ASSOCIATION AUDOISE DES AMATEURS D'AUTOMOBILES ANCIENNES BP 563 11009 CARCASSONNE CEDEX
- ASSOCIATION LOI 1901 -
secretariat.5aclub@gmail.com / club5ablog@gmail.com
5 morts dans l'accident d'hélicoptère de Thierry Sabine et Daniel Balavoine
Cinq morts dans l'accident de l'hélicoptère de Thierry SABINE pendant le Paris-Dakar : Thierry SABINE, l'organisateur du rallye, Daniel BALAVOINE, chanteur en mission humanitaire, Nathaly ODENT, journaliste au Journal du dimanche, François Xavier BAGNOUD, pilote, et Jean-Paul LEFUR, technicien radio.
De Niamey, Jean-Louis CALMEJANE et Patrick CHÊNE font le point : le lieu de l'accident, Gourma Rharous, situé au Mali, est actuellement coupé des médias. L'accident n'a été rendu public que le lendemain du drame. Images des journalistes à Gao, qui découvrent la gravité de la situation. Annonce de l'accident par Patrick VERDOY, directeur de la course. Source : BALAMED
Roland Brown chevauche la Flying Millyard construite à la main, une création folle mais merveilleuse avec une vraie saveur rétro.
Il est propulsé par un gigantesque moteur bicylindre en V de 5,0 litres conçu pour un avion. Il ressemble à un Chitty Chitty Bang Bang à deux roues et a été construit dans un garage de banlieue de Berkshire. Pourtant, lorsque Allen Millyard a présenté sa Flying Millyard parmi les supercars au salon Privé de Londres, elle a remportée la rare distinction de remporter deux prix. La monter est une expérience unique. En tant que Flying Millyard, du nom des Flying Merkels qui figuraient parmi les meilleures motos V-twin américaines il y a un siècle, remue doucement le long d'une petite route, je pourrais presque être à bord d'un vélo restauré du même millésime. Sauf que cette machine récemment construite est si grosse qu'elle ressemble presque à une maquette à une échelle et demie.
Mes bras sont écartés de large pour saisir un guidon de style barre et à côté de l'énorme réservoir marron se trouve un levier pour la boîte de vitesses à changement de main. Je suis assis sur la roue arrière, sautillant doucement sur la selle de la moto et appréciant les longues jambes d'un moteur qui tourne à un peu plus de 500 tours.
Il n’est pas surprenant que le moteur des années 30 se sente sous-stress, car il était à l’origine destiné à des choses plus élevées, comme le Lockheed Electra dans lequel Amelia Earhart a effectué son dernier vol.
Les énormes cylindres Pratt & Witney Wasp à refroidissement par air ont commencé à faire partie d’une centrale aérodynamique radiale à neuf cylindres, avant que l’ancien ingénieur du ministère de la Défense, Millyard, ne les achète pour seulement 100 £.
Millyard est loin d’être novice dans la construction de motos inhabituelles. Il est bien connu pour avoir créé une moto de 8,0 litres utilisant un moteur V10 d'une voiture de sport Dodge Viper. «Tu peux faire mieux que ça, papa», a déclaré son fils Stephen du concept-bike Voma Tomahawk de Dodge.
L’ouvrage résultant de Millyard a été chronométré à 207 mph et a contourné le parcours TT de l’île de Man.
Plus tôt, Millyard avait fabriqué une Honda SS100 V-twin, avec deux moteurs de cyclomoteur de 50cc sur un carter commun.
Ses Kawasaki V8 de 1 600 kg et 2 K 600 de V12, inspirées des classiques Z1000 quatre et Z1300 six, sont exposées au Barber Museum en Alabama, avec l'un des vélos à quatre et cinq cylindres qu'il a construits à partir des triples à deux temps de Kawasaki .
Millyard a créé le moteur de 4 894 cm3 en boulonnant les cylindres de la guêpe aux carters qu'il a conçus et conçus par la société qui attribue les prix Bafta. Son but était de créer un vélo avec un look et une sensation vintage, pour contraster avec la brutale Viper. «Je ne l'ai pas construit avec pour objectif la performance, mais pour le piloter sereinement, regarder le monde défiler et faire sonner le klaxon de temps en temps», dit-il.
Ce cor est un véritable article du roi de la route des années 20, mais d’autres pièces d’aspect classique, telles que la suspension avant à poutres, le réservoir de carburant et le système d’échappement avec son silencieux en «queue de poisson» ont été façonnées à la main.
