lundi 24 février 2025

CLUB5A - SPORT AUTO - 4L Trophy : nos conseils pour se lancer dans la course avec une voiture de qualité, sans trop se ruiner...

 

Se lancer dans l’aventure du 4L Trophy demande une préparation minutieuse, tant sur le plan financier que mécanique. 
Voici comment s’y prendre pour un jour participer à la course. 
Comment faire pour se lancer dans le 4L Trophy, ce raid automobile en Renault 4L pour les moins de 28 ans, en maximisant ses chances de ne pas connaître de grosses pannes sur la route, le tout sans se ruiner ? 
C’est le chemin de croix qu’ont parcouru Dorian et Pierre-Ange, depuis deux ans, et qui les a emmenés jusqu’au départ de la course ce 20 février, au sein d’un équipage baptisé «Les étoiles de l’Armor». Première étape pour ces deux Bretons : «Pour ne pas faire de dépenses excessives, nous nous sommes fixé un budget maximal et avons créé une association pour récolter des fonds de la part de sponsors». 5000 euros maximum pour la voiture - «au-delà de cette somme, il faut vraiment qu’elle soit nickel», conseille Dorian - et 8000 euros de budget pour l’inscription à la course, les frais de mécanique, les billets de bateau pour se rendre au Maroc, les frais quotidiens et autres budgets annexes de communication. 
La voiture sera revendue après la course à un prix équivalent, mais les 8000 euros restants peuvent apparaître comme une somme titanesque aux yeux de jeunes qui voudraient se lancer dans le rallye. «C’est là où l’agent du sponsoring est très important pour boucler le budget. Avec les dons de particuliers, nous avons récolté la moitié de la somme requise». Soit 4000 euros. Comment bien choisir sa voiture ? Ces premières considérations passées, il faut s’atteler à choisir sa voiture, la fameuse Renault 4L, comme le nom du rallye l’indique. 
Pour en trouver une, la méthode est assez commune. «On a commencé à regarder sur Le Bon coin pour se faire une idée, ensuite il y a un groupe Facebook (Officiel entraide 4L Trophy), où des voitures se revendent d’une édition à l’autre», explique Dorian. Finalement, les deux Bretons ont racheté une voiture à une connaissance. Cette dernière s’était déjà alignée sur une des précédentes éditions. Mais attention, «acheter une voiture qui a déjà fait la course n’est pas forcément gage de qualité», prévient Dorian. Puisque de fait, avec les kilomètres et les conditions climatiques, la voiture revient endommagée. 
Il y a donc un check-up complet à réaliser au moment où vous aller voir la voiture pour la première fois. Le nerf de la guerre reste de bien vérifier le châssis de la voiture. «Forcément c’est ce qui tient tout le reste», ironise les Bretons. Et comme la maladie de la 4L, ce sont justement les pièces de ce fameux châssis, qui ont tendance à rouiller, il vaut donc mieux les vérifier au peigne fin. Pour ce faire, Dorian nous donne une méthode très simple : «il suffit de regarder sous la voiture s’il n’y a pas de trous. Autre check-up rapide, munissez-vous d’un tournevis et tapez sur les longerons : s’ils tiennent c’est bon signe, sinon méfiez-vous». «Les autres vérifications sont assez classiques», abonde Dorian. Trois éléments (bougie, filtre à air et étincelle) doivent être regardés de près. 
Concrètement, vérifiez les bougies pour vous assurer de leur bon état et de leur propreté. Examinez attentivement le filtre à air (s’il est rempli de sable, cela peut indiquer un manque d’entretien régulier). 
Enfin, assurez-vous du bon fonctionnement du système d’allumage en vérifiant la qualité de l’étincelle. Une autre routine essentielle lors de l’achat d’une voiture d’occasion est de demander un historique détaillé des réparations. «Quand ce ne sont pas des pièces d’origine, c’est par exemple bon à savoir», explique l’équipage des Étoiles de l’Armor. 
«Si vous constatez qu’aucune vidange n’a été effectuée, il y a de fortes chances que vous trouviez du sable dans la voiture», ajoutent ils. 
Que faire une fois que vous avez acheté votre 4L ? Mais pas de panique, l’organisation du 4L se montre très aidante avec les futurs participants. Des vidéos de check-up à réaliser (voir ci-dessus) sont diffusées, et une fois que vous avez acheté votre 4L, des ateliers de réparations sont proposés par l’organisation. 
«Cela permet de faire un check-up très complet de la voiture, en plus de celui que vous aurez fait vous-même», expliquent les deux Bretons. «Et puis d’un point de vue pratique, il faut s’assurer auprès de l’organisation que la voiture passera bien le contrôle technique, la veille du départ». 
 Tout cela étant réalisé, la course approche, et il faut bien finir par mettre les mains dans le cambouis. Même si vous avez acheté une voiture de bonne qualité, il faudra faire un peu de mécanique. 
La 4L demande un entretien régulier et sur la route, il faut être prêt en cas de panne. «On n’avait pas spécialement de base en mécanique», raconte Dorian et Pierre-Ange, «mais le groupe Facebook, le site de l’organisation sont très bien faits et il y a des blogs qui sont de véritables mines d’or». 
 Pour devenir un pro de la mécanique des 4L, les deux jeunes ont donc un dernier conseil : se rendre sur le site «La 4L de Sylvie», une «mine d’or pour la mécanique de la voiture». Et si vous avez besoin de pièces détachées, le site 4L Parts propose «une gamme assez exhaustive», conclut les deux participants au rallye. 
 Source : lefigaro.fr - Clément Gros - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

