mercredi 20 novembre 2024
mardi 19 novembre 2024
lundi 18 novembre 2024
dimanche 17 novembre 2024
samedi 16 novembre 2024
vendredi 15 novembre 2024
CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION MOTO - LES PEINTRES MOTO ....DES ARTISTES INCONNUS !!
L'Artiste peintre embellit une voiture de collection.
Il peut travailler dans un garage, un concessionnaire réparateur, une grande entreprise disposant d'un parc de véhicules ou une filiale de marque automobile ou et c'est souvent le cas dans un petit atelier des plus modestes.
Ce sont de véritables artistes qui redonnent vie aux motos ou autos ....Chapeau bas messieurs !
Source : ginanjar pangestu
jeudi 14 novembre 2024
CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION AUTO - RESTAURATION D'UNE RENAULT 8 ....
Lancée en juin 1962, la Renault 8 est dessinée par Gaston Juchet et Philippe Charbonneaux. C'est l'une des premières voitures françaises avec quatre freins à disques. Le « moteur Sierra » (connu également sous le nom de « moteur Cléon-Fonte ») à cinq paliers est nouveau. Ce moteur élaboré par l'ingénieur René Vuaillat connaîtra une longue carrière puisqu'il sera encore utilisé sur les Twingo, Express, Clio et Super 5 dans les années 1990.
Pour les modèles 1964, la planche de bord avec une boîte à gants est nouvelle et il existe une version mieux finie à moteur 1 108 cm³ provenant de la Caravelle 1100 et à boîte de vitesses à quatre rapports dénommée R8 Major. Pendant le courant de l'été 1965, elle est remplacée par la Renault 10 Major. Il s'agit d'une version allongée de la Renault 8, avec un coffre avant et un compartiment moteur plus grands, mais la cellule centrale, et donc l'habitabilité, reste identique mais traité plus luxueusement.
Pour les modèles 1965, Renault commercialise la version sportive Gordini du nom du célèbre préparateur de moteurs. Elle est considérée comme la première "GTi"1. C'est effectivement la première compacte ayant des performances sportives pour un tarif de voiture de série. Pour les modèles 1968, le moteur de la Renault 8 passe de 956 cm³ à 1 108 cm³ tandis que l'appellation Major réapparaît. Le tableau de bord comporte des cadrans ronds.
À partir d'août 1968, la Renault 8 S, qui est une version sportive moins chère que la Renault 8 Gordini, possède le moteur de 60 ch à carburateur double corps de la Caravelle 1100 S. La Renault 8 S s'équipe d'un compte-tours, de quatre phares et de jantes larges. La Renault 8 S est supprimée en 1971 à Flins, elle sera définitivement arrêtée en 1976. Elle a été fabriquée de 1968 à 1971 à Flins et de 1968 à 1976 par la filiale espagnole Fasa-Renault. Elle est sortie en peinture unie en jaune, blanc et rouge.
Courant 1973, la Renault 8 n'est plus disponible en France. Pendant la dernière année, les Renault 8, qui possèdent désormais des freins arrière à tambours, sont fabriquées par Fasa-Renault laquelle continue la fabrication jusqu'en 1977. En mai 1973, les Renault 8 et 8 TS espagnoles sont modernisées : les feux avant passent sous le pare-chocs rehaussé, les quatre projecteurs sont en série et les feux arrière s'agrandissent.
Source : tom cazals
CLUB5A - SPORT AUTO - Le circuit du Mans.....de la gomme et des bulles !!
En 1966, Ford terrasse Ferrari et remporte la première de ses quatre victoires dans la Sarthe. Trame du film «Le Mans 66», de James Mangold, ce succès fait triompher l’amitié entre le patron d’écurie Carroll Shelby et le pilote Ken Miles.
Une photo. C’est ce qui a fait vaciller le résultat du Mans 1966. Tout à sa détermination de montrer au monde entier qu’il domine son sujet et qu’il a enfin réussi à mater la Scuderia Ferrari invaincue dans la Sarthe depuis six ans, Ford veut gagner en joignant l’art à la manière. Depuis le début de la nuit, les rangs des bolides rouges de Maranello décimés, la marque à l’ovale bleu court donc vers son premier succès dans la plus grande épreuve d’endurance au monde.
