dimanche 6 octobre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - TOUS PRETS A PARTIR EN CE MATIN PLUVIEUX POUR CETTE SORTIE MOTOS ORGANISEE PAR JOSETTE ET GERARD...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - NE PAS CONFONDRE TWINGO ET SANGLIER !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - NATIONALE 7 ENTRE FREJUS ET CANNES !!

Nationale 7, massif de l’Esterel (Var), vers 1957 
La longue file de vacanciers s’étire à travers les 32 kilomètres de virages qui séparent Fréjus de Cannes, au rythme des caravanes et des camions, sous le regard amusé de deux gardes des Eaux et Forêts, chargés de la surveillance et de la prévention des incendies : surtout pas de mégot balancé par la fenêtre, hein ? 
Ils se déplacent facilement sur les pistes grâce à leur Jeep JH101, construite sous licence par Hotchkiss, version civile de la célèbre Jeep militaire. 
Elle en diffère par quelques détails, comme la hauteur du capot, les phares et l’unique pare-brise. 
La production restera très confidentielle du fait d’un prix élevé et des nombreuses Jeep d’occasion disponibles sur le marché...
Source : Thierry DUBOIS - FRANCE3-Provence-Cote d'Azur

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - SUR LA ROUTE VOUS AVEZ SOUVENT SOIF ??.....NOUS AVONS DES SOLUTIONS !!


 

vendredi 4 octobre 2024

CLUB5A-SORTIE DU PATRIMOINE DU 22 SEPTEMBRE 2024...PAS DE REPOS POUR LE CLUB5A LE JOUR DU PATRIMOINE AU DOMAINE DE BONREPOS-RIQUET !

 

La journée du Patrimoine est un moment privilégié pour sortir nos anciennes qui font partie intégrante du patrimoine historique. 
Nous étions 25 voitures et 46 participants. Cette année nous nous sommes dirigés par la Montagne Noire vers le Lac de Saint Férréol, première étape de notre sortie.
 Après une petite collation nous avons continué notre route sur les routes Lauragaises pour rejoindre le beau village de Château Bonrepos dans la région toulousaine. 
Là, les bénévoles de l'Association de sauvegarde du Château Bonrepos Riquet nous attendaient pour exposer nos véhicules et rejoindre d'autres clubs et des particuliers dans le Parc du Château. Cette année le thème du rassemblement était la commémoration du 80 ème anniversaire du débarquement.

Différents intervenants, costumés en habit en rapport avec l'époque de Louis XIV, afin de nous raconter l'histoire du château construit par Pierre Paul Riquet. 
Dans les différentes salles du domaine nous avons pu voir des expositions concernant la libération de la Région toulousaine, avec beaucoup de documents ou objets particulièrement intéressants. 
Une autre exposition dans le parc montrait un camp des années 1940- 1945 avec tentes, véhicules et objets divers: une très belle reconstitution. 
Le repas était aussi servi par les bénévoles de cette association. Chapeau à eux. Nous avons pu continuer la visite de domaine avec l'histoire de l'unique glacière de la région, une explication des maquettes de bassin et canal construit dans le parc, qui ont permis à Riquet de simuler le remplissage de son futur canal afin de présenter un projet viable pour gagner la confiance de l'état. 
 D'autres curiosités nous ont également été commentées, toujours en rapport soit avec le débarquement soit avec l'histoire du canal. Une journée très enrichissante et conviviale dans le cadre de ces journées Patrimoines. 
Texte : Dominique Garcia - Photos : Bernard Jelade /Dominique Garcia

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - LES VOITURES DE COMPETITION FONT TOUJOURS REVER....


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - C'EST LES MEMES QUELQUES ANNEES APRES !!


 

CLUB5A - LE DESSIN DU MOIS - UN PEU D'AMERIQUE EN EUROPE................ L'OPEL RECORD P1 .....