jeudi 20 février 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - TRES PENSIF CE JOUR LA FELIX....


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - QU'IMPORTE LE MOYEN DE MOTORISATION...L'IMPORTANT C'EST DE POUVOIR ROULER !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - ETIENNE LENOIR et LE MOTEUR A GAZ !!

 

Lenoir Automobile à gaz 1862 
- Maquette de Robert Christian 1945 
Dans la préhistoire de l’Automobile figurent bien des inventeurs et ingénieurs qui ont laissé une trace indélébile comme Beau De Rochas, Delamare-Deboutteville, Nicolas Otto, Karl Benz, Gottlieb Daimler ou Wilhelm Maybach. Mais tous avaient été précédés par Etienne Lenoir dont les travaux sur le moteur à gaz allaient être déterminants. Né à Mussy-la-Ville le 12 janvier 1822 cet ingénieur belge naturalisé français réalise dès 1859 sur un « moteur à gaz et à air moteur à combustion interne à deux temps ».
Un mélange de gaz d’éclairage et d’air est introduit directement dans le cylindre et déclenche l’explosion par l’étincelle d’une bougie d’allumage, dont Lenoir est aussi l’inventeur. Avec ce premier moteur à explosions réellement utilisable, 130 machines fonctionnaient déjà dans Paris, en 1864, ainsi que 2 bateaux. Après son moteur à deux temps, Lenoir réalisa un moteur à quatre temps en se basant sur le principe déposé par Alphonse Beau De Rochas en 1862. 
Enfin, une voiture à 3 roues est équipée d’un moteur de 1,5 chevaux et essayée à partir de mai 1862. Les deux roues arrières sont motrices et la roue avant directrice. Il est acquis que Lenoir utilisa à plusieurs reprises son véhicule pour aller et revenir de son atelier de la rue de la Roquette jusqu’à Joinville en traversant le bois de Vincennes, soit un trajet de 18 km effectué en 3 heures y compris quelques arrêts. La voiture a disparu quelques années plus tard. Même avec des défauts reconnus par son inventeur lui-même (rendement faible, consommation élevée, explosions brutales, fragilité, …) il s’agit pourtant bien là d’une étape majeure dans l’évolution du moteur à explosion. Car ses recherches auront aussi démontré que le moteur à vapeur n’était plus la seule source d’énergie pour les moteurs fixes destinés à propulser des véhicules. 
Le 16 juillet 1900, Etienne Lenoir reçoit la plaquette de vermeil de l’Automobile Club de France (ACF): « en reconnaissance de ses grands mérites en tant qu’inventeur du moteur à gaz et constructeur de la première automobile du monde » Les millions de voitures qui circulent aujourd’hui, aussi par leurs bougies, leurs soupapes en tête, leur avance à l’allumage, leurs culbuteurs, doivent quelque chose à Lenoir, de qui le Professeur Leprince-Ringuet a dit: "Lenoir est un des 100 plus grands inventeurs de tous les temps!". (Revue de la Société d'Entraide des Membres de la Légion d'Honneur, N. 107, mai 1990) Certes, Etienne Lenoir n’est pas le seul inventeur du moteur à explosion ni de l’automobile à essence, mais il figure en bonne place parmi les nombreux inventeurs qui ont permis l’essor de l’automobile moderne.
 
La maquette, acquise en 1960 par le Musée de la Voiture et du Tourisme de Compiègne, a été réalisée par Robert Christian sous la direction de Charles Dollfuss (CMV 60.019) 

Photo prise au château de Compiègne, en musée des Arts et Métiers de Paris.Thierry Gil-Musée des Arts et Métiers

mercredi 19 février 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - PHOTO DE GROUPE POUR CETTE SORTIE MOTOS....


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UNE BONNE TENUE DE ROUTE POUR CE PILOTE !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Restaurée ou recréée : Une voiture de collection peut-elle être trop parfaite ?