Comme dans le meilleur des scénarios, un triplé est même en train de se dessiner. La GT40 Mk II bleu pâle que Ken Miles partage avec Dennis Hulme mène la danse. Elle tient les voitures sœurs de Bruce McLaren-Chris Amon et Ronnie Buckum- Dick Hutcherson à distance. À mesure que l’on se rapproche du dénouement, l’état-major Ford imagine un plan pour marquer les esprits. Il se prend à rêver d’une arrivée triomphale où les trois Mk II de l’écurie dirigée par Carroll Shelby franchiraient la ligne d’arrivée côte à côte. La photo fera le tour du monde, pensent-ils.
Les retombées publicitaires seront immenses. Avec toute la diplomatie qu’on lui reconnaît, Shelby réussit à convaincre Miles de se plier à la discipline de l’équipe. Ce n’était pas gagné d’avance. Homme fort de la formation Ford, le pilote de développement de la Mk II a déjà remporté les 24 Heures de Daytona et les 12 Heures de Sebring, en Floride. Avec le Mans, il est en train de réaliser la passe de trois. Un exploit.
L’arrivée prend des allures de conjuration. Après quelques minutes de confusion, l’Automobile Club de l’Ouest déclare vainqueur la Mk II noire portant le numéro 2.
Celle de McLaren-Amon. Pour 21 mètres! Les officiels ont estimé que McLaren, qui avait entamé le dernier tour avec 2 secondes de retard, avait effectué une moyenne supérieure et qu’il avait couvert une distance plus importante puisque sa position de départ était moins favorable que celle de Miles. On n’avait jamais vu ça. Ken Miles ne remportera jamais les 24 Heures du Mans. Deux mois plus tard, il se tue sur le circuit de Riverside (Californie) lors d’une séance de développement de la Ford J, la nouvelle arme du constructeur en endurance, construite autour d’une coque en nid d’abeilles.
«Cela m’a brisé le cœur de perdre Ken», avait alors admis Carroll Shelby. Le réalisateur James Mangold nous fait revivre l’ascension de Ford vers les sommets à travers le prisme de l’amitié entre Shelby, incarné à l’écran par Matt Damon, et Miles, joué par Christian Bale. Le jeu d’acteur est brillant, mais Peter Brock, le premier collaborateur de Shelby, affirme que le scénario est quelque peu romancé. Miles n’était pas un caractère difficile, mais un perfectionniste. Un vrai gentleman, honnête et droit. Les historiens relèveront également quelques anachromismes au cours des 2 h 30 du film.
«NOUS ALLONS LES BATTRE»
Miles était une légende en Californie au début des sixties. Né en Angleterre près de Birmingham, il avait émigré à Los Angeles après la guerre. Il s’était construit la réputation d’être l’un des pilotes parmi les plus rapides. Après avoir travaillé pour MG et Porsche, il avait ouvert son propre garage en 1961 dans la banlieue de Los Angeles. Début 1963, il devint l’un des pilotes phares de la marque Shelby, fondée par Carroll Shelby et qui a donné naissance à la fameuse AC Cobra. Qui s’en souvient? Pendant ce temps, Ford lance un programme sportif pour dynamiser son image.
Objectif: décrocher Le Mans. Pour gagner du temps, la marque à l’ovale bleu se met en tête d’acheter Ferrari. Des émissaires sont dépêchés à Maranello. Enzo Ferrari semble prêt à céder sa société, puis se ravise. Chez Ford, cette duperie passe mal, et la réponse se fait cinglante. «Nous allons les battre», dira Henry Ford II. Le rêve devient réalité trois ans plus tard grâce aux efforts conjugués de Shelby et Miles. Le Mans 66. Sur la grande planche en bois reposant sur des tréteaux et faisant office de podium, Henry Ford II, le petit-fils du fondateur de la marque américaine, a rejoint les vainqueurs.
On constate la présence de jéroboams de Moët & Chandon. Le comte Frédéric Chandon, cogérant de la maison sparnacienne, a tenu parole. «En cas de victoire de Ford, il s’était engagé auprès de Henry Ford II à lui offrir le champagne», raconte Jean Berchon qui fut directeur du patrimoine et de la communication de Moët. Comble du chic: il est servi dans des flûtes. Cela fait déjà plusieurs décennies que le vin de Champagne accompagne la cérémonie du podium. Le 12 octobre 1936, le champion italien Tazio Nuvolari remporte la Coupe Vanderbilt disputée sur le circuit de Mineola, près de New York. Les photos l’immortalisent un jéroboam de Brut Impérial Moët & Chandon dans les bras.
