lundi 14 juillet 2025

CLUB5A - HUMOUR AUTO - DROLE DE POSITION POUR PAYER LE PEAGE !

CLUB5A - ATTENTION AU PASSAGE A NIVEAU... UN TRAIN PEUT EN CACHER UN AUTRE !!

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - 14-Juillet : tout savoir sur le «Command Car», le véhicule à bord duquel le Président descend les Champs-Élysées

 

Le Président défile chaque année sur les Champs-Élysées à bord du VLRA Command Car d’ACMAT. Adapté spécialement pour la cérémonie du 14 Juillet, ce 4x4 robuste symbolise la continuité de la République française. Cette année, lors du défilé du 14-Juillet sur les Champs-Élysées, le Président de la République Emmanuel Macron descendra l’avenue la plus célèbre du monde à bord d’un véhicule militaire emblématique : le VLRA Command Car d’ACMAT. Une tradition qui perdure depuis l’époque de Valéry Giscard d’Estaing qui pilota le premier ACMAT Command Car dans les années 1970 pour les défilés du 14 juillet. Tous les présidents de la Ve République sont ensuite à bord de ce même véhicule mythique, avec la même immatriculation : 682 0733. 
Le Command Car est aujourd’hui un véritable symbole de la République française. Véhicule militaire oblige, le moteur Perkins du Command Car est un diesel 6 cylindres qui développe entre 120 et 145 chevaux selon les versions, pouvant propulser ce 4x4 de 4300 kg à vide jusqu’à 100 km/h sur route. Sa capacité d’emport atteint 6800 kg en charge, tandis que son autonomie avec un seul plein peut aller jusqu’à 1000 km selon les configurations. Les dimensions imposantes du véhicule - 5,35 à 6 mètres de longueur pour 2,07 mètres de largeur - lui confèrent une présence majestueuse lors des défilés. Ses capacités tout-terrain impressionnent : il franchit des pentes de 60 à 65% et traverse des gués de 0,90 mètre sans préparation particulière. Pas sûr que cela soit utile sur les Champs-Élysées. C’est pourquoi les ingénieurs d’ACMAT adaptent spécifiquement le véhicule pour les besoins protocolaires présidentiels. 
Ils installent une main courante sur toute la largeur du compartiment arrière, permettant au Président de se tenir debout pour saluer les troupes et le public. Des supports de fanions d’identification ornent les ailes avant, ajoutant à la solennité de l’ensemble. Le succès industriel du Command Car D’un point de vue industriel, ACMAT (Ateliers de Construction Mécanique de l’Atlantique) est aujourd’hui intégré dans le groupe Arquus, et fabrique ces véhicules exceptionnels dans ses usines de Saint-Nazaire. La robustesse et la fiabilité du VLRA séduisent bien au-delà des frontières françaises. ACMAT a exporté plus de 12.000 exemplaires dans plus de 50 pays, où ils servent dans les forces armées mais aussi comme véhicules d’apparat pour d’autres chefs d’État. 
Cette diffusion internationale fait du Command Car français un ambassadeur du savoir-faire militaire national. L’armée française déploie environ 800 VLRA, principalement au sein des forces spéciales qui apprécient leur simplicité mécanique et leur grande autonomie. La conception modulaire du véhicule permet de l’adapter à de multiples usages : transport de troupes, ambulance, poste de commandement mobile. Mais le Command Car transcende sa fonction de simple véhicule militaire et devient le 14-Juillet un témoin motorisé de la continuité républicaine et de la grandeur du pays. 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info..

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Alain, 77 ans, roule au quotidien avec sa Citroën type B2 de 1921 : «Chaque dos-d’âne est un supplice»

 

