mercredi 2 octobre 2024

CLUB5A - RETOUR SUR IMAGE - Les Cocottes du Désert - Rallye des Gazelles...

Le Rallye Aïcha des Gazelles est partenaire d'une grande opération solidaire qui vise à offrir dans 115 hôpitaux, un Noël aux enfants atteints d'un cancer.
Depuis plusieurs années, Les Gazelles, constructeurs et médias s’associent et courent ensemble pour une cause humanitaire.
Un concept créé par le Rallye Aïcha des Gazelles du Maroc qui donne lieu à un classement spécifique sur l’événement (en plus du classement général). 

Les équipages inscrits au challenge auront deux défis à relever :
- Promouvoir les couleurs d’une association humanitaire en médiatisant les messages et les actions de celle-ci dans le but de la faire connaître et de lui permettre de gagner une importante dotation (15 000 euros).
- Défendre les couleurs du média qui amène la visibilité en devenant le meilleur ambassadeur de ses partenaires et en figurant honorablement au classement spécifique « Wave Relais Médias ». 

...On croit que c'est facile mais ici, c'est le désert, pas de boulangerie à dix minutes de voiture, y a rien, rien que les étoiles si nombreuses parce qu'il n' y a pas de lumière autour, si nombreuses dans ce ciel d'encre qu'on est obligé de passer une heure le nez en l'air pour se rendre compte que la Croix du Sud est au dessus de l'Australie en ce moment, rien que le silence à peine troublé par une brise intermittente...
Source : Alexandra Bossy

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Pebble Beach... l’Amérique primée grâce à la France....

 

Le Best of Show de cette nouvelle  édition du concours californien a été remporté par l’unique Duesenberg carrossée par Jospeh Figoni. Peu importe si, comme souvent à cette période de l’année, le soleil a brillé par son absence dans ce coin du Pacifique, la 71e édition du concours d’élégance de Pebble Beach restera un grand cru. La manifestation californienne a marqué le coup d’envoi des festivités des 100 ans des 24 Heures du Mans. Pour l’occasion, Pierre Fillon, président de l’Automobile Club de l’Ouest, mais également Henri Pescarolo, Jacky Ickx et Tom Kristensen, respectivement quadruple, sextuple et nonuple vainqueur de l’épreuve, avaient effectué le déplacement. 
De nombreuses voitures qui se sont illustrées dans la Sarthe depuis 1923 étaient présentes, que ce soit dans le cadre du Tour d’Elegance organisé le jeudi précédent le concours d’élégance ou qu’elles concourent dans l’une des catégories du concours d’élégance ou qu’elles soient engagées dans des courses du meeting de Laguna Seca. 
Par ailleurs, en prélude au concours du dimanche, point d’orgue de la semaine de Pebble Beach, l’horloger Rolex, partenaire officiel de la plupart des manifestations qui se succèdent pendant une semaine dans la région de Monterey, remettait son propre trophée baptisé «The Quail, a Motorsport Gathering». Cette année, le prix était décerné à une Jaguar Type D de 1956. 
L’événement le plus attendu de la semaine de Pebble Beach était bien entendu le concours d’élégance organisé le dimanche sur les pelouses du golf, en bordure du Pacifique. Un an après le sacre de la Mercedes 540 K Autobahn Kuriers de 1938 appartenant au collectionneur Arturo Keller, les juges ont sacré une voiture américaine. Cela n’était pas arrivé depuis 2013. L’unique Duesenberg J habillée en torpédo en 1932 par le carrossier français Joseph Figoni et appartenant aux époux est sortie vainqueur d’une lutte serrée avec la Duesenberg J Graber Cabriolet d’Emily Mann et deux Talbot Lago, le coupé T150C-SS de Fritz Burkard habillé par Figoni & Falaschi et la T26 Grand Sport de Peter Mullin exécutée en cabriolet par Farina après la guerre. Récemment restaurée, la Duesenberg J des époux Anderson est le symbole de la suprématie de la carrosserie française dans l’entre-deux-guerres. 
La principale originalité de ces lignes monumentales réside dans le traitement de la poupe, semblable à l’étrave d’un bateau. Après avoir participé à un Paris-Nice, le torpédo américano-français avait été livré au magnat péruvien du sucre Antonio Chopitea. C’est au début des années soixante que la Duesenberg avait pris le chemin des États-Unis. Par ailleurs, le trophée de la voiture de sport a été décerné à la Ferrari 250 GT carrossée par Zagato en 1957, celui du Gran Turismo au concept car Autobianchi 112 de 1969. Cette étude réalisée par Bertone était présentée par l’Automotoclub Storico Italiano de Turin. 
 Source : Sylvain Reisser - le figaro.fr - In the Garage with Steve Natale-

samedi 28 septembre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - CHUTTTT ...TAISEZ-VOUS !...ECOUTEZ LE SON DE LA MOTO DE FUFU ....


