mardi 28 janvier 2025

CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES MOTO - LES MOTOCYCLETTES DOLLAR...LA MARQUE FRANÇAISE A LA TÊTE D'INDIEN...

En 1924, le constructeur de vélos (marque OMNIUM et SPENCER) de Charenton, Delachanal, décide de construire des motocyclettes. Les modèles couvriront la plage de 98 cm³ à 750 cm³. 
 Il choisira un nom et un logo (une tête d'Indien) pour faire américain. 
 Lancement d'une 125 culbutée à moteur Moser Lancement d'une 175 et d'une 250 de 1925 à 1927 
Lancement de 250, 350 et 500 à moteurs Chaise en 1928 Plusieurs gammes jusqu'en 1952 Utilisation de moteurs Chaise, JAP et MAG

Sous le nom très américain de Dollar se cache en réalité une marque bien française. Son histoire débute en 1890 avec la production de cycles luxueux sous la dénomination « Omnium et Spencer ». 
Bientôt, la société étend sa gamme à des voiturettes et en 1914 elle prend le nom de « Delachanal » puis s’installe à Charenton. Outre les bicyclettes Omnium, la marque lance ses premiers cycles sous le nom de marque Dollar. La première moto Dollar fait son apparition en 1923, il s’agit alors d’une 125cm3 mue par un moteur Moser culbuté. 
La gamme de deux-roues motorisés s’enrichit rapidement et sa commercialisation débute dès l’année qui suit. En 1927, le constructeur déménage à Joinville-le-Pont et équipe la quasi-totalité de ses machines de mécaniques Chaise dont la Type K et L qui sont remplacées l’année suivante par les 350cc KSS et 500cc LSS. 
A la fin des années 20, début des années 30, les Dollar connaissent un succès grandissant dû en partie à son équipement et ses mécaniques de qualité. L’armée et la police françaises ont d’ailleurs recours aux machines Dollar. Entre temps, la firme rachète les brevets de fabrication de la Majestic, cette moto intrigante conçue par Georges Roy directement inspirée de l’univers automobile. 
 A l’approche de la Seconde Guerre mondiale, la société connait quelques difficultés qu’elle tente de surmonter en proposant des machines toujours plus luxueuses. Malgré la présentation d’une nouvelle gamme dans les années 30, Dollar succombe face à un marché morose et disparaît complètement au cours de la guerre.
Source :lucjeanluc/lerepairedesmotards.com

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - L’Élégance à Megève, la crème des chefs-d’œuvre de style réunie...

 