Alain Blazy, 77 ans, nous raconte la vie extraordinaire de sa Citroën Type B2 de 1921, que son oncle lui a transmis. À 77 ans, Alain Blazy fait partie de ces passionnés qui ont transformé leur amour des voitures anciennes en véritable art de vivre. Ancien professeur de langues vivant près de Lille, il revenait chaque été dans sa ville natale de Foix pour retrouver son trésor : une Citroën Type B2 de 1921. La possession de ce modèle d’exception, Alain Blazy la doit à son oncle Roger Delboy, notable ariégeois grâce à son entreprise de transports. L’homme avait marqué le jeune Alain en lui transmettant le virus automobile. 
Quand Roger découvre et utilise pour la première fois le modèle, à Saint-Girons (09) il réveille instantanément en lui des souvenirs profonds : cette voiture lui rappelait les camions Citroën de ses débuts, les premiers véhicules avec lesquels il avait bâti son entreprise. «C’était pour lui une madeleine de Proust mécanique», commente Alain. En 1970, le jeune homme terminait ses études outre-Manche. C’est à son retour d’Angleterre que Roger Delboy lui offre cette voiture en cadeau. Une surprise de taille pour celui qui venait de décrocher son diplôme de professeur de langues. À l’époque, il fallait souvent acheter des pièces pour reconstituer ces voitures anciennes, mais celle-ci était complète, avec même un démarreur électrique, équipement rare pour un modèle de 1921. 
Voilà pour le début de l’histoire. Une époque où la voiture était corporatiste 54 années après, la centenaire rutile encore de sa carrosserie rouge et noire parfaitement conservée. Dans le garage d’Alain, la Citroën Type B2 témoigne d’une époque où l’automobile française s’adaptait aux besoins de chaque profession. Le modèle était décliné en versions spécifiques : pour les industriels, les docteurs, les avocats, chaque coupe correspondait à un métier. Celle d’Alain Blazy, une «Normande» à carrosserie bois, était destinée aux agriculteurs. Le modèle est pensé en configuration utilitaire, avec ses deux places à l’avant et son plateau à l’arrière, permettait de charger des pots de lait ou des animaux pour le marché en semaine, puis de se transformer en voiture familiale le dimanche en ajoutant des sièges pour les balades ou la messe. 
C’était l’époque où Citroën révolutionnait l’industrie automobile française en lançant la première voiture produite en grande série dans l’Hexagone. Malgré ses 104 ans, la voiture ne fait pas son âge. Sa force réside dans tous les petits détails techniques. Alain Blazy privilégie par exemple le démarrage à la manivelle «pour le plaisir et le côté sympathique du geste», même s’il dispose d’un démarreur électrique. La mécanique reste d’une simplicité remarquable, pas d’électronique, et des pièces qui tiennent bon : juste une segmentation changée au cours du temps, puis bien sûr le remplacement régulier des pneus pour des neufs. Attention à l’accélérateur positionné au centre Conduire cette centenaire relève de l’art. L’accélérateur au centre impose de ne pas confondre les pédales, le frein à droite et l’embrayage à gauche exigent une pression ferme. 
Les trois vitesses s’enclenchent avec la technique du double débrayage, manœuvre délicate qui demande de la pratique. Le système de freinage, uniquement sur les roues arrière, nécessite une vigilance constante. «Il faut toujours enfoncer délicatement la pédale tout en actionnant simultanément la tige du frein à main», explique Alain. Les ronds-points et les virages deviennent des exercices de haute voltige. L’absence de suspension transforme «chaque dos-d’âne en supplice», les vibrations étant si importantes qu’elles peuvent dévisser les boulons. Vitesse max : 70 km/h «Mais une fois bien lancée, c’est du pur bonheur. La vitesse max est de 70 km/h, mais par sécurité, je roule moins vite, elle a quand même du mal dans les virages», raconte Alain. 
Lors de ses sorties en banlieue lilloise, Alain ne passe pas inaperçu, quand certains automobilistes font les yeux ronds, d’autres s’arrêtent pour admirer la mécanique et partager leurs souvenirs d’enfance, certains brandissent un pouce en l’air en guise de sympathie. Depuis 54 ans qu’il possède cette voiture, Alain Blazy reste le seul à la conduire : «Elles sont difficiles à conduire, ce qui fait le charme ! Nous, on est sensible à ça, contrairement aux jeunes générations. Il y a une finition, un tableau de bord en alu, une recherche très poussée, une conduite particulière...» Pourtant, elles ont perdu de leur valeur. «Ces voitures sont moins cotées maintenant, elles intéressent moins les jeunes collectionneurs», tempère le septuagénaire. Selon lui, il y a une scission entre lui et les jeunes qui préfèrent les voitures d’après-guerre, celles des années 60, 70, 80. Les Madeleine de Proust ne se choisissent pas. 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

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CLUB5A - REVUE DE PRESSE - 36ème TOUR DE L'AUDE - RETOUR SUR LE DEPART ....