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - A CHACUN SA PREMIERE NEIGE !!


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - PLUS BESOIN DE PRENDRE DE RISQUES AFIN DE DOUBLER UN CAMION !!




 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UN TRYBIKE EN MODE FAMILLIALE !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Rétromobile 2025 : la DS célèbre ses 70 ans...

 

Considérée pour beaucoup comme la voiture du XXe siècle, la DS a été présentée au salon de Paris de 1955. 
Le salon Rétromobile lui rend hommage, du 5 au 9 février prochain. La 49e édition du salon Rétromobile, qui se tiendra du mercredi 5 au dimanche 9 février, donne rendez-vous à l’histoire de l’automobile française. 
Le plus ancien et prestigieux salon de voitures de collection et de prestige au monde soufflera les 70 bougies de la fameuse DS. C’est le jeudi 4 octobre 1955, premier jour du salon de l’Automobile de Paris que la nouvelle berline du Quai de Javel a fait basculer a fait basculer la bagnole dans la modernité. Sous la nef du Grand Palais, les visiteurs n’ont d’yeux que pour la nouvelle berline de la firme du Quai de Javel qui ressemble plus à une soucoupe qu’à une automobile. 
Sur le stand de la marque, vers lequel converge une foule compacte, trône une magnifique DS 19 jaune champagne au toit aubergine ; elle tourne doucement sur son podium devant un public ébahi. Dans un autre enclos mais fixe, une DS 19 vert pomme à toit champagne surprend par sa couleur vive. Enfin, une troisième, entièrement noire se laisse aussi inspecter. L’enthousiasme est tel que les commerciaux racontent avoir enregistré douze mille commandes le premier jour du Salon! Il en sera de même durant toute la semaine et pareille frénésie se reproduira chez les principaux concessionnaires de France.
 Nombre d’automobilistes découvrant la DS 19 envisagent alors d’annuler leurs commandes de voitures plus classiques. Sortant du deuxième conflit mondial, à l’orée des Trente Glorieuses, la DS tranche résolument sur les monolithes sévères d’avant-guerre. 

Elle est le symbole d’une France qui ose. Résultat du programme VGD (véhicule de grande diffusion) lancé en 1935 pour s’inscrire dans la suite logique de la Traction, la silhouette de la DS s’inspire de la mode du streamline importée des États-Unis. Les volumes souples et enveloppants sont désormais de rigueur. 
La DS est d’un modernisme confondant avec ses formes de galet. Elle multiplie les effets: vitrages courbes, ailes voluptueuses, portes sans encadrement, feux en orifices de réacteurs encadrant un toit serti en plastique, roues arrière carénées, volant à une seule branche trônant sur un tableau de bord futuriste. À l’audace industrielle du constructeur qui a laissé la créativité du designer Flaminio Bertoni s’exprimer, s’ajoute l’innovation technologique conçue par André Lefebvre avec l’aide de Paul Magès pour l’incroyable suspension pneumatique. 
Si l’on ajoute l’embrayage automatique, quasi inconnu en Europe, et les freins à disque à l’avant que Jaguar venait à peine d’étrenner en course aux 24 heures du Mans commandés par un champignon qui remplace la traditionnelle pédale de frein, la DS s’avère un engin aussi irréel que stupéfiant, nous faisant passer directement dans une nouvelle ère. C’est cette histoire fascinante et couronnée de succès que le salon Rétromobile s’apprête à célébrer. Pour l’occasion, les organisateurs de la manifestation de la porte de Versailles ont renouvelé leur partenariat avec Mathieu Lustrerie. 
Réputée pour ses restaurations de lustres d’époque et ses splendides créations, la maison française installée dans le Lubéron a imaginé, en collaboration avec le décorateur Charles Imbert, une scénographie sublimant les lignes de l’une des voitures françaises parmi les plus célèbres. L’anniversaire de la DS est également l’occasion pour le Garac - l’école nationale des professions de l’automobile et de la mobilité - de montrer leur savoir-faire. 
Des élèves de l’école redonnent vie à la DS Ballons. La voiture qui avait servi au reportage photo de Claude Puech en 1959 avait disparu. Ce projet est un excellent moyen de valoriser la transmission, l’un des chevaux de bataille du salon et de son directeur, Romain Grabowski. En lieu avec les 70 ans de la DS, d’autres surprises sont attendues. 
Source : lefigaro.fr-Igor Magès-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

vendredi 27 septembre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - POUR JEAN-PIERRE L'APERITIF ETAIT UN GRAND MOMENT DE CONVIVIALITE ....


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - UN PLAISIR EPHEMERE !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - LES VOITURES DU FUTUR...

