dimanche 19 octobre 2025
CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - L'OPEL REKORD P1 !!
Cette version allégée au rabais continué à être produite avec la Rekord P1 pendant plus de deux ans après le modèle dominant et a migré vers le corps Rekord P2. L'Opel 1200 était uniquement disponible avec deux portes berline carrosserie.
La nouvelle voiture a reçu un essieu avant nouvellement développé et un nouveau système de pilotage intégrant des paires de bras de commande de longueurs inégales.
La transmission était un système manuel à trois vitesses contrôlée au moyen d'un levier de colonne monté. C'était un arrangement similaire à celui du modèle précédent qui avait reçu une boîte de vitesses entièrement synchronisée pour sa dernière année: pour le nouveau modèle synchronisée il a été inclus pour les trois rapports en marche avant depuis le début.
Le moteur de 1488cc a également été revalorisées pour la production de la dernière année sur la production la course du modèle précédent, et maintenant fourni une 45 ch en puissance maximum cumulable 3900 rpm.

Bien que la P1 a très peu changé vers l'extérieur pendant son cycle de production de l'année, la période de trois ans serait caractérisé par plusieurs changements importants aux moteurs et à d'autres éléments mécaniques.
Source : opel samedi 18 octobre 2025
CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - LA CHEVROLET SSR..... LE PICK-UP NÉO-RÉTRO !!
Une voiture récente sur un site de voitures anciennes, voilà quelque chose d’étonnant, la ligne éditoriale de ce site serait-elle en train de changer ?
Réponse négative, car si je suis avant tout un passionné de voitures anciennes, j’aime aussi m’arrêter sur des modèles récents qui valent le détour par leur exclusivité, leur rareté. Tel est le cas de cette voiture, une Chevrolet SSR, produite entre 2003 et 2006 à seulement 24.150 exemplaires.
Rencontre… Il est parfois des rencontres imprévues et totalement improbables comme croiser en France, garée dans la rue, une Chevrolet SSR. Interpelé par les formes et la couleur excentrique de cette voiture, je décide de m’arrêter la voir de plus près pour faire quelques photos et la regarder plus en détail. Autours, les passants sont soit indifférents à la chose automobile et ne prêtent pas attention à cette voiture, tandis que d’autres s’arrêtent quelques instants, regardent d’un œil curieux et repartent.
La Chevrolet SSR est une voiture que je connaissais déjà avant cette rencontre, à vrai dire, mes premiers souvenirs remontent à l’époque où j’avais une petite dizaine d’années, devant « Automoto » un dimanche matin sur TF1, quand un journaliste était parti aux Etats-Unis faire un essai de cette étrangeté. A l’époque, si j’avais trouvé cette voiture originale, je l’avais surtout trouvée laide et totalement inutile : « que peut-on faire avec un pick-up tuning ? » m’étais-je demandé… Le client américain a sans doute été de cet avis au vu du faible succès rencontré par cette voiture.
Aujourd’hui, toujours intéressé par l’automobile, je décide de faire un arrêt sur cette voiture même si mon avis n’a guère changé sur la SSR. Toutefois, mon jugement s’est quelque peu adouci, la ligne générale de la voiture n’est pas si désagréable au final, bien que quelques traits hasardeux gâchent l’ensemble. Sous certains angles, la voiture parait même sympathique, sa face avant me rappelle un peu la 2CV avec la forme du capot et des ailes avants; mais mon regard revient constamment vers les deux fautes de goût à mes yeux : le pavillon de la voiture est bien trop haut, et l’aile avant tronquée sur sa partie arrière.
Une autre chose me surprend, ce sont les dimensions de la voiture, j’avais toujours cru la Chevrolet SSR aux dimensions européennes, je m’étais bien fourvoyé ! La voiture est une véritable américaine : longue, large et haute ! Mais ne critiquons pas plus ce modèle, qu’il faut aussi replacer dans son époque : le début des années 2000 fut marqué par le style néo-rétro, l’Europe avec la Volkswagen New Beetle et la Mini par BMW. Les Etats-Unis ne sont pas en reste avec quelques véhicules singuliers comme le Plymouth Prowler. Et chez Chevrolet, le PT Cruiser s’insère dans cette tendance avec plus ou moins de critiques sur son design.