Source : lindependant.fr - JG - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info

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dimanche 13 juillet 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - QUAND CHARLES EST SUR SA MOTO IL TRIUMPH ...


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LE SOLEX TRIPORTEUR !


CLUB5A- LES VOITURES DE LÉGENDE - LA 2 CV CITROËN 4X4 SAHARA...LA CITROËN A DEUX MOTEURS !!

Au début de mars 1958, Citroën convie un aréopage de journalistes et d’officiels à la mer de d’Ermenonville pour leur présenter un nouveau et curieux petit véhicule, La 2CV 4x4 Sahara. L’endroit est choisi en raison de ses dunes lointaines cousines des vraies, celle de l’Algérie. Pour l’ambiance et la couleur locale, on a fait appel à des dromadaires trouvés on ne sais où, un cirque certainement. 
Mais une abondante chute de neige imprévue vient de recouvrir les dunes d’un manteau blanc qui rappelle plus le Gobi que le Sahara. La 2CV 4x4 a pour origine la ténacité d’un certain M.Bonnafous, ingénieur des travaux publics, qui, à la recherche d’un engin tout terrain léger et économique, avait délaissé sa Jeep pour se construire une 2CV 4x4 en 1954. Au moteur de 375cm3, il avait adjoint un second groupe à l’arrière, bientôt remplacés par deux moteur plus puissant de 425cm3. Citroën eut vent de la voiture, s’y intéressa et décida de commercialiser sa propre version, principalement pour les champs pétrolifères. 
Le remarquable dans cette aventure c’est que, par l’opération du St Esprit du ministère des finances, la voiture à deux moteurs de 2CV chacun, devint une 5CV…pour le gouvernement, 2 + 2 = 5 ! 
Les caractéristiques essentielles de la Sahara peuvent se résumer comme suit : 
  
-Deux groupes, un mototracteur et un motopropulseur de 2CV normale montés séparément à l’avant et à l’arrière. Moteur arrière logé dans le coffre. -Absence de liaison mécanique de transmission entre les deux moteurs, mais commande commune de l’accélérateur, de l’embrayage et du changement de vitesse par pédales ordinaires et levier central. 
 -Moteur arrière et entraînement correspondant des roues déclenchables. Marche possible sur route avec le moteur avant seulement (au besoin aussi avec le moteur arrière seulement). -Châssis à plate-forme, suspension et carrosseries semblables -à l’exception de quelques détails-à ceux de la 2CV.
Source: accueil.org/deuche/la_2cv_4x4_sahara / boreli1969

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - RETOUR SUR LE DEPART DU 36ème TOUR de L'AUDE ...C'ETAIT LE VENDREDI 11 JUILLET 2025 !

Source : lindependant - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - DEPART DU 36ème TOUR de L'AUDE - C'ETAIT LE 11 JUILLET 2025 SOUS LE REGARD DE DAME CARCAS...

 

Ce vendredi 11 juillet 2025 les véhicules rutilants du Tour de l’Aude savent attirer l’œil, et pour cause: tous ont été fabriqués avant 1945….Le Tour de l’Aude à effectué son départ. Comme prévu, la 36e édition du Tour de l’Aude des voitures anciennes a pris son départ depuis les abords de la Cité de Carcassonne (porte Narbonnaise).
    
Au fond, deux types de patrimoine se rencontraient, l’un de pierre et l’autre mécanique, et il y a toujours quelque chose d’à la fois magique et cohérent de voir ainsi ces deux univers se côtoyer l’espace de quelques instants.
Les visiteurs étaient en tout cas ravis d’être présents à ce moment-là : ces 55 bijoux mobiles sont partis ensuite pour prendre la direction des Pyrénées jusqu’à mardi après-midi où le final sera organisé au château de Cavanac comme à l’accoutumée.
Photos : Sylvie Raynaud - PL

CLUB5A – VOITURE DE LÉGENDE – LA SIMCA 1000….UNE CARRIÈRE DE 17 ANS !!