Le concours savoyard faisait son retour le week-end dernier. Il a été salué par la présence d’une quarantaine de voitures de collection et d’exception. Les automobiles sont par essence des objets mobiles. Ils n’ont ni vocation à prendre la poussière dans un musée ou au fond d’un garage, ni à attendre les beaux jours pour prendre l’air. 
En posant ce postulat, l’Italien Alessandro Bortesi, restaurateur à Genève - sa pizza est l’une des meilleures de Suisse - et passionné de belles automobiles, organisait pour la deuxième fois depuis 2023, un concours d’élégance, à Megève. Il surfe ainsi sur une tendance qui essaime de l’autre côté des Alpes avec des manifestations semblables à Saint-Moritz et à Zell am See. Il n’empêche : on ne donnait pas cher de sa peau. Les collectionneurs sont toujours réticents à sortir leurs véhicules l’hiver, surtout à la montagne où les routes sont salées, lorsqu’elles ne sont pas enneigées ou détrempées. Non seulement Alessandro Bortesi connaît du monde mais il a su trouver les arguments pour faire sortir de leurs tanières quelques machines d’exception. 
Jugez plutôt : le plateau éclectique comptait près de cinquante modèles balayant l’histoire de l’automobile depuis la fin des années 1920 jusqu’à aujourd’hui. Les Avant-guerre étaient représentés par une Bugatti 35 et une Alfa Romeo 6C. Mais, comme souvent, c’est la marque Ferrari qui était la plus représentée. On notait ainsi parmi la quinzaine de modèles ornés du Cavallino Rampante la présence d’une 288 GTO de 1984, de la supercar hybride La Ferrari lancée en 2013, d’une 308 GTB à carrosserie polyester, d’une 458 Italia, d’une 812 Competizione Aperta à la finition Tailor Made, d’une 250 GT Lusso noire de 1963 et de deux modèles carrossés par Vignale : une berlinette 166 de 1950 et un cabriolet 212 Inter de 1951. Les fanatiques de Lamborghini n’étaient pas oubliés avec une berlinette Revuelto, une Aventador mais aussi une Diablo de 1993, une Espada première série venue de Genève et l’unique Lamborghini Miura Millechiodi. 
Cette dernière a été modifiée au milieu des années soixante-dix pour ressembler à la fameuse Jota qui avait disparu dans un accident. C’est ainsi qu’elle doit son nom aux 1 000 rivets qui parsèment la carrosserie. Parmi le plateau de voitures modernes, on trouvait les restomod de la Lancia 037 produits par Kimera et ceux de l’Alfa Romeo coupé Bertone revue par Totem. Des réalisations de grande qualité. Les coupés milanais sont proposés avec un moteur électrique ou avec le V8 2,8 turbo Alfa Romeo délivrant 600 ch. Mais sur le parking du Palais des Sports de Megève où la manifestation avait élu domicile, les spectateurs n’avaient d’yeux que pour l’hypercar Laffite Automobili LM1, résultat de l’association entre Bruno Laffite, neveu du pilote Jacques Laffite, et son ami d’enfance Pascal Cohen. 
Avec sa ligne inspirée d’un prototype de la catégorie LMP3, cette machine semblait échappée de la grille de départ du Mans. Elle est pourtant homologuée pour la route et nous avons pu voir durant le week-end qu’elle ne craignait pas de se mêler aux embouteillages toujours nombreux dans cette station où certains semblent prendre un malin plaisir à vouloir exhiber leurs SUV dernier cri. La Laffite LM1 est animée par un V8 hybrid provenant de la Lamborghini qui courait en WEC. Le moteur a bien évidemment été revu pour se plier à un usage routier. Le jury du concours d’élégance n’est pas resté insensible à la qualité de la réalisation de l’artisan constructeur et à la ligne portant la signature du bureau de style de Giugiaro, lui décernant le premier prix dans la catégorie «Moderne». 
Quant au trophée de la catégorie «Classic», il est revenu à une Jaguar Type E V12. Le jury a récompensé l’histoire de la voiture. Elle est toujours restée dans la même famille et l’intérieur bordeaux porte la patine du temps. Le propriétaire actuel tient la Type E de son père et c’est au volant de l’anglaise qu’il a appris à conduire. Enfin, le Best of Show est revenu à la berlinette Ferrari 166 MM carrossée par Vignale. Cet événement bon enfant et convivial mériterait d’être encouragé. La présence de plus de 10 000 personnes sur les trois jours montre bien que l’automobile fait toujours rêver petits et grands. 
 Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - 4 astuces pour repérer les voitures-radars, de plus en plus nombreuses sur les routes

 

Au printemps 2025, les voitures-radars seront déployées dans trois nouvelles régions : Occitanie, Auvergne-Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d’Azur. Voici comment les reconnaître. Il est devenu de plus en plus difficile d’anticiper la présence des radars qui scrutent notre vitesse. Alors que des applications comme Waze permettaient de ralentir à l’approche d’un radar fixe, l’expérimentation des voitures-radars banalisées a mis un coup de pied dans la fourmilière. Ces véhicules permettent notamment de repérer les excès de vitesse sans flash visible, en mouvement comme à l’arrêt. 
Désormais, à partir de ce printemps, ces voitures-radars gérées par des sociétés privées sont déployées dans trois nouvelles régions : Occitanie, Auvergne Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d’Azur, ce qui représente 126 nouveaux véhicules capables de verbaliser. Elles seront désormais présentes partout sur le territoire sauf en Île-de-France et en Corse. Voici quatre manières de les reconnaître. Les modèles souvent utilisés Malins sont les opérateurs privés en charge des voitures radars : ils ont choisi des modèles très courants sur les routes françaises et donc difficilement repérables. 
Parmi les voitures utilisées on trouve donc régulièrement des Peugeot 308 et 508, Citroën Berlingo, Ford Focus et Mondeo, Volkswagen Passat et Golf, Seat Leon ou encore Skoda Octavia. Plusieurs équipements sont visibles dans l’habitacle Sur le tableau de bord avant, un appareil photo imposant est fixé au centre, et deux petites caméras l’accompagnent de chaque côté de l’habitacle. À l’arrière, un rectangle noir aux contours épais, est collé à la vitre. Il permet notamment de capter les panneaux de la voie à contresens et donc de flasher les conducteurs d’en face. Deux appareils photos scrutent également la route, à cet endroit. 
 Des indices sur la plaque d’immatriculation La plaque d’immatriculation avant des voitures possède une police d’écriture différente des plaques traditionnelles. Les caractères sont étroits et arrondis, et la plaque est fixée sur un support en plastique réfléchissant, entourée d’un cadre qui brille dans le noir. À vrai dire, ce détail à l’œil nu est difficilement repérable à pleine vitesse. 
 Un site web répertorie les voitures radars privées dans chaque région Le site radar-prive.fr, recense les voitures radars par département en publiant une photo de la marque, du modèle et de la plaque d’immatriculation. Une fois sur le site, il suffit de cliquer sur la carte de France pour avoir accès aux voitures qui y circulent. Les véhicules pouvant être déplacés régulièrement d’un département à un autre, «cette liste est mise à jour quotidiennement en fonction des repérages signalés», informe le site web. En 2024, 1,2 million de PV ont été dressées par ces voitures-radars en France. 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

