dimanche 14 septembre 2025
CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - BMW E21 : la compacte qui fait le lien entre générations...
Nous sommes au milieu des années 70. L’Europe traverse une crise pétrolière, le design automobile se simplifie et se tend, la technologie se rationnalise. Dans ce contexte, BMW décide de réinventer sa compacte sportive et lance la BMW E21, en 1975. Ainsi nait celle également connue sous le nom de Série 3, un modèle capable de séduire les puristes et d’attirer une nouvelle génération. La BMW E21 / Série 3 n’est pas juste une voiture. Elle représente aujourd’hui la passerelle entre l’univers oldtimer, élégant et classique, et l’ère des youngtimers, sportifs, accessibles et modernes. On retrouve dans son ADN le raffinement des BMW des années 60 (comme la 2002), mais avec une dynamique, une agressivité et une praticité qui préfigurent les icônes des années 80. La genèse de la BMW E21 BMW ne part pas d’une feuille blanche. La E21 est un concentré de leçons tirées de la BMW 02 Series (1966‑1977), elle-même héritière des BMW 1500/1600 Neue Klasse.
Mais cette fois, la marque vise le marché international, élargit les variantes et soigne le design extérieur.
Le design de la BMW E21 porte la signature du célèbre designer français Paul Bracq, qui a dirigé le design de BMW de 1970 à 1974.
Lancement : 1975
Carrosserie : coupé deux portes seulement à l’origine (la version quatre portes arrivera avec la E30), lignes tendues mais élégantes, vitres plongeantes, silhouette compacte et sportive.
Dimensions : longueur 4,31 m, largeur 1,61 m, hauteur 1,39 m – parfait équilibre entre présence sur route et agilité urbaine.
L’E21 porte en elle l’ADN BMW : propulsion arrière, moteurs 4 ou 6 cylindres en ligne, équilibre parfait, mais en format compact. Elle devient rapidement une sportive civilisée, capable de séduire le jeune cadre dynamique mais aussi l’amateur nostalgique des 2002.
Mais elle n’oublie pas d’apporter quelques innovations bien spécifiques qui contribueront à construire la légende, comme le museau en « nez de requin » ou la planche de bord explicitement tournée vers le conducteur !
Entre 1977 et 1982, la BMW série 3 fut également déclinée en version cabriolet. Mais pour ce faire, BMW a sous-traité avec un partenaire de longue date: le carrossier Baur.
Mécanique et fiabilité
Ici, BMW fait un pari gagnant. Les E21 sont simples, solides et incroyablement plaisantes à piloter :
Moteurs 4 cylindres (1.6, 1.8, 2.0) : fiables, couple suffisant, esprit sportif sans extravagance.
6 cylindres en ligne (2.3, 2.5) : sur les modèles 323i, ils offrent la sportivité qui fera rêver les amateurs, avec le charme sonore unique des BMW.
Boîtes manuelles 4/5 rapports, transmissions robustes, direction précise, suspension MacPherson à l’avant : équilibre entre confort et pilotage incisif.
Chaque kilomètre parcouru avec une E21 rappelle que la conduite est un dialogue. Pas de gadgets électroniques, juste le moteur, le châssis, les mains sur le volant. Comme pour les oldtimers, mais avec une précision et un tempérament déjà très “youngtimer”.
Les versions et points forts de la BMW E21
315 / 316 / 318 / 320 / 320i / 323i / 325e : de la berline au petit 1600 de 75cv au monstre teigneux de 143cv
323i (1977-1983) : la star de la gamme, 6 cylindres 2.3L, moteur nerveux, volant vif, équilibre parfait.
325e (late 70s, “eta”) : moteur à régime bas pour une consommation réduite, preuve que BMW savait combiner efficacité et plaisir.
Les amateurs adorent la 323i pour ses performances, la 320i pour son équilibre, et même les modèles 4 cylindres restent recherchés pour leur accessibilité et simplicité mécanique.
Anecdotes et culture
La E21 a remplacé la 2002, qui était déjà un mythe : sur les circuits amateurs et les rallyes locaux, la E21 s’est rapidement fait une place, remportant des épreuves en Allemagne et en Scandinavie.
