dimanche 25 mai 2025

CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION AUTO - RESTAURER UNE VOITURE ANCIENNE...


Les fins de semaine, dans le garage de la famille Blais à Hanmer, Mélanie et son père travaillent à restaurer une vieille voiture de marque Pontiac Beaumont 1967.   
Retaper une voiture ancienne est un rêve pour la plupart des passionnés de l’automobile. Cependant, la restauration d’une voiture ancienne est une véritable aventure qui exige beaucoup de temps, de travail, de patience, mais aussi de l’argent. Un projet de cette envergure peut prendre des mois, voire des années, selon l’état de vos finances et le temps que vous pouvez y consacrer. 
On conseille de prévoir un budget supérieur en cas d’imprévu, car un petit souci sur votre voiture peut vite devenir bien plus compliqué et couteux. Ne sous-estimez pas non plus les heures que vous allez passer sous le capot. En effet, on ne compte plus le nombre de propriétaires ayant jeté l’éponge au bout de quelques mois. 
Restaurer une voiture de collection est un travail long et minutieux. On compte en général 500 heures de travail avec un budget pouvant aller jusqu’à 40 000 €. 
Restaurer une voiture de collection est un véritable travail d’amour et, pour le faire bien, il faut du temps, de la patience, des connaissances et, bien entendu, un garage ou un atelier assez grand pour y effectuer les réparations nécessaires. Mais pour les amoureux de voitures, ce dur labeur en vaut la chandelle et cela pourrait vous permettre de faire un joli profit si vous avez prévu de vendre la voiture.
 Les voitures anciennes dans leur état d’origine sont onéreuses à acheter. C’est pour cette raison que de plus en plus d’automobilistes passionnés se tournent vers la restauration de vieilles voitures pour enfin posséder la voiture de leurs rêves, et certains d’entre eux consacrent des milliers d’heures à redonner vie à de vieux véhicules fatigués. 
Source : Une reportage d'Éric Bachand / TFO 24.7-lacub.com/

CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - Essai d’une Citroën SM, une GT avec une vraie identité

 

