lundi 21 juillet 2025

CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - LE CABRIOLET DELAHAYE TYPE 165 ..LE PROTOTYPE UNIQUE !!

La Delahaye Type 165 est un prototype unique d'automobile roadster cabriolet d'exception de 1938, du constructeur automobile français Delahaye, et du carrossier designer français Figoni & Falaschi, décliné d'une Delahaye Type 145 de 1937. 

Elle est destinée à représenter la France à l’Exposition Internationale de New-York 1939-1940, et appartient à ce jour à la collection Peter Mullin en Californie. Ce véhicule est décliné du châssis et du moteur V12 de course de la Delahaye Type 145 de 1937, et carrossé par le designer Figoni & Falaschi, inspiré par le design Art déco des années 1930. 
Il est dévoilé au mondial de l'automobile de Paris 1938 et destiné à représenter la France au pavillon français de l’Exposition Internationale de New-York 1939/1940. Il est présenté sans son moteur V12 non achevé à temps, mais remporte une vif succès public malgré tout grâce à sa carrosserie d'exception
 Lors de son retour en France, le véhicule est bloqué durant huit ans par les douanes américaine jusqu’en 1946, à cause de la seconde Guerre mondiale. Il passe ensuite de mains en mains par des propriétaires privés de Beverly Hills (ou il est équipé d'un V8 Cadillac), En 1985 le milliardaire américain Peter Mullin achète la voiture en épave. 
Il la fait entièrement restaurer durant huit ans avec son moteur V12 d'origine retrouvé en Allemagne. Ce véhicule est actuellement une des plus belles pièces de la collection Peter Mullin en Californie.
Source : She Auto World

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dimanche 20 juillet 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - AVANT LE DEPART....


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - QUAND ON MANQUE DE MOYENS AFIN D'ACHETER DES JANTES EN ALLIAGE !!


CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - Histoire de la Volkswagen coccinelle.....

Brève histoire de la coccinelle
 
VW Coccinelle, 1938 : Un succès renversant qui dura plus de quarante ans Créée à la demande d’Hitler, la «voiture du peuple» a conquis le monde entier après la guerre. Des campagnes de pub drôles et efficaces réussirent à prolonger sa carrière jusqu’en 2003. 
La voiture la plus fabriquée de l’histoire fut conçue par un ingénieur qui ne trouvait pas de constructeur. La guerre retarda son lancement de sept ans. Et les clients qui avaient souscrit pour la recevoir perdirent tous leur argent. Mais ce démarrage pour le moins heurté ne l’empêcha pas d’obtenir d’immenses succès. 
Mieux : plus la fin de sa très longue carrière approchait, plus elle devenait séduisante. C’est au début des années 30 que Ferdinand Porsche voulut réaliser son vieux rêve de «voiture pour tous». 

Né en 1875, cet ingénieur autrichien au tempérament de mercenaire avait conçu des véhicules électriques pour Lohner en 1897, puis une automobile Prince Henry, capable d’atteindre les 140 km/h, pour Austro-Daimler en 1910, et enfin, les fabuleuses SS et SSK pour Mercedes en 1928… 
En 1931, il prit son indépendance et fonda un bureau d’études, à Stuttgart, avec son fils Ferry. Porsche avait alors l’intention de se spécialiser à la fois dans les voitures de course et dans les véhicules populaires. Deux exercices pourtant très différents dans le premier cas, l’ingénieur a presque carte blanche pour obtenir la meilleure performance. Dans le second, il doit surtout se préoccuper des économies possibles sur chaque pièce et à chaque étape de la fabrication.
Source texte : capital.fr / vidéo : DuffMotorTV

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - RETOUR SUR L'ETAPE AU CLOS TEISSEIRE A ROUFFIAC D'AUDE LORS DU 36ème TOUR DE L'AUDE

Source : lindependant.fr - J-G - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - La MG TF 160 un modèle rarissime produit à seulement 30 exemplaires, rend les Anglais terriblement jaloux

 

