mercredi 15 octobre 2025

CLUB5A - MOTO DE LÉGENDE - L' INDIAN DAYTONA HILL CLIMBER DE 1926...


Moto d'Indian de 1926 très rare. 
 L'Usine a construit le "Grimpeur de colline" à Daytona. Soupapes énormes, roulement à billes, Manivelle, pompe à huile frottée...Bref tout est là !!
 512BBiource : 512BBi
Indian est une marque américaine de motos fabriquées de 1901 à 1953 à Springfield dans le Massachusetts. La firme est d'abord connue sous le nom d'Hendee Manufacturing Company, puis est rebaptisée Indian Motorcycle Manufacturing Company en 1901. Elle disparait en 1953, mais la production est relancée en 2004. Depuis avril 2011, la société est devenue une filiale de Polaris Industries, aux côtés de Victory Motorcycles.
 En 1909, l'Américain Wells décide d'importer des Indian en Angleterre, où il s'est installé. Pour en promouvoir les qualités, il en engage dans le célèbre Tourist Trophy : l'une d'elles terminera deuxième de l'épreuve dès la première tentative. En 1911, Indian revient en force et remporte le Senior TT avec le pilote britannique Oliver Godfroy. Ce succès est complété par les 2e et 3e places. Ces motos étaient dépourvues de frein avant, conformément aux pratiques américaines de l'époque, qui jugeaient le frein avant dangereux. 
 La compétition et les joutes en vue de démontrer la suprématie d'une marque étaient chose courante à cette époque : pour répondre à un défi lancé par Collier, fondateur (avec son frère) de la marque Matchless, De Rosier, pilote d'Indian, ira jusqu'à demander à la marque américaine de lui préparer une moto spécifique afin de battre son concurrent sur la célèbre piste de Brooklands. C'est ainsi que naquit la célèbre moto à moteur bicylindre de 994 cm3 à 4 soupapes par cylindre. 
Une, sinon la première de l'histoire. Pour l'anecdote, elle était dépourvue d'accélérateur : un coupe contact en faisait office… Après avoir battu plusieurs records, dont un mile à 140,70 km/h, De Rosier gagna le défi, par deux manches contre une. Afin d'asseoir sa réputation, Indian ne se contente pas de démontrer sa supériorité en compétition : la marque innove en proposant, en 1913, une suspension arrière, à lames ainsi qu'un démarreur électrique (en option). En 1913, la production d'Indian est de 32 000 machines. 
Malgré tout, pour maintenir cette production, Indian doit investir. Les financiers prendront alors, à partir de ce moment, de plus en plus d'importance, ce qui conduira, en 1916, les fondateurs Hedström et Hendee à quitter la marque qu'ils ont fondée. Pour faire face à la concurrence, il faut produire plus puissant, pour moins cher. De ce précepte naquit la « Powerplus », toujours bicylindre à 42°, mais à soupapes latérales, qui connaîtra un excellent accueil tant aux États-Unis qu'à l'étranger, d'autant qu'elle y sera largement diffusée en raison de l'effort de guerre : 41 000 de ces machines seront fournies aux armées. 
 Depuis sa fondation Indian semble avoir un but : produire une machine plus légère et moins chère que ce qui se fait couramment aux États-Unis C'est ainsi que l'année 1916 voit l'apparition de la « O Light Twin », bicylindre à plat longitudinal, qui ne connaîtra pas, c'est le moins que l'on puisse dire, le succès de sa grande sœur - la Powerplus. La firme de Springfield ne reste pas moins persuadée qu'il existe une place pour une machine de cylindrée moyenne. La « Scout », de seulement 600 cm3 mais bicylindre en « V » comme il est désormais de coutume aux États-Unis, fait son apparition en 1919 et connaîtra un tel succès que la production battra en 1920 son record de ventes avec près de 40 000 motos. 
Ce qui en fait le plus grand vendeur de motos au monde. C'est sur une Scout très modifiée au cours des années que Burt Munro battra plusieurs record du monde de vitesse sur terre. En 1967 et à 68 ans il réussira à établir un record à 295,453 km/h (183,586 mph) sur le lac salé de Bonneville. Record qui reste encore invaincu à ce jour. En 1922, Indian décide d'élaborer des modèles de plus grosse cylindrée à partir de cette « Scout ». Ce seront les plus célèbres des Indian : les « Chief » en 1 000 cm3 et « Big Chief » en 1 200 cm3. 1925 voit apparaître une 350 cm3 équipée d'un monocylindre vertical à soupapes latérales, la « Prince », qui ne connaîtra pas un grand succès et ne restera en production que trois ans. 
 En 1927, Indian rachète la marque ACE, qui produisait exclusivement des 4-cylindres en ligne, semi-culbutés, complétant sa gamme avec l'« Indian Four », et propose désormais une très large gamme de motos : du 350 cm3 monocylindre à la 4-cylindres de 1 200 cm3. Comme nombre d'autres entreprises américaines, le krach de Wall-Street frappe Indian de plein fouet en 1929. Comble de malchance, Indian change quatre fois de directeur en quelques mois. La production retombe à 4 500 unités environ et restera quasiment inchangée jusqu'en 1940, où apparaissent les fameux garde-boue à « longues jupes », qui resteront comme une caractéristique typique des Indian. 
 Les firmes américaines s'investissent très tôt à plein temps dans la Seconde Guerre mondiale. À cette occasion, Indian produit dans un premier temps la « 741 » de 500 cm3, dérivée de la Sport-Scout de 750 cm3. Une Indian à longues jupes. Les militaires demandent des modèles mieux adaptés, répondant à un cahier des charges précis, notamment avec l'utilisation d'une transmission par cardan. Aussi, Indian se lance dans l'étude d'une coûteuse « 841 », équipée d'un bicylindre en V longitudinal (comme les Moto Guzzi V7). Le bilan de cette période est catastrophique pour Indian : non seulement elle se retrouve à la fin des hostilités avec un stock important de pièces de rechange commandé par l'armée, que celle-ci refuse de lui payer, mais elle a totalement délaissé la production civile, ainsi que son réseau de distribution pendant cette période.
Source : 512BBi - WKPDIA/CC-BY-SA-3.0