C’est ce qui s’appelle tourner autour du pot… J’ai commencé avec une SM 3L d’origine US, j’ai poursuivi avec le restomod SM2 puis avec la SM Diesel Regembeau. Résultat, je n’avais jamais essayé de Citroën SM « classique ». Un seul petit galop d’essai mais pas de vraie prise en main et c’est vrai que la GT aux chevrons le mérite pourtant. C’est maintenant chose faite et ça va permettre de remettre pas mal de choses en perspective. Oui, certains ont fait évoluer la SM. Mais est-ce que la version originelle ne suffit pas pour avoir une auto vraiment à part entre les mains ? 
Notre Citroën SM du jour En voyant les photos qui illustrent cet article, quelqu’un m’a dit « oh, c’est pas beau ». D’autres, au contraire, mettent la Citroën SM sur un piédestal, la considèrent comme une réussite totale au niveau de son design. Au delà de la beauté du dessin, réussir à faire naître de tels sentiments à l’égard de la ligne d’une voiture est déjà une réussite dans une époque où le design tend à s’uniformiser autour de lignes massives aux traits tendus dont les « signatures lumineuses » sont aussi importantes que le dessin de telle ou telle partie de l’auto. En tout cas, même au niveau des proportions, la Citroën SM est une voiture qui possède sa propre identité. Elle est connue, certes, mais surtout elle possède des traits qui n’ont jamais été copiés et des proportions qui permettent de la reconnaître de très loin. 
Ce qui est d’autant plus impressionnant c’est que, finalement, la Citroën SM ne se contente pas d’une forme particulière mais en est une addition. Robert Opron et son équipe ont été inspirés au moment de sortir cette voiture. Pour certains, le travail effectué au moment du lifting de la DS était déjà futuriste, on se demande quelle a été leur réaction au moment de découvrir l’avant de la SM. L’avant est caractérisé par cette bande vitrée. Le résultat est bien meilleur sur cette version originale que sur la version US qui ne pouvait utiliser les vitrages sur les phares. En soi, ce n’est pas si novateur. Par contre, le fait d’intégrer la plaque au milieu, là, on tient quelque chose. Cette bande relègue d’ailleurs la calandre au second plan… en tout cas sous le plan médian de cet avant, sous le pare-chocs. Le tout forme une double pointe, dans les deux sens. C’est réalisé sans fioritures et si ça paraît commun c’est parce qu’on a déjà vu des Citroën SM. 
À l’époque, on était loin des calandre classiques des autres GT. L’impression est renforcée parce que cet avant est bien mis en avant avec un porte-à-faux important et parce que le capot est lisse, sans même qu’un semblant d’aile ne naisse et ne laissant pour tout relief qu’une aération frappée des chevrons. Le profil est tout aussi intéressant. Il s’apprécie bien mieux avec une Citroën SM « au repos », en position basse. Le porte-à-faux avant paraît moins important puisque celui de l’arrière est plus grand. On ajoute quelques particularités à cette ligne. Déjà, sa pureté puisque les lignes de caisse sont élégantes et qu’aucun ornement, hormis la poignée de porte, ne vient les briser. Il faut chercher au coin de la vitre de custode pour voir le monogramme Citroën SM. La roue avant est bien visible mais la roue arrière paraît disparaître, renforçant le côté vaisseau spatial de la grande GT. On note ici une différence avec SM2 qui passe au 17″, mais c’est surtout pour des raisons de performance (et trouver des pneus sportifs). 
On ajoute aussi un beau travail sur les formes, notamment la grande porte qui descend jusqu’en bas, ne laissant pas de place à un bas de caisse. Enfin, on passe à l’arrière. Sa ligne semble plus brutale avec sa ligne tronquée (un vrai exemple de kammback) éloigné de ce que proposait la DS mais plus proche de ce que venait d’introduire la GS. Il montre aussi la signature de Robert Opron avec ce hayon en forme de bulle, qui revient légèrement sur les côtés. L’autre particularité viendra du semblant de becquet qui s’installe au centre du hayon, souligné de l’arrière par une bande chromée. Les deux pots d’échappement montrent bien qu’on a pas affaire à n’importe quelle voiture dotée de n’importe quelle motorisation. Le pare-chocs ? Il est étroit et souligne à peine les feux. En bref ? La Citroën SM, on a l’impression de la connaître mais on redécouvre sa ligne et ses particularités à chaque fois qu’on a l’occasion de s’y attarder. 
Et cela renforce généralement les sentiments qu’on a ! Mention, enfin, au coloris Brun Scarabée qui n’est pas d’origine mais qui habille bien la GT chevronnée. Technique : du Citroën et de l’Italie On vous l’a dit, on a déjà essayé trois Citroën SM mais aucune n’avait finalement une mécanique originelle sous le capot. Un V6 3L, un autre avec une injection électronique et un travail effectué sur la performance et la fiabilité et une autre que certains considèrent comme une hérétique avec son 4 cylindres diesel (on peut comprendre). En tout cas, on retrouve ici LE V6 d’origine avec ses 2,7 litres de cylindrée. Sa provenance, on la connait. C’est un V6 italien qui est sous le capot. Pourtant, au moment de racheter Maserati, le moteur n’était pas sur les étagères. On a d’abord enlevé 2 cylindres à un V8 Maserati pour montrer qu’on saurait faire… avant de repartir d’une feuille blanche. Dans l’opération, même en repartant de zéro, l’équipe de Giulia Alfieri a conservé l’angle de 90°, normalement adaptée à un V8 mais pas à un V6. 
En tout cas, avoir un moteur venant de chez Maserati était alors un vrai plus au niveau de l’image d’un grand coupé français, notamment sur les marchés extérieurs. Surtout que le V6 de la Citroën SM ne limite pas son apport à un trident. Les performances sont très correctes avec une puissance annoncée à 170ch DIN et un couple à 230Nm. Notez que les performances seront améliorées par la suite avec l’Injection, en 1973, qui fait passer la puissance à 178ch tandis que la version 3L, le moteur de la Merak en fait avec ses 180ch, sera utilisée sur les versions dotées d’une boîte auto qui remplace la boîte manuelle à 5 vitesse sur les marchés d’Amérique du Nord. On parle d’une chevronnée et la technique ne s’arrête pas au moteur. La Citroën SM partage avec la GS l’adoption du freinage à 4 disques et forcément son système est assisté hydrauliquement. Pour réduire les masses non suspendues, les freins avant sont d’ailleurs accolés à la boîte. 
 La voiture reçoit aussi la DIRAVI, une assistance variable qui rappelle le volant vers le milieu, plus ou moins fort selon la vitesse. Évidemment, l’hydraulique s’invite aussi au niveau des phares (deux sont directionnels) mais surtout au niveau de la suspension. Il n’y a pas que sur la ligne que la Citroën SM est un vaisseau spatial ! À l’intérieur : impression complète On n’a pas fait les choses à moitié pour la ligne, pour la technique, il fallait donc que l’intérieur de la Citroën SM soit à la hauteur. L’aspect futuriste est bien au rendez-vous et, pour le coup, ce n’est pas une découverte puisque c’est le seul point qui nous renvoie directement aux autres SM essayées. Comment faire original à l’intérieur d’une voiture ? Changer les emplacement des commandes revient à prendre un énorme risque au niveau de l’ergonomie vu qu’il n’y a finalement pas 36 façon d’agencer le tout sans que ce ne soit le bazar. 
