dimanche 13 avril 2025
samedi 12 avril 2025
CLUB5A - LE TOP 30 DES VOITURES - LES PLUS INSOLITES DES SERIE TELEVISEES.....
Les grands constructeurs automobiles ont fabriqué des voitures de série avec un look sortant des standards habituels...en voici le top de 30 modèles !!
On trouve de tout sur Internet, c’est également valable en matière d’automobiles. Nous passons en revue les voitures les plus insolites du web..... Source : JekDude
vendredi 11 avril 2025
jeudi 10 avril 2025
CLUB5A - RESTAURATION VÉHICULE MILITAIRE...RESTAURATION D'UNE JEEP
La Willys MB, plus connue sous son surnom de « Jeep », est un véhicule tout-terrain léger conçu en 1940 et sorti d'usine en 1941 sur un cahier des charges de l'armée américaine.
La Willys MB est presque identique à la Ford GPW et a été fabriquée de l'année 1941 jusqu'à l'année 1945. Elle est considérée comme un des emblèmes de la Seconde Guerre mondiale. Après-guerre, la Willys MB a évolué en Jeep CJ, « CJ » pour une abréviation de « Civilian Jeep » (« Jeep civile » en français), et a été reconnue comme un symbole d'aventure.
Plusieurs explications sont avancées quant à l'origine du nom "Jeep", qui se prononce "djiyp" en anglais.
Il est traditionnellement admis que ce nom fait référence au projet initial proposé par Bantam puis finalement développé par la Ford Motor Company sous le nom de code de "Ford GP-W". "GP" signifierait soit "General Purpose (Usage Général ou "voiture à tout faire"), soit "Government Purposes" ("Usage Gouvernemental").
Le mot "jeep" pourrait donc venir de cet acronyme "GP", prononcé en anglais "djipi". Cette étymologie, que l'on retrouve dans tous les dictionnaires français, est pourtant controversée. Lee Ermey, dans sa série télévisée Mail Call, précise que le véhicule a été conçu pour des usages très particuliers, et non généraux, et que par ailleurs, les GI conducteurs du véhicule, à l'origine du surnom, n'avaient sans doute pas eu connaissance de cette dénomination officielle de GP-W donnée dans les bureaux d'étude. Ermey et d'autres avancent que le nom de jeep provient d'une bande dessinée des années 1930, Popeye d'E.C. Segar, où apparaît en mars 1936 un animal imaginaire du nom d'Eugene the jeep (appelé Pilou-Pilou en français).
"Jeep" est alors une onomatopée habituellement utilisée par les dessinateurs pour imiter le cri d'un oisillon. Habile et possédant des facultés extraordinaires, ce petit animal de la jungle est capable de se sortir de situations difficiles. Ce surnom de "jeep" serait alors attribué au véhicule en raison de ses caractéristiques exceptionnelles.
Par ailleurs, le major E.P. Hogan, qui écrivit dès mars 1941 sur la Jeep pour la revue militaire Quartermaster Review, indique que le mot « jeep » désignait déjà pour les mécanos, lors de la Première Guerre mondiale, tout nouvel engin motorisé reçu pour évaluation. Aussi, dans les années 1930 et au tout début des années 1940, on rencontre plusieurs fois ce mot "jeep", notamment dans la presse. Il peut alors désigner une personne inexpérimentée, voire idiote, une recrue ou un novice, un gadget technologique ou un véhicule militaire.
L'acronyme "Just Enough Essential Parts" ("Juste Assez de Pièces Essentielles") est une autre explication possible. La première série de ces véhicules a été conçue pour être la plus simple et la moins chère possible : la voiture était minimaliste, sans aucun confort, et bâtie pour une courte durée de service. Toutefois, cet acronyme a tout aussi bien pu être donné à l'usage, par les GI, après les premières apparitions sur le terrain d'un véhicule déjà appelé "jeep".
Source : eric calbet
mercredi 9 avril 2025
CLUB5A - SORTIE MOTOS LE 6 AVRIL 2025 DANS LE MINERVOIS....BEAU TEMPS, BELLES MOTOS, PAYSAGES MAGNIFIQUES = JOURNEE REUSSIE !