Les amateurs racontent souvent que la première fois qu’ils ont essayé une 323i, ils ont senti immédiatement la filiation avec les 2002 classiques : direction directe, moteur vivant, sensation d’être en contrôle total.
Les modèles importés en Amérique du Nord ont contribué à la légende BMW comme constructeur de sportives abordables mais sérieuses.
Pourquoi c’est le pont entre oldtimer et youngtimer
La BMW E21 est à la croisée des chemins :
Elle conserve l’élégance et la mécanique simple des oldtimers : moteurs robustes, propulsions arrière, châssis équilibré.
Elle introduit la sportivité et la rigueur du youngtimer : conduite incisive, versions 6 cylindres puissantes, préparation légère et moderne pour les années 80.
Aujourd’hui, une BMW E21 bien conservée peut se retrouver en oldtimer pour certains puristes, ou en youngtimer pour ceux qui cherchent une compacte sportive des années 80.
C’est cette dualité qui la rend unique : elle a traversé les époques et séduit deux générations de passionnés.
Valeur et collection sur le marché
Prix actuel : selon état et motorisation :
315/316/318 (4 cylindres) : 10‑15 000 €
320i/323i : 22‑33 000 €
323i préparée concours / rareté : 35‑45 000 € et plus
Points de vigilance : corrosion (bas de caisse et passages de roues), joints moteur, trains roulants.
Potentiel collection : très bon pour les modèles 6 cylindres, surtout 323i et 325e, car ils symbolisent le passage des oldtimers aux youngtimers.
Anecdote : beaucoup de 315 ont été exportées vers des marchés plus sensibles aux prix (Espagne, Italie, Scandinavie), ce qui en fait aujourd’hui des exemplaires assez rares et recherchés pour leur authenticité et simplicité mécanique.
Si on résumait la BMW E21…
La BMW E21 n’est pas qu’une compacte des années 70. C’est une légende sur roues, un trait d’union entre deux mondes : la mécanique noble et simple des oldtimers, et la sportivité accessible et moderne des youngtimers. Elle parle autant au collectionneur classique qu’au passionné de voitures des années 80-90.
C’est cette passerelle émotionnelle et mécanique qui fait de la E21 une voiture à part, un symbole de continuité dans l’histoire automobile, et surtout, une voiture qu’on ne peut pas oublier une fois qu’on l’a conduite.
Source : autocollec.com
CLUB5A - VOITURES DE LÉGENDE - LA PEUGEOT 402 ANDREAU DE 1936
La « 402 Andreau » est un prototype conçu par l’ingénieur aérodynamicien renommé Jean Andreau à qui la firme Peugeot demande d’appliquer ses théories sur une voiture de série de l’époque : la Peugeot 402.
Cinq exemplaires sont construits en 1936 comprenant le modèle présenté ici qui est maintenant conservé au Musée de l’Aventure Peugeot à Sochaux. C’est ce modèle qui a été présenté pour la première fois au Salon de l’Automobile de Paris en octobre 1936.
Lors de ce Salon de l’Automobile, la voiture était décrite en ces termes : « Peugeot conçoit les premières carrosseries de voitures optimisées. Pour l'automobile, il était nécessaire de créer un profil de carrosserie avec des lignes conformes aux lois de l’aérodynamique, tout en satisfaisant aux exigences de confort des passagers. »
La carrosserie, conçue de manière scientifique permet de stabiliser la voiture à des vitesses élevées par déplacement du centre de poussée vers l’arrière.
La Peugeot 402 Andreau a été construite sur la base d’un châssis de 402 standard équipé d’un moteur à 4 cylindres en ligne de 1 991 cc de cylindrée accouplé à une boite de vitesses à quatre rapports par l’intermédiaire d »un embrayage électromagnétique Cotal. Peugeot a pu démontrer, en remontant une carrosserie standard sur le châssis de la 402 Andrreau, et en effectuant des mesures sur pistes, que l’aérodynamisme de la carrosserie faisait économiser 30 % de la consommation de carburant.