L’idée, c’est plutôt de revoir le dessin des différents éléments. Des exemples ? Vous en avez plein et on commence par remplacer les ronds par des ovales. On les retrouve au niveau des compteurs, tachymètre à gauche et compte-tours au centre, comme sur une vraie sportive, tandis que celui de droite est en fait un assortiment de voyants autour du gros voyant STOP, une des signatures des Citroën « hydro ». Mais les compteurs ovales sont relégués au second plan quand on découvre la forme du volant, ovale également. De mémoire, sa forme n’est pas un souci mais imaginez la tête des visiteurs en concession ! D’ailleurs, signature Citroën, ce volant n’a qu’une branche. Au niveau de l’ambiance à bord, pas de bois mais du métal poli et teinté. C’est plus moderne, c’est certain. Entre les sièges on retrouve le levier de vitesse et le frein à main, c’est classique, mais aussi l’autoradio. Enfin, on jette un œil à la superbe sellerie. 
Patinée comme il faut, elle ajoute un vrai plus et le côté luxueux ressort vite. On s’étonne cependant de la forme des sièges. On est loin des baquets mais ils remontent au niveau des jambes avec un appui-tête proéminent. À voir ce que ça va donner une fois assis dedans. C’est pour tout de suite d’ailleurs. Au volant de la Citroën SM C’est parti, je m’installe. La forme des sièges peut interroger mais une fois qu’on est dedans… bah c’est un siège de voiture tout ce qu’il y a de plus classique en fait. Je règle ma position de conduite (le volant se règle en hauteur et profondeur, une première européenne) et je la trouve facilement. Un coup de clé et le V6 se met en route. Il ne fait pas le même bruit que la dernière fois que je l’ai eu entre les mains… mais c’était dans une Merak SS et il était derrière moi. Installé à l’avant de la Citroën SM, il ronronne avec un timbre juste assez évocateur pour montrer que ce n’est pas un banal 4 cylindres qui anime ce gros coupé. 
On laisse le temps au voyant STOP de s’éteindre, signe que la Citroën SM est à la bonne hauteur et c’est le signal pour y aller. Première et c’est parti. Le démarrage se fait dans une rue pavée qui ferait passer le Carrefour de l’Arbre pour un billard. Une partie de la magie de la Citroën SM se révèle avec un confort vraiment exquis. Par contre, ne rêvez pas, même avec sa suspension hydropneumatique notre gros coupé bouge quand même sur les obstacles. Par contre, c’est contrôlé, c’est très amorti… en gros ce n’est pas une séance de torture mais dire que c’est un tapis volant serait exagéré. C’est d’ailleurs confirmé quelques centaines de mètres plus loin par un dos d’âne qui pourrait servir de tremplin aux JOs de 2030. En ville, on a connu plus à l’aise que la Citroën SM. Ce n’est pas une citadine, c’est absolument certain. Elle n’est pas inadaptée non plus mais je dois être un peu trop petit pour son gabarit. 
Le capot a beau être grand, vu qu’il est plongeant j’ai du mal à en évaluer l’encombrement. Ce n’est qu’une question d’habitude mais vu que le gabarit est loin de celui d’une deuche et que les SUVs qui évoluent autour prennent aussi de la place, je reste très prudent. La chose à laquelle on a pas le temps de s’habituer (ou se réhabituer), c’est la DIRAVI. La forme du volant, on s’y fait vite. Mais on a aussi les réflexes (mauvais, je sais) de conducteur lambda qui veut bouger ses mains qu’il faut oublier. En Citroën SM il faut aussi oublier le réflexe de relâcher la pression pour laisser le volant revenir… ça ne pardonne pas puisque le système a tôt fait de le faire, et souvent avant qu’on ait complètement fini de tourner. Sinon, la ville, ça va bien deux minutes (un peu plus entre feux, ronds-points et ralentisseurs) et voilà que la route s’ouvre. Le panneau indique 90. 
Comme c’est à peu près la température de l’eau dans le moteur, je peux me permettre de solliciter un peu le V6. Le pied droit se fait insistant tandis que je passe la 4e, sans m’approcher de la zone rouge pour autant. Les 90 sont vite atteints. En fait la Citroën SM montre qu’elle est parfaite dans la circulation de tous les jours et ne sera un obstacle que pour quelques acharnés de l’accélérateur. Ensuite, c’est l’occasion de l’insérer sur une voie rapide qui se présente. La Citroën SM y est à l’aise. C’est une voiture conçue alors que les autoroutes se développaient et que les limitations de vitesse n’étaient pas à l’ordre du jour. En gros, notre coupé chevronné aurait dû en être la princesse en d’autres temps… et sans choc pétrolier. En tout cas elle montre que ce n’était pas un vœu pieux. L’accélération est franche et le poids-lourd qui arrive derrière semble de toute façon plus occupé à reluquer sa ligne que de conserver son rythme. Les 110 sont atteints sans souci et la 5e est rentrée. Sur un bitume parfaitement plat, le confort est royal. 
Les changements de direction sont minimes, la bande son est sympathique sans être envahissante et les sièges sont parfaits. On pourrait en avaler des bornes même si on sait très bien que ce serait surtout jusqu’à la prochaine station service ! Je ne vais pas vous faire un essai autoroutier, promis. Clignotant, sortie et voilà une bonne départementale qui s’ouvre. Son revêtement est typique mais les défauts sont avalés sans sourciller maintenant qu’on a atteint un bon rythme. Le moteur est toujours volontaire pour nous amener rapidement au rythme souhaité, bref les qualités de routière de la Citroën SM ont été confirmées. Par contre, pour certains, ces qualités et ces performances sont l’apanage d’une voiture sportive. Alors justement, voilà la montée de Montgueux, utilisée en course de côte notamment. Un terrain d’essai parfait pour une sportive où on a amené récemment une Ferrari qui a su démontrer son potentiel. Là, on se doute que ça ne va pas se passer comme ça. La montée n’est pas un problème, surtout que ce n’est pas le Galibier. 
Le moteur de la Citroën SM suffit largement pour accélérer et se lancer. Même les relances entre les virages ne sont pas des problèmes. Le moteur demande à prendre des tours (le couple max est à 4000) mais la mélodie qui accompagne cette montée en régime est un plus, sans qu’elle ne soit très marquante. Par contre, on rencontre vite quelques « détails » qui montrent que, non, la Citroën SM n’est pas une pure sportive. Déjà la boîte. Son étagement n’est pas remis en cause mais son maniement n’est pas franchement rapide. Il faut bien décomposer et pour le faire vite ça va demander une certaine habitude. Ensuite, c’est le comportement général qui entre en compte. La Citroën SM est lourde de l’avant et les trajectoires s’élargissent vite, même en maniant correctement le volant. Après, on aimerait voir d’autres coupés de la même époque et avec la même architecture (y compris la traction) dans un pareil exercice. Il y a peu de chance que ce soit vraiment mieux puisqu’au final la suspension « magique » de Citroën permet d’éviter que le coupé ne se vautre trop. En bref, ça passe fort, mieux que beaucoup de concurrentes, mais c’est le comportement d’une grosse GT et certainement pas d’une pure sportive. Reste la question du freinage. 