Opel Rekord P1 (1960) 
Propriété de la Général Motors, Opel, c’était un peu d’Amérique en Europe. Le style du constructeur était directement inspiré de la maison mère (Ne retrouve-t-on pas un peu de Chevrolet 56-57 dans cette Rekord ?), tout comme la mécanique : simple, fiable et robuste. 
De quoi affronter sans crainte les bouchons de la route des vacances, surtout si on arrive du Nord de l’Europe et plus rarement, comme ici, de la région parisienne… 
Derrière, deux habituées de la Nationale 7, une Simca Aronde 57 et une Renault Domaine, version break de la Frégate, apparue en 1956.
Source : Thierry DUBOIS -  
erclassicsholland

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LA LUMIERE DANS TOUS LES FOYERS AVEC EDF !!


 

jeudi 3 octobre 2024

CLUB5A - LE 10ème RALLYE DE LA CITE DES MOTOS ANCIENNES....C'ETAIT LE 29 SEPTEMBRE 2024 !

Pour ce 10ème Rallye de la Cité les conditions météo étaient au zénith et nous a accompagnés tous le long de cette belle journée. C'est à partir de 7h que les concurrents étaient accueillis sur les berges de l'Aude à la halle aux sports de Carcassonne.(Siège de notre association). 
Nous avons rencontré une fraîcheur matinale et automnale dans la montée de la Malepère, mais l'arrivée du soleil a été le bienvenue pour un petit déjeuner sucré et salé sur les contreforts du Razes à Villelongue d’Aude, retour sur Carcassonne par les rives de l'Aude.... 
40 motos, d'avant 1945 étaient engagées pour cette édition : Un plateau exceptionnel. des modèles rares comme une Rovin 500 de 1931 dont il ne subsiste que 3 exemplaires ...
Une Terrot Entretube 1924.. 
Une 500 RSS 1934 ..
Une BSA S de 1929.. 
Une velocette KNSs 1929.. 
Une Monet-Goyon 350cc LS4 de 1934... Une Moto-Guzzi PE 250 cc1937…
Une FN 500 M90 1931...
Une Sarolea 350cc type 25 oa 1930.... 
 On ne peut toutes les citer...
De nombreuses Motobécane, Peugeot, Mone- Goyon, Velocette, Norton, Matchless, Automoto, Terrot, Harley-Davidson, etc. etc. 
Autant de marques célèbres de cette industrie motocyclette mécanique florissante et innovante stoppée net malheureusement par la seconde guerre mondiale. Toute cette colonne de motards passionnés s'est avancée vers les remparts de la cité de Carcassonne, où nous attendait la présidence du club pour l'apéritif, puis ce fut la solennelle montée dans l'enceinte de la cité médiévale... privilège exceptionnel que de pouvoir circuler sur nos ancêtres dans ce monument classé au patrimoine mondial de l'humanité ... 
Suivie de l'exposition des motos devant l'historique et prestigieux hôtel de la cité et la cathédrale… 
Une telle manifestation ne peut exister que grâce à l'adhésion de tous ! 
La section moto du club des 5 A remercie tous les participants qui ont répondu présent pour cette 10e édition.(Rendez-vous sans faute l'année prochaine !)
Nous remercions également le staff organisateur, l'assistance panne, l'assistance parcours qui ont permis l'organisation de cette belle journée sans oublier Lisèle pour la partie création de la plaque et de l'affiche... 
 Bravo et merci à tous ! 

Texte : Régis PERICH-Photos : Bernard Jelade, Jean-Louis Abillo, Stéphan Xiahc

et Régis Périch


CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - VERONIQUE TOUJOURS SUR LE PONT....


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - EN VOITURE UN PETIT CLIC VAUT QU'UN GRAND CHOC !!


 

CLUB5 - PHOTO INSOLITE - LE DEPART POUR L'AFRIQUE EN 2CV EST IMMINENT !!


