lundi 16 décembre 2024
dimanche 15 décembre 2024
samedi 14 décembre 2024
vendredi 13 décembre 2024
jeudi 12 décembre 2024
mercredi 11 décembre 2024
CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION - LA COURROIE D’ACCESSOIRES …OUI MAIS ESSENTIEL !!
COURROIE D’ACCESSOIRES, CE PETIT MORCEAU DE CAOUTCHOUC …
Du plus modeste bicylindre à plat de quelques centaines de cm3 au plus noble V12 de plusieurs litres de cylindrée, chaque moteur possède une courroie absolument indispensable à son fonctionnement. On y pense rarement, mais la courroie dite « d’accessoires » a au moins deux rôles majeurs dans le fonctionnement du moteur de nos anciennes.
La courroie dite « d’accessoire » relie une poulie fixée sur le vilebrequin du moteur aux différents « accessoires » qu’elle va entrainer. Sans rapport avec la courroie de distribution, elle est présente sur tous les véhicules et son importance est cruciale.
LE REFROIDISSEMENT DU MOTEUR
Sans la courroie, pas de refroidissement moteur. Sur les moteurs refroidis par air (Citroen 2cv et ses dérivés, VW Coccinelle et ses dérivés, Porsche 356 et 911 …) la courroie entraine l’hélice qui pulse l’air dans les conduits d’air du refroidissement. Sur les moteurs refroidis par eau, la courroie entraine la pompe à eau. Sur certaines Saab à moteur 2 temps, la courroie entraine une hélice pour forcer l’air à travers le radiateur d’eau !
Bref, on le comprend facilement, si la courroie se rompt, on ne peut plus rouler, le moteur ne sera plus refroidi. Et peut même casser …
L’ENTRAINEMENT DE LA GÉNÉRATRICE OU ALTERNATEUR
De la même façon, tous les véhicules disposent d’une dynamo ou d’un alternateur destiné à recharger la batterie. Un véhicule a besoin d’énergie : l’allumage, en premier lieu, les feux de stop, clignotants et selon les circonstances, éclairage, ventilation, essuie-glace … sans dynamo ou alternateur pour recharger la batterie, cette dernière sera vide au bout de quelques dizaines de kilomètres. Et là encore, la voiture va s’arrêter, même si contrairement au refroidissement, on ne risque pas de casser le moteur.
LES ACCESSOIRES
La courroie va également entrainer la pompe hydraulique de direction assistée et/ou le compresseur de climatisation pour les véhicules qui en sont équipés. Sur certaines Mercedes luxueuses, elle faisait également tourner une pompe à vide destinée à faire fonctionner certains accessoires.
SA STRUCTURE
La courroie dite « d’accessoires » est la plupart du temps de section trapézoïdale. Cette structure est celle qui va offrir la meilleure surface de friction mais également permettre le réglage de sa tension sur les véhicules les plus anciens en jouant sur l’écartement des gorges de la poulie à l’aide de rondelles de réglage (en rapprochant les flasques de poulie on tend la courroie, en les éloignant on détend la courroie.
Sur les véhicules plus récents, c’est un tendeur à réglage manuel ou automatique qui garantit la bonne tension de la courroie.
SON REMPLACEMENT
La courroie d’accessoire est faite de matériaux souples (caoutchouc, fibre etc…) et elle viellit, même si elle ne sert pas. C’est comme pour les pneus : elle sèche et durcit, voire elle craquelle. Et on n’y pense jamais. Certains conseillent de surveiller visuellement l’état d’usure de la courroie. Si la courroie est fatiguée, elle présente des craquelures, des déchirures ou des irrégularités. Notre avis : on la remplace systématiquement à l’acquisition d’une voiture. Et ensuite, c’est au moins tous les 5 ans. Et on en prend une d’avance que l’on met dans la trousse à outils. Elle ne coûte que quelques euros donc on ne prend pas le moindre risque.
Son remplacement est généralement à la portée d’un bon bricoleur, mais peut nécessiter la dépose d’autres éléments pour y accéder.