Dans cet enchaînement sportif, il n’y a rien à signaler. Concernant le toucher de la pédale, oui, il reste déroutant mais seulement au premier freinage quand on n’y prête pas attention. Si vous avez tendance à appuyer de toute votre force, la conduite ne sera pas idéale, mais en prenant soin de bien doser, vous arriverez à le faire en toutes circonstances. Bref, le petit moment sportif est passé et la redescente de l’autre côté de la colline se fait plus doucement. La Citroën SM retrouve son côté voyageuse même si on aime bien lui faire prendre des tours. Il y a quand même un V6, ce serait dommage de ne pas l’exploiter non ?
 Conclusion Si les précédentes Citroën SM qu’on avait essayé nous avait séduites, elles l’avaient beaucoup fait grâce à leur originalité. Chacune avait des particularité, parfois en dénaturant totalement la SM originelle… mais avec cette SM « classique », on se dit qu’on a pas forcément besoin de dénaturer une telle voiture. La Citroën SM a une vraie identité et elle l’affirme sur tous les points. Sa ligne ne laisse pas indifférent quand certains aiment et d’autres détestent, sa technique la démarque de toute concurrence, son intérieur aussi tandis que son comportement routier et ses performances en font une auto qui s’apprécie tout en se différenciant. Une vraie GT, c’est certain, mais surtout une vraie Citroën ! 
Source : Benjamin-newsdanciennes.com/Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info

