mercredi 5 février 2025

CLUB5A - HUMOUR AUTO - VOUS MANQUEZ DE PLACE DANS VOTRE VOITURE ? ...NOUS AVONS DES SOLUTIONS VOICI LA VOITURE EQUIPEE D'UN STRAPONTIN....


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UN COUPLE D'ACTEURS MYTHIQUES !


 

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CLUB5A - SPORT AUTO - Le Grand Prix automobile de Corse en 1921 !!

Le Grand Prix automobile de la Corse est un Grand Prix unique pour voitures de sport (SportsCars), essentiellement de Grand Tourisme, qui s'est tenu le 21 avril 1921 dans le centre-est de la Corse (actuel sud de la Haute-Corse). Il est la seule épreuve de ce type à avoir été organisée dans l'île de Beauté. Organisé par l'Automobile Club de la Corse alors naissant et son Président Noël Pinelli, il célèbre avec quinze jours d'avance le centenaire de la mort de Napoléon Ier. 
 L’événement se déroule entre le 18 et le 21 avril. Le premier jour est consacré aux vérifications techniques, et le deuxième aux éliminatoires sur un parcours de cinq kilomètres de Cateraggio à Prunete, où les candidats doivent dépasser la moyenne horaire de 100 kilomètres. Après une journée de repos, les hostilités débutent réellement sur le coup de 8 h 30, pour se clore définitivement à 16 h. Tous les équipages sont français ; des neuf engagés en Grand Tourisme, six arrivent à franchir la ligne d'arrivée. 

 Le trajet, grossièrement triangulaire et dans les terres à l'arrière de l'étang de Diane, suit un parcours Casamozza, vallée du Golo, Barchetta, Ponte Novo, Ponte Leccia, Francardo, Caporalino, Soveria, col de San Quilico (566 mètres), Corte, vallée du Tavignano -avec ses gorges profondes-, Cateraggio, Prunete et Folelli (en lignes droites qui longent le littoral, soit un tiers du parcours favorisant la vitesse de pointe près de la mer, pour deux tiers de sinuosités aussi à surmonter), avec un retour à Casamozza, le village où sont ordonnés départ et arrivée. Il est à la croisée des RT 50 (ex-RN 200) et RT 10 (ex-RN 198). 
 Turcat-Méry, venu de Marseille, présente quatre véhicules (aux mains de de Bary, d'Henri Rougier, de d'Avaray et de François Repusseau, tous ces pilotes parvenant à l'arrivée), Chenard & Walker trois (pour d'Auvergne, André Lagache et Rouvier), et Bignan Sport deux (avec Albert Guyot et de Nougue), soit neuf partants en Sport avec trois écuries équipées de moteurs de 3 litres de cylindrée, tous les véhicules étant à quatre places (les deux arrières seront lestées pour l'équilibrage en course) et avec tous leurs accessoires de carrosserie d'origine. 
Bignan aligne la version 3 L de la voiture due à son ingénieur Némorin Causan. Avec de Bary et Rougier, Turcat-Méry a obtenu les deux meilleurs temps des qualifications au deuxième jour. Sont aussi attribués un Prix des Touristes (sept engagés), et un Prix des voitures légères (trois concurrents), tous deux décernés après un tour de circuit unique. Le vainqueur Sport Albert Guyot touche 50 000 francs de la part du comité de course, 25 000 francs du conseil général des Bouches-du-Rhône, et sa voiture 25 000 francs du conseil général de la Corse.
 Les gagnants des deux autres prix après une boucle ne se voient remettre que 2 500 francs chacun (Sady Lecointe sur Rolland-Pilain en Tourisme, et Pierre Delaunay sur Bignan 1,4 l en légères). Parmi les officiels à l'arrivée figurent le ministre des Travaux publics Yves Le Trocquer, et le député de la Corse et ancien ministre de la Marine Adolphe Landry. 
 La compétition est entachée par le décès de Delaunay (perte de contrôle de sa voiture sur un dos d'âne, qui entraîne également la mort de son mécanicien embarqué). Une stèle sur la RN200 est là pour rappeler encore l’événement.
Source : Centro Storico Fiat

mardi 4 février 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - CORINNE ET PATRICK..PETITE PAUSE A L'OMBRE...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - LE COMBI-BARBECUE DE PLAGE ...