Et surtout, vient le véhicule qui nous intéresse aujourd’hui, le Chevrolet SSR qui pourrait être une réincarnation moderne du fameux « El Camino » de la même marque, cédant également à la mode du tuning avec des surfaces lisses… Mon avis donné sur la voiture, partons maintenant dans une présentation plus « conventionnelle ». Inutile de le souligner, la Chevrolet SSR est rarissime en France car ce modèle n’y a jamais été importé. L’histoire de cette voiture débute en Janvier 2000, lorsque dans le cadre du salon de Detroit, General Motors lève le voile sur plusieurs prototypes parmi lesquels figure le Chevrolet SuperSportRoadster.
Ce prototype interpelle les médias et le grand public par sa forme, son excentricité. Les premières questions se posent : sera-t-il produit ? Chevrolet ne le sais pas encore. Dans quelle catégorie classer ce véhicule ? Celui-ci se situe à mi-chemin entre une camionnette du fait de ses formes mais aussi dans la catégorie des roadsters par son allure sportive et son toit escamotable. Surtout, la Chevrolet SuperSportRoadster est une ode aux Hot-Rod avec son imposant V8 de 6,0 litres. Finalement, face à la réaction du public, General Motors annonce la commercialisation de cette voiture, il faudra attendre 2003 pour voir la version « civile » dans les Show-room Chevrolet.
Et entre le prototype et le SSR de série, des concessions ont été faite, sur le moteur, toujours un V8 mais dont la cylindrée passe à 5,3 litres, et tout de même 300Cv développés par ce bloc. Amérique oblige, le SSR se dote d’une boite automatique à quatre rapports car dans la contrée de l’Oncle Sam, la boite manuelle est une chose dont peu de conducteurs veulent (ou savent) se servir. En revanche, la Chevrolet SSR est handicapée par son poids de 2.159kg; et les performances sont décevantes pour le profil de l’auto : 195km/h en vitesse maximale, 7,8 secondes pour le 0-100km/h. Finalement, au lancement de la voiture, les médias sont déçus et plusieurs défauts sont soulignés, comme le faible volume de chargement de la benne. Au final, même si la Chevrolet SSR visait un marché de niche, les ventes demeurent décevantes par rapport à ce qui était envisagé, avec seulement 9.000 unités écoulées en 2004.
C’est pourquoi Chevrolet corrige le tir et va équiper la SSR d’un V8 de 6,0 litres de cylindrée à partir de 2005; le même bloc qui était alors utilisé dans les Corvette Avec celui-ci, c’est désormais 400Cv qui propulsent la voiture, et le client a le choix entre une boite automatique à quatre rapports ou une boite manuelle à six rapports. Désormais, les performances sont en adéquation avec le standing de l’auto : 5,29 secondes pour le 0-100km/h, tandis que la vitesse maximale passe le cap des 200km/h. Toutefois, si la Chevrolet SSR a des performances de sportives, elle ne peut cacher sa base quand vient le temps de parler de sa tenue de route.
Construite sur la base du Chevrolet TrailBlazer (un 4×4), la SSR tient plutôt du camion que de la voiture de sport; avec un centre de gravité élevé. A cela s’ajoute un problème de rigidité de la caisse (il s’agit d’un roadster…). Au final, la SSR n’est donc pas une sportive, pas un véritable pick-up… mais un jouet. Et comme tout jouet, celui-ci présente une ligne originale, un moteur envoutant, des caractéristiques qui donnent envie, mais au final, le Chevrolet SSR s’avère parfaitement inutile, sauf pour se promener de manière décalée. La SSR était aussi un jouet de riche, destinée à une production confidentielle dès sa présentation, à l’instar d’une certaine Plymouth Prowler quelques années plus tôt.
Un peu plus de 24.000 unités furent réalisées jusqu’en 2006, année pendant laquelle General Motors annonce la fermeture de l’usine de Lansing (Michigan) qui produisait le SSR. Un chiffre qui reste important pour une voiture qui présentait des défauts d’attractivité à ses débuts, sans doute le succès de la voiture aurait été tout autre en proposant dès l’origine le SSR avec le moteur de 400ch. Sans oublier que le design rétro n’était pas apprécié de tous, cet engouement finira par n’être que passager…
Désormais, le Chevrolet SSR s’offre sur le marché de l’occasion, pour ne pas déjà dire que le modèle est déjà sur le marché de la collection par sa rareté et son originalité. Et les prix demeurent élevés pour cet engin, comptez plus de 30.000€ pour un exemplaire déjà présent en France, sinon, il faudra passer par la case import sans oublier par un difficile passage au service des Mines… Au final, le terme de jouet est celui qui convient le mieux à la Chevrolet SSR, une voiture qui au final n’a que son physique et sa mécanique impressionnante pour attirer un grand enfant, riche de préférence. Quoiqu’il en soit, la Chevrolet SSR est une voiture passion, faisant référence au passé avec sa ligne rétro, et permettant de rouler cheveux au vent avec la sonorité d’un V8 américain dans les oreilles. Et c’est à ce titre que cette voiture est légitime à être présente sur ce site. Pour le reste, vous connaissez déjà mon avis…
Source : lautomobileancienne.com-samspace81
Réponse négative, car si je suis avant tout un passionné de voitures anciennes, j’aime aussi m’arrêter sur des modèles récents qui valent le détour par leur exclusivité, leur rareté. Tel est le cas de cette voiture, une Chevrolet SSR, produite entre 2003 et 2006 à seulement 24.150 exemplaires.