Jean-Marc, 62 ans, nous emmène sur la côte bleue à bord de sa MG TF 160. «Ce cabriolet est vraiment la voiture idéale pour se promener, ici, sur la côte bleue au bord de la mer », nous confie Jean-Marc, ce Provençal de Marignane. En 2005, dans les concessions de la commune, il recherche avec son épouse une voiture décapotable, «hésitant entre une Mazda et un autre modèle de Toyota». 
Sauf que c’est toujours par hasard que se produisent les coups de foudre. Un jour de printemps, dans une énième concession automobile, le couple tombe sur une MG TF 160, spécialement conçue pour le marché français et présentée au salon de Paris en 2004. Spécificité : c’est une éditio. «Sur le moment, je n’ai pas compris que c’était une série limitée. J’en ai saisi l’importance bien plus tard», confie-t-il, avouant que c’était un achat «pas du tout raisonné». Voilà, il vient d’acquérir le numéro 2 de la série pour environ 30.000 euros. Deux mois plus tard la marque fait faillite, et aucun modèle équivalent ne sera plus jamais produit. 
 L’histoire aurait pu s’arrêter là, mais Jean-Marc découvre progressivement l’univers passionnant qui entoure sa voiture. «En Angleterre , MG est une institution, c’est dans la culture !» Curieux d’en savoir plus sur sa nouvelle acquisition, il s’inscrit dans des clubs MG où il rencontre d’autres passionnés de la marque britannique. C’est là qu’il fait la connaissance de Marina, une Belge, membre du club, qui devient rapidement une complice dans cette aventure. 
Grâce à l’aide de Jean-Marc, elle trouve même une annonce pour la même voiture qu’elle finit par acquérir. De fil en aiguille, poussé par la curiosité et cette passion grandissante, Jean-Marc et Marina se lancent dans une véritable enquête pour retrouver les autres propriétaires de cette série mythique. Leur quête s’avère fructueuse : ils parviennent à localiser 20 propriétaires sur les 30 que compte la série. Un nouveau club est né, celui des rares propriétaires de la MG TF 160. 
En 2013, Jean-Marc et Marina reçoivent une invitation qui va marquer leur histoire : MG les convie à un événement annuel sur le mythique circuit de Silverstone. 
 Les Anglais sont jaloux de son modèle «Le circuit était rempli de voitures, les Anglais me demandaient des détails sur ma voiture blanche à lignes bleues», raconte Jean-Marc avec amusement. L’ironie de la situation : cette série limitée, produite par leur constructeur emblématique, ne leur était pas destinée. 
 «Les Anglais ont été frustrés de ne pas profiter de ce modèle à 30 exemplaires - ça n’existait pas chez eux, ça suscitait la curiosité», explique Jean-Marc. 
La jalousie britannique était palpable. 
Certains passionnés allant même jusqu’à lui demander les dimensions exactes des lignes bleues ornant sa carrosserie pour réaliser des répliques artisanales.  Ce succès inattendu du modèle à Silverstone donne des idées au petit groupe de propriétaires français. Fort de cette expérience, le club des MG TF 160 décide de perpétuer la tradition en organisant ses propres rassemblements partout en Europe, tous les deux ans. 
En Allemagne, en Suisse, et pour la dernière édition : en Normandie. Au-delà de sa rareté, la MG TF 160 séduit par ses qualités techniques remarquables. 
«C’est le même moteur que les Lotus : puissant, très agréable, très précis», détaille Jean-Marc. «Ce cabriolet est très fiable, pas le moindre souci. Je viens de faire le contrôle technique hier : il n’y a zéro défaut !» La voiture révèle même une surprise, elle roule sous la pluie : décapotée. «On revenait d’un rassemblement, on a pris un orage et on n’avait pas le moyen de s’arrêter pour remettre la capote. C’est là qu’on a su que dans le cabriolet, l’eau ne rentre pas. 
Le modèle est construit de telle manière qu’on reste toujours au sec», raconte le Marignanais. Avec le temps, la MG TF 160 de Jean-Marc, rare et convoitée, est devenue un véritable trésor pour les collectionneurs. Mais sa valeur va bien au-delà de cette spéculation : c’est avant tout une source de souvenirs, d’amitiés et d’émotions partagées. Son fils a appris à conduire sur cette voiture, créant des liens familiaux indélébiles. 
Les passants s’arrêtent pour admirer sa «bonne bouille» et lors des rassemblements, les automobilistes les saluent amicalement en leur laissant le passage. Pour Jean-Marc, cette voiture incarne une époque révolue, celle où MG savait encore créer des véhicules d’exception, des rencontres improbables et une passion qui ne cesse de grandir.
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

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samedi 19 juillet 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - POUR REPARTIR IL FAUT DU PEPS DONC DEUX CAFES VAUT MIEUX QU'UN...