 

Dans le monde feutré et un brin obsessionnel des collectionneurs de voitures, il existe un Graal absolu : la restauration ultime. Prenez une sublime Aston Martin DB4 de 1961. Trouvée dans un sous-bois après trente ou quarante ans de sommeil, sa carrosserie ressemble à un millefeuille rouillé, son moteur est grippé comme un vieux moulin à café, et son intérieur fleure bon la moisissure noble. 
Mais, grâce à la magie d’ateliers spécialisés, chaque boulon pourra briller, chaque cuir sera cousu main, chaque soupape sera remplacée, chaque coussinet sera échangé et la belle vêtue d’une peinture polie/lustrée plus brillante qu’un diamant sera ressuscitée, prête à briller sous les projecteurs … 
Mais alors, une question surgit, aussi tranchante qu’un coup de clef à molette mal maîtrisé : cette voiture est-elle toujours une voiture de collection ? 
 Le paradoxe du « plus neuf que neuf » Imaginons que la restauration a été menée avec un niveau de détail quasi-religieux. Le châssis a été sablé, renforcé et repeint, chaque panneau rouillé de la carrosserie refabriqué selon les plans d’époque, les bas de caisse rongés ont été reconstruits et même renforcés. 
Et même les soudures sont plus nettes qu’en sortie d’usine. Pire encore (ou mieux, c’est selon), le moteur a été reconstruit avec des pistons et cylindres bénéficiant de traitements du surface modernes, la boîte de vitesses entièrement synchronisée pour éviter le double débrayage, et le système électrique fiabilisé. 
En clair, cette voiture n’a plus grand-chose de sa version originale, même si elle respecte tout de même son identité. Et si l’on dit « plus neuf que neuf » c’est bien qu’en 60 ou 70 ans, les technologies en terme de traitements de surface, d’usinage, de couture, de peinture, de soudure, etc … on significativement progressé. 
Une voiture de 1960 restaurées aux « plus hauts standards de l’industrie » de 2025 sera assurément une voiture meilleure qu’elle ne l’était en 1960… 
 Ce dilemme rappelle celui du bateau de Thésée : si l’on remplace chaque pièce d’un objet, reste-t-il le même objet ? Une Jaguar Type E de 1963, dont 100 % des pièces ont été refaites ou changées, est-elle toujours une Jaguar Type E de 1963 ? Originalité vs authenticité : la grande schizophrénie du collectionneur. 
Les puristes, ces gardiens du temple pour qui la poussière ou l’air d’époque valent de l’or, vous diront qu’une voiture de collection doit conserver un maximum de ses composants d’origine. 
Un châssis numéroté et une tôle qui a vécu, même restaurée, garantissent une continuité historique. À l’inverse, les adeptes du « mieux que neuf » argumenteront que la préservation nécessite d’utiliser ce qui se fait de mieux aujourd’hui, que les standards d’époque ne suffisent plus et _par exemple_ qu’il serait aberrant de se passer des nouveaux matériaux et traitements de surface pour le moteur et la peinture, ou d’un circuit électrique fiabilisé. Et puis, il y a les règles du marché, souvent plus influentes que la philosophie. 
Une voiture entièrement restaurée avec des pièces neuves est-elle moins chère qu’une patiente restauration ayant retrouvé un maximum d’éléments d’époque ? Absolument pas. Dans les ventes aux enchères, les premières atteignent parfois des prix stratosphériques, car leur état est jugé concours – comprenez : irréprochable, immaculé, digne d’un mausolée roulant. 
 La frontière étroite avec la réplique 
C’est là qu’un danger guette : à force de restaurer au-delà de l’original, on frôle la recréation. Une AC Cobra des années 60, dont le châssis est neuf, la carrosserie refaite en aluminium sur gabarit d’époque et le moteur reconstruit à partir d’un bloc moderne, est-elle encore une AC Cobra ? 
Ou devient-elle une « continuation » officielle (comme celles produites sous licence) ? 
Pire encore, une simple réplique haut de gamme ? 
Si la seule chose d’origine est la plaque numérotée sur le châssis, où place-t-on la limite entre une restauration et une reconstruction pure et simple ? 
Voire une contrefaçon … collectionner, c’est assumer l’illusion Finalement, une voiture de collection, qu’elle soit patinée ou flambant neuve, reste avant tout une œuvre d’art roulante, un morceau d’histoire qu’on préserve, qu’on embellit, parfois même qu’on trahit un peu… mais toujours avec amour. 
L’essentiel est de ne pas sombrer dans l’illusion que la perfection d’une restauration en fait une voiture plus vraie que l’originale. Après tout, ce sont souvent les petits défauts – une trace de soudure maladroite, un cuir légèrement fané, un bruit de boîte un peu rugueux – qui font le charme et l’authenticité d’une ancienne. 
Une voiture de collection trop parfaite, c’est un peu comme une vieille starlette qui aurait fait trop de chirurgie : impeccable en surface, mais avec le risque de perdre un peu de son âme. Alors, restaurer oui, mais avec une touche de sagesse. Après tout, une vieille voiture, c’est comme un bon whisky : elle se déguste avec ses imperfections, pas malgré elles. 
Source : autocollec.com-France 3 Bretagne

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mardi 18 février 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - LA MONTAGNE EST A NOUS !