 

CLUB5A - SPORT AUTO - La course automobile Paris-Madrid en 1903... La course meurtrière

 

Nous ne ferons pas ici le récit exhaustif du déroulé de cette course qui s’annonçait comme un événement extraordinaire dans ce début de siècle plein d’effervescence de progrès techniques et de bouillonnement des esprits. Beaucoup de choses ont été déjà écrites. Mais à la suite de l’histoire des automobiles Charles Alexandre Brouhot récemment publiée qui abandonna la compétition après l’accident de sa voiture dans cette course j’ai souhaité faire le point sur au combien l’enthousiasme a conduit au tragique. 
En octobre 1902, l'Automobile Club de France décide de tenir une course automobile entre les deux capitales. Les inscriptions sont ouvertes à la mi-janvier et, rapidement, les principaux constructeurs s'inscrivent. Au total, 315 concurrents sont inscrits : prendront part au départ de la course 127 automobiles, 23 voiturettes et 47 motocyclettes. Il faut dire que les course entre capitales européennes étaient très prisées et préfigurait déjà de l’universalité de cette invention qu’était l’automobile. La première course étant Paris Berlin en 1901.
 Commencée le dimanche 24 mai 1903 à 3 h 30 du matin à Versailles et initialement prévue pour s'étendre sur trois journées, les 24, 26 et 27 mai, elle est arrêtée par les autorités avant son terme, à Bordeaux, en raison du grand nombre d'accidents. La traversée des villes est neutralisée. Les bolides doivent se frayer un passage sur des routes sans revêtement où il y a tellement de poussière que la « navigation » se fait par rapport aux arbres qui bordent et au milieu de spectateurs enthousiastes et inconscients du danger. Louis Renault atteindra 140 Km/h dans une descente avec ces conditions. Le vainqueur Fernand Gabriel sur son « torpilleur Mors », aura parcouru les 552 km à plus de 105 km/h de moyenne. 
Le premier accident survient au passage à niveau de la ligne de Paris à Tours, à deux kilomètres de Bonneval. La voiture 243, conduite par Porter, prend feu et le malheureux chauffeur, tombé en dessous, meurt carbonisé. Deuxième accident à Ablis : une automobile surprend une femme qui traverse la route et la tue sur le coup. 
À quelques kilomètres de Poitiers, (le troisième accident) la machine de Marcel Renault verse dans un fossé ; lui-même est projeté à six mètres. Il est transporté à Couhé-Vérac dans un état désespéré. Il décèdera quelques heures plus tard. Trois kilomètres après Angoulême, le coureur Touran sur Brouhot décolle d'un pont, provoquant la mort du mécanicien et de trois spectateurs : deux soldats et un enfant (le quatrième accident) Près de Montguyon, (le cinquième accident) à la Combe-du-Loup, devant Arveyres, M. Stead, conducteur du no 18, est mortellement blessé à la suite d'une collision avec la voiture 96. 
Le mécanicien de M. Stead est également blessé. À Arveyres, la voiture no 5, (le sixième accident) pilotée par Claude Loraine-Barrow, rencontre un chien, braque et vient percuter un arbre. Des deux hommes qui la conduisent, l'un, le mécanicien, est tué, l'autre, M. Loraine-Barrow, est dans un état désespéré. 


La voiture est en morceaux. Le chien a littéralement été réduit en bouillie. Lucien Lesna, sur motocyclette Peugeot, est victime d'un accident. Sa fracture du genou mettra un terme à sa carrière de cycliste (le septième accident) Devant cette hécatombe les autorités fort justement arrêteront la course. 
Les conséquences seront vers une nouvelle organisation en circuits fermés en en augmentant les conditions de sécurité qui se poursuivent encore aujourd’hui. On notera la 77 ème place de Madame Camille Du Gast sur une De Dietrich dont nous avons déjà retracé la vie de pilote.. 
Source : Paris – Madrid 1903 la course meurtrière.King Rose Archives

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Musée Peugeot : exposition d'anciens véhicules électriques...