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UN VIRAGE PRIS AU TAQUET !!


 

CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - LA DYANE QUI NE PUT CHASSER LA 2CV !!

Le Garage du cœur, rubrique auto rétro de « M », exhume le souvenir de celle qui aurait dû succéder à la 2CV, mais n’y parvint jamais. 
Les petites voitures de génie ont, plus souvent qu’à leur tour, enterré les modèles destinés à les remplacer. 
L’Austin Metro n’a jamais pu venir à bout de la Mini et, chez Renault, la 4L a fait bien peu de cas de la R6. La règle vaut également pour la 2CV, qui survécut sept années à la Dyane que Citroën avait introduite en 1967, il y a tout juste cinquante ans, pour la pousser vers la retraite. Au milieu des années 1960, la marque au double chevron commence à s’inquiéter du déséquilibre qui menace sa gamme. 
La DS commence à prendre des rides mais tient son rang, alors que la 2CV, apparue en 1949, voit son succès s’éroder. Or les classes moyennes aspirent à des voitures plus modernes et plus confortables. Alors que Renault fait un tabac avec la 4L, Citroën doit constater que le pari tenté avec la baroque Ami 6 (1961) n’est, commercialement parlant, pas tout à fait concluant. 
Quai de Javel, on considère donc qu’il faut donner une vraie héritière à la Deudeuche. 
Le cahier des charges brosse le portrait d’un modèle qui s’inscrirait dans le prolongement de cette dernière mais offrirait une montée en gamme et une vision plus évoluée de l’automobile. 
Une 2CV en mieux mais qu’il faudra produire dans la même usine et sur la même base technique. La Dyane ne pourra jamais se défaire de cette ambiguïté. Les premiers dessins sont confiés à l’ex-bureau de style de Panhard – marque fraîchement rachetée et sacrifiée sur-le-champ par Citroën –, dirigé par Louis Bionier (1898-1973). 
L’homme qui avait dessiné les Dynamic d’avant-guerre mais aussi la jolie 24 CT, ultime création du constructeur de la porte d’Ivry, livre une copie qui tente de mettre la 2 CV au goût du jour. Les formes arrondies sont devenues anguleuses et la calandre s’est élargie, encadrée par des phares enchâssés dans une structure chromée rectangulaire qui se veut plus chic. Bonne idée : le coffre s’ouvre d’un seul tenant, comme un hayon. L’ébauche sera retouchée par les designers de Citroën sans pour autant gagner en charme. L’appellation choisie pour le nouveau modèle rendra hommage de manière subliminale à ses origines Panhard. 
Dyane puise dans le patrimoine des noms déposés par la doyenne des marques françaises, célèbre pour ses Dyna. Moins folklorique que son aînée Lors de sa présentation en août 1967, la nouvelle Citroën ne déchaîne pas l’enthousiasme. Son deux-cylindres à plat de 405 cm3 pour 21 ch ne lui permet pas de dammer le pion à la 2CV et même si ses sièges sont un peu plus confortables et sa capote plus facile à manier, on peine à discerner ce qu’apporte de vraiment neuf le nouveau modèle. Sa présentation laisse à désirer, sa faible surface vitrée engendre une sensation de confinement et son instrumentation de bord bizarroïde ne convainc guère. 
Il faudra attendre 1970 pour que le constructeur daigne installer une troisième vitre latérale et que la Dyane 6 dispose d’un moteur dont la cylindrée passée à 602 cm3 développe 35 ch. Ce n’est qu’en 1980 que Citroën lui octroiera des freins à disques à l’avant. Un peu pingre sur les bords, la Dyane fait cependant preuve d’un comportement routier moins folklorique que la 2CV, grâce à ses suspensions moins souples. Outre qu’elle n’est pas très avenante, la Dyane doit faire face à un autre problème. La « vieille » 2CV s’est brusquement mise à rajeunir. Dans les années 1970, elle ne séduit plus seulement les ruraux et les acheteurs sans le sou : ce sont les jeunes qui, désormais plébiscitent ce modèle de plus en plus apprécié pour son côté décalé. Les séries limitées se succèdent pour contribuer à prolonger la légende d’une voiture qui peut se prévaloir d’un charisme et d’un sens de l’humour qui font cruellement défaut à son héritière qui devait incarner la modernité.
 Source : Par JEAN-MICHEL NORMAND lemonde.fr//80spowerleforum

