samedi 19 juillet 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Défilé du 14 Juillet : Le président de la République en Renault Rafale rallongé..

 

Le président de la République a ouvert les festivités du 14 Juillet en remontant les Champs-Élysées à bord d’une nouvelle Renault Rafale. La parenthèse du 8 mai, marquée par l’apparition surprise de la DS N°8 à l’occasion des 80 ans des Commémorations de l’Armistice de la Seconde guerre mondiale, refermée, la présidence de la République a sorti du garage la Renault Rafale, voiture officielle de l’Élysée entrée en service lors du défilé du 14 Juillet 2024. 
Le SUV haut de gamme poursuit la collaboration historique entre les présidents de la République et la firme au losange. Depuis 105 ans, Renault est un témoin privilégié de l’histoire de France, accompagnant les chefs d’État. 
Tout commence par la Renault 40 CV, fleuron du luxe à la française, utilisée par Paul Deschanel et ses successeurs. Depuis, douze chefs d’État ont fait confiance à Renault pour leurs déplacements officiels. 
De la Reinastella à la Safrane Limousine, chaque véhicule incarne le prestige de la fonction présidentielle.

Le SUV Rafale est ainsi le dernier représentant d’une illustre lignée. Ce n’est pas un hasard si le SUV haut de gamme du constructeur français porte le nom de l’avion de chasse du groupe Dassault*, emblème de l’excellence française. Renault était devenu propriétaire du nom en rachetant, au début des années 1930, la firme d’avions Caudron, en difficulté. Le Rafale version 2025 n’a plus rien à voir avec le modèle de l’année précédente. Fruit d’une collaboration très étroite entre les équipes de l’Élysée, celles de Renault, notamment l’équipe du style, et celles d’artisans français réputés pour leur savoir-faire séculaire. 
 Véhicule unique, le nouveau Rafale présidentiel se distingue du modèle de série par sa teinte bleue spécifique, son indispensable blindage et son empattement allongé de 250 mm qui a permis de transformer l’espace arrière en bureau roulant. La régulation thermique a été optimisée pour maintenir une température intérieure équilibrée.
 L’intérieur a fait l’objet d’un soin particulier. Le cuir de la sellerie, issu de chutes sélectionnées, a été retravaillé dans des coloris spécifiques, tandis que le bleu des surpiqûres a été rigoureusement choisi pour correspondre au nuancier officiel de la République. 
Les appuie-tête ont été gravés au laser pour y apposer les armoiries françaises : une pelta, un faisceau de licteur et des branches de chêne et d’olivier. À l’arrière des sièges avant, les designers ont intégré des poches aumônières. Le confort des occupants des places arrière s’appuie sur des sièges ventilés et une régulation thermique optimisée afin de maintenir une température intérieure équilibrée. 
Autre détail qui a son importance : à l’ouverture des portes avant, les dossiers des sièges conducteur et passager s’illuminent du monogramme «RF» (République Française). Toujours à l’arrière, l’équipe du design a réalisé une console centrale gainée d’Alcantara. Le caractère unique du Rafale présidentiel s’illustre encore à travers la présence de marbre des Pyrénées, un marbre noir veiné de blanc, réalisée par l’entreprise franco-italienne Minéral Expertise. 
Ce matériau noble épouse la console centrale arrière, la planche de bord et la branche centrale du volant du Rafale. Il se marie à merveille avec la sellerie en cuir et la marqueterie fine réalisée par l’ébéniste Ludovic Avenel formé à l’École Boulle. Pour le Rafale, il a conçu des platines de commande des sièges arrière en bois de hêtre foncé, travaillé en marqueterie. 
Basé sur un Rafale hybride rechargeable de 300 ch, le Rafale présidentiel bénéficie des 4 roues directrices et d’un réglage de suspension spécifique prenant en compte le surpoids causé par le blindage conçu par l’entreprise française Centigon, expert de la protection mobile. Source : lefigaro.fr-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Départs en vacances : nos 10 conseils essentiels avant de prendre la route...