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lundi 27 janvier 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - BLEU...BLANC...ROUGE ...LE CLUB DES 5A EST UNE ASSOCIATION QUI RESPECTE LE DRAPEAU NATIONAL ET QUI LE PROUVE...


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - GARAGE D'AUTREFOIS .....


 

CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - LA GOLF DE V.W...ELLE EST AVEC NOUS DEPUIS PLUS DE 30 ANS !


VOLKSWAGEN depuis plus de 30 ans !!
La Volkswagen Golf est une automobile, de la gamme dite compacte, de la marque allemande Volkswagen. C'est une automobile à hayon (des versions tricorps existent, mais marginalement en Europe). 
Apparue en 1974, six générations se succèdent jusqu'à la version actuelle (plate-forme Golf VII), lancée en septembre 2012. Dominante dans la gamme des compactes en Europe, elle verra apparaître, à partir des années 2000, une concurrence de plus en plus aiguisée.
Certains disent qu'elle a été produite à 25 millions d'exemplaires. Mais ce chiffre est obtenu en ajoutant tous les modèles depuis sa création. Or, depuis la citadine du milieu des années 70, le modèle actuel n'a plus grand-chose à voir, tant au niveau du design que de la catégorie puisqu'il s'agit à présent d'une compacte. Bref, seul le nom a subsisté !