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Défilé du 14 Juillet : Le président de la République en Renault Rafale rallongé..

 

Le président de la République a ouvert les festivités du 14 Juillet en remontant les Champs-Élysées à bord d’une nouvelle Renault Rafale. La parenthèse du 8 mai, marquée par l’apparition surprise de la DS N°8 à l’occasion des 80 ans des Commémorations de l’Armistice de la Seconde guerre mondiale, refermée, la présidence de la République a sorti du garage la Renault Rafale, voiture officielle de l’Élysée entrée en service lors du défilé du 14 Juillet 2024. 
Le SUV haut de gamme poursuit la collaboration historique entre les présidents de la République et la firme au losange. Depuis 105 ans, Renault est un témoin privilégié de l’histoire de France, accompagnant les chefs d’État. 
Tout commence par la Renault 40 CV, fleuron du luxe à la française, utilisée par Paul Deschanel et ses successeurs. Depuis, douze chefs d’État ont fait confiance à Renault pour leurs déplacements officiels. 
De la Reinastella à la Safrane Limousine, chaque véhicule incarne le prestige de la fonction présidentielle.

Le SUV Rafale est ainsi le dernier représentant d’une illustre lignée. Ce n’est pas un hasard si le SUV haut de gamme du constructeur français porte le nom de l’avion de chasse du groupe Dassault*, emblème de l’excellence française. Renault était devenu propriétaire du nom en rachetant, au début des années 1930, la firme d’avions Caudron, en difficulté. Le Rafale version 2025 n’a plus rien à voir avec le modèle de l’année précédente. Fruit d’une collaboration très étroite entre les équipes de l’Élysée, celles de Renault, notamment l’équipe du style, et celles d’artisans français réputés pour leur savoir-faire séculaire. 
 Véhicule unique, le nouveau Rafale présidentiel se distingue du modèle de série par sa teinte bleue spécifique, son indispensable blindage et son empattement allongé de 250 mm qui a permis de transformer l’espace arrière en bureau roulant. La régulation thermique a été optimisée pour maintenir une température intérieure équilibrée.
 L’intérieur a fait l’objet d’un soin particulier. Le cuir de la sellerie, issu de chutes sélectionnées, a été retravaillé dans des coloris spécifiques, tandis que le bleu des surpiqûres a été rigoureusement choisi pour correspondre au nuancier officiel de la République. 
Les appuie-tête ont été gravés au laser pour y apposer les armoiries françaises : une pelta, un faisceau de licteur et des branches de chêne et d’olivier. À l’arrière des sièges avant, les designers ont intégré des poches aumônières. Le confort des occupants des places arrière s’appuie sur des sièges ventilés et une régulation thermique optimisée afin de maintenir une température intérieure équilibrée. 
Autre détail qui a son importance : à l’ouverture des portes avant, les dossiers des sièges conducteur et passager s’illuminent du monogramme «RF» (République Française). Toujours à l’arrière, l’équipe du design a réalisé une console centrale gainée d’Alcantara. Le caractère unique du Rafale présidentiel s’illustre encore à travers la présence de marbre des Pyrénées, un marbre noir veiné de blanc, réalisée par l’entreprise franco-italienne Minéral Expertise. 
Ce matériau noble épouse la console centrale arrière, la planche de bord et la branche centrale du volant du Rafale. Il se marie à merveille avec la sellerie en cuir et la marqueterie fine réalisée par l’ébéniste Ludovic Avenel formé à l’École Boulle. Pour le Rafale, il a conçu des platines de commande des sièges arrière en bois de hêtre foncé, travaillé en marqueterie. 
Basé sur un Rafale hybride rechargeable de 300 ch, le Rafale présidentiel bénéficie des 4 roues directrices et d’un réglage de suspension spécifique prenant en compte le surpoids causé par le blindage conçu par l’entreprise française Centigon, expert de la protection mobile. Source : lefigaro.fr-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Départs en vacances : nos 10 conseils essentiels avant de prendre la route...