Source : autocollec.com/Méca Auto Diag
Méca Auto Diag
mardi 10 décembre 2024
lundi 9 décembre 2024
dimanche 8 décembre 2024
CLUB5A - PILOTE AUTOMOBILE DE LÉGENDE - GERARD LAROUSSE LE PILOTE COMPLET !!
Double vainqueur des 24 heures du Mans, Gérard Larrousse a tout connu ou presque de la course automobile. Pilote complet aussi à l'aise sur la route que sur la piste, il rencontra ensuite le succès comme directeur sportif de Renault avant de fonder sa propre écurie de Formule 1.
A l'origine, rien ne prédisposait ce jeune homme sage et plutôt réservé à la course automobile. L'incursion du rallye du Var lors de vacances dans le Midi éveille une vocation encore timide. Rentré à Lyon (où il est né le 23 mai 1940), il s'amuse d'abord à enchaîner les virages sur les petites routes proches du domicile familial avant de s'engager dans son premier rallye en 1961. A la Simca Aronde succède bientôt une Dauphine 1093 avec laquelle il enlève ses premiers succès de catégorie, puis une R8 Gordini. Intégré dans l'équipe officielle NSU, il termine 2e du Championnat de France en catégorie Tourisme en 1966 et signe alors pour la saison suivante chez Alpine Renault.
Vainqueur de neuf rallyes avec la Berlinette, il s'impose comme l'un des espoirs les plus sûr de la spécialité et débute dans le même temps en circuit sur les prototypes de la marque dieppoise. Pas très heureux en 1968 en rallyes, perdant notamment le Monte Carlo sur une plaque de neige déposée par des spectateurs, il multiplie alors les sorties en circuit et enlève sa première victoire en monoplace sur une Formule France.
La piste l'attire de plus en plus, mais lucide, il sait que l'Alpine 3 litres est sans avenir et signe chez Porsche pour 1969. Débutant la saison par une 2e place au Monte Carlo derrière son équipier Vic Elford, il est assuré ensuite d'un programme en circuit.
Disputant pour la première fois les 24 heures du Mans avec de réelles chances de succès, il va vivre une expérience terrible. Hans Herrmann son équipier perd le dernier sprint face à Ickx au terme d'un final époustouflant et Gérard mettra plusieurs semaines à se remettre de cet échec. Deux belles victoires en Corse et au Tour Auto relance "la machine" en fin d'année, mais le succès lui échappe à nouveau au Monte Carlo où il signe une nouvelle 2e place en janvier suivant. Aligné désormais sous les couleurs du Martini Racing, il signe ensuite de nombreux succès en catégorie 3 litres avec sa Porsche 908-2 et termine second des 24 heures sous le déluge pour ses débuts au volant d'une 917.
Pilier de l'équipe Porsche, il forme en 1971 avec Elford, l'équipage de pointe du Team Martini et enlève son premier succès en Championnat mondial à Sebring, avant de triompher au Nürburgring. Après une saison difficile avec la Lola de l'équipe Bonnier, il rejoint les rangs de Matra en 1973. Si Beltoise-Cevert forme l'équipage le plus brillant, Pescarolo-Larrousse "plus sages" cumulent en revanche les succès.
Vainqueurs des 24 heures, ils s'imposent également dans quatre manches du Championnat et s'imposent comme les principaux artisans du titre mondial de Matra. 1974 sera tout aussi faste pour les deus hommes qui récidivent au Mans, mais Matra a décidé de renoncer à la compétition. Larrousse qui a piloté avec succès un prototype Alpine Renault dans le Championnat d'Europe 2 litres, rejoint l'équipe de ses débuts en 1975.
Après un premier succès heureux à Mugello avec l'Alpine Turbo, il ne connaît ensuite que des déboires. Il se console en monoplace signant une victoire à Hockenheim, prouvant ainsi à 35 ans qu'il reste l'un des pilotes les plus rapides du moment. Pourtant à la fin de l'année, Larrousse décide de renoncer à la compétition pour prendre la direction de Renault Sports.