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - EXACTEMENT COMME PAPA !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - C'ETAIT PENDANT LA PERIODE DU COVID19 - Un automobiliste copie son attestation de sortie dérogatoire sur le coffre de sa 2CV

Un habitant de Bazeilles près de Sedan dans les Ardennes a recopié les cases de l'attestation de sortie dérogatoire sur le coffre de sa voiture. Une authentique 2CV qui ne passe pas inaperçue. L'homme avait déjà usé de cette "attestation" lors du premier confinement. L'humour comme remède contre la morosité ambiante, entre covid et confinement. Un habitant de Bazeilles dans les Ardennes, non loin de Sedan, a eu l'idée de recopier une attestation de sortie dérogatoire sur le haillon du coffre de sa 2CV. Déjà que celle-ci ne passe pas inaperçue dans le secteur, rien que par son ancienneté, l'attestation sur le coffre en plein reconfinement suite à la pandémie de Covid-19 suscite des sourires, et des questions de légalité aussi. 
Nous avons retrouvé ce jeune propriétaire, dont le seul but avec cette attestation sur le coffre, est de faire sourire. Un brin facétieux, Maxime, est originaire des Ardennes. Il habite le secteur de Sedan et il n'en est pas à son coup d'essai. Déjà lors du premier confinement, il avait dessiné au feutre effaçable une attestation sur le coffre de sa voiture. Une 2CV "plus vieille que lui", qui date de 1985, alors que cet Ardennais qui travaille dans le fluvial, est âgé de 32 ans. A la gendarmerie du secteur de Bazeilles, la 2CV n'a jamais été contrôlée. Mais "ça dépend, nous répond un gendarme, amusé et intrigué, l'attestation peut être valable, si l’heure et la date sont changées tous les jours, oui ça peut le faire, s’il met tout ça, si tout est inscrit, il peut être en règle". Prévoyant, Maxime change en effet la date et l'heure à chaque sortie de son domicile, avec un feutre sur son coffre, mais il dispose également d'une attestation papier en bonne et due forme. Ses voisins l'aperçoivent régulièrement dans la rue. 
"J’ai vu la voiture, c’est vrai qu’on rigole bien avec ça, nous confie une voisine, au premier confinement, il l’avait déjà aussi". "Je trouvais ça marrant, raconte Maxime au téléphone, j’écris toujours sur ma 2CV, parfois des bêtises, j’avoue que je ne me suis jamais fait arrêté. Mais ça arrive souvent que les gens me prennent en photo. Je l’avais déjà fait au premier confinement, la plupart des commentaires que je reçois sont plutôt sympathiques, j’ai fait ça pour faire rigoler, c’est de l’humour. Le matin, je mets la date du jour, je dois être le dernier indépendantiste de Sedan, j’aime les Ardennes". Potache et sympathique Alors que le confinement pèse sur le moral au quotidien, Maxime a choisi de faire sourire. "J’ai aussi écrit Jesus christ est mon air bag". Ambiance potache et sympathique. "La situation est difficile en ce moment, donc si on peut faire sourire...". Le trentenaire amuse la galerie mais il n'est pas prêt à payer 135 euros d'amende, s'il était arrêté par les gendarmes. "Ça ne me ferait pas rire". Sa "Deuche" de collection, dont il a fait l'acquisition en 2013, ne le quitte pas. "C'est original et sympa et je m’ennuie dans les autres voitures", précise l'Ardennais.
Source : france3-regions.francetvinfo.fr/

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - Mohamed Ali fait passer ses singles dans le tourne-disque Philips de sa Cadillac Eldorado de 1959...

 

Source : Historic Photographs

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lundi 3 février 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - POUR MARLENE ET DOMINIQUE C'EST LE MOMENT DE TENIR SALON....


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - AUDI SE TOURNE SUR DES MODELES 100% ECOLOGIQUE !!


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LA VACHE ET LE MOTARD ........