 

Alors que les premiers vacanciers devraient être nombreux sur les routes ce week-end, quelques contrôles et précautions s’imposent pour préserver sa sécurité et celle des autres automobilistes. Avant de prendre la route des vacances, nous ne saurions trop vous recommander de procéder à une check-list complète. Négliger cette précaution élémentaire expose l’automobiliste et sa famille à moult désagréments dont celui de rester en panne sur le bord de la route, voire d’être victime d’un accident. 
Une voiture révisée 
Premier conseil: mieux vaut partir avec une voiture révisée par un professionnel. Les manuels des constructeurs rappellent que les révisions doivent être effectuées au moins une fois l’an. À défaut, le contrôle technique, qui doit être réalisé tous les deux ans dès lors que le véhicule a plus de quatre ans, oblige à un bilan complet qui signalera d’éventuelles anomalies. 
Contrôler les niveaux 
Si votre véhicule est régulièrement contrôlé, cela ne vous dispense pas d’une petite check-list à effectuer avant le grand départ. Pour partir l’esprit serein, il va falloir soulever le capot et s’armer du manuel de bord pour procéder à la vérification de tous les niveaux: huile moteur, liquide de freins et de refroidissement. 
Sans oublier celui du liquide de lave-glace, indispensable pour nettoyer le pare-brise des insectes qui s’y seront écrasés. Pour les véhicules électriques, la check-list est simplifiée mais les conducteurs ne sont pas dispensés de vérifier le niveau du lave-glace et le niveau de charge des accumulateurs. Il est préférable de partir la batterie pleine. 
 Des pneus bien gonflés 
Plus important, l’éclatement d’un pneumatique sur autoroute est souvent dû à un sous-gonflage. Un pneu sous-gonflé éclate à cause de la surchauffe engendrée par sa déformation. 
A contrario, on ne risque absolument rien à rouler surgonflé, sinon à diminuer le confort. L’idéal est donc de vérifier la pression à froid et de choisir celle préconisée pour un roulage en charge, généralement majorée de 0,2 à 0,3 bar. N’oubliez pas de vérifier celle de la roue de secours. À condition d’en posséder une! 
 Gilets et triangles embarqués 
Même bien entretenue, une voiture peut toujours tomber en panne. La législation impose d’emporter un triangle de signalisation et un ou deux gilets de sécurité qui doivent se trouver à bord du véhicule afin d’être immédiatement accessibles en cas d’immobilisation. Un décret, paru en mars 2013, maintient l’obligation de posséder un éthylotest mais supprime la sanction en cas de défaut de possession. 
Nous en profitons pour rappeler une évidence, vous devez être en possession des papiers du véhicule: carte grise et attestation d’assurance. Quelques outils Tout le monde n’est pas garagiste, mais il est rageant de devoir rester sur le bord de la route quand il aurait suffi d’avoir quelques outils sous la main pour pouvoir repartir. 
Pensez donc à emporter un outil multifonctions de type Leatherman, un rouleau d’adhésif renforcé et des fusibles. 
Plus important, la plupart des voitures étant désormais livrées sans roue de secours, mieux vaut prévoir une bombe anticrevaison et un kit réparation. Nous vous conseillons aussi d’emporter une trousse de premiers secours. Éviter l’excédent de bagages 
La masse que vous avez le droit d’embarquer, autrement dit la quantité de bagages, est limitée par le PTAC (poids total en charge) mentionné sur la carte grise à la rubrique F2. Pour ne pas dégrader le comportement de votre automobile, placez les valises les plus lourdes dans le fond du coffre. Si le coffre est plein, positionnez les derniers sacs au pied des sièges arrière mais jamais sur la plage arrière. En cas de choc, ils se transformeraient en projectiles et viendraient heurter la tête des passagers. 
S’assurer d’une bonne visibilité 
La vue, c’est la vie. 
Ce slogan est parfaitement adapté à la conduite. Conduire, c’est anticiper, bien voir et être vu. Procédez donc à un nettoyage en règle du pare-brise et des optiques de phares. Pensez aussi à emporter des lunettes de soleil, idéalement avec des verres polarisants qui réduisent l’éblouissement. Des enfants correctement attachés Les sièges auto et autres rehausseurs de siège sont non seulement indispensables mais ils doivent être parfaitement arrimés à l’automobile. Un système d’ancrage automatique de type Isofix, compatible avec la plupart des voitures récentes, facilitera grandement l’installation et garantira son efficacité. Si rouler de nuit ne vous dérange pas, les enfants trouveront le temps moins long avec des livres et des jeux vidéo. Une pause toutes les 2 heures 
Avant même que les premiers signes de fatigue ne surviennent, les spécialistes conseillent de faire une pause toutes les deux heures. La somnolence est l’une des principales causes de mortalité sur autoroute et, d’autant plus fréquente que l’utilisation d’un régulateur de vitesse incite le conducteur à relâcher son attention. Cette pause est aussi l’occasion de permettre à toute la famille de s’aérer et de se dégourdir les jambes. Avec une voiture électrique, vous n’aurez pas à vous poser la question car la baisse du niveau de la batterie vous obligera à vous arrêter. 
                                                        Assistant d’aide à la conduite 
L’usage d’un avertisseur de radar permet, outre de ne pas risquer de perdre bêtement un point sur son permis pour un dépassement même minime de la limitation de vitesse, de rester informer des conditions de circulation. L’avertisseur communautaire tel que le Coyote , ainsi que certaines applications pour smartphone dont Waze, renseignent en temps réel le conducteur de tous les événements qui pourraient le surprendre: accident, voiture immobilisée, présence d’animal ou d’objet sur la chaussée. Un bon investissement. 
Source : lefigao.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - RETOUR SUR LA JOURNEE CLUB EDITION 2025...C'ETAIT LA FETE DES 5A !