Scientifiques et ingénieurs travaillent à la mobilité conjuguée au futur. Leur vision : des voitures robotisées intelligentes, propulsées à l'électricité, qui communiqueraient entre elles et avec les infrastructures. 
A quoi pourrait ressembler la mobilité du futur ? 

Dans son fonctionnement, l’automobile n’a pas foncièrement changé au cours des 100 dernières années: on en est resté au moteur à explosion à essence ou diesel. 
Un paradigme qui arrive en fin de vie: les carburants fossiles, le réchauffement climatique et le smog contraignent à développer des modèles alternatifs.
 La propulsion du futur devra être propre, bon marché, disponible et commode d’utilisation. Quelles sont les autres solutions? 
Où en est la technique et quels sont les plus grands défis à relever?    
Source : RaceSpec / future.arte.tv/

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - DEFAILLANCE TECHNIQUE OU ERREUR HUMAINE ??


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - LA RENAULT 5 ....LA CITADINE PAR EXCELLENCE DEPUIS 1972 !!

 

Renault 5, la citadine à vivre... 
Réponse de la firme au losange aux évolutions de la société, ce modèle compact et pimpant fête ses 50 ans. Il a largement influencé ses congénères. C’est l’une de ses marques de fabrique. Renault a longtemps su, mieux que les autres, humer l’air du temps et anticiper l’évolution de la société. Sur la lancée de la R4, la voiture blue-jean, et de la R16, une routière à hayon, l’ex-Régie imagine la R5, la mère de toutes les citadines actuelles. Issu du projet 122 lancé en 1967, le nouveau modèle est l’œuvre du benjamin du bureau de style, Michel Boué. Le designer ne verra hélas pas son bébé dans la rue. 
Il décède fin 1971 d’un cancer des os. Lancée fin janvier 1972, la R5 fait preuve d’une audace inouïe. Sa silhouette rompt avec les canons traditionnels. Elle n’a que deux portes sans poignées et un hayon ; ses boucliers sont en plastique ; la planche de bord dépouillée accueille un bloc qui regroupe toute l’instrumentation ; la sellerie est en skaï brillant ; la banquette arrière se bascule pour dégager une plate-forme de chargement. Sa calandre inaugure le losange stylisé par Vasarely. 
Dans le domaine technique, l’ex-Régie Renault n’a pas cherché à innover mais a transposé de nombreuses solutions éprouvées sur des modèles antérieurs à traction, que ce soit la R4, la R16 ou la R6. Autour d’une caisse autoporteuse, la boîte de vitesses est placée en porte-à-faux avant devant le moteur installé en position longitudinale et empiétant dans l’habitacle. La mécanique provient de la banque d’organes du constructeur. La R5 L, la version d’entrée de gamme, emprunte le 4-cylindres de 782 cm3 à la R4. Il délivre 34 ch à 5 200 tr/min et propulse le véhicule à 120 km/h. Issu de la R8, le 956 cm3 de 43 ch entraîne la R5 TL à 135 km/h. 
 Taille citadine mais grande polyvalence La R5 accompagne les mutations de la société marquée par l’émergence d’une classe moyenne, l’émancipation de la femme et l’apparition des villes nouvelles. À l’aube du premier choc pétrolier, sa sobriété va s’avérer un incontestable atout. La R5 n’a peur de rien. Pierre Dreyfus, le patron de la Régie, estime que la R5 a sa place en Amérique du Nord au moment où la crise pétrolière incite les automobilistes à baisser leur train de vie. Ce sera «Le Car». L’initiative ne sera pas couronnée de succès. Des versions toujours plus performantes.. Plus cossue et plus élégante que la R4, cette berline de 3,50 m se montre aussi d’une remarquable polyvalence. La nouvelle coqueluche des Français mérite son surnom de «Supercar». 
 Bien accueillie par la presse, la R5 dépasse toutes les prévisions. La clientèle plébiscite la version TL. Ce succès incite Renault à monter en gamme. Il y aura bientôt la LS dotée du 1,3 litre de la R12 TS de 64 ch, la TS puis l’Alpine. La R5 gagne ainsi ses galons de sportive avec le 1,4 litre à culasse en alliage léger de 93 ch et la boîte à 5 vitesses de la R16 TX. La R5 Alpine dépasse les 170 km/h. En 1979, la R5, toujours à la pointe, se décline en version 5 portes et s’offre une nouvelle planche de bord plus cossue. 
Le turbo, qui fait ses armes en F1 sur les monoplaces Renault, inspire des versions vitaminées: l’Alpine Turbo et la bestiale Turbo avec sa carrosserie bodybuildée. Avec l’installation du moteur en position centrale arrière, la R5 n’est plus une traction mais une propulsion. Jouant le rôle de locomotive de la gamme, ce modèle de 160 ch donne naissance à une machine de course qui multiplie les victoires en rallye. 
Elle remporte ainsi le rallye Monte-Carlo 1981 avec l’équipage Ragnotti-Andrié. Avec l’ultime évolution Maxi Turbo, le tandem vedette de Renault épingle aussi le Tour de Corse 1985. Au total, la 5 est produite à un peu plus de 5,58 millions d’unités avant de céder la place à la Supercinq en 1984. 
Source : Sylvain REISSIER - lefigaro.fr-INA Officiel