Les plus grandes maisons de champagne parrainent le circuit de Reims depuis sa naissance en 1925. C’est sous l’impulsion du Manceau Jean-Marie Dubois que les liens entre le sport automobile et le vin effervescent se renforcent. Lorsqu’il devient responsable des relations presse de Moët & Chandon, il propose deux axes de communication: les concours hippiques les plus réputés et les 24 Heures du Mans, qui ont bercé son enfance. L’homme n’est jamais à court d’idées. Il reçoit dans des tentes érigées dans le paddock, organise le dîner de gala le dimanche soir au restaurant des Hunaudières, tenu par Maurice Génissel. Le Club Moët s’installe même dans de véritables maisons, avec douches et chambres. En 1969, pour la dernière de ses quatre victoires consécutives, Ford devance Porsche de 120 mètres. Jacky Ickx est sacré pour la première fois.
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info - FilmsActu
Comme dans le meilleur des scénarios, un triplé est même en train de se dessiner. La GT40 Mk II bleu pâle que Ken Miles partage avec Dennis Hulme mène la danse. Elle tient les voitures sœurs de Bruce McLaren-Chris Amon et Ronnie Buckum- Dick Hutcherson à distance. À mesure que l’on se rapproche du dénouement, l’état-major Ford imagine un plan pour marquer les esprits. Il se prend à rêver d’une arrivée triomphale où les trois Mk II de l’écurie dirigée par Carroll Shelby franchiraient la ligne d’arrivée côte à côte. La photo fera le tour du monde, pensent-ils.
Celle de McLaren-Amon. Pour 21 mètres! Les officiels ont estimé que McLaren, qui avait entamé le dernier tour avec 2 secondes de retard, avait effectué une moyenne supérieure et qu’il avait couvert une distance plus importante puisque sa position de départ était moins favorable que celle de Miles. On n’avait jamais vu ça. Ken Miles ne remportera jamais les 24 Heures du Mans. Deux mois plus tard, il se tue sur le circuit de Riverside (Californie) lors d’une séance de développement de la Ford J, la nouvelle arme du constructeur en endurance, construite autour d’une coque en nid d’abeilles.
«Cela m’a brisé le cœur de perdre Ken», avait alors admis Carroll Shelby. Le réalisateur James Mangold nous fait revivre l’ascension de Ford vers les sommets à travers le prisme de l’amitié entre Shelby, incarné à l’écran par Matt Damon, et Miles, joué par Christian Bale. Le jeu d’acteur est brillant, mais Peter Brock, le premier collaborateur de Shelby, affirme que le scénario est quelque peu romancé. Miles n’était pas un caractère difficile, mais un perfectionniste. Un vrai gentleman, honnête et droit. Les historiens relèveront également quelques anachromismes au cours des 2 h 30 du film.
«NOUS ALLONS LES BATTRE»
Miles était une légende en Californie au début des sixties. Né en Angleterre près de Birmingham, il avait émigré à Los Angeles après la guerre. Il s’était construit la réputation d’être l’un des pilotes parmi les plus rapides. Après avoir travaillé pour MG et Porsche, il avait ouvert son propre garage en 1961 dans la banlieue de Los Angeles. Début 1963, il devint l’un des pilotes phares de la marque Shelby, fondée par Carroll Shelby et qui a donné naissance à la fameuse AC Cobra. Qui s’en souvient? Pendant ce temps, Ford lance un programme sportif pour dynamiser son image.
Objectif: décrocher Le Mans. Pour gagner du temps, la marque à l’ovale bleu se met en tête d’acheter Ferrari. Des émissaires sont dépêchés à Maranello. Enzo Ferrari semble prêt à céder sa société, puis se ravise. Chez Ford, cette duperie passe mal, et la réponse se fait cinglante. «Nous allons les battre», dira Henry Ford II. Le rêve devient réalité trois ans plus tard grâce aux efforts conjugués de Shelby et Miles. Le Mans 66. Sur la grande planche en bois reposant sur des tréteaux et faisant office de podium, Henry Ford II, le petit-fils du fondateur de la marque américaine, a rejoint les vainqueurs.
On constate la présence de jéroboams de Moët & Chandon. Le comte Frédéric Chandon, cogérant de la maison sparnacienne, a tenu parole. «En cas de victoire de Ford, il s’était engagé auprès de Henry Ford II à lui offrir le champagne», raconte Jean Berchon qui fut directeur du patrimoine et de la communication de Moët. Comble du chic: il est servi dans des flûtes. Cela fait déjà plusieurs décennies que le vin de Champagne accompagne la cérémonie du podium. Le 12 octobre 1936, le champion italien Tazio Nuvolari remporte la Coupe Vanderbilt disputée sur le circuit de Mineola, près de New York. Les photos l’immortalisent un jéroboam de Brut Impérial Moët & Chandon dans les bras.