Musée Peugeot : exposition d'anciens véhicules électriques Le musée de l’Aventure Peugeot retrace l'histoire du véhicules électriques de 1941 à 2010. 
 Les voitures électriques ont le vent en poupe ! Et, ça ne date pas d'aujourd'hui... Dès la fin du 19e siècle, les constructeurs se sont intéressés à l’électricité pour animer nos véhicules. Mais, la faible autonomie des batteries, qui étaient par ailleurs très lourdes et coûteuses à fabriquer, ont eu raison de ce mode de propulsion. Il est abandonné au profit du pétrole et des moteurs à combustion. Aujourd'hui, cette énergie fait son retour en force dans nos véhicules. 
 Peugeot, qui avait déjà proposé une mise en bouche autour de cette thématique aux visiteurs du Salon Rétromobile 2020, la met une nouvelle fois à l'honneur. Cette fois, cela se passe au sein du musée de la marque à Sochaux (25). Du 4 juillet 2020 au 31 janvier 2021, venez découvrir l'exposition "Electrique" autour d'une collection de 8 véhicules. De l’électrique chez Peugeot dès 1902 Dès 1902, Peugeot étudie la possibilité d'intégrer dans des véhicules de livraison une motorisation électrique. 
Quelques exemplaires sont fabriqués, mais le projet est abandonné... Ce n'est qu'en 1941 que Peugeot commercialise officiellement son premier modèle à batteries. C'est la VLV. Le "Véhicule Léger de Ville" voit le jour durant l'occupation, alors que l'essence est rationnée. Ce mini-cabriolet biplace n'est produit qu'à 377 exemplaires jusqu'en 1946. Modèle auquel le constructeur au lion n'offrira pas de descendance directe. Il faudra patienter jusque dans les années 70/80 pour que Peugeot remette le couvert, sous pression du gouvernement français soucieux de développer cette filière. Avec Alstom et EDF, le constructeur décline des 104 (4 coupés et 3 fourgonnettes) puis sur des utilitaires J5 et J9 électriques. 
En 1983, débute un programme autour de la 205. Cette collaboration entre PSA et SAFT (batteries) fera naître le projet 106 Electric en 1993. La citadine, produite à 3.542 exemplaires entre 1993 à 2003, sera l'une des stars de l'exposition "Electriques". Voici les autres modèles exposés à ses côtés. Les modèles de l'exposition "Electriques" de Peugeot - Peugeot iOn Concept Il voit le jour en 1994. Ce "véhicule d’exploration" n'a pas grand chose avoir avec le modèle commercialisé depuis 2010. Cette dernière reprend trait pour trait ceux de la Mitsubishi i-Miev. - Peugeot TULIP concept En 1996, le constructeur imagine une série de 6 véhicules urbains rechargeables... par induction !
 On parle ici de l'ancêtre des Autolib, puisque les autos étaient destinées à être vendue aux collectivités locales dans le but d’être louées par les habitants. Le nom du Tulip est l'acronyme de "Transport Urbain Libre, Individuel et Public". - Peugeot Touareg Concept Avant que Volkswagen ne s'empare de cette appellation, Peugeot en avait fait l'usage pour l'un de ses concepts de tout terrain présenté en 1996 au salon de Paris. Il est doté d’un groupe électrogène qui permet aux batteries nickel/cadmium hydrure de se recharger de façon autonome. 
 Le musée de l’Aventure Peugeot retrace l'histoire du véhicules électriques de 1941 à 2010 dans une exposition qui débute le samedi 4 juillet 2020. Les voitures électriques ont le vent en poupe ! Et, ça ne date pas d'aujourd'hui... Dès la fin du 19e siècle, les constructeurs se sont intéressés à l’électricité pour animer nos véhicules. Mais, la faible autonomie des batteries, qui étaient par ailleurs très lourdes et coûteuses à fabriquer, ont eu raison de ce mode de propulsion.
 Il est abandonné au profit du pétrole et des moteurs à combustion. Aujourd'hui, cette énergie fait son retour en force dans nos véhicules. Peugeot, qui avait déjà proposé une mise en bouche autour de cette thématique aux visiteurs du Salon Rétromobile 2020, la met une nouvelle fois à l'honneur. Cette fois, cela se passe au sein du musée de la marque à Sochaux (25). 
Du 4 juillet 2020 au 31 janvier 2021, venez découvrir l'exposition "Electrique" autour d'une collection de 8 véhicules. De l’électrique chez Peugeot dès 1902 Dès 1902, Peugeot étudie la possibilité d'intégrer dans des véhicules de livraison une motorisation électrique. Quelques exemplaires sont fabriqués, mais le projet est abandonné... Ce n'est qu'en 1941 que Peugeot commercialise officiellement son premier modèle à batteries. C'est la VLV.
 Le "Véhicule Léger de Ville" voit le jour durant l'occupation, alors que l'essence est rationnée. Ce mini-cabriolet biplace n'est produit qu'à 377 exemplaires jusqu'en 1946. Modèle auquel le constructeur au lion n'offrira pas de descendance directe. Il faudra patienter jusque dans les années 70/80 pour que Peugeot remette le couvert, sous pression du gouvernement français soucieux de développer cette filière. Avec Alstom et EDF, le constructeur décline des 104 (4 coupés et 3 fourgonnettes) puis sur des utilitaires J5 et J9 électriques. En 1983, débute un programme autour de la 205. 