Pour cette balade à moto du 6 avril 2025 vers Minerve, nous avons débuté sous un temps printanier, frais le matin, mais très agréable durant la journée avec une légère brise qui n'était pas vraiment dérangeante, je dirais plutôt qu'elle était bénéfique pour rafraîchir nos vieux moteurs... (Le motard diligent garde toujours à l'esprit le refroidissement de son moteur...), surtout avec une température plutôt douce pour la saison.
Nous partions avec assurance, car le programme de cette journée était censé être raisonnablement « tranquille »...
Comme Fufu, Régis et Bernard de la section motos du club 5A nous l'avaient promis !
Ce dimanche matin, les 39 motards (y compris deux femmes pilotes) de la section moto, ainsi que notre voiture de secours, ont été présents. Un grand merci à Olivier pour sa disponibilité.
Comme à l'accoutumée, le départ a été donné à 9 heures devant le café du Dôme, avec pour destination Conques, Limousis, Trassanel et Cabrespine.
Nous avons traversé le col de Salette avant de continuer vers le Roc du Suzadou sous une légère brume et une température d'environ 10 degrés.
Nous poursuivons notre balade sen direction des localités de Ferrals et Minerve, baignant sous un soleil éclatant.
Stop, je déclenche la béquille latérale, le café et le casse-croute préparé par Oliver me tentaient.
Vous savez ce qu'on dit : un motard ne peut pas rester sur sa selle si son estomac est vide.
Avec une vue imprenable sur le village de Minerve, le petit café et le casse-croûte ont été profitables à tous. C'est un lieu parfait pour boire, manger et partager d'excellentes blagues de motards (sans oublier de prendre de superbes photos)...
Comme toujours, nos organisateurs avaient tout anticipé avec soin !
Il était nécessaire de reprendre le chemin, car à travers des routes moins fréquentées, le carnet de route guiderait nos motocyclistes jusqu'à la localité de Rieux Minervois, au Bar du Commerce, chez Hamed.
Au restaurant, Gilles et Jean Guilhaumon nous ont reçus pour procéder à la réservation des tables.
Pour la modique somme de 26€, un repas qui défiait toutes les comparaisons nous attendait…Hamed demeure toujours un incontournable en matière de restauration !
Un verre a été levé en l'honneur de notre ami Bruno BEGHIN, qui nous a quittés il y a quelques jours.
Pour le retour, il y avait la possibilité de choisir entre une liberté totale ou un retour direct à la maison, avec un arrêt chez Bernard et Lorette à Conques pour se désaltérer, avant de conclure cette journée exceptionnelle en célébrant l'amitié et l'amour des motos anciennes.
Quels sont les points forts de cette journée ?
- Des itinéraires superbes
- Une atmosphère très chaleureuse
- Une gestion des opérations efficace.
Une journée qui a été un véritable succès, merci à nouveau à nos organisateurs dévoués, Alain, Bernard, Olivier et Richard, sans oublier Régis !
A bientôt pour de nouvelles aventures…en moto…
Texte : Bernard Ricard – Photos : Régis / Magali / Lorette et Bernard / Jean-Louis
CLUB5A-SPORT AUTO - ALFA-ROMEO DANS L'HISTOIRE DE LA COMPÉTITION AUTOMOBILE ...
Le constructeur automobile italien, connu pour sa production d'automobiles aux caractères sportifs, a débuté le 10 juin 1910 avec la fondation à Milan de l'ALFA (acronyme de "Anonima Lombarda Fabbrica Automobili").
En 1918, la société change son nom pour « Alfa Romeo » à la suite de l'acquisition de la société par Nicola Romeo.
En 1933, la propriété de l'Alfa Romeo passe à l'IRI, holding de l'État italien, en raison du fort endettement que la société accumule avec les banques depuis la décennie précédente.
Alfa Romeo continue de produire des automobiles selon un mode semi artisanal jusqu'au début des années 1950, quand elle est transformée en une véritable industrie automobile grâce à l'introduction d'une chaîne de montage dans les départements de production.