Une variété de composants fournis de véhicules: la boîte de vitesses combine des pièces de vieilles voitures MG et Morris; l'embrayage provient d'une Honda Pan European; les deux pompes à huile de Honda Fireblades; les freins à tambour de Kawasaki classiques; le phare d'un BSA Gold Star.
Pour donner vie à cette gentil moto géante , il faut un saut déterminé sur le coup de pied amovible. Le moteur démarre avec une bouffée de fumée et un léger battement lent de l'échappement. La puissance maximale est d'environ 80bhp, modeste pour une telle masse énorme. Le retour sur investissement est un couple généreux à toutes les vitesses.
Ce qui est tout aussi bien, car la boîte de vitesses est un dispositif «crash» à l'ancienne, et utiliser le levier de la main droite serait déroutant, même si je n'avais pas également besoin de régler le mélange de carburant et l'avance à l'allumage.
Mais tout cela est très engageant et amusant, voire relaxant à distance.
Et une fois dans la vitesse supérieure, la moto nécessite à peine un changement, même pour négocier des ronds-points. La maniabilité et le freinage, bien qu'ils soient loin des standards modernes, sont à la hauteur pour un vélo haut et lourd qui roule paresseusement à 50 mph et a une vitesse de pointe, pense son propriétaire, d'environ 100 mph.
Millyard a apprécié la conduite cet été et passera bientôt un peu de temps à peaufiner son carburateur, mais il pense déjà à son prochain projet. «J'aime l'idée de fabriquer un autre petit vélo et j'adore ces minuscules coureurs multicylindres que Honda avait dans les années soixante», dit-il, les yeux brillants. Source : Allen Millyard- telegraph.co.uk
Alpine A110 : la bleue de France
Voici L’Alpine, avec un grand L et avec un grand A. Une auto d’origine modeste qui résume le parcours d’une des marques françaises les plus adulées de tous les temps. L’A110, la berlinette, la « Tour de France », est bien plus qu’une petite bagnole. C’est un mythe en bleu, blanc, rouge. Elles étaient faites l’une pour l’autre. Il y a presque 40 ans, Colette et la berlinette ont eu un coup de foudre.
L’une aimait conduire, l’autre se faire conduire, vite de préférence. L’une et l’autre étaient gracieuses, élégantes. Elles le sont restées. L’idée de réunir ces deux compagnes d’antan, nous la devons à l’équipe du musée national de l’automobile, à Mulhouse.
Un jour où je flânais dans l’atelier de restauration attenant, j’y ai découvert cette petite Alpine, modestement garée sur le côté, comme pour ne pas troubler la sieste des majestueuses Bugatti en attente de bons soins. Toute fraîche, la berlinette sortait de restauration et je l’ai, dans l’instant, trouvée à mon goût sans même savoir de quelle version il pouvait s’agir. Les Alpine me tapent toujours dans l’œil, mais rares sont celles autour desquelles je m’attarde.
D’une part, parce qu’il n’est pas si exceptionnel d’en croiser, d’autre part parce qu’elles sont rarement conformes à l’origine et souvent “bricolées”. Savez-vous ce que j’observe en premier sur une voiture ? Ce sont ses pneus, un détail très souvent négligé, qui renseigne avec une bonne fiabilité sur le soin qui a guidé la restauration. Cette A110 est équipée de “ses” Michelin XAS en 165 HR 13, des enveloppes à nouveau manufacturées dont le seul défaut est d’être très chères, mais qui collent d’une part à la route, d’autre part à la peau de cette berlinette. Source : Hugues Chaussin/GAZOLINE
A l’aube des années 70, Citroën surfe toujours sur le succès de la DS. La marque française profite de sa réputation de confort et de tenue de route, acquise grâce à la traction avant, mais aussi grâce à une série d’innovations, à commencer par la suspension pneumatique. Côté moteurs, c’est plus compliqué. Alors au moment où la marque sort sa GS, une compacte destinée à élargir la clientèle avec un milieu de gamme, Citroën veut frapper un grand coup.
Au début des années 70, il est urgent pour Citroën de développer sa gamme. Entre les populaires 2CV et AMI 8, et les prestigieuses DS, il y a un énorme gouffre dans le catalogue de la marque. Il faut absolument sortir une berline moyenne, apte à séduire les familles françaises des années 70.
Plusieurs solutions sont envisagées, à base d’AMI 8 modifiées, de moteurs à plat, rotatifs, diesel, avec ou sans suspensions hydrauliques. Les Chevrons sont tiraillés entre faire une grosse 2CV ou une petite DS, pour finalement faire une AMI revue sous le nom “Projet F”.