 

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Découverte : une collection de 40 Citroën anciennes bientôt à vendre chez Aguttes

 

Tous les ans les amateurs de la marque aux chevrons trouvent une bonne raison de fêter la marque ou un modèle. Après les 90 ans de la Traction, on va avoir droit aux 70 ans de la Citroën DS. Elle sera célébrée dans quelques jours à Rétromobile par une exposition phare mais aussi sur les stands de nombreux exposants (dont le nôtre avec une DSpécial à gagner). La maison de vente Aguttes en fera partie. Quelques Citroën seront présentes et, justement, nous avons pu visiter la collection de 40 voitures dont sont issues celles-ci, des autos qui seront en vente le 16 Mars, à Paris et surtout des autos magnifiques. 
Une collection Suisse et plusieurs volets Ce n’est pas le genre de collection qui se trouve facilement. Ce n’est pas dans un musée public que nous avons rendez-vous en ce mois de Janvier mais bien dans une collection privée en Suisse. Gautier Rossignol, le directeur de Aguttes on Wheels a été assez énigmatique concernant le contenu de la collection. 
On sait seulement qu’on y trouvera une collection composée, non pas des plus rares, mais des Citroën anciennes les plus emblématiques et que chacune représente un point de passage important dans l’histoire de la marque. Sur place, effectivement, on est plongé dans l’ambiance. Le bâtiment est bien rempli. Les Citroën anciennes s’alignent sur 4 rangées, en épi. On y retrouve les grandes familles les plus connues et des autos plus rares.
 Effectivement, les carrosseries brillent et les états laissent pantois. Non, nous n’assistons pas à une sortie de grange, c’est autre chose. C’est parti pour le tour du propriétaire. Première famille : les Citroën DS On vous a dit que la DS était un peu la voiture de l’année et l’alignement qu’on a sous les yeux n’y déroge pas. On débute avec une voiture dont on vous reparlera dans quelques semaine. C’est une Citroën DS 19 de 1957. Non, elle n’est pas de 1955 mais cette auto Jaune Jonquille à l’intérieur Helanca est une voiture qui conserve en fait toutes les caractéristiques des DS originelles.
On poursuit avec une voiture assez semblable, de 1958, avec intérieur gris mais surtout un toit vert qui donne une belle configuration. La suivante présente une évolution bien visible. La DS 19 de 1962 qui suit présente des « ailes cendrier » ces grilles qu’on peut apercevoir sur les ailes et qui permettaient d’extraire l’air chaud du capot moteur. On retrouve de la couleur avec la suivante. C’est une Citroën DS 19 de 1965 mais c’est surtout la première Pallas de la gamme avec des chromes et des équipements en plus mais toujours les feux ronds. On vous l’a dit, cette collection de 40 Citroën est composée d’autos qui marquent des jalons dans l’histoire de la marque. Bel exemple avec l’auto suivante. 
C’est une Citroën DS 21 de 1967. Là, c’est le changement de motorisation qui est mis en avant. La Citroën DS suivante est encore plus marquante. Vous l’avez compris, cette DS 23 propose la nouvelle face avant avec les phares carénés, la face avant qui équipe les DS dans l’imaginaire collectif. On termine le tour des Citroën DS avec un break. Les strapontins sont présents dans le coffre, la galerie accueille les bagages supplémentaire et, petit bonus, les trous dans le pare-chocs signalent que l’auto reçoit la climatisation ! 
Diversité et rareté Second alignement de Citroën anciennes. Celles-ci ne sont pas des hors-série mais on retrouve des modèles qui ont moins marqué les esprits que les DS… et encore, il faut le dire vite puisqu’on débute avec une Citroën SM. Sa particularité est assez simple : cette auto est la 39e Citroën SM produite (de 1970 donc) et ce fut la première à arriver en Suisse. On poursuit l’alignement avec deux CX. La première saute aux yeux avec son orange, c’est une GTI 2400 de 1977. La seconde est plus grande, c’est une Prestige de 1980, longue, toit ouvrant, cuir Havane, une auto pour ceux qui veulent se faire promener ! On poursuit avec une GS. 
Elles sont peu nombreuses dans cette collection de 40 Citroën mais on retrouve cette belle blanche, une 1220 Club de 1972 avec son intérieur en tissu rouge. On passe ensuite à des voitures plus petites. Non, ce ne sont pas encore des 2CV (soyez patients) mais on retrouve d’abord une Ami 6 de 1968, l’une des rares autos de cette collection de 40 Citroën à ne pas avoir été restaurée mais elle est superbe. Suit une Dyane 6 orange de 1980, restaurée elle et enfin une Méhari de 1973, une (vraie) 4 places entièrement restaurée, orange elle aussi. 
 On reste d’ailleurs dans les années 80, mais avec un blanc plus commun pour une Citroën BX GTI 16s de 1988 dans un état proche du neuf. Plus placides mais performantes malgré tout, on complète avec une berline Citroën XM V6 et une Xantia redoutable en virage puisque c’est une Activa ! Retour en arrière dans la frise chronologique de Citroën. On passe aux Traction. Deux modèles sont présents dans cette collection de 40 Citroën anciennes. 