Blog de club5a : Association Audoise des Amateurs d'Automobiles Anciennes, VOITURE DE LÉGENDE - LA GOLF DE V.W...
La Golf GTi, lancée durant l'année 1976 (Golf série 17, plateforme A) a créé le concept de petite voiture sportive avec moteur à injection1 (contrairement aux moteurs à carburateur de l'époque). Un moteur de 1,6 l de 110 ch dans une caisse de 810 kg et bien suspendue avec une décoration spéciale (en comparaison de ses modèles contemporains) permettait de réaliser des performances de haut niveau pour l'époque.
Blog de club5a : Association Audoise des Amateurs d'Automobiles Anciennes, VOITURE DE LÉGENDE - LA GOLF DE V.W... Fin 1983, une nouvelle version, plus bourgeoise (et plus lourde), apparaît. Le moteur devient un 1 781 cm3 de 112 ch boîte 5 vitesses, déjà utilisé sur les dernières versions de Golf série 1. Jusqu'en 1991, la gamme sportive reposera sur ce 1,8 l épaulé d'une version à 16 soupapes en 1986 jusqu'à l'apparition d'un compresseur en 1990 (moteurs de 160 ch). La Golf GTI de 1992 s'équipe d'un moteur 2,0 l tandis qu'une version v6 de 2,8 l (puis 2,9 l) fait son apparition et chapeaute la gamme sportive, la fameuse VR6. Cette dernière a été produite en versionsyncro, c'est-à-dire une version quatre roues motrices. Fin 1993 apparaît la version 16 soupapes du moteur 2,0 l qui développe 150 ch.
Blog de club5a : Association Audoise des Amateurs d'Automobiles Anciennes, VOITURE DE LÉGENDE - LA GOLF DE V.W... En 2005, la Golf GTI est dotée d'un moteur TFSI 2.0 de 200 ch (turbocompressé). Le moteur V6 3.2litre passe, lui, à 250 ch dans la Golf R32. En 2006, un modèle de la Golf intègre un moteur de 1,4 l qui innove en utilisant à la fois un compresseur et un turbo pour développer 170 ch avec un couple disponible dès les bas régimes, c'est la Golf GT.
Il s'agit de la Golf 1.4l TSI GT, qui préfigure les moteurs essence de l'avenir : faible cylindrée, faible consommation mais efficacité sur toute la plage d'utilisation du moteur grâce au compresseur qui augmente le couple à bas régime, relayé à mi-régime par le turbocompresseur, efficace plus haut dans les tours.
Blog de club5a : Association Audoise des Amateurs d'Automobiles Anciennes, VOITURE DE LÉGENDE - LA GOLF DE V.W... Il existe des Golfs disposant de la transmission « intégrale » (par visco-coupleur central),un système appelé «4motion ». Ce sont les versions les plus sportives  : les séries R. La Golf 4 puis 5 finition R32 munie d'un moteur V6 essence transversal de 3,2L de 241cheveaux pour la golf 4 et 250chevaux pour la golf 5. Poids de 1600kg. 17cv fiscaux. 3 / 5 portes. Disponible en boite mécanique 6 rapports ou en automatique DSG 6. Elles étaient disponibles en bleu, noir, rouge et gris. Phares au xénon de série. Alarme de série. Jantes 18pouces.
Double sortie d'échappement ( centrale sur la 5 , une sortie de chaque côté sur la 4 ). Calandre avant chromée, sigles R32 avant et arrière. Considérées plus comme des berlines GT que comme des hypersportives, elles sont les versions ultimes de la golf et coutaient environ 37000€ pour une golf 5 en 2006. Puis en 2010 volkswagen abandonne le V6 pour moteur 4cylindres TFSI 2.0 litres de 265chevaux pour équiper la golf R.
Toutes intègrent systématiquement le système "4motion" (4roues motrices).
Le comportement sur route mouillée s'améliore alors sensiblement. La sixième génération a reçu 5 étoiles aux crash-tests. La cinquième génération reste produite et commercialisée en version break.
la version Golf V est commercialisée jusqu'au début année 2010.
En juin 2009, est commercialisée la Golf VI GTI. Elle dispose d'un nouveau moteur TSI tout aluminium avec distribution par chaîne de 210 ch.
Le 4 septembre 2012, Volkswagen dévoile la nouvelle Golf VII depuis Berlin, modèle qui est produit dans l'usine historique de Wolfsbur...
Source : BULLE25560


CLUB5A - PHOTO INSOLITE - Jane Birkin et Serge Gainsbourg font une pause en 1969 alors qu’ils traversent l’Oxfordshire....

Photographie par Andrew Birkin.

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - La F1 Mercedes de Fangio estimée près de 50 millions d’euros...

 

ENCHÈRES - C’est l’événement du début de l’année : le Musée Motor Speedway d’Indianapolis se sépare de la Flèche d’argent au volant de laquelle le champion argentin a remporté son grand prix national en 1955. 
Tout finit par être à vendre. 
Même les monstres sacrés et les chefs-d’œuvre de la collection. 
Pour la deuxième fois en douze ans, une Flèche d’argent marquant le retour de Mercedes en Grand Prix dans l’immédiat après-guerre se retrouve ainsi sur le marché. On doit ce miracle au musée Motor Speedway d’Indianapolis qui a décidé de s’en séparer, au même titre que d’autres joyaux de sa collection. 
La firme à l’étoile la lui avait donnée en 1965. Depuis, elle n’avait jamais quitté son repaire américain. Son parcours n’est entaché d’aucune zone d’ombre. 
Sa vente, le 1er février prochain, dans le cadre du Musée Mercedes de Stuttgart, a été confiée à la maison RM Sotheby’s. Elle l’a estimée autour de 50 millions d’euros. Plusieurs paramètres y concourent. 
La Mercedes W196 R n’est pas une monoplace comme les autres. Pendant deux années (1954 et 1955) de participation, elle a survolé les débats, permettant à Juan Manuel Fangio de remporter deux titres consécutifs. Victorieuse en Argentine Portant le numéro de châssis 009/54 et doté d’un moteur 8 cylindres de 3 litres, l’exemplaire du Musée d’Indianapolis bénéficie d’une aura particulière. 
Il s’agit de la monoplace avec laquelle le champion argentin remporte son grand prix national disputé sous une chaleur étouffante au début de l’année 1955. 
Elle ne reprend la piste qu’à l’occasion du Grand Prix d’Italie. Pour le circuit de Monza réputé pour être l’un des plus rapides du championnat, la F1 a reçu la carrosserie aérodynamique Streamliner à roues carénées qu’elle a conservée Dévolue à l’Anglais Stirling Moss, la W196 R 009/54 établit le record du tour à 215,7 km/h de moyenne avant d’abandonner. 
À la fin de la saison, Mercedes stoppe ses activités sportives. La tragédie du Mans avait pesé lourd dans cet épilogue. Les W196 sont remisées dans les réserves du musée de la marque. 
 Source : lefigaro.fr-Sylvain Reisser