Source : lindependant.fr - J-G - Merci David SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - LA PANHARD FAMILY !!

Panhard Dyna X87 Junior 1954...... Panhard Dyna Z12 1956, Panhard PL17 Relmax 1963...
 
Panhard était un constructeur français de véhicules automobiles qui a commencé comme l'un des premiers constructeurs d' automobiles . C'était un fabricant de véhicules tactiques et militaires légers. Sa dernière incarnation, qui appartient maintenant à Renault Trucks Defense , a été créée par l’acquisition de Panhard par Auverland en 2005, puis par Renault en 2012. Après la Seconde Guerre mondiale, la société fut renommée Panhard (sans "Levassor") et produisit des voitures légères telles que la Dyna X , la Dyna Z , les PL 17 , 24 CT et 24 BT . 
La société avait depuis longtemps noté les avantages en termes de poids de l’aluminium, ainsi que le rationnement de l’acier par le gouvernement de l’après-guerre.(conçu pour limiter les nouveaux modèles de voitures afin d’assurer un retour à la production ordonné dans les grandes entreprises), a encouragé l’entreprise à opter pour l’alternative coûteuse consistant à fabriquer les carrosseries et plusieurs autres composants en aluminium. Ainsi, le Dyna X et les premiers Dyna Z série 1 avaient des corps en aluminium. Malheureusement, le calcul des coûts effectué par Jean Panhard, le fils héritier et directeur général de la société, n’a pas permis de prendre en compte le coût supplémentaire de l’aluminium par rapport à l’acier. 
Ses calculs ont été effectués pour la surface de panneau en tôle réellement utilisée par coque et ne tenaient pas compte des déchets de chacune des pièces embouties constituant la coque. Une fois en production, un nouvel examen a révélé un coût de 55 700 francs pour les coques en aluminium et de 15 600 francs seulement pour les aciers. L'utilisation de l'aluminium avait poussé l'entreprise au bord de la faillite, et un travail d'ingénieur pressé a ramené l'entreprise à l'acier. Le bicylindre plat de la Dyna à refroidissement par air a été utilisé par Georges Irat pour son véhicule tout-terrain "Voiture du Bled" (VdB), construit au Maroc au début des années 1950 en petit nombre. [13] S'inspirant du concept Panhard Dynavia , le style de la Dyna Z était distinctement lisse et arrondi, mettant l'accent sur l'aérodynamisme et un design minimaliste. 
Le 24 CT était un élégant 2 + 2 places plus tard (à partir de l’été 1963); le 24 BT étant une version du même avec un empattement plus long et un espace pour quatre. Pendant une période après la guerre, les voitures de course Monopole basées à Panhard ont reçu le soutien non officiel de Panhard (comme DB et d'autres clients tels que Robert Chancel), qui s'en sont servis à bon escient pour remporter la catégorie "Index of Performance" au Mans en 1950, 1951 et 1952. En 1953, Panhard est passé à une implication plus directe avec Chancel, qui a toutefois pris fin après la mortelle Le Mans de 1955 . [14] Dans la seconde moitié des années 50 et au début des années 60, les coureurs de Deutsch Bonnet ("DB Panhard") ont repris ce flambeau et sont parvenus à dominer "l'Indice de performance" ainsi que d'autres catégories de courses de petits moteurs. 
 La dernière voiture de tourisme Panhard a été construite en 1967. Après avoir assemblé des camions à tôles 2CV pour permettre à Citroën d'exploiter sa capacité en période de baisse des ventes, elle a augmenté ses liquidités d'exploitation en vendant progressivement la propriété à Citroën, respectivement à sa société mère Michelin (contrôle total à partir de 1965). , à l’automne 1967, la branche civile était absorbée par Citroën et la marque était retirée. À partir de 1968, Panhard ne fabrique plus que des véhicules blindés. [15] En 2004, Panhard a perdu un concours au profit d’un autre constructeur de véhicules militaires, Auverland , pour le choix du futur PVP de l’armée française. Cela a permis à Auverland d’acheter en 2005 Panhard, filiale de PSA Peugeot Citroën . Cependant, la renommée de Panhard étant plus grande, il fut décidé de conserver le nom; le PVP conçu par Auverland porterait un badge Panhard. 
 En octobre 2012, Renault Trucks Defense , division du groupe suédois Volvo depuis 2001, a finalisé l'acquisition de Panhard pour 62,5 millions d'euros.  Aujourd'hui, la seule utilisation du nom Panhard est la "tige Panhard" (également appelée barre Panhard). Il s’agit d’un maillon de suspension inventé par Panhard qui assure la localisation latérale de l’essieu. Ce dispositif a été largement utilisé sur d’autres automobiles ou en tant que mise à niveau ultérieure des essieux arrière de voitures américaines anciennes.
Source : WKPDIA/CC-BY-SA-3.0-Panhard Family