Trois ans plus tard, il mènera les voitures jaunes à la victoire au Mans avant de se donner à fond dans le programme de Formule 1 de la Régie. Le titre mondial manqué de peu en 1983 déstabilisera l'équipe et à la fin de la saison suivante, Larrousse s'en ira prendre des fonctions similaires chez Ligier avant de fonder sa propre écurie de F1 en 1987. Le succès ne sera hélas pas au rendez-vous et en 1994, l'équipe française quitte la scène.
Depuis Gérard Larrousse s'est pris de passion pour les épreuves historiques où il montre chaque fois qu'il n'a rien perdu de son talent.
Source : Circuit Paul Ricard - caradisiac
A l'origine, rien ne prédisposait ce jeune homme sage et plutôt réservé à la course automobile. L'incursion du rallye du Var lors de vacances dans le Midi éveille une vocation encore timide. Rentré à Lyon (où il est né le 23 mai 1940), il s'amuse d'abord à enchaîner les virages sur les petites routes proches du domicile familial avant de s'engager dans son premier rallye en 1961. A la Simca Aronde succède bientôt une Dauphine 1093 avec laquelle il enlève ses premiers succès de catégorie, puis une R8 Gordini. Intégré dans l'équipe officielle NSU, il termine 2e du Championnat de France en catégorie Tourisme en 1966 et signe alors pour la saison suivante chez Alpine Renault.
Vainqueur de neuf rallyes avec la Berlinette, il s'impose comme l'un des espoirs les plus sûr de la spécialité et débute dans le même temps en circuit sur les prototypes de la marque dieppoise. Pas très heureux en 1968 en rallyes, perdant notamment le Monte Carlo sur une plaque de neige déposée par des spectateurs, il multiplie alors les sorties en circuit et enlève sa première victoire en monoplace sur une Formule France.
La piste l'attire de plus en plus, mais lucide, il sait que l'Alpine 3 litres est sans avenir et signe chez Porsche pour 1969. Débutant la saison par une 2e place au Monte Carlo derrière son équipier Vic Elford, il est assuré ensuite d'un programme en circuit.
Disputant pour la première fois les 24 heures du Mans avec de réelles chances de succès, il va vivre une expérience terrible. Hans Herrmann son équipier perd le dernier sprint face à Ickx au terme d'un final époustouflant et Gérard mettra plusieurs semaines à se remettre de cet échec. Deux belles victoires en Corse et au Tour Auto relance "la machine" en fin d'année, mais le succès lui échappe à nouveau au Monte Carlo où il signe une nouvelle 2e place en janvier suivant. Aligné désormais sous les couleurs du Martini Racing, il signe ensuite de nombreux succès en catégorie 3 litres avec sa Porsche 908-2 et termine second des 24 heures sous le déluge pour ses débuts au volant d'une 917.
Pilier de l'équipe Porsche, il forme en 1971 avec Elford, l'équipage de pointe du Team Martini et enlève son premier succès en Championnat mondial à Sebring, avant de triompher au Nürburgring. Après une saison difficile avec la Lola de l'équipe Bonnier, il rejoint les rangs de Matra en 1973. Si Beltoise-Cevert forme l'équipage le plus brillant, Pescarolo-Larrousse "plus sages" cumulent en revanche les succès.
Après un premier succès heureux à Mugello avec l'Alpine Turbo, il ne connaît ensuite que des déboires. Il se console en monoplace signant une victoire à Hockenheim, prouvant ainsi à 35 ans qu'il reste l'un des pilotes les plus rapides du moment. Pourtant à la fin de l'année, Larrousse décide de renoncer à la compétition pour prendre la direction de Renault Sports.