Rencontre… Il est parfois des rencontres imprévues et totalement improbables comme croiser en France, garée dans la rue, une Chevrolet SSR. Interpelé par les formes et la couleur excentrique de cette voiture, je décide de m’arrêter la voir de plus près pour faire quelques photos et la regarder plus en détail. Autours, les passants sont soit indifférents à la chose automobile et ne prêtent pas attention à cette voiture, tandis que d’autres s’arrêtent quelques instants, regardent d’un œil curieux et repartent.
La Chevrolet SSR est une voiture que je connaissais déjà avant cette rencontre, à vrai dire, mes premiers souvenirs remontent à l’époque où j’avais une petite dizaine d’années, devant « Automoto » un dimanche matin sur TF1, quand un journaliste était parti aux Etats-Unis faire un essai de cette étrangeté. A l’époque, si j’avais trouvé cette voiture originale, je l’avais surtout trouvée laide et totalement inutile : « que peut-on faire avec un pick-up tuning ? » m’étais-je demandé… Le client américain a sans doute été de cet avis au vu du faible succès rencontré par cette voiture.
Une autre chose me surprend, ce sont les dimensions de la voiture, j’avais toujours cru la Chevrolet SSR aux dimensions européennes, je m’étais bien fourvoyé ! La voiture est une véritable américaine : longue, large et haute ! Mais ne critiquons pas plus ce modèle, qu’il faut aussi replacer dans son époque : le début des années 2000 fut marqué par le style néo-rétro, l’Europe avec la Volkswagen New Beetle et la Mini par BMW. Les Etats-Unis ne sont pas en reste avec quelques véhicules singuliers comme le Plymouth Prowler. Et chez Chevrolet, le PT Cruiser s’insère dans cette tendance avec plus ou moins de critiques sur son design.
Et surtout, vient le véhicule qui nous intéresse aujourd’hui, le Chevrolet SSR qui pourrait être une réincarnation moderne du fameux « El Camino » de la même marque, cédant également à la mode du tuning avec des surfaces lisses… Mon avis donné sur la voiture, partons maintenant dans une présentation plus « conventionnelle ». Inutile de le souligner, la Chevrolet SSR est rarissime en France car ce modèle n’y a jamais été importé. L’histoire de cette voiture débute en Janvier 2000, lorsque dans le cadre du salon de Detroit, General Motors lève le voile sur plusieurs prototypes parmi lesquels figure le Chevrolet SuperSportRoadster.
Ce prototype interpelle les médias et le grand public par sa forme, son excentricité. Les premières questions se posent : sera-t-il produit ? Chevrolet ne le sais pas encore. Dans quelle catégorie classer ce véhicule ? Celui-ci se situe à mi-chemin entre une camionnette du fait de ses formes mais aussi dans la catégorie des roadsters par son allure sportive et son toit escamotable. Surtout, la Chevrolet SuperSportRoadster est une ode aux Hot-Rod avec son imposant V8 de 6,0 litres. Finalement, face à la réaction du public, General Motors annonce la commercialisation de cette voiture, il faudra attendre 2003 pour voir la version « civile » dans les Show-room Chevrolet.
Et entre le prototype et le SSR de série, des concessions ont été faite, sur le moteur, toujours un V8 mais dont la cylindrée passe à 5,3 litres, et tout de même 300Cv développés par ce bloc. Amérique oblige, le SSR se dote d’une boite automatique à quatre rapports car dans la contrée de l’Oncle Sam, la boite manuelle est une chose dont peu de conducteurs veulent (ou savent) se servir. En revanche, la Chevrolet SSR est handicapée par son poids de 2.159kg; et les performances sont décevantes pour le profil de l’auto : 195km/h en vitesse maximale, 7,8 secondes pour le 0-100km/h. Finalement, au lancement de la voiture, les médias sont déçus et plusieurs défauts sont soulignés, comme le faible volume de chargement de la benne. Au final, même si la Chevrolet SSR visait un marché de niche, les ventes demeurent décevantes par rapport à ce qui était envisagé, avec seulement 9.000 unités écoulées en 2004.
