kuschan, 58 ans, tient un garage au sud de Berlin. Il compte plusieurs propriétaires de Trabant parmi ses clients. Lui-même en possède 23, dont un modèle blanc ayant appartenu à son père, qui affiche plus de 500.000 kilomètres au compteur. «Mes clients viennent de tous les horizons», dit-il à l’AFP. «Des personnes âgées qui ont grandi avec la Trabi, mais aussi des jeunes qui veulent une voiture vraiment authentique». 
Originaire du Land de Brandebourg, la région de l’ex-RDA entourant Berlin, M. Kuschan voit dans la Trabant un symbole: «Elle a acquis un statut culte, notamment grâce à son lien avec la chute du mur et la réunification». 
La première Trabant est sortie d’usine en 1957, trois ans après que le régime communiste de l’Allemagne de l’Est eut décidé de produire une voiture populaire pour devenir, comme sa rivale occidentale, une nation de l’automobile. Liste d’attente Sa carrosserie était faite d’un matériau composite à base de plastique et en fibres de coton ou de papier, pour pallier le manque d’acier. Les vitres arrière ne s’ouvraient pas, et son moteur deux-temps bruyant crachait un mélange d’huile et d’essence dans l’air. 
On la surnommait affectueusement «la tondeuse avec un toit». Avec une vitesse maximale de 112 km/h, la Trabi communiste faisait sourire en Allemagne de l’Ouest, où les BMW, Mercedes et autres Porsche capitalistes régnaient sur les routes et faisaient la gloire du pays à l’étranger. 
 Et n’avait pas Trabi qui voulait quand il le voulait. Les citoyens de RDA devaient s’inscrire sur une liste d’attente et parfois patienter jusqu’à 15 ans pour recevoir leur voiture, produite à Zwickau dans l’une des trois couleurs disponibles : ivoire, bleu ciel ou menthe. 
Quand le mur de Berlin est tombé en 1989, des milliers d’Allemands de l’Est ont pris le volant de leur Trabant pour rejoindre la frontière, formant de longues files d’attente, moteurs fumants, pour voir l’Ouest. Après la réunification, beaucoup ont abandonné la Trabi, parfois littéralement au bord de routes, pour acquérir des voitures occidentales. 
Les usines ne survivront qu’à peine un an à la réunification. En route pour Leningrad La dernière Trabant, un modèle rose bonbon, a été produite en 1991. 
Au Musée du Trabi, dans la capitale allemande, les visiteurs peuvent admirer une collection de 20 modèles emblématiques et même embarquer pour une visite guidée de la ville au volant d’une Trabant. Les participants ont le plaisir de conduire eux-mêmes la voiture, accompagné d’un guide tout en découvrant l’ex-Berlin-Est. 
Thomas Schmidt, 49 ans, qui travaille au musée et conduit les véhicules lors des visites, raconte avoir «pratiquement grandi dans une Trabi» et qu’aujourd’hui elle fait «partie de son identité». «Elle peut tout faire, elle est indestructible», s’enthousiasme-t-il. «Et si elle tombe en panne, le bon côté, c’est qu’on peut tout réparer soi-même» du fait de sa simplicité mécanique, poursuit Thomas Schmidt, avant de réciter un dicton d’époque au sujet de la Trabi : «avec un marteau, une pince et un peu de fil de fer, tu peux rouler jusqu’à Leningrad». 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Le désigner Pietro Frua ....... la mémoire du monde de l'automobile !!

 

Pietro Frua (né le 2 mai 1913 à Turin et mort le 28 juin 1983) était un designer automobile italien, qui commença sa carrière dans les années 1930 auprès de Gian-Battista Pinin Farina, qui venait de créer la Carrozzeria Pinin Farina au 107 Corso Trapani, à Turin. Pietro Frua était le fils de Carlo et Angela Frua. Sa mère était couturière et son père employé de bureau chez Fiat. Après avoir suivi des études secondaires et avoir obtenu un diplôme de dessinateur technique, il occupe son premier emploi dans les établissements de la carrosserie Farina, la future Pininfarina, comme dessinateur.
 C'est à partir de ce premier travail dans le domaine de l'automobile que le jeune Pietro commencera une étonnante carrière qui l'amène, à l'âge de vingt deux ans à peine, à occuper le poste de directeur du « Centro Stile Stabilimenti Farina ». En 1937 il crée sa propre entreprise mais l'avènement de la Seconde Guerre mondiale interrompt brutalement cette nouvelle activité. Dès la fin du conflit, la situation s'améliore. Pietro Frua reprend son activité et embauche quinze salariés dans son entreprise. Sous son aile protectrice, de nouveaux talents voient le jour, comme Sergio Coggiola qui créera quelques années plus tard l'entreprise qui porte son nom.
 À cette époque il entretient d'étroits liens d'amitié avec Giovanni Michelotti, designer de renom, qui remontaient à l'époque de son passage dans les établissements Farina. Cette amitié durera toute sa vie. La première création de son cabinet de design remonte à 1946 et correspond à une voiture « fuoriserie » comme seuls les Italiens ont développé ce concept, une « barquette » reposant sur une base de Fiat 1100A de la première série de 1939. 
 