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - QUAND VOUS STATIONNEZ VOTRE VOITURE PENDANT UNE SEMAINE CHEZ VOTRE GRAND MERE QUI ETAIT DENTELLIERE ...


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - GROS CHANTIER DE RESTAURATION ...


 

CLUB5A - TECHNIQUE AUTO - RESTAURATION D'UNE ROSENGART SUPERTRACTION LR 539..


Restaurée par le Garage Maldonado à Wittisheim, en Alsace....
Blog de club5a : Association Audoise des Amateurs d'Automobiles Anciennes, TECHNIQUE AUTO - Vidéo de la restauration de la Rosengart Supertraction LR 539..
Pourquoi j'ai des Rosengart ? 
Quand j'étais petit enfant mon père avait une Rosengart Cabriolet LR539 11 chevaux traction, cette voiture m'a marqué surtout pour son manque d'étanchiété. 
On habitait St Béron en Savoie et mon père qui était garagiste, petit constructeur de tracteur de marque VIGA et agent Citroën faisait l'entretien du matériel et des véhicules d'un vignoble à Beaucaire au Mas du Grand Milord.
On descendait souvent, moi j'allais là bas pour m'amuser. L'employé descendait avec une 402. Des orages on en a pris beaucoup, et à l'intérieur c'était une vraie piscine. Nous étions trempés jusqu'aux os. Cette Rosengard Cabriolet a été racheté par le gérant du vignoble, Mr Brousson, dans les années 55-56, je l'ai recherché mais en vain.

Réné VILLETON / supertraction.e-monsite.com /  Source : justasmiles67

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lundi 17 février 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - JOSETTE ET JEAN-PIERRE UNE LONGUE HISTOIRE D'AMITIE...


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UNE 4CV RENAULT QUI A DU COFFRE !!


 

REPORTAGE AUTOS - LES VOITURES FRANCAISES D'AUTREFOIS DE 1950 A 1960...

Les voitures françaises d'autrefois 1950 / 1960
   
 Comme le temps passe vite.....
Et nous gardons en mémoires toutes ces jolies voitures !!

Cinq ans après la fin du conflit mondial, le marché automobile français connaît son renouveau en 1950. En effet, depuis la fin de 1949, les tickets de rationnement ont été supprimés, l’essence est de nouveau en vente libre et la liberté de circulation a été rétablie. Les constructeurs disposent quant à eux d’une plus grande liberté d’approvisionnement en matières premières. L’automobiliste de 1950 a ainsi le choix entre 34 marques nationales qui lui proposent une cinquantaine de modèles.
 Avec 174 305 immatriculations, le marché français reprend de la vigueur et il devient le premier d’Europe, avec un niveau trois fois supérieur au second, le marché britannique, alors en récession. Trois vedettes se disputent les faveurs des acheteurs : la Renault 4 CV, la Peugeot 203 et la Citroën Traction Avant. Leur score dépasse les 30 000 ventes et elles représentent à elles seules les 2/3 du marché. Deux voitures voient leur résultat dépasser les 10 000 ventes : la Simca 8 et la Ford Vedette. Deux voitures populaires et économiques suivent autour de 6 000 ventes annuelles : la Panhard Dyna et la nouvelle Citroën 2 CV (les premières livraisons datent de juillet 1949). La petite Simca 6 en revanche parvient difficilement à réaliser plus de 4 000 ventes.
 Les grandes marques françaises n’arrivent pas à retrouver leur lustre d’antan. Malgré sa 6e victoire au rallye Monte-Carlo, Hotchkiss attend ses nouveaux modèles pour 1951, Salmson et Talbot conservent des modèles aux lignes classiques, et la production des luxueuses Delahaye et Delage devient marginale (les dirigeants de Delahaye s’orientant davantage vers les véhicules industriels et militaires). 
 Les modèles français détiennent 98 % de leur marché national, alors que plus du tiers de leur production est exporté. Les importateurs ont donc une portion congrue d’à peine 3 600 ventes que se partagent principalement les américains (1725 immatriculations, principalement des Buick, Pontiac, Chrysler, Cadillac, Studebaker et Packard) et les allemands (1449 immatriculations de Volkswagen, Opel et Mercedes) loin devant les britanniques (381 Jaguar, MG, Riley, Bentley et Rolls Royce). La présence de voitures allemandes est due au retour des militaires en garnison en Allemagne...
Soure :  Richard Parreau - WKPDIA/CC-BY-SA-3.0

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - Sens interdit dans les années 50 à Paris !