Alors que plusieurs dizaines de modèles sont déjà produits, le patron de Citroën Pierre Bercot décide de tout abandonner. Il faut trancher et cette berline moyenne sera une toute nouvelle voiture, le projet G.
Un moteur pour la GS
En septembre 1970, les premières GS sont produites. Elles sont modernes, tiennent merveilleusement bien la route et offrent un confort au-dessus de la concurrence.
Mais les ingénieurs de Citroën sont conscients qu’il manque un “vrai” moteur à la voiture.
Quelques années auparavant, en découvrant le moteur rotatif imaginé par Félix Wankel, Pierre Bercot, PDG de Citroën, voit une solution parfaite.
Non seulement, ce moteur pourrait coiffer la gamme en offrant davantage de puissance, mais cette technologie innovante pourrait consolider l’image innovante de Citroën.
Une coopération NSU-Citroën avortée
Le moteur rotatif, est également appelé moteur Wankel, du nom de Félix Wankel, qui le premier en fera un moteur de série.
Embauché par la firme allemande NSU, il va développer ce moteur, supérieur en bien des points, au moteur classique.
Un accord est alors conclu avec Citroën, avec la création de la société Comobil, basée à Genève. Trois ans plus tard, c’est la Comotor qui est créée, visant à produire un moteur rotatif français.
Des projets qui vont connaître un coup d’arrêt brutal avec le rachat de NSU par Volkswagen. Si Citroën veut son moteur rotatif, elle devra le faire elle-même.
Citroën persiste
Pierre Bercot et les hommes du bureau d’études de Citroën ne se découragent pas et décident de se débrouiller seuls. La marque va utiliser ses clients comme testeurs ! La M35, un coupé sur base d’AMI 8, va embarquer un moteur rotatif monorotor de
995 cc développant 50 chevaux.
Les voitures sont vendues plus cher que les DS, mais bénéficient d’un service poussé et d’une garantie illimitée.
Mais l’opération est un échec, les clients ne veulent pas servir de cobayes. Les 500 exemplaires prévus se transforment en 267 véhicules vendus.
Personne ne veut de ces moteurs rotatifs, le coût de développement et de production est trop élevé, mais ce n’est pas tout. Le moteur rotatif se montre très fragile et consomme comme un Concorde. Pourtant, chez Citroën on y croit et on va sortir cette GS Birotor.
Mauvais timing
Alors que la GS est affichée à 15 400 F, la Birotor est vendue 25 000 F, soit le prix d’une DS 23 Pallas, le haut de gamme de la marque.
Autant dire qu’à ce tarif, les clients ne se bousculent pas devant les concessions Citroën.
Mais les chevrons vont également jouer de malchance. La crise pétrolière de 1973, qui entraîne une flambée des prix de l’essence, va porter le coup de grâce à cette GS Birotor.
Le timing est particulièrement malchanceux. Alors que la GS Birotor est dévoilée au Salon de Francfort en septembre 1973, la crise pétrolière éclate, à peine deux mois plus tard, en plein Salon de Paris !
Un salon où on découvre que cette GS sera classée dans la catégorie fiscale des 11 CV, avec à la clé, les taxes qui vont avec. Au moment de sa sortie, la GS Birotor n’a qu’un argument, sa vitesse de pointe de 175 km/h. Mais cela n'intéresse plus personne.
Citroën va mal
Chez Citroën aussi, il y a plus urgent. Le lancement tardif de la GS, le rachat de Maserati, l’échec de la SM, sont beaucoup de problèmes à avaler. En 1974, la marque présente un bilan affichant une perte d’un milliard de francs.
Michelin, actionnaire principal, décide de se débarrasser de cet encombrant boulet. Peugeot, très fortement incité par l’Etat, va se porter acquéreur. L’heure est aux économies. Maserati est revendue, toutes les branches déficitaires sont fermées.
Avec seulement 847 exemplaires produits, le moteur Wankel est évidemment abandonné. Mais Citroën n’en a pas terminé avec ces modèles…
Il faut faire disparaître les GS Birotor
Sur ces 847 modèles, seul un tiers ont été vendus. Les autres s’entassent depuis des mois sous la pluie du parking de l’usine de Rennes, faute de clients. C
itroën décide dans un premier temps, d’en offrir à des concessionnaires méritants, contre la promesse de la garder pour eux, et l’interdiction de la revendre. Il faut avouer que le service après-vente de Citroën est déjà bien occupé par les rares modèles en circulation.