CLUB5A – RESTEZ CONNECTES AU BLOG DU CLUB 5A CARCASSONNE…


 

dimanche 12 octobre 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - UNE DESCENTE D'ESCALIERS POUR JEAN-PIERRE DIGNE DU FESTIVAL DE CANNES ...


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - COLLECTION DE CASQUES.....


 

CLUB5A - TECHNIQUE ET RÉNOVATION MOTOS - RESTAURATION D'UNE SAROLEA 34B DE 2012

Saroléa est une ancienne marque de motocyclettes fabriquées à Herstal en Belgique. L'entreprise fut fondée par Matthias Joseph Saroléa en 1850. Elle fabriqua d'abord des pièces d'armes à feu, des vélos avant de fabriquer des motocyclettes à partir de 1900. 
L'entreprise en fabriqua de nombreux modèles entre 1900 et 1962 pour les besoins domestiques et ceux de la colonie. De nombreuses courses furent gagnées sur les motos Saroléa. Depuis 1998, les bâtiments hébergent les activités d'une ASBL à vocation sociale dans le motorium Saroléa, ainsi qu'un petit musée retraçant l'histoire sociale ouvrière en Belgique en parallèle avec le développement de l'entreprise Saroléa
Rénovation de a à z en quinze mois de 2011 à 2012 -Belgique 
 Source : fnfnfn25fn-WKPDIA/CC-BY-SA-3.0

CLUB5A – RESTEZ CONNECTES AU BLOG DU CLUB 5A CARCASSONNE…

samedi 11 octobre 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - RETOUR SUR LA SORTIE DE PRINTEMPS TROIS JOURS DANS LES CEVENNES EDITION 2025...


Source : LVA - Merci Régis ARNAUD pour le suivi de l'info..

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - REGIS ARNAUD EN PLEIN "RUSH" DANS L'ORGANISATION DU TOUR DE L'AUDE...

