dimanche 29 décembre 2024

CLUB5A- TECHNIQUE MOTO - Hivernage : méthode pour le remisage

Une moto qui ne doit pas être utilisée pendant une longue période  et notamment les mois d'hiver  nécessite quelques opérations d'entretien préalable avant de la laisser immobilisée. Il faut naturellement prévoir de la faire dormir à l'abri et non pas dehors. L'idéal et le plus simple serait de la sortir régulièrement au moins une fois tous les quinze jours, pour la faire tourner. 
Si ce n'est pas possible, voici la méthode et les pièges à éviter.
 MOTO 
Il convient tout d'abord de la nettoyer extérieurement afin de supprimer toutes traces : sel, déjections d'oiseaux et autres qui pourraient attaquer vernis et ou peintures. Il faut naturellement veiller à ce que la moto soit bien sèche avant de la rentrer et surtout avant de mettre la moindre bâche dessus. On protège ensuite les chromes et pièces métalliques d'une fine couche d'huile ou produit spécifique. On pense à graisser la chaîne. 
 Les prises d'air et sorties des silencieux peuvent être bouchés. On met ensuite la moto sur sa béquille centrale sur une surface ferme et horizontale où elle ne risquera pas de se renverser. On tourne le guidon au maximum vers la gauche, on verrouille la direction et on enlève la clé de contact. Il est conseillé de mettre une bache sans oublier de la percer en certains points afin d'éviter tout problème de condensation et d'humidité. Certains préfèrent utiliser un vieux drap au lieu d'une bâche, qui évite toute condensation ainsi. 
 ESSENCE 
Attention ! Un réservoir vide se rouille, à moins de le graisser au préalable avec un peu d'huile, de le laisser ouvert dans un endroit tempéré et bien sec. Sinon, la condensation se forme à l'intérieur. Il convient donc de remplir entièrement le réservoir d'essence avec de l'essence, si possible mélangée à un inhibiteur de dégénérescence d'essence (quantité différente en fonction du produit, en fonction des préconisation du fabricant). Faire tourner le moteur pendant quelques minutes jusqu'à ce que l'essence stabilisée ait rempli les carburateurs. 

MOTEUR 
Fermer le robinet essence, puis faire tourner le moteur jusqu'à ce qu'il s'arrête. L'autre méthode consiste à vidanger les carburateurs avec la vis de vidange. Verser une cuillerée d'huile moteur dans les orifices des bougies d'allumage, remettre les bougies en place et lancer le moteur à plusieurs reprises (démarreur électrique mais coupe-circuit sur off). Vidanger à fond l'huile moteur et déposer le filtre à huile. Il n'est pas nécessaire de reposer le filtre à huile. Remplir le carter moteur avec de l'huile moteur neuve jusqu'à l'orifice de remplissage. Si la moto est à refroidissement liquide, penser à mettre de l'antigel. 
CHAÎNE
 Si la moto doit dormir dans le garage pendant juste deux mois, le conseil de graissage cité au-dessus est suffisant. Sinon, il y a la méthode valable pour les longues durées. Enlever la chaîne, La mettre dans un bain d'huile et pétrole, laisser tremper Brosser vigoureusement, puis enlever l'excès de pétrole Stocker la chaîne dans du lubrifiant. 
BATTERIE
 La batterie doit être débranchée, sauf pour les moteurs à injection. Déposer la batterie, en déconnectant d'abord la borne négative (noir) puis la borne positive (rouge). Nettoyer l'extérieur de la batterie avec un détergent doux et retirer toute corrosion des bornes et des connexions des faisceaux de fils, à graisser avec une graisse spécifique. Ranger la batterie dans un local dont la température est supérieure au point de gel. Penser ensuite à recharger régulièrement la batterie, avec l'aide d'un chargeur à régime lent. Certains chargeurs "intelligents", se mettent en charge automatiquement dès qu'ils détectent une tension plus basse que la normale. Ainsi, la batterie ne se décharge jamais... une bonne chose pour sa durée de vie totale. PNEUS
 Gonfler les pneus aux pressions normales prescrites Moto sur béquille centrale, mettre des mousses sous les pneus. Ainsi les pneus ne se déformeront pas. Si possible, faire que les pneus ne touchent pas le sol : intercaler une petite planche de bois, utiliser une béquille d'atelier. 