Les plus grandes maisons de champagne parrainent le circuit de Reims depuis sa naissance en 1925. C’est sous l’impulsion du Manceau Jean-Marie Dubois que les liens entre le sport automobile et le vin effervescent se renforcent. Lorsqu’il devient responsable des relations presse de Moët & Chandon, il propose deux axes de communication: les concours hippiques les plus réputés et les 24 Heures du Mans, qui ont bercé son enfance. L’homme n’est jamais à court d’idées. Il reçoit dans des tentes érigées dans le paddock, organise le dîner de gala le dimanche soir au restaurant des Hunaudières, tenu par Maurice Génissel. Le Club Moët s’installe même dans de véritables maisons, avec douches et chambres. En 1969, pour la dernière de ses quatre victoires consécutives, Ford devance Porsche de 120 mètres. Jacky Ickx est sacré pour la première fois.
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info - FilmsActu
mercredi 13 novembre 2024
CLUB5A - IMAGES D'ARCHIVES - JEAN REDELE OU MR ALPINE !!
Jean Rédélé, né le 17 mai 1922 à Dieppe et mort le 10 août 2007 à Paris, est un pilote et créateur automobile français.
Il passe toute son enfance à Dieppe et grandi dans le garage automobile familial que tient son père, lui aussi passionné par la compétition et les automobiles sportives.
Diplômé de HEC et plus jeune concessionnaire Renault de France, à Dieppe, Jean Rédélé commence dans un premier temps en 1950 à disputer le rallye Dieppe-Rouen avec une 4CV améliorée, déclarant qu'elle a un potentiel sportif non négligeable. Cette première course se solde par une première victoire, ce qui l'encourage à continuer d'autant plus qu'il obtint le statut de pilote d'usine Renault.
Il s'inscrit au rallye de Monte-Carlo en 1950, sans rencontrer le succès, et y dispute une belle épreuve finale en 19511. En 1952, il participe aux Mille Milles, toujours sur 4 CV, remportant sa catégorie associé à Louis Pons. En 1954, il remporte, en autres, une coupe au Critérium des Alpes et le Liège-Rome-Liège. C'est ainsi qu'il parcourt, sur les pistes sinueuses et entrelacées des Alpes, ses meilleures courses. En référence à ces épreuves, ses automobiles seront badgées « Alpine ». En mars 1955, il participe aux 12 Heures de Sebring, aux États-Unis, au volant d'une 4CV.
Il perdra le contrôle dans le deuxième tour, s’en tirant sans dommage bien que la voiture soit détruite, ce sera sa dernière course au volant d'une 4CV.
Il passe toute son enfance à Dieppe et grandi dans le garage automobile familial que tient son père, lui aussi passionné par la compétition et les automobiles sportives.
Diplômé de HEC et plus jeune concessionnaire Renault de France, à Dieppe, Jean Rédélé commence dans un premier temps en 1950 à disputer le rallye Dieppe-Rouen avec une 4CV améliorée, déclarant qu'elle a un potentiel sportif non négligeable. Cette première course se solde par une première victoire, ce qui l'encourage à continuer d'autant plus qu'il obtint le statut de pilote d'usine Renault.
Il s'inscrit au rallye de Monte-Carlo en 1950, sans rencontrer le succès, et y dispute une belle épreuve finale en 19511. En 1952, il participe aux Mille Milles, toujours sur 4 CV, remportant sa catégorie associé à Louis Pons. En 1954, il remporte, en autres, une coupe au Critérium des Alpes et le Liège-Rome-Liège. C'est ainsi qu'il parcourt, sur les pistes sinueuses et entrelacées des Alpes, ses meilleures courses. En référence à ces épreuves, ses automobiles seront badgées « Alpine ». En mars 1955, il participe aux 12 Heures de Sebring, aux États-Unis, au volant d'une 4CV.
Il perdra le contrôle dans le deuxième tour, s’en tirant sans dommage bien que la voiture soit détruite, ce sera sa dernière course au volant d'une 4CV.
Source : monfrison/ina.fr/Jean Rédélé dit Mr Alpine
mardi 12 novembre 2024
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