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - L'AMOUR N'A PAS D'AGE...

CLUB5A - IMAGE D'ARCHIVE - Course Automobile à Brooklands en 1928 !!

Course automobile à Brooklands.
Les pilotes de voitures de course prennent le départ au début d’une compétition automobile en 1928.
Le circuit de Brooklands est un circuit automobile de 4,43 km de développement situé près de Weybridge, dans le comté de Surrey, au Royaume-Uni. 
Il a ouvert en 1907 et est le premier lieu consacré au sport automobile construit spécialement à cet effet. Il fut l'un des premiers aérodromes de Grande-Bretagne. 
Le circuit a accueilli sa dernière course en 1939 et abrite aujourd'hui le Musée Brooklands consacré à l'aviation et à l'automobile. 
Le circuit demeure un lieu de rencontres pour voitures et motos anciennes et autres événements liés aux transports.  
Source : British Pathé

CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - LA CITROËN DS A PLUS DE 50 ANS !!

La DS, et sa déclinaison simplifiée l'ID, fut commercialisée par Citroën entre 1955 et 1975, tout d'abord en berline puis en break et cabriolet. Le « D » vient probablement de l'usage du moteur le plus récent alors de Citroën, le moteur D, qui avait équipé juste avant la 11 D, laquelle fut le dernier modèle de la fameuse « Traction Avant », comme elle était populairement nommée. L'ID et la DS reprennent le principe de la traction par l'avant, qui a fait la renommée de Citroën.
 Dessinée par le designer italien Flaminio Bertoni en collaboration avec André Lefebvre, ingénieur issu de l'aéronautique, cette automobile était révolutionnaire par bien des aspects. 
À l'origine, son long capot est prévu pour accueillir un moteur 6-cylindres, mais tant le 6-cylindres en ligne de la 15 que celui à plat ne purent être adoptés, pour cause de mise au point. Son nom de code était « VGD » (Véhicule de grande diffusion), la conception du projet étant lancée par le PDG de Citroën Pierre-Jules Boulanger puis son successeur Pierre Bercot. 

Elle fut l'« attraction » du salon de l'automobile en 1955. Elle est dotée d'une ligne extrêmement audacieuse, qualifiée même de révolutionnaire, et d'un confort intérieur remarquable grâce à sa suspension hydropneumatique spécifique à la marque. 
La DS comporte également de nombreuses innovations technologiques qui la démarquent du monde de l'automobile de son époque en Europe : direction assistée, boîte de vitesses à commande hydraulique, freins à disque à l'avant, pivot de direction dans l'axe et, à partir des années 1968-1969, phares pivotants et introduction de l'électronique (moteur à injection). Innovation de sécurité importante : le volant de direction monobranche, conçu pour éviter de briser la cage thoracique du conducteur en cas de choc frontal violent.
 Les DS 21 et 23 auront également les distances de freinage associées aux principales vitesses sur route rappelées sur le tachymètre. La DS est vite adoptée par les cadres supérieurs et les notables puis par les stars et les élus de la République, jusqu'au général de Gaulle qui en fait la voiture officielle de la présidence.

CLUB5A – RESTEZ CONNECTES AU BLOG DU CLUB 5A CARCASSONNE

jeudi 9 octobre 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - MAGALI PRESENTE ET FIDELE A TOUS NOS GRANDS EVENEMENTS....

 

Disparition de la RDA : la Trabant, «l’une des pires voitures» de l’histoire, redevient à la mode

 