 Durant toutes les années 1950, Pietro Frua consacra son activité essentiellement sur des modèles Fiat, mais il sera également appelé par d'autres marques italiennes comme Maserati et Lancia ou étrangères comme Panhard et Renault. En 1959, Frua dessine pour Ghia le modèle « Aigle. » Les années 1960 seront les années les plus prolifiques pour la société Frua. 
Il garde d'excellentes relations privilégiées avec Fiat et Maserati, et il sera très souvent sollicité par les constructeurs étrangers.En 1960, le préparateur Hector Bossaert s'adresse à lui pour dessiner un coupé sur une embase de DS Citroën raccourcie de 47 cm et rabaissée de 7 cm. Ce coupé sera appelé GT 19, et assemblé à l'atelier de la société de Bossaert : « Gété », à Méteren. La partie antérieure est conservée, l'arrière étant très « italien » avec des ailes aileronnées et déhanchées après la portière, et des feux Carello. On lui doit notamment la quasi-totalité des modèles du constructeur allemand Glas (en), absorbé par BMW en 1966. Les années 1970 seront très riches en nouveautés étudiées et/ou réalisées pour de très nombreuses marques, sans prédominance pour l'un ou l'autre des clients précédents. Pietro Frua meurt, à l'âge de 70 ans, à la suite d'une opération d'une tumeur maligne, le 28 juin 1983. 
Pietro Frua restera dans la mémoire du monde de l'automobile comme l'un des grands designers indépendants de la Scuola italiana, la fameuse qualité esthétique italienne. L'hebdomadaire britannique Picture Post l'a qualifié de « Fashion king of the world car » (Robertson, 1956). Le magazine allemand Der Spiegel rappelle qu'il fait partie du cercle très fermé des plus grands carrossiers de la planète depuis le début des années 1950 avec Nuccio Bertone, la Carrozzeria Ghia, Giovanni Michelotti, Gian-Battista Pinin Farina, Alfredo Vignale et Ugo Zagato. 

 On lui doit plus de 210 créations de carrosseries pour beaucoup de constructeurs dans le monde. Il a signé des collaborations avec AC Cars, Alfa Romeo, BMW , DB/Panhard, Fiat, Ford, Glas, Jaguar, Lancia, Maserati, MG, Lamborghini, Opel, O.S.C.A., Peugeot, Renault, Rolls Royce, Volkswagen et Volvo.
Source : 
WKPDIA/CC-BY-SA-3.0-Przemek Michalak

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mercredi 8 octobre 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - RETOUR VERS LE FUTUR POUR PATRICK ET SA MALAGUTI....

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - L'EPOQUE OU LE BIBLIOBUS PASSAIT DANS TOUT LES VILLAGES....

CLUB5A - Reportage auto - Rattrape moi si tu Peux...... L'Histoire Des Voitures de la Gendarmerie...


 
Entre la dernière Renault Mégane RS et les premiers véhicules à moteur de la gendarmerie, un siècle d’évolution technologique s’est écoulé. 
En cent ans, les unités de gendarmerie se sont vues dotées de toutes sortes de véhicules. 
La plupart du temps, les militaires reçoivent des voitures standard qui suivent l’évolution classique de l’automobile civile, comme la 4L, ou l’Estafette.

Cependant, quelques privilégiés ont parfois la chance de conduire des voitures fantastiques, en fonction de leurs missions. 
Ce documentaire s’arrête sur la passion d’Erik Comas, ancien champion de Formule 1, pour la Berlinette A110 Alpine-Renault, ou encore sur la formation des pilotes lors d’un stage sur le circuit de Bresse.
Source : AKTUELLE-gabriel lothe