EXTÉRIEUR
 Vaporiser les pièces en vinyle et en caoutchouc avec un produit de protection pour le caoutchouc, Vaporiser les surfaces non peintes avec de l'antirouille, Enduire les surfaces peintes avec de la cire pour automobile, Graisser tous les roulements et points de lubrification. 
OPÉRATION A EFFECTUER PENDANT LE REMISAGE
 Recharger la batterie une fois par mois en respectant la valeur de recharge spécifiée (ampère). La valeur de recharge standard varie d'une moto à l'autre mais tourne autour de 1A x 5 heures. Un chargeur de type "Optimate" ne coute que 50 euros et permet d'éviter d'avoir à changer la batterie à la fin de l'hiver, parce que complètement déchargée pendant une trop longue période, elle n'arrive plus à tenir la charge ensuite, même rechargée. Une batterie peut également arriver à tenir la charge mais ne plus être capable de fournir l'ampérage suffisant et donc la puissance nécessaire lors du démarrage. Bref, le chargeur est un petit investissement vite rentabilisé. 

MÉTHODE POUR LA REMISE EN SERVICE 
Nettoyer entièrement la moto. Reposer la batterie. 
NOTE: Faire attention à brancher en premier la borne positive puis la borne négative. Déposer les bougies d'allumage. Faire tourner le moteur plusieurs fois en mettant la boîte de vitesses sur le rapport supérieur et en tournant la roue arrière. Reposer les bougies d'allumage. Vidanger entièrement l'huile moteur. Poser un nouveau filtre à huile et remplir le moteur avec de l'huile neuve comme indiqué dans ce manuel. Vérifier la pression des pneus, regonfler pour mettre la bonne pression Lubrifier tous les points indiqués dans ce manuel.
Source : lerepairedesmotards.com / 
Motoblouz

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - NOUVEAU : LA CHANDELLE A ROULETTES !!


 

vendredi 27 décembre 2024

CLUB5A - A VENDRE - LOT DE VEHICULES A VENDRE...

 


CLUB5A - LE TOP DES 5A - RONDE DE NOEL 2016 - BELLE AMBIANCE CETTE LA POUR CELEBRER NOEL ...


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - COMMENT TRANSPORTER UN SCOOTER AVEC UNE MOTO ?


 

CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION - SE LANCER DANS LA RESTAURATION D’UNE VOITURE : BONNE OU MAUVAISE IDÉE?