Trois ans plus tard, il mènera les voitures jaunes à la victoire au Mans avant de se donner à fond dans le programme de Formule 1 de la Régie. Le titre mondial manqué de peu en 1983 déstabilisera l'équipe et à la fin de la saison suivante, Larrousse s'en ira prendre des fonctions similaires chez Ligier avant de fonder sa propre écurie de F1 en 1987. Le succès ne sera hélas pas au rendez-vous et en 1994, l'équipe française quitte la scène.
Depuis Gérard Larrousse s'est pris de passion pour les épreuves historiques où il montre chaque fois qu'il n'a rien perdu de son talent.
Source : Circuit Paul Ricard - caradisiac
CLUB5A - SPORT AUTO - LA RENAULT DAUPHINE FRUA SPORT ...C'ETAIT EN 1956 !!
Renault Dauphine Sport – Frua (1956)... La Dauphine de Renault est proposée à la commercialisation en 1956, petite berline populaire qui vient épauler la 4CV, son succès est immédiat. Par son prix bon marché et les possibilités de développement de son moteur, la voiture intéresse de nombreux artisans-constructeurs, stylistes et mécaniciens amateurs qui vont la modifier et (tenter) de proposer des variantes au grand public. Au milieu des années 1950, la production automobile a complètement fini sa reconstruction suite à la guerre et nombre de constructeurs ont des usines à la pointe. Renault par exemple est un expert en matière de production de masse pour sortir les populaires 4CV et la nouvelle venue, la Dauphine, dans une toute nouvelle usine située à Flins.
Si la production française est alors hétéroclite (et va de la petite Rovin à la somptueuse Facel Vega Excellence), un créneau semble oublié, celui des voitures de loisirs alors occupé par les coupés et cabriolets. Certes, quelques constructeurs ont investi le segment comme Simca avec la Simca Sport ou les coupés sur base d’Aronde, Panhard avec la Junior et les cabriolets Dyna, Peugeot avec la 403 Cabriolet… Mais l’offre reste maigre par rapports à nos pays voisins.
Quand la Renault Dauphine apparaît en 1956, plusieurs carrossiers flairent le bon filon et lancent des études pour réaliser un coupé, tout en reprenant le moteur et les autres éléments mécaniques. L’objectif était de proposer une voiture de loisirs bon marché et d’investir ce segment délaissé. D’autres carrossiers réalisent des créations sur la base de la Dauphine dans l’espoir peut être de se faire remarquer par la Régie et peut-être obtenir une commercialisation du modèle.
Est-ce cette motivation qui a poussé Pietro Frua à réaliser un coupé sur base de Dauphine en 1956 ? En réalité, l’histoire est plus complexe. Avant même la présentation de la Dauphine, Renault a demandé à plusieurs carrossiers des propositions de carrosserie coupé en reprenant la base de la Dauphine. Ghia aurait été missionné par Renault et donne la mission à Pietro Frua en raison d’une exclusivité qu’avait Ghia envers Volkswagen du fait de la création du Karmann Ghia. C’est ainsi que serait apparue cette voiture, présentée lors du salon de Milan 1966 sous le nom de « Dauphine Sport ».
Les lignes de ce coupé se remarquent , relativement fluides et dynamiques, elles ont le charme des créations italiennes des années 1950.
Rétrospectivement, on peut trouver un air de famille avec la Renault Floride, surtout au niveau du pavillon. La Floride arrive quelques années plus tard avec un prototype réalisé par ce même Petro Frua. La voiture reste toutefois surchargée sur ses faces avant et arrière avec une abondance de chromes et de lignes un peu trop travaillées.
Néanmoins, la voiture se retrouve quelques mois plus tard à Paris où elle aurait été immatriculée pour la première fois. On sait que cette voiture a été achetée par Jean Rédélé sur ordre des dirigeants de Renault. En effet, Jean Rédélé faisait parti des études sur le coupé Renault qui deviendra la Floride, et l’un des prototypes recalés par la Régie et réalisé par Michelloti intéresse fortement Rédélé pour concevoir un cabriolet Alpine.