C’est pourquoi Chevrolet corrige le tir et va équiper la SSR d’un V8 de 6,0 litres de cylindrée à partir de 2005; le même bloc qui était alors utilisé dans les Corvette Avec celui-ci, c’est désormais 400Cv qui propulsent la voiture, et le client a le choix entre une boite automatique à quatre rapports ou une boite manuelle à six rapports. Désormais, les performances sont en adéquation avec le standing de l’auto : 5,29 secondes pour le 0-100km/h, tandis que la vitesse maximale passe le cap des 200km/h. Toutefois, si la Chevrolet SSR a des performances de sportives, elle ne peut cacher sa base quand vient le temps de parler de sa tenue de route.
Construite sur la base du Chevrolet TrailBlazer (un 4×4), la SSR tient plutôt du camion que de la voiture de sport; avec un centre de gravité élevé. A cela s’ajoute un problème de rigidité de la caisse (il s’agit d’un roadster…). Au final, la SSR n’est donc pas une sportive, pas un véritable pick-up… mais un jouet. Et comme tout jouet, celui-ci présente une ligne originale, un moteur envoutant, des caractéristiques qui donnent envie, mais au final, le Chevrolet SSR s’avère parfaitement inutile, sauf pour se promener de manière décalée. La SSR était aussi un jouet de riche, destinée à une production confidentielle dès sa présentation, à l’instar d’une certaine Plymouth Prowler quelques années plus tôt.
Un peu plus de 24.000 unités furent réalisées jusqu’en 2006, année pendant laquelle General Motors annonce la fermeture de l’usine de Lansing (Michigan) qui produisait le SSR. Un chiffre qui reste important pour une voiture qui présentait des défauts d’attractivité à ses débuts, sans doute le succès de la voiture aurait été tout autre en proposant dès l’origine le SSR avec le moteur de 400ch. Sans oublier que le design rétro n’était pas apprécié de tous, cet engouement finira par n’être que passager…
Désormais, le Chevrolet SSR s’offre sur le marché de l’occasion, pour ne pas déjà dire que le modèle est déjà sur le marché de la collection par sa rareté et son originalité. Et les prix demeurent élevés pour cet engin, comptez plus de 30.000€ pour un exemplaire déjà présent en France, sinon, il faudra passer par la case import sans oublier par un difficile passage au service des Mines… Au final, le terme de jouet est celui qui convient le mieux à la Chevrolet SSR, une voiture qui au final n’a que son physique et sa mécanique impressionnante pour attirer un grand enfant, riche de préférence. Quoiqu’il en soit, la Chevrolet SSR est une voiture passion, faisant référence au passé avec sa ligne rétro, et permettant de rouler cheveux au vent avec la sonorité d’un V8 américain dans les oreilles. Et c’est à ce titre que cette voiture est légitime à être présente sur ce site. Pour le reste, vous connaissez déjà mon avis…
Source : lautomobileancienne.com-samspace81
vendredi 17 octobre 2025
jeudi 16 octobre 2025
CLUB5A - RESTAURATION AUTO - LA PEUGEOT 404 SAFARI.....L’AFRICAINE !
Restauration d'une 404 Peugeot qui a bien souffert sur les pistes africaines...
La Peugeot 404 est une grande voiture familiale produite par le constructeur automobile français Peugeot de 1960 à 1975. Une variante de style de carrosserie de camion a été commercialisée jusqu'en 1988. La 404 a été fabriquée sous licence dans divers pays africains jusqu'en 1991 (au Kenya) et a été fabriquée en Argentine par Safrar / Sevel à El Palomar, au Québec, Canada à l'usine de St-Bruno-de-Montarville SOMA Ltd. et au Chili par Automotores Franco Chilena SA à Los Andes .
Conçue par Pininfarina , la 404 a été initialement proposée en tant que berline , break et camionnette . Un cabriolet a été ajouté en 1962 et un coupé en 1963. La 404 était équipée d'un moteur essence 1,6 litre , avec soit un carburateur Solex ou une injection mécanique Kugelfischer , soit un moteur diesel 1,9 litre disponible en option.