Nombreux sont ceux qui se lancent dans la restauration d’une voiture ancienne ou non dans le but de gagner de l’argent. Vous avez le droit d’acheter et de revendre légalement 3 voitures par an sans que cela soit considéré comme un business. Quels sont les éléments à prendre en compte pour que ce bon plan ne se transforme pas en gouffre financier ? 
Les nostalgiques auront à cœur de retaper une youngtimer (voiture d’occasion des années 80) tandis que certains se lanceront dans l’achat d’une voiture de collection. Les vieilles voitures type 2CV ont la côte et ne sont plus forcement les meilleures voitures pour faire une plus-value. Plus votre auto est ancienne, plus il sera difficile de trouver des pièces. Vous pouvez tout à fait investir dans des voitures plus modernes qui sont bradées sur le marché d’occasion car le propriétaire ne souhaite pas engager de trop grosses dépenses dessus. 
Le choix se fait en fonction de vos affinités et de vos connaissances techniques. Pour vous faciliter la tâche, préférez une voiture avec le moins d’électronique possible ;) Comme pour tout autre type d’achat d’occasion, assurez-vous de l’état général du véhicule et de son entretien. Cf mon article Comment achetez une bonne voiture d’occasion ?. Si vous vous lancez dans cette aventure, vous avez sûrement des connaissances techniques qui vous permettent de repérer facilement les défauts visibles et moins visibles ;) Sauf usure normale, de grosses réparations type changement de joint de culasse ou changement de moteur complet signifient que l’entretien n’a peut-être pas été correctement fait. 
L’idéal est d’acheter une voiture en état de rouler, cela vous évitera d’avoir un attelage pour la transporter. Enfin, je vous conseillerai d’en acheter une dont les réparations ont clairement été repérées. Il n’y a rien de pire qu’une panne électronique aléatoire par exemple. Vous allez passer un temps fou à trouver l’origine du problème et n’oubliez pas que le propriétaire ne vous a peut-être pas dit tous les défauts de la voiture alors autant limiter les frais dès le début ;) Pour restaurer une voiture, vous aurez besoin d’un endroit pour la stocker, un jardin ou un garage. 
Si vous habitez dans une résidence sécurisée, je ne suis pas certaine que le voisinage apprécie que vous répariez une voiture devant leur palier ;) Le top est d’avoir un garage fermé ou une grange avec de l’électricité. Outre le temps que vous allez passer dessus, il ne faut pas perdre de vue le budget que vous vous serez fixé pour retaper la voiture. Au début, excité de votre achat, vous serez motivé à vouloir faire plein de modifications et au bout de quelques mois, la facture s’annonce plus salée que prévu. 
Prévoyez un autre moyen de transport le temps que vous travaillerez sur votre voiture. C’est assez stressant de savoir que les travaux que vous entreprenez le matin doivent être finis obligatoirement le soir même car vous n’avez pas d’autre moyen de locomotion pour aller au boulot le lendemain.
Retaper une voiture est un projet de longue haleine qui requiert beaucoup de temps et d’argent et malheureusement certains sont contraints d’abandonner en cours de route. Sans parler du côté financier, vous pouvez tout à fait vous lancer dans cette aventure pour le plaisir de la mécanique.
Source : lamecaniquepourlesfilles.com

jeudi 26 décembre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - RONDE DE NOEL 2016 - LE GANG DES PERES NOEL A ENCORE SEVI CETTE ANNEE LA !


 

CLUB5A - LES CIRCUITS AUTOMOBILES DE LÉGENDE - LE CIRCUIT AUTO-MOTO DE LINAS-MONTLERY !!

L'autodrome de Linas-Montlhéry est un circuit ayant accueilli des courses automobiles, motocyclistes et cyclistes, situé dans l'Essonne. Construit en 1924 par l'architecte Raymond Jamin, sous l'impulsion de l'industriel Alexandre Lamblin, il a reçu le label « Patrimoine du xxe siècle ». Il appartient depuis 1973 à l'Utac Ceram, propriétaire aussi du Circuit de Mortefontaine (CERAM) dans l'Oise. 
L'autodrome est initialement situé en Seine-et-Oise (à présent dans le département français de l'Essonne) et dans le canton de Montlhéry (aujourd'hui sur le canton de Longjumeau), centré sur la commune de Linas, à cheval sur celles de Bruyères-le-Châtel et d'Ollainville, appelé familièrement « autodrome de Montlhéry », du nom du chef-lieu de canton.
 L'autodrome ouvre en 1924, sous l'impulsion d'Alexandre Lamblin. Cet inventeur et industriel, né en 1884, a fait fortune en fabriquant des radiateurs pour les avions, puis pour des automobiles ; passionné de sports, il possède un journal spécialisé : L'Aéro. 
 En ce début des années 1920, l'industrie automobile est en effervescence, cherchant à battre des records, notamment de vitesse. Les défis alors inédits, tels que des courses entre une voiture et un avion, sont à la mode et intéressent le grand public. La Grande-Bretagne possède depuis 1907 le circuit de Brooklands, les États-Unis disposent du circuit d'Indianapolis, construit en 1911, l'Italie utilise celui de Monza, ouvert en 1922.  