Cependant, ce prototype avait été financé par Renault, les dirigeants de la Régie voyaient d’un mauvais œil apparaître une concurrente à la future Floride. Et quand Rédélé critique ouvertement ce prototype de Frua, les dirigeants de Renault ordonnent à Jean Rédélé de prendre à ses frais la possession du prototype Frua présenté 1956 et de garder cette étude sous le coude. Mais quand Renault accélère le programme Floride avec un second prototype, Rédélé peut désormais faire ce qu’il souhaite de ce prototype, qui aurait été envoyé en Cote d’Ivoire après avoir été conservé quelques années…
Source : lautomobileancienne.com/passion auto sport du var
passion auto sport du var
samedi 7 décembre 2024
CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION - 5 conseils pour garder les freins de votre voiture en bon état.....
Rétrograder avant de freiner, vérifier régulièrement le liquide de frein ou prêter attention aux bruits et vibrations de votre voiture peuvent être des gestes clés pour éviter une détérioration prématurée de vos freins. Voici quelques conseils pour prendre soin de votre voiture. Saviez-vous que 13,5 % des défauts graves détectés lors du contrôle technique sont dus au système de freinage ?
À première vue, cela ne semble pas être un pourcentage élevé, mais si vous tenez compte du fait que les freins sont un élément fondamental de la sécurité de votre voiture et que leur bon fonctionnement est essentiel à la conduite, ce pourcentage devient encore plus important.
1. Adoptez une conduite efficace
En gardant un rythme régulier, sans accélération ni freinage brusques, vous réduirez non seulement votre consommation de carburant, mais vous éviterez également l'usure du système de friction. Des détails tels que la rétrogradation avant un freinage brusque afin de ne pas solliciter le système empêcheront également vos freins de s'user prématurément.
2. Remplacer périodiquement les plaquettes de frein
Bien que la règle générale soit de remplacer les plaquettes de frein tous les 25 000 km, si vous vivez dans des régions montagneuses ou vallonnées ou si vous utilisez simplement votre véhicule quotidiennement, il est fortement recommandé de garder un œil sur vos plaquettes de frein pour s'assurer qu'elles n'ont pas moins de 2 millimètres d'épaisseur. Si vous devez changer les plaquettes de frein, n'oubliez pas que les disques doivent également être remplacés tous les 4 changements de plaquettes.
3. Vérifiez le liquide de frein
Dans ce cas, la quantité et la qualité du liquide sont aussi importantes l'une que l'autre. D'une part, il est essentiel de s'assurer que le niveau du liquide est correct, mais il est également important de vérifier l'état du liquide, car s'il est sale, il aura un effet négatif sur le freinage du véhicule. N'oubliez pas non plus de suivre les recommandations de le changer tous les deux ans ou tous les 50 000 km.
4. Utilisez des pièces de rechange agréées
Lorsque vous effectuez des modifications, n'oubliez jamais qu'elles doivent garantir notre sécurité. Dans le cas des plaquettes de frein, vous devez vérifier qu'elles portent le code ECE R-90, qui garantit qu'elles répondent aux exigences de qualité.
5. Soyez attentif aux signaux acoustiques et vibratoires
Un grincement constant ou des bruits gênants lorsque vous appuyez sur la pédale de frein sont des symptômes qui peuvent indiquer que les plaquettes de frein doivent être contrôlées et éventuellement remplacées. En revanche, si vous remarquez que la pédale ou le volant vibrent, cela peut être le signe que le système de freinage doit être remplacé au plus vite.
Source : Nicolas Leca-oscaronews.com-Build All
vendredi 6 décembre 2024
jeudi 5 décembre 2024
CLUB5A - A VENDRE - Mr RAMIREZ DU FAN AUTO-MOTO VEND UNE HONDA 125 CUSTOM DE 1993...
Jean-Jacques Ramirez vends : Honda 125 CM Custom parfait état.
1993.
selle refaite .
bicylindre 125 cm3
roule très bien.
rien à prévoir.
Carte grise collection.
contrôle technique sera fait pour la vente.
Prix : 1690.00 euros.
Contact : 06 87 80 39 03
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