À partir de cette décennie, Alfa Romeo connait une période de succès croissant qui atteint son apogée dans les années 1960. Dans les années 1970, un revirement provoque une profonde crise. Les comptes de la société sont dans le rouge ce qui conduit l'État italien en 1986 à vendre le constructeur automobile au groupe Fiat.
En 1918, la société change son nom pour « Alfa Romeo » à la suite de l'acquisition de la société par Nicola Romeo.
En 1933, la propriété de l'Alfa Romeo passe à l'IRI, holding de l'État italien, en raison du fort endettement que la société accumule avec les banques depuis la décennie précédente.
Alfa Romeo continue de produire des automobiles selon un mode semi artisanal jusqu'au début des années 1950, quand elle est transformée en une véritable industrie automobile grâce à l'introduction d'une chaîne de montage dans les départements de production.
À partir de cette décennie, Alfa Romeo connait une période de succès croissant qui atteint son apogée dans les années 1960. Dans les années 1970, un revirement provoque une profonde crise. Les comptes de la société sont dans le rouge ce qui conduit l'État italien en 1986 à vendre le constructeur automobile au groupe Fiat.
La relance économique d'Alfa Romeo arrive enfin à la seconde moitié des années 1990..
Source : King Rose Archives
mardi 8 avril 2025
lundi 7 avril 2025
CLUB5A - SPORT AUTO - Hans Mezger.. génial inventeur de moteur de la Porsche 911 GT3 !!
Rendu célèbre par le fameux moteur Mezger, l’éminent ingénieur de Porsche avait participé à la conception de la 917 et à des essais de Porsche en F1. Il est décédé à l’âge de 90 ans.
Quelle carrière que celle de Hans Mezger. Concepteur du six cylindres à plat de la 911, ingénieur en chef lors de la conception de la 917 et de son douze cylindres à plat, créateur du moteur TAG de Formule 1 qui s’arrogea notamment le titre de champion du monde avec McLaren en 1984. Peu d’ingénieurs peuvent se targuer d’une carrière aussi riche et d’avoir participé à la conception devoitures et de moteurs aussi importants dans l’histoire automobile.
Né le 18 novembre 1929 à Ottmarsheim, il fait ses études à l’Université de Stuttgart où il fait preuve d’une curiosité sans limites. Il rejoint Porsche en 1956, à une époque où le constructeur est encore un tout petit artisan. Fasciné par la 356, il force sa chance et obtient un poste pour travailler sur un projet de moteur diesel. « J’ignorais que Porsche travaillait sur des moteurs diesel », dira-t-il. C’est alors que les projets s’enchaînent : moteur 4 arbres Type 547, moteur 1,5 litre Type 753, avant de se mettre à travailler sur le six cylindres type 901 de ce qui deviendra la 911. Ce sont les débuts de ce fameux moteur Mezger dont la carrière durera près de quarante ans. En 1965, Ferdinand Piëch le nomme responsable de la division compétition. C’est une période où les projets s’enchaînent à un rythme effréné : « Nous avons construit le prototype 906 Ollon-Villars en seulement 24 jours, et nous avons attaqué le travail pour la 910 juste après ».
C’est d’ailleurs à cette époque que les ingénieurs se mirent à construire leurs voitures de course sur la base d’un châssis tubulaire, qui deviendra la norme pour tous les modèles de compétition de la marque. Porsche 917, première victoire au Mans Ferdinand Piëch s’appuie de nouveau sur Hans Mezger pour la conception de la 917 à partir de 1968.
C’est à lui que l’on doit le célèbre douze cylindres à plat qui offrira deux victoires à Porsche aux 24 Heures du Mans en 1970 et en 1971.
Et comme si cela ne suffisait pas, c’est sous son impulsion que le constructeur étudiera la suralimentation par turbocompresseur. Encore une initiative qui sera couronnée de succès puisque la 917/10 remportera le championnat Canam en 1972, et la 917/30 remportera ce même championnat en 1973, toutes deux avec un moteur turbo.