À l’heure où l’Allemagne célèbre les 35 ans de sa réunification, le nombre de «Trabis», automobiles communistes dont la production a été stoppée en 1991, est en constante augmentation. Design rudimentaire, habitacle exigu et gaz d’échappements au teint bleuté... 
La Trabant a été moquée comme l’une des pires voitures jamais fabriquées. Aujourd’hui, le véhicule symbole de l’Allemagne de l’Est garde ses inconditionnels et refuse obstinément de disparaître. À l’heure où l’Allemagne célèbre, vendredi, les 35 ans de sa réunification et donc de la disparition de la RDA, le nombre de «Trabis» sur les routes est en hausse. Selon l’autorité fédérale des transports (KBA), quelque 40.800 Trabants sont immatriculés dans le pays contre environ 33.000 en 2010. 
Glenn Kuschan, 58 ans, tient un garage au sud de Berlin. Il compte plusieurs propriétaires de Trabant parmi ses clients. Lui-même en possède 23, dont un modèle blanc ayant appartenu à son père, qui affiche plus de 500.000 kilomètres au compteur. «Mes clients viennent de tous les horizons», dit-il à l’AFP. «Des personnes âgées qui ont grandi avec la Trabi, mais aussi des jeunes qui veulent une voiture vraiment authentique». 
Originaire du Land de Brandebourg, la région de l’ex-RDA entourant Berlin, M. Kuschan voit dans la Trabant un symbole: «Elle a acquis un statut culte, notamment grâce à son lien avec la chute du mur et la réunification». 
La première Trabant est sortie d’usine en 1957, trois ans après que le régime communiste de l’Allemagne de l’Est eut décidé de produire une voiture populaire pour devenir, comme sa rivale occidentale, une nation de l’automobile. Liste d’attente Sa carrosserie était faite d’un matériau composite à base de plastique et en fibres de coton ou de papier, pour pallier le manque d’acier. Les vitres arrière ne s’ouvraient pas, et son moteur deux-temps bruyant crachait un mélange d’huile et d’essence dans l’air. 
On la surnommait affectueusement «la tondeuse avec un toit». Avec une vitesse maximale de 112 km/h, la Trabi communiste faisait sourire en Allemagne de l’Ouest, où les BMW, Mercedes et autres Porsche capitalistes régnaient sur les routes et faisaient la gloire du pays à l’étranger. 
 Et n’avait pas Trabi qui voulait quand il le voulait. Les citoyens de RDA devaient s’inscrire sur une liste d’attente et parfois patienter jusqu’à 15 ans pour recevoir leur voiture, produite à Zwickau dans l’une des trois couleurs disponibles : ivoire, bleu ciel ou menthe. 
Quand le mur de Berlin est tombé en 1989, des milliers d’Allemands de l’Est ont pris le volant de leur Trabant pour rejoindre la frontière, formant de longues files d’attente, moteurs fumants, pour voir l’Ouest. Après la réunification, beaucoup ont abandonné la Trabi, parfois littéralement au bord de routes, pour acquérir des voitures occidentales. 
Les usines ne survivront qu’à peine un an à la réunification. En route pour Leningrad La dernière Trabant, un modèle rose bonbon, a été produite en 1991. 
Au Musée du Trabi, dans la capitale allemande, les visiteurs peuvent admirer une collection de 20 modèles emblématiques et même embarquer pour une visite guidée de la ville au volant d’une Trabant. Les participants ont le plaisir de conduire eux-mêmes la voiture, accompagné d’un guide tout en découvrant l’ex-Berlin-Est. 
Thomas Schmidt, 49 ans, qui travaille au musée et conduit les véhicules lors des visites, raconte avoir «pratiquement grandi dans une Trabi» et qu’aujourd’hui elle fait «partie de son identité». «Elle peut tout faire, elle est indestructible», s’enthousiasme-t-il. «Et si elle tombe en panne, le bon côté, c’est qu’on peut tout réparer soi-même» du fait de sa simplicité mécanique, poursuit Thomas Schmidt, avant de réciter un dicton d’époque au sujet de la Trabi : «avec un marteau, une pince et un peu de fil de fer, tu peux rouler jusqu’à Leningrad». 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Le désigner Pietro Frua ....... la mémoire du monde de l'automobile !!