En option au Mondial de l'Automobile de Paris a été incluse une boîte automatique à 3 vitesses ZF , similaire à l'unité déjà proposée sur certaines BMW modèles, [5] comme alternative à l'unité manuelle standard montée sur colonne. Populaire comme taxi , la 404 jouissait d'une réputation de durabilité et de valeur. La production française de 1 847 568 404 Peugeot s'est terminée en 1975. Au total, 2 885 374 unités avaient été produites dans le monde à la fin de la production.
Source : FLOATYART-wikiwand.com/
Conçue par Pininfarina , la 404 a été initialement proposée en tant que berline , break et camionnette . Un cabriolet a été ajouté en 1962 et un coupé en 1963. La 404 était équipée d'un moteur essence 1,6 litre , avec soit un carburateur Solex ou une injection mécanique Kugelfischer , soit un moteur diesel 1,9 litre disponible en option.
En option au Mondial de l'Automobile de Paris a été incluse une boîte automatique à 3 vitesses ZF , similaire à l'unité déjà proposée sur certaines BMW modèles, [5] comme alternative à l'unité manuelle standard montée sur colonne. Populaire comme taxi , la 404 jouissait d'une réputation de durabilité et de valeur. La production française de 1 847 568 404 Peugeot s'est terminée en 1975. Au total, 2 885 374 unités avaient été produites dans le monde à la fin de la production.
Source : FLOATYART-wikiwand.com/
CLUB5A - REPONSE AU JEU : DU QUI EST QUI ...MERCI DE VOTRE PARTICIPATION !
Merci à tous d'avoir pris part à ce jeu et félicitations à notre vainqueur : Sylvie RAYNAUD
C'est elle qui a répondu le plus rapidement et a deviné qui était derrière cette image.
Bien joué !
Toutefois, il reste encore des questions à résoudre avant la prochaine assemblée générale.
Nous vous remercions tous d'avoir été si nombreux à jouer...
Restez branchés, car le 15 Novembre, une autre énigme sera publiée sur notre blog et notre page Facebook.
Restez connectés !
mercredi 15 octobre 2025
CLUB5A - AUTO-MUSEE - CONCENTRATION - SALON AUTO-MOTO EPOCA A PADOUE (ITALIE) ...
Ce sont eux qui se sont battus pour que le salon se tienne malgré la période et, même si cette année il n’ y eut pas de vente aux enchères (prudence oblige).
C’est un très grand salon à tendance généraliste un peu à l’instar d’un Epoq’auto sans atteindre le niveau de perfectionnisme de nos amis lyonnais quant aux expositions.
Il y a une grande quantité de véhicules avec une très nette dominante pour tout ce qui est après-guerre jusqu’aux Youngtimers.
Il y a aussi une belle abondance de motos ce qui ne surprend pas quand on connaît la passion italienne pour le sujet.
Dans l’ensemble les prix automobiles sont assez soutenus. On note une réelle richesse de l’offre pour les pièces détachées pour Italiennes. N’oublions pas qu’une auto ou une moto c’est fait pour rouler donc cela nécessite des pièces pour l’entretien.
Quelques préparateurs sont présents, notamment pour Abarth, Alfa et Fiat (500/600/Panda) offrant jusqu’au moteur complet à base de pièces racing dont l’Italie à le secret (bielles Carillo, carburateurs Dell’Orto, allumages Magneti Marelli etc).
Beaucoup d’autos sont à vendre entre 50 et 150 k€ mais on note peu de pièces exceptionnelles, cette année en tout cas. Les amateurs de Vespa ne pourront que trouver leur madeleine de Proust : 1er modèle, youngtimer, origine, racing : il y a absolument tout pour la célèbre guêpe. Deux exposants majeurs étant même là avec leurs Motorhomes de type Formule 1 gavés de pièces détachées…
Les motos ?
La plupart du temps restaurées en état concours (mais du sacré concours) et proposées à des tarifs plus compétitifs que ce que l’on peut trouver en France.
Compte tenu de ce contexte bien particulier les organisateurs s’étaient employés à faire en sorte que le salon puisse se tenir et n’ont pas pu se lancer cette année dans des expositions de grande ampleur mais ce sont deux stands qui ont tenu la vedette.
D’abord celui de Claudio Roddaro qui présentait, évidemment, 5 Porsche d’endurance exceptionnelles ainsi que Genesio Bevilacqua avec une petite partie de la collection Moto Dei Miti. Ces deux stands à eux seuls valaient le déplacement à l’Auto e Moto d’Epoca.