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dimanche 26 janvier 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - CAMILLE ET GILLES SUR LES GRANDS BOULEVARDS DE CARCASSONNE...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - POUR SON ANNIVERSAIRE OFFREZ-LUI UN PRODUIT DE LUXE ET DE PLUS EN PLUS RARE .....


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - BALADE EN AUTO EN MODE FAMILLIALE !!


 

CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - LE MODÈLE T DE FORD ...IL Y A D'EJA 100 ANS !!

Le concept, alors révolutionnaire, de la chaîne d'assemblage est introduit chez Poup's industrie de djakers par William C. Klann, de retour d'une visite à un abattoir de Chicago où les animaux étaient dépecés par étapes, en circulant sur un tapis roulant. L'efficacité d'une personne s'occupant toujours de la même pièce des bêtes attira son attention. 
Il propose l'idée d'une ligne d'assemblage à Peter Martin qui, peu confiant sur le moment, l'encourage cependant à essayer. D'autres personnes se sont targuées d'avoir proposé l'idée à Henry Ford, mais la « révélation » venant de la visite de Klann à l'abattoir est bien documentée dans les archives de Ford, faisant de lui le père du concept moderne d'assemblage à la chaîne. Le procédé fut une évolution par essais et erreurs d'une équipe composée principalement de Peter E. Martin, superintendant de l'usine, Charles E. Sorensen, son assistant, Harold Wills, dessinateur et outilleur, Clarence W. Avery, et Charles Lewis. 
Quand la première voiture sortit de la ligne d'assemblage, devant les médias, des visiteurs et Henry Ford, "Pa" Klann en prit le volant.

Il y eut peu de changements importants pendant la durée de vie de ce modèle ; les premières versions avaient un radiateur et des phares en laiton. L'avertisseur et de nombreuses petites pièces étaient aussi en laiton. Les premières voitures produites avaient en général un habitacle ouvert, moins coûteux à produire. Avant le modèle de 1911 sur lequel des portes avant furent ajoutées à la version Tourer, les voitures construites aux États-Unis n'avaient pas de portes ouvrantes pour le conducteur. 
Les modèles ultérieurs incluent des conduite intérieure, des coupés, des berlines et camions. Le châssis était aisément accessible afin de construire des bennes de camion coordonnées. Ford développa ses propres camions pour le châssis de la « T », dénommés « Ford TT ». 
Les phares étaient à l'origine des lampes à acétylène en cuivre qui furent rapidement remplacées par des ampoules électriques. La Ford T utilise certaines technologies avancées pour l'époque, comme des aciers au vanadium. 
Sa durée de vie est exceptionnelle : bon nombre d'exemplaires sont encore fonctionnels. La Ford Model-Ts a été utilisée, dans les années 1920 et 1930, par Ralph Alger Bagnold, un explorateur militaire, lors des reconnaissances et traversées de la dépression de Qattara en Égypte. 
 Les voitures construites avant 1919 sont considérées comme appartenant à l'ère des « vétérans », celles sorties d'usine après cette date étant des « vintage ». Aujourd'hui, il existe deux clubs principaux pour la conservation et la restauration des Ford T : le Model T Ford Club International et le Model T Ford Club of America. 
En France, le COFF - Club Obsolète Ford France, rassemble des collectionneurs. Bon nombre des pièces d'acier sont encore produites aujourd'hui, et on trouve même des répliques en fibre de verre de pièces de carrosserie, destinées à la construction de hot rods imitant la Ford T.
  Source : CarDataVideo

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CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES - LES MOTOS GNOME-RHONE....LE PLUS GRAND CONSTRUCTEUR DE MOTEURS D'AVION EN EUROPE...MAIS PAS QUE ...!!