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vendredi 18 juillet 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - CHUTT....DOMINIQUE FAIT LA SIESTE ET QUAND DOMINIQUE FAIT LA SIESTE IL LUI FAUT DU CALME...

 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - BMW 4 CYLINDRES ...REVE OU REALITE ??

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - ROULER DANS DU VIEUX !!

La Simca 1307 Chrysler Alpine est le nom sous lequel cette Chrysler Europe a été lancée "nouvelle voiture familiale" c'était en Juillet 1975. 
La voiture a été dessiné au Royaume-Uni par Roy Axe et son équipe à Whitley, elle a été conçue par Simca à Poissy. Une traction avant avec hayon moderne pour l'époque, elle a été l' une des premieres de ces voitures dans cette catégorie, ainsi que la Volkswagen Passat , et elle est devenu en 1976 "Voiture européenne de l'année" .
 Elle a été en développement depuis 1972. Le modèle a été vendu sous une variété de noms, y compris Simca 1308 et 1309 (avec des moteurs plus gros), Chrysler Alpine ( Royaume - Uni ,  l' Irlande et la Nouvelle - Zélande ), Dodge Alpine ( Colombie ), Chrysler 150 (marché espagnol), et plus tard , Talbot 1510 / Talbot Alpine / Talbot 150 (une version facelifted lancée par PSA après sa prise de contrôle de Chrysler Europe) et Talbot Solara (la version berline).
Source : ThamesTv

CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - LA MONOCOQUE TG 500 DE MESSERSCHMITT..!!