 

Alors que les premiers vacanciers devraient être nombreux sur les routes ce week-end, quelques contrôles et précautions s’imposent pour préserver sa sécurité et celle des autres automobilistes. Avant de prendre la route des vacances, nous ne saurions trop vous recommander de procéder à une check-list complète. Négliger cette précaution élémentaire expose l’automobiliste et sa famille à moult désagréments dont celui de rester en panne sur le bord de la route, voire d’être victime d’un accident. 
Une voiture révisée 
Premier conseil: mieux vaut partir avec une voiture révisée par un professionnel. Les manuels des constructeurs rappellent que les révisions doivent être effectuées au moins une fois l’an. À défaut, le contrôle technique, qui doit être réalisé tous les deux ans dès lors que le véhicule a plus de quatre ans, oblige à un bilan complet qui signalera d’éventuelles anomalies. 
Contrôler les niveaux 
Si votre véhicule est régulièrement contrôlé, cela ne vous dispense pas d’une petite check-list à effectuer avant le grand départ. Pour partir l’esprit serein, il va falloir soulever le capot et s’armer du manuel de bord pour procéder à la vérification de tous les niveaux: huile moteur, liquide de freins et de refroidissement. 
Sans oublier celui du liquide de lave-glace, indispensable pour nettoyer le pare-brise des insectes qui s’y seront écrasés. Pour les véhicules électriques, la check-list est simplifiée mais les conducteurs ne sont pas dispensés de vérifier le niveau du lave-glace et le niveau de charge des accumulateurs. Il est préférable de partir la batterie pleine. 
 Des pneus bien gonflés 
Plus important, l’éclatement d’un pneumatique sur autoroute est souvent dû à un sous-gonflage. Un pneu sous-gonflé éclate à cause de la surchauffe engendrée par sa déformation. 
A contrario, on ne risque absolument rien à rouler surgonflé, sinon à diminuer le confort. L’idéal est donc de vérifier la pression à froid et de choisir celle préconisée pour un roulage en charge, généralement majorée de 0,2 à 0,3 bar. N’oubliez pas de vérifier celle de la roue de secours. À condition d’en posséder une! 
 Gilets et triangles embarqués 
Même bien entretenue, une voiture peut toujours tomber en panne. La législation impose d’emporter un triangle de signalisation et un ou deux gilets de sécurité qui doivent se trouver à bord du véhicule afin d’être immédiatement accessibles en cas d’immobilisation. Un décret, paru en mars 2013, maintient l’obligation de posséder un éthylotest mais supprime la sanction en cas de défaut de possession. 
Nous en profitons pour rappeler une évidence, vous devez être en possession des papiers du véhicule: carte grise et attestation d’assurance. Quelques outils Tout le monde n’est pas garagiste, mais il est rageant de devoir rester sur le bord de la route quand il aurait suffi d’avoir quelques outils sous la main pour pouvoir repartir. 
Pensez donc à emporter un outil multifonctions de type Leatherman, un rouleau d’adhésif renforcé et des fusibles. 
Plus important, la plupart des voitures étant désormais livrées sans roue de secours, mieux vaut prévoir une bombe anticrevaison et un kit réparation. Nous vous conseillons aussi d’emporter une trousse de premiers secours. Éviter l’excédent de bagages 
La masse que vous avez le droit d’embarquer, autrement dit la quantité de bagages, est limitée par le PTAC (poids total en charge) mentionné sur la carte grise à la rubrique F2. Pour ne pas dégrader le comportement de votre automobile, placez les valises les plus lourdes dans le fond du coffre. Si le coffre est plein, positionnez les derniers sacs au pied des sièges arrière mais jamais sur la plage arrière. En cas de choc, ils se transformeraient en projectiles et viendraient heurter la tête des passagers. 
S’assurer d’une bonne visibilité 
La vue, c’est la vie. 
Ce slogan est parfaitement adapté à la conduite. Conduire, c’est anticiper, bien voir et être vu. Procédez donc à un nettoyage en règle du pare-brise et des optiques de phares. Pensez aussi à emporter des lunettes de soleil, idéalement avec des verres polarisants qui réduisent l’éblouissement. Des enfants correctement attachés Les sièges auto et autres rehausseurs de siège sont non seulement indispensables mais ils doivent être parfaitement arrimés à l’automobile. Un système d’ancrage automatique de type Isofix, compatible avec la plupart des voitures récentes, facilitera grandement l’installation et garantira son efficacité. Si rouler de nuit ne vous dérange pas, les enfants trouveront le temps moins long avec des livres et des jeux vidéo. Une pause toutes les 2 heures 
Avant même que les premiers signes de fatigue ne surviennent, les spécialistes conseillent de faire une pause toutes les deux heures. La somnolence est l’une des principales causes de mortalité sur autoroute et, d’autant plus fréquente que l’utilisation d’un régulateur de vitesse incite le conducteur à relâcher son attention. Cette pause est aussi l’occasion de permettre à toute la famille de s’aérer et de se dégourdir les jambes. Avec une voiture électrique, vous n’aurez pas à vous poser la question car la baisse du niveau de la batterie vous obligera à vous arrêter. 
                                                        Assistant d’aide à la conduite 
L’usage d’un avertisseur de radar permet, outre de ne pas risquer de perdre bêtement un point sur son permis pour un dépassement même minime de la limitation de vitesse, de rester informer des conditions de circulation. L’avertisseur communautaire tel que le Coyote , ainsi que certaines applications pour smartphone dont Waze, renseignent en temps réel le conducteur de tous les événements qui pourraient le surprendre: accident, voiture immobilisée, présence d’animal ou d’objet sur la chaussée. Un bon investissement. 
Source : lefigao.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - RETOUR SUR LA JOURNEE CLUB EDITION 2025...C'ETAIT LA FETE DES 5A !