Félicitations à eux la qualité de présentation était inouïe…
Une autre mention toute particulière au stand de l’ASI, l’équivalent italien de la FFVE, qui respirait professionnalisme et souci du détail. Une grande élégance. Etaient notamment présentées quelques machines de la collection Morbidelli que l’ASI et notamment Palmino Poli ont contribué à sauver en les rachetant. La passion alliée au talent ? Cela permet d’ accomplir des miracles…
La Benelli 4 cylindres à compresseur exposée sur le stand était une pure merveille tant sur le plan du design que sur le plan des performances. Les oreilles mélomanes pourront l’apprécier lors de l’ASI Motorshow, superbe manifestation sur le circuit de Varano de Melegari (à 20 kms de Parme)
En se baladant ce n’était pas un hasard si l’on trouvait de nombreux français dans les allées : Epoq’Auto hélas annulé, Rétromobile suivant fort logiquement le même chemin, les passionnés que nous sommes avons besoin de notre dose de belles carrosseries et surtout de copains à croiser.
C’est aussi cela le rôle d’un salon : les rencontres et retrouvailles. Alors rien que pour ces bons moments de parenthèse entre 2 confinements merci aux organisateurs de s’être battu avec succès. En tenant bon ils ont gagné notre estime mais aussi l’assurance que, reconnaissants, nous reviendrons l’ an prochain.
Nous encourageons d’ailleurs vivement les professionnels exposants Français à considérer une présence à la prochaine édition : ils devraient faire de bonnes affaires une fois la situation revenue à la normale.
Pour conclure ?. Exposants et organisateurs auront à cœur de prendre une revanche sur ce fichu virus avec un salon plus riche que jamais.
Saluons au passage la discipline du public et des exposants : tout le monde portait un masque et le portait intelligemment, l’ habituel idiot qui a un masque mais le porte sur le cou n’ était pas là. La température était prise individuellement à l’entrée avec des cameras thermiques les organisateurs ne plaisantant pas avec la sécurité.
Parkings, toilettes, restauration ? Impeccable, impeccable, impeccable : une organisation de montre suisse (un seul mini défaut les stands de restauration qui ne prenaient pas la carte de crédit mais les organisateurs nous ont assuré que ce serait réparé dès l’an prochain).
Et demain ? Des pistes de développement ?
Assurément il y en a : le salon est « old school » en termes de partenariats or un pneumaticien, un assureur, un pétrolier , des constructeurs (autos et motos) auraient à portée de main de belles opportunités en devenant partenaires : le plus dur a été fait et le salon est déjà un très bel outil. Leur apport lui permettrait de passer un cap. Padoue est « le » grand salon Italien et a tout le potentiel pour devenir encore plus gros plus beau dans un futur proche.
C’est tout le mal que nous lui souhaitons..
Saluons au passage l’élégance des membres de l’ ASI tous en blazer bleu marine chemise cravate et pantalon gris, oui nous sommes bien en Italie !
Source : newsdanciennes.com..Automoto.it
CLUB5A – 15/10 - PARTICIPEZ AU JEU DU "QUI EST QUI" - QUELLE EST LA PERSONNE DERRIERE CETTE IMAGE ?
L’intelligence artificielle utilise des techniques pour imiter le fonctionnement du cerveau.
Tandis que l’IA occupe une place croissante dans nos vies, elle ouvre aujourd’hui autant de possibilités, par exemple transformer une photo…
Voici un nouveau jeu où vous devrez deviner de quelle personne il s’agit.
Cette personne, vous la connaissez, car elle participe à nos sorties et fait partie du club ou en est un sympathisant. Une devinette vous sera proposée tous les mois et vous avez quelques jours pour y répondre….
Le premier qui devine ce personnage aura gagné et accumulera un nombre de points et sera peut-être le gagnant.
Nous attendons vos réponses soit à travers le blog, dans : laisser un commentaire en bas du menu du blog clubdes5a.blogspot.com dans le formulaire de contact ou sur facebook.com/club5des5A/
La personne qui aura le plus de réponses exactes aura gagnée et sera récompensée à la prochaine A-G.
Rendez-vous le 15 Novembre pour une nouvelle énigme.
À vous de jouer !
Inscription à :
Commentaires (Atom)


.jpg)



























.gif)