Apparue en 1961 pour concurrencer la Renault Dauphine, la Simca 1000 a connu une carrière longue de 17 ans. Conçue au lendemain de la crise de Suez afin d’offrir aux Français une auto économique, elle bâtira une bonne partie de sa légende sur des modèles sportifs, aujourd’hui devenus de véritables icônes : les Rallye. Reste que l’histoire de cette petite voiture ne se résume pas à ces deux extrémités puisque la Simca 1000 n’aura de cesse d’évoluer, et de rajeunir, pour suivre les transformations d’un pays où elle a laissé une trace indélébile. On ne vous fera pas le coup de la rengaine navrante des saltimbanques toulousains. 
En effet, la Simca 1000 mérite mieux que ce pénible refrain, une ritournelle qui lui colle encore, hélas, à la banquette arrière. Quitte à replacer l’église au milieu du village occitan, offrons-lui un essai dans le magazine préféré des amateurs d’anciennes. Et tant qu’à faire, un essai tout près de Toulouse, histoire de conjurer le triste sort du « je te prendrai nue ». Beaucoup d’entre vous le savent, j’adore les Simca 1000. D’autres ne l’ignorent pas, je vis en Occitanie. Vous êtes donc a priori assez mal engagés si vous souhaitez lire un article objectif. Je vais néanmoins m’efforcer de respecter la déontologie et de ne pas épargner celle qui n’est ni plus ni moins que ma Madeleine. 
Disons-le d’entrée : on est mal. Enfin… vous êtes mal. La dernière de Pigozzi Ce ne sont pas les Simca 1000 qui manquent, il y en a eu près d’1 700 000. Mais nos exigences, souvent draconiennes, quelquefois atypiques, n’ont pas facilité la sélection. Car il fallait bien choisir un exemplaire pour illustrer le dossier que voici. L’heureuse élue fut donc la 1000 de Michel Salvetat, un modèle 1965 assemblé fin 1964 et vendu en janvier 1965 aux parents de l’actuel propriétaire. L’historique limpide de ce véhicule a donc prévalu, ainsi que son statut de “première série” avec le tableau de bord à petit cadran en saillie. Laquée couleur bleu Montreux, 
cette élégante Simca 1000 incarne la philosophie de celui qui a souhaité son existence : Henri Pigozzi lui-même. La 1000 est, rappelons-le, la dernière Simca conçue du vivant du fondateur de la marque. Ironie de l’histoire, l’auto de Michel est sortie des chaînes le 16 novembre 1964, soit deux jours avant le décès de Pigozzi. Dans son strict état d’usage, cette voiture n’a reçu, pour toutes modifications, qu’un voile de peinture au début des années 80 suite à un choc latéral, ainsi qu’un lave-glace électrique nettement plus efficace que le poussoir en caoutchouc d’origine. 
N’oublions pas le montage, par le jeune homme qu’était Michel à l’époque, d’un volant sport de coupé et d’un compte-tours. Il faut bien que jeunesse se passe ! Tout ceci est réversible, mais dans la mesure où ces accessoires font partie du parcours familial de l’auto, les laisser en place a du sens. Une auto au charme fou Un peu maladroitement posée sur ses roulettes de douze pouces, toutes les quatre dotées d’un carrossage positif qui accentue l’impression d’instabilité, cette petite 1000 est nettement plus attendrissante que les modèles post-67, ceux équipés des nouvelles suspensions et des feux arrière trapézoïdaux. 
Avec ses petits yeux tout ronds, ses feux façon camembert et son cadran de compteur typique des sixties, cette Simca dégage un charme fou. A ses côtés, une Dauphine fait figure d’antiquité. La R8, en revanche, lui oppose une ligne “trois boîtes” tout aussi charmeuse, ainsi que des avancées techniques qui feront toujours défaut à la 1000, à commencer par les quatre freins à disques. A l’intérieur de la Simca 1000, c’est le dépouillement qui prédomine. 
Sans être spartiate, la Pisciacaise affiche une élégante sobriété. Sa planche de bord épurée, ainsi que la sellerie mixte tissu côtelé bleu façon velours et simili blanc, contribuent à la sensation de quiétude qui règne à bord. Ce monde de douceur implose dans la seconde lorsque l’on met le moteur en route… Moderne avec sa culasse à flux croisés et son vilebrequin à cinq paliers, ce dernier est en revanche un peu… beaucoup bruyant. Même correctement réglés, ses culbuteurs ne peuvent s’empêcher de nous casser les oreilles. Ce bruit restera l’une des caractéristiques principales des voitures de la marque jusqu’à sa disparition, en 1986. 
Source : GAZOLINE- Hugues Chaussin-Tots Prod

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samedi 12 juillet 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE SUR LA 36ème TOUR DE L'AUDE - QUELQUES NOUVELLES SUR LA PREMIERE JOURNEE DU RALLYE....