jeudi 26 septembre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - C'EST L'INSTANT POUR RICHARD D'INSTALLER LA PLAQUE DE RALLYE DE LA SORTIE DU JOUR ...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - LA MOTO C'EST AUSSI UN ESPRIT D'EQUIPE ET DE PARTAGE ...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - LA VOILA LA VERITABLE SOLUTION !!!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - L'incroyable collection de voitures d'André Trigano...

L'ancien chef d'entreprise André Trigano a commencé sa collection de voitures il y a plus de 60 ans. 
Dans ce musée à Gibel, en Haute-Garonne, est abritée une des plus belles collections d'automobiles de France, celle d'André Trigano. L'entrepreneur et homme politique ariégeois est également un ancien pilote de rallye passionné de voitures. Avec les années, il a réuni des pièces d'exception, comme cette Rolls-Royce ayant appartenu à Charles Aznavour. "J'ai choisi les voitures au fur et à mesure des rêves d'enfants que j'ai eu. Comme je suis très âgé, cela m'a permis de faire une collection sur 80 ans", confie le collectionneur. 

 180 voitures de toutes les marques et de toutes les époques Débutée dans les années 30, cette collection comprend aujourd'hui 180 voitures de toutes les marques et de toutes les époques. Des voitures d'autant plus recherchées qu'elles sont en parfait état et souvent de première main. Certains modèles sont rarissimes. La plus chère voiture de la collection d'André Trigano est une Lamborghini 400 GT de 1972 mise à prix à 400 000 euros.
Source : francetvinfo.fr/

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - QUAND LES ETATS POUSSENT LES AUTOMOBILISTES A l'INFRACTION !!


 

CLUB5A - SPORT AUTO - Jean-Louis Trintignant..... l’homme qui rêvait de devenir pilote automobile !!

 

Jean-Louis Trintignant, l’homme qui rêvait de devenir pilote automobile.. Une dizaine d’années après "Un homme et une femme" et un premier Rallye Monte-Carlo en Ford Mustang, Jean-Louis Trintignant prend un risque, admirable mais vraiment osé, celui de devenir pilote au milieu des pros.
 Sur les circuits français, depuis quelques années, grâce aux courses du Star Racing Team disputées avec des Simca Rallye 2 par une bande de copains du spectacle, tout le monde connaît le coup de volant du neveu de Maurice. Mais, en 1977, en s’engageant dans le championnat de France "Production" sur une Triumph Dolomite de l’écurie Leyland France, pour ce débutant de… 47 ans, c’est une toute autre histoire. Surtout, que les "saltimbanques", acteurs, chanteurs, cinéastes venant se mettre sous la lumière grâce à leur notoriété ne sont pas toujours les bienvenus.
 "J’espère que j’ai été à la hauteur, que je n’ai pas empêché mes équipiers de pouvoir faire mieux" Avec Jean-Louis Trintignant, humble et discret, pas de paillettes, pas de cour. 
Chaque week-end de course, le pilote se substitue à l’acteur, il écoute les conseils de René Metge, son équipier, échange avec les journalistes spécialisés, ne parle que voitures, que de sa passion. Pendant cinq ans, il vit intensément les moments de cette parenthèse dans sa vie. Il touche à tout, circuits, rallyes, courses sur glace, il pilote une multitude de machines dont la plus puissante, la 935 K3 de 780 ch, lui vaut la frayeur de sa vie : un pneu arrière explose dans les Hunaudières à plus de 300 km/h pour son unique participation aux 24 Heures du Mans. 
En revanche, il poursuit en Endurance, 7e et 2e des 24 heures de Spa-Francorchamps 1981 et 1982 sur une BMW 528 avec des équipiers prestigieux comme Derek Bell et Jean-Pierre Jarier et une équipière de renom qui deviendra son épouse, Marianne Hoepfner, pilote de rallyes et de circuits dont quatre participations au Mans. Quand on l’interrogeait sur ses performances, Jean-Louis Trintignant parlait d’abord des autres : "J’espère que j’ai été à la hauteur, que je n’ai pas empêché mes équipiers de pouvoir faire mieux".
 Tout simplement. 
Source : automobile-magazine.fr-Ina Sport
Ina Sport