La FMR Tg 500 était une voiture de sport construite par la Fahrzeug- und Maschinenbau GmbH, Regensburg (FMR) de 1958 à 1961. Basée sur la monocoque Messerschmitt Kabinenroller , qui était autrement une plate - forme pour trois roues , la Tg 500 était une voiture à quatre roues. un moteur deux temps en ligne droite . FMR avait repris la production du KR200 de Messerschmitt en 1956. Tandis que le KR200 utilisait toujours le nom et le logo de Messerschmitt, le Tg500 était désigné comme un FMR.
 "Tg" officieusement pour Tiger. Le nom "Tiger" a été revendiqué en Allemagne par Krupp , qui l'a utilisé dans l'un de leurs camions. Il y avait aussi un Panhard Dyna Z Tiger au même moment. La Tg 500 a incorporé plusieurs caractéristiques de la plate-forme Kabinenroller sur laquelle elle était basée, notamment le corps étroit avec l’assise en tandem, le baldaquin en acrylique transparent , la position basse et la direction directe. La carrosserie étroite et la zone frontale basse correspondante ont été réalisées avec une assise en tandem, ce qui a également permis à la carrosserie de s’effiler comme un fuselage d’avion, sur une longueur pratique. 
Les sièges en tandem ont également centralisé la masse de la voiture le long de son axe longitudinal, ce qui, combiné au centre de gravité bas, au faible poids et au placement des roues aux extrêmes du véhicule, confère au Tg 500 de bonnes caractéristiques de maniabilité. Un avantage plus mineur des sièges en tandem est qu’ils ont rendu superflue une version exportée en miroir vers les pays qui roulent à gauche. Le centre de gravité de la voiture se situait à l'arrière, ce qui signifiait que la présence ou l'absence d'un passager ne modifiait pas les caractéristiques de conduite de la voiture. À l'exception du modèle Sports Roadster, l'accès à la Tg 500 se faisait par une porte à auvent articulée sur le côté droit du véhicule. 
La porte comprenait à la fois les fenêtres (pare-brise, cadres de fenêtre sur tous les modèles sauf les Roadster, toit rabattable sur les modèles Roadster et Kabrio et bulle acrylique sur les autres versions) et le cadre dans lequel elle était insérée, partant du côté droit de la monocoque. baignoire à gauche. Sur les modèles Sport Roadster, la verrière était fixée et il n'y avait ni dessus ni fenêtres du tout, seulement un couvre-tonneau. Le sommet de la bulle sur le Tg 500 était le même que celui utilisé sur le KR200. 
La Tg500 était équipée d'un moteur deux temps à deux cylindres de 494 cm3 (30,1 pouces cubes) refroidi par air , positionné transversalement sur les roues arrière. Le moteur, conçu par Fichtel & Sachs , a été construit par FMR. [1] Le groupe démarreur / générateur Dynastart était entraîné par courroie et comportait un ventilateur à chaque extrémité du groupe, un pour refroidir chaque cylindre du moteur. 
Contrairement au KR175 ou au KR200, la transmission de la Tg500 était une marche arrière qui faisait partie d’une unité de boîte. Les commandes du Tg500 étaient similaires à celles du KR200, à l’exception du mode de démarrage unique du Tg500 pour le moteur et de son changement de vitesse en H avec marche arrière et sans levier auxiliaire. Un tachymètre a été offert en remplacement facultatif de l'horloge. Mis à part l'utilisation de pneus 4,40 x 10 tout autour et une augmentation de la voie avant de 108 cm (43 po) à 111 cm (44 po), la suspension avant et la direction étaient les mêmes que celles du KR200. 
La suspension arrière était totalement indépendante, avec des joints universels aux deux extrémités de chaque demi-arbre, situés entre les triangles inférieurs et les ressorts hélicoïdaux avec amortisseurs montés concentriquement. Contrairement aux Kabinenrollers à trois roues , qui avaient des freins mécaniques à câble, le Tg500 avait des freins hydrauliques....
Source : Automobile Classics

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jeudi 17 juillet 2025

CLUB5A - SORTIE AUTO - 17ème FETE DES 5A ...JOURNEE CLUB...C'ETAIT LE 13 JUILLET 2025 !

 

Conformément à la tradition, pendant le rallye du Tour de l'Aude, les adhérents de l'association des 5A fêtent l'anniversaire du club... 
Cependant, même cette année, cela ne résultera pas en une collaboration avec le Tour de l'Aude. 