En 1977, la direction de PSA propose aux propriétaires de GS Birotor de faire reprendre leur véhicule, à des conditions avantageuses, pour l’achat d’une CX.
Une fois reprises, les GS seront détruites par le constructeur. On estime qu’il resteune cinquantaine de GS Birotor en circulation aujourd’hui.
La Fiat 508 Balilla est une automobile construite par le constructeur italien Fiat au cours des années 1930 qui contribua fortement à la motorisation des classes moyennes du pays.
La Fiat Balilla a représenté, aux yeux des italiens de cette époque, un « objet de désir ». Son succès est à attribuer à une décision très courageuse du constructeur italien de lancer cette voiture en une période peu faste et surtout à la qualité du travail de ses concepteurs, qui réalisèrent une automobile moyenne avec des prestations de classe supérieure et dont le coût d'utilisation était très modique.
Le projet est l'œuvre de différentes figures illustres de ces années comme les ingénieurs : Nebbia, Fessia, Giacosa et Zerbi qui créèrent une voiture de classe mais avec des coûts raisonnables. Le nouveau modèle sera présenté à la Foire de Milan le 12 avril 1932 au cours du Salon de l'automobile.
La Fiat 508 Balilla, dans sa première version, se caractérisait par une boîte de vitesses à trois rapports. Elle était équipée d'un moteur essence Fiat type 108 monté à l'avant, un quatre-cylindres en ligne de 995 cm3 développant 20 ch à 3 500 tr/min, équipée de freins à tambour sur les quatre roues, elle dépassait 80 km/h en vitesse maximale.
Cette première version fut remplacée deux ans plus tard par la Fiat 508 Balilla seconde série, disposant d'une boîte à quatre vitesses et d'une nouvelle carrosserie plus aérodynamique à deux ou quatre portes.
La production entre 1932 et 1937 atteint 170 176 exemplaires, un véritable exploit à cette époque.
Beaucoup croient que ce surnom lui a été attribué à cause du fascisme en Italie. Ce n'est pas exact, le terme « Balilla » ne trouve pas son origine durant l'époque fasciste mais, au contraire, a été réutilisé durant cette période. En réalité « Balilla » était le surnom de Giovanni Battista Perasso qui, en 1746 à Gènes lança un caillou contre un officier autrichien pour se rebeller contre l'invasion autrichienne de la région.
La Fiat 508 n'a pas été le premier produit à porter ce surnom. Précédemment on compte un l'avion Fiat A1, un tracteur agricole Motomeccanica ainsi qu'une série de sous-marins de la marine du Roi d'Italie.
La Fiat 508 (version 1) a servi de modèle au dessinateur Franquin pour la voiture de son héros Gaston Lagaffe, dans une version imaginaire jaune à damiers noirs et blancs, voiture décrite comme un véritable tacot crachant et toujours en panne...
Une polémique existe cependant, d'autres préférant voir dans la Fiat 509 l'inspiration de Franquin, les deux modèles étant il est vrai très proches.
Grâce à sa fabrication en grande série, le prix de vente de la voiture était très compétitif, seulement 10 800 lires (mais qui équivalaient à un an de salaire de l'ouvrier Fiat), contre les 18 500 lires de l'époque, pour la Fiat 509 qu'elle remplaçait. Le nombre d'exemplaires produits chaque jour par Fiat à Turin dans la nouvelle usine du Lingotto, sans compter les fabrications à l'étranger, était supérieur à la production des modèles étrangers concurrents par semaine.
La Balilla fut produite de 1932 à 1937 en deux séries :
La première disposait d'une carrosserie traditionnelle, dans la lignée de la Fiat 509 qu'elle remplaçait. Elle disposait d'une boîte de vitesses à trois rapports, ce qui fut son appellation distinctive avec la seconde série.
La seconde série disposait d'une carrosserie plus aérodynamique et d'une boîte de vitesses à quatre rapports.
Les deux séries ont donné une large gamme qui comprenait les versions : berline, spider, torpédo, militaire coloniale, sport spider et berlinette Mille Miglia. De très nombreux carrossiers, comme c'était la grande mode à l'époque, habillèrent les châssis nus produits par l'usine à leur intention. On peut citer les principaux Garavini, Savio, Balbo, Bertone, Casaro et Ghia. Source : WKPDIA/CC-BY-SA-3.0 - passion auto sport du var
Volkswagen 1600 Variant : Volkswagen fait ses gammes
En 1961, avec la Typ3, Wolfsburg passe de la monoculture basée sur la Coccinelle à une vraie gamme. Décliné en berline tricorps, bicorps, cabriolet, break et fourgonnette, ce modèle conserve l’implantation mécanique fétiche de la marque, tout en affichant une image plus moderne.