 

Source : lindependant.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - LE 36ème TOUR DE L'AUDE DU CLUB 5A CARCASSONNE - LE JOUR D'AVANT ...

 

Le 36éme Tour de l’Aude …du 11 au 15 juillet 2025 c’est « LE » grand événement de l’année pour le club des 5A Carcassonne ! Pour les participants le programme proposé par le « STAF » de ce rallye ne sera pas de tout repos de plus, il faudra compter avec la chaleur et peut être une météo orageuse…et oui nous sommes dans le sud donc l’ambiance sera chaude ! 
La veille du jour « J », il est important pour les organisateurs de recevoir et accueillir véritablement d’une manière conviviale chaque équipage (53 voitures pour 110 participants) et de vérifier à ce chacun de manque de rien et que les véhicules soient sécurisés sur le parking de l’établissement hôtelier qui devient notre partenaire tous les ans à la même période. 

 Ce rallye, cette année, partira sur les routes des pyrènes et l’ensemble des bénévoles de l’association du club 5A est fier d’accueillir les pilotes et copilotes et de répondre aux interrogations ou questions que pourraient se poser sur le déroulement de ces 5 jours. 
Vous le savez la préparation d’une épreuve comme le Tour de l’Aude qui réunit un plateau prestigieux de voitures d’exception qui à ce jour a une réputation dépassant les frontières de l’hexagone, ce rallye qui chaque année accueille entre 50 et 70 voitures suivant les millésimes se prépare pratiquement une année à l’avance et chaque détail est revu et voir corrigé si cela ne conviendrait pas à l’esprit du rallye..
Deux personnes sont aux manettes et maîtrise d’une main de maitre l’organisation, j’ai nommé Jean Guilhaumon et Régis Arnaud un duo complémentaire et sans failles qui travaillent pour que chacun trouve du plaisir à effectuer ces belles balades dans les meilleurs conditions possibles et sans prise de tète..

Le maître mot pour ce rallye est : Prenez du plaisir ! 
Bien sur, derrière le décor, vous avez toutes les petites mains …les invisibles de l’association qui œuvrent et qui sans ces bénévoles rien ne seraient possibles ! 
Nous souhaitons à tous les participants un excellent rallye, prenez du plaisir sur les routes du sud de la France où vous trouverez des paysages somptueux, nous vous donnons rendez-vous comme à l’accoutumée au château de CAVAGNAC pour le repas de clôture et le final de cet événement !
PL

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - JEAN-PIERRE TOUJOUR PARTANT POUR UNE SORTIE ...

 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - PLUS DURE SERA LA CHUTE !

 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Dis-moi dans quelle voiture tu roules, je te dirai où tu vis...

 