Cette collaboration entre PSA et SAFT (batteries) fera naître le projet 106 Electric en 1993. La citadine, produite à 3.542 exemplaires entre 1993 à 2003, sera l'une des stars de l'exposition "Electriques". Voici les autres modèles exposés à ses côtés. Les modèles de l'exposition "Electriques" de Peugeot - Peugeot iOn Concept Il voit le jour en 1994. Ce "véhicule d’exploration" n'a pas grand chose avoir avec le modèle commercialisé depuis 2010. Cette dernière reprend trait pour trait ceux de la Mitsubishi i-Miev. - Peugeot TULIP concept En 1996, le constructeur imagine une série de 6 véhicules urbains rechargeables... par induction ! 
On parle ici de l'ancêtre des Autolib, puisque les autos étaient destinées à être vendue aux collectivités locales dans le but d’être louées par les habitants. Le nom du Tulip est l'acronyme de "Transport Urbain Libre, Individuel et Public". - Peugeot Touareg Concept Avant que Volkswagen ne s'empare de cette appellation, Peugeot en avait fait l'usage pour l'un de ses concepts de tout terrain présenté en 1996 au salon de Paris. Il est doté d’un groupe électrogène qui permet aux batteries nickel/cadmium hydrure de se recharger de façon autonome. - Peugeot e-doll Concept L’e-doll Concept est présenté au salon de Paris en 2000, c’est un concept-car de la collection des "City Toyz".
 Il est animé par deux moteurs en provenance directe du scooter Peugeot Electric. - Peugeot BB1 Le concept-car BB1 est présenté au salon de Francfort en 2009. Cette auto de seulement 2,5m de long, peut accueillir quatre personnes. Elle est propulsée par un moteur électrique de 20ch et ses instruments de bord sont alimentés par des cellules photovoltaïques. 
Son poids se limite à 600 kg. - Peugeot EX1 Ce concept sportif 100% électrique a été présenté en 2010. C’est un roadster biplace à l’allure futuriste. Il est équipé de deux moteurs électriques, qui au total, développent 340 ch. L'EX1, qui profite d'une transmission intégrale, compte plusieurs records de vitesse aux mains de l'aventurier Nicolas Vanier. 
Source : autoplus.fr/-.Leblogauto