On commence avec une 7, une 7C Berline de 1935 qui a été restaurée MAIS qui conserve son intérieur d’origine. À l’autre bout de l’histoire des Citroën Traction, et même de la gamme, la collection abrite une 15 Six D de 1950 avec roues pilotes et intérieur cuir ! Citroën et les expérimentations On reste dans les années 30 avec un véhicule (et pas une voiture) qui aura aussi les honneurs d’une exposition à Rétromobile. C’est un véhicule expérimental mais qui fut néanmoins produit et qui prouva sa robustesse sur de célèbres raids appelés « Croisières » : une Kégresse de 1930. Ici c’est un ancien véhicule de l’armée, 6 places et motorisé par un 4 cylindres. 
On notera la touche suisse avec les skis qui doublent les roues avant. Les deux autres voitures expérimentales qui font partie de cette collection de 40 Citroën anciennes sont des voitures plus récentes, de la fin des années 60 et début des années 70. On remonte au temps où la marque aux chevrons s’était alliée avec NSU pour fonder la Comotor autour du brevet de Felix Wankel sur le moteur à piston rotatif. La première Citroën à l’avoir embarqué c’est la M35 (on vous raconte son histoire ici). Véritable démonstrateur, elle fut vendue dans le réseau entre 1969 et 1971. 500 exemplaires étaient prévus mais tous ne furent pas fabriqués. Celle qu’on retrouve dans cette collection est numérotée 465… sur 267 exemplaires ! 
Notez une chose : elle est roulante ! En tout cas, malgré l’échec de l’expérience M35, Citroën persévéra et installa un bi-rotor dans la GS du même nom. Rien à voir avec la club vue plus loin. Les ailes sont plus larges, l’intérieur est différent avec des compteurs ronds (marquant les voitures performantes à l’époque) et on retrouve des badges spécifiques un peu partout. Celle-ci a été restaurée et elle roule. Du sport ! Oui, on peut trouver des Citroën sportives dans cette collection dénichée par Aguttes. Pour s’en convaincre on commence même avec une MEP. Plus connue avec les couleurs bleu et blanc, la petite monoplace à moteur de GS fait toujours le bonheur de nombreux collectionneurs qui roulent avec lors des événements proposant des accès à la piste (Classic Days par exemple). 
Plus routières, dans leur définition, on retrouve deux voitures de Groupe B ! Ce sont deux « Série 200 » qui ont la particularité d’avoir été les seules de leurs séries respectives à avoir été importées en Suisse. La première est finalement la plus logique, la BX 4 TC. On ne revient pas sur son histoire funeste et sa conception originale (déjà abordées par ici) mais on souligne le bel état de cette auto peu kilométrée. La seconde est moins connue, c’est une Visa ! Ici c’est une 1000 Pistes, celle qui recevait un moteur X et, surtout, 4 roues motrices en plus de sa livrée course et de son kit carrosserie. Moins de 200km pour celle-ci… on en aurait bien ajouté quelques uns ! Les deuches ! Le meilleur pour la fin ? 
C’est une question de goût après-tout. 11 Citroën 2CV seront au programme de la vente Aguttes et la collection propose vraiment des voitures très variées qui retracent, une fois de plus, les grandes évolutions du modèle. On vous les présente dans l’ordre chronologique. On commence avec une auto de 1959. Cette AZ 425 n’affiche que 6080km mais elle présente surtout une rouille partielle sur la carrosserie et donc un look inimitable. L’autre AZ 425 date de 1961 et cette auto Jaune Panama a été intégralement restaurée. On passe ensuite en 1953 avec une Citroën 2CV AU 325 Type A, une fourgonnette restaurée à l’intérieur d’origine. La suivante est une AZAM 425 « break » de 1966 qu’on reconnaît avec son hayon Enac. Notons aussi la présence d’une autre voiture « hors série » avec l’AK 400 de 1976 avec une banquette arrière (Glaçauto ?). 
Suivent une 2CV AZAM 6 de 1967, une 6 glaces intérieur rouge puis une première série spéciale avec une Charleston de 1981. Autre série spéciale, la Dolly de 1986 accompagnée d’une autre 2CV 6 Spécial (qui lui servait de base) de la même année. Enfin on notera une « Sans Plomb » de 1987. Celle qui fut baptisée le canard était une série spéciale allemande (et suisse donc) qui gagna son surnom avec sa livrée verte. Conclusion Cette fois, on a fait le tour. C’est une très belle collection de Citroën anciennes qu’on a pu découvrir. 
Pas de sortie de grange, des voitures roulantes et souvent restaurée, l’endroit idéal pour les amateurs de la marque… mais cette collection est donc amenée à être dispersée. Certaines de ces Citroën seront visible dès la semaine prochaine à Rétromobile sur le stand Aguttes. En tout cas, elle seront toutes visibles lors de la vente de Printemps Aguttes du 16 Mars prochain dont l’exposition se tiendra à l’Espace Champerret (Paris, 17e et les infos sont ici). Vous retrouverez évidemment des photos détaillées de chaque auto dans le catalogue. 
Source : newsdanciennes.com-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