La Société des Moteurs Gnome et Rhône est une société française qui fabriqua des moteurs pour l'aviation, puis des motocyclettes et des bicyclettes jusque dans les années 1950. Elle était le résultat de la fusion en 1914 de la société Gnome, fondée sans référence à l'aviation le 6 juin 1905 par les (demi-) frères Louis et Laurent Seguin, avec son principal concurrent, la société Le Rhône, créée en 1897 et dirigée par Louis Verdet. Durant l'entre-deux-guerres, l'entreprise est développée par son actionnaire majoritaire Paul-Louis Weiller pour devenir la plus grande entreprise de construction de moteurs d'avion d'Europe. 
Elle fut nationalisée à l'issue de la Seconde Guerre mondiale pour former la Snecma, fusionnée par la suite avec Sagem pour créer le groupe Safran en 2005. Louis Seguin, ingénieur centralien, avait ouvert dès 1895 une usine à Gennevilliers, et acquis peu de temps après la licence du moteur GNOM1 conçu par la firme allemande Motorenfabrik Oberursel. Ce moteur à pétrole, monocylindre et très volumineux bien que de puissance modeste, était un moteur industriel destiné à l'entraînement de machines-outils dans les ateliers. 

En 1905, Louis Seguin fonde avec ses frères et leur cousin René Luquet de Saint Germain la Société anonyme des Moteurs Gnome au capital de 600 000 francs, visant le marché des moteurs pour bateaux puis pour automobiles. Sous l'impulsion de Laurent, la firme fabrique dès 1908 un moteur d'aviation rotatif, c'est-à-dire ayant la particularité d'avoir un vilebrequin fixe : ce sont les cylindres du moteur, disposés en étoile, qui tournent autour. Moteur rotatif. Leur premier modèle conçu par Laurent Seguin de 1907 à 1908, sérialisé par René Luquet de Saint Germain à l'usine de Gennevilliers, tourne en 1909 : c'est le Gnome Omega de sept cylindres, pesant 75 kg et developpant 50 ch, qui équipe le Farman III. 
Il permet à Henri Farman de dépasser les 100 km/h dès 1910 sur son avion Voisin. Les premiers modèles de l'Omega utilisent un système d'admission du carburant depuis l'embiellage à travers le piston, évitant ainsi les mécanismes (cames, poussoirs et renvois) de commandes de soupapes et les pipes d'admission rotatives. Pour alléger la maintenance et diminuer la consommation, le moteur évolue avec une soupape d'échappement commandée et une admission par lumières à la périphérie du piston. 
 Ces moteurs, bien que simples, sont coûteux à fabriquer du fait de l'emploi de matériaux onéreux (aciers spéciaux), entièrement usinés. De plus; le principe même du moteur rotatif impose un équilibrage rigoureux de l'ensemble. Le succès de l’Omega en 1910 tient à trois critères : Il est produit en série, à raison de 3 à 4 moteurs par jour. Les concurrents de la SMG en sont encore à l’étape des prototypes. Conséquence : il est vendu un prix attractif, 11 000 francs en 1910-1911. Ses nombreux succès en compétition. Louis Verdet, ingénieur des Arts et Métiers d'Aix en Provence diplômé en 1888, travaille chez Rossel-Peugeot et a l'ambition de développer un moteur rotatif en étoile dès le début de 1909. Le moteur Rossel-Peugeot, est ainsi présenté au 3e Salon de la Navigation Aérienne au Grand Palais à Paris fin 1910. 
Cette même année, il créé la Société des Moteurs d'Aviation Verdet et nomme son moteur « Le Rhône » en référence à ses origines et produit « Le Rhône 7A » de 50 ch dès 1910, puis « Le Rhône 7B ». Il créé la Société des Moteurs Le Rhône le 6 septembre 1912 à Montreuil en association avec Edouard Martin et fiabilise de façon déterminante son clone de l'Omega 7 de Gnome : deux soupapes commandées par cylindre et des pipes d'admission rotatives. Le Rhone 9C de 80 ch et 10,89 L bat le record d'altitude à 6 150 m le 27 décembre 1913 et permet à Rolland Garros de traverser la Méditerranée la même année. La société s'installe au no 68 boulevard Kellermann à Paris. 
 Malgré les victoires, la capacité industrielle devient insuffisante et pousse Louis Verdet à se rapprocher de Gnome dont les bureaux d'étude fusionnent le 17 juin 1914. 