En 1974, les innovations du département compétition font leur apparition en série avec la présentation de la 911 Turbo. Victoire en championnat du monde de Formule 1 avec McLaren et Niki Lauda En 1981, Ron Dennis et l’écurie de Formule 1 McLaren sollicitent Porsche afin de concevoir un moteur de Formule 1 qui serait susceptible d’offrir le titre de champion du monde à l’écurie de Woking. C’est encore Hans Mezger qui sera derrière la conception du V6 1,5 litres TAG Turbo qui affichera pas moins de 1 000 ch sur le banc de puissance. McLaren remportera le titre de champion du monde des pilotes en 1984 et 1985 avec Niki Lauda, puis en 1986 avec Alain Prost.
Au total, le moteur Tag Turbo remportera 25 courses et deux titres constructeurs, en 1984 et 1985. Paradoxalement, en débit de cette immense carrière, on se souvenait surtout de Hans Mezger aujourd’hui pour le moteur qu’il concevra pour la 911 GT1, victorieuse aux 24 heures du Mans en 1998. C’est de ce moteur 3,4 litres refroidi par eau que sera ensuite dérivé le moteur de la 911 GT3, plus connu aujourd’hui sous le nom de moteur Mezger. Hans Mezger est décédé le 10 juin 2020, à l’âge de 90 ans. Il entre définitivement au panthéon des grands concepteurs de l’histoire de l’automobile.
Source : thomas-schenck-flat6mag.com/The Wheel Network
Né le 18 novembre 1929 à Ottmarsheim, il fait ses études à l’Université de Stuttgart où il fait preuve d’une curiosité sans limites. Il rejoint Porsche en 1956, à une époque où le constructeur est encore un tout petit artisan. Fasciné par la 356, il force sa chance et obtient un poste pour travailler sur un projet de moteur diesel. « J’ignorais que Porsche travaillait sur des moteurs diesel », dira-t-il. C’est alors que les projets s’enchaînent : moteur 4 arbres Type 547, moteur 1,5 litre Type 753, avant de se mettre à travailler sur le six cylindres type 901 de ce qui deviendra la 911. Ce sont les débuts de ce fameux moteur Mezger dont la carrière durera près de quarante ans. En 1965, Ferdinand Piëch le nomme responsable de la division compétition. C’est une période où les projets s’enchaînent à un rythme effréné : « Nous avons construit le prototype 906 Ollon-Villars en seulement 24 jours, et nous avons attaqué le travail pour la 910 juste après ».
C’est d’ailleurs à cette époque que les ingénieurs se mirent à construire leurs voitures de course sur la base d’un châssis tubulaire, qui deviendra la norme pour tous les modèles de compétition de la marque. Porsche 917, première victoire au Mans Ferdinand Piëch s’appuie de nouveau sur Hans Mezger pour la conception de la 917 à partir de 1968.
En 1974, les innovations du département compétition font leur apparition en série avec la présentation de la 911 Turbo. Victoire en championnat du monde de Formule 1 avec McLaren et Niki Lauda En 1981, Ron Dennis et l’écurie de Formule 1 McLaren sollicitent Porsche afin de concevoir un moteur de Formule 1 qui serait susceptible d’offrir le titre de champion du monde à l’écurie de Woking. C’est encore Hans Mezger qui sera derrière la conception du V6 1,5 litres TAG Turbo qui affichera pas moins de 1 000 ch sur le banc de puissance. McLaren remportera le titre de champion du monde des pilotes en 1984 et 1985 avec Niki Lauda, puis en 1986 avec Alain Prost.
Au total, le moteur Tag Turbo remportera 25 courses et deux titres constructeurs, en 1984 et 1985. Paradoxalement, en débit de cette immense carrière, on se souvenait surtout de Hans Mezger aujourd’hui pour le moteur qu’il concevra pour la 911 GT1, victorieuse aux 24 heures du Mans en 1998. C’est de ce moteur 3,4 litres refroidi par eau que sera ensuite dérivé le moteur de la 911 GT3, plus connu aujourd’hui sous le nom de moteur Mezger. Hans Mezger est décédé le 10 juin 2020, à l’âge de 90 ans. Il entre définitivement au panthéon des grands concepteurs de l’histoire de l’automobile.
Source : thomas-schenck-flat6mag.com/The Wheel Network
The Wheel Network
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