 

Pietro Frua (né le 2 mai 1913 à Turin et mort le 28 juin 1983) était un designer automobile italien, qui commença sa carrière dans les années 1930 auprès de Gian-Battista Pinin Farina, qui venait de créer la Carrozzeria Pinin Farina au 107 Corso Trapani, à Turin. Pietro Frua était le fils de Carlo et Angela Frua. Sa mère était couturière et son père employé de bureau chez Fiat. Après avoir suivi des études secondaires et avoir obtenu un diplôme de dessinateur technique, il occupe son premier emploi dans les établissements de la carrosserie Farina, la future Pininfarina, comme dessinateur.
 C'est à partir de ce premier travail dans le domaine de l'automobile que le jeune Pietro commencera une étonnante carrière qui l'amène, à l'âge de vingt deux ans à peine, à occuper le poste de directeur du « Centro Stile Stabilimenti Farina ». En 1937 il crée sa propre entreprise mais l'avènement de la Seconde Guerre mondiale interrompt brutalement cette nouvelle activité. Dès la fin du conflit, la situation s'améliore. Pietro Frua reprend son activité et embauche quinze salariés dans son entreprise. Sous son aile protectrice, de nouveaux talents voient le jour, comme Sergio Coggiola qui créera quelques années plus tard l'entreprise qui porte son nom.
 À cette époque il entretient d'étroits liens d'amitié avec Giovanni Michelotti, designer de renom, qui remontaient à l'époque de son passage dans les établissements Farina. Cette amitié durera toute sa vie. La première création de son cabinet de design remonte à 1946 et correspond à une voiture « fuoriserie » comme seuls les Italiens ont développé ce concept, une « barquette » reposant sur une base de Fiat 1100A de la première série de 1939. 
 
 Durant toutes les années 1950, Pietro Frua consacra son activité essentiellement sur des modèles Fiat, mais il sera également appelé par d'autres marques italiennes comme Maserati et Lancia ou étrangères comme Panhard et Renault. En 1959, Frua dessine pour Ghia le modèle « Aigle. » Les années 1960 seront les années les plus prolifiques pour la société Frua. 
Il garde d'excellentes relations privilégiées avec Fiat et Maserati, et il sera très souvent sollicité par les constructeurs étrangers.En 1960, le préparateur Hector Bossaert s'adresse à lui pour dessiner un coupé sur une embase de DS Citroën raccourcie de 47 cm et rabaissée de 7 cm. Ce coupé sera appelé GT 19, et assemblé à l'atelier de la société de Bossaert : « Gété », à Méteren. La partie antérieure est conservée, l'arrière étant très « italien » avec des ailes aileronnées et déhanchées après la portière, et des feux Carello. On lui doit notamment la quasi-totalité des modèles du constructeur allemand Glas (en), absorbé par BMW en 1966. Les années 1970 seront très riches en nouveautés étudiées et/ou réalisées pour de très nombreuses marques, sans prédominance pour l'un ou l'autre des clients précédents. Pietro Frua meurt, à l'âge de 70 ans, à la suite d'une opération d'une tumeur maligne, le 28 juin 1983. 
Pietro Frua restera dans la mémoire du monde de l'automobile comme l'un des grands designers indépendants de la Scuola italiana, la fameuse qualité esthétique italienne. L'hebdomadaire britannique Picture Post l'a qualifié de « Fashion king of the world car » (Robertson, 1956). Le magazine allemand Der Spiegel rappelle qu'il fait partie du cercle très fermé des plus grands carrossiers de la planète depuis le début des années 1950 avec Nuccio Bertone, la Carrozzeria Ghia, Giovanni Michelotti, Gian-Battista Pinin Farina, Alfredo Vignale et Ugo Zagato. 

 On lui doit plus de 210 créations de carrosseries pour beaucoup de constructeurs dans le monde. Il a signé des collaborations avec AC Cars, Alfa Romeo, BMW , DB/Panhard, Fiat, Ford, Glas, Jaguar, Lancia, Maserati, MG, Lamborghini, Opel, O.S.C.A., Peugeot, Renault, Rolls Royce, Volkswagen et Volvo.
Source : 
WKPDIA/CC-BY-SA-3.0-Przemek Michalak

CLUB5A – RESTEZ CONNECTES AU BLOG DU CLUB 5A CARCASSONNE…