Oubliée en collection car coincée entre les deux monstres sacrés que sont la Coccinelle et la Golf, elle a pourtant été produite à près de trois millions d’exemplaires durant 20 ans, et sur deux continents. Cette Variant, première Volkswagen à présenter cette carrosserie, est un véhicule décalé, intelligent et surprenant.
Après la Typ1, la Coccinelle, et le Typ2, sans doute l’utilitaire le plus iconique du monde, Volkswagen lance sa Typ3 au Salon de Francfort de septembre 1961. Bien entendu, ces dénominations, qui permettent juste de regrouper les modèles de façon cohérente, n’apparaissent jamais sur le capot des voitures. La Typ3 est donc officiellement présentée comme VW 1500/1600, mais dans la mesure où il a existé des Coccinelle de cette cylindrée, il est souvent nécessaire d’utiliser ce code-usine évoquant un peu les E ou W suivis d’un chiffre des BMW et autres Mercedes.
L’histoire de la Typ3 est aussi celle (avec la Typ4 qui l’épaulera en haut de gamme en 1968) de la très longue transition entre la Coccinelle et les traction avant qui, à partir de l’éphémère K70 de 1971, puis des Passat, Scirocco et Golf, donneront un coup de jeune à l’image de la marque, lui assurant du même coup un avenir. Et quel avenir! Source : GAZOLINE / Marco Visani
Pour la balade à moto du 22 juin 2025 vers Termes, le départ a été donné de façon très traditionnelle.
Régis et Alain sont en charge de valider les inscriptions...
Pour cette excursion à moto, aucun restaurant ne sera prévu, car comme le suggère son nom : c'est l'excursion pique-nique !
Ainsi, nous allons tous manger de façon très conviviale en mode « PLEIN-AIR », idéal pour les motards à la recherche d'authenticité.
28 motocyclistes (dont 2 femmes) étaient présents au départ, venus de tous les coins de Carcassonne et même au-delà du département.
Les amateurs de motocyclisme de la section moto du club 5A étaient présents en ce dimanche matin.
En ce qui concerne la restauration, tout comme lors de chaque excursion, Régis et Alain avaient soigneusement organisé le repas qui a eu lieu sous la tonnelle « municipale de Termes », veillant à ce que personne ne soit en reste et favorisant une atmosphère très conviviale.
Comme d'habitude, le départ a été fixé à 9 h devant le café du Dôme, en direction de Cazilhac, Villefloure, Ladern et Greiffeil (pause café).
Ensuite, nous avons poursuivi notre route vers Vignevieille et le point final, qui était prévu à Termes pour le déjeuner à midi.
(En raison de la chaleur, les organisateurs ont opté pour la réduction du parcours.)
La température était à la hauteur d'un véritable mois de juin, à savoir : très chaude et accompagnée d'un ciel ensoleillé.
À 13h30, le petit groupe a repris la route en passant par les villages de Félines et Lagrasse, avec une pause pour se désaltérer.
Une journée extrêmement réussie grâce à une organisation impeccable, avec seulement trois incidents à signaler :
-Moto Dollar : bride de culbuteur défaillant.
-Money –Goyon problème d’allumage…sans parler d’une crevaison.
Encore une fois, merci à nos organisateurs dévoués : Régis, Alain et Bernard...
Texte : Bernard Ricard - Photos Régis Périch – Lorette et Bernard RICARD
Moto "Blériot 500 STD" de 1920, à moteur bicylindre 4 temps
La moto bleue que Bruno Caillou présentait pendant le meeting de la Ferté-alais 2007 est une "Blériot 500 Standard" de 1920, à moteur bicylindre 4 temps. Elle a été restaurée avec son frère Jean, pour le compte de son propriétaire M. Louis Bleriot, le petit-fils de l'aviateur.
Après la guerre, comme beaucoup d'autres avionneurs, Bleriot s'était en effet diversifié en construisant des meubles, des chalutiers, et... des motos .
La production qui dura de 1920 à 1922 fut faible, mais il obtint tout de même une commande importante de la préfecture de police de Paris (avec des side-car).
Source : alainus1948 / pbase.com