Source : lindependant.fr - J-G - Merci David SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - LA PANHARD FAMILY !!

Panhard Dyna X87 Junior 1954...... Panhard Dyna Z12 1956, Panhard PL17 Relmax 1963...
 
Panhard était un constructeur français de véhicules automobiles qui a commencé comme l'un des premiers constructeurs d' automobiles . C'était un fabricant de véhicules tactiques et militaires légers. Sa dernière incarnation, qui appartient maintenant à Renault Trucks Defense , a été créée par l’acquisition de Panhard par Auverland en 2005, puis par Renault en 2012. Après la Seconde Guerre mondiale, la société fut renommée Panhard (sans "Levassor") et produisit des voitures légères telles que la Dyna X , la Dyna Z , les PL 17 , 24 CT et 24 BT . 
La société avait depuis longtemps noté les avantages en termes de poids de l’aluminium, ainsi que le rationnement de l’acier par le gouvernement de l’après-guerre.(conçu pour limiter les nouveaux modèles de voitures afin d’assurer un retour à la production ordonné dans les grandes entreprises), a encouragé l’entreprise à opter pour l’alternative coûteuse consistant à fabriquer les carrosseries et plusieurs autres composants en aluminium. Ainsi, le Dyna X et les premiers Dyna Z série 1 avaient des corps en aluminium. Malheureusement, le calcul des coûts effectué par Jean Panhard, le fils héritier et directeur général de la société, n’a pas permis de prendre en compte le coût supplémentaire de l’aluminium par rapport à l’acier. 
Ses calculs ont été effectués pour la surface de panneau en tôle réellement utilisée par coque et ne tenaient pas compte des déchets de chacune des pièces embouties constituant la coque. Une fois en production, un nouvel examen a révélé un coût de 55 700 francs pour les coques en aluminium et de 15 600 francs seulement pour les aciers. L'utilisation de l'aluminium avait poussé l'entreprise au bord de la faillite, et un travail d'ingénieur pressé a ramené l'entreprise à l'acier. Le bicylindre plat de la Dyna à refroidissement par air a été utilisé par Georges Irat pour son véhicule tout-terrain "Voiture du Bled" (VdB), construit au Maroc au début des années 1950 en petit nombre. [13] S'inspirant du concept Panhard Dynavia , le style de la Dyna Z était distinctement lisse et arrondi, mettant l'accent sur l'aérodynamisme et un design minimaliste. 
Le 24 CT était un élégant 2 + 2 places plus tard (à partir de l’été 1963); le 24 BT étant une version du même avec un empattement plus long et un espace pour quatre. Pendant une période après la guerre, les voitures de course Monopole basées à Panhard ont reçu le soutien non officiel de Panhard (comme DB et d'autres clients tels que Robert Chancel), qui s'en sont servis à bon escient pour remporter la catégorie "Index of Performance" au Mans en 1950, 1951 et 1952. En 1953, Panhard est passé à une implication plus directe avec Chancel, qui a toutefois pris fin après la mortelle Le Mans de 1955 . [14] Dans la seconde moitié des années 50 et au début des années 60, les coureurs de Deutsch Bonnet ("DB Panhard") ont repris ce flambeau et sont parvenus à dominer "l'Indice de performance" ainsi que d'autres catégories de courses de petits moteurs. 