Selon une étude de CapCar, il existe de grandes disparités d’achat de véhicules d’occasion suivant les régions. En matière d’automobiles et plus particulièrement de véhicules d’occasion, toutes les régions de France ne sont pas logées à la même enseigne. C’est ce qui ressort d’une étude réalisée par CapCar, une plateforme d’intermédiation automobile, auprès d’un panel de 5321 véhicules d’occasion vendus entre l'année dernière  et cette année. Dans la quasi-totalité des régions, la Renault Clio et les Peugeot 208 et 308 figurent sur le podium des modèles les plus plébiscités par les Français. 
Il est assez semblable aux immatriculations de voitures neuves. Les deux citadines se disputent la première place des ventes alors que la Peugeot 308 de troisième génération pointait au 12e rang. Du nord au sud Reste que leur position sur le podium varie suivant la région. 
La citadine sochalienne monte à quatre reprises sur la plus haute marche du podium : Auvergne-Rhône-Alpes, Hauts-de-France, Occitanie, Provence-Alpes-Côte d’Azur. La Renault Clio suit avec trois régions : Île-de-France, Grand Est et Normandie. La Peugeot 308 arrive aussi en tête dans trois régions : Centre-Val de Loire,Nouvelle-Aquitaine et Pays de la Loire. Il est à noter que la Citroën C3 n’entre dans le top 3 qu’en Bretagne pour s’installer sur la plus haute marche. Par ailleurs, la Peugeot 2008 intègre le top 3 à quatre reprises. 
Plus que les modèles, le clivage s’opère par la transmission et la motorisation. La première fracture concerne la boîte de vitesses. Selon que l’on habite au Nord ou au sud de la Loire, les automobilistes ne choisissent pas la même transmission. La boîte automatique, qui a mis du temps à s’imposer, devient de plus en plus répandue. Il faut dire qu’elle devient de plus en plus un équipement de série des voitures modernes. En Île-de-France, 51,1 % des véhicules vendus via Cap Car sont désormais équipés de la boîte automatique. 
Un choix technique et de confort qui s’explique par une surreprésentation des parcours urbains et l’importance du trafic et des embouteillages. A contrario, dans les Hauts-de-France, le Grand Est et en Occitanie, la boîte manuelle reste dominante, représentant environ 60 % des achats. L’abandon de la ZFE va-t-il rebattre les cartes ? 
En matière de motorisations, les disparités sont aussi importantes. Alors qu’il ne représentait plus que 4,7 % du mix des immatriculations de voitures neuves, le diesel est encore plébiscité dans certaines régions, principalement rurales. Sa sobriété autorisant des autonomies élevées et son tarif bas séduisent encore de nombreux automobilistes au budget contraint. 
De même, l’abandon du dispositif des ZFE pourrait rebattre les cartes et lui redonner un certain attrait. C’est dans les Hauts-de-France, en Nouvelle-Aquitaine et dans le Grand Est que le diesel réalise des scores de plus de 40 %. Par contre, ses ventes sont tombées à moins de 22 % en Île-de-France. En corollaire, les motorisations hybrides sont surreprésentées dans les régions à fort pouvoir d’achat, la Provence-Alpes-Côte d’Azur et l’Île-de-France. 
 Enfin, la motorisation électrique reste encore très minoritaire sur l’ensemble du territoire, représentant seulement 4,2 % des transactions via CapCar. Seule exception notable : le Pays de Loire où la part de marché est deux fois plus élevée (9,2 %) que celle de la moyenne nationale. Un engouement qui s’explique par un maillage urbain de bornes de recharge important, un pouvoir d’achat supérieur à la moyenne et une population plus sensibilisée aux enjeux d’environnement et de développement durable. Enfin, c’est dans la région Auvergne-Rhône-Alpes que les Français achètent les voitures d’occasion les plus chères, en moyenne 15 900 euros. À l’inverse, en Bourgogne-Franche-Comté et en Normandie, le prix moyen n’excède pas 12.000 euros. 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - Stella de Renault ou l'invention de la griffe haut de gamme !!

Aujourd’hui, Renault fait partie des constructeurs généralistes. Mais il n’en a pas toujours été ainsi. Avant la Deuxième Guerre Mondiale, la marque au losange produisait des modèles ultra luxueux. Mieux, elle a même inventé le concept griffe haut de gamme avec les Stella et Reinastella . 
La Reinastella, présentée pour la 1re fois au Salon de Paris 1929, est une automobile de luxe qui fut fabriquée par Renault. Elle adopte un 8 cylindres en ligne (une première pour Renault) de 7,1 litres de cylindrée. Nouveau modèle de haut de gamme auquel revient la lourde tâche de succéder à la prestigieuse 40 CV abandonnée quelques mois plus tôt. La 40 CV n'avait jamais brillé par une mécanique originale ou élaborée, mais son énorme cylindrée l'avait dotée de performance flatteuse et son châssis se prêtait bien à l'établissement de carrosseries somptueuses. 
Grâce à cela, la 40 CV avait incontestablement une auréole de gloire, et sa remplaçante - la Reinastella - ne peut se permettre de décevoir une clientèle à juste titre exigeante (n'oublions pas que la 40 CV et la Reinastella évoluent dans des zones de prix astronomiques…). Elle sera d'ailleurs elle aussi la voiture officielle du président de la république Française. 
La Reinastella est la première 8 cylindres fabriquée à Billancourt, mais sa cylindrée se limite à 7,1 litres (contre 9,1 litres pour la 40 CV). Ce nouveau moteur 8 cylindres dispose d'un vilebrequin à 9 paliers et d'un carburateur double corps. La suspension arrière reprend la formule mise récemment au point par Renault (deux ressorts obliques cantiveler complétés par un ressort à lames transversales). La boîte de vitesses comporte seulement 3 rapports, comme celle de la Vivastella et des autres Renault 1929.
 Source : Matthieu Turel - CarPubInsider-WKPDIA