CLUB5A - REGLEMENTATION - Ce panneau surprend les automobilistes à tous les coups : comment réagir si vous le voyez...

 

Ce mystérieux panneau P-35, un triangle à bord rouge et flèches croisées, a de quoi intriguer de nombreux automobilistes qui l’aperçoivent. 
La signalisation routière est particulièrement riche et diversifiée. Un peu trop ? 
Parfois la signification de certains panneaux ne saute pas aux yeux. En France, on recense près de 600 modèles différents dans le Code de la route.... 
Il est déjà bien compliqué de tous les retenir. Alors, pour les vacances, quand on se rend dans les pays étrangers, il faut parfois improviser, car ils en ont tout autant. En témoigne, le catalogue officiel de la DGT (Dirección General de Tráfico) espagnole, qui compte, lui, plus de 500 panneaux différents. 
Et les conducteurs français qui sont nombreux chaque année à conduire sur les routes de nos voisins de l’autre côté des Pyrénées, devraient apprendre à les connaître mieux. 
 C’est donc en Espagne que l’on rencontre ce fameux panneau P-35, un triangle à bord rouge sur fond blanc, affichant deux voitures noires en parallèle avec deux flèches croisées. 
Ce panneau n’existe pas en France et peut donc surprendre les automobilistes. Il a été mis en place pour répondre à un besoin précis : alerter les conducteurs sur des zones où les trajectoires des véhicules s’entrecroisent, typiquement à l’approche d’une bifurcation combinant une voie d’accélération et une voie de décélération. 
Ces zones, appelées « zones de tressage », sont particulièrement accidentogènes, car elles impliquent de nombreux changements de voie simultanés, augmentant le risque de collisions. 
Comment réagir face à ce panneau ? 
Face à ce panneau, il est donc recommandé de ralentir, d’observer attentivement les mouvements des autres véhicules, de céder le passage aux usagers circulant sur la voie principale, d’effectuer les changements de file de manière progressive et de toujours maintenir une distance de sécurité suffisante. Utilisez systématiquement le clignotant pour signaler tout changement de voie et si possible, changez de voie à l’avance. 
Selon le média espagnol Motor.es, la DGT a reçu de nombreuses demandes de renseignements sur ce panneau. Cette confusion générale parmi les conducteurs a plusieurs raisons. D’abord, le design du panneau, avec deux voitures et des flèches croisées, peut rappeler d’autres panneaux tels que le celui du franchissement de voie, qui avertit d’un croisement de voies sur les autoroutes. Un autre facteur contribuant à la confusion est que les voies tressées ne sont pas particulièrement courantes sur toutes les autoroutes du pays.
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

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samedi 24 mai 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - LA PLANETE SE RECHAUFFE ..MAIS QU'IMPORTE SORTEZ COUVERT !


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - APPRENTISSAGE....


 

CLUB5A - SPORT AUTO - COMPÉTITION ....LES 24 H EN 2.CV A SPA FRANCORCHAMPS...