Il a commencé son voyage sur les routes secondaires des Pyrénées le 11 juillet à 8 h 30, en partant de la ville de Carcassonne. Nous étions donc présents pour ce dimanche 13 juillet, célébrant la fête des 5A sur le parking du Prado, devant les tours Narbonnaises de la cité de Carcassonne. 
Josette, Daniel et toute l'équipe étaient présents devant la cité « Bon Pied, Bon Œil », prêts à accueillir nos passionnés. Ils avaient pour mission de faire respecter l'organisation mise en place et de remettre à chaque participant le road-book et la plaque commémorative de cette journée, contre 30 € pour les membres du club et 40 € pour les non-membres. 
Cependant, n'oublions pas que c'est grâce aux efforts d'une personne que cette belle journée a été possible. Nous lui sommes reconnaissants pour sa disponibilité et l'excellence de ce service… Bien joué Daniel ! 
Cette randonnée à travers les superbes paysages des hauts plateaux de l'Hérault a attiré 88 participants et 40 véhicules, tous prêts à prendre le départ. L'objectif final étant le lac de Vésoles, l'intention initiale était de se rendre à Caune Minervois et au bourg de Lespinassière. 
Comme à leur habitude, nos organisateurs nous avaient « préparé » une pause café, celle-ci devait se dérouler au col de la Salette. Cependant et finalement, elle a eu lieu sur le parking du point de vue du Roc Suzadou. (Une ascension de 20 km atteignant une altitude maximale de 885 mètres) 
Après ce moment agréable, notre parcours nous menait à travers les Verreries de Moussan, St Pons de Thomières, puis à la découverte de la forêt domaniale du Somail pas très loin du saut et du lac de Vésoles.(Le massif de l'Espinouse, qui est le point culminant du département de l'Hérault). 
L'apéritif, très populaire parmi nos invités, a été orchestré en forêt, à proximité du lac. Cependant, le temps file rapidement, car il était déjà l'heure du repas à l'auberge du Cabaretou (937 mètres), située sur le col portant le même nom. (Excellente table, plats raffinés et service à la hauteur.) Bravo !) 
Après un excellent repas, et pour aider à la digestion, les membres de l'équipe participant à la fête des 5A étaient invités à se promener dans le village de Saint Pons de Thomière pour découvrir la source du Jaur. (La rivière du Jaur prend sa source à Saint-Pons-de-Thomières, sortant tout droit d’une vaste et haute cavité creusée au bas d’une haute falaise de roche. Souvent explorée à la fin du XIXème siècle, et même aménagée pour la visite à certaines époques, la source du Jaur a toujours été un lieu sacré.. Une légende affirme même que la source est un monstre pétrifié par les dieux à qui l’on a dédié le sanctuaire, la source du Jaur est un lieu agréable et frais en été.) 
Pour le trajet de retour, nous avions deux options : soit emprunter la route directe vers Carcassonne, soit passer par la pittoresque route de Minerve… c'était à notre discrétion. La météo ne s'annonçait pas très bonne en début de matinée, nous avons même subi quelques pluies. 
Heureusement, le temps s'est amélioré et finalement, il a fait beau et chaud tout au long de la journée ! 
Concernant les pannes ou incidents techniques : rien à signaler... Mais toutes les bonnes choses ont une fin, il fallait prendre congé de cette jolie région … 
Merci à tous les participants, les organisateurs et les bénévoles pour l’organisation de cette journée. Merci de votre participation de plus en plus nombreuse… 
Texte : PL - Photos : Sylvie Raynaud - Dominique Garcia – PL

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Thierry Ardisson : la folle collection de voitures anciennes d’un homme... qui n’avait pas le permis...

 