Source : montesquieuvolvestre.com-CONCEPT CAR
Cinq exemplaires sont construits en 1936 comprenant le modèle présenté ici qui est maintenant conservé au Musée de l’Aventure Peugeot à Sochaux. C’est ce modèle qui a été présenté pour la première fois au Salon de l’Automobile de Paris en octobre 1936.
Lors de ce Salon de l’Automobile, la voiture était décrite en ces termes : « Peugeot conçoit les premières carrosseries de voitures optimisées. Pour l'automobile, il était nécessaire de créer un profil de carrosserie avec des lignes conformes aux lois de l’aérodynamique, tout en satisfaisant aux exigences de confort des passagers. »
La Peugeot 402 Andreau a été construite sur la base d’un châssis de 402 standard équipé d’un moteur à 4 cylindres en ligne de 1 991 cc de cylindrée accouplé à une boite de vitesses à quatre rapports par l’intermédiaire d »un embrayage électromagnétique Cotal. Peugeot a pu démontrer, en remontant une carrosserie standard sur le châssis de la 402 Andrreau, et en effectuant des mesures sur pistes, que l’aérodynamisme de la carrosserie faisait économiser 30 % de la consommation de carburant.
Source : montesquieuvolvestre.com-CONCEPT CAR
samedi 13 septembre 2025
vendredi 12 septembre 2025
CLUB5A - LES 5-6-7 SEPTEMBRE AVAIT LIEU LE SALON METT DE TOULOUSE... CLUB 5A TENAIT SALON AVEC SON STAND DE PASSIONNÉS. !
Pour sa 8ᵉ édition, le Salon Auto Moto Classic Toulouse a accueilli de nombreux visiteurs du 5 au 7 septembre 2025 au MEETT Le Salon Auto-Moto Classic 2025 s’est tenu du vendredi 5 au dimanche 7 septembre 2025 au MEETT au Parc des Expositions de Toulouse.
L'édition 2025 nous a offert 1 700 véhicules exposés, des ventes, l'American Day, des animations familiales et une traversée historique de Toulouse…
Était organisée une exposition de véhicules d’exception avec des rencontres auprès des professionnels de la restauration automobile, des accessoiristes, des marchands de pièces, ou encore des vendeurs de véhicules anciens…
Tout était prévu pour faire chauffer les moteurs… et les souvenirs !
Les collectionneurs, passionnés, amateurs de mécaniques d’exception et propriétaires d’anciennes pouvaient faire le plein d’émotions.
Le club 5A n’a pas dérogé à la règle et était présent et représentait avec son stand haut en couleur notre club carcassonnais.
Bravo aux bénévoles d’avoir tenu salon tout le weekend.
CLUB5A - LE 6 SEPTEMBRE 2025, LE CLUB 5A ÉTAIT PRÉSENT AU SALON DES ASSOCIATIONS DE CARCASSONNE...
Cet événement, qui suscite l'enthousiasme non seulement du public mais aussi des groupes associatifs à Carcassonne, attire chaque année une affluence grandissante. Pour cette édition 2025, l'événement s'est déroulé tout au long de la journée du 6 septembre, de 9h à 17h, sur le square André Chénier. C'était l'opportunité pour les 165 associations ayant accepté l'invitation de la Ville, de présenter leurs activités à un large public, dans une atmosphère joyeuse et amicale.
Encore une fois cette année, le club 5A était présent et avait son stand en place. Dominique et Sylvie y étaient, sans oublier ceux qui ont aimablement prêté leurs véhicules pour l'exposition. Gérard avec sa traction, Jean-Luc son Solex, et Bernard avec sa Royal-Enfield.
Le service des associations de la ville avait prévu un large éventail d'activités, toutes offertes sans frais.
Que ce soit les spectacles de danse des Sevillans, la Capoeira Africana, les percussions brésiliennes du groupe Los Sambaderos, ou encore les démonstrations de vélo, de rugby, de padel, ou encore les défilés de certains clubs, l'événement a mis à l'honneur une grande variété d'activités.
Le maire et les conseillers ont participé à une rencontre avec des représentants d'associations, dans le but de dialoguer et de partager un moment agréable….
Photos : Sylvie Raynaud - P.L
CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - LA 2 CV TPV MICHELIN !!