En 1922, Alexandre Lamblin, avec l'équipe de l'Aéro, imagine de créer un lieu consacré à tous les sports ; il fait l'acquisition, en 1923, d'un terrain situé sur le plateau de Saint-Eutrope, à Linas, village traversé par la route nationale 20, situé entre Longjumeau et Arpajon. Les terrains sont peu coûteux et proches (à une trentaine de kilomètres) de Paris. Deux projets sont étudiés, le moins onéreux est retenu. Il consiste en un anneau de vitesse de deux kilomètres et demi, occupant le plateau de Saint-Europe. 
L'anneau sera étendu et complété par la suite d'un circuit routier construit sur deux des communes limitrophes de Linas. Le plateau de Saint-Eutrope se rattache géographiquement au Hurepoix, dans l'ancienne forêt d'Yveline. Ancien emplacement de la seigneurie et du château de Fay, il est alors vaste, boisé, peu habité et peu construit : une maison de maître (le château de Saint-Eutrope), proche de Linas, ainsi que la ferme du Fay10, au nord-ouest. 
 Pour Alexandre Lamblin, l'anneau de vitesse est central, essentiel ; il y voit « un gigantesque vélodrome, à l'échelle des vitesses possibles pour l'époque », « un grand théâtre sportif »11. Dessiné par l'architecte Raymond Jamin, l'anneau de vitesse de la piste prend donc une forme ovale, comportant deux lignes droites de cent quatre-vingts mètres de distance. Il présente la particularité, notable, de virages concaves ; leur forme parabolique cubique à axe vertical comporte un raccord tracé selon une spirale logarithmique. 
Le dessin vise à permettre à des véhicules d'une tonne d'atteindre une vitesse de 220 km/h au sommet des virages. Le circuit, mesuré sur son axe médian, développe exactement 2 548,24 mètres. La construction de la piste de vitesse construite sur une charpente à la fois métallique et en béton débute le 15 mars 1924. Mille tonnes d'acier et huit mille mètres cubes de béton seront nécessaires à deux mille ouvriers pour réaliser l'ouvrage, les travaux dureront six mois. L'usage d'éléments préfabriqués en feront un chantier d'avant-garde. Le revêtement Cold Asphalt recouvre les pistes, à l'exception des virages relevés, en béton. 
 L'autodrome est inauguré le 4 octobre 1924 La piste se révèle très réussie. Deux mois après son ouverture, une centaine de records sont enregistrés. Le circuit bénéficie de l'éclairage électrique qui permet de rouler de nuit et de tenter des records d'endurance. L'autodrome, ne provoquant pas de nuisance de voisinage, n'est pas freiné dans son développement. Entre 1925 et 1939, 86 % des records mondiaux sont battus à l'autodrome de Linas. En 1925, l'extension du circuit, avec la piste de 12,5 kilomètres prolongeant l'anneau de vitesse, permet d'accueillir le Grand Prix de l'Automobile Club de France ou ACF. Le pilote Antonio Ascari y trouve la mort durant le Grand Prix automobile de France 1925. À partir de 1930, le circuit est en compétition avec celui de Pau. 
 D'autres Grands Prix se succèdent à Linas, en 1931, en 1933 et en 1937.
Source : christiane noellette

lundi 23 décembre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - BELLE PARTICIPATION POUR CETTE PREMIERE RONDE DE NOEL....


 

CLUB5A - TECHNIQUE AUTO - DÉMARRAGE D'UNE BUGATTI 35C DE 1927....