24h 2cv Spa-Francorchamps!!! 
 Il y a 68 ans, en 1948, la "TPV", allias "2CV" était présentée au Salon de l'Auto de Paris. Il y a 28 ans, en 1988, le dernière 2CV sortait de l'usine de Levallois. 
Il y 31 ans, en 1985, étaient organisées les premières " 24 heures 2CV " sur le circuit de Spa-Francorchamps. 
 A ce jour, il y a encore et toujours des milliers de " deuchistes " pratiquants et surtout des compétiteurs.
Source : gerard debarbeyrac

CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - LA HONDA S800 - LA CABRIOLET COMPACT !!

En 1966, le constructeur Honda présente en France ses coupés et ses cabriolets S800 dérivés des S500 et S600 déjà connus au Japon. Ils seront commercialisés à partir de 1967 dans une version plus aboutie. Initialement constructeur de deux-roues, depuis la création de la société en 1947, Honda collectionnait de nombreuses victoires en Grand Prix, quand la société se lance dans l'automobile à partir de 1960. 
Pour cela elle lance un ambitieux programme de Formule 1 tout en présentant une série de petites voitures rustiques (S500 et S600) et dérivées des technologies motos dont elle avait la maîtrise. La nouvelle S800 affiche les attributs sportifs en usage à l'époque : silhouette compacte et fluide, bossage de capot, sièges baquets, volant bois à trois branches, petits cadrans ronds très lisibles... de plus elle était légère avec ses 720 à 780 kg selon les modèles. 
Agile dans sa conduite, cependant l'amortissement était dur et la direction peu précise. Le moteur était un quatre cylindres de 791 cm3 développant 78 ch DIN. Élaboré à partir des technologies motos, il frisait les 10 000 tr/min avec une zone rouge à 8 500 tr/min. Grâce à ses 4 carburateurs Keihin, on obtenait une puissance proche des 100 ch par litre. 
Ce moteur sportif avait un rendement exceptionnel qui finalement offrait des performances similaires à celles d'un moteur de 1300-1500 cm3. Le conducteur avait en main un moteur rageur ne demandant qu'à monter dans les tours sans affoler les soupapes et qui permettait des accélérations franches avec une sonorité digne d'une monoplace. 
Produite à 11 406 exemplaires dont près d'un quart fut vendu en France car elle était capable de se confronter à la R8 Gordini tout en étant moins chère. Cependant le moteur exigeait un entretien très rigoureux. À sa sortie, la transmission se fait par chaînes et la suspension arrière indépendante. Peu après, Honda décide de modifier son modèle en utilisant un pont rigide associé à une barre Panhard. 
La S800 est proposée en France à un tarif inférieur à la barre symboliques des 10 000 francs. C'est alors le coupé le moins cher du marché tout en étant le plus performant avec un très bon rapport poids/puissance. Cette voiture fut l'un des véhicules de Spirou, un modèle cabriolet blanc avec une capote noire, dessinée sous tous les angles par Franquin et surtout Fournier. La dernière voiture sortit des chaînes de montage en mai 1970.
Source : HondaVideo

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vendredi 23 mai 2025

CLUB5A - CLUB5A - 2015 - LES BELGES NE MANGENT PAS QUE DES FRITES !


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LE CABRIOLET TOUT-TERRAIN...

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - L'HISTOIRE DE LA JANTE ..T'AS DE BELLES JANTES TU SAIS !!