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dimanche 2 février 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - OPERATION REFROIDISSEMENT MOTEUR POUR BERNARD !


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - JE PENSE QU'IL VA Y AVOIR UN PROBLEME LORS DU PASSAGE AU CONTROLE TECHNIQUE !!


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - Quand Agostini essaye une Yamaha tout-terrain ....C'était en 1974 !!


 

CLUB5A - TECHNIQUE AUTO - CITROËN CRÉATIVE TECHNOLOGIE...


 Citroën apporte des réponses concrètes aux enjeux automobiles d’aujourd’hui. Toujours à la recherche de solutions d’avant-garde pour faciliter vos déplacements en ville et sur routes, Citroën place la technologie au service du bien-être. 
La Créative Technologie, véritable ADN de la marque, est toujours utile au conducteur comme aux passagers. Qu’il s’agisse de services connectés (système de navigation), de motorisations (PureTech et BlueHDi), de sécurité (alerte de franchissement de ligne), de confort (vitrage feuilleté) ou d’aide à la conduite (Park Assist), les technologies automobiles proposées par Citroën vous donnent plaisir à conduire.

 
Source : Citroen GSection

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CLUB5A - MOTO DE LEGENDE - LA KAWA 250 KR ....DES DEBUTS LABORIEUX.....

 

Petite histoire du Kawa 250 KR. 
En 1975 a Daytona , Kawasaki déboule avec un tout nouveau 250 twin en tandem .
Confié a Yvon Duhamel et Ron Pierce , ils ne brilleront pas en course . Quelques mois plus tard a Assen , Yvon Duhamel lui fera remporter ses premiers points en finissant cinquiéme , mais la suite fut laborieuse et Kawa remballe le matos . 
Retour en 1977 en GP , avec une machine au moteur calé différemment et une nouvelle suspension arriére . Mick Grant lui fera remporter sa premiére course a Assen . En 1978 , c'est Kork Ballington qui gagnera enfin le titre avec . 
Suivra une version 350 et de nombreux titres avec Balligton et Mang . C'est Hervé Guilleux qui remportera la derniére victoire avec cette machine en Espagne en 1983 . De nombreux pilotes ont pilotés cette machine , dont de nombreux Français : Duhamel , Grant , Ditchburn ,Kyohara , Ballington , Hansford , Baldé , Estrosi , Guignabodet , Reggiani , Guilleux ...
Source : Motos des années 60 / 70-Ted Sherpa