 La dernière voiture de tourisme Panhard a été construite en 1967. Après avoir assemblé des camions à tôles 2CV pour permettre à Citroën d'exploiter sa capacité en période de baisse des ventes, elle a augmenté ses liquidités d'exploitation en vendant progressivement la propriété à Citroën, respectivement à sa société mère Michelin (contrôle total à partir de 1965). , à l’automne 1967, la branche civile était absorbée par Citroën et la marque était retirée. À partir de 1968, Panhard ne fabrique plus que des véhicules blindés. [15] En 2004, Panhard a perdu un concours au profit d’un autre constructeur de véhicules militaires, Auverland , pour le choix du futur PVP de l’armée française. Cela a permis à Auverland d’acheter en 2005 Panhard, filiale de PSA Peugeot Citroën . Cependant, la renommée de Panhard étant plus grande, il fut décidé de conserver le nom; le PVP conçu par Auverland porterait un badge Panhard. 
 En octobre 2012, Renault Trucks Defense , division du groupe suédois Volvo depuis 2001, a finalisé l'acquisition de Panhard pour 62,5 millions d'euros.  Aujourd'hui, la seule utilisation du nom Panhard est la "tige Panhard" (également appelée barre Panhard). Il s’agit d’un maillon de suspension inventé par Panhard qui assure la localisation latérale de l’essieu. Ce dispositif a été largement utilisé sur d’autres automobiles ou en tant que mise à niveau ultérieure des essieux arrière de voitures américaines anciennes.
Source : WKPDIA/CC-BY-SA-3.0-Panhard Family

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vendredi 18 juillet 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - CHUTT....DOMINIQUE FAIT LA SIESTE ET QUAND DOMINIQUE FAIT LA SIESTE IL LUI FAUT DU CALME...

 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - BMW 4 CYLINDRES ...REVE OU REALITE ??

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - ROULER DANS DU VIEUX !!

La Simca 1307 Chrysler Alpine est le nom sous lequel cette Chrysler Europe a été lancée "nouvelle voiture familiale" c'était en Juillet 1975. 
La voiture a été dessiné au Royaume-Uni par Roy Axe et son équipe à Whitley, elle a été conçue par Simca à Poissy. Une traction avant avec hayon moderne pour l'époque, elle a été l' une des premieres de ces voitures dans cette catégorie, ainsi que la Volkswagen Passat , et elle est devenu en 1976 "Voiture européenne de l'année" .
 Elle a été en développement depuis 1972. Le modèle a été vendu sous une variété de noms, y compris Simca 1308 et 1309 (avec des moteurs plus gros), Chrysler Alpine ( Royaume - Uni ,  l' Irlande et la Nouvelle - Zélande ), Dodge Alpine ( Colombie ), Chrysler 150 (marché espagnol), et plus tard , Talbot 1510 / Talbot Alpine / Talbot 150 (une version facelifted lancée par PSA après sa prise de contrôle de Chrysler Europe) et Talbot Solara (la version berline).
Source : ThamesTv