La jante est la partie métallique (ou, très rarement, en matériaux composites) d'une roue. Elle assure la liaison entre le moyeu et le pneumatique. L'ensemble jante et pneu forme une roue. 
Dès les premières heures de l'automobile, la voie de la roue à rayons fut exploitée. S'inspirant de celles montées sur les bicyclettes, elles cohabitèrent avec des modèles en bois sur ce qui peut être considéré comme la première automobile, la Benz Patent Motorwagen. Les jantes en bois dérivent de celles des véhicules hippomobiles et sont généralement faites de bois d'acacia ou de frêne.
 La jante en alliage d’aluminium fera son apparition au Grand Prix de France 1924, sur une Bugatti Type 35. Elles avaient pour avantage leur légèreté et permettaient un meilleur refroidissement des freins. Le plus souvent, les constructeurs automobiles équipent leurs véhicules de production courante de jantes en tôle d'acier embouties. Généralement, des enjoliveurs en métal poli ou en plastiques peints sont ajoutés pour l'esthétique du véhicule. 
 Les véhicules de sport ou haut de gamme sont équipés de jantes en alliage d’aluminium, plus légères (elles diminuent l'inertie et l'effet gyroscopique) et plus aérées (elle permettent une meilleure dissipation de la chaleur dégagée par les freins). Elles sont moulées (standard), ou forgées (haut de gamme), puis usinées. Cette technique permet une grande liberté de design. En compétition, on voit des jantes en alliage d’aluminium, en alliage de magnésium en Formule 1, en carbone en motocyclisme ou en matériaux composites pour le karting. 
 On trouve encore des roues à rayons pour les automobiles de collection. Suivant le modèle du véhicule automobile, ce dernier est équipé de jantes d'un certain diamètre et d'une certaine largeur. Le diamètre ainsi que la largeur est indiqué en pouce, constituant ainsi une importante exception au principe de normalisation du Système international d'unités. Les largeurs sont exprimées en pouces, tous les demi-pouces à partir de 4", à l'exception des jantes pour pneus spéciaux tels les Michelin TRX ou PAX. 
 Les diamètres normalisés sont, toujours aux mêmes exceptions près. Dans cet exemple, pour un diamètre de 15 pouces, « 6Jx15 4x100 ET 50 60 » sont les paramètres que l'on peut trouver gravés sur une jante ayant ces caractéristiques, sachant qu'il n'y a pas de norme d'affichage et que seule une partie de ces indications peut être reportée. L'indication « J » dans la cote largeur se réfère à la forme du bord interne de la jante, il existe aussi des formes dites « JJ », « K », « JK », « B », « P » et « D ». Ces cotes sont utiles pour vérifier la compatibilité d'une jante avec un type de pneumatiques ou un véhicule.
Source : WKPDIA/CC-BY-SA-3.0-Garage, Bagnoles et Rock'n Roll

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jeudi 22 mai 2025

CLUB5A - SORTIE MOTOS DU 18 MAI 2025 - DIRECTION LE PLATEAU DE SAULT....

 

En ce 18 mai, les motards du Club des 5A se sont dirigés vers le pays de Sault pour une nouvelle édition. 
 Le matin a commencé au café du Dôme où, fidèles à leur poste, Alain, Régis et Bernard accueillaient les participants et prenaient leurs engagements sans oublier Olivier dans le rôle de la voiture balaie et transport de la maintenance. 
À 9 heures, les 32 motocyclistes (33 au total) inscrits ont pris le départ. Bernard mène « la troupe » sous un joli ciel et une température printanière, les motocyclistes ont pris leur envol, parcourant les charmants petits villages de l'Aude en passant par Limoux avant de faire halte à Bouriège pour une collation matinale. (Pause café) 
Les pilotes, requinqués par des petits gâteaux et du café ont poursuivi l’itinéraire. Suite à cette pause, tous ont continué leur trajet et ont finalement atteint ROQUEFEUIL en arrivant au restaurant « LE CADRAN ». Alors, tous les membres de la troupe se sont réunis pour savourer un excellent repas qui a contribué à réchauffer plus les corps que les esprits...(Merci au personnel très sympathique et efficace)
 Le parcours était idéal pour les motos en fonction des conditions météorologiques très favorable. Une fois le café terminé, il était déjà temps de reprendre la route vers CARCASSONNE. Route de retour passant par les localités d'Espéraza avant de continuer vers Carcassonne. 
 Coté panne : une Honda 509 NX (la plus récente) nous à fait quelques misères…(perte de l’écrou du sélecteur de vitesse) 


En résumé, une sortie bien planifiée et très organisée, ayant lieu (comme d’habitude) dans une atmosphère agréable et conviviale avec un excellent taux de participation... 
Merci aux quatre motards de Toulouse et cinq des P.O d’avoir fait le déplacement pour participer à cette balade. Bravo à Luc de la section voiture pour d’avoir effectué sa première balade moto avec sa Honda 125 Twin achetée récemment. 
À très vite pour de nouvelles aventures…Sur des motos évidemment... 
Texte : Bernard RICARD - Photos : Régis PERICH-JL ALBILLO - Famille RICARD

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - LORETTE TRES AMOUREUSE DE BACCHUS ET DE LA SCULPTURE SUR BOIS....


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - MERCI DE VOTRE BIENVEILLANCE....


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UN PONT QUI N'INSPIRE PAS CONFIANCE....


 

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