Source : MAYANREGIS
jeudi 11 septembre 2025
CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - LA DELAHAYE 1937 135 MS CHAPRON...
Delahaye 135 MS Chapron Grand Luxe de 1937
Très réussi, le type 135 a été plus vendu que ses concurrentes, la Bugatti 57, la Hotchkiss 20 CV Grand Sport (686 GS) et la Talbot-Lago Baby.
Durant sa longue carrière, le type 135 connaîtra quelques évolutions : au Salon de Paris 1936, la Boite de vitesses Cotal à trains épycoidaux et commande électromagnétique est disponible en option ; au printemps 1937, la calandre et les projecteurs deviennent bombés et pour les modèles 1949 la calandre est du type 175 à barrettes horizontales
Source vidéo : Yves Rebet Consulting
mercredi 10 septembre 2025
mardi 9 septembre 2025
CLUB5A- RESTAURATION MOTO - RESTAURATION D'UNE TRIUMPH BONNEVILLE 140V 1973...
La capacité de production de la 650 cc T120 Bonneville a été remplacé au début des années 1970 par le T140 Bonneville, la même machine de base , mais avec un moteur de 750 cc. Raffiné de la version ultérieure 'huile dans le cadre' de la T120, les premiers T140s, désignés T140V, en vedette un moteur de plus grande capacité de 724 cc, une boîte de vitesses et à cinq vitesses indicateurs , mais en conservant les freins à tambour et relancer.
Peu après, le moteur a été plus porté à 744 cc et les freins à disque avant ont été équipés ( en utilisant des disques simples jusqu'en 1982). Bien que prévu à d'origine pour l'exportation le jumeau Bonneville 750, a causé tant d' intérêt parmi les visiteurs des 1973, Triumph a décidé de mettre le vélo sur le marché intérieur au prix de 679 livres sterling.En 1975, avec des modifications du moteur, le levier de changement de vitesse a été déplacé de droite à gauche pour se conformer aux nouvelles réglementations obligatoires pour le marché américain et un frein à disque arrière équipé.
Plusieurs modèles T140 suivies avec diverses modifications et améliorations , y compris démarrage électrique à partir de 1980 jusqu'à ce que la production a cessé avec la fermeture de la Meriden travaille en 1983.
Bien que cela aurait dû être la fin de la Bonneville, Triumph Motorcycles a été acheté par l' entrepreneur John Bloor , qui a autorisé une société appelée Racing pièces de rechange dans le Devon, géré par Les Harris pour fabriquer le T140 Bonneville. Ces motos de "continuation" sont connus comme le «Devon Bonnevilles», qui n'a pas atteint le marché jusqu'en 1985, et ne sont pas vendus dans la production des États - Unis...l'aventure a pris fin en 1988.
Source : Loscar Motorcycles
Peu après, le moteur a été plus porté à 744 cc et les freins à disque avant ont été équipés ( en utilisant des disques simples jusqu'en 1982). Bien que prévu à d'origine pour l'exportation le jumeau Bonneville 750, a causé tant d' intérêt parmi les visiteurs des 1973, Triumph a décidé de mettre le vélo sur le marché intérieur au prix de 679 livres sterling.En 1975, avec des modifications du moteur, le levier de changement de vitesse a été déplacé de droite à gauche pour se conformer aux nouvelles réglementations obligatoires pour le marché américain et un frein à disque arrière équipé.
Plusieurs modèles T140 suivies avec diverses modifications et améliorations , y compris démarrage électrique à partir de 1980 jusqu'à ce que la production a cessé avec la fermeture de la Meriden travaille en 1983.
Bien que cela aurait dû être la fin de la Bonneville, Triumph Motorcycles a été acheté par l' entrepreneur John Bloor , qui a autorisé une société appelée Racing pièces de rechange dans le Devon, géré par Les Harris pour fabriquer le T140 Bonneville. Ces motos de "continuation" sont connus comme le «Devon Bonnevilles», qui n'a pas atteint le marché jusqu'en 1985, et ne sont pas vendus dans la production des États - Unis...l'aventure a pris fin en 1988.
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