CLUB5A - SPORT AUTO - HISTOIRE DE LA F1

L'histoire de la Formule 1 trouve son origine dans les courses automobiles disputées en Europe dans les années 1920 et 1930. Elle commence réellement en 1946 avec l'uniformisation des règles voulue par la Commission sportive internationale de la Fédération internationale de l'automobile (FIA) et la création de la « Formule de Course Internationale no 1 », pour indiquer la qualité optimale, comprimée en Formule 1. 
Un championnat du monde de Formule 1 est créé en 1950 puis une coupe des constructeurs en 1958 (qui devient le Championnat du monde des constructeurs à partir de 1982). 
 L'évolution de la discipline est étroitement liée à celle des performances des voitures et de la réglementation technique des compétitions. Bien que le gain du Championnat du monde reste le principal objectif, de nombreuses courses de Formule 1 ont eu lieu sans être incluses au Championnat du monde (compétitions hors championnat). 
La dernière en date, disputée à Brands Hatch, s'est déroulée en 1983. Des championnats nationaux ont également été organisés en Afrique du Sud et au Royaume-Uni dans les années 1960 et 1970.
Source : StandAloneMedia2

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mardi 7 octobre 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - JEAN-LUC ET FUFU PRÊTS POUR LE TOP DÉPART...

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Brad Pitt a un garage “moteurs” incroyable...

 

Aston Martin Vanquish, Audi Q7, Jeep Cherokee, 7 motos, 1 hélicoptère… : Brad Pitt a un garage “moteurs” incroyable. En plus d'être un brillant acteur et producteur de cinéma, Brad Pitt est aussi un grand amateur de belle carrosserie. Son garage abrite de véritables petits bijoux, à commencer par une moto customisée valant des milliers de dollars et une Aston Martin que même James Bond n’a jamais imaginé conduire dans ses rêves les plus fous. 
 La plupart des célébrités collectionnent les montres de luxe, d'autres les sneakers exclusives, d'autres encore accumulent les gadgets dernier cri, les vêtements de créateurs, les tableaux de Picasso ou les bouteilles de Dom Pérignon religieusement stockées dans une cave si vaste qu’elle possède son propre microclimat. (Et dire que vous étiez fier de votre collection de timbres !) Mais Brad Pitt est un type simple. Les fringues tape-à-l'œil et les garde-temps couverts de diamants ? Très peu pour lui. Non, ce qui fascine l’acteur fétiche de Tarantino, ce sont les motos et les voitures, et certains modèles plus que d’autres. Selon la revue Hot Cars, l'Américain de 56 ans a une tendresse particulière pour une moto conçue spécialement pour lui par le légendaire constructeur Indian Larry, décédé en 2004, ce qui a sûrement fait grimper la valeur de ladite moto. L’interprète de Jack Conrad dans Babylon possède également une moto personnalisée signée Shinya Kimura et une Type 9 conçue par la société de celui-ci, Zero Engineering. 
À noter que ces véhicules atteignent généralement des prix très élevés, la Type 9 avoisinant les 40.000 dollars. Bien sûr, celle de l’acteur vaut sans doute beaucoup plus cher puisqu’il s'agit d'une pièce unique au monde. Mais la passion de Brad Pitt ne s'arrête pas aux motos : selon Hot Cars, il possède une licence de pilote d’avion et son ex-femme Angelina Jolie lui a offert un hélicoptère d'une valeur de 1,6 million d'euros. L'acteur est également le propriétaire d’un Spitfire Supermarine construit pendant la Seconde Guerre mondiale et estimé à 3,3 millions. Quant aux voitures, Hot Cars révèle que la pièce phare de sa collection est une Aston Martin Vanquish à 300 000 dollars. Brad Pitt étant père de six enfants, il possède aussi des voitures plus “traditionnelles” et fonctionnelles, comme une Audi Q7 à 55.000 dollars. Une somme dérisoire pour celui qui a perçu un salaire à 10 millions pour Once Upon a Time… in Hollywood. 
 Au total, Brad Pitt a sept motos, dont une Yamaha R1 destinée à la course et une incroyable Ecosse Titanium Series XX, sa préférée, qui coûte environ 300.000 dollars. Il possède également une Ducati Monster 696, une Ducati Desmosedici RR, son Indian Larry customisée, une BMW R1150GS Adventure et une Royal Enfield Bullet 500 datant des années 1950. Il possédait également une Suzuki DRZ-125, mais l'aurait donnée à son fils, Maddox, pour qu'il puisse lui aussi commencer sa propre collection. Côté voitures, l’acteur possède une Audi Q7, une Chevy Camaro SS, une Lexus LS 460 F Sport et une Jeep Cherokee. Aussi impressionnante soit-elle, cette collection de véhicules n'est certainement pas la plus grande réussite de Brad Pitt, qui compte deux Oscars, de nombreuses nominations, six enfants, une longue liste de films emblématiques et une société de production prospère. 
 Source : Paloma González- gqmagazine.fr/