Le 12 janvier 1915, la société Gnome absorbe la société Le Rhône pour former la « Société des moteurs Gnome et Rhône » qui produit 25 000 moteurs, plus 75 000 sous licence, pendant la Première Guerre mondiale, son siége social est situé au 41, rue La Boétie à Paris. La technologie de Louis Verdet est perfectionnée pour la série 9 aboutissant au 9J de 110 ch. Il est alors courant de voir des pilotes de chasse français, anglais ou américains, affronter leurs homologues allemands et autrichiens dans des avions équipés des mêmes 9J fabriqués sous licence par Oberursel ou par Chiribiri. En 1945, la société, qui souffre de retard technique après quatre ans d'occupation allemande et dont les usines sont détruites (bombardements alliés en 1944) est nationalisée, en même temps que plusieurs petits constructeurs (Gnome avait déjà pris le contrôle de Lorraine-Dietrich en 1941), et donne naissance à la Snecma, acronyme de « Société nationale d'étude et de construction de moteurs d'aviation ». 
 La Snecma tentera sans succès de remettre en production la gamme d'avant-guerre et tournera la page des moteurs à pistons en produisant au début des années 1950 une petite série sous licence du Bristol Hercules destinée au Noratlas. À l'issue de la Première Guerre mondiale, la baisse des commandes militaires pousse la société à se diversifier, notamment dans la production de motocyclettes. Elle achète la licence des motocyclettes britanniques ABC Motors et les améliore, puis, à partir de 1923, produit ses propres motos équipées de moteurs allant du 175 cm3 2-temps (type « E ») au 4-temps de 500 cm3 à soupapes latérales (type « B », puis « C »). 
 En 1926, la type « D » est présentée. Les D2, D3 puis D4 sont équipées de moteurs monocylindres de 500 cm3 à soupapes en tête. Les D3 et D4 marquent l'apparition du réservoir en selle en 1928. Des machines de cylindrée plus modeste apparaissent comme la E3 (250 cm3 latérale), M1 (306 cm3 latérale), CM1 (350 cm3 culbutée), M2 et CM2. Les cadres en tôle emboutie n'apparaissent qu'à partir de 1931 et concernent les Junior (250 latérale) Major (350 latérale), Super Major (350 culbutée), D5 (500 latérale), 500 V2 (latérale) puis CV2 (culbutée) ; ces deux dernières sont équipées d'un moteur à deux cylindres à plat (flat-twin) de 500 cm3. À partir de 1935, apparaissent les modèles « X », d'abord la 750 X (culbutée) puis la 750 XA militaire (culbutée), avant les 800 XA2 puis AX2 (latérales). Une version spéciale de la 750 X est préparée pour battre des records d'endurance. 
Baptisée « Jacqueline II » en hommage à l'épouse d'un dirigeant de la firme, elle permettra de remporter une moisson de records inégalée et d'asseoir la réputation de fiabilité de la marque. Réquisitionnée puis endommagée pendant la guerre (les passages d'huile avaient été volontairement sabotés) cette machine d'exception a été restaurée par le club d'enthousiastes de la marque et est régulièrement présentée lors de manifestations de motos de collection. En 1942, une moto d'escorte présidentielle voit le jour : la X40 (750 cm3 culbutée). Mélange d'AX2 et de X civile, elle est produite à une centaine d'exemplaires, dont cinquante sont livrés à la garde personnelle du chef de l'État pour l'escorte, et reste en service jusqu'en 1952, après avoir escorté Philippe Pétain, Charles de Gaulle, et Vincent Auriol. Pendant la Seconde Guerre mondiale, la 800 AX2 est également fabriquée par les usines Terrot à Dijon. 
De nombreuses AX2 utilisées par l'armée allemande se retrouvent disséminées dans toute l'Europe. Après la guerre, la production est poursuivie par la Snecma. Ce seront les séries « R » et « L », équipées de moteurs 2-temps montés sur un cadre classique : R1 (100 cm3), R2, R3 et R4 (125 cm3), L5 (175 cm3), LX5 (200 cm3). La production cessera définitivement en 1959.
Source : Andrzej Mikołajczak-WKPDIA/CC-BY-SA-3.0