Thierry Ardisson a bâti un garage de voitures de collection. L’homme en noir transformait l’automobile en pur objet d’art : ses choix, dictés par la beauté des modèles, racontent une passion décalée, à son image. Dans l’univers des collectionneurs automobiles, Thierry Ardisson occupait une place à part. Il était unique en son genre. 
Imaginez un mélomane qui accumulerait des guitares sans savoir en jouer... C’est exactement le cas de l’homme en noir avec l’automobile : ce dernier avait réuni une impressionnante collection de voitures vintage... sans jamais avoir obtenu le permis de conduire. Loin de considérer cette situation comme un handicap, Ardisson assumait, allant jusqu’à théoriser sa relation particulière à l’automobile avec une métaphore, elle aussi, bien assumée. 
«J’ai du plaisir à regarder les voitures, c’est comme un couturier homosexuel, il adore les femmes, il leur fait les plus jolies robes du monde, mais n’y touche pas», racontait-il dans l’émission Vintage mécanique (RMC Découverte) en 2022. Un traumatisme de jeunesse Dans les faits, son refus de conduire trouve ses racines dans un traumatisme de jeunesse survenu à Salon-de-Provence : certains de ses amis proches ont subi de graves accidents de voitures. Sa peur de conduire s’est définitivement cristallisée lors d’une expérience malheureuse avec une Fiat 500 de location. «Je l’ai mise dans le ravin», racontait-il dans la même émission. 
« Là, j’ai dit stop», ajoutait-il. Ne pouvant donc évaluer les performances mécaniques, ses choix se basaient exclusivement sur l’apparence. «Quand tu ne conduis pas tu ne peux pas choisir la voiture pour ses qualités moteurs, je l’ai achetée [une Peugeot 404] parce qu’elle était chic, elle était belle», expliquait-il dans la même émission. Sa collection éclectique En 1996, l’émission Turbo sur M6 lui avait rendu visite dans sa propriété d’Argentan, dans l’Orne. On y découvrait un véritable musée automobile personnel. La star incontestée de cette collection était sa Peugeot 404 Cabriolet, qu’il décrivait avec tendresse. «J’aime les voitures des années 50-60 (...) je trouve [au contraire] que les voitures se ressemblent toutes aujourd’hui». Mais cette 404 n’était que la partie visible de l’iceberg automobile. Sa collection comprenait également une Renault Colorale, ce grand break 4X4 équipé d’un moteur de Primaquatre. 
Il possédait aussi une Austin Mini 1000 Countryman des années 60, une Morris 1300 Vanden Plas qu’il surnommait affectueusement sa «Mini Rolls», ainsi qu’une Peugeot 203. D’autres véhicules complétaient ce garage éclectique : un Toyota RAV4 de première génération, une Audi TT elle aussi de première génération, une BMW Série 2 Active Tourer, et même une Peugeot 206, preuve que son œil esthétique savait aussi déceler la beauté dans la simplicité. 
Bref, cette passion automobile révélait un aspect méconnu de la personnalité d’Ardisson : celle d’un esthète assumé, capable d’apprécier la beauté d’un objet, même des plus simple. L’homme en noir nous rappelait avant tout que la voiture pouvait être aussi un objet d’art, une sculpture mobile, en somme : le témoignage d’une époque. 
Source : lefigaro.fr - Merci david sarda pour le suivi de l'info...

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - CES DAMES AIMENT L'AMBIANCE MOBYLETTE ....

CLUB5A - HUMOUR AUTO - BOIRE OU CONDUIRE - IL FAUDRA CHOISIR !

 

CLUBDES5A. PHOTO INSOLITE - DE LA PLUS PETITE A LA PLUS GRANDE !!

 

CLUB5A - MOTO DE LÉGENDE - LA CROCKER - V.TWIN DE 1936...

L'Entreprise de Moto Crocker légendaire a été fondée par Albert G. Crocker (1882-1961) en 1936.
L'histoire des motos très performantes de Crocker est extrêmement courte et son entreprise, maintenant, légendaire a seulement produite autour de 100 modèles de motos pendant la période des six années de production ce qui est extrêmement rare. George M. Hendee et Carl Oscar Hedstrsm, les fondateurs de l'Entreprise de Fabrication d'Indian Motocycle à la fin des années 1910, il travaillait comme concepteur et ingénieur de Indian. 
Au moment où Al Crocker construisait ses machines, l'industrie de moto américaine avait été décimée par la Dépression.. 
Comme une machine sur mesure, chaque Crocker a été faite au cahier des charges(aux spécifications) de son acheteur. Cette approche chère et intensive de temps a signifié que la qualité est restée élevée, mais la production était basse et non rentable. Crocker n'a jamais excédé plus de 125 unités avant que la Deuxième Guerre mondiale n'ait forcé la fermeture de la société et aujourd'hui seulement autour de 50 de ces unités sont estimées puisque les motos Crocker sont extrêmement rares. 
Source vidéo : Harley City-WKPDIA/CC-BY-SA-3.0