La Bugatti Type 35 « Grand Prix » est une automobile sportive de la seconde moitié des années 1920 développée par le constructeur automobile français Bugatti. 
Forte d'un palmarès toujours inégalé, avec plus de deux mille victoires en compétition dont cinq succès consécutifs à la Targa Florio, elle est non seulement la Bugatti la plus célèbre mais compte également parmi les voitures ayant le plus marqué l’histoire de l’automobile. 
La naissance du mythe des « Pur Sang » Bugatti date d’ailleurs de cette époque. Conçue à partir de 1924 dans les ateliers Bugatti de Molsheim-Dorlisheim en Alsace, la Type 35 connaît de nombreuses évolutions mécaniques, portant essentiellement sur son moteur à huit cylindres en ligne, donnant naissance à différentes versions : Type 35, 35A, 35C, 35T, 35B, 37, 37A, 39 et 39A. 
Généralement considérée comme particulièrement élégante, la Type 35 est également à l’origine d’innovations techniques majeures dans l’automobile. 
Près de 640 exemplaires seront construits jusqu’en 1930. Si elle n’est pas particulièrement puissante, ses différents moteurs développant entre 60 et 140 chevaux, la Type 35 réussit toutefois à imposer son rythme en Grand Prix pendant près d’une décennie, grâce notamment à son comportement routier sain et à sa fiabilité. 
Au début des années 1930, elle cède néanmoins sa place aux sportives des constructeurs italien Alfa Romeo et allemand Mercedes-Benz, qui bénéficient entre autres du soutien de la part des gouvernements de leurs pays respectifs.
Source : Jean-Luc L.

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - DOMINIQUE EN MODE MERE NOEL POUR L'OCCASION DE LA RONDE DE NOEL...


 

samedi 21 décembre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - HEUREUX QUI COMME GERARD LORS DE LA RONDE DE NOEL A BORD DE SON TRIPORTEUR...


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UN MOMENT DE REPOS POUR NOTRE BELBEL NATIONAL !!


 

CLUB5A - SPORT AUTO - HISTOIRE DES 24 HEURES DU MANS .....GARDER SON IDENTITE !!

Les 24 Heures du Mans sont nées en 1923. Forte de cette longévité peu commune, l'épreuve qui a su préserver son identité, est devenue mythique avec les 500 Miles d'Indianapolis et le Grand Prix de Monaco. Sa longue histoire ne s'est pourtant pas écoulée comme un long fleuve tranquille... 
Tout commença en octobre 1922 par une simple conversation dans les allées très chics du salon de l'Auto. Sous le dôme imposant du Grand Palais, George Durand (secrétaire général de l'Automobile Club de l'Ouest), Charles Faroux (éminent rédacteur du journal L'Auto) et Émile Coquille (administrateur de la société de roues Rudge-Whitworth) tombent d'accord pour lancer un "Grand Prix d'Endurance de 24 heures". 

En quelques mois, le projet est affiné, le règlement déposé, la date fixée tandis que le circuit retenu sera celui qui a déjà accueilli le GP de l'ACF en 1921. Organisé les 26 et 27 mai 1923, le GP d'Endurance attire 17 constructeurs (dont 15 français) pour un total de 33 engagés. Disputée dans des conditions dantesques cette première édition qui voit un doublé des Chenard & Walcker est bien près de tourner au naufrage. Si sur le plan technique, le succès est total avec 30 voitures classées, la pluie battante a fait fuir un public qui était déjà plus que clairsemé. Il faudra attendre 1926 pour que l'épreuve prenne une véritable dimension populaire. 
1923 - départ des voitures lors de la 1re course (1923) - public 
1925 : voitures sur le circuit - 
1949 : voitures en course la nuit 
1955 : accident de la Mercedes, fleurs - 
1958 : accident voiture contre le parapet - 
1969 : départ en épi - 
1972 : triomphe de Matra - 
1973 : coupe dans bras du vainqueur. 
Images d'archive INA Institut National de l'Audiovisuel